Le blog politique de Thomas JOLY

Jenna Cartwright avait 21 ans ; elle était mère d’un tout jeune enfant. Elle a croisé le 30 mars 2011 la route de Bashir Gaashaan, un Somalien, qui l’a agressée, violée, assassinée, avant de jeter son corps dans un fossé.

Ce criminel africain avait reçu un ordre d’expulsion en 2009. Comme le note le Caligary Sun, « ses droits, en tant que trafiquant de drogue condamné à être expulsé, ont été jugés plus importants que le droit à la sécurité des citoyens canadiens ». Il n’a pas été expulsé et, au contraire, le Bureau canadien pour l’immigration et les réfugiés a fait libérer ce trafiquant de drogues, alors qu’un organisme national avait mis en garde contre sa grande dangerosité.

La sœur jumelle de la victime, Marissa Cartwright, a été informée par le journal canadien des conditions inacceptables de la libération du criminel africain : « Je ne peux pas croire ce qui s’est passé. Je me sens complètement trahi par mon gouvernement. Nous devrions être en mesure de compter sur notre gouvernement et de savoir qu’il nous protège. Je suis en colère, encore plus en colère qu’avant – tout cela me rend malade. ».

Le journal note : « mais la sécurité publique, apparemment, ne l’emporte pas sur le confort d’un trafiquant de drogue condamné ».

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