Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog politique de Thomas JOLY

Vraie guerre froide ou guéguerre tiédasse ?

9 Octobre 2016, 09:36am

Publié par Thomas Joly

Cependant que le Premier ministre norvégien, Erna Solberg, s’éclatait au Pokémon lors d’un débat parlementaire (Volkskrant, 5 octobre), deux General Dynamics F-16 de la force aérienne royale norvégienne furent acteurs d’un énième épisode du feuilleton initié au sortir de la Seconde Guerre mondiale par l’URSS et le « monde libre ». « Exercices » grandeur nature, où chacun teste les capacités de réaction de l’autre, et qui se déroulent sans interruption, de l’aube de la guerre froide à nos jours de guerre tiédasse (depuis les chutes « du mur » et « du communisme »).

Il est remarquable que, côté russe, un même bombardier à long rayon d’action, le Tupolev Tu-95 « Bear », équipé de quatre turbo-propulseurs munis chacun de deux hélices contra-rotatives, y participe sans interruption depuis sa mise en service en 1956 : soixante bougies ! Chaque amateur d’aviation digne de ce nom connaît ces prises de vues sur lesquelles figurent tout ce que l’Occident possède d’intercepteurs depuis un demi-siècle, en compagnie de l’un de ces Tu-95 « Bear » pris en flagrant délit de survol d’eaux… internationales ou de bâtiments alliés en manœuvre. « Deux bombardiers russes interceptés par quatre Rafale au large de la Bretagne » (information d’abord rendue publique par le ministère de la Défense) titre, avec force trémolos, Le Figaro du 4 octobre, comme si des Spitfire avaient intercepté deux Heinkel He 111 en route vers Londres au plus chaud de la bataille d’Angleterre.

L’affaire commença précisément au large de la Norvège d’Erna Solberg et son Pokémon, le 22 septembre, pour s’achever du côté de Bilbao le même jour. Deux Tupolev Tu-160 « Blackjack » décidèrent de tester l’OTAN pour une balade contournant l’Irlande par l’ouest, puis l’Angleterre, pris en charge alors par deux Eurofighter Typhoon, et à descendre vers le sud où ils furent pris en charge par quatre Rafale à « une centaine de kilomètres des côtes bretonnes » (dixit Le Figaro), poursuivant ensuite leur balade vers l’Espagne, accompagnés de deux F-18 espagnols, puis effectuant un demi-tour au large de Bilbao.

Renseignements pris auprès de gouv.fr, concernant un « arrêté du 8 juin 2009 portant réglementation de la circulation aérienne militaire, version consolidée au 7 octobre 2016 », il apparaît (chapitre 2 de l’« Application des règles de vol CAM au-dessus de la haute mer ») que : « l’espace maritime comporte deux portions distinctes : la haute mer qui ne relève d’aucune souveraineté nationale et la mer sous souveraineté […] La haute mer s’étend vers le large à partir d’une distance de 12 milles nautiques (22 km environ) des lignes de base du territoire de l’État considéré »

Considérant que cela se produit des centaines de fois depuis des décennies, sans faire la une… Si la vraie guerre froide, (MAD : Mutual Assured Destruction) connut bien quelques brûlots franchement « limite », la guéguerre tiédasse actuelle doit plutôt être replacée dans le contexte syrien, voire ukrainien. Ainsi en Syrie (vraie guerre), à en croire nos médias, les bombardements russes semblent ne cibler qu’hôpitaux et civils (c’est ballot), contrairement aux américains et français, toujours d’une précision militaire exemplaire : normal, les politiques américaines et russes s’opposent dans la région.

C’est dans ce contexte que la France décide de rendre publique « l’interception de deux bombardiers russes au large de la Bretagne », ce qui doit se produire des centaines de fois en temps normal sans que cela perturbe la vie des huîtres à Cancale ou les Pokémon d’Erna Solberg en Norvège. Paraît même que Chirac aurait dit un jour : « Ça m’en touche une sans faire bouger l’autre. » On ignore s’il s’agissait de guerre froide ou de soupe tiède.

Silvio Molenaar

Source : http://www.bvoltaire.fr

Voir les commentaires

Trump accuse le gouvernement d’avoir accéléré les naturalisations

8 Octobre 2016, 09:38am

Publié par Thomas Joly

Donald Trump a accusé vendredi l’administration américaine d’avoir accéléré les procédures de régularisation de sans-papiers pour leur permettre de voter à l’élection présidentielle du 8 novembre. « Ils laissent les gens affluer pour qu’ils puissent aller voter (…) Ils ont reçu l’ordre d’en haut d’accélérer ces procédures pour que les gens soient naturalisés à temps pour l’élection », a affirmé le candidat républicain, lors d’une rencontre avec les représentants du National Border Patrol Council, un syndicat de douaniers.

« On nous dit que la vérification des antécédents est en quelque sorte court-circuitée et qu’elle n’est pas faite comme il faudrait pour que ces gens restent naturalisables », a-t-il ajouté.

Source : http://www.fdesouche.com

Voir les commentaires

Le djihad au RSA de Farouk Ben Abbes

8 Octobre 2016, 09:23am

Publié par Thomas Joly

On ne demande pas aux élus de se sentir l’âme romaine ou de se montrer fermes face aux dangers qui nous menacent, on sait trop bien qu’ils ne sont pas équipés pour cela. Toutefois, les Français sont en mesure d’attendre de leur part un peu de bon sens, voire un peu d’hypocrisie électoraliste en leur montrant qu’ils ne les méprisent pas totalement. Chaque jour qui passe apporte sa nouvelle goutte d’eau au vase des reniements de la France qui menace de déborder. Aujourd’hui, nous apprenons que l’islamiste Farouk Ben Abbes perçoit toujours le RSA.

Rappelez-vous, je vous racontais l’histoire de ce sombre individu, il y a quelques semaines à peine, alors que les médias dévoilaient que l’homme allait être indemnisé par la justice au titre d’un préjudice moral…

Âgé de 31 ans, ce « Belge » vit à Toulouse dans le quartier de la Reynerie, bien connu pour son insécurité chronique et, depuis longtemps, déserté par les Français d’origine européenne. Société parallèle au cœur de la Ville rose, le quartier vit d’aides sociales et de trafics illégaux. Nul doute que Farouk Ben Abbes n’y sera pas importuné, tant il ressemble au voisin idéal, au « grand frère » que tous les « jeunes » rêveraient d’avoir…

Fin juillet, monsieur Ben Abbes bouclait son dossier de demande de RSA auprès de la caisse d’allocations familiales de la Haute-Garonne, noyautée par les gauchistes de toutes obédiences, comme l’intégralité des services publics de cette ville.

Mi-septembre, le conseil départemental lui signifiait l’octroi de son RSA avec, cerise sur le gâteau, effet rétroactif au premier juillet. Dame République est si généreuse avec ses enfants. Enfin, ceux des autres.

« Il remplissait toutes les conditions, notamment celle d’être ressortissant de l’Union européenne. Sa dangerosité supposée ne fait pas partie des critères prévus par les textes », déclarait une « source proche du dossier ». En effet, Farouk Ben Abbes est le public cible du RSA : voyou, islamiste notoire, Belge de papiers, résident permanent d’une zone de non-France.

Le revenu de solidarité active est une mesure contribuant à l’assistanat généralisé qui pèse lourdement sur le budget des départements, dont les aides de l’État fondent chaque année. Dirigé par les socialistes depuis de nombreuses années, le département de la Haute-Garonne avait vu sa gestion sévèrement critiquée dans un rapport rendu public par la Cour des comptes en novembre 2013. Cela n’est guère étonnant quand la priorité semble de verser l’argent des contribuables à des personnalités reconnues comme dangereuses qui n’ont rien à faire sur le territoire national.

Quelques remèdes sont impératifs pour en finir avec la gabegie : réserver le RSA aux seuls nationaux, enquêter pour trouver les fraudeurs, suspendre son versement en cas de profils dangereux ou condamnés par la justice. L’évidence même…

Gabriel Robin

Source : http://www.bvoltaire.fr

Voir les commentaires

Des militants du Parti de la France à la journée « portes ouvertes » de la mosquée de La Ferté-Bernard (72)

7 Octobre 2016, 18:09pm

Publié par Thomas Joly

Dans un désormais habituel exercice de taqiya (dissimulation auprès des kouffars de ses véritables objectifs), la communauté islamiste de La Ferté-Bernard (72) a ouvert les portes de sa mosquée le week-end dernier pour célébrer l'extension en construction.

Des militants du Parti de la France étaient présents, ainsi que Louis Noguès, Conseiller municipal du Mans, et ont apporté quelques précisions sur la véritable nature de l'Islam et du Coran, donnant lieu à un dialogue tendu mais courtois avec les occupants des lieux. Naturellement, les autres visiteurs, acquis à l'invasion et à l'islamisation de leur commune (maire et curé compris), furent peu sensibles aux arguments de bon sens de nos militants.

Malgré l'hostilité manifeste de quelques fidèles agacés, des tracts du PdF rappelant les versets les plus agressifs et conquérants du Coran, ont pu être distribués à la sortie du lieu de culte mahométan.

On notera la magnifique photo d'illustration de la presse locale où apparait une militante portant un T-Shirt « Charles Martel 732 » du plus bel effet pour l'occasion. Le journaliste n'ira pas jusqu'à mentionner la présence de nos militants, dhimmitude et partialité obligent...

Voir les commentaires

Calais : une seule solution, l'expulsion !

7 Octobre 2016, 06:49am

Publié par Thomas Joly

Communiqué de Kévin Reche, Délégué du Parti de la France pour le Calaisis

Le mot « réfugiés » ne représente pas les milliers de clandestins de Calais. Certains (une infime minorité) fuient véritablement leur pays en guerre. Pour les autres, la très grande majorité, ce sont des migrants économiques entrés illégalement en France. Autrement dit, des clandestins. Des jeunes hommes environnant la trentaine d'années en pleine forme physique (ils ont quand même réussi à parcourir des milliers et des milliers de kilomètres avant d'arriver ici) qui auraient dû rester dans leur pays et se battre pour lui, plutôt que de le quitter et d'abandonner leur famille. Une question se pose alors : il s'agit de clandestins ou de lâches déserteurs ? Ces hommes, puisqu'à Calais ce sont bien des hommes et non des femmes, sous prétexte qu'il y aurait une guerre dans leur pays fuiraient en France dans l'espoir d'atteindre l'Angleterre. En attendant, ils se retrouvent bloqués à Calais et mènent leur guerre ici car l'Angleterre n'en veut pas. Et elle a raison !

Il n'existe pas 36.000 solutions pour remédier à ce fléau. Nous pouvons constater que l'éparpillement des clandestins à travers l’hexagone n'arrange en rien la situation des Calaisiens et des Français. L'accueil des pseudos-réfugiés ne peut pas se faire. À cette heure, l'expulsion totale et définitive des milliers de clandestins installés de force à Calais semble être le dernier moyen de résoudre ce problème qui pourrit la vie des Calaisiens et des personnes de passage dans la ville depuis bien trop longtemps. Le visage de Calais a changé depuis toutes ces années et ce n'est pas fini. Il est temps de mettre un terme à cette immigration dévastatrice et de prendre véritablement le parti de la France.

Voir les commentaires

A l’approche des élections, le nombre des naturalisations par décret pourrait dépasser de 45% celui de l’an dernier

7 Octobre 2016, 06:25am

Publié par Thomas Joly

Le nombre des naturalisations par décret pourrait dépasser de 45% celui de l’an dernier. Les heureux élus sont très majoritairement originaires du Maghreb et d’Afrique subsaharienne. Simple coïncidence à l’approche des élections ?

Selon nos informations, les naturalisations progressent à un rythme sans rapport avec celui constaté ces dernières années. Depuis début 2016, les naturalisations par décret ont déjà augmenté de 18 %, avec 40.198 bénéficiaires. Entre 2013 et 2015, elles avaient progressé de 17 % et le total des naturalisations d’environ 16 %, alors qu’il avait été divisé par deux entre 2010 et 2012.

Le Quai d’Orsay reçoit par ailleurs, actuellement, environ 1.000 dossiers par semaine à traiter de la place Beauvau. Le ministère des Affaires étrangères intervient dans ce processus parce qu’il s’occupe de l’état-civil des Français et qu’une majorité des étrangers qui demandent à être naturalisés sont nés à l’étranger.

Qui sont les nouveaux Français ? Sans surprise, Eurostat observe qu’ils viennent très majoritairement d’un pays extra-européen. C’est le cas pour 78 % d’entre eux. Les statistiques fournies par l’organisme européen indiquent également que les pays du Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie) arrivent en tête devant la Turquie, le Sénégal et le Portugal.

Tous ces dossiers sont donc reçus par la sous-direction de l’accès à la nationalité française du ministère de l’Intérieur, qui les « approuve » (ou non) et les adresse au service central de l’état civil du MAE pour « réalisation » de la partie état-civil.

Fait rarissime, ce service a déjà un stock de 10.000 dossiers en attente, acceptés par le ministère de l’Intérieur.

Source : Causeur via FdeSouche

Voir les commentaires

Jean-Marie Le Pen à Grimaud (83) le 15 octobre pour un déjeuner politique

7 Octobre 2016, 06:19am

Publié par Thomas Joly

Un événement politique co-organisé par les Comités Jeanne et le Parti de la France dont le représentant départemental est Didier Monnin.

Voir les commentaires

Air France, la prochaine cible des islamistes ?

7 Octobre 2016, 06:11am

Publié par Thomas Joly

Un avion d’Air France sera-t-il la prochaine cible de terroristes islamistes ? À lire les tentatives de sabotage par des employés de Roissy révélées par un fonctionnaire du renseignement au Canard enchaîné et relatées par Le Point, c’est une hypothèse effrayante malheureusement… réaliste.

La radicalisation des musulmans chez Air France et de la société ? Elle date des années 2000 : radicalisation par dérive communautariste et noyautage des syndicats par des islamistes ; refus de toucher des caisses d’alcool et même d’en passer commande. Exigence de repas halal et de salle de prière, au point qu’en 2013, la CGT finit par relever de leurs mandats les responsables de ce clientélisme. Pour en arriver où, 16 ans plus tard ?

À des pannes récurrentes sur des « moteurs relais », des toboggans d’évacuation trafiqués heureusement non utilisés ; à Israël rayé de la carte ou le Maroc remplacé par « khalifat » sur le système de géolocalisation visible par les passagers à bord, à « Allah Akbar » tagué sur une quarantaine d’appareils, ou encore au refus d’un agent de sol de guider un avion au prétexte que le pilote était une femme ! De « nombreux incidents » auxquels doit faire face Air France depuis ces derniers mois…

Des milliers d’agents ou de sous-traitants désormais sous surveillance. 73 se sont déjà vu retirer leur badge de sécurité, une dizaine sont sous très haute surveillance. Rassurant !

Pas de principe de précaution radicale pour les salafistes connus pour leur radicalisme ? La compagnie s’en sépare mais ils vont bien quelque part, ces salafistes licenciés ! Où ? Et il est passé où, d’ailleurs, l’individu suspecté d’avoir traficoté ce qui permet aux pilotes de contrôler les réacteurs ? Au Yémen… en France ?

Elle peut aussi les « déplacer » à des « postes peu exposés », apprend-on.

Au nettoyage, par exemple, qui aurait cependant permis à un individu assigné à ce poste, pour un vol Paris-Amsterdam de bidouiller l’informatique afin de passer les annonces… en arabe. Un « bug », expliquera Air France. Très drôle.

Le fils de Donald Trump prônait récemment, à propos de l’accueil de réfugiés, l’application du plus élémentaire principe de précaution en prenant pour exemple un bol de bonbons parmi lesquels trois seraient empoisonnés : « En prendriez-vous toute une poignée ? » et déclenchait, évidemment, un tollé.

Et pourtant. Attendu que, jusqu’à preuve du contraire, tous les actes terroristes commis en France ces derniers mois l’ont été par des musulmans. Attendu que, depuis des années, un communautarisme de plus en plus agressif sévit dans les compagnies aériennes (mais pas que). Attendu que l’Arabie saoudite, par exemple, ne s’embarrasse pas des individus impliqués dans le terrorisme… embaucher sans plus de précaution autant de musulmans dans des secteurs aussi risqués que les transports est-il bien raisonnable ?

Pardon, mais s’il n’est pas inscrit sur leur front « je suis un terroriste », il n’est pas davantage inscrit qu’ils ne le sont pas !

« Rumeurs infondées », « fausses informations », personnel et passagers en « sécurité absolue », se défend Air France. Bien sûr. Allez, « bon vol » quand même !

Caroline Artus

Source : http://www.bvoltaire.fr

Voir les commentaires

Recommandation à la presse : ne pas dire que les terroristes sont musulmans

6 Octobre 2016, 06:49am

Publié par Thomas Joly

Dans un rapport de l'ECRI, organe du Conseil de l'Europe chargé de lutter contre le racisme, il est recommandé aux journalistes de ne pas donner la religion (musulmane) des terroristes.

Pourquoi ne pas aller encore plus loin et, dans un souci d'égalité, modifier la religion des terroristes qui deviendraient ainsi « catholiques » ?

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

Voir les commentaires

Censure : Le gouvernement veut pouvoir poursuivre les internautes pour des écrits vieux de plusieurs années

6 Octobre 2016, 06:38am

Publié par Thomas Joly

L’abolition progressive de la liberté d’expression par le gouvernement français, notamment au motif de la lutte contre les “discriminations”, s’accélère. Celui-ci veut en effet supprimer de facto la prescription pour les contenus diffusés sur le net, exposant de fait les internautes à des poursuites pour leurs écrits sans regard pour leur date de parution.

Parmi les trois principaux piliers, il y a d’abord la prescription. Un article ne peut être attaqué que dans les trois mois qui suivent sa parution, la règle s’applique aussi à Internet. Le Sénat entend aujourd’hui faire commencer la prescription sur Internet trois mois « à compter de la date à laquelle cesse la mise à disposition du public du message ». Or les articles ne sont (quasiment) jamais retirés des sites d’information. « Les infractions de presse deviendraient de fait imprescriptibles », résume MBigot. Le Conseil constitutionnel a pourtant déjà tranché en 2004 : il ne peut pas y avoir de différence de régime entre presse écrite et numérique.

En réalité, le gouvernement a déjà aboli dans les faits le principe de liberté d’expression en pénalisant les opinions qu’il estime incompatible avec l’idéologie socialiste officielle. Il a également partiellement aboli le principe de prescription en l’étendant à un an pour les opinions qu’il a décrété illégales.

Cependant, les efforts de censure ne sont jamais suffisants. Il est donc désormais question d’abolir dans les faits – mais non explicitement – la prescription. C’est-à-dire la durée pendant laquelle un écrit peut-être attaqué en justice. Le projet gouvernemental vise à imposer pour internet une prescription qui démarrerait à partir de la date où un contenu est retiré d’internet. Ce n’est qu’une fois un contenu retiré par son auteur, que la durée des trois mois commencerait. Pour un écrit “papier”, ce délai est de trois mois à compter de la parution.

Une telle mesure va donc faire exploser le nombre de procès pour délits d’opinion puisque virtuellement tout ce que contient internet sera passible de poursuites, sans plus aucune limite dans le temps.

En filigrane, il s’agit en réalité de permettre au gouvernement de poursuivre indéfiniment les auteurs de contenus diffusés en ligne dont les discussions deviennent de plus en plus craintes par la nomenklatura. Et ce des années, voire des dizaines d’années après leur publication.

A cette abolition de la limite dans le temps de l’action répressive gouvernementale s’ajoute déjà l’absence de limites spatiales : le gouvernement français s’est en effet arrogé le droit de poursuivre tout contenu en langue française ou qu’il estime être réalisé à destination d’un public résidant en France. Ceci indépendamment de l’endroit où vivent les auteurs ou leur pays d’appartenance.

Techniquement donc, le gouvernement français peut déjà poursuivre un citoyen américain s’exprimant en français sur internet avec un citoyen belge vivant n’importe où pour un propos qu’il jugerait déviant. Qu’il le fasse ou non dépend uniquement de lui et non pas d’une limite juridique.

Source : http://breizatao.com

Voir les commentaires

Ventilation de l'invasion : un camp de 150 clandestins prévu à Fontainebleau

6 Octobre 2016, 06:26am

Publié par Thomas Joly

Ce n’était finalement qu’une question de semaines. Au cœur de l’été, la rumeur de l’installation imminente d’un camp d’accueil de migrants sur le site de la caserne Damesme avait agité les réseaux sociaux. Alors que les militaires quittent les lieux, la préfecture confirmait alors que c’était « une hypothèse qui n’est plus d’actualité ». Mais le cas Bellifontain n’a pas tardé à revenir sur la table. Et c’est la présidente de la Région Valérie Pécresse qui a lâché l’information jusque-là restée secrète : « L’Ile de France n’est pas censée accueillir les migrants de Calais. Or, le Préfet vient d’en proposer 150 à Fontainebleau » a t-elle déclaré en séance le 22 septembre dernier.

Une citation postée sur le compte Twitter des Républicains IDF et partagée par le groupe d’opposition de Richard Duvauchelle. Dès lors, l’information a fait le tour des réseaux sociaux. Sur Facebook, dans la matinée du 22 septembre, les élus de la liste Duvauchelle s’agacent : « Nous découvrons via les réseaux sociaux l’arrivée probable de migrants de Calais à Fontainebleau. Mme Pécresse étant informée, il est évident que le maire en est informé aussi . Tous les Bellifontains demandent une fois encore la transparence concernant les choix de leur territoire ». La réponse n’a pas tardé, sur Facebook également : « Le préfet de la région Ile-de-France m’a appelé hier pour me dire qu’il envisageait très sérieusement d’installer à Fontainebleau une structure d’accueil temporaire pour environ 150 migrants », dit le maire sur sa page. « J’ai dit ma plus ferme opposition à la solution envisagée dans la caserne Damesne, au cœur d’un quartier résidentiel. Pour autant, s’agissant d’une prérogative d’Etat, sur des terrains d’Etat, celui-ci peut tout à fait passer en force. J’ai donc entamé un dialogue avec les autorités préfectorales pour tenter de trouver la solution la plus adaptée et la moins préjudiciable », ajoute-t-il lâchement.

Source : http://www.fdesouche.com

Voir les commentaires

Un ponte du réchauffisme avoue s'être trompé

6 Octobre 2016, 06:19am

Publié par Thomas Joly

L’inventeur de la théorie de Gaïa, le chimiste britannique James Lovelock qui faisait autorité dans le réchauffement, le prophète vert qui prévoyait une catastrophe climatique provoquant des « milliards » de mort, apostasie : tout cela n’est « pas scientifique » et les écolos ne sont « pas raisonnables ».

La vieillesse serait-elle un naufrage, comme l’ont prétendu aujourd’hui Patrick Timsit à propos des récentes déclarations nationalistes d’Alain Delon, et naguère le général De Gaulle à propos du maréchal Pétain ? En tout cas les écologistes du monde entier sont enclins à le penser après le dernier entretien accordé par leur ancien gourou, James Lovelock, 97 ans aux vendanges. Ce climatologue reconnu, primé, révéré, choyé par la communauté internationale et l’Empire britannique, renie tout dans son apostasie. Il répète, avec beaucoup plus de force, ce qu’il avait commencé à dire voilà quatre ans : « Je me suis trompé ».

James Lovelock reste attaché à l’environnement, et à sa sauvegarde. Seulement, il ne croit plus aux dogmes qu’il a plus qu’aucun autre contribué à faire advenir. Oui, par exemple, il y a trop de gaz carbonique dans l’oxygène, mais « la seule solution, c’est le nucléaire ». Et pour bien frapper les esprits, il pose devant une affiche représentant des éoliennes, « afin de (se) rappeler à tout moment combien elles sont absurdes ».

Ce chimiste de formation est pourtant à l’origine de bien des peurs et des certitudes écologistes avec la théorie de Gaïa qu’il a formulé dès les années 80 : elle postule que la terre est un système qui s’autorégule, et que l’intrusion de l’activité humaine industrielle l’a troublé au point de provoquer des catastrophes incommensurables. En 2006, ce prophète de malheur prédisait « des milliards de morts », en 2008, en se fondant sur les données du GIEC, il prévoyait que la population mondiale serait décimée « vers 2040 par les inondations, la sécheresse, la famine ». C’est pourquoi, en 2010, il préconisait de « suspendre la démocratie » pour prendre les décisions urgentes que la situation imposait selon lui.

Le prophète vert a connu le doute avant l’apostasie

Mais à partir de 2012, il a commencé à douter. Reconnaissant avoir été « alarmiste », il a tenu des propos dignes de Sarkozy : « Le problème est que nous ne savons pas où va le climat. Nous pensions le savoir il y a vingt ans. Cela a produit des livres alarmistes – les miens inclus. »

Aujourd’hui, il a carrément viré sa cuti. Et il flingue tous azimuts. « La concentration de CO2 dans l’atmosphère augmente, c’est sûr, mais pas du tout aussi vite que nous croyions qu’elle le ferait. Les modèles mathématiques utilisés par les ordinateurs ne sont juste pas fiables. En réalité je ne suis pas sûr que tout ce truc ne soit pas une folie, le réchauffement climatique. Regardez Singapour. Le taux de gaz carbonique est deux fois et demie celui du pire scénario pour le réchauffement climatique, et c’est une des villes du monde les plus agréables à vivre. » Il compare désormais l’écologisme, avec ses rites, ses dogmes, sa culpabilité, à une « religion ».

Le réchauffement climatique démoli par l’esprit critique

Quant aux émissions de gaz par les humains et leur incidence sur le réchauffement climatique, il a cette comparaison, qui établit les ordres de grandeur : « Il suffit qu’un volcan de bonne taille entre en éruption et tous les modèles, et tout le tralala, ne valent strictement plus rien. » En conséquence, toute prévision climatique « au-delà de cinq ans à l’avance est l’affaire d’un idiot ». Il y a dix ans, il prévoyait encore la fin rapide de l’humanité dans son dernier bouquin du moment, La revanche de Gaïa. Aujourd’hui, il ne croit plus à cette vengeance via le réchauffement climatique : « J’ai grandi ».

Source : Réinformation.tv via Le Salon Beige

Voir les commentaires

Pas de budget pour les commissariats mais tout pour les migrants !

6 Octobre 2016, 06:14am

Publié par Thomas Joly

Portes d’accès hors d’usage, utilisation de balais pour remplacer des serrures qui ne fonctionnent plus, portails fermés avec de simples chaînes de vélo, bâtiments infestés de rats ou de cafards, dans au moins six commissariats de l’Essonne, « on est à la limite de l’insalubrité », dénonce un policier.

Voilà toute la considération de l’État envers ses forces de l’ordre. Des demandes de réparation transmises depuis des mois sans jamais aboutir. En cause, selon un commissaire de l’Essonne, la région, gérant désormais à la place du département, totalement dépassée par l’ampleur des demandes « des polices dans tous les départements d’Île-de-France ».

Le résultat ? En période de menace terroriste maximale, alors que les policiers savent en être, eux aussi, les cibles, leurs locaux de travail s’avèrent ouverts aux quatre vents. Avec le sentiment, pour leurs occupants, d’être totalement méprisés par la hiérarchie.

Policiers également dévolus à faire les plantons devant les chambres des prisonniers hospitalisés… Ces exemples vous choquent ? Au ministère, pas du tout : ces tâches font partie « de la mission de la police ». Quelle haute estime de la fonction…

Ce n’est pas tout. On apprend l’assignation de deux policiers à la protection de… l’ex-femme de Manuel Valls ! Et 24 h sur 24, s’il vous plaît. Elle a dû faire, comme les autres ci-après, « l’objet d’une menace potentielle ».

Quelle superbe application du principe de précaution…

Mais aussi trois policiers pour le rabbin Michel Serfaty et deux pour le recteur de Courcouronnes, Khalil Merroun.

Des « tâches indues », selon le syndicat Alliance au Parisien. On ne le lui fait pas dire ! Comment appelle-t-on, déjà, l’utilisation de l’argent public pour des services privés ?

L’État n’a donc pas de quoi réparer une serrure, mais il paye, chaque nuit, rien qu’à Paris, l’hôtel à 30.000 clandestins.

L’État n’a pas les fonds pour remplacer une barrière mais, en 2013, il dépensait 2 milliards d’euros pour l’accueil et l’hébergement de 66.000 clandestins demandeurs d’asile. Montant — un comble ! — à peu près équivalent en faveur des déboutés, selon la Cour des comptes, en 2015. Dont 96 % ne repartiront jamais, estime-t-elle la même année…

L’État ne dépense pas un centime pour remettre en état des canalisations de commissariats datant de Mathusalem, mais trouve à mettre sur la table « quelques millions d’euros » pour entretenir les 24.000 prochains clandestins. Un geste à la hauteur de la « générosité nécessaire », disait, grand seigneur, Michel Sapin, en septembre 2016. Mais pas nécessaire quand il s’agit des policiers.

L’État n’a pas les finances nécessaires pour ses fonctionnaires qui risquent chaque jour leur vie, mais emprunte dans une liste sans fin pour des immigrés clandestins, les uns logés dans des locaux remis à neuf, les autres dans des châteaux !

Bref, d’un côté, c’est l’urgence « d’accueillir dignement » les migrants, de l’autre, en sus des conditions déplorables précitées, les policiers qui réclament des gilets pare-balles non dépassés et d’autres armes en remplacement de celles datant des années 70… peuvent toujours courir. Comme c’est rassurant !

Quand l’État félicite ses policiers, c’est bien. S’il leur accordait des conditions de travail dignes et sûres, ce serait mieux.

Caroline Artus

Source : http://www.bvoltaire.fr

Voir les commentaires

Dans Libé, la théorie-du-genre-qui-n’existe-pas est l’amie de la femme…

6 Octobre 2016, 06:09am

Publié par Thomas Joly

Chère Marie-Cécile,

Bien sûr, tu es politologue, à moins que ce soit sociologue, ou les deux à la fois. Bien sûr, tu travaillais jusqu’à l’an passé – je l’ai lu – pour le Premier ministre. Tu es sûrement quelqu’un d’important même si, jusqu’à ce matin, je ne te connaissais pas. Mais puis-je quand même t’appeler par ton prénom ? Te tutoyer ? Puisque nous sommes du même sexe – je veux dire du même genre -, enfin bref, puisque nous sommes toutes les deux femmes, nous sommes un peu sœurs dans l’adversité. Cela crée des liens, n’est-ce pas ?

Je viens de lire ton article dans Libé ce matin, sur le blog Égalités, intitulé La théorie du genre, le roi des aulnes du XXIe siècle. Et j’ai été atterrée. Atterrée pour toi… Ce qui est pratique, sur Internet, c’est qu’on peut effacer. Alors vas-y, on ne te regarde pas.

Selon toi, « les obscurantistes et les intégristes catholiques, relayés par une partie de la droite et de l’extrême droite, ont de nouveau dénoncé une prétendue théorie du genre ».

La polémique ayant été relancée par le pape « himself », on imagine que c’est de lui qu’il s’agit ? Le pape François, intégriste ? Mais ma pauvre Marie-Cécile, je crains qu’il ne te pousse un nez rouge et un chapeau à grelots.

Quant à la théorie du genre, si elle est « prétendue », pourquoi donc passes-tu deux pages à vanter ses mérites ? Comme Maxime Le Forestier décrivant sa vie avec le frère qu’il n’a jamais eu, tu racontes donc la nôtre avec la théorie qui n’existe pas ? C’est tellement vrai, pourtant, qu’on s’y croirait. J’ai peur, vois-tu, que l’on ricane dans ton dos.

Et tu prétends, en sus, sans ciller, que cette théorie-du-genre-qui-n’existe-pas est l’amie de la femme, qu’elle défend ses droits ? C’est le pompon, le bouquet, la cerise sur le gâteau.

Mais quand on aime une femme, on ne cherche pas à la changer ! On la prend comme elle est, avec ses qualités et ses fragilités.

On ne dénigre pas ses goûts, ses aspirations, ses rêves, en assenant avec dédain qu’ils lui ont été soufflés par une société patriarcale, et qu’il faut donc en changer. On ne lui impose pas un type d’études, un style de métier, une façon de vivre ou de s’occuper de ses enfants au prétexte qu’elle serait une quiche incapable de savoir ce qui est bon pour elle. On ne cherche pas à nier son identité (de femme), à lui retirer ses prérogatives (de mère), on ne la force pas à soigner sa physiologie (féconde) comme s’il s’agissait d’une pathologie. On ne la dévalorise pas, on ne lui fait pas perdre confiance en elle en lui serinant toute la sainte journée, avec pitié, que le paquetage de base qu’elle a reçu à la naissance est nul, pourri, sans intérêt, et que si elle veut arriver à quelque chose dans la vie, il faut qu’elle s’efforce de le refiler au gros costaud poilu, à côté, pour lui piquer le sien, tellement plus enviable… Ce à quoi, bien sûr, elle n’arrivera jamais tout à fait et qui la laissera éternellement frustrée.

Oui, c’est ainsi qu’on aime une femme. Et quiconque ferait le contraire ne serait, bien sûr, qu’un pervers narcissique, un compagnon tyrannique et méprisable. Tu le sais comme moi.

La vérité est pourtant que ton « genre », imbriqué dans ton féminisme, est ce compagnon-là. Et qu’il est temps de lui claquer la porte au nez. Comme une vraie femme libérée.

Oui, tu peux encore réécrire, Marie-Cécile. Un autre son de cloche sur Libé, cela aurait de la gueule, et cela montrerait que tu en as. Ce n’est pas ça, la théorie du genre ?

Gabrielle Cluzel

Source : http://www.bvoltaire.fr

Voir les commentaires

Nouvelle attaque terroriste à Bruxelles : deux policiers blessés à coups de couteau

5 Octobre 2016, 06:54am

Publié par Thomas Joly

Mercredi 5 octobre, deux policiers ont été agressés au couteau à Bruxelles par un islamiste qui a dû être neutralisé par un tir avant d’être interpellé. L’agression s’est produite sur le boulevard Lambermont à Schaerbeek lors d’un contrôle. L’assaillant a porté des coups de couteau à deux policiers, les blessant l’un au ventre l’autre au cou.

Après sa double agression, l’individu enragé a tenté de prendre la fuite et une autre patrouille de police a dû faire usage d’une arme à feu pour l’intercepter. Il a en outre blessé l’officier de police qui l’a neutralisé en lui cassant le nez.

Voir les commentaires