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Le blog politique de Thomas JOLY

Brest : la police laisse les antifas attaquer une dédicace d'Eric Zemmour

18 Juin 2023, 08:55am

Publié par Thomas Joly

Le déplacement d’Éric Zemmour à Brest (Finistère) pour dédicacer son dernier livre Je n'ai pas dit mon dernier mot a été perturbé samedi après-midi par des manifestants d’extrême-gauche très violents et qui ont pu longuement agir en toute impunité.

Des blessés parmi les participants à la dédicace sont à déplorer.

Cette mésaventure incitera peut-être la direction de Reconquête à ne pas mépriser les gens solides de « l'ultra-droite »...

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Halte à l'inquisition républicaine dans les écoles hors contrat !

17 Juin 2023, 19:06pm

Publié par Thomas Joly

Halte à l'inquisition républicaine dans les écoles hors contrat !

Le Parti de la France dénonce les descentes dignes de la Stasi des services de la préfecture dans les différentes écoles catholiques hors contrat ces dernières semaines, la pression exercée sur les directeurs d'écoles et les interrogatoires sur la sexualité des enfants. Notre cher ministre Pape Ndiaye ne semble pas digérer la réussite de ces dernières.

Le Parti de la France rappelle un principe de base : la liberté de choisir l'école de ses enfants. Pour cela, nous mettrons en place le chèque scolaire pour les parents d'enfants français.

Nous nous engageons également à redresser le niveau de nos jeunes générations en dégauchisant l'Éducation Nationale, et en y rétablissant l'excellence et le mérite. Nous reviendrons à ce qui a toujours fonctionné : l'Instruction Nationale.

Guillaume Aguillé - Membre du Bureau politique du Parti de la France

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Le bac se meurt, le bac est mort ! Comme leur République !

17 Juin 2023, 09:34am

Publié par Thomas Joly

Il n'y a pas si longtemps, avant la réforme, l'épreuve de philosophie, qui se passait quelques jours avant les autres disciplines, constituait l'ouverture solennelle du baccalauréat. Certes, on savait que 90 % des candidats l'obtiendraient, mais les élèves s'y présentaient avec quelque appréhension. Mercredi dernier, cette épreuve est passée presque inaperçue. Depuis longtemps, le baccalauréat n'avait plus guère de valeur, mais il restait une sorte de rite initiatique pour passer du statut d'élève au statut d'étudiant, de la jeunesse à l'âge adulte. Aujourd'hui, il ne signifie plus rien.

Le souhait de conduire 80 % d'une classe d'âge au baccalauréat a été comblé au-delà des espérances : en 1995, le taux de réussite était de 75 %, en 2019, il dépasse les 90 %. Par démagogie et par laxisme, les politiciens qui nous gouvernent ont bradé ce diplôme. Incapables de conduire les élèves au niveau du baccalauréat, ils l'ont adapté au niveau des élèves. Il existe encore de bons élèves, mais ils sont perdus dans la masse. Quand ils ont la chance d'échapper à la médiocrité générale, c'est tout juste si on ne les montre pas du doigt ou on les exhibe comme des phénomènes de foire.

La réforme du baccalauréat, qui prétendait redonner du sens à cet examen et permettre une meilleure orientation dans l'enseignement supérieur, a aggravé la situation. Le poids du contrôle continu, facteur d'inégalités et de pressions de toutes sortes, le passage en mars des épreuves de spécialité et le calendrier de Parcoursup ont eu des effets délétères. Dès le mois d'avril, les jeux sont faits, les élèves connaissent leurs résultats, les absences se multiplient. Dans ces conditions, l'épreuve de philosophie, autrefois si importante, est devenue bien secondaire. Reste le « grand oral », qui n'a de grand que son nom et n'est qu'une formalité.

Pire : dès le début juin, avant l'annonce des résultats, la plupart des élèves savent quelle sera leur affectation dans l'enseignement supérieur. On aurait voulu priver cet examen de toute signification qu'on ne s'y serait pas pris autrement. Il ne sert plus à rien, il n'est plus qu'un diplôme sans valeur, qu'on distribue à qui le demande. Pierre Mathiot, l'inspirateur de la réforme, reconnaît, dans un entretien au Figaro, qu'« il n'est pas satisfaisant de se dire qu'on a perdu une partie des élèves avant juin » et envisage de « garder les notes secrètes jusqu'au mois de juin ». Il est peu probable qu'une telle mesure suffise à remédier aux maux qu'il a semés.

Pour redonner du sens au baccalauréat, ne faudrait-il pas plutôt revenir à ce qui a bien fonctionné dans le passé, un baccalauréat sélectif, passé au mois de juin, avec des épreuves exigeantes, un examen qui soit un véritable diplôme d'accès à l'enseignement supérieur, non un passeport pour nulle part ? Sinon, il faut que chaque université, chaque grande école organise sa propre sélection. On imagine aisément quelle contestation un tel système provoquerait : le bac pour tous est un acquis. Quand on a pris de mauvaises habitudes, il est difficile de s'en défaire, la moindre sélection serait considérée comme discriminatoire.

On croyait que, dans la nuit du 4 août 1789, on avait aboli les privilèges, mais les gouvernements de la République, en renonçant progressivement à récompenser le mérite et le talent, les ont rétablis. La médiocratie des petits chefs a remplacé la méritocratie. Dans ce domaine comme dans d'autres, le bilan de la Macronie s'alourdit. Le bac se meurt, le bac est mort ! La République se meurt aussi !

Philippe Kerlouan

Source : http://bvoltaire.fr

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Esprit de France

16 Juin 2023, 20:53pm

Publié par Thomas Joly

Ce nouveau documentaire de Gérard Boyadjian, un ami du Parti de la France, est un entretien d'où jaillissent les vérités indicibles, les opinions interdites, les pensées réfractaires, les intellects persécutés et pourchassés... Où rejaillissent ces femmes et ces hommes qui ne se soumettent pas au seul et unique discours d'un État, désormais contesté, et qui dans sa surenchère arbitraire devient chaque jour plus brutal et autoritaire envers ces français désabusés, sa population mutilée, son esprit piétiné.

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Samedi 24 juin : Roland Hélie prendra la parole Place Beauvau !

16 Juin 2023, 06:51am

Publié par Thomas Joly

Samedi 24 juin : Roland Hélie prendra la parole Place Beauvau !

Samedi 24 juin, au cours du rassemblement organisé par le Parti de la France à 14h place Beauvau sous les fenêtre de Moussa Darmanin, Roland Hélie (Synthèse nationale) prendra la parole pour dénoncer l'oppression politique du gouvernement.

Ne nous laissons pas faire ! Défions ce gouvernement cosmopolite qui veut faire taire les Français !

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Nice colonisée : prières musulmanes et minute de silence à Mahomet dans la cour d'école

16 Juin 2023, 06:21am

Publié par Thomas Joly

Suite à un courrier de l'Inspecteur d'Académie l'alertant à ce sujet, le pourtant très islamophile maire de Nice, Christian Estrosi, interpelle Elisabeth Borne dans une lettre ouverte :

Madame la Première ministre,

Dans un courrier en date du 14 juin, l’Inspecteur académique de Nice, m’informe de plusieurs faits extrêmement graves qui se sont produits dans différents établissements de ma ville.

En effet, il m’est rapporté que des enfants scolarisés en CM1 et CM2 ont « fait la prière musulmane dans la cour de leur établissement » ou ont organisé « une minute de silence à la mémoire du prophète Mahomet » dans leur école.

Ces situations inacceptables se seraient également déroulées au sein d’établissements du second degré.

Face à ces tentatives d’intrusion du religieux au sein des sanctuaires de la République que sont nos écoles, notre réponse doit être ferme, collective et résolue. Nous ne devons rien laisser passer.

La République laïque que nous défendons et en laquelle nous croyons est notre rempart collectif contre l’obscurantisme religieux qui tente de nous déstabiliser.

À l’heure où des familles parties faire le djihad en Syrie commencent à revenir en France et où certains de leurs enfants sont de nouveau scolarisés dans nos établissements, il me paraît essentiel d’être extrêmement prudents et vigilants en la matière. Les Maires, premières vigies de la République, ne sont actuellement pas informés des établissements au sein desquels sont scolarisés ces enfants que nous devons suivre avec une grande vigilance, compte tenu de leur histoire familiale. C’est une question de sécurité primordiale pour les autres enfants et leurs familles.

J’ai également demandé au Préfet des Alpes-Maritimes d’organiser au plus vite une réunion avec l’ensemble des services concernés afin de mettre en place un plan d’action pour mettre un terme à cette dérive.

Par ailleurs, je vous saurais gré de bien vouloir demander à vos services de renforcer l’action de l’Etat pour que ces attaques contre la laïcité soient fermement combattues et qu’une grande campagne de prévention et de lutte contre la radicalisation permettent aux personnels de l’Education Nationale d’être mieux formés, comme nous le faisons à Nice, et à nos enfants d’être mieux protégés.

En effet, je me permets de vous rappeler que la ville de Nice est très engagée dans la lutte contre ces phénomènes de pression religieuse. Nous formons nos personnels et sensibilisons nos élèves. Il est temps que le partenariat entre l’Etat et les collectivités en la matière soit renforcé comme je le réclame depuis plusieurs années.

Je vous prie d’agréer, Madame la Première ministre, l’expression de mes respectueux hommages.

Christian ESTROSI
Maire de Nice
Président délégué de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur

Source : http://lalettrepatriote.com

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L'escroquerie du fonds Marianne va-t-elle renvoyer Schiappa à la cuisine ?

15 Juin 2023, 19:36pm

Publié par Thomas Joly

Après le préfet démissionnaire Christian Gravel, ancien secrétaire général du Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR), et plusieurs directeurs d’associations, c’est au tour de Marlène Schiappa de répondre aux questions des sénateurs. Pendant près de trois heures, l’ancien ministre délégué à la Citoyenneté faisait face, ce 14 juin, à la commission d’enquête parlementaire sur le fonds Marianne, appel à projets pour la lutte contre la radicalisation en ligne lancé en avril 2021, quelques mois après l’assassinat de Samuel Paty.

Un ministre qui se défausse

Sa prise de parole était réclamée. Mutique depuis plusieurs semaines malgré les nombreuses accusations qui pèsent sur elle, Marlène Schiappa a attendu l’audition de ce mercredi pour livrer sa version des faits. Et le moins que l’on puisse dire, au terme de plusieurs heures de débat et des dizaines de questions posées, est que l’on reste sur sa faim. Dès son propos liminaire et jusqu’à la conclusion, le ministre n’a eu de cesse de se défausser. « J’assume toute ma responsabilité, mais rien que ma responsabilité », commence-t-elle, avant de charger son cabinet et l’administration. À l’écouter, elle aurait communiqué en grande pompe sur le fonds de subvention mais aurait laissé le soin à ses équipes et au CIPDR de gérer la sélection et l’attribution des fonds. Elle ne serait pas, non plus, intervenue personnellement dans le processus de décision. « Je ne me suis pas personnellement mêlée de la mise en œuvre et de l’ingénierie des dispositifs, plaide-t-elle […] Il n’est pas du rôle du ministre d’ouvrir le capot pour regarder l’ensemble des dossiers. » Une ligne de défense qui peine à convaincre les parlementaires présents. « Ce qui continue de m’étonner, je vous le dis, [c’est que] vous n’êtes jamais à l’origine de la décision. J’ai le sentiment que tout au long de cette audition, vous vous êtes mise en quelque sorte en porte-à-faux par rapport au projet du fonds Marianne », lui fait observer le sénateur LR Jean-François Husson, rapporteur de la commission.

Et quand les sénateurs l’interrogent sur la chronologie précise des faits et sur le possible manque de transparence et d’équité, Marlène Schiappa perd soudainement la mémoire. « Vous êtes en train de nous dire que vous n’êtes au courant de rien », finit par s’agacer, face à elle, le rapporteur. En guise de conclusion, le sénateur socialiste Claude Raynal, président de la commission d’enquête parlementaire, s’interroge : « L’assassinat horrible [de Samuel Paty] perpétré en octobre méritait une mise en œuvre, une intention, un suivi précis, sérieux, continu ; au-delà des responsabilités d’un secrétaire général [du CIPDR] qui sont pointées par l’IGA et d’un cabinet. Continuez-vous vraiment à dénier toute responsabilité dans ce fiasco ? » Avant de regretter : « Est-ce que la lutte contre le séparatisme ne méritait pas mieux ? »

Quid de Samuel Paty ?

Une question légitime, quand on s’intéresse de près aux associations financées par le fonds Marianne. Si l’USEPPM, longuement évoquée au cours de cette audition, a déjà fait couler beaucoup d’encre à cause des faibles productions de l’association – au regard de la subvention perçue – et de ses liens soupçonneux avec le cabinet du ministre, d’autres projets posent également question. Le fonds Marianne a en effet permis de financer dix-sept associations dans le but de « riposter à la propagande séparatiste en ligne » et « défendre les valeurs républicaines ». Si une grande majorité de ces associations ont bel et bien répondu à cet objectif, leur financement, en réaction à l’assassinat de Samuel Paty, reste plus problématique. En effet, quel est le lien entre les subventions accordées à deux associations de lutte contre les prétendues théories du complot (Conspiracy Watch et Institute of Strategic Dialogue) et la mort du professeur d’histoire-géographie ? En quoi des vidéos politiques de Reconstruire le commun sur YouTube, accusées qui plus est de prendre parti pour le parti présidentiel, permettent-elles de lutter contre le séparatisme ? Et quid de la production d’un manga sur les relations et l’égalité entre les garçons et les filles dans les quartiers prioritaires ?

Les révélations qui s’enchaînent mettent Marlène Schiappa dans une position inconfortable. Et cette audition n’aura pas permis à la secrétaire d’État de faire taire les voix qui demandent sa démission. Alors, suivra-t-elle la voix de Christian Gravel, également impliqué dans cette polémique, qui a fait le choix de démissionner ? Ou attendra-t-elle un prochain remaniement ?

Clémence de Longraye

Source : http://bvoltaire.fr

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« Mon Combat » de Scipion de Salm

15 Juin 2023, 06:46am

Publié par Thomas Joly

« Mon Combat » de Scipion de Salm

« En ces temps de confusion générale des esprits, jusque dans les meilleurs milieux militants nationalistes, je crois pertinent de rappeler des principes de base, de fixer des caps pour la résurrection de la Nation française. » Scipion de Salm, membre du Bureau politique du Parti de la France

Pour commander son ouvrage : https://reflechiretagir.com/produit/mon-combat/

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La sœur de Samuel Paty lance un appel pour nommer des rues au nom de son frère

15 Juin 2023, 06:06am

Publié par Thomas Joly

Cela fera bien trois ans que Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie dans un collège de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), a été assassiné. À la sortie des cours, l’enseignant de 47 ans était en effet poignardé puis décapité, le 16 octobre 2020, par Abdoullakh Anzorov, un réfugié russe d'origine tchétchène. La raison ? Samuel Paty avait montré des caricatures du prophète Mahomet à ses élèves, suscitant l’ire des plus radicaux d’entre eux.

Deux ans plus tard, rien ne semble vraiment avoir changé. L’Éducation nationale se porte au plus mal et rencontre une multiplication des atteintes à la laïcité. Les professeurs sont muselés, les tenues à caractère religieux fleurissent dans les établissements scolaires et le nom de Samuel Paty est prononcé à mi-mot par peur de la polémique.

Certains, pourtant, refusent que le nom du professeur assassiné sombre dans l’oubli. C’est le cas de sa sœur, Mickaëlle Paty, qui n’a de cesse de raviver la mémoire de son frère. Le mardi 12 juin, celle-ci publiait ainsi une lettre ouverte dans Marianne afin d’inciter tous les maires de France à baptiser une rue de leur commune au nom de son frère. « Le silence encourage le persécuteur, jamais le persécuté […] Créer des lieux de mémoire appelle à se souvenir en sacralisant la victime avec une émotion immatérielle et partagée qui encourage à l'unité. Ces rues, ces établissements et tous autres lieux qui porteront prochainement le nom de Samuel Paty seront les vecteurs matériels pour annihiler l'acte barbare qu'il a subi », implore-t-elle.

L’idée n’est pas nouvelle. Un an après la mort du professeur, une plaque était inaugurée à sa mémoire : le square en face de la Sorbonne, à Paris, était renommé « square Samuel-Paty », et le texte indiquait « Victime du terrorisme islamiste ». Une précision mal vue par certains, qui dégradèrent la plaque deux mois après sa pose afin d’y faire disparaître le mot « islamiste ». La plaque était rénovée peu de temps après.

Cela ne suffit pas pour décourager l’Institut universitaire technologique (IUT) de Tourcoing, qui renommait un amphithéâtre « Samuel Paty » moins d’un an plus tard. Au même moment, une école élémentaire de Montpellier choisissait de prendre le nom de « Lucie Aubrac-Samuel Paty ».

Si ces gestes semblent couler de source, on découvre en réalité qu'ils ont nécessité du courage, au vu des réactions bien plus circonspectes de la part de certains. À commencer par la ville même où s'est produit le drame. Sur le fronton du collège, nul souvenir du professeur assassiné, dans les rues, aucune plaque, aucun monument pour rendre hommage à un enseignant pourtant si apprécié de ses élèves. Paul Marion, 26 ans, président des Amis de Samuel Paty et ancien élève du lycée, témoigne auprès de Marianne s'être battu pour renommer le collège au nom de Samuel Paty. Aucune suite pour l'instant, il raconte avoir été informé que le sujet était, pour l'heure, « trop sensible ». Une excuse qui ne le convainc pas : « C'est la peur qui prend le dessus pour qu'on nous dise que c'est impossible : il ne faudrait surtout pas installer une cible sur l'établissement », déplore-t-il. Dans le Var, même scénario : le maire d'Ollioules, qui proposait que le collège Les Eucalyptus prenne le nom du professeur, s'est finalement heurté au refus de enseignants, des parents d'élèves et des collégiens de l'établissement, effrayés de devenir des « cibles ». Que ce soit pour les noms de promotions ou pour les établissements scolaires, les exemples de reculades sont multiples : rares sont ceux qui osent rendre hommage à cette victime du terrorisme islamiste, par crainte des représailles.

Gageons que la saine initiative de Mickaëlle Paty soit enfin suivie d'effets et que la mémoire de ces victimes soit préservée afin qu'une seconde mort ne leur soit pas imposée.

Marie-Camille Le Conte

Source : http://bvoltaire.fr

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Faux chrétien ou faux homosexuel : ces migrants prêts à tout pour l’asile

14 Juin 2023, 06:49am

Publié par Thomas Joly

Depuis le 8 juin dernier et l’attaque au couteau à Annecy, une controverse agite l’espace médiatique. L’assaillant est-il un « vrai » chrétien, comme il l’affirme ? D’un côté, les éléments factuels recueillis semblent bel et bien indiquer que le suspect évoluait au sein de la communauté chrétienne. Au-delà du cri « In the name of Jesus Christ », on voit l’agresseur arborer une croix sur plusieurs vidéos. Interrogée par BFM TV, son ex-femme confirme elle aussi l’appartenance religieuse du suspect. De l’autre côté, plusieurs personnalités, dont Éric Zemmour, émettent des doutes quant à l’identité chrétienne autoproclamée par l’assaillant. L’avocat Thibault de Montbrial, sur le plateau de CNews, explique par ailleurs que « dans certaines filières d’immigration, les associations et les avocats conseillent à leurs clients des histoires qui "passent". C’est-à-dire des récits clés en main qui sont livrés avec deux grands arguments mis en avant : soit l’homosexualité, soit être chrétien d’Orient. » Si, pour l’heure, aucun élément ne permet d’accréditer la thèse du « faux chrétien » en ce qui concerne l’homme au couteau d’Annecy, cette controverse lève un voile sur un véritable contournement du droit d’asile : les faux récits de vie.

Être chrétien, un sésame pour l’asile

Ce 31 mai, devant le tribunal administratif de Paris, Monsieur B., originaire du Sénégal, après avoir été débouté par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA), espère encore obtenir l’asile en France. Dans son dossier, le requérant raconte « avoir rejeté les principes de l’islam » dans son enfance et s’être alors « tourné vers la religion chrétienne ». Mais en 2017, son père devenu chef du village aurait chassé l’ensemble de la communauté chrétienne, explique-t-il. Il aurait finalement décidé de quitter son pays, « craignant pour sa sécurité ». Ce récit, bien qu’émouvant, ne semble pas convaincre les magistrats habitués à ce genre de parcours stéréotypé. « Ses déclarations sont dénuées de tout élément circonstancié et son récit sur sa pratique du christianisme manque de crédibilité, le requérant ne parvenant à décrire ni les circonstances dans lesquelles il se serait rapproché de la religion chrétienne ni les cérémonies auxquelles il aurait pris part », commente le tribunal. Et d’ajouter : « Son propos démontre une méconnaissance de la religion chrétienne à laquelle il prétend adhérer. »

Des récits comme celui-là, la jurisprudence récente en regorge. Depuis l’annonce des gouvernements européens d’accueillir les chrétiens persécutés au Moyen-Orient au milieu des années 2010, nombre de demandeurs d’asile s’inventent un passé de chrétien discriminé. Ainsi, le 6 juin dernier, à Nancy, un Guinéen sous le coup d’une OQTF assurait avoir fui son pays d’origine « en raison d’un conflit l’opposant à son père au sujet de son amie de confession chrétienne ». Mais après examen du dossier, il s’avère qu’il n’existe « aucun élément probant au soutien de ces allégations ».

Homosexuel ou opposant politique

Et quand ce ne sont pas les persécutions chrétiennes qui sont revendiquées, certains demandeurs d’asile n’hésitent pas à se dire homosexuels – catégorie reconnue depuis 2013 par la Convention de Genève - pour obtenir l’asile. Ce 30 mai, devant la cour administrative d’appel de Paris, un Jamaïcain, expulsé d’Allemagne après y avoir commis une vingtaine d’infractions, requiert l’asile en France. Pour justifier sa demande, il fait état « de son orientation sexuelle, de ses difficultés pour trouver un emploi ». Mais son récit ne parvient pas à duper les magistrats, qui notent que le requérant « n’a fourni aucun développement sur son environnement familial, sur sa prise de conscience de l’homosexualité […] et aucune information personnalisée et circonstanciée sur son parcours ». Quelques jours plus tôt, à Versailles, un migrant algérien plaide à la fois l’identité chrétienne et son homosexualité pour rester en France. Mais une nouvelle fois, il « ne met pas le tribunal à même de vérifier ces allégations ».

Derrière ces récits stéréotypés se cachent des « vendeurs d’histoire » - membres de la même communauté d’origine ou d'associations - qui, contre quelques dizaines, voire centaines, d’euros, proposent aux migrants un parcours clés en main censé faciliter l’obtention du statut de réfugié. Les récits proposés par les Bangladais – l’une des premières communautés demandeurs d’asile en France – en sont la preuve. Tous (ou presque) racontent la même histoire, comme ce Monsieur A., visé par OQTF, passé devant le tribunal administratif de Paris en mars dernier. Membre du Bangladesh National Party, parti d’opposition, il explique s’être retrouvé en conflit pour des terres agricoles avec un homme proche de la ligue Awami, force politique principale. Menacé, selon ses dires, il cherche donc l’asile en France. Un récit étrangement similaire à celui de Monsieur B., ayant comparu devant le tribunal administratif de Montreuil en juillet 2022. Dans les deux cas, ces histoires n’étant assorties « d’aucun commencement de preuve », la requête est rejetée.

Ces récits, fabriqués de toutes pièces, sont la preuve du grand dévoiement du droit d’asile qui permettait autrefois d’accueillir Alexandre Soljenitsyne, mais qui est aujourd’hui devenu une véritable filière d’immigration. Car si ces fausses histoires sont régulièrement démasquées, certaines permettent malgré tout l’obtention du statut de réfugié.

Clémence de Longraye

Source : http://bvoltaire.fr

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Oui la France est en pleine récession

14 Juin 2023, 06:40am

Publié par Thomas Joly

Oui la France est en pleine récession

Il y en a marre des considérations débiles sur le pouvoir d'achat des Français qui ne serait pas en baisse parce que des observateurs du dimanche et la presse d'État constatent qu'il y a du monde en terrasse et sur les routes le week-end.

Bistrots, restaurants, lieux de villégiature sont de moins en moins nombreux, ce qui donne un effet de surfréquentation ponctuelle.

Dans leur grande majorité, les Français peinent à joindre les deux bouts. Et ceux qui pourront partir en vacances cet été le feront sur de courtes périodes.

Par la volonté et l'incompétence de l'engeance qui nous gouverne, le pays est en pleine récession, notre système socialo-communiste aggravant bien sûr la situation pour les actifs sur qui il pèse de tout son poids.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Hommage citoyen d’Annecy : boîte à musique et discours lénifiant de Bisounours

14 Juin 2023, 06:09am

Publié par Thomas Joly

D’abord, il faut se réjouir qu’Enio (2 ans), Alba (2 ans) Ettie (3 ans), Peter (22 mois), Youssouf (78 ans) et Manuel (62 ans) soient tous tirés d’affaire. Malheureusement, les pauvres petits garderont sans doute des séquelles durables de la fureur assassine du Syrien Abdalmasih H., mais au moins sont-ils en vie.

On dit que la ville en demeurera durablement meurtrie mais pleine d’amour pour son prochain. Et les Français aussi. C’est surtout ce qu’a assuré le maire, François Astorg, lors du « rassemblement citoyen » sur les bords du lac d’Annecy, dimanche matin : « C'est un signe fort d'union et de solidarité. »

L’heure était au recueillement. Si tous les gars du moooonndeu pouvaient se donner la main, on ferait une roooonndeu, etc., et plus si affinités. Alors, monsieur le maire a dit des choses définitives et profondes : c’est « un rassemblement pour bâtir plutôt que haïr », « l’enfance est sacrée, elle représente la vie, et plus que cela, elle représente l’avenir », « l'ensemble de la communauté humaine a été poignardée »… Toute opinion contraire ne serait que récupération malveillante et noirceur d’âme.

À noter que nous avons, cette fois, franchi un grand pas dans l’hommage : pas de marche blanche, pas de bougies ni de nounours, pas non plus de randonnée à roller autour du lac mais un fond musical de circonstance pour accompagner le discours du maire : devant les édiles, les officiels en grande tenue, les gendarmes et les pompiers, une dame s’est avancée avec une boîte à musique puis, tournant la manivelle de son petit crincrin, elle a entonné « Parlez moi d'amour ».

Ne le dites pas à Mme Borne, mais j’ai bien vu, sur la vidéo, que le gendarme derrière la dame se mordait les lèvres pour ne pas exploser de rire. Je sais, nous sommes, en cette circonstance, priés d’attendre le feu vert du Premier ministre pour critiquer, mais bon, six jours après les faits, on est peut-être autorisé à formuler quelques remarques ?

Primo, l’émotion ne justifie pas tout. Pas plus la niaiserie musicale que l‘indigence de la fresque peinte dans la nuit – également à la demande du maire – par le duo d’artistes mexicains Los Calladitos. Ça s’intitule La Lumière du lac et… comment dire… c’est gentil. Question lumière, on n’est pas chez Georges de La Tour, c’est sûr. Jorge Peralta et Ari Galaz, les deux artistes, ont illustré « la diversité » parce que « l’art aide à s’élever en tant que société ».

Vous voulez la vérité ? J’ai honte. Honte de ce pays qui met les problèmes avec la poussière, sous le tapis, et pense pouvoir les occulter par la niaiserie infantilisante. Au point où nous en sommes, et imaginant que la boîte à musique était une allusion à l’âge des petites victimes – sinon quoi ? –, pourquoi ne pas avoir carrément choisi un « doudou musical » comme on met dans les berceaux, ou même une « boîte à meuh » ? Ah non, pas la boîte à meuh, ça fait terroir franchouillard et cul des vaches.

Une fois de plus, on essaie de se rassurer en lisant les commentaires, Twitter étant une des dernières lucarnes pour libertaires dotés de bon sens. Comme un certain Albert Frelon, reprenant la chanson dans son piquant commentaire : « "Votre beau discours, mon cœur est bien las de l’entendre". Avec des gradés de la police et de la gendarmerie en arrière-plan, cette mascarade prend une saveur particulière. »

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Le drame d’Annecy, un révélateur des trois France

13 Juin 2023, 06:01am

Publié par Thomas Joly

S'inspirant des peintures qui ornent les murs des églises sur les chemins de Saint-Jacques, racontant les tribulations des pèlerins - comme le miracle du pendu dépendu -, certains se sont amusés, sur les réseaux sociaux, à faire de l’acte de chevalerie héroïque d’Annecy une fresque enluminée.

Mais c’est une autre fresque, assez complète et moderne celle-là, que nous brosse cet épisode au dénouement heureux puisque, on vient de l’apprendre, tous les bébés blessés à Annecy sont désormais sauvés : cette autre fresque, c'est celle de la France, ou plutôt des trois France d’aujourd’hui.

Il y a tout d’abord la foule anonyme qui s’engouffre chez nous, façon Camp des saints, avec la puissance aveugle que lui donne le nombre. Qu’une partie d’entre elle parvienne, individuellement, à se couler en France sans faire parler d'elle ne change rien au fait qu’elle est collectivement le cheval de Troie de violences de tous ordres et de tous degrés. Comment pourrait-il en être autrement ? On nous explique doctement qu’il faut accueillir, au nom sacré du droit d’asile des populations qui n’ont souvent connu que guerre, corruption et rapports sociaux ultra-agressifs, sans se demander si en important en bloc ces populations, dans des proportions s’apparentant à des villes entières, on ne va pas fatalement déplacer sous nos latitudes, ici, les modes de vie de là-bas. Quand bien même ces populations auraient cherché à les fuir. On rajoute candidement que chez ces migrants, pour toutes ces raisons, mais aussi à cause du déracinement et du choc culturel, la prévalence des troubles psychotiques est plus importante que dans les pays d'accueil. Sans en tirer aucun principe de prudence.

Vient ensuite la deuxième France, autochtone, elle qui a attiré la première et se sert d'elle : pour des raisons idéologiques - quelle aubaine que cette immigration massive qui vient dissoudre une civilisation jugée détestable - ou économiques : une manne que cette main-d’œuvre bon marché qui tire les salaires à la baisse, dans une forme de délocalisation de l’intérieur. Faute d’aller produire au Bangladesh, faisons venir la main-d’œuvre bangladaise. Georges Marchais, en son temps, dénonçait déjà la martingale. Ce n’est pas un hasard si, pour évoquer le déplacement des migrants de la ville à la campagne, on parle de « relocalisation », un champ sémantique d’inspiration économique.

Vient ensuite la troisième France, celle que l’on croyait finie, foutue, infinitésimale : de Henri et d’Arnaud (Beltrame). Si la France, selon le titre du célèbre livre de Max Gallo, a une âme et donc un esprit, et si les esprits, parfois, nous tirent par les pieds et nous soufflent dans l’oreille, on peut dire que l’âme française essaie de toute évidence de nous dire quelque chose : pourquoi ces deux-là, qui ont risqué (et pour l'un perdu) leur vie pour sauver leur prochain, et même les plus innocents des prochains, sont-ils catholiques ? Pas seulement vaguement catholiques « comme ça », tiédasses et mollassons, mais catholiques pratiquants, fervents - le journaliste d’extrême gauche franco-allemand Nils Wilcke traite même, sur Twitter, Henri « d’un brin illuminé », et il n’a pas tort : ces jours-ci, le héros d'Annecy a illuminé la France d’espérance - amoureux, chacun dans leur style, d’un héritage ancestral, d'épopées chevaleresques, du beau, du bien, du vrai. Tous deux - on l'a lu dans les biographies de l’un, on le découvre sur le compte Instagram de l’autre - ont lu Hélie de Saint Marc : « Si on doit un jour ne plus comprendre comment un homme a pu donner sa vie pour quelque chose qui le dépasse, ce sera fini de tout un monde, peut-être de toute une civilisation. » Le processus de décivilisation est en marche, disait Emmanuel Macron il y a quelques jours, mais il n’est donc pas arrivé à son terme. Et pour aller repêcher cette civilisation au fond du trou, il faut plonger, en retrouver la source.

Bien sûr, la deuxième France déteste la troisième. L’ancien militant communiste devenu journaliste Daniel Schneidermann, dans une tribune odieuse de Libération (si odieuse que Denis Olivennes, directeur général de Libé, s’en est désolidarisé), raille « Henri d’Arc », « héros chez Bolloré ». Là aussi, comme Nils Wilcke, il tombe à côté en croyant vexer. Si Henri est Jeanne, Schneidermann, dans ses postures de grand inquisiteur, incarne l’évêque Cauchon.

Un journaliste d’extrême gauche indépendant, sévissant dans « Le club Mediapart », juge quant à lui suspect le petit drapeau bleu-blanc-rouge sur la manche gauche d'Henri lors de son interview, et le logo du polo dans lequel il croit deviner tout un tas de symboliques obscures d’extrême droite. Le complotisme le plus échevelé bat son plein, mais de ce côté-ci de l’échiquier, c’est permis. Et pour clore le tableau, on lit, dans 20 Minutes, qu'Henri, « selon les experts, pourrait rapidement tomber de son piédestal », et même « plus vite qu’il n’y est monté »… notamment parce qu’il « a été alternant pour le journal d’extrême droite L’Homme nouveau ». Ciel, quelle révélation renversante ! Un étudiant catholique alternant dans un journal catholique !

Henri s’en moque bien et va poursuivre sa route, « sac au dos sans trêve », comme dit la chanson scoute. En attendant, il a obtenu - et, de son point de vue, c’est peut-être mieux que la Légion d’honneur - du président de la République d’être là pour la renaissance officielle de Notre-Dame. Quel point d'orgue à son périple ! Quel symbole, aussi ! Il manquait peut-être à nos (re)bâtisseurs des cathédrales du XXIe un peu de la foi qui animait leurs aïeuls. Henri, le héros d’Annecy, l’apportera dans sa fameuse besace. Il y a peut-être trois France, mais une seule est éternelle.

Gabrielle Cluzel

Source : http://bvoltaire.fr

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METAL MIT UNS (Thomas Joly & Christoff BZH) - Le Forum du PdF (08/06/2023)

9 Juin 2023, 16:25pm

Publié par Thomas Joly

Une émission en deux parties : la première consacrée au metal puis la seconde à partir de 2h03 où il est question de ce qui s'est passé à Annecy.
 

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