Le blog politique de Thomas JOLY
Président du Parti de la France
Le dernier ouvrage de Jean-Claude Rolinat consacré à Monaco
Monaco, minuscule Principauté de moins de 3 km carré, est un micro-État connu pour son cadre exceptionnel, sa riche Histoire et son indubitable côté « bling-bling »… Mais ses Princes ont su faire rayonner ce bijou azuréen à l’international, et plus particulièrement dans le monde méditerranéen.
Fondée au XIIIe siècle, Monaco est gouvernée depuis plus de 700 ans par la famille Grimaldi. Cette dynastie, encore régnante avec le Prince Albert II, contribue à la stabilité politique du petit pays de seulement 8.000 sujets sur 40.000 habitants. La famille princière est le symbole par excellence d’une identité monégasque. Elle joue un rôle important pour la promotion de cette terre ensoleillée, qui attire riches exilés, joueurs compulsifs ou touristes ébahis. Monaco jouit d’une économie florissante, basée essentiellement sur la finance, l’immobilier et l’industrie du luxe. Mais le tourisme est aussi l’un des moteurs de la réussite économique de l’État, avec un riche patrimoine culturel, son casino de Monte-Carlo et l’étendue de son activité événementielle. Le bal de la Rose, comme le Grand prix de Formule 1 en sont deux brillantes pépites. Siège de nombreux événements mondains, culturels et sportifs, le Rocher de Monaco et ses environs offrent aux visiteurs un impressionnant et luxueux parc hôtelier. Le palais princier et sa place d’armes, l’imposant musée océanographique, Port Hercule avec ses yachts, attirent chaque année les regards de millions de visiteurs, fascinés par le charme des vieilles rues du Rocher, et la hardiesse immobilière de cette agglomération méditerranéenne. L’auteur, Jean-Claude Rolinat, – successivement cadre administratif, documentaliste et journaliste -, membre du Bureau politique du Parti de la France, a su restituer et condenser en quelques pages, la vie trépidante de cette anachronique Principauté.
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Loi Veil : 50 ans de génocide des tout petits
En ce 50e anniversaire de la loi Veil, il est impératif de dresser un bilan lucide et sans concession de ce que cette législation a engendré. Présentée à l'époque comme un « progrès », une « avancée pour les droits des femmes », cette loi a en réalité inauguré une ère marquée par un recul dramatique de notre civilisation. Loin d'être une mesure anodine, l'avortement légalisé a ouvert la voie à une banalisation d'un acte autrefois perçu comme grave et exceptionnel. Il est temps de dénoncer cette dérive et d'appeler à une politique plus respectueuse de la vie.
Un véritable génocide silencieux
Depuis l'adoption de la loi Veil en 1975, la France a enregistré près de 10 millions d'avortements. Chaque année, ce sont environ 220.000 vies qui s'éteignent avant même d'avoir vu le jour. Ces chiffres sont vertigineux : ils évoquent un véritable génocide silencieux, un massacre institutionnalisé que l'on tait par conformisme ou par peur de heurter les sensibilités modernes. Comment ne pas comparer ces pertes humaines à des cataclysmes historiques qui ont également décimé des populations entières ? Ici, l'État n'est plus garant de la vie, mais complice de sa destruction.
La banalisation d'un acte grave
Il y a cinquante ans, Simone Veil présentait sa loi comme une mesure d'exception, destinée à éviter les « drames » des avortements clandestins. Mais que constate-t-on aujourd'hui ? L'avortement est devenu une simple « option », un recours courant désormais banalisé, presque trivialisé. Les discours contemporains tendent à gommer toute réflexion morale ou éthique autour de cet acte. Ce qui était présenté comme une solution de dernier recours est devenu, en réalité, un moyen de contraception supplémentaire.
La bien-pensance a progressivement éteint la voix des opposants à l'avortement, stigmatisés comme « réactionnaires » ou « hostiles aux droits des femmes ». En occultant toute considération sur la valeur intrinsèque de la vie humaine, on a engendré une société de l'immédiateté et de l'irresponsabilité.
Un recul de civilisation
L'avortement légalisé marque un profond recul de notre civilisation. Les grandes cultures de l'Histoire se sont toujours élevées sur la défense de la vie, le respect des plus vulnérables et la promotion de la natalité. En revanche, les sociétés en déclin se caractérisent par une dévalorisation de la vie humaine et une absence de regard porté sur l'avenir.
Le droit à l'avortement est présenté comme un « progrès », mais il symbolise en réalité une défaite collective. En consacrant l'élimination de l'enfant à naître comme un choix acceptable, notre société a renoncé à l'idéal selon lequel chaque vie humaine est sacrée. Nous avons érigé une culture de mort qui mine les fondements mêmes de notre identité.
Le devoir de l'État : défendre les tout-petits
L’État a pour mission première de protéger les plus faibles, ceux qui ne peuvent pas se défendre eux-mêmes. Or, il a échoué lamentablement dans ce rôle en laissant les plus vulnérables — les enfants à naître — être sacrifiés sur l’autel de l’autonomie individuelle et de la modernité. Au lieu de promouvoir une vision noble de la maternité et de soutenir les femmes confrontées à des grossesses non prévues, l’État a préféré faciliter l’avortement, le rendant accessible, voire encouragé.
Vers une grande politique nataliste
Plutôt que de persévérer dans cette culture de mort, la France doit prendre un virage historique et s'engager dans une véritable politique nataliste. Il est urgent de revaloriser la famille, de soutenir les parents et de promouvoir la naissance comme un bien inestimable pour la Nation. La survie d’une civilisation repose sur sa capacité à se projeter dans l’avenir, à croire en ses enfants et à transmettre ses valeurs.
Pour cela, des mesures concrètes doivent être prises : des allocations familiales substantielles, un système fiscal avantageux pour les familles nombreuses, un soutien psychologique et matériel renforcé pour les femmes enceintes en difficulté. C’est ainsi que nous pourrons sortir de cette impasse morale et sociétale, et redonner à la vie la place qu’elle mérite.
L’avortement légalisé n’est pas un progrès mais un recul. Il est temps de tourner cette page sombre de notre Histoire et de réaffirmer la primauté de la vie humaine. L’avenir de notre civilisation en dépend.
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Rappel : hommage religieux à Jean-Marie Le Pen jeudi 16 janvier à Paris
Victoire judiciaire de Pierre-Nicolas Nups contre Bilal Hassani !
Poursuivi pour avoir vertement exprimé son indignation de voir Bilal Hassani profaner une église de Metz en venant s'y produire (en avril 2023) - le concert a d'ailleurs été annulé -, Pierre-Nicolas Nups a été relaxé ce mercredi 15 janvier.
C'est une victoire judiciaire totale : le Secrétaire général du Parti de la France a lui-même soulevé un vice de procédure sans avoir recours à un avocat, ne s'est pas rendu au tribunal et a même fait lire par le juge un réquisitoire contre le chanteur homosexuel marocain, pour le plus grand désespoir de la partie adverse.
Hommage à Roger Holeindre
Voilà déjà 5 ans que Roger Holeindre nous a quittés et il a été rejoint au ciel il y a quelques jours par son camarade de toujours, Jean-Marie Le Pen.
Le Parti de la France rendra son traditionnel hommage à Roger samedi 1er février au cimetière de Vaucresson (10 rue de Cazes) à 16h30.
La cérémonie sera suivie d'un dîner en compagnie de diverses personnalités de la droite nationale dans un restaurant de la commune (menu à la carte).
Merci d'indiquer votre présence pour le dîner ici : pdf-iledefrance@gmx.fr ou 06.64.13.84.24
Retraites : entre démagogie socialiste et réalisme nécessaire
Le Parti Socialiste exige une pause de la réforme des retraites, refaisant passer temporairement l’âge du départ de 64 à 62 ans , le temps de renégocier ses modalités, y conditionnant même la non-censure du budget 2025 par le groupe socialiste à l’assemblée, comme exprimé par la voix de son chef Patrick Kanner.
Évidemment, cette suspension aurait un coût, problème auquel le PS a déjà trouvé une solution : piocher dans le fonds de réserves des retraites pour éponger des dépenses estimées entre 2 et 3 milliards d’euros… Pour le quoi qu’il en coûte, Macron a manifestement été à bonne école dans le parti à la rose…
« Est-ce que vous pensez que trouver un bon accord sur une réforme des retraites (...) ne vaut pas le coup d'un petit effort financier pour apaiser le pays ? », dixit Patrick Kanner, comme nous l’apprend Capital en date du 11 janvier 2025…
Le PS, parti de l’apaisement ? Surtout celui de la démagogie et de l’électoralisme…
Au prétexte de réétudier les conditions d’un décalage inévitable de l’âge d’accession au système de retraites par répartition, qui atteindra vraisemblablement à ce rythme les 90 ans avant que la plupart de nos lecteurs n’y soient éligibles, le PS semble ne pas voir d’inconvénients à creuser le trou des dépenses publiques…
Ces interminables louvoiements et atermoiements électoraux, au prétexte de ne pas choquer l’électeur retraité ou quasi-retraité, auront pour conséquence une dislocation encore plus douloureuse du système lorsqu’elle interviendra, particulièrement pour les actifs ayant cotisé durant des décennies pour un système déficitaire… Comme pour l’immigration, la politique de l’autruche rend tout bien plus difficile à terme…
Sans pointer du doigt qui que ce soit, et au regard de l’état de nos finances publiques, il nous paraît indispensable de considérer avec réalisme et responsabilité la question des retraites.
Y adosser une exigence de justifications de situation de capital et de revenus nous semble une première mesure d’évidence. De nombreux retraités bénéficient d’un capital mobilier et immobilier ne justifiant pas les sommes perçues dans le cadre de ce système, qui devrait avant tout être un filet de sécurité pour les plus démunis.
Pour le reste, encourager une transition vers un système par capitalisation, déjà pratiqué par de nombreux français dans les faits avec les PER, en évitant le double coût de la coexistence de deux systèmes, sera le premier pas vers un redressement de nos finances publiques et la disparition du déséquilibre engendré par la pyramide démographique du baby boom.
Enfin, la retraite ne doit plus s’envisager comme un âge butoir, mais comme une conséquence d’un état physique ne permettant plus la poursuite d’une activité.
Y arrêter un âge fixe, là où les individus et leurs situations particulières ne sauraient connaître d’une règle unique, est profondément arbitraire. De nombreux entrepreneurs, artisans, commerçants poursuivent une activité professionnelle bien après 60 ans, tout comme certains travailleurs manuels ressentent le besoin d’une mise au repos bien avant.
Encourager les français à anticiper eux-même leur avenir, en gérant leur patrimoine et leur argent en conséquence au lieu d’avoir foi dans des promesses utopistes d’Etat providence, sera le premier clou dans le cercueil d’une grille de lecture collectiviste et infantilisante que ce pays subit depuis bien trop longtemps, sur l’autel d’un taux d’imposition n°1 mondial…
Victor Jan de Lagillardaie – Délégué général adjoint du Parti de la France
Rediffusion du Forum du PdF du 10/01/25
Jean-Marie Le Pen fait aujourd'hui son dernier voyage
Jean-Marie Le Pen - Faf & Curious
Le Parti de la France abrogera la liberticide loi Gayssot
La liberticide loi Gayssot a été voté en 1990 dans un contexte éminemment politique suite à la polémique du « détail » et de la manipulation de Carpentras.
La cible était évidemment Jean-Marie Le Pen et le Front National mais aussi tous les Français, dont il fallait criminaliser l'éventuel scepticisme à l'égard de la vérité officielle dans un certain nombre de domaines.
Le Parti de la France abrogera cette loi scélérate, véritable atteinte à la liberté d'expression et au libre débat historique.
Cérémonie d'hommage à Jean-Marie Le Pen
Si les obsèques de Jean-Marie Le Pen se dérouleront ce samedi à La Trinité-sur-Mer dans l'intimité familiale, une cérémonie religieuse et d'hommage aura lieu jeudi 16 janvier à 11h en l'église Notre Dame du Val-de-Grâce (277, rue Saint-Jacques - Paris Ve).
Le Parti de la France invite ses adhérents et sympathisants à venir rendre un dernier hommage à ce serviteur exceptionnel de la cause nationale.
Jean Marie Le Pen parle de lui aprés sa mort, sa dernière interview
Adieu, Jean-Marie. Et merci.
Mardi 7 janvier 2025, Jean-Marie Le Pen s’est éteint, laissant derrière lui une empreinte indélébile qui aura profondément marqué son époque.
Jean-Marie Le Pen a traversé l’histoire de France tel une étoile filante, illuminant son passage d’un éclat qui ne laisse personne indifférent. Nul mot n'est capable d'apaiser une tristesse aussi profonde et légitime. La France pleure un homme dont la vie fut dédiée à la défense de son peuple, de ses valeurs et de son identité.
Né dans une famille modeste en 1928, pupille de la nation, élevé par sa mère dans une France blessée par la guerre, Jean-Marie Le Pen a grandi avec pour boussole le sens du devoir et l'amour des gens chevillé au corps. Il portait en son âme un amour indéfectible pour la patrie, cet amour vibrant qui a illuminé sa vie, inspirant aussi bien ses engagements militaires que ses combats politiques.
Soldat, marin-pécheur, mineur de fond, militant, bâtisseur, combattant infatigable parmi d'autres choses, Jean-Marie Le Pen était plus qu’un homme politique ; il demeurera pour nous l’incarnation la plus saisissante et singulière de l’histoire des Quatrième et Cinquième Républiques.
Orateur d'une éloquence rare, patriote au cœur ardent et visionnaire trop souvent mal compris, il illustrait à merveille cette vérité éternelle qui nous fut enseignée par notre Seigneur Jésus-Christ : « Nul n’est prophète en son pays. »
Son discours, toujours juste et sincère, a marqué des générations.
Ayant grandi dans un pays qui fut encore dans sa jeunesse le plus grand empire du monde, avant que des dirigeants sans éclat ne la réduisent à un petit pays, une nation vacillante, morcelée et sur le point de devenir la colonie de ses anciennes colonies, Jean-Marie Le Pen n’a cessé de nous rappeler que la France aspire à l’excellence et que nous, ses héritiers, avons la mission sacrée de la protéger avec l’amour que l’on doit à une mère.
Je ne le répéterai jamais assez, c'est grâce à Jean-Marie Le Pen que je suis devenu l'homme que je suis. Jean-Marie Le Pen m'a transmis le feu sacré. J'ai eu l'inestimable privilège de l'avoir connu en tant que militant, puis de l'avoir fréquenté comme un ami à la fin de sa vie. Lorsque tous ont trahi, nous sommes restés fidèles. Quand d’autres l'ont renié, nous avons tenu bon, restant toujours fidèles à l'esprit de son combat.
Aujourd’hui, j’ai perdu un modèle et un guide. Pourtant, je sais qu’au-delà de cette peine, qui n’est qu’éphémère, la joie renaîtra. Et je fais le serment, devant Dieu et son fils Jésus-Christ, de ne jamais cesser, jusqu’à mon dernier souffle, d’honorer et de célébrer l’héritage précieux qu’il nous a transmis.
Cet héritage, c’est celui d’une France fière, enracinée et libre. Une France qui ne ploie pas sous les vents du renoncement, mais qui se dresse, forte, face aux défis de son époque. Jean-Marie nous quitte, mais son combat reste le nôtre.
À nous, désormais, de porter haut ses idées, de poursuivre son œuvre et de transmettre aux générations futures ce flambeau qu’il a allumé il y a tant d’années. Président Le Pen, reposez en paix aux cotés de vos aïeux et de vos amis, Roger et tous les autres. Sachez que jamais nous n’oublierons votre dévouement, votre énergie et votre amour indéfectible pour cette France que vous avez tant chérie. Vous êtes parti, mais votre nom vivra à jamais dans l’histoire et dans nos cœurs.
Adieu, Jean-Marie. Et merci.
Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France
Hommage à Jean-Marie Le Pen : un soldat, un homme de vérité, un guide pour la Nation
I. Le guerrier indomptable
Jean-Marie Le Pen s’en est allé, et avec lui disparaît un pan entier de notre histoire nationale. Que l’on l’aime ou le haïsse, nul ne peut nier la trempe d’un combattant forgé dans le feu des batailles et le fracas des idéaux. Dès sa jeunesse, il avait ce goût du défi, cette flamme intérieure qui pousse les hommes à aller là où les autres reculent.
Engagé en Indochine, il porta les couleurs de la France dans des terres lointaines, là où les forêts dévoraient les routes et où chaque pas était un pari sur la vie. En Algérie, il affronta des vents contraires, fidèle à cette idée d’un pays à la fois Empire et héritage. Bagarreur dans l’âme, il connaissait les coups, les vrais, ceux des poings et des mots. Il portait sur son visage les marques des affrontements, et dans son regard, la lueur d’un homme qui ne cède jamais.
Jean-Marie Le Pen était de cette race rare d’hommes qui préfèrent mourir debout que vivre à genoux.
II. L’homme politique aux vérités tranchantes
En politique, il incarnait une vertu devenue étrangère à beaucoup : le courage. Il ne mentait pas. Il ne mâchait pas ses mots. Que ses paroles soient appréciées ou honnis, elles portaient toujours le poids d’une vérité brute, non édulcorée par le conformisme ou la peur de déplaire.
Lui qui a été vilipendé, calomnié, parfois réduit au silence par les censeurs de tout bord, n’a jamais courbé l’échine. Jean-Marie Le Pen affrontait le tumulte médiatique comme un marin affrontant une mer démontée : droit, ferme, regardant l’horizon. Avec des décennies d’avance, il avait tiré la sonnette d’alarme sur les dangers pesant sur notre Nation. L’immigration massive, la perte des repères, le naufrage de l’identité française : ses mises en garde, raillées hier, résonnent aujourd’hui comme des prophéties.
Il aura eu raison avant les autres. Mais le courage d’avoir raison seul est une épreuve que peu osent endurer. Lui l’a fait, jusqu’à son dernier souffle.
III. Le flambeau du combat national
Jean-Marie Le Pen a quitté cette terre, mais son combat demeure. Son œuvre politique, cristallisée dans ce Front National qu’il a porté à bout de bras, ne s’arrête pas avec lui. Il a semé une graine : celle de la défense de la France éternelle, contre vents et marées, contre l’indifférence des élites et la lâcheté ambiante.
Aujourd’hui, le Parti de la France reprend ce flambeau. Héritier naturel du Front National historique, il poursuit cette lutte ardente pour stopper l’invasion migratoire, pour rétablir l’ordre, pour défendre les valeurs qui font de notre pays une terre unique.
Jean-Marie Le Pen nous a montré le chemin. Celui d’un combat sans compromis, d’une fidélité sans faille à la Patrie. Que son exemple inspire chaque Français soucieux du redressement de notre nation. Que son souvenir guide ceux qui, comme lui, refusent de céder à l’abandon.
Et si, un jour, la France se relève, forte, fière, souveraine, alors l’Histoire saura rendre justice à celui qui, dans l’adversité, n’a jamais cessé de croire en elle.
Thomas Joly - Président du Parti de la France