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Le blog politique de Thomas JOLY

L’ambassadeur de France à Washington n’aime pas Trump et le fait savoir…

10 Novembre 2016, 07:16am

Publié par Thomas Joly

Mais qu’est-ce qui peut bien lui délier ainsi la langue ? À 6h02, heure française, alors que les résultats de la présidentielle américaine n’étaient pas encore définitifs, et avant toute réaction officielle de notre gouvernement, l’ambassadeur de France aux États-Unis, un nommé Gérard Araud, a lâché une pestilence tweetesque : « Un monde s’effondre devant nos yeux. Un vertige. » Informé aussitôt, le nouveau président américain a réagi : « La France n’est pas contente ? Tant mieux. »

Ainsi, grâce à ce fonctionnaire, les relations franco-américaines prennent un départ boiteux.

Le gugusse n’en est pas à son coup d’essai. Il s’est déjà mis à dos le Maroc en déclarant, il y a deux ans : « Le Maroc est une maîtresse avec laquelle on dort toutes les nuits, dont on n’est pas particulièrement amoureux, mais qu’on doit défendre. » Fureur à Rabat. Évidemment, Paris a démenti qu’Araud ait tenu ces propos, mais une telle saillie ne s’invente pas. On lui trouve, également, des relents antisémites, exprimés dans une lettre aux expatriés français installés aux USA, lettre postée après les attentats du 13 novembre, et dans laquelle il parle des victimes ainsi : « Hier, des journalistes et des juifs. Aujourd’hui, des citoyens ordinaires. » Le distinguo a, évidemment, fait bondir la communauté juive de France. On rapporte, également, qu’avant de prendre ses fonctions d’ambassadeur aux États-Unis, il aurait déclaré : « À Washington, je serai condamné à dire combien j’adore les États-Unis et combien les Américains doivent faire un tour en Bourgogne. » Condamné ! Rien que cela ! Quelle condescendance ! Quelle classe !

Mais, mon p’tit gars, si tu n’aimes pas la soupe, tu n’es obligé ni de cracher dedans, ni de la boire.

Tes préférences, tes petites idées personnelles, tes amours ou désamours, on s’en fiche complètement. Tu n’es pas payé pour nous raconter ce que tu penses, mais pour porter la voix de la France et représenter ton pays. Tu n’es qu’un haut-parleur, pas un penseur !

Monsieur l’Ambassadeur, lorsque vous tweetez (6 novembre 2019, 14h09) : « Le nationalisme, la passion de ceux qui ignorent l’Histoire », vous rendez-vous compte de l’idiotie de votre propos ? Ne réalisez-vous pas que vous vous faites l’ambassadeur de la bêtise humaine la plus sectaire, la plus crasse ? Vous vous érigez en maître à penser envers des millions de gens qui n’ont pas la chance, la bonne fortune, l’honneur de partager vos vues. Mais, Monsieur l’Ambassadeur, c’est du totalitarisme pur jus, ça ! Du fascisme intégral. Si vous aviez des « guts » – ces trucs que vous haïssez par tweet (15 juillet 2014), demandant à vos interlocuteurs de faire plutôt marcher leur « brain » – si vous en aviez, Monsieur l’Ambassadeur, vous feriez un très acceptable dictateur.

En attendant, vous abîmez la France, mon pays.

Donald Trump est élu. Vous n’aimez pas l’idée ? C’est votre droit ! Alors, partez, fichez le camp, videz les lieux. Mais prenez l’initiative, car je n’imagine pas vos patrons, les Ayraud, Valls ou Hollande, vous sacquer publiquement pour grossièreté. Sinon, ils l’auraient déjà fait depuis belle lurette.

Yannik Chauvin

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Victoire de Donald Trump : le réveil du peuple américain

9 Novembre 2016, 07:59am

Publié par Thomas Joly

Communiqué du Parti de la France

Le Parti de la France salue le réveil du peuple américain qui a rejeté la candidate de la gauche mondialiste et de l'oligarchie. Alors même que Madame Clinton était soutenue par 96 % des médias américains, par la plupart des groupes de pression, par l'ensemble des minorités ethniques, par toutes les officines anti-nationales, les Américains ont refusé les diktats de la pensée unique et le politiquement correct incarnés par la candidate du Système.

Maintenant qu'il a déjoué tous les pronostics, Donald Trump se retrouve devant ses responsabilités et devra répondre aux attentes de ces Américains remplis d'espoir après leur spectaculaire rejet de la nomenklatura américaine acquise au mondialisme et au cosmopolitisme.

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La révolution blanche a commencé

9 Novembre 2016, 07:57am

Publié par Thomas Joly

Donald Trump a été élu 45e président des États-Unis d’Amérique ce mercredi 9 novembre 2016. Cette victoire, remportée contre la coalition de tous les médias occidentaux, de Wall Street, de la gauche socialiste et marxiste, contre l’argent des pétromonarchies musulmanes, est inédite dans l’histoire contemporaine.

Révolution blanche et populaire

Cette révolution populaire place à la tête de la première puissance occidentale un chef d’État porté par le nationalisme et le rejet du globalisme. Cette révolution refuse l’immigration voulue par la finance internationale et l’élite occidentale, entend combattre l’islam partout où il entend confronter le monde blanc et chrétien.

Cette victoire n’est pas la fin mais le début de la révolution populaire et identitaire qui traverse l’ensemble de notre civilisation. L’oligarchie ne va pas capituler sans tenter de résister, par tous les moyens, à l’effondrement du Système tel qu’il existe depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

Tout indique que c’est la mobilisation de l’électorat blanc, des classes moyennes ou populaires, qui a permis de vaincre la candidate de l’oligarchie et des migrants du tiers-monde prenant d’assaut l’Amérique. Cette coalition des parasites du haut et du bas qui vient d’être vaincue.

La population blanche, activement remplacée par une conspiration orchestrée par Wall Street, les médias du système et les grandes corporations, s’est révoltée et entend combattre pour sa survie. Il s’agit bel et bien d’une révolution raciale.

Les ouvriers du Michigan ou du Wisconsin, traditionnellement alignés sur la gauche US, a soutenu Trump. C’est le réveil des travailleurs et contribuables blancs face au pillage organisé par le haut et par le bas à son détriment.

Le camp de la défaite

Pour l’Union Européenne, c’est le coup final : Donald Trump a soutenu le Brexit que cette même élite tente à présent d’annuler. Mieux encore, la résistance identitaire va s’amplifier dans le processus politique des divers pays européens à la faveur de cette nouvelle victoire.

Pour le principal parti de gauche occidental, le Parti Démocrate, l’échec de Clinton annonce une vague de procès qui va exposer, aux yeux du grand public, les innombrables réseaux de corruption dont elle était à la tête. Et avec sa chute, celle de la politique étrangère néo-conservatrice, pro-musulmane, mis en place depuis des années par l’administration Obama.

Pour les musulmans, c’est le début du réveil des hommes de l’Ouest face à leur assaut contre notre civilisation et l’invasion qu’ils entreprennent de conclure, en s’appuyant sur une classe politique ouest-européenne corrompue, dévoyée et soumise.

Pour l’idéologie immigrationniste, c’est une défaite historique. Le monde blanc ne veut pas disparaître et l’a fait savoir en Amérique du Nord. Et maintenant l’oligarchie sait que son temps est compté.

Tout commence

Nous aurons l’occasion de revenir sur la politique étrangère de Donald Trump dont la lutte contre l’islam est un élément central.

Mais plus encore, nous allons continuer de suivre et alimenter cette révolution occidentale car les médias du Système, les divers réseaux financiers, des groupes ethniques hostiles, divers États, vont tout faire pour s’opposer à la victoire de cette révolution identitaire.

Et plus l’oligarchie s’y opposera, plus la rage révolutionnaire grondera. Cela ne fait que commencer, partout.

Source : http://breizatao.com/2016/11/09/la-revolution-blanche-a-commence/

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La victoire de Trump, c’est le contraire de la dédiabolisation de Marine Le Pen

9 Novembre 2016, 07:42am

Publié par Thomas Joly

La première à avoir félicité le nouveau président outre-atlantique, est paraît-il la présidente de l’ersatz du Front national. L’original ayant été cofondé par son propre père, Jean-Marie Le Pen, exclu depuis.

Or, en ce jour mémorable, faut-il rappeler à Marine (puisque désormais, sa com de campagne écourte son patronyme) que la victoire de Trump découle de la clarté de ses propos, notamment en matière d’immigration. Il suffit de repasser les vidéos de sa campagne pour être convaincu qu’un discours de vérité paie. Et surtout quand ce discours est en parfaite adéquation avec les aspirations du peuple.

C’est de cet exemple que doit s’inspirer immédiatement son parti. En termes simples, raffermir son discours sur deux axes :  DÉSISLAMISATION et REMIGRATION et leurs corollaires. Et accepter une union équitable des partis et formations patriotiques.

A défaut, elle prend la responsabilité de l’échec pour 2017.

Jacques Chassaing

Source : http://ripostelaique.com/la-victoire-de-trump-cest-le-contraire-de-la-dediabolisation-du-fn.html

C'est d'ailleurs l'avis de Jean-Marie Le Pen :

 

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Victoire de Donald Trump : l'Amérique blanche n'est pas encore morte !

9 Novembre 2016, 07:14am

Publié par Thomas Joly

Contre toute attente, Donald Trump remporte l'élection présidentielle américaine. Face à l'oligarchie, les médias quasiment tous pro-Clinton, les lobbies, les minorités ethniques, le show-bizz, etc.

C'est clairement un réveil du peuple blanc américain qui adresse un énorme coup de pied aux fesses de l'Establishment qui le méprise depuis tant d'années.

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Révolution raciale : 79% des électeurs américains non-blancs votent Clinton

8 Novembre 2016, 07:42am

Publié par Thomas Joly

Alors que l’élection présidentielle américaine suit sont cours, une étude d’opinion réalisée par la Monmouth University (New Jersey) donne une dimension rarement commentée dans les médias hexagonaux : la décomposition ethno-raciale du vote. Et les résultats de l’étude sont riches d’enseignement.

The Hill (source) : « Trump continue de mieux performer auprès des électeurs blancs. Trump mène, à 54% contre 37%, chez les électeurs blancs, principalement à cause d’un rapport de 59 à 30 pourcents chez les hommes blancs. Il mène avec une plus petite marge chez les femmes blanches. Clinton continue de faire mieux que Trump chez les électeurs non blancs, à 79% contre 13%. »

Avec une démographie blanche passée de 90 % en 1945 à environ 62 % en 2015 (voir ici), le facteur racial est devenu l’élément le plus structurant du vote aux USA. Le Parti Démocrate (gauche) étant devenu le parti des groupes raciaux non-blancs et de la bourgeoisie des grands centres urbains.

Une situation similaire à ce qui se passe en France où 93% des musulmans ont voté pour François Hollande en 2012 (source). Une différence cependant : la censure gouvernement des statistiques ethniques empêchent de mesurer pleinement le phénomène comme sa géographie.

Le Parti Démocrate fait donc de l’accélération de la bascule démographique aux USA son objectif prioritaire afin d’empêcher définitivement tout autre parti de gagner les élections futures. Cette révolution raciale explique pourquoi Barack Obama et Hillary Clinton font de la maximalisation de l’immigration et de la régularisation des clandestins une priorité stratégique.

Source : http://breizatao.com

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Michel Onfray, penseur pour dames ménopausées

8 Novembre 2016, 07:34am

Publié par Thomas Joly

J’ai lu Michel Onfray, oui, et je l’ai pris au sérieux. Le problème étant que j’avais alors dix-sept ans, et que ma crise d’adolescence n’en finissait plus : cela aurait du me mettre la puce à l’oreille… Mais enfin ! Je l’ai relu dernièrement, et j’ai compris ! Ce type est le miroir de notre époque, au même titre que Nabilla ou Cyril Hanouna. Une stupéfiante adaptation de la culture aux besoins de l’époque, un marketeur hors pair…

Michel a bien compris ce que d’autres millionnaires des Lettres ont compris bien avant lui ; il connaît parfaitement le cœur de cible de l’édition courante : la retraité divorcée de gauche ex-membre de l’éducation nationale. Et il y va dans la pommade à vanité… « Pensée solaire de Mai 68 », « Jouisseur libertin célibataire », « Hédonisme libertaire », « Corps jubilatoire », « Nietzschéisme de gauche », « Rébellion individualiste », notre philosophe Cohn-Bendien s’y connaît pour conceptualiser – et donc justifier – l’inconséquence morale et la vacuité politique de sa grosse niche de marché : notre chère retraitée divorcée de l’éducation nationale, ai-je dit et répète encore ; celle-la même qui pourrit le marché du roman contemporain à force de publications à son intention, pleines de fadaises gauchistes bien-pensantes ; celle-là même qui se dit féministe en lisant Christine Angot alors qu’elle ne s’est pas faite fourrer depuis dix ans….

Alors oui, le boulot d’Onfray consiste ni plus ni moins qu’à gonfler d’hélium rhétorique et de verroterie sophistique l’ego fragile de vieilles femmes abandonnées à elles-mêmes, c’est là le nœud coulant de son système philosophique libéral/libertaire/athée/hédoniste/mon cul, mais attention : il le fait en rebelle ! Car Michel Onfray est un rebelle, il le dit, le redit et le répète sur les plateaux de télévision ou dans les locaux mis gracieusement à sa disposition par ses amis élus pour son « université populaire ». Il est, en plus d’être leur porte parole, le « rebelle » en chef de ces dames qui hantent les libraires en semaine, y laissant derrière elles comme un parfum ranci de vieille fête de la rose… Sa coupe de cheveux qui se BHLise d’année en année, sa petite bedaine de rock star sur le retour, ses petites lunettes carrées qui font tant « taisez-vous, je pousse, je vais avoir une idée… » Je le soupçonne, in fine, de déployer toute cette énergie télévisuelle et capillaire uniquement pour faire trempette de temps en temps dans une de ses groupies… – Faire trempette, si c’est du joli !

Vous vous demanderez : Mais comment en suis-je arrivé à réduire un « penseur » à un simple marketeur judicieux doublé d’un jouisseur cynique (dans l’acception moderne du terme, très cher Michel…) ? Eh bien, il n’y a pas plus simple : foutez les pieds une fois à son « université populaire », observez autour de vous ; – on est le produit de son public, après tout…

Pour ceux qui veulent aller plus en avant dans la compréhension de notre philosophe-chanteur de charme, je conseille la lecture de sa Politique du rebelle.

Claude Marion

Source : http://suavelos.eu

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Véronique Sanson tacle les catholiques : comme c’est original !

8 Novembre 2016, 07:28am

Publié par Thomas Joly

« Véronique Sanson tacle la religion catholique dans son nouvel album », titre Le Point. « Dans son titre phare “Dignes, dingues, donc”, la chanteuse raille une Église qu’elle trouve sectaire. Sauf le pape ! » Sur RTL, elle explique : « Ça m’est venu en voyant le messe de Pâques à la télé. Et je voyais tous les gens habillés pareils. On a l’impression que c’est faux, qu’ils ont besoin de se déguiser pour se faire respecter, alors qu’ils n’en ont pas besoin. »

Tacler la religion catholique ? Comme c’est original ! Quelle imagination. Ça ne s’est jamais vu. Et pourquoi pas, aussi, jouer du piano debout ? Sucer des sucette à l’anis ? Ou parler des rêves qui la hantent dans le port d’Amsterdam ? Avec son fils, sa bataille, par exemple.

Comme elle le chantait elle-même en 1984, « Le temps est assassin ». Et les artistes, avec l’âge, c’est normal, peinent à innover. Si vous croyez que c’est simple. Et c’est encore dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes : l’anticléricalisme est une valeur sûre, un peu vintage, certes, mais qui vous vaudra toujours une certaine couverture presse.

Puis, c’est sans risque. Elle garde un souvenir cuisant de sa chanson « Allah », en 1988, pour laquelle elle avait reçu des menaces de mort et qu’elle avait prudemment retirée de son répertoire avant son passage à l’Olympia. Elle ne la reprendrait plus aujourd’hui, reconnaît-elle, « pour éviter de tomber dans la provocation… » Mieux vaut provoquer les catholiques, c’est plus peinard.

Quand Georges Brassens (« Le Mécréant », « Dieu s’il existe », « Tempête dans un bénitier »), Jacques Brel (« Les Bigotes »), Léo Ferré (« Monsieur tout blanc »), Jean Ferrat (« Le Sabre et le Goupillon ») chantaient leur anticléricalisme, on pouvait trouver un certain panache dans ces accents de rébellion contre l’ordre établi, attendu que l’Église et ses clercs affichaient encore la superbe que donne l’autorité morale.

Mais aujourd’hui ?

Véronique Sanson avait 20 ans, ou presque, en mai 68. Et jamais le mot-valise « adulescent » n’a mieux collé qu’à cette génération-là. Elle est la vieille fillette que sa mère l’Église a vexée, par la voix, peut-être, de telle bonne sœur revêche et maladroite, de tel prêtre peu amène, et qui continue avec immaturité de lui en vouloir, incapable de voir que celle-ci est devenue chose bien fragile, attaquée de toute part.

Il n’y a donc vraiment que le pape qui trouve grâce à ses yeux ? Elle trouve le reste de l’Église « sectaire » ? Parce que les gens sont tous « habillés pareils » ? L’argumentaire est un peu faible. Une collégienne de 67 ans, on vous dit. Que l’on peine à suivre. Elle dit ça peut-être à cause de la chasuble, qui donne un vague air Temple solaire ? Le père Hamel était, lui aussi, « habillé pareil », pour célébrer sa messe. C’est même à cela que les terroristes l’ont reconnu. Véronique Sanson juge que les clercs n’ont vraiment « pas besoin de se déguiser pour se faire respecter ». Il faut reconnaître que, même déguisé, le père Hamel n’a pas été tellement respecté. Que n’est-il resté en pyjama devant sa télé ce jour-là. À son âge, c’eût été plus raisonnable. Comme le dit Sanson, il était digne, dingue, donc… il a été assassiné.

Il eût été, tiens, un bon sujet de chanson. Qu’elle aurait pu interpréter avec autant de sensibilité que « Et je l’appelle encore », un autre titre de ce nouvel album, qui rend hommage à sa mère décédée peu ou prou au même âge que le père Hamel.

Et un sujet inexploré celui-là.

Gabrielle Cluzel

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Intégration républicaine : 80 % des jeunes musulmans ne se sentent pas français

8 Novembre 2016, 07:18am

Publié par Thomas Joly

Révélé au détour d’un article du journal Le Point, une étude indique que 80% des musulmans ne se sentent pas français. Un chiffre qui préfigure un puissant mouvement séparatiste, sur fond ethnique et religieux, sur tout le territoire hexagonal.

Cela ne constitue pas une surprise pour ceux qui acceptent de regarder la réalité comme elle est, à savoir l’impossibilité pour n’importe quel pays européen ou occidental d’intégrer des masses extra-européennes et musulmanes toujours plus nombreuses.

Plusieurs régions historiquement françaises sont déjà démographiquement perdues dont le coeur de la Francie médiévale (Île-de-France). La désarticulation ethno-religieuse préfigure naturellement l’implosion politique du territoire précité sur cette base.

Le républicanisme français et sa nationalité administrative appartiennent objectivement au passé.

Source : http://breizatao.com/2016/11/07/france-80-des-jeunes-musulmans/

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Le Charles-de-Gaulle, cache-misère des armées ?

8 Novembre 2016, 07:06am

Publié par Thomas Joly

Visitant, en octobre 2015, comme beaucoup d’autres avant et après lui, le Charles-de-Gaulle avec une commission du Sénat, Jean-Pierre Raffarin, président de la commission des Affaires étrangères de la chambre haute, déclarait fièrement : « Les Français ne connaissent pas suffisamment le rôle du Charles-de-Gaulle : c’est à la fois une université militaire, c’est un pôle de compétitivité. Non seulement il y a toute la qualité humaine de nos armées, mais il y a la qualité scientifique, la qualité industrielle. » Fermez le ban !

Sans doute entendu et pour combler ce manque d’information des citoyens, les reportages et manifestations autour de « l’université » se sont enchaînés, motivés par les visites répétées du Président et les départs en campagne successives – trois depuis début 2015.

Lundi 7 novembre, France 3 a diffusé un documentaire de 90 minutes qui devrait combler les méconnaissances et idées fausses des téléspectateurs, s’il en demeure encore…

Mais dans le même temps, ce qui n’est pas étalé devant les Français, c’est l’état réel de nos forces et la vétusté de beaucoup de leurs équipements. Une intervention récente du député Cornut-Gentille à propos du budget 2017 lui fait dire devant la commission ad hoc : « Jamais la situation de la défense n’a été rendue aussi critique. » Sans entrer dans les détails qui peuvent être consultés sur le lien, il est clair que les trois composantes des armées sont affectées, mais particulièrement l’Armée de terre et l’Armée de l’air.

Matériels vieux de 40 ans, avions et hélicoptères de nouvelle génération livrés avec retard et en nombre restreint, fiabilité mise en défaut, acquisition en urgence de matériels américains pour pallier une rupture opérationnelle et affrètement de gros porteurs étrangers pour suppléer aux moyens nationaux limités. Ou encore, aux fins d’assumer les frappes aériennes contre Daech, les stocks étant épuisés, le réapprovisionnement en bombes encore auprès de pays étrangers.

Dans ce climat de « misère », les 20 millions (?) que coûte, par mois, le déploiement opérationnel du porte-avions peuvent, à juste titre, faire tiquer les chefs d’états-majors anémiés.

Alors, le Charles-de-Gaulle, outil de promotion du Président ou cache-misère des moyens de la Défense ?

Henri Gizardin

Source : http://www.bvoltaire.fr

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« Face à Face » du 7 novembre 2016 avec Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France

7 Novembre 2016, 11:35am

Publié par Thomas Joly

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L’Afrique souffrirait encore d’un système éducatif colonial…

7 Novembre 2016, 07:21am

Publié par Thomas Joly

Le 21e Salon international du livre, à Alger (SILA), vient de se terminer. L’Afrique, y compris le Maghreb, se sont soulevés de concert contre les dangers de la culture et de l’éducation, fruits d’un système éducatif « colonial ».

En effet, Abdelkader Messahel, ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des États arabes, a déclaré : « Nous avons un grand problème d’aliénation par rapport à l’Occident. L’origine de cette aliénation est notre système d’éducation hérité de la colonisation et qui perdure aujourd’hui avec des effets sournois. » Faut-il rappeler à ce ministre que la « colonisation » a pris fin il y a plus d’un demi-siècle ? Qu’attendent-ils, alors, pour se débarrasser de ces « effets sournois » ?

« Il faut se rapproprier l’Histoire, se rapproprier l’école pour qu’elle soit authentiquement africaine. Il faut que nos enfants soient fiers de cette culture. Le rôle des intellectuels est fondamental. L’Afrique aux Africains ! », a souligné Messahel.

De son côté, la Sénégalaise Hulo Guillabert s’inquiète que les programmes scolaires sont conçus, écrits et imprimés en France : « L’Afrique est un continent riche. Nous sommes assis sur un tas d’or et pensons que nous sommes sur un tas de poubelle. Ce n’est pas normal ! Il faut conduire un grand changement de conscience pour que l’Afrique devienne une terre promise pour ses enfants, au lieu d’être l’enfer qui les oblige à fuir vers d’autres cieux. » Hélas les nôtres ! Et, sur ce constat, nous sommes entièrement d’accord : faites tous les efforts nécessaires, tout ce qui est en votre pouvoir pour que des millions de vos enfants ne fuient pas vers l’Occident. Elle poursuit : « Il faut que le système scolaire soit totalement refondé, surtout en Afrique francophone où nous sommes tous le fruit d’un système éducatif « colonial » bien ficelé pour nous aliéner gravement. ». Même remarque que plus haut : pourquoi sont-ils encore aliénés plus d’un demi-siècle après leur indépendance ?

Hulo Guillabert a qualifié de « cancer » les programmes scolaires « caricaturaux » et non conformes aux identités et valeurs africaines : « Le cancer de la géographie européenne, apprise par cœur, du spectre de ces grands rois européens qui hantent l’esprit de nos enfants, alors que les nôtres sont totalement absents. Nos rois sont présentés comme des despotes, sanguinaires et esclavagistes. Il ne faut plus laisser l’Occident éduquer nos enfants de loin. » On serait tenté de dire : mais qu’attendent-ils donc pour prendre en charge l’éducation de leurs enfants ?

Une simple remarque, tout de même : si la Sénégalaise Hulo Guillabert et le Maghrébin Abdelkader Messahel peuvent se parler, s’entendre et se comprendre, c’est bien à l’éducation « colonialiste » française qu’ils le doivent, non !

Et si l’Afrique, y compris le Maghreb, voit nombre de ses enfants honorés par les prix Goncourt, Renaudot et autres – Leïla Slimani et Yasmina Reza ces derniers jours, Yasmina Khadra et Kamel Daoud, ces dernières années et, plus anciennement, Tahar Ben Jelloun, Amin Maalouf, le Malien Yambo Ouologuem, l’Ivoirien Ahmadou Kourouma, le Congolais Alain Mabanckou, le Guinéen Tierno Monénembo, la Rwandaise Scholastique Mukasonga, et j’en oublie -, c’est bien grâce à la culture, transmise par l’éducation de cette « colonisation » française, qu’ils doivent cette reconnaissance de leur talent !

Manuel Gomez

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Theresa “Iron Maiden” May respecte la voix du peuple britannique : une leçon

7 Novembre 2016, 07:15am

Publié par Thomas Joly

« Le résultat a été clair. Il est légitime. Les parlementaires qui regrettent les résultats du référendum doivent accepter ce que le peuple a décidé », déclarait aujourd’hui Theresa May, Premier ministre britannique. Une leçon d’esprit démocratique que feraient mieux d’entendre nos responsables politiques, souvent tentés de mépriser les Français. Effrayés par la démocratie directe depuis 2005, les différents exécutifs qui se sont succédé n’ont plus organisé de référendums. Ils sont censés « représenter » mais s’en éloignent chaque jour un peu plus.

Face aux parlementaires tentés de bloquer le Brexit, après que la Haute Cour a jugé qu’ils devaient être consultés, Theresa May et son gouvernement conservateur se montreront inflexibles, conscients de l’ampleur historique de la tâche qui leur a été confiée. Les parlementaires eurolâtres ne pourront pas empêcher ce que les Britanniques ont souverainement décidé, faisant fi des cris d’orfraie de la communauté internationale, des « pipoles » moralistes et de la classe médiatique. Le processus de mise en œuvre de la sortie de l’Union européenne sera lancé en mars, selon les souhaits de Theresa May.

« Ce n’est pas dans l’intérêt du pays, et cela ne nous aidera pas à obtenir de meilleures conditions pour la Grande-Bretagne. Nous devons maintenant nous concentrer sur la recherche de la meilleure issue. Cela signifie maintenir notre plan et notre ordre du jour, développer notre stratégie de négociation et ne pas mettre toutes nos cartes sur la table », a ainsi jugé celle qui fut députée de la circonscription de Maidenhead (un nom prédestiné).

Déterminée, intelligente, soucieuse des intérêts de la Grande-Bretagne, Theresa May est une dirigeante qui paraît à des années-lumière de ses contemporains européens.

La comparaison avec la France est très cruelle. Alors que nos voisins ont regagné leur indépendance et lancent une politique volontariste de réindustrialisation, notre Président se couvre de ridicule en se confessant à des journalistes, trahissant sans sourciller les secrets d’État les plus sensibles… Comprenons bien que la plupart des candidats déclarés aux élections présidentielles à venir entendent ne surtout rien changer.

Représentativité ? Personne n’envisage d’instaurer la proportionnelle. Insécurité ? Ils ne proposent que des réformettes. Immigration ? À l’exception de Marine Le Pen [et encore...], aucun candidat ne remet en cause la logique migratoire à l’œuvre aujourd’hui. Ces observations valent pour toutes les questions majeures. De leur côté, les Britanniques ont eu la chance d’élire David Cameron, un Premier ministre qui a fait concrètement ce qu’il avait promis en organisant le référendum. Une chance confirmée par la conservatrice Theresa May.

L’une des principales raisons du déclin de l’Occident est que ses élites n’ont pas su, ou pas voulu, entendre le bon sens populaire. Collectivement, les vieux peuples historiques sont sages. Légataires de centaines d’années d’Histoire, ils savent d’instinct ce qui est bon pour leur pays. Maintenant, il serait temps de faire confiance aux Français en organisant des référendums sur les sujets qui les engagent.

Gabriel Robin

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Ils aiment les immigrés sans les connaître

7 Novembre 2016, 07:12am

Publié par Thomas Joly

Après avoir démontré que le gauchiste est très généralement un membre de la bourgeoisie défendant en priorité ses intérêts de classe, grâce à « l’armée de réserve du Capital » (l’immigration), et décrit sa lutte éternelle contre la prise du pouvoir par le prolétariat - aujourd’hui naturellement acquis à la cause nationale grâce à sa compréhension du rôle protecteur joué par un état patriote (les ouvriers votent FN) - nous pouvons analyser les autres facettes de l’illégitimité foncière du gauchiste à parler d’un réel qu’il ne connait pas.

L’argument souvent décrié par le gauchiste du « j’ai un ami noir ou arabe », prononcé par le prolétaire pour se défendre d’une accusation de racisme, est assez éloquent ; en effet, le bourgeois de gauche n’a que très peu côtoyé l’extra-européen au cours de sa vie, compte-tenu de sa caste sociale de naissance, que ce soit à l’école, dans les très coûteux établissements d’enseignements supérieurs qu’il a fréquentés ou à son travail de cadre, de banquier ou de fonctionnaire bien placé, sans parler de son habitat très éloigné des banlieues multiculturelles.

Aussi, un simple coup d’œil sur sa liste d’amis Facebook démontre toute son hypocrisie par l’uniformité raciale des relations sociales qu’il entretient. Il n’est ami qu’avec des blancs, ce soi-disant amoureux du tiers-monde ! Le prolétaire, lui, va dans des écoles, et exerce métiers et loisirs de prolétaires… où il est bien plus à même de connaitre et d’échanger avec l’autre partie de la population défavorisée, comme il l’est lui-même. C’est à dire des noirs, des Maghrébins, et des Européens de l’est (polonais, balkaniques, roumains). 
Le prolétaire peut parler du comportement et de la nature des immigrés, car IL LES CONNAIT VRAIMENT.

L’immigré n’est pas un problème pour le riche possédant de gauche, il n’est en aucun cas un concurrent ou une source d’insécurité (puisque le bobo ne le croise jamais ou presque), bien au contraire en divisant le prolétariat et en empêchant toute lutte méritocratique pour le pouvoir et l’influence, il peut garder à jamais sa place de nanti ; en sa qualité de bourgeois, il sait pertinemment que la baisse des salaires (des prolétaires bien sûr) lui fera faire des économies qu’il pourra réinjecter pour son propre intérêt dès lors qu’il en aura besoin dans ses travaux, ses services ou ses biens de consommation au quotidien.  

Sa « haine de soi » n’en est pas vraiment une. C’est un égoïsme bien dissimulé. C’est aussi et surtout un refus de la lutte hiérarchique entre les hommes ; il se sait parfaitement illégitime et faible dans la compétition pour la survie, et n’a aucun intérêt à démarrer une compétition avec ses semblables, c’est pourquoi il renverse le jeu en niant les différences qualitatives entre les êtres dans ses discours, et en rabaissant le prolétaire blanc, lui reprochant par une inversion totale des valeurs toutes les aliénations du Capital dont il est pourtant la clé de voûte contemporaine.

D’où sa haine de la religion (1789 : lui, le bourgeois remplaçant l’aristocratie catholique), et encore une fois c’est assez ironique : pour en revenir à la problématique des migrants, ce sont bien aujourd’hui des familles catholiques et pieuses qui, contrairement aux riches gauchistes, prennent de leur temps et de leur énergie pour les accueillir chez eux, les nourrir et les aider à s’installer en France. Les « affreux religieux » sont les plus ardents défenseurs de la cause immigrationniste. Et pourtant, Mélenchon et toute sa clique continue de les détester viscéralement.

Double voire triple illégitimité dans le débat public du bobo, nous rappelant l’aspect essentiel de l’appartenance de classe comme ciment idéologique, et la lutte constante entre le producteur sédentaire (fermier, salarié, ouvrier) et le nomade parasite et cosmopolite (travaillant à la fonction publique, à la solde de l’Etat avec tous les avantages qui vont avec)…

Les symboles communistes qu’il tend à montrer dans les manifestations et les défilés avec allégresse, c’est bien joli… mais a-t-il seulement et ne serait-ce qu’une fois, vu ou utilisé une vraie faucille ou un vrai marteau ? Je parle des outils qui permettent de travailler, pas de l’image d’Epinal qu’on voit sur les drapeaux rouges.

Cédric

Source : http://suavelos.eu

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