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Le blog politique de Thomas JOLY

Et si Charles Aznavour commençait par montrer l’exemple ? (par Arnaud Raffard de Brienne)

7 Septembre 2015, 06:16am

Publié par Thomas Joly

Bobos pleins aux as, exilés fiscaux pérorant depuis leurs petits coins de paradis et autres grandes âmes généreuses (avec l’argent des autres), ils sont nombreux les donneurs de leçon mobilisés en faveur des immigrés illégaux que l’on nous somme d’accueillir contre toute logique, la plus élémentaire soit-elle.

Ainsi, Charles Aznavour, des bords du Lac Léman, à Saint-Sulpice plus précisément, nous exhorte-t-il à offrir « une future existence aux migrants en France » et à leur permettre de peupler nombre de villages qu’il prétend plus ou moins désaffectés. Du loin de sa retraite suisse a-t-il entendu dire que notre pays, celui qu’il a fui pour des raisons bien connues de l’administration fiscale, était surendetté pour plusieurs générations, ruiné pour des raisons qu’il semble inutile de rappeler ici, miné par un chômage endémique et une désindustrialisation qui n’en finit plus, ravagé par une paupérisation galopante et l’abaissement continu d’un système de protection sociale patiemment élaboré des décennies durant ?

Mais ne mettons pas systématiquement en doute sa bonne foi d’homme coupé du monde réel, isolé du commun des mortels et proposons lui plutôt une bonne action concrète et immédiatement profitable aux prétendus damnés de la terre qui se pressent à l’assaut de notre soi-disant eldorado.

Pourquoi Charles Aznavour ne montrerait-il pas l’exemple en accueillant quelques centaines d’immigrés illégaux, voire un millier ou deux, dans sa somptueuse propriété de Mouriès, à deux pas de Saint-Rémy-de-Provence, sise sur 40.000 m2 dans un environnement paradisiaque ? 40.000 m2 dans l’un des endroits les plus prisés de France, voici qui pourrait représenter un signal fort, un geste généreux sans pour autant mettre le chanteur sur la paille puisque l’on sait sa fortune estimée à environ 150 millions d’euros. Lui resteraient encore deux superbes maisons au bord du lac Léman qu’il nous dit appartenir à son épouse.

Alors, cher auteur de « La Bohème », un lointain souvenir sans doute, mettez en cohérence vos actes avec vos propos. Ne soyez ni matérialiste, ni pingre et, en votre qualité de damné de la pierre, tendez la main aux damnés de la terre. Vous voulez que nos concitoyens se ruinent plus rapidement encore ? Eh bien montrez l’exemple.

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

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Le Parti de la France était en lice pour la Sénatoriale partielle dans le Cantal

7 Septembre 2015, 06:09am

Publié par Thomas Joly

Sur une terre de mission, nos candidats Dominique Morel et Dominique Chalard font finalement jeu égal avec le candidat du Front Philippot-mariniste lors de l'élection sénatoriale partielle dans le Cantal.

Crédité de 7 voix de grands électeurs (élus municipaux, départementaux, régionaux et nationaux au nombre de 537) en septembre 2014, le néo-FN s'effondre à 2 voix au premier tour puis à une seule au second un an plus tard.

Dans un contexte d'omerta médiatique, nos candidats obtiennent donc une voix aux premier et second tours. Ce résultat constitue donc la pose de la première pierre dans le cadre d'un travail d'implantation qui ne fait que commencer.

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Un évêque français au cœur de l’enfer syrien (par Charlotte d'Ornellas)

7 Septembre 2015, 06:08am

Publié par Thomas Joly

Quatre ans et demi après le début de la guerre syrienne, Monseigneur Dominique Rey, évêque du diocèse de Fréjus-Toulon, était le premier évêque français à se rendre auprès des communautés chrétiennes éprouvées pour leur « dire en face le soutien et la communion de prière des chrétiens Français ».

C’est dans l’archéparchie de Homs que l’évêque s’est rendu pendant deux jours, avant de passer quelques heures dans le village majoritairement chrétien de Maaloula, occupé par les islamistes pendant huit mois avant d’être libéré en avril 2014.
Au terme de son voyage, monseigneur Rey a promis de ne pas oublier les Syriens : dans trois mois, c’est l’archevêque grec-catholique de Homs, Monseigneur Jean-Abdo Arbach, qui se rendra à Toulon pour acter le jumelage des deux diocèses : « le but est d’apporter un soutien humain, spirituel mais également concret en soutenant ceux qui oeuvrent déjà sur place », explique-t-il.

C’est grâce à l’aide de l’association française SOS Chrétiens d’Orient que l’évêque a pu se rendre en Syrie, découvrir lui-même les séquelles d’une guerre dramatique. « J’ai constaté de manière sensible le martyre de la pierre et de la chair chez les chrétiens mais également dans le reste du peuple syrien : j’ai pu voir des immeubles effondrés sur un passé, une mémoire et une fraternité qui existaient réellement », confie Monseigneur Rey à son retour en France, avant d’ajouter : « ce peuple est un peuple crucifié, auquel nous sommes liés par l’Histoire, la mémoire collective mais également spirituelle, et nous ne pouvons rester indifférent ».

A Qousayr ou à Rableh, Monseigneur Rey a pu découvrir des villages presqu’entièrement détruits dans lesquels quelques familles commencent à revenir, après avoir fui les combats. Tout est à reconstruire. A quelques kilomètres, dans la ville de Homs qui reprend vie depuis sa libération, en 2013, l’évêque a pu rencontrer les différentes communautés chrétiennes qui ont choisi de rester.
Ce sont eux qu’il venait voir et soutenir : « Nous avons accueilli des familles irakiennes et syriennes en France, mais je suis venu ici apporter mon soutien à ceux qui ont l’immense courage de rester ».
« Vous êtes l’œil et le témoin de la situation en Syrie. Transmettez ce message de paix en France : nous n’avons qu’un souhait, que la Syrie retrouve son visage humain », ont répondu les personnes qu’il rencontrait, et qui confient régulièrement leur amertume vis à vis de la politique menée par le gouvernement français dans le pays.
Dans chaque village visité, ce sont les enfants qui ont accueilli l’évêque en chantant leur fierté chrétienne et leur désir de paix. « Au milieu de cet enfer, c’est malgré tout la foi qui fait tenir debout des communautés admirables de courage. La foi des chrétiens et celle des religieux qui se battent pour conserver une présence chrétienne dans le paix malgré la peur d’un avenir incertain », se souvient encore Monseigneur Rey.

A Maaloula, il a rencontré les sœurs et le père de l’un des trois jeunes hommes assassinés parce qu’ils refusaient de se convertir à l’islam. Les djihadistes les ont fait sortir de la maison en leur promettant la vie sauve, avant de les abattre un à un parce qu’ils avaient choisi de rester chrétiens. Le silence et la prière ont accompagné le récit secoué de larmes de la jeune sœur d’Antoine, l’un de ces martyrs.

« Leur fidélité est un message de foi pour nous… Qu’avons-nous fait de notre foi amollie ? », interroge l’évêque à son retour en France.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Contre-manifestation anti-migrants à Nantes par 7 courageux militants

6 Septembre 2015, 18:47pm

Publié par Thomas Joly

Lors d'un rassemblement en faveur de l'invasion migratoire organisés par les habituels collabos de gauche et d'extrême-gauche à Nantes, 7 courageux militants ont contre-manifesté pour dire non à l'invasion et à la manipulation de l'opinion par l'émotion. Ils ont tenu tête à plus d'une centaine de gauchistes crasseux qui vociféraient comme des hyènes enragées...

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Compte-rendu de la conférence de Guillaume Cuvelier à Amiens

6 Septembre 2015, 17:59pm

Publié par Thomas Joly

Compte-rendu de la conférence de Guillaume Cuvelier à Amiens
Compte-rendu de la conférence de Guillaume Cuvelier à Amiens
Compte-rendu de la conférence de Guillaume Cuvelier à Amiens
Compte-rendu de la conférence de Guillaume Cuvelier à Amiens
Compte-rendu de la conférence de Guillaume Cuvelier à Amiens
Compte-rendu de la conférence de Guillaume Cuvelier à Amiens
Compte-rendu de la conférence de Guillaume Cuvelier à Amiens

Vendredi 4 septembre à Amiens, Guillaume Cuvelier, militant nationaliste, donnait une conférence qui avait pour thème : Ukraine, les nationalistes face au retour de la guerre en Europe.

C'est tout d'abord Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, qui a pris la parole pour faire un point rapide sur l'actualité de la droite nationale et sur l'actualité politique notamment en revenant sur la submersion migratoire et la lâcheté de nos gouvernants. Il en a également profiter pour présenter la nouvelle Déléguée départementale du Parti de la France pour la Somme, Sabrina Le Corronc.

Guillaume Cuvelier s'est ensuite livré à un témoignage de son engagement au Donbass particulièrement passionnant qui a captivé l'auditoire pendant 1h30. Son récit de cette guerre civile européenne a permis d'éclairer le contexte, les conditions et les coulisses de ce conflit. Sa conclusion fut que, de quel côté que ce soit, ce sont les nationalistes qui sont les soldats les plus efficaces et les plus valeureux.

La réunion s'est terminée par une distribution de matériel de propagande du Parti de la France puis enfin par un repas au restaurant pour ceux qui le souhaitaient poursuivre les échanges avec les orateurs.

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L’image choc d'Aylan conforte la politique anti-migrants de l’Australie

5 Septembre 2015, 09:48am

Publié par Thomas Joly

« Les images insoutenables d’un enfant syrien mort noyé rappellent la nécessité de mettre fin aux activités des passeurs en mer et confortent la politique d’immigration extrêmement restrictive de Canberra », a déclaré vendredi le Premier ministre australien.

« Les photographies du corps d’Aylan Kurdi, âgé de trois ans, échoué sur une plage turque au moment où l’Europe est confrontée à la plus grave crise migratoire depuis la Seconde guerre mondiale, illustrent le caractère malfaisant du trafic d’êtres humains », a déclaré Tony Abbott à la presse.

Après son arrivée au pouvoir en septembre 2013, son gouvernement conservateur avait organisé par l’intermédiaire de l’armée le refoulement systématique des bateaux de migrants qui arrivent dans ses eaux.

« C’est une photographie absolument déchirante que (…) pas un seul parent ne peut voir sans se sentir dévasté », a dit le chef du gouvernement.

« Je sais qu’il y a de l’intérêt pour la politique mise en place par l’Australie parce que si on met fin à l’activité des trafiquants, alors forcément il n’y a plus de décès en mer. La chose la plus humaine à faire à moyen et long terme c’est anéantir ce trafic malfaisant. »

Source : http://www.fdesouche.com

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De l’État islamique aux émirats, le plan non concerté de submersion de l’Europe (par Aristide Leucate)

5 Septembre 2015, 09:33am

Publié par Thomas Joly

C’est dorénavant une funeste évidence. Le continent européen – ou, tout du moins, son poreux espace « Schengen » – subit les assauts d’envahisseurs pacifiques mais aux intentions bellicistes à retardement. Invasion constitutive, qui plus est, de la plus grande catastrophe écologique humaine du XXIe siècle.

L’opinion publique n’a pas voix au chapitre et ronge son frein, tandis que d’après de récents sondages, 60% des Français seraient hostiles à cet « accueil » forcé – mais encouragé par la complaisante impéritie de nos gouvernants – de Big Other.

Lorsque l’émotionnel tient lieu de politique, celle-ci n’existe tout simplement plus, quand elle requiert, tout à la fois une nécessaire prise de distance d’avec l’évènement – aussi tragique soit-il – et un discernement méthodique. Nos compatriotes endormis, sidérés ou tout simplement happés par les cadences de la vie quotidienne, sont tenus délibérément captifs des filets de l’instantanéisme médiatico-compassionnel, inhibant toute pensée rationnelle.

Ainsi, l’on a ignoré les menaces d’un État Islamique déterminé à porter le fer et le sang, aux fins d’islamisation, dans une Europe, désormais avachie, pleutre et honteuse, conçue comme le « Dar-al-harb – « maison de la guerre », dans la théologie coranique. Les mahométans du calife Abou Bakr al-Baghdadi avertissaient pourtant, en début d’année, qu’ils enverraient 500.000 « migrants » sur nos côtes.

Oubliée, également, la mise en garde prophétique d’un Mouammar Kadhafi prévenant, en 2011, ses homologues européens : « si vous n’aidez pas la Libye, vous aurez Al-Qaida aux portes de la Méditerranée, à 50 km des frontières de l’Europe ». Mais, par la nocive congruence sarko-béachélienne de l’incompétence et du dilettantisme, on sait ce qu’il en est advenu de ce non-État gangréné par une islamo-criminalité des plus violentes.

Hypocritement mise de côté, là encore, l’attitude obséquieuse du gouvernement français, de Sarkozy à Hollande, à l’égard des pétromonarchies satrapique du Golfe qui rachètent, à la découpe, des pans entiers de nos villes et de notre patrimoine national. L’Arabie saoudite, le Qatar, le Koweït, les Émirats arabes unis, Bahreïn, Oman, joyaux de l’avant-garde démocratique, n’ont jamais daigné lever le petit doigt pour accueillir leurs frères en islam. Et pour cause, puisqu’en utiles et tacites complices de Daesch, n’ont-ils aucun intérêt à ouvrir leur bras à des coreligionnaires qui, tolérés le temps du pèlerinage à la Mecque, ne leur apporteront strictement rien, sauf à faire vaciller leurs régimes. Et puis, quelle que soit l’obédience, la conversion du monde demeure un impératif islamique.

C’est précisément là que le bât blesse. Les élites européennes et, plus largement, occidentales, s’obstinent dans une criminelle déraison qui les empêche de voir une réalité s’inscrivant dans la longue histoire. Les racines musulmanes de l’Europe, telles qu’un Chirac, en bon libéral progressiste inculte, prétendit qu’elles existassent, sont malheureusement déjà plantées. Depuis près de quarante ans et l’instauration du regroupement familial, nous sommes rentrés en état de soumission (islam en arabe). De Doha aux confins de la vallée de l’Euphrate, jusqu’à Benghazi, le message a été parfaitement assimilé.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Derrière la FNSEA et Manuel Valls, les agriculteurs cocus… (par Marie Delarue)

5 Septembre 2015, 09:26am

Publié par Thomas Joly

Jeudi, 1.500 tracteurs et 91 bus sont entrés dans Paris, soit par Issy soit par Ivry, comme chantait Reggiani… Trois jours à 35 km/heure sur l’autoroute pour rallier la capitale depuis leur cour de ferme. Et trois jours pour y retourner, la larme à l’œil et la rage au cœur.
« La France ne lâchera pas ses agriculteurs. Le désespoir, l’humiliation, la colère, nous les entendons. Et avec le gouvernement (…), nous y répondrons », leur a assuré le Premier ministre. Charles Péguy, si tu l’entends…

Réforme en juillet au temps des moissons, réforme en septembre au temps des vendanges… et réforme en novembre, au temps des semis ? C’est à craindre, car les mesures annoncées hier par un Manuel Valls adressant aux éleveurs « un message d’amour » (sic) ne changeront pas grand chose ou souvent même rien du tout à leur sort. Le romantisme bucolique et les vers de mirliton ne font pas une politique, tout juste de minables calculs électoraux : différer pour mieux sauter, en espérant que d’autres sauteront à votre place une fois passées les élections…

« Trois milliards d’euros en trois ans investis dans l’agriculture et l’élevage » a dit Manuel Valls. En réalité ce n’est rien d’autre que ce qui a été promis en juillet, un peu majoré : « année blanche » pour le remboursement des dettes des plus étranglés, prise en charge des intérêts d’emprunt et des cotisations sociales, moratoire sur les réglementations tatillonnes… En somme, il est urgent d’attendre. On verra – ou pas – après les élections.

Un seul s’est félicité de ces accords « emportés de haute lutte » : c’est Xavier Beulin. Un seul aussi a été hué par une partie de la foule aux cris de « Vendu ! » ou « Démission ! » : c’est le même Xavier Beulin, patron de la FNSEA, syndicat qui tient dans ses mains les rênes de l’agriculture française depuis… 1964. D’un gouvernement à l’autre, en jouant à « je te tiens tu me tiens par la salopette… »

Il est vrai qu’à regarder ce bonhomme qui dirige le syndicat depuis 2010, on se demande s’il est bien qualifié pour représenter les sous-smicards de la profession. En 2011, d’ailleurs, Isabelle Saporta dénonçait dans « Le livre noir de l’agriculture » l’entreprise de sape de ce syndicat « antipaysan » qu’est la FNSEA. Quant à son président, son fantastique parcours apporte à lui seul un brillant éclairage sur sa politique.

Certes, Xavier Beulin connaît le métier, ayant repris à 18 ans la ferme paternelle au décès de son père. Mais à 56 ans aujourd’hui, c’est un gros céréalier et un businessman avisé. Il dirige toujours en Beauce, avec ses frères, une exploitation céréalière de 500 hectares qui fait du blé, du colza, du tournesol, de l’orge. Au moins il n’y fait pas du maïs pompeur d’eau… Mais il est aussi et surtout, depuis 15 ans, président du groupe Avril, géant de l’industrie agroalimentaire, numéro 1 français des huiles avec les marques Lesieur et Puget, producteur des œufs Mâtines, des marques Sopral, Terrial, Theseo, Novaol, Abera (viande de porc), Adonial, Expur… Il dirige également Sofiproteol, le « partenaire stratégique de l’agro-industrie et de l’agroalimentaire », dit sa pub, dont la filiale Farmor (Glon-Sanders), à Guingamp, importe des centaines de milliers de tonnes de poulets industriels brésiliens produits dans des conditions ignobles. Bref, comme le disait Périco Légasse dans une interview au Figaro (22/07) : « D’une main j’envoie mes éleveurs de volailles faire des actions commandos, d’une autre j’importe en masse ce qui les conduit à la ruine. »

Entre biocarburants et aliments pour animaux vendus aux agriculteurs, le chiffre d’affaires du groupe Avril que dirige Xavier Beulin est de 7 milliards d’euros. Effectifs : 8.000 salariés.   

Dernière précision : Xavier Beulin préside aussi le Grand Port Maritime de La Rochelle, qui est… le 2e port français pour l’exportation de céréales. Parce qu’on n’est jamais bien servi que par soi-même, c’est connu.

Question : en quoi ce monsieur est-il qualifié pour représenter à la table des négociations des petits paysans à 1.000 euros par mois pour 70 heures de travail semaine ??

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Le père de l’enfant noyé ne fuyait pas la guerre, il voulait se refaire les dents en Europe

4 Septembre 2015, 06:39am

Publié par Thomas Joly

D'après sa soeur qui vit au Canada, le père de d'Aylan ne fuyait pas la guerre, il vivait en Turquie depuis 3 ans et voulait rejoindre l’Europe pour se faire refaire les dents !

Source : http://www.fdesouche.com
 

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L’Europe se suicide en ne stoppant pas cette immigration, prévient Vaclav Klaus, ex-président tchèque

4 Septembre 2015, 06:19am

Publié par Thomas Joly

L’ancien président eurosceptique tchèque Vaclav Klaus n’a pas apprécié les leçons de morale du chef de la diplomatie française Laurent Fabius qui avait récemment jugé « scandaleuse » l’attitude de certains pays d’Europe de l’Est à l’égard des réfugiés.

« Les déclarations du ministre français des Affaires étrangères et d’un grand nombre d’autres politiciens ont attiré mon attention et m’ont irrité », a déclaré Vaclav Klaus, chef de l’Etat tchèque entre 2003 et 2013, au site web du journal Dnes.

« Si l’Europe veut commettre un suicide en recevant un nombre illimité de migrants, qu’elle le fasse, mais sans notre accord », a-t-il martelé. « Nous devrions dire un « non » résolu ».

« En attendant que l’Europe ose dire que l’immigration n’est pas un droit de l’Homme, le temps passe et la situation devient toujours plus menaçante », a encore averti Vaclav Klaus, soulignant que le « mode de pensée (de l’UE) doit changer ».

Les Premiers ministres de quatre pays d’Europe centrale (Hongrie, Pologne, Slovaquie, République tchèque) se réuniront le 4 septembre à Prague, pour se pencher en commun sur l’actuelle déferlante migratoire.

Source : http://www.medias-presse.info

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Et maintenant, ils s’attaquent à l’école maternelle… (par François Teutsch)

4 Septembre 2015, 06:15am

Publié par Thomas Joly

Depuis le XIXe siècle, tout régime qui veut s’implanter durablement dans notre pays cible en priorité les enfants, via l’École. La IIIe république a magnifiquement manipulé les consciences, et convaincu un pays en majorité monarchiste que seules les institutions républicaines étaient légitimes. La gauche s’en souvient. Les idéologues de la rue de Grenelle savent que, par l’École, la pensée dominante infuse les intelligences et s’impose finalement comme une vérité d’autant plus incontournable qu’elle a détruit les derniers anticorps capables de la combattre.

L’enseignement de l’Histoire et de la géographie ont fait les frais, en premier lieu, de cette politique : plusieurs générations élevées après 1970 ont été coupées de leurs racines. La littérature française, les langues anciennes, la découverte des merveilles artistiques de la civilisation européennes, tout cela a disparu – non en droit, mais en fait – au profit d’un magma multiculturel rendant impossible l’expression d’une pensée structurée et appuyée sur des connaissances solides.

Le régime socialiste s’attaque désormais à un morceau de choix : l’école maternelle. Plus les cerveaux sont jeunes, plus ils sont malléables…

L’idée centrale est la suivante : la maternelle ne doit plus être « primarisée ». Selon l’inspection générale, les programmes accordaient une trop grande place à la préparation de la lecture et de l’écriture au détriment d’autres acquisitions. Voilà bien le problème ! Les syndicalistes ne s’en cachent pas : à l’arrivée en CP, il existe trop de différences entre les enfants qui savent déjà presque lire et les autres.

Quels autres ? Ceux qui ont développé d’autres aptitudes, qui ne sont pas malins, qui sont un peu en retard, et surtout ceux qui ne parlent pas français au sein de leur famille ou – hélas !- qui, petits français de souche, n’ont jamais vu un livre à la maison ! Comme d’habitude, les nombreux enfants qui connaissent leur alphabet et commencent à comprendre le B-A BA de la lecture sont priés de rentrer dans le rang. Pas de tête qui dépasse en Socialie. Un refrain connu depuis 1792.

Puisqu’il sera désormais interdit de pré-apprendre à lire en grande section, la maternelle « retrouvera sa vocation » selon le patron du SNUipp. C’est-à-dire « Socialiser les enfants ». Gardons-nous d’en sourire, le jeu de mot n’est qu’apparent. Car il dissimule une volonté implacable de renforcer le rôle éducatif de l’école – normalement dévolu aux parents- au détriment de l’instruction, c’est-à-dire l’apprentissage de connaissances. Comme l‘ont fait tous les régimes totalitaires.

Socialiser un enfant, c’est « l’apprentissage de règles, la capacité à répondre à des consignes et à supporter des contraintes… », selon le président du Conseil supérieur des programmes. C’est-à-dire assurer l’éducation la plus élémentaire qui relève de la toute petite enfance en famille. C’est aussi lui inculquer le fameux « Vivre-ensemble » et le préparer au bourrage de crâne que ses aînés du CP subiront dès cette année avec la « morale laïque » et les « valeurs de la république » qui deviennent obligatoires dès 6 ans…

France ou URSS ? On sait comment la seconde a terminé. « La vérité vous rendra libre » disait Saint Jean, repris par Soljenitsyne. Toute société fondée sur le mensonge s’écroule un jour. Notre tour viendra et il ne restera de ces folies que poussière.

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Tsunami de racisme anti-blanc à l’occasion de la rentrée des classes

4 Septembre 2015, 06:09am

Publié par Thomas Joly

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