Le préfet du Rhône menace des journalistes et tente d’interdire une liste
Le préfet socialiste du Rhône, Jean-François Carenco, n’en finit plus de faire parler de lui. Obsédé par la lutte contre les nationalistes, il a dépassé les bornes dimanche en faisant pression sur des journalistes pour qu’ils arrêtent simplement de parler à des personnalités politiques.
Un journaliste de Lyon Info a ainsi rapporté que le préfet l’avait interpellé pour lui dire : « Je ne savais pas que vous fricotez avec Gabriac. Vous me décevez » avant de revenir et de lui jeter : « Je ne vous parle plus ». Ce comportement inadmissible de la part d’un haut fonctionnaire de l’État n’a pas été sanctionné par son maître, tout comme lui inféodé aux ennemis de la France, Manuel Valls.
Dimanche soir également, le préfet s’est invité dans la campagne à Vénissieux, affirmant qu’il ferait tout pour interdire la liste nationaliste et l’empêcher d’être au second tour malgré le vote des habitants. Après plusieurs semaines de mensonges, colportés par ses services et de nombreux médias, ce militant politique a dû reconnaître qu’aucun « délit pénal n’était constitué ». Malgré toute sa haine de marxiste fanatique, il a été contraint de valider la liste Benedetti-Gabriac pour le second tour.