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Le blog politique de Thomas JOLY

Rediffusion du Forum du Parti de la France du 21/09/23

22 Septembre 2023, 06:57am

Publié par Thomas Joly

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Les députés européens macronistes vent debout contre le retour des frontières

22 Septembre 2023, 06:42am

Publié par Thomas Joly

Alors que la crise migratoire de Lampedusa mobilise l’Italie et inquiète toute l’Europe, l’Union européenne s’occupe d’interdire aux nations qui la composent tout contrôle de leurs frontières, sauf circonstances vraiment très exceptionnelles et pour un temps limité. Ce 20 septembre, les députés européens membres de la commission des libertés civiles à Strasbourg ont ainsi voté une réforme du Code des frontières fixé par les dramatiques accords de Schengen en vigueur depuis 1995. Le Parlement européen est prêt à négocier avec le conseil de l’UE des aménagements de l’accord de Schengen qui a privé les États européens de leurs frontières précisément au moment de leur Histoire où ils en avaient le plus besoin.

Museler les États européens

Pas question de traiter le drame de Lampedusa, donc. Pas question, non plus, d’empêcher certains gouvernements tentés d’instrumentaliser le sort des malheureux migrants pour orchestrer des pressions politiques. La Commission européenne, peu suspecte de patriotisme excessif, avait pourtant retenu cette idée après les événements de Biélorussie lorsque ce pays avait tenté de déstabiliser l’Europe en introduisant des milliers de migrants derrière la frontière polonaise.

Non, le sujet traité est bien plus urgent : il s’agit de museler les États européens tentés, devant l’ampleur du désastre, de contrôler à nouveau leurs frontières. Une réaction qui affole d’avance les instances européennes. Selon l’agence Europe, sise à Bruxelles et peu suspecte de patriotisme échevelé (elle se présente comme « la source, certains disent la Bible, de l'information sur l'intégration économique et politique européenne »), « la révision du Code frontière Schengen avait notamment pour ambition de répondre au chaos entre les États membres pendant la crise du Covid-19 et au rétablissement désordonné de mesures de contrôles aux frontières intérieures ». Traduction : lorsque les États européens sont confrontés à une crise, une vraie, ils retrouvent leurs frontières, seules capables de les protéger. Il faut donc urgemment « répondre à la multiplication des contrôles intérieurs appliqués par une poignée d’États membres dans la foulée des attentats terroristes et de la crise migratoire de 2015-2016, et cela, au détriment de leurs voisins ». En somme, des dirigeants mauvais coucheurs qui ont le culot de protéger leur peuple.

Pompe aspirante ?

Enfin, troisième objectif de cette révision ultra-sensible : traiter la question des mouvements de migrants au sein de l’Union européenne. Ces immigrés qui entrent en Italie et passent en France, en Allemagne, etc. Le texte prévoit d’introduire « la possibilité pour les États membres de se renvoyer des migrants en situation irrégulière appréhendés dans leur zone frontalière lors de patrouilles de police conjointes ». Le migrant clandestin venu d’Italie et pris à la frontière française retournera en Italie. Mais voilà, cette mesure de bon sens est assortie de restrictions : elle ne s’applique ni aux demandeurs d’asile, ni aux mineurs non accompagnés, ni aux familles accompagnées de mineurs. Avec le risque de créer une pompe aspirante non plus pour des migrants économiques seuls mais pour des familles entières. Ce risque n’est évidemment pas abordé. Rappelons que la France a dit non à l'Europe en 2005.

Enfin, dernière concession : si ce dispositif est finalement adopté - ce qui semble bien parti -, les États membres pourront rétablir leurs frontières dans certains cas. L’Union européenne est bien bonne pour nos vieilles nations souveraines depuis si longtemps et qui ont défendu cette souveraineté au prix du sang. Il faudra qu’il soit constaté une menace grave à l’ordre public ou à la sécurité intérieure, comme le terrorisme. On peut parier que ce dispositif sera autorisé de manière ultra-restrictive. Lorsqu’il le sera, il durera 18 mois et pourra être prolongé trois fois pour une durée de trois mois. Une souveraineté à durée déterminée, en somme. Ensuite, la Commission devra « produire à son niveau un avis sur la pertinence de ces contrôles internes ». Les nations réduites à l’état d’enfants mineurs.

Le groupe PPE (conservateurs dont font partie les députés LR) s’est abstenu lors du vote de ce rapport, le groupe ID (dont font partie les élus du RN) a voté contre, l’extrême gauche, la gauche, les Verts et les macronistes se sont, bien sûr, précipités, trahissant la fermeté de carton-pâte d'un Gérald Darmanin.

Marc Baudriller

Source : http://bvoltaire.fr

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L'intervention de Pierre Cassen de Riposte Laïque au cours de la Fête du cochon du PdF Bretagne

22 Septembre 2023, 06:15am

Publié par Thomas Joly

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Cherbourg : le Parti de la France apporte son soutien aux jeunes militants d'Argos

22 Septembre 2023, 06:06am

Publié par Thomas Joly

Cherbourg : le Parti de la France apporte son soutien aux jeunes militants d'Argos

Le Parti de la France apporte tout son soutien aux courageux militants d'Argos pour leur action de Cherbourg.

Pour avoir déployé des banderoles en soutien à Mégane et à tant d'autres jeunes Français et Françaises victimes de la racaille allogène, ils encourent 5 ans de prison.

Honte aux élus locaux responsables de cette mascarade, et à la forfaiture des magistrats ultra-politisés qui instruisent cette parodie de procédure, au mépris du droit.

Toute cette petite clique était pourtant bien silencieuse au moment de l'affaire Mégane, mais sans doute était-elle trop blanche et trop française pour mériter la compassion d'un système dont le rôle principal semble être d'organiser le massacre et le remplacement des Français...

Victor Jan de Lagillardaie - Membre du Bureau politique du Parti de la France

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Répartir les migrants dans les campagnes : l’exécutif publie un mode d’emploi

21 Septembre 2023, 06:48am

Publié par Thomas Joly

C’est ce qu’on appelle avoir le sens du timing. Alors que l’Europe a les yeux rivés sur l’île de Lampedusa, où plus de 10.000 migrants ont débarqué cette semaine, l’exécutif français, et plus précisément la Direction interministérielle à l’accueil et l’intégration des réfugiés (DIAIR), vient de publier un petit guide pour « accueillir et intégrer les personnes réfugiées en milieu rural ». Ce manuel doit permettre de « faciliter l’installation » des réfugiés dans les communes rurales et d'« assurer la réussite d’un tel projet ». Un projet politique annoncé par Emmanuel Macron, il y a un an, et dont de nombreuses communes rurales ont déjà fait les frais.

De faux arguments

« L’installation de personnes réfugiées dans les communes rurales peut être une opportunité tant pour les territoires et leurs habitants que pour les personnes réfugiées. » Dès les premières lignes de ce guide, le ton est donné : l’accueil des migrants n’est pas un risque ni un défi ou un danger, mais une « opportunité ». Opportunité sur le plan économique, plaide tout d’abord l’exécutif. Dans ce mode d’emploi, on apprend ainsi que l’installation de migrants permettrait de « dynamiser l’économie locale du monde rural ». « Faux », dénoncent des habitants de Beyssenac, village de Corrèze contraint d’accueillir une vingtaine de demandeurs d’asile depuis le début de l’été. « On ne les voit jamais sur les marchés du coin pour acheter des produits locaux, nous explique l’un d’eux. Ils vont faire leurs courses au supermarché, mais ça ne fait pas vivre notre village et nos producteurs. » « À la rigueur, si ce sont des familles que l’on accueille, ça peut maintenir une classe ouverte, mais c’est tout », concède un habitant du village. Même constat à Bélâbre, dans l’Indre, où la mairie prévoit d’installer un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA). « C’est une commune rurale, il n’y a aucun boulot ici », nous confiait ainsi un opposant au projet berrichon, en février dernier. « S’ils veulent travailler, ils vont s’installer dans une ville, donc l’argument économique est un faux argument », abonde un autre opposant. Il suffit de regarder ce qui se passe ailleurs pour s'en rendre compte. À Peyrat-le-Château, dans le Limousin, où un centre d’hébergement d'urgence pour demandeurs d'asile a été ouvert en 2014, « la majorité des personnes hébergées » ne s'installe pas durablement mais « rejoint finalement une grande ville, faute d’équipements suffisants », note la rédaction de France 3.

La DIAIR promet, par ailleurs, une revitalisation sociale. Mais à Beyssenac, de nombreux habitants peinent toujours à voir l’impact positif de l’accueil des demandeurs d’asile dans leur village. « Pour le moment, on a des femmes. Ça se passe relativement bien, malgré quelques méfaits. Mais dans six mois, on ne sait pas ce qu’on aura. Et quand on voit ce qui se passe à Lampedusa, on craint pour notre sécurité », nous confie l’un des opposants au CADA. Beaucoup de ces ruraux qui aiment et profitent de leur tranquillité craignent en effet de voir s’abattre sur eux le fléau de l’insécurité venu des grandes villes.

Éviter un nouveau Callac

Ainsi, si, sur le papier, l’initiative de réinstaller des migrants dans les campagnes semble excellente, dans les faits, la situation est bien plus complexe. Elle crée même un profond sentiment d’injustice dans ces territoires longtemps abandonnés par les gouvernements successifs. « On ne s’est jamais occupé de nous. Mais là, les migrants ont le droit à un accès prioritaires pour les soins, ils sont véhiculés pour leur trajets… Nous, nous n’avons pas les mêmes avantages », se désole un habitant de Beyssenac.

Ce guide a surtout vocation à éviter un nouveau Callac, ce village des Côtes-d’Armor devenu un symbole de la résistance contre l’arrivée des migrants en zone rurale. Grâce à une forte mobilisation citoyenne, la mairie avait fini par renoncer au projet d’accueillir des migrants porté par le fonds de dotation MERCI. Pour prévenir de nouveaux échecs, le mode d’emploi de la DIAIR préconise d’informer les habitants (cela semble la moindre des choses), de « valoriser les avantages » (quitte à minimiser les défis) et de faire appel à des « grands témoins », c’est-à-dire des militants de la cause des migrants (donc peu objectifs).

Si le projet de répartition des migrants en zone rurale n’est pas nouveau, il semblerait qu’Emmanuel Macron souhaite lui donner un coup d’accélérateur. Mais les campagnes, abandonnées des services publics, enclavées et désertées, doivent sans doute faire face à des défis plus prioritaires que l'accueil de migrants.

Clémence de Longraye

Source : http://bvoltaire.fr

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L'intervention de Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale, au cours de la Fête du cochon du PdF Bretagne

21 Septembre 2023, 06:08am

Publié par Thomas Joly

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Carburant : halte au racket d'État !

20 Septembre 2023, 20:04pm

Publié par Thomas Joly

Carburant : halte au racket d'État !

L'État a la possibilité de réduire immédiatement et significativement le coût du carburant à la pompe. Stop à l'arnaque !

Rejoignez le Parti de la France : https://www.parti-de-la-france.fr/adhesion

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Immigration : un rapport à l’emploi compliqué même dans les métiers en tension

20 Septembre 2023, 07:03am

Publié par Thomas Joly

Ce mardi 19 septembre à 11 heures, Boulevard Voltaire avait rendez-vous dans les bureaux de l’INSEE à Marseille. Au programme : la présentation de l’étude fondée sur un recensement datant de 2020 et portant sur l’immigration et l’emploi en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Trente minutes et quelques questions plus tard, nous savons désormais, de source sûre, que la part des immigrés dans la région est la deuxième plus élevée de France, avec 560.000 personnes nées de nationalité étrangère, à l’étranger et résidant en France, soit 11 % de la population locale. Trois points de plus que dans le reste de la France de province et neuf points de moins qu’en Île-de-France. Sans surprise, cette proportion (+1 %) et ce nombre d’immigrés (+123.000) sont plus importants qu’il y a trente ans. Et cela ne risque pas de s’arrêter, avec les arrivées massives de migrants sur l'île de Lampedusa en Italie, même si Gérald Darmanin, le ministre de l'Intérieur, a assuré sur l’antenne d’Europe 1, ce lundi, que « la France ne s'apprête pas à accueillir » une partie des migrants. Le prochain recensement fera foi, tout comme celui de 2020 est éclairant sur plusieurs points.

« Les immigrés moins souvent en emploi »

Le premier concerne le profil des immigrés présents en région PACA. Lors de la conférence de presse, Olivier Sanzeri, l’un des auteurs de l’étude, a fait remarquer que « les immigrés sont surreprésentés dans la classe d’âge de 15 à 64 ans » puisque « 72 % d’entre eux appartiennent à cette tranche d’âge ». Il a ensuite précisé : « Les enfants immigrés sont rares. 5 % des immigrés ont moins de quinze ans. » Cette faible proportion serait expliquée par le fait que « la maternité a tendance à être repoussée après la migration ». Les mauvaises langues diront que le principe de droit du sol permettant à toute personne née en France d’avoir la nationalité française à sa majorité, le droit aux prestations sociales (allocations familiales, prestation d'accueil du jeune enfant...) pour les parents d’enfants nés en France ou la prise en charge, par l’assurance maladie, des frais de santé (dont ceux liés à la maternité) de toutes les personnes résidant en France y est pour beaucoup. Nous ne nous aventurerons pas sur ce terrain.

Impossible débat

Ce sont sans aucun doute les paysages, la culture et la gastronomie ainsi que les nombreuses autres qualités de notre pays qui attirent tant d’étrangers. Ce qui est sûr, c’est que ce n’est pas l’emploi car, comme l’explique Olivier Sanzeri, l’accès au travail des immigrés est plus difficile que pour le reste de la population : « 56 % des immigrés de 15 à 64 ans sont en emploi, contre 72 % pour les non-immigrés. » Il ajoute : « À niveau de diplôme identique [le niveau bac+2 a été retenu pour l’étude, NDLR], les immigrés sont moins souvent en emploi. 65 % contre 81 % pour les non-immigrés. » Enfin, Gilles Fidani, également auteur de l’étude, aborde la question des métiers en tension et « observe que 30 % des immigrés exercent un métier en tension, contre 38 % pour les non-immigrés ». Un constat régional qui pose tout de même la question de la pertinence de la proposition de Gérald Darmanin de créer un titre de séjour « métiers en tension ».

Sarah-Louise Guille

Source : http://bvoltaire.fr

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Hausse des prix du carburant : nos gouvernants se foutent de nous !

19 Septembre 2023, 06:48am

Publié par Thomas Joly

Hausse des prix du carburant : nos gouvernants se foutent de nous !

Les montants délirants atteints par le carburant en France et en Europe deviennent totalement insupportables pour les automobilistes. Cette forte hausse s'ajoute à celle de l'énergie et de l'ensemble des biens de consommation qui frappe de manière continue l'ensemble des ménages depuis des mois.

Le gouvernement ose demander aux grandes surfaces et aux stations service de vendre à perte alors que les taxes d'État représentent 60 % du prix payé à la pompe ! Ils se foutent ouvertement de notre gueule !

Au-delà de la volonté de faire les poches des Français pour financer notre système néo-marxiste, nos gouvernants souhaitent clairement réduire drastiquement la liberté de circuler des Français et en finir au plus vite avec la voiture individuelle ; au profit de transports collectifs insuffisants, inefficaces, gangrénés par la délinquance étrangère et mis à l'arrêt régulièrement par des communistes enragés.

La France a besoin d'un grand coup de balai ! L'oligarchie en place doit tomber.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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De Samuel Paty au jeune Nicolas : itinéraire de Charline Avenel, une rectrice hors-sol

19 Septembre 2023, 06:17am

Publié par Thomas Joly

La rectrice de l'académie de Versailles, mise en cause dans le suicide très médiatique du jeune Nicolas, le 5 septembre, est dans l'œil du cyclone. Au-delà même de ce courrier, des mots employés et des manquements éventuels, son parcours est emblématique d'une partie des maux qui dissolvent l'Éducation nationale. « Les femmes et plus largement toute la société ont encore du chemin à faire pour parvenir à l’égalité », déclarait Charline Avenel, dans une interview publiée sur le site Sciences Po Carrières. Mais dans ce combat, chacune pour soi et toutes les iniquités sont autorisées ! Pour la nommer rectrice de l’académie de Versailles, Macron n’hésita pas à modifier les règles de nomination en les assouplissant jusqu’à les faire plier, car sa camarade de promotion à l’ENA n’avait pas les diplômes nécessaires. Le Conseil des ministres avalisa cet aménagement en octobre 2018. Elle quitta alors son poste de secrétaire générale de Sciences Po.

Cette nomination sur mesure aurait pu inciter Charline Avenel à s’impliquer longuement dans la vie de l’académie de Versailles, gigantesque machine scolaire qui regroupe les Yvelines, l’Essonne, les Hauts-de-Seine et le Val-d’Oise. Il faut croire que ce n’était pas aussi amusant que ça en avait l’air, ou que le salaire n’était pas à la hauteur des embêtements. En avril dernier, elle postulait au poste de directrice générale de la Fédération française de football ! En vain. En juillet, adieu Versailles : Charline Avenel rejoignait la direction générale du groupe Ionis, groupe d’enseignement privé spécialisé dans les domaines des transformations technologiques, du business, du management et de l’innovation. Des créneaux plus clinquants que « enseignement moral et civique » et qui lui vont comme un gant. « J’ai compris tout le potentiel de la tech pour faire réussir nos élèves », proclamait-elle au salon Viva Tech, en mai 2019. Une vision proche de celle du songe-creux élyséen, promoteur de la Tech for Good (la technologie pour le bien, NDLR), engagement qui veut « définir des modèles de développement qui mettent la technologie et le numérique au service de l’humanité »

Mais nouvelles technologies et technocratie ordinaire ne résolvent pas tout. Elles n’ont été d’aucun secours pour sauver la vie de Samuel Paty, l’affaire qui a entaché la « gouvernance », comme on dit, de Charline Avenel à la tête de l’académie de Versailles. Au caractère abominable de cet acte terroriste islamiste à l’égard d’un professeur, poignardé, éviscéré et décapité par un Tchétchène – tout ça pour avoir été Charlie – s’ajoute un fait, aujourd’hui établi : sa hiérarchie, donc sa rectrice, a laissé tomber Samuel Paty avec une lâcheté non dénuée de cruauté – voyez le livre de Stéphane Simon, Les Derniers Jours de Samuel Paty – Enquête sur une tragédie qui aurait dû être évitée (Plon). Les sœurs de la victime ont d’ailleurs porté plainte contre l’État.

Comme si cela ne suffisait pas, on découvre maintenant que Charline Avenel a laissé de la poussière sous le tapis. Nicolas, 15 ans, s’est donné la mort début septembre après des années de harcèlement scolaire. Les parents avaient à plusieurs reprises signalé les faits, au point que le rectorat de Versailles les avaient… menacés de poursuite ! Le courrier administratif qui fait scandale est clair : « Aussi, dans l'intérêt de votre enfant et par souci d'exemplarité à son égard, je vous enjoins d'adopter désormais une attitude constructive et respectueuse envers les autres membres de la communauté éducative et, plus largement, tout le personnel de l'Éducation nationale qui œuvre à la prise en charge de votre fils et agit au mieux à son égard. Je serais contrainte, le cas échéant, de prendre toutes les mesures nécessaires tant au bon fonctionnement du service public de l'Éducation nationale qu'à la protection et à la sécurité des personnels qui y concourent. » Ce courrier du 4 mai 2023 n’est pas signé « Charline Avenel » mais il a été écrit sous sa direction et il est à son image : un courrier de « techno », inhumain et bureaucratique.

Simple comme un coup de fil

Invitée de France Bleu Paris en 2019, la rectrice invitait les parents et les élèves à « faire confiance à l’institution » pour lutter contre le harcèlement scolaire et indiquait deux ressources principales : téléphoner au 3020 (simple comme un coup de fil !) et le « banc de l’amitié » dès la maternelle où l’on comprend combien « l'empathie, le collectif est important ». On ignore si Charline Avenel a essayé de faire asseoir sur ce banc de l’amitié des ados élevés au rap, aux jeux vidéo et aux réseaux sociaux… Totalement hors-sol, la rectrice vantait, plutôt que les sanctions à l’égard des harceleurs, « des dispositifs qui misent sur l’empathie, par exemple le dispositif de préoccupation partagée » (sic). Une empathie dont elle semble elle-même grandement dépourvue – les parents de Nicolas sont là pour en témoigner.

Samuel Martin

Source : http://bvoltaire.fr

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Jonathan Sturel est l'invité de Martial Bild sur TV Libertés

19 Septembre 2023, 06:04am

Publié par Thomas Joly

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La France expulsée d'Afrique ? Alors l'Afrique doit quitter la France !

18 Septembre 2023, 06:49am

Publié par Thomas Joly

Depuis moins d’une paire d’années, la France encaisse, en Afrique,  des « coups de pieds au derrière » sans rien dire. Elle bat piteusement, en retraite. L’ancienne puissance coloniale de l’AOF et de l’AEF plie sous les injonctions d’une clique de colonels et de généraux de pacotille formés -  un comble ! – dans ses écoles militaires.

Ça commence par le Mali où, en août 2018, Assimi Goïta destituait le vieux président Ibrahim Boubakar Keïta, dit « IBK ». Avec, à la clef, « prière à l’armée française de dégager  », où elle a laissé tout de même, 58 des siens pour empêcher les djihadistes de s'emparer du pays. Depuis, ces derniers gagnent du terrain et, au train où vont les choses,  conquerront à terme,  Bamako. Une capitale où François Hollande, grotesque comme d’habitude, avait déclaré que « c’était le plus beau jour de sa vie » lorsqu’il fut reçu triomphalement par une population morte de trouille, heureuse de voir nos képis et bérets débarquer chez eux. Aujourd’hui, la donne a changé. On loue la Russie et les mercenaires de Wagner, lesquels  sont dans les coulisses, se payant comme en République Centrafricaine, « sur la bête », sans que leurs efforts soient à la hauteur de ceux de nos soldats. Une constatation. Alors que nous partons tête basse de ce pays, en France, l’excitée Assa Traoré continue de narguer les autorités avec son « cirque » permanent, et sa famille de repris de justice. D’ailleurs, posons-nous une bonne question : pourquoi autant de jeunes Maliens sont  chez nous, alors que leur patrie est en danger ?

Et de deux, et de trois…

Le 5 septembre 2021, le lieutenant-colonel Mamadi Doumbaya renversait en Guinée, le dictateur Alpha Condé au pouvoir depuis 11 ans. Dans la plus pure tradition des « golpe », « Alcazar remplaçait tapioca » ! Depuis, pour le Guinéen de base, rien n’a changé…Le seul Guinéen de haut niveau sensé, c’est le cardinal Sarah, qui  a une juste vision de la question migratoire.

L’année dernière, c’était au tour du Burkina-Faso, l’ancienne Haute-Volta, de passer sous le contrôle d’une junte militaire dirigée par un jeune capitaine de 34 ans, Lequel exigeait le départ des commandos de forces spéciales françaises, qui opéraient dans tout le Sahel, dans le cadre de l’opération «  Sabre ». Résultats des courses ? Les 3/4 du Burkina sont infestés de rebelles musulmans, et les pertes de l’armée comme des civils sont très lourdes. Tout comme au Niger où, là aussi, les militaires du cru qui ont embastillé leur président,  exigent le départ des 1500 soldats  de la République française  stationnés à côté de Niamey, ainsi que celui de l’ambassadeur de France. Ce dernier  en serait réduit à manger des rations de combat, dixit Emmanuel Macron. Le pauvre ! Quelle déchéance….

La méthode gabonaise

Il me revient en mémoire qu’en1964, au Gabon, le très francophile président Léon M’Ba était renversé par une poignée de galonnés. Moins de 48 heures plus tard, il était rétabli dans ses fonctions. Une compagnie de parachutistes « gaulois » était passée par là, à Libreville ! (CQFD)  Autres temps, autres mœurs, la « Françafrique » - France à fric ? - c’est fini . Et puisque nous sommes au Gabon, restons-y, provisoirement.

Le mercredi 30 août dernier, là aussi, le chef de la garde présidentielle, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, pourtant lié à la famille, a  destitué le président Bongo, fils de son père Omar, une véritable dynastie qui pille peu ou prou leur pays depuis plus de 50 ans. Le patrimoine du président déchu est estimé à 150 millions d’euros. Ali faisait vivre toute une tribu de parasites. (Aurait pu faire mieux s’il n’avait pas été déposé !!) Le Gabon est un pays riche en pétrole, en minerais recherchés  et en bois précieux. Sans compter qu’une nature belle et farouche pourrait attirer des masses de curieux et déverser, ainsi, la manne d’un tourisme responsable. Une différence avec les putschs précédents, là, on n’a pas réclamé le départ de la France, et les Russes ne semblent pas être dans le coup. D’ailleurs, peut-on leur en vouloir de tailler des croupières à la France, alors que cette dernière, avec Macron à sa tête, est à la pointe du soutien à l’Ukraine, prête sans doute, à se battre jusqu’au dernier ukrainien vivant ?

« Le camp des Saints », un roman prémonitoire

 Alors que le débarquement sauvage de milliers de clandestins sur les côtes de l’île italienne de Lampedusa, annonce la continuité d’un mouvement de populations du Sud vers le Nord, nous sommes, nous Français, progressivement chassés d’Afrique. Ce « Camps des Saints »- l’ouvrage majeur de jean Raspail, -  est appelé à se renouveler en permanence, si l’Europe ne prend aucune mesure autre que de  répartir ce « stock  humain » entre les 27, dont beaucoup d’Etats à l’Est,  et à juste raison, ne veulent pas.

L’Afrique nous met à la porte ? Mettons les clandestins Africains dehors !

 Dans un mouvement symétrique, nous devrions, nous Français, expulser massivement tous ces Africains clandestins qui vivent pour la plupart à nos crochets – quand ils ne vendent pas, ici ou là, des Tours Eiffel ! - grâce aux dons de l’Etat et à la complicité d’un tas d’œuvres dites « charitables », qui ne sont en fait,  que les « collabos » d’une invasion migratoire. Il est temps de dire, comme les Australiens, « No way », et d’envoyer les escadres navales européennes vers les côtes libyennes et tunisiennes, pour bloquer tout départ de migrant. Faute de cette décision salutaire, l’Europe croulera sous le nombre, c’en sera fini de l’une des  plus brillantes  civilisations de la planète. Comment voulez-vous qu’un Bantou remplace un Serbe, un Danois, un Catalan ou un Breton, en moins de temps qu’il n’en faut pour qu’une génération apprenne nos mœurs, usages et coutumes, bref qu’il s’assimile ? C’est une gageure inatteignable, les dernières émeutes qui ont ébranlé la France en sont la preuve. Une seule solution : l’Afrique nous met à la porte, nous Français ?  Alors mettons l’Afrique à la porte  de chez nous ! Et que l’on ne nous raconte pas de sornettes avec le refus des Etats  concernés d’accepter leurs ressortissants , nous avons de solides moyens de rétorsion : suppression des visas,  refus généralisé de la venue des étudiants du continent noir, confiscation des biens de toutes leurs « excellences », mise sous séquestre des avoirs de ces pays dans nos banques, arrêt des transferts d’argent pour les Africains en situation régulière, fermeture des robinets des aides diverses, etc…Il sera toujours temps, plus tard, de renouer les liens d’une coopération fructueuse pour les deux parties.

Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France

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Lampedusa : il faut stopper l'invasion migratoire par tous les moyens !

18 Septembre 2023, 06:35am

Publié par Thomas Joly

Lampedusa : il faut stopper l'invasion migratoire par tous les moyens !

L'invasion migratoire par bateaux sur les côtes italiennes n'est certes pas nouvelle mais elle a pris une ampleur considérable ces jours-ci.

Une fois encore, avec la complicité des institutions de l'Union Européenne et des gouvernants lâches et serviles, ces milliers clandestins seront répartis dans toute l'Europe, avec nécessairement une large part pour la France où ils toucheront immédiatement des aides et bénéficieront d'un logement et de soins gratuits.

Il suffit pourtant d'avoir la volonté politique pour empêcher cette submersion. Premièrement : supprimer les pompes aspirantes de l'immigration ; deuxièmement : adresser un message fort aux passeurs et aux migrants à l'aide des forces navales. Ces embarcations de migrants doivent être empêchées d'accoster par tous les moyens et les passeurs (ONG comprises) doivent être condamnés à plusieurs dizaines d'années d'emprisonnement.

Il n'y a que comme ça que l'on empêchera toute l'Afrique de se déverser en Europe.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Józef Piłsudski, le vainqueur de l’Armée rouge

18 Septembre 2023, 06:07am

Publié par Thomas Joly

Józef Piłsudski, le vainqueur de l’Armée rouge

La Pologne, qui avait disparu en tant qu’État souverain au dix-huitième siècle, renaît en 1918 à la faveur de la défaite des empires centraux. Immédiatement, un homme s’impose à sa tête : Józef Piłsudski. Tour à tour activiste politique, chef de parti, puis chef de guerre, il devient chef de l’État et prend en mains les destinées de son pays. En 1920, alors que la Russie a décidé de propager la révolution à tout le continent et que l’Armée rouge est aux portes de Varsovie, il lui inflige une défaite cinglante et sauve ainsi l’Europe du bolchevisme.

Au cours des années suivantes et jusqu’à son décès en 1935, il va s’imposer comme le vrai maître du pays bien qu’il n’en ait jamais été Président de la République. Son aversion pour le parlementarisme, son mépris pour les politiciens professionnels comme son caractère intransigeant vont le conduire à instaurer un régime qui, bien qu’indéniablement autoritaire, ne saurait être considéré comme totalitaire ou fascisant. Il va stabiliser le pays et tenter de le préparer à faire face aux menaces liées à une situation internationale préoccupante. Malgré ses efforts et une volonté hors du commun, il n’y parviendra pas et l’année 1939 sera hélas fatale à la Pologne.

L’auteur, Michel Vial, en fin connaisseur de la Pologne, décrit avec précision l’itinéraire extraordinaire de celui qui incarne indubitablement le nationalisme polonais et dont la personnalité exceptionnelle continue d’exercer, près d’un siècle après sa disparition, une influence considérable sur la mémoire nationale polonaise. Méconnu en France, le maréchal Piłsudski, a été un des personnages les plus marquants de la première moitié du vingtième siècle.

Pour le commander, c'est ici : https://synthese-editions.com/produit/chn-26-jozef-pilsudski-le-vainqueur-de-larmee-rouge/

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Invité de marque pour le nouvel entretien du PdF : Bruno Gollnisch !

17 Septembre 2023, 20:03pm

Publié par Thomas Joly

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