Nelson Mandela ou l’énorme imposture (par Guillaume Faye)
Dans la catégorie des icônes planétaires, coqueluche de la bien-pensance larmoyante, élevé au rang de Saint et de héros, on aura rarement vu mieux que Nelson Mandela.
Encore plus délirant qu’avec Che Guevara, cet autre héros de pacotille qui était en réalité une fripouille. Mandela fascine les pucelles antiracistes, les politiciens et les
intellectuels qui rabâchent comme des perroquets la vulgate idéologique du Système. Personne n’ose déboulonner l’idole.
« Mandela a payé dans sa chair ses idées » explique le pseudo-philosophe et essayiste cucul Frédéric Lenoir, auteur du pensum La guérison du monde (Fayard). Il le compare aussi à Socrate et à Gandhi. « Il s’est sacrifié comme Jésus », peut-on entendre répété en boucle. Tu parles… Le faux martyr Mandela a passé 27 ans en prison pour des faits de droit commun et de terrorisme et n’était nullement un prisonnier politique. Il dirigeait la branche militaire de l’ANC, l’UWS, spécialisée dans les sabotages et les attentats, au mépris des victimes innocentes.
La succession de Mandela donne lieu, au sein de sa famille (la
descendance de ses trois épouses), à une lutte de clan sordide, uniquement pour l’argent. Car Mandela n’a pas oublié, comme tous les satrapes africains, de faire fortune en piquant dans la
caisse. Sa seconde épouse, la sulfureuse Winnie, n’aurait pas déparé parmi les voyouses de la cour de Néron. En réalité, la légende Mandela est un montage médiatico-idéologique mondial
remarquable, un acte de propagande magistral ; qui passe sous silence non seulement la véracité du personnage mais son action politique, catastrophique : la transformation d’une république
autoritaire (la RSA), ethniquement scindée mais prospère et sûre, en un pays officiellement multiracial et démocratique mais miséreux, inégalitaire, anarchique, corrompu, où il ne fait pas bon
vivre.
En effet, Mandela, une fois à
la tête de l’État, a mis fin au régime de l’apartheid et à la domination blanche. Mais pour le plus grand malheur du pays, l’Afrique du Sud. Depuis que les Noirs sont au pouvoir, la RSA – c’était
prévisible – a plongé dans une sorte de chaos de basse intensité : criminalité explosive, services publics et infrastructures à la dérive, coupures électriques incessantes, créations de ghettos
blancs protégés. Sans compter l’incurie de l’État noir et la corruption endémique de l’ANC, African National Party (le parti unique de fait, despotique, clownesque et incompétent) : les
milliards de rands alloués pour la réhabilitation des townships noirs d’Alexandra et de Soweto ont atterri dans la poche des mafieux. Résultat : la misère, la crasse, les égouts bouchés, la
délinquance, 40% de chômage chez les jeunes, etc.
Les
autorités et les médias du monde entier (à commencer par Obama en visite dans le pays fin juin) refusent obstinément cette affreuse réalité qui contredit leur idéologie, pourtant reconnue en
silence par les Noirs eux-mêmes : « c’était dix fois mieux du temps du pouvoir blanc, de l’apartheid imposé par les Afrikaners. » Eh oui ! Un journaliste noir sud-africain au chômage
avoue, dépité : « Mandela est une icône mais les gens ont faim. Et la question récurrente, c’est comment survivre, jour après jour. [...] Mandela a voulu que, nous, les Africains du Sud,
soyons tous égaux. Un noble combat, évidemment. » (JDD, 30/06/2013). Il a tout compris…
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Mark Newton et de son petit ami australien Peter Truong. Voulant, selon leurs dires, éprouver les « joies de la paternité », ils avaient en 2005, après de
longues démarches, obtenu en Russie pour la somme de 8000 dollars un enfant conçu par GPA (gestation pour autrui) avec les gamètes d’un des deux hommes.
Les
enquêteurs ont découvert un journal méticuleusement tenu par les deux hommes relatant toutes leurs activités.
Oui, nous constatons chaque jour un peu plus les divisions qui s’installent dans la société française comme conséquence des initiatives de nos ministres fraîchement promus aux
commandes de la République : Il y a ceux qui entrent en résistance contre les prétentions idéologiques d’une minorité friquée et voilée derrière les marionnettes du gouvernement socialiste, et
puis il y a les autres, moutons de Panurge plus ou moins réveillés, qui par inconscience ou par intérêt, se laissent piétiner sous les rouleaux compresseurs du changement de syphilisation, selon
l’expression de la garde des sots.
Mais cela, c’est déjà le passé. Déjà de
nouvelles inquiétudes germent sur les chemins des écoliers : Qu’est-ce que vous dites ? « Refondation de l’école ? » Oui, c’est bien cela, il ne suffisait pas que Luc Chatel le
fourbe de droite, introduise le gender dans les manuels de SVT. Vincent Peillon veut maintenant organiser l’endoctrinement des enfants à l’école, dès la maternelle, en subventionnant, non pas
l’école elle même, mais des agents étrangers : associations LGBT et autres vilipendés : Ordre est donné aux recteurs d’académie de faire intervenir les milices de Pierre Bergé auprès de nos
enfants pour les embrigader dans les jeunesses pipées : l’horreur ! Comment de pas envisager l’autodafé des manuels scolaires, pour répondre à ces agressions contre nos enfants ? Pour répondre à
ces outrages contre notre responsabilité de parents ? Oui, la France se divise parce qu’une minorité de dictateurs illuminés prétend imposer son utopie délirante à la majorité des citoyens libres
de notre beau pays, et qui n’en veulent pas.
Branle-bas de combat à la maternelle Surcouf de Montpellier ! Pour les
moussaillons, la fête de l’école a en effet viré au halal obligatoire !
Nous sommes en 2013 et les populations d’origine extra-européennes, de plus en
plus nombreuses (et majoritaires dans certaines écoles), veulent imposer de nouvelles règles. Le plus triste est que parfois, ce sont les Français de souche, apeurés, qui devancent les
revendications communautaires…
Pour de nombreux parents, découvrant au dernier moment le « menu » 100 % religieux, ce fut un peu la merguez qui fit déborder le sandwich.
D’après Le Parisien, certains
parents « ont fait part de leur mécontentement, prenant même à partie le seul enseignant de confession musulmane au sein de l’équipe éducative. Puis, c’est au tour des parents laïcs
d’être pointés du doigt par des mères de famille faisant “l’amalgame entre laïcité et racisme”, selon une déléguée de parents d’élèves. »
La ville d’Épinal (Vosges) a approuvé le
versement d’une subvention de 2.463 euros à la loge maçonnique d’Épinal pour une réunion privée.
Dans
Le
commerce de la viande halal, est devenu en quelques années un business colossal, une filière incontrôlée, un moyen de prosélytisme d’un communautarisme exacerbé, un sujet de polémique politique
explosif et un immense marché de dupes.
Un certain nombre d’acteurs économiques ont
récupéré et instrumentalisé ce précepte religieux pour en faire un business.
L’instrumentalisation du
halal par certains acteurs économiques a très vraisemblablement contribué à accentuer le communautarisme.
Adapter l’offre et la demande compliquerait grandement la vie des abattoirs.
(…) On a fait beaucoup de progrès en matière d’étiquetage, mais dans ce domaine on ne peut pas connaître la provenance de la viande en raison d’une alliance objective entre les autorités
religieuses des cultes musulman et israélite et les représentants des différents intérêts commerciaux.
Dans l’abattage rituel, l’animal n’est pas étourdi. Il y a des ratés épouvantables et une agonie de la bête abattue qui dure en moyenne quinze minutes. La souffrance animale existe mais, en
France, les gouvernements n’ont jamais vraiment abordé le problème.
Après le 1er
« C’est seul et dans l’intimité que Barack
Obama a choisi de visiter la Maison des esclaves de l’île de Gorée en ce jeudi 27 juin », nous ont appris les dépêches : « Barak Obama s’est ensuite dirigé à pied, vers la
Maison des esclaves. Il s’y est recueilli devant la porte du “non-retour”. C’était une visite privée ». On a quand même vu les filles passer le nez par la porte ouverte sur la mer et
deviné la mère Michèle dans la pénombre. Ils étaient quatre, pas davantage, et on les comprend parce qu’on ne tient guère plus nombreux que cela dans la fameuse maison.
En effet, si Gorée – 900 mètres de long, 300 de large et quelque 1300 habitants – est connue pour ladite Maison des esclaves et son quai d’où seraient partis les bateaux négriers
emportant vers les Amériques leurs cargaisons humaines, il faut beaucoup d’imagination pour le croire. D’abord parce que cette bâtisse n’aurait pu contenir que quelques dizaines de malheureux,
ensuite parce que l’approche de la côte ne pouvait permettre de tels chargements. Bref, les bateaux négriers qui parcouraient les mers n’étant pas de frêles chaloupes conduites par des marins
d’eau douce, la situation géographique de la côte de Gorée rend à l’évidence impossible l’histoire qu’on y raconte. On nous dira bien sûr que tout cela est sans importance, Gorée, classée par
l’Unesco, étant devenue le symbole officiel de l’esclavage et de la traite négrière ; une terre où le Blanc d’aujourd’hui est prié de faire repentance devant la Nation noire, et le Noir
président de s’y recueillir au nom de ses pères. Dont acte obamesque, bushien, sarkozien, hollandais etc.
Comme
l’écrivait Le Guide du routard (Ed. 1991) : « Avec son charme et ses maisons rose bonbon, ce Buchenwald africain a des allures de Saint-Tropez tropical. On a du mal à imaginer la
souffrance et la douleur. » Sur quoi son concurrent Le Petit fûté renchérit : il faut « voir les musées, la Maison des esclaves martyrs, peut être même vous sentir
coupable, touché par l’horreur de la traite ».
Couronnés tous deux d’un prix Nobel de la Paix – Obama l’ayant même reçu par
anticipation, ce qui était plus sage –, les deux présidents figurent au sommet du Panthéon journalistique. C’est ainsi qu’on a pu entendre répéter en boucle, sur France 2 notamment, que
Nelson Mandela et Barack Obama sont « les deux premiers présidents noirs de l’histoire ». C’est sympa pour les Senghor, Diouf, Touré, Houphouët, Wade et autre Macky Sall, pour
ne citer que ceux là, mais il faut croire que pour les journalistes de la télé française, les présidents Africains comptent moins que du beurre de karité.


Dans le cadre de l'organisation
du Parti de la France et de la mise en place de ses structures, Jean-Claude Frappa, délégué départemental du PdF pour les Alpes Maritimes a reçu vendredi 28 juin Carl Lang dans sa permanence
d'Antibes.
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