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Le blog politique de Thomas JOLY

L'assistanat, ce fléau

30 Novembre 2024, 12:13pm

Publié par Thomas Joly

L'assistanat, ce fléau

1. Le coût exorbitant de l’assistanat en France

L’assistanat, terme souvent utilisé pour désigner l’ensemble des aides sociales en France, représente un coût colossal pour les finances publiques. En 2023, selon les données officielles, la protection sociale absorbe près de 32 % du PIB national, soit plus de 800 milliards d’euros par an. Cette somme, destinée à financer des prestations variées (RSA, APL, allocations familiales, etc.), dépasse de loin les moyens consacrés à des investissements structurants tels que l’éducation ou la défense.

Ce modèle, unique en Europe par son ampleur, repose sur une redistribution massive des richesses. Il s’ensuit une pression fiscale parmi les plus élevées du monde occidental, avec un taux moyen d'imposition atteignant 45 %. En clair, les ménages actifs, et notamment les classes moyennes, se retrouvent accablés par une fiscalité qui finance un système souvent perçu comme inefficace et abusif. L’endettement public, qui a franchi le seuil de 3.000 milliards d’euros, est en partie attribuable à cette redistribution mal calibrée, favorisant l’assistanat au détriment de la productivité et de la compétitivité nationale.

2. L’assistanat encourage l’inactivité et la paresse

Le modèle français, en multipliant les aides sans conditionnalité stricte, crée un effet pervers : il désincite au travail. Un bénéficiaire du RSA, cumulé avec des aides annexes (logement, énergie, santé), peut percevoir un revenu équivalent, voire supérieur, au SMIC pour un effort nul. Cet état de fait engendre une concurrence déloyale pour les travailleurs précaires, qui peinent à joindre les deux bouts tout en étant soumis à des horaires exigeants.

Cette situation découle d’un cercle vicieux : l’assistanat nourrit la dépendance, qui elle-même alimente l’oisiveté. Certains foyers s’installent durablement dans cette logique, préférant subsister grâce aux aides plutôt que de chercher un emploi. Ce phénomène est d’autant plus alarmant que la population active, déjà en déclin démographique, se voit de plus en plus sollicitée pour financer des prestations sociales dont les bénéficiaires se multiplient. Ainsi, ce système favorise une redistribution à sens unique, où les actifs voient leur pouvoir d’achat s’éroder au profit d’une population parfois réfractaire à l’effort et à la responsabilité individuelle.

3. Une idéologie marquée par le socialisme et le marxisme

L’assistanat est le fruit direct d’une idéologie socialiste, elle-même héritière des doctrines marxistes. Ces dernières prônent la lutte des classes et la redistribution des richesses comme moyens de parvenir à une égalité supposée. En réalité, cette approche nie les vertus du mérite et de l’effort individuel, préférant niveler les revenus par le bas au nom d’une solidarité forcée.

Le marxisme, avec sa vision conflictualiste, a façonné l’idée que les « riches » doivent être dépouillés au profit des « pauvres », sans considération pour les mécanismes incitatifs qui favorisent l’innovation, l’investissement et la création d’emploi. La France, avec sa culture politique profondément marquée par les luttes sociales, s’est engouffrée dans cette logique, abandonnant progressivement toute ambition d’autonomie individuelle au profit d’un État-providence omniprésent. Ce modèle, au lieu de dynamiser la société, l’enlise dans une stagnation où chacun attend que « l’État paie ».

4. L’attraction de l’assistanat pour l'immigration extra-européenne

Le système d’aides sociales joue un rôle attractif pour l’immigration extra-européenne. La France, avec ses prestations généreuses et peu conditionnées, se distingue comme une destination de choix pour des populations issues de pays où les standards sociaux sont inexistants ou très faibles. Ces flux migratoires, en grande partie alimentés par des logiques économiques, viennent aggraver les déséquilibres du système.

Les nouveaux arrivants, souvent peu qualifiés, s’insèrent difficilement sur le marché du travail et dépendent massivement des aides sociales. Selon plusieurs études, une proportion significative des bénéficiaires du RSA, des APL ou de la CMU est constituée de ressortissants extra-européens. Ce phénomène alimente un légitime ressentiment croissant parmi les classes populaires françaises, qui se sentent dépossédées au profit de populations étrangères et assistées souvent de manière prioritaire.

5. Une refonte nécessaire sous l’égide du Parti de la France

Le Parti de la France s’engage à rompre avec cette logique mortifère de l’assistanat généralisé. Les aides sociales doivent être recentrées sur les Français les plus vulnérables et conditionnées à des efforts concrets, qu’il s’agisse de recherche d’emploi ou de formation. Les individus en capacité de travailler devront se voir incités à reprendre une activité, sous peine de perdre rapidement leurs droits aux prestations.

Ce changement radical permettra non seulement de rendre aux actifs le fruit de leur travail, mais aussi de rétablir une justice sociale authentique, fondée sur le mérite et la responsabilité individuelle. En réduisant le coût de l’assistanat et en inversant massivement les flux migratoires, la France pourra retrouver sa souveraineté économique et offrir à ses citoyens un avenir prospère et digne.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Restructuration du Bureau exécutif du Parti de la France

29 Novembre 2024, 21:01pm

Publié par Thomas Joly

Restructuration du Bureau exécutif du Parti de la France

Communiqué du Parti de la France

Bruno Hirout souhaitant désormais se consacrer à sa prometteuse maison d'édition et Maxime Leroy à des projets plus personnels, le Bureau politique a voté, à l'unanimité, la restructuration suivante du Bureau exécutif du Parti de la France :

Secrétaire général : Pierre-Nicolas Nups
Secrétaire général adjoint : Maxime Morlon

Délégué général : Alexandre Simonnot (inchangé)
Délégué général adjoint : Victor Jan de Lagillardaie

Cette réorganisation du PdF ne résulte en aucun cas d'un quelconque désaccord politique, il s'agit de la volonté légitime de deux camarades de combat de donner à leur engagement pour la cause nationale une nouvelle orientation.

Le Parti de la France entend toujours incarner la vraie droite nationale sans filtre et décomplexée face aux fossoyeurs de notre Nation, avec une inébranlable détermination.

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Repas de Noël du Parti de la France samedi 14 décembre à Dijon

27 Novembre 2024, 21:13pm

Publié par Thomas Joly

Repas de Noël du Parti de la France samedi 14 décembre à Dijon

C'est le samedi 14 décembre, à Dijon, que le Parti de la France organise cette année son désormais traditionnel repas de Noël.

Thomas Joly, Président du Parti de la France, et Alexandre Hinger, Délégué régional du PdF pour la Bourgogne, prendront la parole au cours de ce dîner.

Amis bourguignons et limitrophes, venez à la rencontre de la vraie droite nationale !

Repas bourguignon (Apéritif - Entrée - Plat - Dessert - Digestif) : 30 € payables sur place.

Réservation obligatoire ici : alexandre@hinger.fr

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Ukraine : ça suffit, Macron nous entraîne dans une guerre qui n'est pas la nôtre !

25 Novembre 2024, 07:58am

Publié par Thomas Joly

Ukraine : ça suffit, Macron nous entraîne dans une guerre qui n'est pas la nôtre !

Le chef de l’État, de plus en plus rejeté par une majorité de Français, prend d’inquiétantes initiatives, mettant la France en danger pour des intérêts qui ne sont pas les nôtres. Un petit rappel des circonstances historiques qui ont conduit à la guerre en Ukraine est nécessaire.

En 1954, le Premier secrétaire du Parti communiste d’URSS Nikita Kroutchev, natif d’Ukraine, avait détaché de la Russie proprement dite, la Crimée, pour l’arrimer à la République socialiste soviétique d’Ukraine. Or, cette péninsule était russe depuis la tsarine Catherine II, les seuls autochtones authentiques étant des Tatars, aujourd’hui une ethnie minoritaire.

Le conflit absurde entre deux peuples slaves de même religion, attisé par les menées occidentales de 2004 lors de la « Révolution orange », aggravé par les frappes ukrainiennes contre les poches séparatistes russophones du Donbass en 2014 – lesquelles entrainèrent de massives et cruelles représailles russes -, est, en fait, une effroyable guerre civile. Elle résulte d’un mauvais tracé des frontières lors de la chute de l’URSS en 1991, entrainant ailleurs d’autres velléités sécessionnistes en Moldavie, avec la Transnistrie, et en Géorgie avec l’Abkhazie et l’Ossétie.

Les pays de l’OTAN, en tête desquels la France macroniste, en autorisant les autorités de Kiev à tirer des missiles de longue portée sur le sol russe - sans oublier que la France forme sur son sol les éléments d’une brigade ukrainienne et s’apprête à livrer des Mirage 2000 -, ajoutent de la guerre à la guerre. La seule attitude convenable pour respecter une exigeante neutralité, eut été de fournir à l’Ukraine des moyens de défense anti-aériens capables de protéger efficacement ses villes et ses infrastructures, au lieu d’alimenter son arsenal offensif qui ne fait qu’exciter la Russie contre nos intérêts. Intérêts que nous avons sacrifiés au bénéfice du complexe militaro-industriel américain, en nous privant du gaz russe, et en fermant avec pertes sans profits nos entreprises, qui employaient 160.000 salariés russes.

Avant que ne se lève l’espoir d’une paix de compromis avec l’arrivée au pouvoir de Donald Trump en janvier 2025, il convient de dire « STOP » à la délirante fuite en avant vers une potentielle 3e Guerre mondiale !

Le Parti de la France invite les Français à refuser cet engrenage belliciste, et demande à notre état-major général de réfréner les obsessions guerrières de Manuel Macron, l’homme qui n’a jamais mis les pieds dans une caserne ni, à plus forte raison, jamais chaussé de rangers !

Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France

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Rediffusion du Forum du Parti de la France du 22/11/24

25 Novembre 2024, 07:07am

Publié par Thomas Joly

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Le RN doit rejeter le budget et censurer Michel Barnier

22 Novembre 2024, 18:22pm

Publié par Thomas Joly

Le RN doit rejeter le budget et censurer Michel Barnier

Sauf surprise, Michel Barnier va soumettre au vote des parlementaires, via la procédure prévue à l'article 49.3, un budget qui matraquera fiscalement encore plus les actifs et les entreprises afin de maintenir sous perfusion un État obèse, des collectivités locales irresponsables ainsi que l'assistanat des immigrés et des cas sociaux.

La comédie a assez duré. Le RN doit prendre ses responsabilités et - en votant une motion de censure - exécuter ce gouvernement qui n'a rien compris, n'essaye même pas de réduire la dette pharamineuse accumulée par ses prédécesseurs, mais souhaite seulement poursuivre la désastreuse et suicidaire politique macroniste.

Si une crise institutionnelle pouvait abattre cette Ve République qui n'en finit plus de crever et/ou inciter le locataire malfaisant de l'Élysée à démissionner, les Français ne s'en porteraient pas plus mal.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Sainte-Cécile : bonne fête à tous les musiciens !

22 Novembre 2024, 07:18am

Publié par Thomas Joly

Sainte-Cécile : bonne fête à tous les musiciens !

En ce jour de Sainte-Cécile, le Parti de la France souhaite une bonne fête à tous les musiciens.

Sainte Cécile est reconnue comme la sainte patronne des musiciens, des chanteurs et de toute forme d'art musical dans l'Église catholique.

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Venez au repas du Conseil national du PdF à Amiens !

20 Novembre 2024, 07:01am

Publié par Thomas Joly

Venez au repas du Conseil national du PdF à Amiens !

Le Parti de la France réunit son Conseil national samedi 23 novembre à Amiens. Si cette réunion est réservée aux cadres du PdF, le dîner est ouvert aux militants et sympathisants.

Repas tout compris : 40 €

Réservation obligatoire : partidelafrancesomme@gmail.com

Ne tardez pas, il ne reste plus beaucoup de places !

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Accord UE-Mercosur : une question de volonté

20 Novembre 2024, 06:55am

Publié par Thomas Joly

Accord UE-Mercosur : une question de volonté

L'actuelle agitation en France à propos de l'accord entre l'Union Européenne et le Mercosur est tout à fait symbolique de la soumission volontaire de nos gouvernants à une structure supranationale.

Président comme gouvernement clament y être opposés mais se prétendent incapables d'imposer la souveraineté de la France à Bruxelles, essayant de convaincre d'autre pays pour obtenir un blocage, selon une procédure bureaucratique kafkaïenne de l'institution européenne.

Un exécutif avec une paire de couilles dirait à Von der Leyen d'aller se faire foutre avec son accord et qu'il ne s'appliquera pas en France ; mais aucune chance avec les européistes fanatiques Macron et Barnier...

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Rediffusion du Forum du Parti de la France du 15/11/24

17 Novembre 2024, 11:50am

Publié par Thomas Joly

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Mercosur : la juste colère de nos agriculteurs

16 Novembre 2024, 13:38pm

Publié par Thomas Joly

Mercosur : la juste colère de nos agriculteurs

Après une pause de plusieurs mois, le mouvement de révolte agricole reprend les fourches face au terrible accord agricole avec le Mercosur.

Nous adressons toute notre sympathie et notre soutien à nos paysans, sans qui on ne pourrait pas manger.

Un certain fils de paysan de Cauchy-à-la-Tour a dit un jour « la terre, elle, ne ment pas », il n'en est pas de même pour nos hommes politiques qui promettent monts et merveilles à nos agriculteurs mais qui les assomment de règlementation ubuesques impossibles à respecter.

L'accord avec le Mercosur nous promet quantité de viande bovine brésilienne, avec des bêtes plus dopées qu'un athlète est-allemand et nourris au soja transgénique planté sur des terres amazoniennes déforestées soit dit en passant par Lula, le chouchou de la gauche pastèque.Pendant qu'on impose en même temps des normes bruxelloises intenables à nos éleveurs. Quelle hypocrisie.

Qu'on importe de la mangue qui ne pousse pas dans le Perche ou dans le Quercy, c'est bien normal, mais qu'on importe des antipodes des pommes et du poulet et autres denrées que nous savons produire depuis des siècles est un exemple de plus de l'aberration mondialiste.

L'agriculture est la profession où l'on se suicide le plus. Ça n'est pas prêt de s'arranger avec des gens qui méprisent les denrées car ils ne savent pas manger et qui méprisent ceux qui les produisent car ils ne savent pas vivre.

« Labourage et pâturages sont les deux mamelles de la France » disait Sully, il serait temps de s'en souvenir et d'aider nos compatriotes qui se saignent pour nous produire notre nourriture.

Iannis Moriaud - Membre du Bureau politique du Parti de la France

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La dédiabolisation : une erreur stratégique

15 Novembre 2024, 07:33am

Publié par Thomas Joly

La dédiabolisation : une erreur stratégique

Depuis plus de 15 ans, le Front National - puis le Rassemblement National - a entrepris une stratégie de « dédiabolisation » visant à rompre avec l’image prétendument sulfureuse héritée de Jean-Marie Le Pen. Toutefois, cette démarche soulève une contradiction fondamentale : ce ne sont pas les positions affichées par le RN qui expliquent sa diabolisation, mais la dynamique politique intrinsèque à ses adversaires. La gauche et une partie de la fausse droite ont construit leur légitimité sur l’opposition au RN, assimilé à une menace morale pour la démocratie. Peu importe les efforts consentis par le parti de Marine Le Pen, il sera toujours confronté à des accusations de racisme, d’extrémisme ou d’antirépublicanisme, car son rôle d’ennemi utile est trop structurant pour ses concurrents. Ainsi, cette quête de respectabilité est vouée à l’échec, car elle repose sur l’idée erronée que l’hostilité politique pourrait être désamorcée par des concessions symboliques ou programmatiques.

Cette erreur stratégique est d’autant plus frappante que les idées portées par le RN ne sont en rien intrinsèquement « diaboliques ». L’insistance sur la souveraineté nationale, la critique de l’immigration incontrôlée ou encore la défense de l’identité culturelle sont des thèmes débattus dans de nombreuses démocraties, où ils ne suscitent pas nécessairement une stigmatisation comparable. La rhétorique du RN flatte parfois des réflexes populistes, mais ces thématiques répondent à des angoisses sociales et identitaires réelles, partagées bien au-delà de son électorat. La diabolisation de ces idées relève davantage d’un stratagème politique que d’une condamnation morale sincère. En cherchant à se distancier de ce corpus idéologique, le RN court le risque de trahir sa base militante et d’apparaître incohérent aux yeux de ceux qui l’ont soutenu précisément pour son discours disruptif.

Enfin, cette stratégie intervient à contre-courant des évolutions sociologiques et électorales. Tandis que l’opinion publique tend à se droitiser, notamment sur les questions d’immigration, d’autorité et de sécurité, le RN semble s’engager dans un processus de recentrage, voire de gauchisation. La promotion d’un discours plus social, axé sur le pouvoir d’achat et les droits des travailleurs, pourrait séduire certains électeurs modérés mais aliène une partie de sa base naturelle, attirée par une ligne plus dure. Paradoxalement, cette modération laisse un vide à droite, qu'un véritable mouvement de droite nationale pourrait occuper. En tentant de rassurer des élites politiques et médiatiques qui lui resteront hostiles, le RN pourrait perdre ce qui faisait sa force : sa capacité à incarner une alternative radicale dans un paysage politique perçu comme verrouillé.

En somme, la dédiabolisation du RN apparaît moins comme une adaptation aux réalités électorales que comme une concession à une dynamique hostile dont il ne maîtrise ni les termes ni les effets. Cette erreur stratégique pourrait bien compromettre son ambition d'accéder prochainement au pouvoir.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Profanations en Indre-et-Loire : ça suffit !

15 Novembre 2024, 07:24am

Publié par Thomas Joly

Profanations en Indre-et-Loire : ça suffit !

En Indre-et-Loire, la cathédrale de Tours a été souillée par des graffitis gauchistes et quatre églises ont été profanées.

Combien de temps allons-nous laisser faire cela ? L'Eglise semble sombrer dans l'indifférence et pourtant, l'actualité nous rappelle quasi quotidiennement à quel point elle est attaquée par l'occupant islamiste et ses collaborateurs communistes. Soumise et dévorée par un mondialisme nourri au culte du wokisme et de l'ultratolérance.

N'oublions pas que l'Eglise est le guide spirituel et moral d'une Nation. Elle a façonné la France et sa société mais cette dernière se trouve maintenant dans des compromis insensés, préférant abandonner la tradition au profit d'une modernité décadente et permissive, qui laisse les portes ouvertes à la destruction progressive de notre nation et de notre société.

L'Eglise doit redevenir un véritable rempart face au progressisme et il n'est plus tolérable qu'elle soit complice de sa propre destruction, noyée dans les valeurs d'une république qui l'a abandonnée.

Le champ de ruines spirituelles qu'est devenue la France connaîtra une véritable résurrection, cela est nécessaire dans notre combat national en vue de rétablir l'ordre et la sauvegarde de notre civilisation.

Le Parti de la France souhaite affirmer les racines chrétiennes de la France, promouvoir la famille traditionnelle notamment en interdisant le mariage entre personnes de même sexe, et mettre en place les conditions d'une grande politique nataliste.

Nous mettrons un terme à cette offensive lancée contre la France et sa chrétienté.

Thomas Petit - Membre du Conseil National du Parti de la France

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