Syrie : Noël sera chaud (par Michel Lhomme)



Président du Parti de la France
Entretien avec Roland Hélie publié
dans Rivarol le 21/12/12
Vous venez de lancer une campagne militante pour la dissolution de SOS racisme. Pourquoi ?
Comme nous l’avons annoncé lors de la 6e journée de Synthèse nationale qui s’est déroulée à Paris le 11 novembre dernier, notre revue, au-delà de sa vocation purement éditoriale, entend désormais prendre des initiatives militantes afin de dénoncer les impostures qui gangrènent notre pays. Or, au premier rang de ces impostures, nous trouvons toutes les officines prétendument antiracistes. Depuis des années ces officines, grassement entretenues à coup de subventions publiques, polluent, à coup de diktats idéologiques pour les plus dociles et de procédures judiciaires pour les plus récalcitrants, le débat politique sur l’immigration. Elles servent les intérêts du mondialisme et portent une lourde part de responsabilité dans le processus de dilution de notre identité et, quelque part, elles favorisent aussi l’islamisation rampante de la France. Voilà pourquoi nous avons décidé de lancer cette campagne nationale pour la dissolution de la plus voyante d’entre elles, à savoir SOS racisme.
Mais SOS racisme n’est pas la seule
officine de ce type. Pourquoi avoir concentré vos tirs sur elle ?
Certes elle n’est pas, loin s’en faut, la seule. Toutes ces organisations mériteraient effectivement que l’on s’intéresse plus à leurs agissements. Néanmoins SOS racisme est sans doute, par son histoire et ses combines douteuses, la plus emblématique.
Rappelez-vous dans quelles conditions elle fut créée. Au milieu des années 80, Mitterrand alors Président et en chute libre dans les sondages eut l’idée de favoriser le lancement de ce mouvement afin de rameuter dans le giron de la gauche une partie de la jeunesse qui semblait lui échapper. En jouant sur la crédulité et les bons sentiments SOS racisme, dont l’organisation avait été confiée à un groupe de militants trotskistes issus de la Ligue communiste révolutionnaire et rassemblé autour de Julien Dray (qui légitimait ainsi son admission au PS), s’imposa très vite comme une véritable machine de guerre contre « la droite » en général et contre le Front national en particulier. En dénonçant régulièrement, comme c’était le cas lors de gigantesques concerts sur la place de La Concorde, toutes velléités d’entente entre « la droite » et le FN, SOS racisme offrait à Mitterrand et aux siens la tranquillité de rester à l’Elysée pour longtemps. Il faut dire que la pusillanimité indécrottable de « la droite » servis largement aussi les intérêts de Julien Dray et de sa clique.
Depuis, à vrai dire, rien a changé… Les acteurs ne sont bien sûr plus tout à fait les mêmes mais SOS racisme joue toujours le même rôle néfaste. Voilà pourquoi nous avons décidé de le dénoncer.
Vous dites que SOS racisme sert les intérêts du mondialisme. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ?
Nous pensons que le monde n’est plus dirigé aujourd’hui par les gouvernements des Etats mais par les Conseils d’administration des banques apatrides. Ceux-ci ont réussi à se substituer aux
pouvoirs politiques locaux afin d’imposer leur volonté de transformer la planète en un vaste marché mondialisé dans lequel l’Homme ne serait plus, à terme, qu’un vulgaire consommateur juste bon à
enrichir les comptes des multinationales. Dans cette conception du monde, il n’y a bien évidement plus de place pour les nations, les civilisations, les races et tout ce qui fait les différences.
Il en va de même d’ailleurs pour ce qui est des sexes si l’on s’en tient à la promotion faite de la fumeuse théorie dite « du gender ». Théorie qui fut, rappelons-le au
passage, introduite dans les programmes scolaires par un ministre du gouvernement Fillon… Mais revenons à SOS racisme. Pour arriver à ses fins, l’hyper classe mondialiste a besoin de
« forces de frappes » destinées à combattre toutes les formes de résistances qui pourraient se développer au sein des peuples et des nations. Voilà le rôle imputé à SOS racisme. Lancée
il y a 30 ans avec la mission de servir de soupape à la gauche socialiste, elle s’est transformée en petite domestique servile du capitalisme international.
Ce n’est pas un hasard si, depuis quelques semaines, SOS racisme commence à agiter les idiots utiles de service (Emmanuelle Béart, BHL, le chanteur Renaud, Yannick Noah et les habituels pétitionnaires de la « bien-pensance » institutionnalisée…) pour faire accélérer l’instauration du droit de vote aux étrangers promis par François Hollande dans son programme présidentiel. Notre campagne tombe donc à pic pour contrer cette nouvelle attaque contre ce qui reste de spécificité à notre peuple.
Comment se déroule votre
campagne ?
Celle-ci a débuté par la diffusion d’un tract (cliquez ici) sur les réseaux sociaux que nous commençons à bien maitriser. Nous avons ainsi rassemblé en quelques jours des centaines de réponses venant de toute la France et parfois même d’au-delà. Nous venons de publier une plaquette (cliquez là) reprenant les arguments que nous développons et qui est envoyée à nos fichiers et aux personnes qui signent notre pétition. Nous avons aussi le soutien précieux de la Nouvelle Droite Populaire dont les militants s’activent localement pour relayer notre campagne.
Disposant hélas de peu de moyens financiers, nous demandons aux signataires de reproduire eux-mêmes notre tract et de le diffuser autour d’eux. C’est déjà le cas dans plusieurs dizaines de communes. Plus ce tract sera diffusé, plus nombreux seront nos compatriotes informés de cette véritable escroquerie publique qu’est SOS racisme. Nous demandons aussi à nos contacts de porter nos textes à la connaissance des élus de leurs villes respectives afin que ceux-ci réfléchissent à deux fois lorsqu’ils seront sollicités pour verser des subventions à SOS racisme. Il faut savoir que les subventions publiques représentent 98% du budget de cette association. Sans notre argent ces mouvements n’existeraient plus.
Pensez-vous que votre campagne changera les choses ?
En demandant la dissolution, nous avons volontairement placé la barre haute. Alors, même si nous n’obtenons pas gain de cause, car nous savons que nous n’avons rien à attendre du pouvoir actuel, nous aurons au moins réussi à informer nombre de nos compatriotes sur les agissements de cette officine parasitaire antinationale. Nous aurons aussi semé le doute chez de nombreux élus qui, jusqu’à présent souvent par conformisme intellectuel, accordaient les subventions à SOS racisme. En cela, ce sera déjà une victoire.
Trop souvent, la force de nos ennemis réside dans nos faiblesses. Il est temps que la peur change de camp.
Comment vous aider ?
Contactez-nous, nous vous adresserons notre plaquette ainsi que le tract à diffuser. Aidez-nous à amplifier notre campagne (vous pouvez nous adresser un don par chèque à l’ordre de Synthèse nationale) à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (cliquez ici).
J’ai tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence d’un colis piégé. Difficile de l’aborder de front sans qu’il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile.
C’est pourtant l’interrogation capitale. J’ai hésité.
D’autant plus qu’en 1973, en publiant « Le Camp des saints », j’ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je n’ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont cuites. Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce qu’« ils sont chez eux chez moi » (Mitterrand), au sein d’une « Europe dont les racines sont autant musulmanes que chrétiennes » (Chirac), parce que la situation est irréversible jusqu’au basculement définitif des années 2050 qui verra les « Français de souche » se compter seulement la moitié - la plus âgée - de la population du pays, le reste étant composé d’Africains, Maghrébins ou Noirs et d’Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de l’islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne faisant que commencer.
TOUTE L’EUROPE MARCHE À LA
MORT
La France n’est pas seule concernée. Toute l’Europe marche à la mort. Les avertissements ne manquent pas - rapport de l’ONU (qui s’en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment -, mais ils sont systématiquement occultés et l’Ined pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le krach démographique de l’Europe des Quinze est l’un des phénomènes les plus sidérants de notre époque.
Quand il y a une naissance dans ma
famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l’incurie des « gouvernances » et qu’il lui faudra affronter dans son âge d’homme.
Sans compter que les « Français de souche », matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l’homme, de « l’accueil à l’autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un
arsenal répressif de lois dites « antiracistes », conditionnés dès la petite enfance au « métissage » culturel et comportemental, aux impératifs de la « France plurielle » et à toutes les dérives
de l’antique charité chrétienne, n’auront plus d’autre ressource que de baisser les bras et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule « citoyen » du Français de 2050. Lire la suite
Sans les écolos, la vie politique française serait un peu
tristounette ! On passera sur les turpitudes vestimentaires de Miss Duflot, sur le passé de chanteur kitch de Mamère, d’animateur très libéré de Dany le rouge ou sur les idioties du gueulard
de service, Karim Zeribi.
En fait, « Europe Écologie Les Verts », ça ressemble à un véritable asile de fous. Sorte de fossile de la IVe République, le mouvement écolo ne se fait à aucune discipline, et avec lui, le gouvernement est comme une classe mal tenue par un instituteur trop mou. On dira que les écolos sont un peu cons sur les bords… Ce ne serait pas grave si leur influence idéologique n’était pas disproportionnée par rapport à leurs pitoyables scores électoraux.
Mais la connerie peut coûter cher.
Le mardi 11 décembre, les députés EELV ont déposé une proposition de loi renforçant l’interdiction de l’exploration et de l’exploitation des gaz de schiste. Plus « khmer vert »
que jamais, le texte va au-delà de la législation actuelle. Dans celle-ci, seule la technique de la fracturation hydraulique était clairement proscrite. Si Hollande écoute Duflot et consorts, la
France va peut-être rater le train de l’histoire !
Il faut absolument le dire, en Europe, la France disposerait - avec la Pologne - du plus important gisement de gaz de schiste. Une véritable aubaine dans ce contexte de crise économique aiguë. Une aubaine qui pourrait nous rendre une belle part de souveraineté.
Selon les spécialistes, le virage géostratégique doit se prendre dès aujourd’hui. Avec leur toujours fraîche mentalité de pionnier, les Américains l’ont compris, et se lancent à fond dans l’extraction du gaz de schiste. Les énormes concentrations tournent déjà à plein régime. Tant pis si des accidents surviennent ici et là, cela a été le cas pour toutes les énergies, la palme allant sans conteste au charbon… auquel on reviendrait si on laissait faire les Verts, la France abandonnant ainsi le nucléaire qui nous avait redonné une indépendance certaine.
A un autre niveau, sans doute plus cruel, on peut aussi prendre
l’exemple de l’immigration, qui montre à quel point EELV est dans le déni total de la réalité. Quand j’étais jeune, naïvement, je pensais que les Verts défendaient l’environnement. Pour moi,
enveloppé dans d’illicites fumées, l’écolo chevelu rêvassait d’un monde bucolique aux doux sons d’une guitare. Et bien, j’ai dû me tromper, les Verts étant sans nul doute le parti le plus
« immigrationniste » possible, qui, s’il était seul au pouvoir, ouvrirait les vannes. Mais qui dit centaines de milliers d’étrangers en plus par an sur notre territoire dit
forcément bétonnage à tout va… Où est la logique ? Franchement, j’ai l’impression que ce parti politique est fou à lier, tellement antinational qu’on pourrait l’appeler « le parti
de l’étranger ». J’exagère ou non ?
Samedi après-midi, les Femen devaient manifester contre la charia devant l’ambassade d’Egypte, à Paris, avec Aliaa Elmahdy, blogueuse activiste égyptienne qui avait posté sur son blog une photo d’elle dans le plus simple appareil. Aliaa Elmahdy n’ayant pu se rendre à Paris, les Femen, attendues de pied ferme par les forces de l’ordre, n’ont donc fait qu’une revendication rapide… En restant habillées.
Observons que les Femen sont donc allées manifester contre la charia, étant habillées, et avec pour slogan : “No charia” et non pas “Fuck charia” ou “Fuck Islam”, et elles ne projetaient rien non plus avec des extincteurs portant la mention “Sperme d’Allah”…
Le 2nd Congrès du Parti de la
France se tiendra le samedi 9 février 2013, de 10h à 18h30, à la Salle des Fêtes d'Enghien-les-Bains, 18 avenue de ceinture. Événement important dans la vie de notre mouvement,
cette assemblée générale va permettre de renouveler nos instances :
- Le Conseil national, composé de 50 membres, est élu par les adhérents.
- Le Président du Parti de la France est également élu par les adhérents.
- Les membres du Bureau Politique sont élus par les membres du Conseil national.
Pour participer aux différents scrutins, il est impératif d'être à jour de cotisation le 9 février (les adhésions et réadhésions seront possibles sur place). Néanmoins l'inscription au Congrès doit parvenir au siège social du Parti de la France (6 allée des Templiers - 78860 Saint-Nom-la-Bretèche) pour le 18 janvier au plus tard.
Il sera possible à des invités non-adhérents du
PDF d'assister au Congrès et de découvrir notre mouvement mais ils devront être accompagnés d'un adhérent et s'inscrire également.
Pour tout renseignement complémentaire : 09.67.17.81.36 ou contact@parti-de-la-france.fr
L’ordre du jour sera le suivant :
10h-10h30 : Accueil et remise des dossiers ;
10h45 : Présentation des travaux de la journée et des opérations électorales ;
11h : Rapport moral du Président et vote du Quitus ;
11h15 : Rapport financier de la Trésorière et vote du Quitus ;
11h30 : Table ronde : préparation des élections municipales de 2014 ;
11h30-12h30 : Vote pour l’élection des membres du Conseil national ; Vote pour l’élection du Président ;
12h30 : Déjeuner libre (un bar et des sandwichs seront à la disposition des participants)
14h : Proclamation des résultats et réunion du Conseil national ;
14h30-16h30 : Interventions en tribune ;
16h30 : Présentation du Bureau politique ;
17h : Discours de clôture du Président.
Très bientôt, seront dévoilés les noms des cadres du Parti de la France qui prendront la parole lors des interventions de l'après-midi.
Les députés français, à l'épreuve du gros
micro mou, dénoncent la fiscalité non-confiscatoire de nos voisins et la liberté.
Le ministre belge
des affaires étrangères affirme que le départ de nombreux Français est une conséquence de la politique fiscale du gouvernement et qu'il n'est pas opposé à ce que d'autres exilés les suivent.
Les députés français ne pouvaient pas rester sans réagir et se sont empressés de tomber dans un piège régulièrement exposé par h16, celui du gros micro mou.
Chacun se fend donc d'une petite
déclaration sur l'affaire Depardieu et les déclarations du ministre belge. On notera qu'aucun ne réagit
aux propos d'un autre député, Jérôme Lambert, qui remet ouvertement en cause les principes de la France ; le patriotisme
souvent évoqué suppose apparemment plus de servir le gouvernement de son pays que de respecter ses valeurs. Si le doute existait encore, les déclarations des députés le lèvent : en France, la
multiplicité des partis masque à peine l'unicité de la pensée.
L'exhaustivité suppose que l'on commence par féliciter les députés lucides. Hervé Mariton, député UMP, propose de corriger le système fiscal plutôt que faire la morale :
« L'addiction à la dépense publique, c'est une véritable drogue, conduit à des augmentations d'impôts, et les augmentations d'impôts conduisent à certains exils fiscaux. On peut en penser ce qu'on veut moralement, je ne soutiens pas nécessairement le choix de ceux qui veulent s'exiler, mais plutôt que de leur faire la leçon, je commence par regarder si je ne peux pas corriger mon système fiscal. »
Saluons aussi, moins bas tout de même, Claude Greff, UMP :
« C'est vrai, aujourd'hui, le gouvernement est en train de "pénaliser" les riches, en tout cas ceux qui ont produit en France […] Concrètement, il faut qu'ils participent à l'impôt bien sûr, mais au moins à 50% [sans doute faut-il comprendre "au plus"], vous vous voyez travailler vous et donner davantage ? Ce n'est pas possible ! »
La courbe de Laffer semble avoir pénétré les esprits, mais 50% d'imposition – sans mentionner la TVA et autres taxes – n'est pas vraiment un niveau d'imposition incitant à la création de richesse. Le fameux "trop d'impôt tue l'impôt" est également intégré par Benoist Apparu, mais pour lui il faut sadiquement chercher à s'approcher très près de ce niveau fatidique : juste assez d'impôt pour bien matraquer les riches, mais pas assez pour qu'ils partent tous :
« On a un ministre des Affaires Étrangères belge, il y a quelques semaines le Premier Ministre anglais, le maire de Londres, qui disaient : "Venez mes petits Français, vous paierez moins d'impôt
à Londres ou en Belgique." Il est normal, sain, légitime, que les
riches payent beaucoup plus d'impôts – je dis bien beaucoup plus d'impôts – que tout le monde ; ça s'appelle la solidarité nationale. Il y a un moment où à force de vouloir trop les matraquer, eh
ben ils sont plus là, et donc on n'a plus de recettes fiscales. »
Voilà, faire payer aux riches beaucoup, beaucoup d'impôts – et surtout plus que tout le monde – c'est normal, sain et légitime. Vilain, le riche, vilain ! Il a de toute façon trop d'argent ; et les autres en veulent, de cet argent, alors... C'est la solidarité nationale, soyons généreux avec l'argent des autres. Bon, malheureusement, ils partent ensuite, mais on pourra faire de sacrés festins avec ce qu'on leur aura pris. Lire la suite
Les journalistes progressistes et
donc la quasi-totalité des journalistes français de l’audiovisuel, ne supportent pas le port d’armes à l’américaine. En fait, ils se résignent assez facilement à l’utilisation d’armes de guerre
dans les banlieues américaines, noires et hispaniques et même maintenant dans les banlieues françaises qui hélas leur ressemblent tant. Pour eux finalement, il n’y a qu’un port d’arme
inacceptable, c’est le port d'armes pour l’américain des campagnes ou cadre des villes, héritiers de l’esprit pionnier.
En un mot ils redoutent plus le citoyen armé que le criminel suréquipé, plus le justicier que le bourreau. Il s’agit donc d’une indignation idéologique. La couverture du drame du Connecticut, inacceptable et bouleversant, par les médias français en a apporté une nouvelle preuve. Avant même de connaître le nombre des victimes, la personnalité du tueur, les raisons de son acte, la campagne faisait rage pour l’interdiction de la liberté de porter des armes. Cela les intéresse plus que tout.
Alors bien sûr on ne reviendra
pas sur un amendement constitutionnel qui est une composante majeure de l’identité historique de l’Amérique. C’est cette identité que l’on attaque, celle d’un pays créé par une immigration
blanche et l’épopée du Far West, quoi qu’on en pense par ailleurs. Cette identité, on veut la remplacer par des identités de substitution et donc saper petit à petit ses composantes.
Il est vrai que le port d’arme peut être limité et porter un calibre à la ceinture comme un cowboy où avoir chez soi un arsenal de guerre à la Rambo, ce n’est pas la même chose. On pourra donc durcir la législation. Cela ne servira pas à grand-chose. Ceux qui veulent des armes, surtout les fous, pour ce genre de tuerie savent toujours s’en procurer et pas seulement aux Usa d’ailleurs.
C’est vrai aussi dans l'Allemagne
culpabilisée vis-à-vis de la violence ou dans les pays nordiques si pacifistes comme ne peuvent le nier les Norvégiens. Il y a eu des tueries de ce type en France, en Finlande où en Australie. La
législation n’est donc pas la solution. Quand aux psychiatres qui expliquent tout après, on les préférerait plus efficace avant.
Chaque pays en fonction de son histoire légifère sur le port d armes. Le parti médiatique voudrait interdire les armes aux Américains car le citoyen libre et armé fait peur à tous les totalitarismes. Ils feraient mieux d’être moins compréhensifs avec les « jeunes » de nos cités, surarmés sans que la loi ne les y autorise.
Cherchez l’erreur.
Pierre Bergé, symbole de la gôche caviar et
du socialisme donneur de leçons, mais surtout l’un des membres du lobby gay les plus influents, vient de dévoiler l’envers du décor du projet de loi pour le mariage homo, l’homoparentalité et la
PMA (procréation médicalement assistée). Prochaine étape : des « ventres à louer ». Ainsi, pour Pierre Bergé, « louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses
bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? C’est faire un distinguo qui est choquant. » Histoire de la dérive d’une civilisation…
Il y a encore deux
semaines, on se faisait traité d’homophobe si on expliquait que l’ouverture à la PMA conduirait de facto, selon la logique des fous qui légifèrent pour que l’homme crée des enfants dans les
laboratoires, à la légalisation des mères porteuses ou GPA (gestation pour autrui), ces pauvres femmes dans la misère, qui louent leurs ventres à des couples peu scrupuleux, pour qu’ils puissent
récupérer le nouveau né après la grossesse.
Ce procédé inhumain, qui instaure le retour à la marchandisation des corps, à une nouvelle forme d’esclavage en douceur des prolos par les bourgeois, serait logique dans un soucis d’égalité : si les lesbiennes peuvent avoir recours à la science pour fabriquer des bébés, pourquoi pas les gays ? On nous jurait que non, le socialistes nous traitaient de réacs…
Désormais, le lobby gay n’avance plus masqué
et fait part de sa demande légitime de pouvoir faire appel à des mères
porteuses. Le copropriétaire du Monde, socialiste émérite, artisan de la victoire de François Hollande, fondateur de Tétu et membre plus qu’influent du lobby homo, Pierre
Bergé, a donc déclaré en toute sérénité, dans un entretien pour Le Figaro, que « nous ne pouvons pas faire de distinction dans les droits, que ce soit la PMA, la GPA (gestation
pour autrui, NDLR) ou l’adoption. Moi, je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? C’est faire un
distinguo qui est choquant. » La voilà leur vision du monde !
On voit donc désormais
très nettement ce qui se profil derrière les revendication des lobbies homos, des bobos, du PS et derrière ce projet de loi digne des plus mauvais films de science-fiction : une société moderne
et civilisée, où l’on créera désormais des bébés dans des pipettes et où l’on expliquera aux enfants qu’il n’y a pas de différence entre un homme et une femme et où l’état supprimera les notions
de père et de mère…
Plus de morale, plus de religion, plus d’éthique plus aucune norme qui puisse limiter la jouissance et la consommation !!! Une forme extrême et prométhéenne de libéralisme, où plus aucune barrière ne doit être mise entre l’argent et le désir…
Le Meilleur des Mondes, c’est maintenant !
Ce sont des femmes, machinistes ou chauffeurs à la RATP : elles témoignent de la grave détérioration des conditions de travail, causée par certains de leurs collègues musulmans. Situation insupportable couverte par la hiérarchie…
Mercredi 19 décembre 2012. À l’occasion de
sa visite officielle à Alger, François Hollande s’apprête à faire acte de contrition au nom de la guerre d’Algérie. Le Président de la république française va céder une fois de plus aux sirènes
de la nouvelle idéologie dominante : la repentance altermondialiste. Récemment, des membres du gouvernement algérien ont exigé de la France la reconnaissance de crimes coloniaux et des
réparations financières sonnantes et trébuchantes. Immédiatement, une multitude d’associations françaises lui ont emboité le pas, réclamant que l’ancienne puissance coloniale paie des réparations
envers le peuple algérien. Ces groupes de pression sèment une fois de plus un sentiment de haine et de suspicion entre tous les Français, creusant encore plus le fossé qui les sépare.
Rien ne justifie, et surtout pas le droit international, que les Français aient, cinquante ans après, à endosser
collectivement la marque des malheurs et des sévices de l’histoire. « Le mal n’est pas une maladie collectivement transmissible et le passé n’est pas une fatalité. », a écrit
justement l’historien Jean-Pierre Rioux. Depuis une dizaine d’années, les lois mémorielles ont incité des groupes communautaires à se définir comme des victimes de crime contre l’humanité dont
ils aiment se présenter comme des descendants directs. On voit là l’usage anachronique et dangereux de notions récentes, qui ont servi à juger les responsables nazis devant le tribunal
international de Nuremberg. Si on continue ainsi, César et Charlemagne seront bientôt traduits devant la Cour pénale internationale de la Haye pour crimes contre l’Humanité…
Cette judiciarisation de l’histoire suscite actuellement
de vifs débats. Certes, il y eut une guerre atroce entre deux camps et il n’est pas question de nier les exactions du côté français comme du côté algérien. Mais aujourd’hui, la France doit
pouvoir affronter l’avenir sans honte ni repentance. Soyons enfin capables d’évoquer à la fois les erreurs de la colonisation en Algérie mais aussi l’œuvre des médecins tel que le docteur Roux de
l’Institut Pasteur. Car ce sont bien les services de santé français, souvent militaires, qui ont permis à la population algérienne de passer de un million d’habitants en 1830 à plus de 10
millions en 1962 ! À cette date, on comptait plus de 160 hôpitaux dans le pays et la faculté de médecine d’Alger était la seconde de France… La France avait créé un réseau routier de 54 000
kms, construit 23 ports, 23 aéroports, 34 phares, des milliers de kilomètres de chemin de fer et développé une riche agriculture. Alors qu’aujourd’hui, on sait que ce pays doit, malgré sa manne
pétrolière et gazière, importer la plupart de ses produits !
Jusqu’à présent, la France est le seul pays à multiplier
les lois mémorielles sur les sujets les plus variés. Nous sommes bel et bien devenus les champions du monde de la repentance. Bref, c’est ce qu’on appelle la concurrence victimaire comme si, pour
évoquer la souffrance des uns, il fallait oublier celle des autres ; comme si nous étions entrés dans une époque où nous serions tous des victimes ou les descendants des victimes d’hier ; comme
si la France tout entière devait faire chaque jour acte de contrition. La détestation de soi qui naît de la contemplation du passé ne sert à rien. Pire, elle peut même être très nuisible, parce
qu’elle vous fait réfléchir et chercher vainement. Spinoza disait avec raison que le repentir est une seconde faute…