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Le blog politique de Thomas JOLY

Lola : le peuple gronde de colère, nous réclamons justice !

19 Octobre 2022, 16:52pm

Publié par Thomas Joly

Lola : le peuple gronde de colère, nous réclamons justice !

On entend, ici ou là, que la famille de Lola, dévastée par le chagrin, ne voudrait pas de « récupération politique » suite au meurtre abominable de leur fille.

Premièrement, il ne s'agit pas d'une déclaration directe de ses parents et il faut savoir qu'ils sont encadrés depuis plusieurs jours par les services de l'État. On imagine d'ici les psychologues stipendiés pour que leur douleur ne se transforme surtout pas en colère. Ça se passe TOUJOURS ainsi avec les familles de victimes dès qu'un crime abominable est médiatisé.

Deuxièmement, il s'agit désormais d'un drame public qui dépasse le strict cadre familial. Que la famille pleure la petite Lola, c'est tout à fait compréhensible. Mais si le peuple français gronde de colère et réclame justice, ce n'est plus de son ressort.

Nous n'en pouvons plus de voir les nôtres massacrés par des immigrés enragés, nous voulons le rétablissement de la peine de mort et une remigration massive de tous ces extra-européens criminogènes.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Lola

19 Octobre 2022, 14:05pm

Publié par Thomas Joly

Elle s’appelait Lola Daviet, c’était une fille de 12 ans vivant dans le douzième arrondissement de Paris. Ses parents sont concierges dans une résidence de cet endroit. C’était un collégienne qui entrait progressivement dans le monde des « grands ».  

Sa vie s’est arrêtée un après-midi lorsqu’elle a croisé le sadisme d’une clandestine algérienne, une certaine Dahbia dont les médias dans leur habituelle pudeur xénophile ont tu le nom de famille.

Nous ne détaillerons pas ici la façon dont elle fut torturée, violée, puis tuée dans un paroxysme de violence par ce monstre et grâce à la complicité de plusieurs de ses compatriotes.  Nous sommes meurtris par la souffrance  de cette petite, par la peur insondable qu’elle a ressenti dans ces terribles moments, par la vie qui l’a quittée. Nous exprimons notre soutien et notre compassion à sa famille, à ses amis.

Des drames, depuis des décennies d’immigration folle, nous en avons appris au quotidien :  prêtre décapité, fans de musique rock assassinés, jeunes femmes violées, jeunes hommes lynchés, voitures folles conduites par un barbu militant… Cette mort est celle de l’innocence, loin de dénier les autres tueries, elle ne passe pas, elle tort les tripes et bouleverse l’âme plus encore, elle nous emporte dans le chagrin et la colère, émotions normales et saines quoi qu’en disent les médias et politiques nous déniant les composants de notre humanité.

Déjà Pascale Clark nous demande de « fermer notre gueule », la très bruyante Zohra Bitan, celle qui a l’habitude d’hurler avec un accent du Maghreb marqué à d’autres qu’elle est plus française qu’eux dans l’émission « Les Grandes Gueules » a eu comme priorité d’appeler à ne pas faire d’amalgame afin de dédouaner ses vrais compatriotes, ses coreligionnaires. Elle aussi désire que les « fachos, les racistes » se taisent. Nous, les défenseurs de la France et des Français, des autres peuples européens ne nous sommes jamais tus et nous ne nous tairons jamais. Nous continuerons  à porter la contestation de notre génocide, à combattre ces actes de guerre que d’autres appellent des faits divers, à se lever contre ce projet cosmopolite fou qui mènera à notre disparition s’il n’est abandonné.

L’indécent Macron n’a pas eu un mot pour cette fillette, pour sa famille. Il a même commis la provocation d’avoir une pensée pour des Algériens d’il y a soixante ans pile lors de la découverte de ce drame épouvantable. Comment humainement est-il possible d’agir ainsi ? Quelle sorte d’homme est ce pauvre type ?  Est-ce un comportement acceptable pour le chef d’État ?

Un appel à la haine serait réprimandé par la justice, même s’il devient difficile de ne pas en faire. Nous appelons au rassemblement des Français, à l’union plutôt que la discorde, à nous relier sur nos ressemblances réelles plutôt que continuer de nous diviser pour la plus grande satisfaction de nos ennemis. Nous vous prions d’aider matériellement cette famille endeuillée, confrontée au pire de la souffrance morale par le biais de la cagnotte en ligne, d’aller déposer des fleurs devant chez elle. Nous vous appelons à vous mobiliser sur les réseaux sociaux, à vous joindre à toutes les manifestations de soutien possibles. Tenons-nous debout, soyons fermes pour la mémoire de cet enfant, par amour de nos enfants, ne nous laissons plus décimer !

Ludovic Lefebvre - Délégué du Parti de la France pour Paris

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Le Forum du PdF - Jeudi 20 octobre à 21h

18 Octobre 2022, 12:09pm

Publié par Thomas Joly

Le Forum du PdF - Jeudi 20 octobre à 21h

Dans le Forum du PdF du jeudi 20 octobre, Alexandre Hinger reçoit Yvan Benedetti, chef des Nationalistes, et Bruno Hirout, Secrétaire général du Parti de la France.

L'émission sera consacrée au meurtre abject de la petite Lola, à son traitement médiatique, à la pénurie de carburant ainsi qu'à l'actualité politique.

C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram : https://t.me/partidelafrance

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Benzema, ballon d’or : la France a les héros qu’elle mérite

18 Octobre 2022, 06:02am

Publié par Thomas Joly

Certes, Benzema marque des buts. Ce talent lui vaut aujourd’hui la récompense suprême du métier, le fameux Ballon d’or et un concert de louanges, parmi lesquelles celle du président de la République.

On est pourtant en droit de contester la statue ainsi offerte en modèle à la vénération publique, notamment aux banlieues françaises où il fait figure de dieu vivant. Car le titulaire du Ballon d’or 2022 a bien fait parler de lui mais pas toujours pour ses exploits balle au pied. En 2020, une star russe des arts martiaux (MMA) Khabib Nurmagomedov se fend d’un tweet vengeur sur les offenses faites aux musulmans par la France lorsqu’elle défend le droit à la caricature de Mahomet. Aussitôt, Benzema clique sur le cœur qui accompagne ce texte, signifiant qu’il en apprécie le propos. Le journal L’Est républicain entre autres s’en fait l’écho.

Dans deux tweets postés en mai 2022, le lanceur d’alertes de droite Damien Rieu reproche au sportif franco-algérien d’avoir posé, le temps d’une photo, avec un imam sulfureux évoluant dans les milieux islamistes. Dans un deuxième cliché, Rieu lui reproche d’avoir posé l’index en l’air, un signe largement employé par les islamistes de Daech. Karim Benzema a porté plainte en diffamation en mai dernier.

En 2010, le footballer est mouillé dans l'affaire Zahia. Il est poursuivi dans le cadre d’une enquête de la Brigade de répression du proxénétisme pour avoir eu recours à cette escort-girl alors encore mineure. Il démentira les faits et sera relaxé quatre ans plus tard…

Ce n’est pas tout. Flashé à 216 km/heure sur une autoroute près de Madrid, cet amateur de bolides hors de prix est condamné à 18.000 euros d’amende et huit mois de suspension de permis.

Mais c’est surtout avec l’affaire de la sextape que Benzema révèle son vrai visage. Le joueur qui a obstinément refusé de chanter la Marseillaise a pourtant un vrai talent pour… le chantage. L’affaire éclate le 13 octobre 2015 lorsque Mathieu Valbuena, qui joue en équipe de France aux côtés de Benzema, révèle qu’on cherche à lui soutirer de l’argent en le menaçant de diffuser une vidéo de ses débats compromettante. Son « ami Benzema » lui en parle même directement, menaces à la clé, lors d’un entrainement de l’équipe de France. L’affaire est si encombrante que le bon camarade Benzema est mis en examen le 5 novembre 2015 pour « complicité de tentative de chantage et participation à une association de malfaiteurs ». Bien sûr le joueur nie toute implication et proteste de son innocence avec des accents d’agneau naissant. La justice, elle, réplique en le plaçant sous contrôle judiciaire ce qui lui interdit d'entrer en contact avec son coéquipier de l’Equipe de France.

L’affaire commençant à sentir sérieusement le roussi, le patron de la Fédération française de football Noël Le Graët suspend, le 10 décembre 2015, la participation du charmant Benzema lors des matchs de l’équipe de France. La décision sera maintenue après la levée du contrôle judiciaire de Benzema en février 2016.

Dès lors, les avocats de cette fortune du foot vont tout essayer, en dénonçant d’abord une enquête déloyale. Cette défense tombe à l’eau devant la Cour d’appel de Versailles qui confirme que la procédure est valide. La Cour de cassation casse cette décision en juillet 2017 mais la cour d’appel en novembre 2018 valide à nouveau l’enquête et la procédure. En juin 2019, la cour de cassation renvoie enfin l’affaire en formation plénière et valide à nouveau l’enquête en décembre 2019.

Benzema, en dépit de ses immenses moyens financiers, a ainsi droit à un procès en correctionnelle. Le 24 novembre 2021, il est enfin reconnu coupable de complicité de tentative de chantage et condamné par la Cour d'appel de Versailles. Le 3 juin 2022, Karim Benzema se désiste piteusement des procédures encore en cours. Courage, fuyons ! L’actuel Ballon d’or est donc condamné définitivement à un an de prison avec sursis, à une amende de 75 000 € et à des dommages et intérêts de 80 000 € envers Mathieu Valbuena, au titre du préjudice moral.

Une paille infime pour le joueur dont les revenus dépasseraient selon le magazine Capital la barre des 7 millions d’euros par an. Sans compter les revenus du sponsoring des marques. Certaines ont quitté ce cheval un peu trouble, d’autres sont restées. La cérémonie du Ballon d’or les décidera peut-être à revenir ? A un joueur si exemplaire, on ne refuse rien : la France a les héros qu'elle mérite.

Marc Baudriller

Source : http://bvoltaire.fr

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Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)

17 Octobre 2022, 19:40pm

Publié par Thomas Joly

 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)
 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)
 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)
 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)
 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)
 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)
 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)
 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)
 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)
 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)
 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)
 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)
 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)
 Synthèse nationale à Rungis (16/10/22)

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Meurtre abominable de Lola : les quatre suspects sont des Algériens

17 Octobre 2022, 05:54am

Publié par Thomas Joly

Meurtre abominable de Lola : les quatre suspects sont des Algériens

Quatre suspects se trouvaient encore en garde à vue dimanche soir dans l’affaire du meurtre d’une enfant de 12 ans retrouvée dans une malle à Paris.

Dahbia B., une SDF de 24 ans dont la santé mentale pose question (et qui pourrait donc ne jamais être jugée…), serait à l’origine des atrocités commises sur la collégienne.

La piste d’un meurtre possiblement gratuit et insensé est privilégiée.

Recroquevillée, entravée, Lola porte une profonde blessure à la gorge, et son corps est marqué d’inscriptions. Selon l’autopsie, réalisée samedi, la mort est due à une asphyxie.

Les suspects (Dahbia B., Amine K., Friha B. et Rachid N.), tous nés en Algérie, pourraient être présentés ce lundi à un juge d’instruction en vue d’une mise en examen.

Kamel, son colocataire, ne croit pas qu’Amine K. ait pu se prêter aux actes de barbarie commis sur la victime.

« Nous sommes du même village en Algérie. Je l’ai accueilli chez moi parce que cela fait près de 20 ans que je suis en France. Il ne pose pas de problèmes. Il bricole à droite à gauche. Il est sans papiers. »

Source : http://lalettrepatriote.com

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Carburant : vers un blocage du pays… contre la volonté du peuple

15 Octobre 2022, 10:16am

Publié par Thomas Joly

Chaque événement récent révèle à la France son nouveau visage : celui du plus beau des pays sous-développés. Ainsi de la pénurie de carburant, avec sa France Mad Max, déjà décrite dans ces colonnes, ses voitures de flics qu'il faut pousser, ses stations-service contrôlées par des racailles...

Une des caractéristiques du tiers-monde est aussi la captation des privilèges par une élite. C'est le cas, n'en déplaise aux communistes Marque Repère qui habitent les plateaux télé, des employés des raffineries, et tout spécialement de ceux qui ont le bonheur d'appartenir à la CGT. Comme les ouvriers du livre, par exemple - la comparaison était très justement faite par Jean-Marie Colombani, sur France 24, ce jeudi 13 octobre -, les ouvriers des raffineries sont des privilégiés. Total a communiqué sur les hausses de salaire déjà consenties : elles ont fait bondir - voire vomir - les Français ordinaires, ceux dont le salaire médian tourne autour de 1.400 €. Si les employés des raffineries de Total ou Exxon ne gagnent pas tous 5.000 € par mois, ils sont quand même très bien payés.

Bref, la CGT, qui ne représente plus qu'elle-même, bloque le pays pour des salariés déjà aisés. En prime, les braves gens qui veulent travailler se font traiter de bourgeois : « la bourgeoisie en panique », tweetait, cette semaine, un député insoumis. Vraiment ?

Pendant ce temps, avec un art consommé de l'en même temps, Élisabeth Borne réquisitionne les grévistes, tandis que Bruno Le Maire incite Total à faire des efforts. On se souvient que le pays s'était enflammé en 2018 pour un carburant à 1,50 €. Désormais, les gens font patiemment la queue pour payer 2 € du litre, et même cela leur est refusé.

Un sondage Elabe sorti aujourd'hui, 13 octobre, affirme que 65 % des Français approuvent les réquisitions. On imagine que les 33 % qui se disent « pas d'accord » roulent à vélo ou sont en télétravail. Espérons que ce dernier soubresaut du cadavre soviétique est un des derniers du genre, et que la grève se terminera vite. Qu'on puisse se concentrer sur l'Ukraine...

Arnaud Florac

Source : http://bvoltaire.fr

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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen - N°678

14 Octobre 2022, 06:27am

Publié par Thomas Joly

Sujets abordés : la pénurie de carburant, échange de noms d'oiseaux à l'Assemblée nationale, le 49-3, l'évolution de la guerre en Ukraine, le risque de 3e Guerre mondiale, le marché de Noël à Strasbourg, les écolos-pastèque, la 14e Journée de Synthèse nationale.

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Samuel Paty : le double abandon

14 Octobre 2022, 05:54am

Publié par Thomas Joly

Deux ans. Cela fait deux ans que le professeur d’Histoire-Géographie, enseignant à Conflans Sainte-Honorine, est mort égorgé et décapité par un terroriste tchétchène. Le crime de ce professeur ? Avoir voulu débattre sur la laïcité avec ses élèves autour de caricatures du journal Charlie Hebdo. Jeté en pâture sur les réseaux sociaux, victime d’appels à la haine, lâché par sa hiérarchie et une grande partie de ses collègues, Samuel Paty est mort, abandonné.

Deux ans plus tard, alors que nous commémorerons son assassinat ce samedi, on peut raisonnablement se demander si sa mort tragique a été suivie d’effets, comme le souhaitait la patronne du Nouvel Obs Anne Rosencher, « J’ai cru, comme beaucoup, qu’un tel électrochoc allait faire reculer les intimidations islamistes, qui veulent imposer leurs normes et faire taire les professeurs. Hélas. » Hélas Samuel Paty est mort deux fois. Par le couteau d’un fou d’Allah et par l’inaction silencieuse des pouvoirs publics. Le ministre Pape Ndiaye a rendu publiques les attaques recensées et les « incidents » relatés dans les différents établissements. Les chiffres sont éloquents : 1859 signalements enregistrés depuis le 1er janvier dont 313 rien qu’au mois de septembre. Dont 54% relatifs aux « ports de signes et tenues ».

Cela va de la menace au port d’une tenue islamiste, de propos polémiques à promesses de mort. Ainsi, ce lundi, le lycée Georges-Brassens d'Evry-Courcouronnes, dans l'Essonne, a-t-il reçu un courrier adressé au proviseur mais visant un professeur d'histoire. Selon les informations de CNews, l'auteur a menacé de « lui faire une Samuel Paty », ajoutant : « les juifs on n'en veut pas dans des lycées ».
Et les incidents sont nombreux. On se souvient du professeur d’Histoire enseignant à Trappes, Didier Lemaire, qui disait avoir subi des menaces analogues en tirant la sonnette d’alarme sur l’état de la ville de Trappes, vitrine du communautarisme.

Une Éducation nationale en perdition

Il faut reconnaître que le Ministre Pap Ndiaye, s’il s’inscrit dans cette école de pensée gauchiste et woke, ne porte pas sur ses épaules cinquante ans de déconstruction de l’enseignement et la destruction méthodique de l’assimilation. D’ailleurs, il a publié sur son compte Twitter, une courte vidéo montrant tout l'hémicycle debout et applaudissant le professeur d'histoire. « Nous nous apprêtons à rendre hommage à Samuel Paty à l'occasion du deuxième anniversaire de son ignoble assassinat par un terroriste islamiste. Et j'ai une pensée émue pour lui, mon collègue, professeur d'histoire », a-t-il déclaré au micro de l'Assemblée nationale. Cela, c’était quelques heures après avoir été traité de communautariste par le député RN Frédéric Bocaletti qui a d’ailleurs écopé d’une sanction.

Hélas, si Pap Ndiaye se paye de mots, force est de constater qu’il ne règle pas les maux. Après avoir fait de l’éducation sexuelle à l’école une priorité de son mandat, on ne l’a entendu à aucun moment s’alarmer de ces tensions communautaires qui empoisonnent l’Éducation, dont les évènements en cours au Lycée Joliot-Curie de Nanterre est un symptôme visible. « Il y a objectivement une montée en puissance de signalements pour port de tenues et d'accessoires religieux, que l'on observe depuis un an, avec peut être une accélération entre-temps. Et donc c'est évidemment sur cette question que nous travaillons », a reconnu du bout des lèvres le successeur de Jean-Michel Blanquer. Pour l’instant, on n’en saura pas plus. Ce samedi, et à l’instigation du parti Reconquête, une manifestation contre l’islamisme à l’école est organisée Square Samuel Paty. Comme un symbole.

A l’instar de Charlie Hebdo lâché par une partie de la gauche et combattu par l’autre, Samuel Paty est réduit au silence, et il n’y a plus qu’une poignée de politiques pour s’en offusquer. Ils se taisent et les pierres se sont déjà cassé la voix. En vain.

Marc Eynaud

Source : http://bvoltaire.fr

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La CGT, l'ennemie du peuple et la complice du gouvernement

13 Octobre 2022, 17:15pm

Publié par Thomas Joly

La CGT, l'ennemie du peuple et la complice du gouvernement

À ceux qui voient les parasites de la CGT qui bloquent les raffineries comme des héros, qu'ils sachent que la véritable raison de leur grève est qu'ils n'ont pas supporté que Total Énergies fassent profiter l'ensemble des Français de leurs bénéfices colossaux avec une belle ristourne à la pompe. Ces crevards, qui ont touché en moyenne 9.000 € de primes d'intéressement depuis le début de l'année, qui se présentent comme d'altruistes syndicalistes au service des opprimés du grand capital, enragent que leur employeur ait fait ce geste de justice sociale pour les consommateurs plutôt que de leur filer encore plus de pognon.

Deuxièmement, à ceux qui imaginent que les grévistes font de gros sacrifices financiers en entamant une lutte glorieuse contre l'abominable patronat exploiteur du peuple, qu'ils sachent que le préalable à toute négociation de fin de grève de ce type est le paiement des jours de grève, ce qu'ils obtiennent quasi-systématiquement.

Cette engeance est l'ennemie du peuple et la complice du gouvernement qui semble tout mettre en œuvre pour laisser pourrir la situation.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Interview de Macron sur France 2 : chapeau, l’artiste !

13 Octobre 2022, 06:26am

Publié par Thomas Joly

Mercredi soir était diffusé « L'Événement », émission de France 2, premier numéro d'une série d'interviews politiques. À tout seigneur tout honneur, cette première était consacrée à un entretien avec Emmanuel Macron. En deux parties, nous précise-t-on : la seconde sera diffusée dans deux semaines.

Le thème choisi était « le monde en crise ». Ukraine, carburant, Iran, Arménie, climat : le Président a fait le job, à sa manière, c'est-à-dire avec pédagogie, mais en oubliant systématiquement plusieurs points importants. Sur l'Ukraine, nous allons continuer à armer le régime de Zelensky, tout en nous tenant loin de l'escalade, afin de ne pas devenir cobelligérants. Nous allons également continuer à livrer des canons, et quand il n'y en aura plus, ma foi, on se débrouillera. La coalition montée par la Russie et la Biélorussie arrache au Président une formule : le président biélorusse, dit-il, se prépare à mener une guerre « contre l'avis d'une bonne partie de son peuple ». Je ne me souviens pas qu'on nous ait demandé le nôtre.

Sur le carburant, lié au contexte, évidemment, comme les pénuries d'huile et de moutarde, par exemple, la France s'en tire bien. Comme sur les prix de l'énergie, d'ailleurs. Les graphiques le prouvent. Le reste, y compris la disparition de l'État dans les stations-service de banlieue, relève probablement du ressenti. Le Président souhaite la poursuite du dialogue social mais veut réquisitionner les salariés. En même temps.

Sur l'Arménie, ma foi, malgré les mises en garde de Sylvain Tesson, Emmanuel Macron estime avoir fait ce qu'il fallait : n'a-t-il pas reçu les chefs d'État arménien et azerbaïdjanais à Paris pour leur dire de faire la paix ? Et puis, on ne va quand même pas livrer des canons à l'Arménie. Ce n'est pas pareil.

Sur l'Iran, un petit mot sur l'universalité de la laïcité, preuve que les sorties de la gauche sur l'aveuglement occidental sont parfois vraies. Aveuglement double, d'ailleurs, puisque le Président se garde bien d'émettre un avis sur le port du voile en France.

Un détour par la récitation du catéchisme sur le climat et son urgence... et surtout, incidemment, de lourds appels du pied à une gouvernance européenne. On sait qu'Emmanuel Macron hésiterait entre le « coup de Medvedev », c'est-à-dire se représenter en 2032 après avoir trouvé un homme de paille pour l'intérim (la Russie a parfois du bon), et briguer la présidence d'hypothétiques États-Unis d'Europe. Avance-t-il ses pions ? Peut-être.

Au bilan, un numéro de voltige déjà vu mille fois, mais qui contient - une fois n'est pas coutume - une leçon macronienne pleine de sagesse : les Français, dit-il, attendent tout du chef de l'État. Il n'a pas dit ça comme ça, mais en creux, cela veut un peut dire ça : « Ce n’est pas au président de la République de faire les négociations d’entreprises », a-t-il dit exactement. C'est pas faux. Comme les Français attendent d'ailleurs beaucoup de l'État tout court. C'est même cela qui les anesthésie et doit les empêcher de se révolter. Et c'est d'ailleurs cela que vise sans doute le Président, en fin de compte, quand il aura vaincu les crises. En effet, son avant-dernière prise de parole définit bien son véritable objectif : financer notre modèle social. Celui-là même dont profitent des centaines de milliers d'étrangers qui arrivent chaque année sur notre sol, et qui maintient les Français pauvres dans un état de dépendance presque végétatif. Chapeau, l'artiste !

Arnaud Florac

Source : http://bvoltaire.fr

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Le Forum du PdF du jeudi 13 octobre

12 Octobre 2022, 17:29pm

Publié par Thomas Joly

Le Forum du PdF du jeudi 13 octobre

Dans le Forum du PdF du jeudi 13 octobre, Alexandre Hinger reçoit Jonathan Sturel, Maxime Leroy et Pierre-Nicolas Nups.

L'émission sera consacrée à la pénurie de carburant, à la guerre en Ukraine ainsi qu'à l'actualité politique.

C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram : https://t.me/partidelafrance

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Criminalité, islamisme conquérant, racisme antiblanc : une « guerre civile froide » ?

12 Octobre 2022, 06:52am

Publié par Thomas Joly

On connaît la formule : « Nommer un problème, c’est commencer à le résoudre. » Encore faudrait-il comprendre qu’en ce qui concerne la vie politique, l’objectif semble bien souvent consister non pas à résoudre des problèmes mais à faire croire qu’ils n’existent pas.

Prenez l’insécurité. Les médias le répètent, il n’y a pas de « problème », il y a un « sentiment » alimenté par les chaînes d’info et une extrême droite phobique. La guerre des mots est au cœur du combat politique et idéologique. Dans l'espace médiatique, les mots choisis ont souvent pour fonction de recouvrir le réel qu'ils sont censés désigner afin d'en modifier notre perception.

En juin dernier, BV dénonçait le silence entourant la mort d’Alban Gervaise, médecin militaire égorgé devant ses enfants. Comment convenait-il de qualifier l’auteur qui, d’après les services de police, s’était écrié, au moment des faits, « Allah Akbar » ? S’agissait-il d’un « déséquilibré » ou d’un « « terroriste islamiste » ?

Encore et toujours la guerre des mots. Et, bien entendu, au nom des intentions les plus nobles : ne pas « stigmatiser », ne pas alimenter un « climat de haine ». Pas de politique sans rhétorique ni sémantique. La « langue des médias », pour reprendre la formule d'Ingrid Riocreux, agrégée de littérature moderne et spécialisée dans la rhétorique des médias, illustre quotidiennement ce processus de déconstruction/reconstruction du réel à partir de la manipulation du langage.

Le sujet de la violence est emblématique de cette dénaturation. Cependant, même si, dans Libération, on continue à expliquer doctement que « la délinquance est stable depuis trente ans », le réel finit par déborder de toute part, rendant de moins en moins possibles les attitudes de déni.

Dans une enquête consacrée au « déchaînement de violence » qui s’est abattu récemment sur la ville de Nantes, l’hebdomadaire Marianne, le 8 octobre dernier, donnait la parole à un syndicaliste policier qui reconnaissait qu’un seuil avait été franchi et que les habitants se demandaient qui allait les protéger. Ce seuil, ce n’est pas seulement à Nantes mais dans toute la France qu’il a été franchi. Nice, Grenoble, Lyon, Bordeaux, Marseille, Paris, mais aussi les villes moyennes et, désormais, les communes rurales.

Or, cette évolution n’est pas seulement une affaire de chiffres. Derrières la multitude d’agressions individuelles et de violences collectives, une autre réalité se cache, bien plus inquiétante : celle de la montée en puissance d’une criminalité organisée qui étend son emprise sur des territoires de plus en plus nombreux.

Le 2 octobre dernier, Le Journal du dimanche publiait une enquête sur les villes moyennes rongées par le trafic de drogue. « Les narcos régionaux tissent leur toile », constatait le journal qui décrivait une « dérive à la marseillaise » sur des terres autrefois préservées.

On aurait cependant tort de réduire ces phénomènes à la seule problématique de la délinquance, car ces territoires font l’objet, parallèlement, d’une volonté de prise de contrôle idéologique par l’islam salafiste et frériste. C’est cette hybridation entre islamisme et criminalité organisée, démontrée dans les grandes affaires de terrorisme, qui donne à ces phénomènes un caractère profondément politique.

Les citadelles narco-communautaristes, pudiquement qualifiées de « quartiers sensibles », ne sont pas des « zones de non-droit » mais des espaces soumis à une normativité concurrente de celle de l’État. L’ordre public, les aides sociales, le règlement des conflits voire le prélèvement de l’impôt, sont assumés par de nouveaux acteurs qui s’emploient à prendre la place des services de l’Etat.

C’est dans cette perspective qu’il faut appréhender les « violences urbaines » qui ciblent à la fois la police, les pompiers ou même les médecins. Une stratégie d’enclavement encouragée à la fois par les réseaux criminels et le communautarisme islamiste. Ce « séparatisme » s’accompagne, dans le même temps, d’une dynamique conquérante qui se projette vers de nouveaux espaces : l’école, le sport, l’entreprise font l’objet d’offensives continues pour imposer un nouvel ordre et faire céder l’Etat ou des organismes privés.

Les élus aussi sont mis sous pression comme le rappelle la récente affaire de l’adjoint au maire socialiste des Mureaux, Boris Venon, victime de menaces de mort et qui s’est entendu dire : « Le blanc quitte ma ville, on est chez nous ici ».

Comment nommer cette situation ? Ce n’est plus la paix, ce n’est pas encore une confrontation généralisée. Une « guerre civile froide ».

Frédéric Lassez

Source : http://bvoltaire.fr

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Conseils énergétiques infantilisants : stop !

12 Octobre 2022, 06:11am

Publié par Thomas Joly

N'y-a-t-il que moi qui ai une envie irrésistible de tarter les journalistes d'État qui nous abreuvent de leurs conseils dérisoires pour réduire notre consommation d'énergie ? Cela fait déjà des années que la plupart des Français les appliquent, notre paupérisation ne datant pas d'aujourd'hui. Cette nouvelle secte du col roulé, qui a remplacé celle du Covid, est tout aussi insupportable.

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