Rassemblons la droite nationale le lundi 27 juin à Paris
Président du Parti de la France
L’Algérie c’est politiquement le bled
qui a le plus tout foiré tout vendangé tout gaspillé. Du gâchis du gâchis dont on n’a pas idée et il n’y a guère que les très vieux blédards et pieds-noirs pour savoir à quel dernier cran de
gâchis ce pays a été rendu en quelques décennies.
Voilà une province qui aurait pu devenir la Californie de l’Afrique mais qui, sans cesse attirée par un tropisme mortifère un irrésistible goût pour la merdification, est devenue une sorte de machin brejnevien grotesque, encroûté dans une fierté stérile et dans la dénégation de ses responsabilités.
Pays ruiné, pays dont on a honte de faire partie (honte souvent retournée en « fierté » disproportionnée), pays qui se coule lui-même par l’épuration systématique de tout apport occidental, par la persécution systématique des minorités chrétiennes et kabyles, jamais assez repu d’uniformisation et de nivellement vers le bas, à savoir vers l’arabisation et l’islamisation, garanties à toute épreuve d’immobilisme intellectuel et de stagnation économique.
Je sais bien que l’on est à une époque où « on
ne peut rien dire », une époque où c’est raciste de dire la vérité sur ce pays à commencer par celle-ci : les Algériens n’ont rien foutu de bon ni rien construit de beau depuis
l’indépendance. Allez-y voir à Alger. Il n’y a rien là bas qui fonctionne qui ne soit pas français ou chinois. L’énergie, le BTP, le transport tout… A côté de ça, il y a ce tintamarre permanent
pour les « martyrs ». Il y a le monument des martyrs le cimetière des martyrs la rue des martyrs l’esplanade des martyrs… Martyrs tués par les méchants blancs cela va sans dire.
Pourtant, cela reste à prouver. Lorsqu’on sait qu’à l’indépendance la première initiative du FLN, le parti encore au pouvoir aujourd’hui, fut de massacrer dans des conditions abominables plus de
100 000 « harkis », c’est à ne plus comprendre qui sont les bourreaux et qui sont les martyrs.
S’il y a bien une raison pour laquelle je n’ai à
priori aucune sympathie pour les CPF c’est parce que je hais d’instinct leur lâcheté sur les questions relatives à leur identité ethnoculturelle. Il n’y en a pas un seul pour inventer son propre
parcours. Tous ils copient, ils suivent. Pourtant ils se la jouent rebelles hein… C’est là leur défouloir : appliquer à la France la rage vengeresse qu’ils n’on pas les couilles d’appliquer à
leur pays d’origine, pourtant le vrai responsable de tous leurs maux.
S’il y a une révolte là bas souhaitons qu’elle soit brève et non sanglante. Souhaitons que la clique du FLN se fasse dégager avec des coups de pied au cul et se trisse par avion vers un désert bien infâme peuplé de scorpions et de serpents, univers à la mesure de leur capacité d’innovation prouvée et éprouvée, car il faut the right man at the right place.
Un pays uniformisé au point que la
population se compose à 98% de muslims n’a aucune leçon de tolérance à donner au monde. Un pays dont l’histoire est jalonnée de massacres de masse, de corruption et d’immobilisme n’a que le droit
de fermer se gueule et de demander humblement de l’aide.
Le « bled » je m’en souviens très bien. C’est très laid et très anxiogène. Cela se sent lorsqu’on y est : il y a là un truc qui déconne, et les « mystères de l’orient » n’ont en réalité rien de mystérieux et ne sauraient faire oublier un diffus mais constant sentiment de malaise. Le bled en été, lorsque 40% de chômage astreignent à résidence presque toute la population masculine de moins de trente ans, le climat brûlant catalyse ensemble les derniers éléments tangibles du paysage, goudron, ordures, et chats errants maintenant ainsi en état de perpétuelle ébullition une population pourrie par les ragots de palier et jalousies et terrorisée par un islam obscurantiste qu’il convient surtout de ne jamais offenser, population qui surnage en promiscuité étroite dans des HLM qui feraient passer les barres de Grigny pour des résidences de luxe. Oui parfaitement, la France même en HLM c’est un luxe. C’est à croire qu’ils ont oublié d’où ils viennent.
A l’image de nombre de nos concitoyens, je me
suis posé la question de savoir pourquoi la France et l’Angleterre mettaient autant d’acharnement à la déposition du colonel Kadhafi. Il y a quelque chose de suspect dans cette affaire, car on ne
met pas autant d’entrain à dénoncer les dérives de l’Algérien Bouteflika qui nous crache pourtant à la g… ouvertement. Étonnement d’autant plus grand aussi que la Libye ne constitue pas un enjeu
géopolitique majeur dans cette région du monde. A ses frontières, la Tunisie et l’Egypte qui ne risquent guère de lui porter un quelconque préjudice eu égard au chaos démocratique qui règne dans
ces deux pays récemment « libérés ».
On comprend d’autant moins que le fameux colonel ne va
guère plus loin que ses dérapages verbaux ou ses vociférations incantatoires. Grande gueule et petite ...
Seulement voilà, le colonel, qui règne sur quelques tribus de bédouins, est riche, très riche même grâce à son pétrole. Et, il n’est pas Ben Ali et sa gentille famille à dépecer le pays et à s’en mettre plein les fouilles. Bien au contraire, notre colonel met volontiers sa fortune au service de banques du développement en Afrique.
En fait Juppé, sous-ministre aux Affaires étrangères, acoquiné dans cette affaire aux Anglais qui font office de gardes-chiourmes, sert de bras armé aux intérêts américains.
La preuve nous en est donnée par une dépêche AFP qui
éclaire fort bien la situation.
La Société générale qui gérait 1,8 milliard de dollars du fonds souverain Libyan Investment Authority en a perdu plus de la moitié dans des produits financiers opaques, autrement dit pourris. De leur côté, aux Etats-Unis, le fonds libyen s’en est remis à une banque, Goldman Sachs comme par hasard, à hauteur de 1,3 milliard de dollars. En février 2010, il ne restait plus que 25,1 millions de dollars dans le portefeuille. Où est passé l’argent ? Mystère. Et ce n’est, sans doute, que la partie émergée de l’iceberg. Inutile de dire que les rapports se sont rapidement envenimés entre la banque et les Libyens au point que Goldman Sachs a dû rapatrier d’urgence et sous protection ses ressortissants installés en Libye.
Depuis, on a inventé une guerre civile en Libye, ce qui a permis à Obama de geler les avoirs libyens. Quant à la Société générale – dont l’affaire Kerviel à dévoilé l’étendue des compétences financières – elle peut dormir tranquille, Juppé veille sur ses intérêts avec les valets anglais.
Serge Boret Bokwango, membre de
la mission permanente du Congo à l’Office des Nations Unies à Genève (ONUG), a publié une lettre ouverte, reproduite hier soir sur le site d’information
italien Julienews, où il s’exprime sans ménagements sur les immigrés présents en Italie du Sud – et dont le nombre, via Lampedusa, ne cesse d’augmenter.
« L’Italie du sud », écrit-il, « ne reçoit pas seulement les ordures du nord mais aussi celles de l’Afrique (les immigrés africains, marchands ambulants et mendiants dans les rues) ».
« Les Africains qu’il m’arrive de voir en Italie », poursuit le diplomate congolais, « tandis qu’ils vendent tout et n’importe quoi et qu’ils se prostituent, représentent l’ordure de l’Afrique. Ces hommes, marchands ambulants sur les plages et dans les rues des villes, ne représentent en aucun cas les Africains qui vivent en Afrique et qui se battent pour la reconstruction et le développement de leurs patries. Eu égard à cet état de fait, je me demande pourquoi l’Italie, les autres pays d’Europe et les états arabes autorisent et tolèrent la présence de ces individus sur leur propre sol national. »
Bokwango conclut
ainsi : « J’éprouve un fort sentiment de honte et de rage vis-à-vis de ces Africains immigrés qui se comportent comme des rats qui infestent les villes. J’éprouve aussi de forts sentiments de
honte et de rage vis-à-vis des gouvernements africains qui favorisent le départ en masse de leurs déchets vers l’Italie, l’Europe et l’Arabie. »
« Ordures », « rats », « déchets », « ne pas tolérer leur présence sur le sol national »… Imaginez les réactions si un homme politique italien avait tenu de tels propos. Imaginez si un homme politique français – non, vous avez raison, c’est inimaginable.
La présidente du comité pour la mémoire
et l’histoire de l’esclavage, Françoise Vergès, revient sur le dixième anniversaire de la loi Taubira dans une interview au Républicain Lorrain :
«La recherche a été relancée, un travail sur les outils de médiation à destination du grand public, de nombreux ouvrages, des films, des documentaires, etc. ont été produits. Mais on peut regretter la place, toujours en retrait, réservée à l’esclavage dans les manuels scolaires, le petit nombre de lieux de mémoire qui sont consacrés aux traites et le sentiment que, finalement, elles n’appartiennent pas à l’histoire de France parce qu’elles ne relèvent pas de l’histoire hexagonale… »
En revanche, quand Clovis et Charles Martel passent à la trappe dans ces mêmes manuels, personne ou presque ne s'en offusque. A ce rythme,
combien d'épisodes historiques va t-il encore falloir supprimer au profit de l'esclavage pour que cette dame soit enfin satisfaite ? D'autant plus qu'elle n'est pas la seule à vouloir peser sur
le contenu des manuels scolaires : Fabienne Keller, sénatrice UMP du Bas-Rhin, veut carrément créer un manuel scolaire d’histoire franco-africain qui fasse référence dans les collèges.
Décidément, la repentance ne connaît point de limites...
On ne peut pas dire qu’on ne savait pas. Le PS est un
parti de voyous qui fait corps derrière ceux que la justice envoie en prison, la faute à la société, sauf si bien entendu le délinquant est un petit patron de PME. Pas étonnant que le PS défende
bec et ongles DSK et sa présomption d’innocence.
Cesare Battisti a été condamné par la justice italienne par contumace et reconnu coupable de quatre assassinats. Les victimes étaient surveillant de prison, agent de police, boucher et bijoutier – le bijoutier a été tué alors que celui-ci se promenait avec son fils, resté paraplégique après cette affaire – Bref que d’insupportables capitalistes exploitant férocement les travailleurs. Donc Battisti appartenait à une bande armée nommée Prolétaires Armés pour le Communisme. Bande armée est un terme bien trop faible, appelons un chat un chat et donc Le PAC n’était pas moins qu’une organisation terroriste. Voilà un peu le pédigrée du bonhomme, tout ce qu’il y a de plus recommandable.
Donc voilà notre Battisti, fait
citoyen d’honneur de la ville de Paris. C’est un peu comme si on faisait Khaled Kelkal citoyen d’honneur de la ville de Rome, au titre que celui-ci serait un réfugié politique lâchement traqué
par les autorités françaises pour des actes de terrorisme visant à ébranler le pouvoir en place et à le remplacer par une dictature; seule la couleur change rouge ou vert. En plus, si notre ami
terroriste écrit quelques livres, le tour est joué et notre héros devient l’étendard de la gauche.
Donc toute la gauche a défendu Battisti. BHL n’a pas hésité à mettre en cause la justice italienne (c’est une manie chez lui de mettre en cause les justices des états de droit). La justice a rendu son verdict. Que nenni, des auteurs français (Vargas et BHL, ne parlant probablement pas un traître mot d’italien), experts en tout, refont l’enquête, le procès et concluent à l’innocence de Battisti. Je pourrai encore parler de la doctrine Mitterrand qui garantissait l’asile à des terroristes ayant officiellement renoncé à la violence…Il suffisait de dire « j’abandonne la violence » et on pouvait tranquillement s’installer en France sous la bienveillance de Tonton.
Toute cette histoire sur Battisti, tout simplement pour expliciter quelque chose de très simple : le PS est un parti de voyous qui promeut et protège des voyous, assassin et violeur (présumé innocent) en tête.
Image d'avenir du jeune couple dynamique de la
France profonde pour les "hommes qui relient les hommes". A croire que pour les dirigeants d'EDF "donner au monde l'énergie d'être meilleur" passe obligatoirement par le
brassage des peuples et le métissage généralisé.
Encore un exemple du bourrage de crâne qui tend à faire accroire à nos compatriotes que la famille française monochrome est en passe de devenir une anomalie et que leur avenir dépend de leur faculté d'adaptation aux lois du Nouvel Orde Mondial qui entend araser les différences et créer une nouvelle "race" d'êtres indifférenciés, destinés à devenir des consommateurs unicolores, sans racines et sans âme. Vive le melting-pot !
Comme disait un autre slogan d'EDF : "l'avenir est un choix de tous les jours"... Sur ce plan là, leur vision de l'avenir n'est pas la nôtre !
Communiqué du Parti de la
France
Afin de favoriser la mixité dite sociale mais en réalité ethnique dans les collèges, l'UMP a le funeste projet de regrouper, dans les zones urbaines, les classes de 6ème et de 5ème dans certains établissements et celles de 4ème et de 3ème dans d'autres.
Outre le fait que cette mesure irresponsable aurait pour conséquence d'amener des problèmes dans les rares établissements publics où il n'y en a pas encore, il est tout de même sidérant que cette proposition émane d'un parti politique dont les représentants placent en règle générale leur progéniture dans des écoles privées préservées de la mixité "sociale" qu'ils veulent imposer aux Français !
Déplacer les problèmes ne résoudra en rien
la grave crise que connaît notre système scolaire qui doit avant tout être libéré de l'immigration, de l'idéologie marxiste et permissive héritée de mai 1968, du perpétuel nivellement par le bas
au nom d'un égalitarisme délirant, de la volonté de se substituer à l'éducation parentale au détriment de l'instruction des savoirs de base.
Le Parti de la France rappelle qu'il est favorable à la disparition du collège unique, à la suppression de la carte scolaire et à l'instauration du chèque scolaire permettant aux parents de choisir librement l'école de leurs enfants.
Dieu nous en
garde, nous ne sommes pas démocrate, et nous regardons tout ce qui touche ou relève de la démocratie d’un œil plus que méfiant, néanmoins la dernière facétie de Henri Emmanuelli mérite attention,
et elle mérite surtout une punition exemplaire.
Henri Emmanuelli se serait permis de faire publiquement un « doigt d’honneur » - adressé lors d’une intervention du Premier Ministre - en pleine séance des députés à l’Assemblée Nationale. Henri Emmanuelli insulte ainsi en premier lieu sa propre personne et sa propre famille sur qui la honte d’un tel geste ne peut que retomber, il insulte aussi tous ceux présents, ainsi que le lieu et les institutions qu’il représente, il insulte encore tous les Français, de quelque bord qu’ils soient, il insulte enfin la France et la république.
Henri Emmanuelli aurait immédiatement dû être sorti de la
chambre des députés, avec des crocs de boucher si besoin était, il aurait dû être dévêtu, attaché à la première borne ou au premier lampadaire et être fouetté jusqu’au sang comme une bête
malsaine, on aurait laissé son corps là quelques jours pour recevoir les crachats des passants et les ordures, avant que de l’envoyer chargé de chaînes au bagne pour y passer le restant de ses
jours à y casser des cailloux.
Ce traitement, en réponse à son comportement, aurait sans doute paru bien clément aux anciens de la Rome antique, à ceux d’avant l’amollissement et de la décadence, à ceux qui devaient lutter pour leur survie et pour imposer leur culture. Ce comportement, à peine commenté et considéré d’un œil amusé par la plupart, montre bien où en est notre pays, ses institutions et ceux qui les incarnent – après la « présumée » tentative de viol à New York, après les affaires de pédophilie ministérielles, après les lapsus révoltants et bas qui encombrent la bouche des personnalités politiques, après les insultes ordurières aux électeurs, après les… mais avant encore quoi ?
Comme le rapporte un article du Nouvel Observateur, un rapport prône la création
d'un congé paternité facultatif d'un mois, une façon de mieux répartir les tâches familiales et de faciliter l'égalité professionnelle entre femmes et hommes.
"L'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, et, dans son sillage, l'égalité sociale, ne peut être atteinte tant qu'il y aura inégal partage des responsabilités domestiques et familiales", écrit Brigitte Grésy, membre de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas).
Les enragés du travail (salarié) féminin oublient une fois de plus qu'égalité ne signifie pas identité et que l'idéologie la plus tenace se heurte un jour où l'autre aux réalités biologiques incontournables.