Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog politique de Thomas JOLY

Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale

5 Octobre 2016, 06:22am

Publié par Thomas Joly

Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale
Discours de Carl Lang à la Xème journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale

Voir les commentaires

Dimanche 2 octobre, tous les patriotes et les nationalistes se retrouvent à la Xe Journée de Synthèse Nationale !

1 Octobre 2016, 09:26am

Publié par Thomas Joly

Voir les commentaires

Louveciennes deviendra Calais !

1 Octobre 2016, 09:17am

Publié par Thomas Joly

À Louveciennes, l’installation d’un camp de migrants projetée en secret par le préfet – le maire et les habitants ont été alertés par des fuites dans la presse – suscite inquiétude et colère.

Jeudi soir, c’est dans une salle archi-comble que le maire de cette ville bourgeoise et familiale non loin de Versailles a tenu une réunion publique. Courageusement, le préfet n’a pas souhaité s’y rendre.

Source : http://www.bvoltaire.fr

Voir les commentaires

Chirac, « le plus détestable président de la Ve République »

1 Octobre 2016, 08:42am

Publié par Thomas Joly

Depuis une dizaine de jours les gazettes et le Tout Paris Tout Pourri ne parlent avec émotion et sanglots dans la voix que de la prochaine disparition de Jacques Chirac, l’ex-président de la République étant paré de toutes les vertus et considéré par les sondeurs comme l’homme politique le plus populaire, le plus aimé des Français. Une enquête d’opinion indique même que 83 % des Français auraient gardé un bon souvenir des années Chirac. Si ces chiffres disent vrai, et il est bien possible que ce soit le cas, cela ne plaide pas en faveur de la lucidité et du bon sens d’un peuple manipulé, anesthésié, content d’être cocufié. Car d’évidence, ainsi que l’a souvent déclaré Jean-Marie Le Pen et comme l’aurait dit également en privé Nicolas Sarkozy à son ex-conseiller Patrick Buisson qui publie cette semaine chez Perrin un livre intitulé La cause du peuple, « Chirac aura été le plus détestable de tous les présidents de la Ve République. » Et Sarkozy qui l’a bien connu et fréquenté assidûment pendant des décennies d’ajouter : « Franchement, je n’ai jamais vu un type aussi corrompu. Un jour, il a voulu me faire signer un contrat avec l’Arabie saoudite. Je me demande encore comment il a osé me mettre ça sous le nez. Il en a tant fait qu’il était fatal que ça lui pète à la gueule. J’ai rarement rencontré quelqu’un d’aussi méchant et avide. »

Evidemment la révélation de tout le mal — fondé — que Sarkozy pense de Chirac, si elle n’est en rien une surprise pour les observateurs attentifs de la vie politique, tombe plutôt mal pour l’ex-Elyséen à un moment où Chirac semble proche de sa fin et où l’ex-maire de Neuilly a besoin pour l’emporter aux primaires d’un maximum de voix, dont celles des chiraquiens. Cela s’ajoute aux révélations de Mediapart d’Edwy Plenel sur le financement par Kadhafi de la campagne présidentielle de 2007 de Sarkozy, ce qui rend d’autant plus abjecte la façon dont l’ex-chef de l’Etat s’est débarrassé en 2011 de son bienfaiteur. Toutefois il ne faut pas être dupe : l’offensive médiatique actuelle contre Sarkozy, la mise sur le devant de la scène de dossiers anciens dont tout le monde a déjà entendu parler ne doivent rien au hasard. A quelques semaines de primaires cruciales, le Système a manifestement choisi d’imposer Juppé qui apparaît en effet comme un homme beaucoup plus sûr, beaucoup plus malléable pour obéir aux desiderata des cénacles mondialistes que Sarkozy qui est jugé plus instable, plus fantaisiste, plus virevoltant, moins prévisible.

En tout cas, Juppé a tout de suite vu l’avantage qu’il pourrait prendre à la suite de la médiatisation des graves problèmes de santé de Chirac. Il espère en effet capitaliser sur l’émotion populaire alimentée par les media et se présente donc comme le fidèle disciple et l’héritier naturel de l’octogénaire. Ce qui n’est d’ailleurs pas faux, Chirac ayant dit de Juppé qu’il était « le meilleur d’entre nous ». C’est en effet Juppé que le Corrézien imposa comme secrétaire général du RPR en 1988, c’est le même Juppé qu’il soutint en 1990 face au tandem Pasqua-Séguin qui dénonçait la dérive technocratique du mouvement néo-gaulliste sous la houlette de Juppé, c’est encore cet énarque prétentieux qui fut à la manœuvre, téléguidé par Chirac, pour empêcher toute alliance, même purement locale, même de simple désistement, entre le RPR et le Front national, c’est tout naturellement Juppé que Chirac choisit comme Premier ministre lorsqu’il accéda en 1995 à la magistrature suprême, c’est encore ce même Juppé qu’il imposa comme président de l’UMP (Union pour un mouvement populaire), parti unique de la droite et du centre qu’il porta sur les fonts baptismaux pendant l’entre-deux-tours de la présidentielle de 2002. Et c’est le fidèle Juppé qui fut condamné à la place de Chirac pour les emplois fictifs de la mairie de Paris, ce qui ouvrit alors un boulevard à Sarkozy, le maire de Bordeaux étant condamné à une peine d’inéligibilité et devant se mettre provisoirement en retrait de la vie politique.

L’élection de Juppé à la présidence de la République en mai 2017 serait évidemment une revanche éclatante pour le clan Chirac qui déteste Sarkozy et qui se reconnaît bien davantage en Hollande. Chirac n’avait-il pas révélé, lors d’un déplacement en Corrèze, qu’en 2012 il voterait pour François Hollande ? Après tout les deux sont foncièrement des radicaux socialistes, des philo-maçons, des professionnels de la politique politicienne. A l’exception de Bernadette qui a déjà indiqué sa préférence pour le compagnon de Carla Bruni — mais on le sait, les relations entre Jacques et Bernadette n’ont jamais été au beau fixe —, tout le clan Chirac est pour Juppé.

Pour avoir une petite idée de ce que donnerait un Juppé à la tête de l’Etat, il convient donc de se remémorer le bilan calamiteux de Chirac comme Premier ministre, puis comme président de la République. On lui doit en 1975 la loi Veil qui tue légalement plus de 200.000 enfants français par an dans le ventre de leur mère (plus de huit millions depuis 1975 !), en 1976 le regroupement familial qui a transformé une immigration temporaire de travail en une immigration de peuplement et d’ayants-droit sociaux mettant ainsi en œuvre une politique de Grand Remplacement, en 1975 la création de la taxe professionnelle ruineuse pour les entreprises et donc pour l’emploi, en 1996 la fin du service militaire obligatoire coupant le lien entre l’armée et la nation, en 1996 la fin des essais nucléaires mettant en danger l’indépendance de la France, en 1995 la condamnation de la France en tant que telle pour les déportations des juifs sous l’Occupation (Chirac payait là sa dette électorale à la communauté juive en général, ainsi que l’avait dit Jean-Marie Le Pen, et à Klarsfeld en particulier). Ce qu’aucun de ses prédécesseurs n’avait voulu faire, Chirac l’a fait sans honte et sans hésitation : condamner solennellement le pays dont il présidait officiellement aux destinées.

Chirac est tout sauf un homme intellectuellement et politiquement courageux. Piètre orateur (il lisait sans talent ses discours écrits par d’autres sur un prompteur), très mauvais débatteur, politicien sans foi ni loi et sans aucune conviction (il a mis vingt ans durant la capitale de la France en coupe réglée pour assouvir son ambition présidentielle. C’est en effet un système mafieux qui lui permit d’accéder à la magistrature suprême, plus son allégeance à la synagogue), il faut se souvenir du discours dithyrambique qu’il avait tenu à l’Elysée pour le 275e anniversaire de la franc-maçonnerie en France. Chirac s’est opposé constamment à la reconnaissance des racines chrétiennes de la France et de l’Europe, a déclaré en 1995 qu’il était opposé à une loi morale s’imposant à la loi civile, se rangeant donc du côté de Créon contre Antigone. Il est l’instigateur de quasiment tous les traités qui ont détruit pan après pan tous les attributs de souveraineté de notre pays : Acte unique, Amsterdam, Nice, Constitution européenne. Et c’est son engagement militant en faveur de Maastricht, à la fin de la campagne référendaire, qui permit in fine au oui de l’emporter le 20 septembre 1992, ce qui entérina la fin de notre monnaie nationale et réduisit donc considérablement  nos marges de manœuvre budgétaires.

Ayant dit un jour qu’il n’avait « qu’une haine au monde, le fascisme », il tint parole. En diabolisant trente ans durant la droite nationale. En reprenant à son compte les pires calomnies et en jetant sur elle les plus violents anathèmes. En accordant le statut d’ancien combattant aux Brigades internationales dès son arrivée à l’Elysée, montrant ainsi qu’il était resté fidèle au jeune homme qui vendait à la criée l’Humanité et signait l’appel de Stockholm. En reprenant sur Vichy et sur le maréchal Pétain tous les mensonges qui se sont aujourd’hui médiatiquement imposés.

Nous ignorons à l’heure où nous écrivons ces lignes si Chirac s’éteindra dans les jours qui viennent, s’il est déjà ou non cliniquement mort (les plus folles rumeurs ont couru à ce sujet) ou si au contraire sa douloureuse fin de vie se prolongera bien davantage mais s’il venait à disparaître nous ne participerons nullement aux hommages vibrants qui ne manqueront pas de se multiplier tant à gauche qu’à droite de l’échiquier politique. Face à un homme profondément corrompu qui aurait dû finir sa vie en prison et être définitivement inéligible, un piètre politicien soumis aux lobbies les plus puissants et les plus détestables, un débauché notoire qui paye aujourd’hui dans sa chair tous ses vices, un  individu sans idéal, sans colonne vertébrale, prêt à toutes les trahisons, de Chaban à Giscard, pour sa seule ambition présidentielle, un homme inculte et malfaisant, n’ayant aucune sincérité, aucune authenticité, aucun honneur, aucun génie, nous garderons l’œil sec. Et nous n’avons que mépris pour tous ces militants de droite qui pendant des décennies ont vu en lui l’homme providentiel, scandant jusqu’à s’époumonner des « Chirac, Chirac » (il n’y a décidément rien de plus débile et manipulable qu’un militant lambda, la bêtise en politique donne une idée de l’infini !), croyant placer à la tête de l’Etat un digne descendant de nos rois alors qu’ils soutinrent un vil et médiocre laquais de la finance internationale, du mondialisme nomade et du lobby judéo-maçonnique.

Jérôme Bourbon

Source : Rivarol

Voir les commentaires

Dimanche, les Hongrois appelés aux urnes pour dire « Non aux réfugiés »

30 Septembre 2016, 06:41am

Publié par Thomas Joly

Les Hongrois se prononceront ce dimanche pour ou contre la directive de Bruxelles sur la répartition des réfugiés entre pays membre de l’Union européenne.

La question sera formulée ainsi : « voulez-vous que Bruxelles prévoit l’immigration en Hongrie de personnes n’ayant pas la nationalité hongroise, ce contre la volonté du Parlement ?  » Le premier ministre Viktor Orbán, qui est à l’initiative de ce référendum, appelle à voter « non« .

Viktor Orban table sur un plébiscite des Hongrois pour sa politique de rejet des réfugiés, soumise dimanche à un référendum en forme de défi à l’Union européenne, dont la seule inconnue et le seul risque politique, réside dans le taux de participation.

Quelque 8,3 millions d’électeurs sont appelés à valider l’opposition du premier ministre hongrois à la répartition de réfugiés au sein de l’Union européenne.

Un premier plan de « relocalisation » de 160.000 demandeurs d’asile entre les 28 États membres se met laborieusement en place depuis septembre 2015.

La Hongrie n’a proposé à ce jour aucune place d’accueil et se considèrera, si le Non l’emporte, comme définitivement affranchie de toute obligation de contribuer à l’effort européen. Viktor Orban a promis de traduire le résultat de la consultation « dans le système légal hongrois », sans donner de détail.

La Commission européenne affirme de son côté que le référendum n’aura aucun impact juridique sur les engagements adoptés. « Les États membres ont la responsabilité légale d’appliquer les décisions prises », a rappelé cette semaine le commissaire aux Migrations Dimitris Avramopoulos.

Mais les responsables européens redoutent en creux un nouveau coup porté à la légitimité des projets de l’UE et à l’unité de ses membres déjà malmenées par une succession de chocs, dont la pire crise migratoire depuis 1945 et la décision des Britanniques de quitter le groupe des 28.

« Si des référendums sont organisés sur chaque décision des ministres et du Parlement européen, l’autorité de la loi est en danger », s’est alarmé cet été Jean-Claude Juncker, le président de la Commission.

L’intitulé de la question posée aux Hongrois résume ce double défi à Bruxelles et à l’accueil des réfugiés : « Voulez-vous que l’Union européenne décrète une relocalisation obligatoire de citoyens non-hongrois en Hongrie sans l’approbation du Parlement hongrois ? »

« J’aime la Hongrie comme elle est et je ne veux pas que quelqu’un la change sur un ordre venu de l’extérieur », a encore récemment martelé le chef du gouvernement.

Les sondages donnent le rejet des quotas d’accueil largement vainqueur, un résultat à même de conforter politiquement Viktor Orban en Hongrie et de peaufiner son image de meneur du camp populiste anti-immigration en Europe.

Source : La Presse Ca via FdeSouche

Voir les commentaires

Saint-Étienne-du-Rouvray : l’un des otages a été forcé par les ordures islamistes de filmer l’assassinat du Père Hamel

30 Septembre 2016, 06:36am

Publié par Thomas Joly

Témoignage de Guy, otage des deux terroristes dans l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray : « Les deux jeunes tueurs m’ont attrapé par le « colbach », m’ont mis une caméra dans les mains et m’ont dit : « Papy, tu filmes. » Ils venaient même vérifier la qualité des images et constater que je ne tremblais pas trop. J’ai dû filmer l’assassinat de mon ami le Père Jacques ! Je ne m’en remets pas. Car c’est du théâtre leur sale « truc », de la mise en scène. Ils voulaient faire une vidéo destinée à faire le tour du monde sur les réseaux sociaux, ce qui leur permettrait de mériter leur titre de gloire de « martyr » d’Allah. Ils ont même pris le temps de se ceinturer de scotch pour faire croire qu’ils allaient se faire exploser, alors qu’il n’y avait que du scotch. Mais nous ne l’avons appris qu’ensuite… »

Source : Famille Chrétienne via FdeSouche

Voir les commentaires

Avenue Ibn Foch, un jour…

30 Septembre 2016, 06:19am

Publié par Thomas Joly

Ah ! le charme de l’Orient mystérieux, les danseuses aux yeux cernés de khôl virevoltant sur des mélopées envoûtantes, la suave fadeur du loukoum fondant sous une gorgée de thé aux dattes, les vapeurs du narguilé mêlant ses volutes à la fragrance épicée de parfums capiteux, la délicatesse de ces princes et princesses arabes dont le seul souci, semble-t-il, consiste à jeter par les moucharabiehs les dollars que leur sous-sol gorgé d’huile leur apporte en surabondance. Quand on est riche et puissant, on peut se permettre d’être magnanime.

Oui ! Peut-être. Mais pas la fille de Khaled ben Abdelaziz Al Saoud, fils du fondateur Ibn Saoud. Cette donzelle, donc princesse de son état, car fille de feu le roi, très loin des préceptes ultra-rigoristes du wahhabisme prônés par sa dynastie, passe une bonne partie de son temps dans le faramineux appartement que son père lui a laissé, avenue Foch, à Paris, sans souci des comptes des mille et une nuits qu’une telle adresse entraîne. Mais ces crèches, ça s’entretient, et c’est plus compliqué que de raccommoder la tente de bédouin de ses proches ancêtres. Elle ordonne donc des travaux.

L’artisan choisi se frotte les mains : un contrat comme celui-ci ne se trouve pas sous le sabot d’un chameau. Alors le brave petit gars y va. Il commence le boulot puis, lorsqu’il en est à devoir déranger l’ordonnancement des lieux, il fait comme à son habitude : il prend des photos des pièces de manière à tout remettre en place lorsque le chantier sera terminé.

C’est là que les choses se gâtent. Croyant que le bonhomme a dans la tête de monnayer ses clichés auprès de la presse people, la houri-furie siffle son garde du corps. Le balèze déboule, assène au pauvre homme une claque à assommer un bœuf, lui ligote les mains, le fait mettre à genoux et, en guise d’excuses, lui ordonne de baiser les Louboutin de la virago. Refus du manant. Un revolver jaillit de son étui – eh oui, les gorilles des princes étrangers sont autorisés à être armés, ce que le ministère de l’Intérieur refuse aux gardes du corps de personnalités françaises – et vient se vriller sur la tempe de l’artisan, sous les stridences du dragon : « Il faut le tuer, ce chien. Il ne mérite pas de vivre. »

Selon Le Point, qui a raconté cette histoire, le pauvre homme dira à la police que son calvaire a duré quatre heures, quatre heures de coups et d’humiliations, jusqu’à ce qu’un sbire, après avoir photocopié sa carte d’identité, le fiche dehors en lui interdisant « l’accès au 16e arrondissement à jamais », comme quoi il n’est même plus besoin d’être français pour se comporter en maître dans notre beau pays.

Le dépôt de plainte finira à la poubelle, comme tant d’autres, tantôt pour cause d’immunité diplomatique, tantôt parce qu’il n’est pas correct de fâcher la famille royale d’Arabie saoudite. L’argent n’a pas d’odeur, pas même celle du sang de ce brave homme. Pas même celle de l’honneur. Imaginons, pour rire ( !), les vociférations de la bien-pensance si un riche Français avait tabassé le petit Mohamed !

Yannik Chauvin

Source : http://www.bvoltaire.fr

Voir les commentaires

L’islamo-business, ou comment on finance les djihadistes

30 Septembre 2016, 06:12am

Publié par Thomas Joly

L’islamo-business, c’est plus de 1.000 milliards de dollars par an. Que représente-t-il exactement et à quoi sert-il ? Jean-Paul Gourévitch dresse dans son nouveau livre un état des lieux de la galaxie islamiste.

Source : http://www.bvoltaire.fr

Voir les commentaires

Le bobo gauchiste Bernard de la Villardière bousculé par des racailles

29 Septembre 2016, 06:43am

Publié par Thomas Joly

C'est avec un certain plaisir que l'on peut savourer ces images où Bernard de la Villardière, désinformateur professionnel au service du politiquement correct et du « vivre ensemble », se fait bousculer par des racailles afro-musulmanes de Seine-Saint-Denis. Parfois, même si c'est trop rare, les plus zélés promoteurs de la bien-pensance de gauche se heurtent à la réalité qu'ils nient à longueur de reportages...

Voir les commentaires

Émeutes de Moirans (38) : quelques gitans condamnés

29 Septembre 2016, 06:31am

Publié par Thomas Joly

Onze manouches ont été condamnés mercredi à des peines allant de six mois à deux ans de prison ferme pour leur participation aux émeutes de Moirans (Isère) à l’automne 2015. Huit d’entre-eux ont écopé de peines de prison ferme, tandis que trois autres ont été condamnés à du sursis. Un prévenu a été relaxé au bénéfice du doute.

Les émeutiers gitans vont-ils réellement effectuer leurs peines de prison ? Rien n'est moins sûr avec une pseudo-justice française qui ne cesse de proposer des alternatives à l'emprisonnement.

Ces gens ayant l'habitude d'organiser leur insolvabilité, les condamnés ne pourront évidemment pas rembourser les centaines de milliers d'euros de dégâts causés.

Voir les commentaires

Femmes voilées : l’immigration nuptiale, grand accélérateur de l’islamisation

29 Septembre 2016, 06:26am

Publié par Thomas Joly

35 % des femmes musulmanes en France portent le voile, 60 % des musulmans estiment que les collégiennes et les lycéennes devraient pouvoir le porter à l’intérieur de leur établissement scolaire, 65 % des musulmans sont de manière générale favorables au port du voile, et 28 % au port du voile intégral (niqab, burka). Tels sont les chiffres révélés par un sondage IFOP, commandé par le très politiquement correct Institut Montaigne.

Des chiffres qui ne font que représenter une réalité indéniable : l’occupation croissante de l’espace public par des femmes voilées et même de plus en plus souvent « bâchées ». Une entreprise de « colonisation visuelle », selon Marion Maréchal-Le Pen.

Ce phénomène majeur a trois causes :

– les constructions de mosquées financées soit par les contribuables français (dons ou prêts de terrains, « aides culturelles ») et les États étrangers ;

– la présence, dans tous les appartements, des télévisions arabes qui véhiculent la mode et le modèle de la femme voilée ;

– l’immigration nuptiale.

Ce dernier phénomène est peu connu mais déterminant.

Chaque année, 10.000 conjoints ou enfants d’étrangers obtiennent un titre de séjour au titre du regroupement familial. Mais – et c’est là le chiffre essentiel – 40.000 conjoints entrent en France au titre du regroupement de « familles de français ». De qui s’agit-il ? De ressortissants étrangers qui ont été épousés à l’étranger, hors Union européenne, par des ressortissants français. Pour quelques centaines de cas, il s’agit de rencontres entre Français et Chinois, Philippins, Américains, Canadiens ou Australiens. Mais pour l’essentiel, il s’agit de binationaux, Franco-Maghrébins ou Franco-Africains, généralement inassimilés, qui se marient « au bled » dans le cadre de mariages communautaires souvent « arrangés ». Il peut s’agir de jeunes filles mariées, plus ou moins contre leur gré, avec des cousins.

Mais le cas le plus fréquent est celui de jeunes hommes qui vont chercher « au bled » leur promise. Pour ne pas dire leur soumise.

Car, dans les deux cas, la soumission de la femme est un élément essentiel de la décision. Et comme les pays les plus concernés par ces pratiques sont, dans l’ordre, l’Algérie, le Maroc, la Tunisie et les pays africains musulmans, toutes ces femmes portent le voile et servent de modèle aux autres.

D’autant que ces mariages ouvrent des droits au regroupement familial pour les parents, pour garder les petits-enfants ou se faire soigner : d’où le nombre grandissant de vieilles femmes voilées arrivées récemment en France.

Il faut, évidemment, mettre un terme à ces regroupements en France. Un Franco-Maghrébin qui choisit de se marier « au bled » manifeste son absence d’assimilation et doit en tirer les conséquences : y rester pour construire sa famille.

Il n’y a, d’ailleurs, aucune raison de faire du mariage un droit absolu au séjour. L’Australie est un pays libéral et parfaitement démocratique. Pour autant, le mari anglais d’une Australienne n’a aucun droit au séjour permanent en Australie. La règle, c’est l’alternance (un an d’un côté, un an de l’autre) et, pourtant, quoi de plus proche, culturellement, qu’un Anglais d’un Australien ?

Dans le cas qui nous occupe, des binationaux qui préfèrent le pays d’origine de leur famille – c’est leur droit — n’ont pas à nous imposer leurs mœurs. Comme le disait le général de Gaulle (cité par Alain Peyrefitte) : « Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. »

La conclusion est claire : il faut mettre un terme au regroupement familial et à l’immigration nuptiale, arme fatale de l’islamisation et du Grand Remplacement.

Jean-Yves Le Gallou

Source : http://www.bvoltaire.fr

Voir les commentaires

Hidalgo : entre bouchons et nudistes, elle nous ferait regretter Delanoë !

29 Septembre 2016, 06:25am

Publié par Thomas Joly

Dimanche dernier était la Journée sans voiture instaurée par la mairie de Paris. Une idée rayonnante pour notre plus grand bonheur et la santé, dit-on, de nos poumons.

La matinée avait été pluvieuse et plutôt fraîche, du genre qui ne vous donne pas envie de flâner sur les berges de la Seine désormais livrées aux piétons, vélos, rollers, trottinettes, gyropodes, Segway et compagnie. Et puis, gentil avec madame le maire, le soleil s’est montré vers les 16 heures et les badauds ont mis le nez dehors… Pour mieux se le boucher.

Car Paris sans voiture, quoi qu’en dise Anne Hidalgo, n’est pas Paris sans voitures. Au contraire, c’est Paris bouchons XXL. Moi-même, je le confesse, j’ai traversé Paris à pied dimanche après-midi. Mais je traverse toujours Paris à pied. Et devant la bousculade qui freinait mon pas de fantassin, j’ai pris le bus avenue Rap. Et vu, en passant au rond-point, les Champs-Élysées bouclés par la Kommandantur : barrières, chevaux de frise et hommes en armes pour contenir la foule. Et sur les voies « circulables », des bouchons comme jamais. Vingt minutes coincés devant Saint-Lazare, au bas de la rue de Rome. 
Vous savez quoi ? J’ai regagné les Buttes-Chaumont à pied.

Il y a eu, dimanche, des tas de naufragés de la route. L’humoriste Fabrice Éboué, par exemple, qui a posté une vidéo à l’attention du maire.

Devant le succès, Hidalgo a répondu. De haut. Ironique. « Afin de concevoir une solution qui vous permette, lors de la prochaine journée sans voiture, d’effectuer sereinement votre trajet Paris-banlieue. Je suis heureuse de vous annoncer que LA solution a été trouvée. Elle est expérimentée aujourd’hui même par plusieurs millions d’audacieux Parisiens et Franciliens. Je vous invite à la découvrir au lien suivant : http://ratp.fr/ », lui a-t-elle conseillé.

Métro pris (une nouvelle vidéo en témoigne), voilà la réponse de l’intéressé : « J’ai relevé ton défi, à toi de relever le mien. Je te demande de prendre le RER D après 22 heures, entre Saint-Denis et Sarcelles. J’attends ta vidéo. » Et d’en remettre une petite couche bien sentie sur les nouvelles préoccupations écolo-existentielles de madame le maire : « Maintenant que nous sommes réconciliés, serait-il possible de trouver une place en crèche pour mon fils, nous galérons depuis deux ans ? Je sais que vous êtes très occupée avec votre nouveau projet de parcs nudistes à Paris, mais comprenez ô combien je préférerais que mon enfant croise une puéricultrice avant un pénis. »

Ce garçon ne serait pas ce qu’il est, on essaierait sûrement de le faire passer pour un coincé du caleçon, voire rétrograde tendance facho. Car en deux vidéos et trois phrases, il a résumé la politique de la mairie de Paris : la course au « bonheur », celui d’une bourgeoisie de gauche nourrie aux mamelles de la haute fonction publique et territoriale, celle des petits marquis à la Julliard passés directement des manifs de l’UNEF aux bureaux du PS puis aux cabinets ministériels ; des parasites sociaux qui rêvent d’imposer leur vision hédoniste comme projet de société. Pour oublier le chômage et la crise du logement, la fête à Neuneu permanente, à côté de quoi les Jack Lang et autre Delanoë font figure de minables amuseurs… Qu’importe, n’est-ce pas, les Parisiens paieront.


Comme l’écrit Bruno Roger-Petit dans Challenges : « La nudité dans Paris, stade suprême de la rupture avec le capitalisme, l’héritage de Jaurès, Blum et Mitterrand va trouver là son accomplissement le plus abouti. » Voilà bien résumée la politique de la ville-capitale. Et de conclure : « En 1971, on chantait l’Internationale avec Mitterrand en promettant de rompre avec le capitalisme, et en 2016, on chante “Tout nu et tout bronzé” avec Hidalgo en promettant d’instaurer le naturisme. Changer la vie, enfin ! »

Pendant ce temps-là, dans la vraie vie, les vraies gens continuent de ramer. Et pas à Paris Plages.

Marie Delarue

Source : http://www.bvoltaire.fr

Voir les commentaires

Les gnomes du Conseil d'Etat ont encore frappé : le porno pour tous

29 Septembre 2016, 06:14am

Publié par Thomas Joly

Le Conseil d'État a décidé que le film pornographique La vie d'Adèle doit seulement être interdit aux moins de 12 ans.

Lors de sa sortie en 2013, le film avait été interdit aux moins de 12 ans. Mais cela avait été contesté par l'association Promouvoir. D'abord, devant le tribunal administratif de Paris, qui l'avait déboutée. Puis devant la cour administrative d'appel, qui lui avait donné raison le 8 décembre 2015. Le ministère de la Culture avait alors décidé de porter l'affaire devant le Conseil d'État. La plus haute juridiction française a rendu son verdict mercredi 28 septembre, et cassé l'arrêt de la cour d'appel, qui devra donc revoir sa copie. Pour les juges, « les scènes de sexe en cause sont exemptes de toute violence et filmées sans intention dégradante. Elles s'insèrent de façon cohérente dans la trame narrative globale de l'oeuvre, d'une durée de près de trois heures, dont l'ambition est de dépeindre le caractère passionné d'une relation amoureuse entre deux jeunes femmes. » Sic. Le ministère de la Culture a promis de prendre un décret pour assouplir les critères d'octroi des visas, et notamment ne plus interdire aux moins de 18 ans les scènes de sexe non simulé.

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

Voir les commentaires

Législatives 2017 : Jean-Marie Le Pen espère soutenir 400 candidatures

28 Septembre 2016, 06:42am

Publié par Thomas Joly

Quelques jours avant le passage de Jean-Marie Le Pen devant le tribunal de Grande instance de Nanterre, le 5 octobre, dans l’affaire qui l’oppose au FN quant à son exclusion, le camp du fondateur du parti frontiste fait savoir qu’il espère bien peser sur les législatives. Et avoir de nombreux candidats en juin 2017 face aux candidats présentés par sa fille.

Dans les colonnes du Figaro de ce mercredi 28 septembre, le président d’honneur déchu du FN se prépare à dégainer les armes et les candidatures aux législatives. Ainsi apprend-on que le camp Jean-Marie Le Pen a déjà trouvé une soixantaine de candidats. Un chiffre auquel il faut ajouter la centaine de circonscriptions couvertes par le Parti de la France de Carl Lang avec lequel le "Menhir" fait équipe.

L’objectif final ? Présenter près de 400 candidatures. "Le chiffre de 300 à 400 circonscriptions paraît envisageable. On y arrivera", assure au Figaro Lorrain de Saint Affrique, le collaborateur parlementaire de Jean-Marie Le Pen.

Source : http://lelab.europe1.fr/jean-marie-le-pen-espere-presenter-pres-de-400-candidats-dissidents-au-fn-aux-legislatives-2858368

Voir les commentaires