Les sept Églises et l’islam conquérant

L’actualité est aussi liturgique. En ce dimanche de Quasimodo, on a donné lecture de l’Apocalypse de saint Jean où il s’adresse de Patmos à ses frères des sept Églises, dans l’ordre alphabétique Éphèse, Laodicée, Pergame, Philadelphie, Sardes, Smyrne, Thyatire. Elles étaient toutes incluses dans un quadrilatère irrégulier dont le plus grand côté fait à peu près trois cents kilomètres de long. Aujourd’hui, il ne reste rien des Églises d’Asie Mineure, du Maghreb ni de Libye, et celles d’Égypte, de Syrie et de Mésopotamie se vident à vitesse grand V.
L’islam est conquérant et, à terme, éradicateur. Longtemps, le royaume de France fut le protecteur attitré des chrétientés d’Orient, et comme il était puissant, elles furent tolérées tout en étant soumises. Le parti socialiste national Baas théorisé par le chrétien Michel Aflak leur permit de survivre un peu, mais la politique anglo-saxonne favorisant l’islam confessionnel radical, et conquérant à nouveau avec ses confréries, ses fanatiques, ses terroristes, a mis un terme à ce sursis.
La question est maintenant de savoir ce qui va se passer en Europe. Au Kosovo, dans le Sandjak, en Bosnie, en Albanie, partout les États-Unis ont favorisé l’installation de pouvoirs musulmans. L’Union européenne, à la botte des États-Unis et de l’OTAN, s’ouvre à l’invasion des migrants, lesquels – c’est amusant – passent par Smyrne, qui fut l’une des sept Églises, et par Chios, où se perpétra au dix-neuvième siècle l’un des plus retentissants massacres de chrétiens par la Sublime Porte.
On compare souvent l’invasion actuelle de l’Europe aux grandes invasions : à tort. Elles furent beaucoup moins massives et rapides, et les envahisseurs s’acculturèrent à la proie qu’ils convoitaient parce qu’ils étaient assimilables. L’actuelle invasion ressemble beaucoup plus à ce qui se passa au Proche-Orient au septième siècle : le sol et les villes furent peu ravagés, mais la civilisation fut balayée comme par une bombe à neutrons, et les populations soumises et changées de fond en comble. Telles sont les caractéristiques de l’islam conquérant. Et tant pis pour les sept Églises, et pour les autres.
Martin Peltier
Source : http://www.bvoltaire.fr
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Ce projet faramineux ne sera évidemment pas sans conséquence et aura un coût pour les Buzancéens et les Français. Voici ce que révélait la Nouvelle-République dans un article du 21 mars 2016 : « L’Etat prend à sa charge les dépenses liées à l’accueil des demandeurs d’asile. Adoma se charge des travaux (ndlr : Certes mais Adoma est une société d’économie mixte, c’est-à-dire une société dont le capital est majoritairement détenu par une ou plusieurs personnes publiques : l’Etat, une collectivité territoriale ou tout autre établissement public. En d’autres termes, l’argent versé à Adoma, c’est le nôtre !). […] Pour Buzançais, une enveloppe de plusieurs centaines de milliers d’Euros a été dégagée (ndlr : en échange de quoi d’ailleurs puisque la commune n’aurait soi-disant rien à payer ?). C’est toujours Adoma qui recrute et paie le personnel (ndlr : Combien ? Et pour quel coût ?). Adoma touche ensuite une dotation de l’Etat à l’année soit 23 € par personne et par jour (cela revient à : 23 x 80 x 365 = 671 600 € /an). D’autre part, une allocation pour demandeur d’asile (ADA) est versée par l’Etat aux intéressés. Elle est d’un montant allant de 8 à 25 € (donc de 233 600 € (365 x 8 x 80) à 730 000 € ( 25 x 365 x 80) ). Ajouter à cela les transports qui seront gratuits. Au total, ce sont vraisemblablement plusieurs millions d’euros qui seront consacrés à des individus qui ont pénétré de façon illégale sur le territoire national au détriment des Français.
Nous ne paierons pas pour les clandestins ! Le Parti de la France demande non pas, une relocalisation de ces migrants dans une autre ville ou village français, mais l’expulsion immédiate de ces 80 migrants et le retour dans leur pays d’origine.
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