Le blog politique de Thomas JOLY
Président du Parti de la France
Guy Jovelin, candidat dans la 1ère circonscription du Tarn-et-Garonne
La députée UDR du Tarn-et-Garonne Brigitte Barèges a perdu son mandat parlementaire suite à la décision, rendue vendredi 11 juillet 2025 par les gnomes du Conseil constitutionnel, de déclarer l’ancienne maire de Montauban inéligible de tout mandat pour une durée d’un an.
Une élection législative partielle sera donc organisée dans la 1ère circonscription du Tarn-et-Garonne au début de l'automne.
Guy Jovelin, notre Délégué pour l'Occitanie, portera les couleurs du Parti de la France lors de cette élection, afin de faire entendre la droite nationale non-reniée.
Nouvelle-Calédonie : rien n'est joué !
Si les autorités françaises – Manuel Valls en Tête -, croyaient avoir enterré le problème calédonien en signant le 12 juillet dernier un accord révolutionnaire, proposant la création d’un « État calédonien au sein de la République française », elles en seront pour leurs frais. Déjà, des voix d’opposants s’élèvent sur le caillou, telles celles, contradictoires, de Philippe Blaise, Premier vice-président de la province du sud – Nouméa et ses environs, au sens large du terme -, et d’une certaine Mélanie Atapo, présidente de « l’Union des syndicats des travailleurs Kanaks et des exploités » (sic !).Certains leaders des indépendantistes du FLNKS parlent, aussi, de « trahison », et désavouent leurs représentants à Paris, qui ont signé l’accord avec des « loyalistes », tout aussi critiqués par leur camp.
« Un long fleuve qui ne sera pas tranquille » !
D’abord, qu’est-ce qu’un « État » ? Sa définition juridique est, à peu près, la suivante : « personne morale de droit public détentrice de la souveraineté »…Première difficulté, comment organiser un État différent de l’État français, tout en l’intégrant au sein de la République ? Quel casse-tête pour un étudiant en droit et, même, pour un professeur agrégé de droit constitutionnel ! Question connexe, « qui portera le pantalon », en l’occurrence, qui aura le dernier mot en matière financière et de, justement, souveraineté, ce concept recouvrant les pouvoirs régaliens : justice, police, défense et diplomatie ? On parle même d’une « nationalité calédonienne ». Les Caldoches et les Kanaks auront-ils, dans ce cas, un passeport différent de celui de la République française ? Beaucoup de questions sans réponses, on évolue en plein brouillard. Il est prévu sur place un référendum en février 2026 – ce ne sera jamais que le cinquième, tous les précédents ayant accouché d’un « non » à l’indépendance -, et, selon les résultats, la convocation du Parlement en congrès, pour modifier la constitution et acter la création de cette nouvelle fameuse entité politique, différente de la France, mais tout en y étant . Comprenne qui pourra !
« État associé » ?
Certes, il y a des exemples d’États associés, les îles Cook et Niue avec la Nouvelle Zélande - des confettis dans l’océan Pacifique très faiblement peuplés -, et Porto-Rico avec les Etats-Unis, pour les plus connus. Mais il ne faut pas se leurrer, la création d’un « État » ne peut déboucher, à terme, que sur l’indépendance. Si Porto-Rico n’a pas encore choisi cette voie, c’est qu’une majorité de ses habitants aspire à devenir citoyens américains de plein droit, ce que refuse, pour l’heure Washington, pour des raisons économiques, démographiques et migratoires. L’île des Caraïbes est entre deux chaises, situation parfaitement inconfortable. Est-ce ce que nous voulons pour la Nouvelle-Calédonie encore française ?
Un dangereux précédent
D’autre part, accorder ce statut à la Nouvelle-Calédonie, serait ouvrir la boite de Pandore. Quels arguments pourrions-nous opposer au gouvernement de la Polynésie française pour refuser ce statut, ou aux îles des Antilles, pire, aux autonomistes corses ? Ce serait la porte ouverte à des revendications sécessionnistes qui ne manqueraient pas de fleurir ici ou là, même dans l’hexagone. Ayons toujours présent à l’esprit que les termites du séparatisme islamique, régional ou ethno-linguistique , sont toujours à la manœuvre . La seule solution raisonnable - nous l’avons déjà dit ici -, serait une partition du « Caillou ». La province du nord et celle des îles formant une Kanaky indépendante, liée par des accords de coopération avec la France, et la transformation de la province du sud, en un département d’outre-mer. On ne peut que s’indigner et combattre cette nouvelle reculade du pouvoir macronien, qui n’en n’est pas à une trahison près de la France !
Jean-Claude Rolinat -Membre du Bureau politique du Parti de la France
Dépenses militaires : l’illusion du sursaut patriote
L’annonce d’un doublement du budget de la Défense aurait pu, en d’autres temps, apparaître comme une mesure salutaire. Oui, notre armée a cruellement besoin de moyens, après des décennies de coupes budgétaires dictées par l’idéologie mondialiste et pacifiste de la classe dirigeante. Mais ici, il ne s’agit pas d’un sursaut patriotique. Il s’agit d’un réflexe atlantiste, fondé sur un fantasme : la soi-disant menace russe. Une pure mise en scène pour justifier des dépenses militaires qui, en réalité, ne font que combler le gouffre abyssal de nos retards.
Et avec quel argent, Monsieur Macron ? Vous jurez ne pas vouloir creuser la dette alors qu’elle dépasse déjà les 3.500 milliards d’euros ! Pendant ce temps, vous continuez de subventionner l'invasion migratoire et de maintenir en vie un système de retraites voué à la faillite, fondé sur une solidarité forcée qui plombe le pouvoir d'achat des actifs. Le peuple français n’est pas dupe. Il sait que cet affichage martial cache mal votre impuissance à défendre la vraie France, celle qui souffre, celle qu’on oublie.
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Dreyfus : la diversion mémorielle d'Emmanuel Macron
12 juillet 2025 : Emmanuel Macron inaugure une « journée nationale de commémoration » pour la réhabilitation d’Alfred Dreyfus. Encore une. À croire que les fantômes de la Troisième République gouvernent l’Élysée. Qui, aujourd’hui, se lève le matin en pensant à l’affaire Dreyfus ? Qui, en dehors de quelques agrégés de Sorbonne en mal de tribune, se passionne encore pour cette vieille affaire bouclée depuis plus d’un siècle ?
Mais le Président, en maître de l’enfumage symbolique, préfère s’occuper des morts d’hier que des vivants d’aujourd’hui. La France s’effondre, l’autorité se dissout, la France est submergée d'allogènes, le pays est devenu un coupe-gorge et lui fait des couronnes de laurier à un capitaine de 1894...
Et puis, entre nous, tout cela est bien commode. En martelant le récit de l’innocence immaculée de Dreyfus, on sanctifie une version officielle de l’Histoire et on verrouille tout débat. Gare à celui qui ose lever un sourcil : il sera cloué au pilori du « révisionnisme ». L’État moral veille.
Pendant ce temps, l’antisémitisme moderne, celui qui crie « mort aux Juifs » dans les cortèges, ne vient pas de vieux pamphlets jaunis mais bien d’un nouvel antisémitisme importé, islamisé, véhiculé dans les bagages d’un communautarisme devenu hégémonique. Mais là, silence radio. Pas touche. Il ne faut pas stigmatiser.
En somme, Dreyfus, c’est l’alibi chic, consensuel, éternel. Le voile pudique sur les lâchetés du présent. Pendant que la République en putréfaction honore ses héros d’hier, elle abandonne le peuple français qui doit survivre dans un pays qu'il ne reconnait plus.
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Rediffusion du Forum du Parti de la France du 11/07/25
Accord migratoire franco-britannique : la trahison continue
Le Premier Ministre britannique, Keir Starmer, a annoncé un accord avec Emmanuel Macron pour permettre le renvoi en France des migrants interceptés en tentant de traverser la Manche. Derrière ce vernis diplomatique, c’est une mascarade sinistre qui se joue, une nouvelle preuve que ni Londres ni Paris n’ont la volonté de stopper l’immigration illégale : ils l’organisent, ils l'encouragent, ils l’institutionnalisent !
Concrètement, chaque tentative de franchissement de la Manche échouée se traduira par une réintégration en France. Et qu’adviendra-t-il de ces clandestins ? Rien. Ils resteront sur notre sol, hébergés, pris en charge, prêts à retenter leur chance. Pire : pour chaque migrant intercepté, un autre bénéficiera de l'asile en Grande-Bretagne. Résultat ? La France devient un gigantesque camp de transit, un sas permanent de submersion migratoire pendant que le Royaume-Uni accueillera toujours autant de migrants, voire plus.
Dans cet accord minable, pas un seul migrant ne sera renvoyé dans son pays d’origine. Pas un seul ne sera expulsé hors d’Europe. C’est une gestion purement comptable et cynique. Macron et Starmer n'ont qu’un objectif : faire tenir les digues de l’immigration à tout prix, même si c’est au détriment du peuple français.
Le Parti de la France, lui, est clair : toute personne entrée illégalement sur notre sol sera expulsée, sans exception, quel que soit le motif. Notre pays cessera d'être le dépotoir migratoire de l'Europe.
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Votre maison est-elle trop grande ?
L'INSEE vient de publier une étude recensant les logements « sous-occupés » en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères.
C'est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique : fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l'ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons « trop confortablement ».
On nous dit que c’est pour « optimiser l’usage du parc immobilier ». En novlangue, cela signifie : rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la « sous-occupation » pour mieux financer leur grande lubie : l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs : derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le grand remplacement foncier.
Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami ? Quelle indécence ! Une pièce vide ? Une trahison républicaine !
Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure : leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Le RN paie aujourd’hui le prix de sa compromission
Hier matin, la brigade financière, accompagnée de deux juges d’instruction, a procédé à la perquisition du siège du Rassemblement National. Ce nouvel épisode judiciaire s’inscrit dans une longue série de dérives qui démontrent une chose claire : lorsqu’on se vend au Système, on finit par en subir les pires conséquences.
Le RN, en reniant ses fondamentaux, en abandonnant la ligne de rupture avec le Système et en préférant les salons dorés de la République aux luttes populaires, récolte aujourd’hui les fruits amers de cette trahison. La compromission finit toujours par se retourner contre ceux qui croyaient pouvoir composer avec les forces qu’ils prétendaient combattre.
Marine Le Pen, en s’agenouillant face à l’ordre établi, en refusant de censurer la nomination de François Bayrou — symbole assumé de la continuité du régime Macron — a laissé passer une occasion majeure de bloquer la machine institutionnelle du pouvoir. Cette inaction, cette volonté de respectabilité dans le cadre pourri de la Ve République, a marqué le début d’une stratégie de reddition qui se paie aujourd’hui au prix fort.
Pire encore : c’est le Rassemblement National lui-même qui a rendu possible l’accession de l’ignoble Richard Ferrand à la tête du Conseil Constitutionnel, une institution censée garantir l’État de droit mais devenue un bastion d’impunité pour les puissants. Ferrand, condamné pour prise illégale d’intérêts, visé à plusieurs reprises pour des faits graves, incarne à lui seul cette République des copains et des corrompus. Là encore, le RN s’est abstenu, a baissé la tête et a trahi l’espérance populaire qu’il prétend incarner.
Il n’y a aucune stratégie viable face au Système qui ne soit celle de l’affrontement frontal, déterminé, sans compromission. Le combat doit être mené avec la tête haute et les mains propres, comme le faisait le Front National de Jean-Marie Le Pen qui, malgré toutes les persécutions politiques, n’a jamais été empêtré dans ce genre d’affaires judiciaires sordides.
L’heure est grave. Il est temps de revenir à une ligne claire, de rupture totale avec ce régime en décomposition, sans calculs électoralistes ni soumission au simulacre institutionnel. Le peuple français mérite une opposition digne, incorruptible, intransigeante. Tout le reste n’est que reniement, carriérisme et lâcheté.
Le Parti de la France est aujourd’hui le seul parti qui combat ouvertement le Système et qui ne se vendra jamais aux forces de la décadence. Fidèle à la Nation, fidèle au peuple, fidèle à ses principes : notre ligne est droite, notre parole est libre, notre combat est total.
Maxime Morlon - Secrétaire général adjoint du Parti de la France
Macron à Londres : l’errance d’un président impopulaire chez ses clones mondialistes
Emmanuel Macron s’est envolé, encore une fois, pour l’étranger. Cette fois, direction Londres, avec l’ambition affichée de « réchauffer les relations franco-britanniques ». Mais qui est encore dupe ? Derrière les sourires figés et les poignées de main molles, c’est un théâtre d’ombres qui se joue. Car Macron, comme à son habitude, fuit. Il fuit la colère populaire qui gronde en France. Il fuit la réalité.
Il va chercher à l’étranger un semblant de légitimité, une stature de chef d’État qu’il a perdue chez lui. Mais quel est donc ce Royaume-Uni qu’il vient courtiser ? Une Grande-Bretagne désormais entre les mains de Keir Starmer, un socialiste cosmétique, un technocrate sans vision, sans verbe, sans colonne vertébrale. Autrement dit, le double parfait de Macron. Même obsession pour l’Ukraine, même laxisme sur l’immigration, même déconnexion totale avec les peuples qu’ils prétendent représenter.
Et pour couronner ce tableau de décadence, c’est Charles III, le roi sans règne, qui reçoit notre président. Charles, incarnation parfaite de ce progressisme mou qui mine nos civilisations européennes. Un roi woke, écolo-bobo, qui fait plus de conférences sur le climat que d’efforts pour défendre l’héritage de son pays.
Alors oui, cette rencontre a un sens. Celui de la décadence européenne. Deux dirigeants impopulaires, coupés de leurs peuples, qui s’auto-congratulent dans les salons dorés pendant que leurs nations se désagrègent. L’un et l’autre s’acharnent à ouvrir toujours plus les frontières, à sacrifier la souveraineté nationale, à dilapider l’héritage des siècles.
Il est temps que Français et Britanniques se réveillent. Il est plus que temps que ces apparatchiks mondialistes, aussi lisses qu’inefficaces, soient balayés par la volonté populaire.
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Philippe, Buzyn, Véran : non-lieu pour les complices de la tyrannie sanitaire
La commission d'instruction de la Cour de justice de la République a tranché : non-lieu pour Édouard Philippe, Agnès Buzyn et Olivier Véran. Une décision attendue, presque prévisible. Mais ce n’est pas là que réside le scandale. Le scandale, c’est qu’ils n’étaient pas poursuivis pour les bons motifs. On les accuse de ne pas en avoir fait assez, de ne pas avoir « combattu le sinistre » avec assez de vigueur. Quelle blague ! En réalité, leur crime, c’est d’en avoir fait bien trop.
Ces gens-là ont menti aux Français dès le début. Ils ont brandi des courbes, des modèles, des prédictions apocalyptiques pour instiller la peur. Ils ont fait passer un virus certes contagieux, mais bénin pour l’immense majorité de la population, pour la peste noire. Ils ont confiné un peuple tout entier, fermé les écoles, détruit des vies, interdit les visites aux mourants, séparé les familles au nom d’une science qu’ils ont instrumentalisée.
Ils ont violé nos libertés les plus fondamentales. Nous avons vécu, pendant deux ans, sous un régime de surveillance quasi-totalitaire. Attestations, couvre-feux, passes sanitaires… Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont imposé, presque sous la contrainte, un vaccin expérimental à des millions de citoyens, en dissimulant les effets secondaires, en réduisant au silence toute voix dissidente.
Et aujourd’hui, non-lieu. Circulez, il n’y a rien à voir. Si la justice fonctionnait vraiment, ces trois-là auraient à répondre non pas de leur prétendue inaction, mais de leur tyrannie sanitaire, de leurs mensonges d’État, de la destruction de l’économie nationale et surtout, de la trahison du peuple français.
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Immigration : Trump déroute en annonçant une amnistie surprise
On se demande ce qui a bien pu passer par la tête de Trump le 3 juillet dernier…
Alors qu’il était en meeting à Des Moines, dans l’Iowa, fief républicain du Midwest, Donald Trump a annoncé qu’il travaillait actuellement à une amnistie pour des millions de travailleurs clandestins qui leur permettrait d’éviter l’expulsion.
Alors qu’il vient tout juste de réussir à faire voter son nouveau budget « Big Beautiful Bill » par le Congrès, qui quadruple les moyens accordés aux expulsions, à la surveillance des frontières et à la construction d’un nouveau mur, avec en tout près de 42,5 milliards de dollars par an contre seulement 10 milliards auparavant, Trump rétropédale inexplicablement sur ce sujet.
Taclant au passage les mécontents de la « droite radicale », il explique qu’il ne seront « pas contents mais comprendront… »
Trump, plus détesté que jamais par la gauche et le bloc démocrate dans son ensemble, cherche-t-il également à se faire lâcher par son propre camp ? Oublie-t-il que sans la « droite radicale » il n’aurait jamais gagné cette élection ? Visiblement, la stratégie de Marine Le Pen de recentrage a fait des émules outre-Atlantique…
En tout cas, s’il croit ménager son électorat au prix de quelques voix aux midterms de 2026, il se trompe lourdement. La gauche ne va pas soudainement se mettre à mieux l’aimer car il lui fait des cadeaux, bien au contraire. S’il régularise effectivement des millions de clandestins, ce seront autant d’électeurs de ses adversaires démocrates.
Victor Jan de Lagillardaie – Délégué général adjoint du Parti de la France
Raoul Raketitch, un militant de grande valeur de la cause nationale nous a quittés
Raoul Raketitch, militant de la première heure du Front National, est décédé le mois dernier pour rejoindre, nous l’espérons, de vertes prairies où l’herbe est meilleure que sur cette terre de France quotidiennement martyrisée.
Responsable du secteur sud de la Fédération FN des Hauts-de-Seine, il avait été victime d’une sauvage agression par une bande de jeunes d’origine maghrébine, alors qu’il collait tranquillement des affiches de son mouvement, à Chatillon. À l’issue de cette sauvage agression, il avait perdu partiellement l’usage de l’ouïe, cette infirmité l’ handicapant dans son travail , un emploi qui le mettait au service des autres.
J’avais eu, personnellement, une aimable controverse avec lui lors de la guerre en ex-Yougoslavie, lui penchant pour les Serbes, et moi pour les Croates et les Slovènes. Cette querelle n’avait eu aucune importance dans nos relations, toujours empreintes de respect et d’amitié. Il y a un an, il m’avait rendu visite sur « mes » terres de Seine-et-Marne et, moins d’un mois avant sa disparition, nous avions eu un échange téléphonique. Je ne pouvais pas savoir que c’était le dernier. C’est à des hommes de cette valeur que les députés du Rassemblement National doivent leur confortable situation électorale.
Repose en paix , Cher Raoul, auprès de ton frère ainé qui fut, lui aussi, un militant exemplaire du FN, ainsi qu’aux côtés de ton épouse disparue trop tôt. La France réelle a perdu un de ses serviteurs, mais elle ne le sait pas !
Raoul Raketitch ? Présent !
Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France
Alexandre Hinger reçoit le Délégué général adjoint du Parti de la France, Victor Jan de Lagillardaie
Abolissons les droits de succession !
Le Parti de la France salue avec enthousiasme la décision prise par Donald Trump d’abolir intégralement les droits de succession aux États-Unis. Par ce geste fort, il défend un principe fondamental : le droit des familles à transmettre librement leur patrimoine, sans être rançonnées par un État devenu spoliateur.
En France, les droits de succession incarnent un impôt moralement injustifiable, économiquement désastreux et idéologiquement marqué par des décennies d’égalitarisme dogmatique. Ce système marxiste, hérité d’une époque qui méprisait la propriété privée et l’héritage, continue de punir le travail, l’épargne, la réussite et l’enracinement familial.
Nous appelons à la suppression totale des droits de succession en France, sans plafond ni distinction de patrimoine. Tout euro déjà gagné et déjà taxé n’a pas à l’être une seconde fois à la mort du propriétaire. Ce n’est pas à l’État de décider à qui revient le fruit d’une vie de labeur.
Dans ce contexte, le silence complice de Sarah Knafo et Marion Maréchal sur ce sujet majeur ne peut être interprété autrement que comme une caution à ce système fiscal archaïque. Leur refus de se prononcer trahit un manque de courage politique et un alignement passif sur une idéologie étatiste qui détruit nos familles et nos entreprises.
De même, Marine Le Pen, tout en avançant un allègement partiel, ne propose qu’une exonération limitée aux transmissions immobilières jusqu’à 300.000 €. Une mesure timide, insuffisante, qui laisse intacte la logique de taxation posthume.
Nous exigeons un changement profond :
• Suppression complète des droits de succession pour tous les patrimoines ;
• Exonération totale des transmissions d’entreprises familiales ;
• Réforme immédiate de la fiscalité sur les donations.
Les familles françaises, les agriculteurs, les commerçants, les artisans, les professions libérales et les chefs d’entreprises doivent pouvoir transmettre ce qu’ils ont bâti. La France doit cesser de punir ses héritiers.
Notre ligne est claire : non à l’impôt sur la mort, non à la spoliation légale, oui à la France des familles, des bâtisseurs et de la liberté patrimoniale.
Maxime Morlon - Secrétaire général adjoint du Parti de la France