Clairefontaine applique la réforme Belkacem
Source : http://lesalonbeige.blogs.com
Président du Parti de la France
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Si vous ne bénéficiez pas, comme les immigrés clandestins, de l'Aide Médicale d'Etat, vous avez du subir la baisse de remboursement des frais médicaux par les mutuelles :
Depuis le 1er janvier, les complémentaires santé ne peuvent plus rembourser les consultations médicales au-dessus d'un certain plafond. Depuis le début de l'année, les plateformes téléphoniques des complémentaires santé sont débordées. Leurs assurés les appellent en nombre car ils ne comprennent pas pourquoi leurs remboursements de soins de santé ont brusquement chuté. Mutuelles, instituts de prévoyances et assureurs ont bien du mal à leur expliquer qu'elles n'y peuvent rien. C'est bien en effet à cause de la réforme des contrats dits « responsables » (plus de 90 % du marché) qu'elles ne peuvent plus prendre en charge autant qu'avant la facture du médecin.
Elles ne peuvent plus rembourser les honoraires des médecins libéraux pratiquant des dépassements que dans la limite d'une fois le tarif fixé par la Sécu. Objectif de cette réforme de Marisol Touraine: faire baisser par ricochet les tarifs des médecins de « secteur 2 ». Par exemple, en rhumatologie, où le tarif Sécu est de 28 euros pour une consultation, la complémentaire santé rembourse désormais au maximum 28 euros au patient, même si le dépassement d'honoraires a atteint 40 euros. Une toise sévère. Alors qu'un gynécologue demande en moyenne, dans les grandes villes, 72,05 euros pour une consultation, le patient, qui n'avait souvent rien à payer avant, doit désormais débourser 16,05 euros, a relevé le courtier Gerep. La facture atteint des sommets en chirurgie, où les actes sont plus lourds et donc plus coûteux qu'ailleurs. Là aussi, les remboursements sont plafonnés comme les consultations (à une fois le tarif de la Sécu), alors que les contrats souscrits dans le cadre de l'entreprise remboursaient généreusement ces soins. Il ressort de cas réels observés par le Groupe Henner, un autre courtier en assurance de personnes, qu'une opération de la prostate facturée 3.300 euros, prise complètement en charge auparavant, coûte dorénavant 1644,56 euros au patient.
Source : http://lesalonbeige.blogs.com
Chaolin Zhang, tranquille père de famille âgé de 49 ans, couturier, roué de coups avec un de ses amis, le 7 août, à Aubervilliers, vient de succomber à ses blessures. Une énième agression envers des Chinois ou des Français d’origine chinoise, depuis des années et pour cette seule commune.
À la mairie, on condamne, évidemment. Un crime au « mobile crapuleux » doublé d’un « ciblage raciste », dénonce le maire, PCF. Perpétré par trois individus de sexe masculin. Du profil des agresseurs, on ne sait rien. Ou plutôt, on sait tout, Meriem Derkoui s’empressant d’appeler à ne pas « céder à la division et à la stigmatisation »… Ce que son adjoint confirme : les deux Chinois, selon lui, ont été bêtement victimes de « préjugés ».
Pour ceux qu’il ne faut donc pas stigmatiser, les Chinois seraient « des gens riches, avec de l’argent partout, c’est une proie facile » (sic). Et nous qui pensions que la discrétion, la simplicité, l’âpreté à la tâche sans arrogance ni ostentation caractérisaient le mieux le peuple de l’empire du Milieu ! L’adjoint Boualem Benkhenouf, silencieux sur ces points, ne partagerait donc pas nos « préjugés » à nous…
Le fait est que, depuis plusieurs années, à Aubervilliers mais aussi dans l’ensemble de la Seine-Saint-Denis comme partout en Île-de-France, les Chinois, français ou d’origine – au nombre compris entre 3 et 4.000 pour cette ville de 80.000 habitants – sont tout particulièrement les cibles d’agresseurs de plus en plus violents. De novembre 2015 à aujourd’hui, l’Association de l’amitié chinoise a recensé, au bas mot, 100 cas. Et jusqu’à trois agressions en un an pour une même personne. Fang, une étudiante, parle, elle aussi, de préjugés : pour leurs assaillants, les Chinois seraient des êtres « faibles, dociles, riches ». Des victimes idéales, donc. Et tout y passe : agressions verbales, physiques, vols, cambriolages, agressions à domicile et agressions sexuelles. À tel point que, dès qu’ils en ont la possibilité financière, nos amis quittent ces quartiers. Comme les autres…
Depuis une bonne dizaine années, il ne fait donc plus bon vivre comme un Chinois en France. Alors, la communauté qui « n’a pas l’habitude de protester et règle ses problèmes toute seule [juge qu’]aujourd’hui [on] ne peut plus se taire » et em> »demande de l’aide ». Ainsi s’exprime une jeune fille devant la photo de Chaolin Zhang. La « protection au quotidien » promise par Manuel Valls, en 2013 – un Valls parfaitement au courant des agressions ciblées dont elle fait l’objet -, n’a pas été très efficace…
Encore plus préoccupant : un rapport de 2009 – il est vrai, non représentatif – établi par une ex-association chinoise et envoyé à la direction générale de la police, à la préfecture, à la mairie de Paris, etc. – rapport qui ne sera jamais suivi d’effet -, fait mention de violences verbales et physiques commises par… des représentants de l’autorité. Et d’un acharnement de leur part à contrôler leur identité. Moins bien traités que les migrants venus de partout sauf de Chine, les Chinois ?
Mais qui va-t-il rester dans ces quartiers quand Chinois, Français et tant d’autres les auront totalement désertés ? En attendant, Chaolin est mort « pour rien, pour rien », répète sa veuve, effondrée, il n’avait pas d’argent sur lui… Un crime gratuit. Un crime de barbares.
Caroline Artus
Source : http://www.bvoltaire.fr
Une guerre psychologique incessante est menée aux populations de souche européenne au nom de l’idéologie socialiste et de son dernier avatar, l’antiracisme. Le groupe médiatique Ouest-France, connu pour sa haine de la nation bretonne comme de tout émancipation identitaire, ne fait pas exception à cette règle.
Radicalisation de l’extrémisme antiraciste et immigrationniste
Ainsi, dans sa collection “Jeunesse”, les éditions du groupe reconfigure l’identité et l’histoire celtiques pour l’amalgamer à l’immigration africaine (voir ici).
BREIZ ATAO a été précurseur face à cette offensive de longue haleine lancée par la nomenklatura dominante pour détruire ethniquement et racialement le peuple breton. C’est pourquoi, lorsque nous avions souligné en 2013 l’imposture du “celte noir”, l’ensemble de la structure politique et médiatique de l’état central en Bretagne avait entrepris – sans succès – d’anéantir notre organe d’information.
Nous rappellerons à nos lecteurs que notre rédacteur Boris Le Lay a été condamné à respectivement 6 mois (voir ici) et deux ans de prison ferme (voir ici) pour avoir dénoncé, par écrit ou en vidéo, ce travail d’anéantissement mémoriel, prélude au génocide par submersion migratoire qui devient chaque jour plus apocalyptique. La propagande gouvernementale occultant au demeurant dans ses campagnes de désinformation le caractère purement terroriste de cette répression.
Guerre psychologique et remplacement de population
Comme nous l’avons inlassablement rappelé, à l’instar d’un bombardement de préparation avant un assaut d’infanterie contre une position à enlever, il faut, avant de détruire un peuple, s’assurer que ses défenses immunitaires soient pulvérisées grâce à un roulement de propagande qui nivelle progressivement sa perception du réel et ruine toute velléité de résistance.
Le type d’actions le plus avancé de ce type d’opération consistant à persuader l’ennemi – en l’occurrence le peuple autochtone – que rien de tangible ne le constitue en tant que tel. S’il n’a pas conscience d’exister, pourquoi voudrait-il résister puisque, de son propre point de vue, il n’existe pas en propre ?
Ce lavage de cerveau institutionnel et systématique vise à détruire toute conscience collective au sein du peuple ciblé, conscience sans laquelle il n’est plus d’être historique, ethnique et national. Une fois le groupe désorienté par cette amnésie artificielle implanté dans les cerveaux, le système reconfigure le fondement du collectif en imposant de nouvelles normes, c’est-à-dire celles décidées en amont par la nomenklatura du système.
En l’occurrence ici : l’égalitarisme racial, culpabilisation des populations autochtones afin de neutraliser tout instinct de conservation et enfin immigration de remplacement.
Lire la suite : http://breizatao.com/2016/08/16/campagne-daneantissement-racial-les-editions-ouest-france-presentent-les-celtes-comme-des-africains/
Le séjour, prévu du 21 au 28 août, affiche complet. 80 personnes ont ainsi choisi d’aller se ressourcer, en famille, à Pelvoux, dans les Hautes-Alpes.
Sur le dépliant, un portrait barbu voisine curieusement avec la photographie d’une jolie petite Heidi à la tresse blondinette. C’est que figurent au programme de ces vacances « baignade-rafting-randonnée », mais aussi « repas halal » et « spiritualité », sous la conduite de l’« invité d’honneur » Aammi Hassen Bounamcha.
Ce camp de vacances, on l’aura compris, est destiné aux musulmans (à moins – ce qu’à Dieu ne plaise – que la petite Heidi ne serve une intention prosélyte à destination de Français de souche déchristianisés et en mal de spiritualité). Si l’on peut regretter ce repli communautaire de la part de gens dont on nous serine qu’il faut « vivre ensemble » avec eux, il n’y a pas de quoi s’indigner qu’ils aspirent à des vacances quelque peu spirituelles au sein d’une nature enchanteresse. Mais pour qu’à la fois un député radical de gauche, Joël Giraud, et la secrétaire nationale de ce même Parti radical de gauche, Laurence Marchand-Taillade, peu suspects de discrimination anti-musulmane, s’en émeuvent, on peut gager qu’il y avait bien dans cette affaire matière à s’indigner. Et, de fait, on reste sans voix.
D’abord, l’« invité d’honneur » de ce camp, Haami Hassen, imam à Aubervilliers, avait été, selon Mme Marchand-Taillade, « désigné par Manuel Valls, alors qu’il était ministre de l’Intérieur, comme dangereux et destiné à être reconduit dans son pays ». Ayant d’ailleurs « visionné, sur YouTube, nombre de ses prêches », elle-même estime qu’« on peut considérer que c’est du lavage de cerveau contre notre culture et nos valeurs ». Ces « vacances éthiques » (c’est le nom de l’association musulmane qui organisait le séjour) seraient donc bien plutôt, pour reprendre l’expression du Figaro, des « vacances salafistes ».
Est ensuite dénoncé le financement scandaleux de ce séjour.
Vacances éthiques, explique Le Figaro, disposait indirectement de subventions de VACAF (organisme qui gère les aides aux vacances des CAF) […] Ce sont les centres de vacances qui sont agréés, sur des critères sanitaires principalement. C’est donc le centre de vacances qui bénéficiait […] de cet agrément. […] Or, le centre de vacances avait été privatisé pour l’occasion, ce qu’il n’aurait pas dû accepter, au regard de son engagement avec la CNAF l’obligeant au respect de la laïcité. […] les parents réservent le séjour, le centre de vacances donne un justificatif qui sert de base pour demander le subventionnement à la CAF. Ce sont les familles qui font la démarche, il est donc très difficile de faire les recoupements…
Ce tour de passe-passe permettait donc à une association musulmane d’obtenir des subventions publiques pour ses vacances halal. Or, Mme Marchand-Taillade rappelle fort justement qu’il « semblerait déplacé que [l’État finance] les JMJ », « déplacé » étant à l’évidence un doux euphémisme.
On reste sans voix, mais Mme Marchand-Taillade, elle, ne s’étonne pas : « Lorsque l’on saisit « vacances halal » sur le Net, on trouve un nombre impressionnant de séjours similaires. Nous n’avons désigné qu’une partie infime du système. »
Un « système » qui dépasse d’ailleurs largement le cadre des séjours de vacances, et qu’il devient urgent de « systématiquement » démonter.
Christine Célérier
Source : http://www.bvoltaire.fr
C'est une attaque raciste et kouffarophobe qui a eu lieu sur une plage de Sisco au Cap Corse, après que des individus arabo-musulmans s’en soient lâchement pris à des adolescents.
La presse unanime relate l’agression en distinguant bien les agresseurs « des jeunes d’origine maghrébine », « de la communauté musulmane », alors que ceux-ci, aux dires de témoins, auraient en réalité été âgés de plus de 40 ans, tandis que les agressés, non armés, sont « des jeunes Corses » âgés, eux, de 15 à 18 ans.
Le tableau est posé.
Selon le témoignage d’une maman de l’un des agressés, les victimes se trouvaient sur une crique, « armés de leur serviette de plage », lorsque des individus en bandes armés, eux, de « haches, couteaux et harpons » et de matraques sont venus les poignarder, frappant notamment sur la tête le plus petit d’entre eux. Même en bande, le courage n’est pas la qualité première de ceux qui ont pour ordre divin de frapper les kouffars.
Le tort des Corses ? Avoir pris, de loin, des photos du paysage sur lesquels apparaissaient des personnes vêtues de tenues exotiques (les femmes étaient en « burka ») datant d’une lointaine époque et donc aussi incongrues que celles de Jacquouille-la-Fripouille en plein 21e siècle. Ce n’est d’ailleurs certainement pas un hasard si les agresseurs sortis de leur propre Moyen-Age s’en sont également pris aux voitures garées là, puisque les femmes en burka ont crevé les pneus, tout comme Jacquouille en panique devant un moyen de transport moderne frappait « la chariotte du diable » du facteur.
L’affrontement aurait fait une demi-douzaine de blessés, dont une femme enceinte ainsi qu’une autre personne dans un état très grave du côté des Maghrébins.
La maman, décrivant une « scène de guerre » dans laquelle sont intervenus une centaine de policiers et de gendarmes, poursuit son témoignage : « le copain de ma fille, sous ses yeux, a esquiver un coup de couteau dans le ventre ». Trois des pères des jeunes Corses sont arrivés en premier sur les lieux pour tenter de régler la situation, tandis que l’un d’eux aurait esquivé un coup de couteau, avant qu’un autre ne se prenne un coup de harpon.
« Mon frère a été tabassé, il est choqué pour toujours », a déclaré la sœur de l’un des agressés.
Un témoin a déclaré que les agresseurs, âgés de 40 à 50 ans et, semble-il, d’origine marocaine, ont crié « Allah akhbar ! On est chez nous ! », avant de continuer : « on va niquer vos femmes, on va les mettre pleines ! On va s’en prendre à vos enfants ! ». Bref, rien que du classique. Une femme aurait également été lapidée par des Maghrébins, selon un autre témoin de la scène.
Pour comble de crétinerie, des membres des musulmans agresseurs ont mis le feu à leurs propres véhicules…
Après cette attaque par des adorateurs de Mahomet, on ne peut que féliciter la ténacité du maire de Cannes ainsi que celle de Lionnel Luca à Villeneuve-Loubet de n’avoir pas cédé aux revendications communautaires d’islamistes désireux d’appliquer la charia sur notre sol, la justice ayant donné raison à ceux-ci en raison du trouble à l’ordre public que le port du burkini ne pouvait que générer. Nous n’avons, en effet, pas vocation en France à tolérer des revendications d’un autre âge ostensiblement idéologiques, sexistes et porteuses de sous-entendus accusatoires laissant entendre que tous les hommes en France seraient des violeurs potentiels de musulmanes.
Lionnel Luca avait rédigé un arrêté stipulant que « l’accès à la baignade à toute personne ne disposant pas d’une tenue correcte, respectueuse des bonnes moeurs et du principe de laïcité, et respectant les règles d’hygiène et de sécurité adaptées au domaine public maritime » serait interdit. La charia n’a en effet pas lieu d’être en France.
C’est dans ce contexte qu’en fin de matinée, ce dimanche, suite à cette agression kouffarophobe, des manifestants ont été reçus à la préfecture de Bastia. Parmi eux, certains ont crié « aux armes, on va monter parce qu’on est chez nous ! ».
Nous ne pouvons qu’encourager et féliciter nos amis corses pour leur courage et leur refus de ne pas se laisser marcher sur les pieds par la racaille islamiste.
De même, on peut s’interroger sur l’incapacité de Bernard Cazeneuve de faire régner l’ordre « républicain » sur notre territoire, rôle qui lui est pourtant dévolu et pour lequel il est grassement payé. On ne peut que constater que le résultat de sa politique laxiste joue davantage en faveur des racailles qu’en faveur du peuple qu’il est supposé protéger.
Il va falloir que cet improbable régime socialiste annonce clairement la couleur : soit il installe l’islam incompatible avec notre civilisation sur notre sol afin de nous faire disparaître, soit il nous défend de cette « idéologie d’agression » hostile à toute élévation intellectuelle, à toute beauté, et surtout à toute tolérance. En tout cas, il ne peut y avoir cohabitation. Quand on se rend à la plage avec des haches dans le but de frapper des non musulmans, ainsi que l’ordonne le Coran, c’est qu’on a la volonté de nuire, qu’on est en guerre.
Si on est en guerre, alors il faut bouter l’ennemi hostile hors de nos frontières françaises afin de protéger les nôtres, point barre.
Caroline Alamachère
Source : http://ripostelaique.com
Depuis la création de la Jungle de Calais, de nombreux commerces illégaux tenus par des clandestins ont émergé. De « l'Afghan Shop » vendant des spécialités culinaires afghanes au magasin d'alcool en passant par le coiffeur afro et la boîte de nuit sub-saharienne, tout y est. Illégalement et à la vue de tous, ces commerces ont plusieurs fois suscité la polémique et exaspèrent la population calaisienne qui ne supporte plus le laxisme des autorités publiques à leur égard. A la demande d'administrés et des services compétents, les commerces illégaux devaient prochainement être fermés. Mais c'était sans compter sur la complaisance des tribunaux - plus précisément du Tribunal administratif de Lille - qui a annulé la fermeture de ces commerces. Jean-François Molla, juge des référés, n'habitant sûrement pas à Calais, estime que, malgré l'illégalité la plus totale de ces commerces et l'insalubrité qui y règne, les clandestins ont le droit d'en bénéficier.
Alors que la chasse au « mauvais français » bat son plein en France, les clandestins, aussi nombreux et nuisibles soient-ils ont tous les droits. Nous réitérons notre volonté de vouloir fermer ces commerces illégaux et d'expulser définitivement ces délinquants du territoire national.
Kévin Reche, délégué du Parti de la France pour le Calaisis
Hillary Clinton, candidate du Parti Démocrate soutenue par le socialiste Bernie Sanders ainsi que par la grande banque new-yorkaise, s’est félicitée lundi 8 août de la participation aux Jeux Olympiques de la première citoyenne américaine en hijab, le voile intégral islamique.
Cette prise de position tranche pour le moins avec les positions du féminisme anglo-américain du XXème siècle qui visait à “libérer le corps de la femme” des contraintes du puritanisme protestant. Un virage à 180° degrés donc qui peut s’expliquer par les liens très étroits de la femme de l’ex-président américain, Bill Clinton.
Hillary Clinton est en effet très proche de l’organisation islamiste des Frères Musulmans qu’elle a soutenu en Egypte, en Tunisie, en Libye ou encore en Syrie. Elle a également touché au moins 40 millions de dollars de la part des dictatures wahhabites du Golfe Persique.
Source : http://breizatao.com/2016/08/09/usa-hillary-clinton/
Au cours des six premiers mois de l’année, les nuitées de touristes étrangers en France ont enregistré une baisse de 10 % en moyenne.
Paris, Châteaux de la Loire, fêtes de Bayonne : de nombreux lieux et manifestations emblématiques du territoire français subissent une forte baisse de fréquentation après les attentats. Au cours des six premiers mois de l’année, les nuitées de touristes étrangers en France ont baissé en moyenne de 10 % en raison des craintes suscitées par les attentats, a révélé le secrétaire d’État chargé de la Promotion du tourisme, Matthias Fekl, dans une interview au Journal du dimanche.
À Paris, la fréquentation hôtelière a chuté de 9,8 points à 78,1 % en juillet par rapport à l’année dernière, d’après les chiffres de l’Observatoire économique du tourisme parisien. Les plus fortes baisses concernent la clientèle internationale, dite « long-courrier », plus sensible aux questions de sécurité que les touristes français. Dans la capitale, les réservations aériennes des touristes américains, première clientèle touristique étrangère, ont ainsi connu une baisse de 19,2 % entre le 25 et le 31 juillet.
Source : http://www.fdesouche.com
Morts pas si naturelles, assassinats déguisés en suicides… Des homicides passeraient sous le radar des autorités. En cause : plusieurs failles dans le dispositif de médecine légale. Selon la loi, la dissection est obligatoire en cas de mort violente ou de mort inconnue ou suspecte.La décision de déclencher une autopsie reste le privilège des magistrats.
Tout est parti d’une rumeur persistante dans un petit village de l’Aveyron. Automne 2014, une centenaire rend son dernier souffle dans une maison de retraite de la région. Spontanément, les riverains pensent qu’elle a succombé au grand âge. Après un rapide constat, le médecin dresse un acte de décès dont il indique la cause : « mort naturelle ». Mais deux ans plus tard, le dossier se retrouve sur le bureau d’une juge d’instruction du pôle criminel de Montpellier. Entre-temps, il s’était dit au village que la centenaire avait été empoisonnée par son fils, âgé de 74 ans. Un bruit de fond suffisant pour que les enquêteurs s’y intéressent de plus près. En juin, le fils est passé aux aveux en garde à vue.
Des affaires comme celle-ci, Sophie Gromb, responsable du service de médecine légale au CHU de Bordeaux, pourrait en citer des dizaines. Dans le dernier numéro de la revue Sang-Froid (Ces homicides qui ne disent pas leur nom, été 2016), qui mêle avec brio polar et justice, la médecin légiste tire la sonnette d’alarme. Car elle en est convaincue : en France, des homicides passent sous le tapis faute d’autopsies.
Combien ? Difficile à dire, aucune recherche au niveau national n’ayant été faite sur le sujet.
La réorganisation de la médecine légale a, en effet, entraîné un regroupement des services autour de structures hospitalières régionales. Une mesure à double tranchant pour Sophie Gromb. « En essayant d’améliorer la qualité, on a créé des trous noirs, des zones périphériques où il n’y a plus de médecins légistes« , constate la responsable du service de médecine légale de Bordeaux. [...]
« Une autopsie avec recherche de stupéfiants, alcool et lésions, va facilement chercher dans les 1.000€ », chiffre une procureure. Les frais de transport du corps ne sont pas non plus inclus dans le forfait. Autant de dépenses qui n’incitent pas à faire du zèle.
Source : http://www.fdesouche.com
Tous les étés, la même rengaine : commissariats et gendarmeries sont attaqués dans les zones de non-France. Souvent au moment de la fête nationale, date choisie par certains individus pour exprimer leur haine de la France. Pas plus les attentats que l’état d’urgence n’ont pu y changer quelque chose. Au contraire, peut-être, l’islamisme prospérant là où se trouve la racaille.
Un article de Paris Match témoigne de l’état de délabrement de certains quartiers administrativement français, rongés par l’islamisme, la délinquance de droit commun et l’assistanat. Les « jeunes » interrogés pour les besoins du reportage sont un peu confus, souvent portés sur les théories du complot, mais ils ont quelques certitudes. Ils vivent à Toulouse, dans le Grand Mirail. De leur point de vue, la loi d’Allah est supérieure aux lois de la République. D’ailleurs, ils ne se sentent français que pour vivoter grâce aux aides sociales qu’ils cumulent souvent aux profits générés par de menus larcins. Samir déclare ainsi : « Pour moi, l’islam est incompatible avec la République, […] C’est à la laïcité, à vous, de vous adapter à notre culte, pas l’inverse. […] La communauté musulmane pourrait se rebeller. Vous êtes loin de la réalité. Pour moi, la guerre civile est inévitable. » Un message reçu cinq sur cinq par les politiciens arrangeants, clientélistes et lâches qui nous gouvernent.
J’aimerais adresser deux réflexions au charmant Samir : si ce pays lui déplaît, il est tout à fait libre de le quitter, nous ne lui en voudrions pas, car la France n’a pas à s’adapter à lui ; en outre, pour qu’il y ait une guerre civile, il faudrait considérer que Samir est un Français, ce qui me paraît discutable puisque son assimilation à la communauté nationale a manifestement échoué dans les grandes largeurs. Samir n’est pas le seul dans ce cas. L’échec de l’intégration des populations immigrées est patent. Pensez donc qu’en 2016, des islamistes louent un centre aquatique pour des femmes qui s’y baigneront en « burkini » (néologisme formé par la contraction de « burka » et « bikini »). Français de papiers, ils entendent vivre selon leurs propres lois, éloignées de nos mœurs nationales. Il leur faut donc songer à plier bagages.
Nous ne devrions pas prendre à la légère ces exemples. Ils s’ajoutent à un contexte catastrophique : la démographie du Sud explose, le monde musulman subit des changements politiques majeurs, l’islam de combat s’est durablement réveillé, l’Occident est en pleine crise identitaire (ce qui entraîne une crise institutionnelle, les institutions politiques occidentales étant consubstantiellement liées à son identité historique). En sus de ces problématiques majeures, les apprentis sorciers du marxisme culturel tentent de créer une lame de fond insurrectionnelle, nourrie par la haine des forces de l’ordre et un racisme anti-blancs latent chez les personnes d’ascendance extra-européenne. L’affaire Adama Traoré est symptomatique de cet état de fait, de même que les marches organisées pour la mort du pitbull AK-47 lors d’une intervention de la gendarmerie dans le quartier de La Courneuve.
Contrairement à ce qu’avancent quelques penseurs, sortir de l’impasse présente passera par la réconciliation entre la France historique et son incarnation temporelle : l’État. Fermeté, ordre, souveraineté totale, c’est-à-dire souveraineté enracinée. La souveraineté, c’est d’abord être à soi-même sa propre norme. Ceux qui vivent en France doivent vivre avec la France éternelle, ou s’effacer. Autrement, il n’y aura plus de « nous », mais des « ils » séparés par des grillages et des fils barbelés. Faute d’avoir fermé nos frontières naturelles, nous en recréerons à l’intérieur du pays. Cela a déjà commencé. Vous ne le voyez pas ?
Gabriel Robin
Source : http://www.bvoltaire.fr
« Je retiens qu’il puisse y avoir un réseau complexe. Je pense que les personnes importantes qui organisent le flux migratoire vers l’Italie sont directement ou indirectement liées au terrorisme » explique un magistrat italien, Cataldo Motta, un des premier à enquêter et à prouver les connexions entre le trafic de migrants et le terrorisme.
A ces constations se rajoute l’hypothèse qu’il y ait une stratégie de déstabilisation derrière le flux continuel d’arrivées de migrants, surtout en provenance du Soudan, de Sicile à Vintimille, à deux pas de la frontière française. Des patrouilles mixtes italo-françaises surveillent activement cette zone frontalière territoriale en pleine ébullition.
Le risque est que la situation puisse dégénérer, surtout depuis que la Suisse ait décidé d’appliquer les normes sur les renvois, ce qui place l’Italie dans un étau, puisque l’Autriche a depuis longtemps pris la décision de suspendre le traité de Schengen.
Certains migrants ont admis avoir été conseillés de se diriger directement à la frontière, avec l’assurance qu’il n’y aurait aucun problème pour la traverser.
Les enquêtes en cours se penchent tant sur les organisations criminelles qui gèrent les déplacements de ces miséreux en quête d’une Europe mythique, eldorado chimérique, que sur les No Borders qui auraient décidé d’exploiter ces mouvements pour leur propre revendication, la suppression de toutes les frontières, la fin des nations, la mort des peuples européens.
Alors, les charmants gauchistes No Borders, petits chouchous des médias et des bien-pensants ? Objectivement soutien, conscient ou inconscient, de Daesh !
Source : http://www.medias-presse.info
Une évacuation « par erreur » d’un « gros millier » de personnes. Un employé de la sécurité qui interprète de travers un exercice. Et la tour Eiffel fermée pendant quatre heures… La direction de la Dame de fer a lancé une enquête interne après l’évacuation en urgence du monument vendredi soir. Les dirigeants de la Sete (Société d’exploitation de la tour Eiffel, société d’économie mixte dont le capital est détenu à 60 % par la Ville de Paris) vont devoir se pencher sur cet énorme couac.
Ce vendredi, vers 19 heures, alors que la tour Eiffel accueillait ses quelque 25.000 visiteurs quotidiens, dont plus d’un millier encore avant sa fermeture à minuit, ses services de sécurité ont diligenté en interne un exercice grandeur nature intitulé « découverte d’un colis suspect ». « Comme nous en faisons tous les jours », explique Anne Yannic, directrice des lieux. « Ils ont effectivement des protocoles de sécurité très stricts », confirme une source policière. Sauf que la simulation a dérapé. Un employé de la sécurité chargé de surveiller les radiographies des bagages « qui en remplaçait un autre et parlait mal le français », s’agace une source proche du dossier, a pris la simulation pour un danger réel. Il a vu sur son écran l’image fictive du colis suspect et a déclenché l’évacuation d’urgence.
Source : http://www.fdesouche.com
Deux policières ont été blessés à la machette samedi après-midi dans le centre de Charleroi. Un individu armé d’une machette a pénétré dans la zone dite « protégée » autour de la tour de police de la ville en criant « Allahu Akbar », deux policières en faction ont été blessées et l'une souffre de plaies profondes au visage. Une troisième policière a abattu l'ordure islamiste avec son arme de service.
Source : http://www.fdesouche.com
Dans la France d’aujourd’hui, il y a Momo et puis il y a Soulemane. Ils tiennent tous deux une supérette au coin de la rue, ouverte de 7 heures à 23 heures, mais ils ne font pas le même commerce.
On a tous un Momo et un Soulemane. Mon Momo à moi est un Parisien pur jus, dans un quartier où l’on vient d’ouvrir un bar à bagels, soit l’indice de la suprême branchitude depuis qu’on trouve partout des restos japonais. Leur Soulemane tient enseigne à Colombes, en banlieue parisienne. Il a repris, en avril 2015, l’ancien Franprix, qui s’appelle aujourd’hui Good Price. Momo, qui vend de tout, fait la joie du quartier parce qu’il a poussé les murs de sa boutique afin d’installer un rayon de bières venues du monde entier.
Soulemane est en procès avec la municipalité – Colombes Habitat Public, exactement. Le bailleur social, propriétaire des lieux, a bien spécifié sur le bail qu’il s’agissait d’une « alimentation générale », mais il s’avère que Soulemane est un généraliste à tendance très communautariste : il ne vend plus ni porc ni alcool, juste de la viande exclusivement halal, des loukoums et des tapis de prière. Constats d’huissier, tribunal… rien n’y fait. Soulemane Yalcin reste droit dans ses babouches : « Je fais du commerce, je regarde autour de moi et je cible ce qui peut s’y vendre. Le bail prévoit alimentation générale et activités connexes. Tout dépend de la façon dont on interprète les activités connexes. » Et puis Soulemane a des arguments de poids : « Tous les magasins qui vendent de l’alcool sont confrontés à des problèmes de sécurité », dit-il. Quant aux batailles de lardons, je vous laisse imaginer…
Bref, à quartier musulman commerce musulman, et tant pis pour les petits vieux qui habitent encore la cité et doivent faire des kilomètres pour manger du cochon. D’ailleurs, les soutiens de Soulemane ont encore des arguments dans la manche de la djellaba. « Si la précédente supérette a fermé, c’est parce qu’elle ne trouvait pas sa clientèle », confie l’un au Parisien, et puis « c’est un magasin communautaire. Mais comme l’Hyper Cacher l’est aussi. Qu’est-ce que ça peut faire ? » demande un autre.
Ça peut faire que la France change insidieusement, jour après jour, qu’elle se laisse grignoter miette à miette :
– « Les enfants ont mangé halal pendant toute la classe de mer ?
– Oh, allez, c’est pas grave, on peut bien se priver de cochon, on n’en mourra pas…
– Ah bon, on a aussi interdit aux petites filles de se mettre en robe ? Au fond, ils ont raison, un pantalon c’est plus pratique.
– Ah oui ? Pas de maillot de bain non plus ? Et vous dites, un horaire pour les filles et un pour les garçons ? Notez, Madame Michu, c’est plus sage, ça évite les problèmes… »
C’est ainsi que le Speedwater Park, un centre aquatique situé aux Pennes-Mirabeau, dans les Bouches-du-Rhône, a accepté de vendre la journée du 10 septembre à l’association Smile13. Une entreprise louable pour offrir aux enfants les plaisirs des jeux d’eau. Sauf que… sauf que c’est une journée réservée aux femmes et aux jeunes garçons de moins de 10 ans, et que la baignade s’y fera « en burkini et jilbeb de bain. L’annonce porte d’ailleurs cette mention : « Je compte sur vous pour respecter la awra. Et donc ne pas venir en 2 pièces (parties doivent être cachées de la poitrine aux genoux). Le mien est un maillot une pièce avec paréo ou short-caleçon. »
Mais vous savez ce qu’on dit aux petites filles et à leurs mamans : si l’on vous cache, c’est pour votre bien ! Au rythme où vont les choses, je me demande si l’Éducation nationale n’imposera pas, bientôt, le voile à l’entrée en 6e…
Marie Delarue
Source : http://www.bvoltaire.fr