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Le blog politique de Thomas JOLY

L’électrification du parc automobile, chronique d’un naufrage annoncé

8 Décembre 2023, 06:59am

Publié par Thomas Joly

L’électrification du parc automobile, chronique d’un naufrage annoncé

À entendre les députés européens, l’électrification du parc automobile va sauver la planète.

Sur le papier, certes, cela peut offrir des perspectives positives mais, comme dans de nombreux autres cas, la frontière entre le réel et l’imaginaire est immense.

En France, en 2023, le parc automobile représente environ 38 millions de véhicules en service (dont 880.000 électriques, soit 3 % du parc). Remplacer 97 % du parc pour atteindre l’objectif voulu par des députés européens déconnectés de la réalité relève de la chimère.

Un autre problème se pose, si cette situation devenait réelle, celui du parc de borne de recharge. En 2023, en France, on dénombre environ 14.500 bornes Haute Puissance (supérieure à 150 Kw/h), qui permettent une charge en 30 minutes. Vouloir un parc 100 % électrique, va impliquer des dépenses colossales.

La période de récession que nous traversons n’est pas idéale pour un projet aussi hasardeux. On demande aux Français de se serrer la ceinture et on veut dépenser des milliards pour des choses inutiles.

Cet argent serait mieux utiliser s'il servait vraiment la cause nationale, à savoir dans l’éducation, dans la santé, dans la défense nationale…

Un autre problème se pose : imaginons que le rêve des pseudo-écolos déjantés soit devenu réalité. Que se passera-t-il, lors des départs en congés, lorsque 10.000 véhicules se retrouveront en même temps à une station service sur l’autoroute du soleil, avec 1 borne sur 3 en état de fonctionner ?

Il faudra 2 jours pour rejoindre la Côte d’Azur. Exactement le temps que l’on mettait au début du XXe siècle. Quel retour en arrière.
Les Verts mettent en avant la soi-disant énergie propre, et les bienfaits de rouler électrique, ces mêmes Verts qui militent pour la fermeture du parc nucléaire français, qui représente, je le rappelle, 63 % de la production électrique.

Pour résumer, cette vision débile de vouloir imposer l’électrification de l’automobile, c’est simplement pour emmerder un peu plus les Français.

La voiture est un marqueur de passion et de liberté, la voiture représente son propriétaire. Pourquoi vouloir imposer à chacun de rouler comme son voisin.

Au Parti de la France, nous disons non à cette électrification qui ne sert à rien. Nous sommes pour le maintien et le développement du nucléaire.

L'État doit foutre la paix aux automobilistes et aux Français !

Laurent Spagnol - Membre du Bureau politique du Parti de la France

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Et maintenant, voici le confinement olympique !

7 Décembre 2023, 16:38pm

Publié par Thomas Joly

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1993-2023 : les Verts, 30 ans d’imposture ! - Le Zoom - Eric Pinel - TVL

7 Décembre 2023, 07:46am

Publié par Thomas Joly

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Apprentissage des mineurs non accompagnés : la régularisation rampante

7 Décembre 2023, 07:23am

Publié par Thomas Joly

Après avoir visité, cette semaine, les centres de rétention administrative de Bordeaux, Paris et Calais, Edwige Diaz, députée RN et rapporteur de la loi Immigration, a confié à BV sa surprise de voir que beaucoup de migrants arguaient, contre leur expulsion, d'apprentissages menés en France. En marge de l'embauche des clandestins dans les métiers « en tension » et de la régularisation massive qu'associations et institutions désirent, il est intéressant de se pencher sur la place des mineurs non accompagnés (MNA) dans nos filières d'apprentissage.

Même clandestins, les mineurs non accompagnés (MNA) ne sont pas considérés comme étant en situation irrégulière, en raison de leur âge, et sont pris en charge par l’aide sociale à l’enfance (ASE). Un migrant a donc tout intérêt à se prétendre mineur : cela lui permet de gagner du temps jusqu’à ses 18 ans, moment où il deviendra irrégulier et donc, en théorie, expulsable. Les associations d’accueil anticipent ce risque en plaçant les MNA en apprentissage. Cela se fait sans difficulté puisque « l’autorisation de travail est accordée de droit aux mineurs isolés étrangers qui sont pris en charge par l’aide sociale à l’enfance ».

Prenons l’exemple du Pas-de-Calais, et particulièrement de Saint-Omer. L’association France terre d’asile y gère un centre d’accueil depuis 2012. « Chaque année, entre cinq et douze jeunes trouvent un apprentissage. » Les MNA sont placés au CFA agricole, chez des maraîchers trop heureux de « retrouver de la main-d’œuvre grâce à de jeunes migrants », ou dans un restaurant de Saint-Omer.

Edwige Diaz nous explique qu'elle a eu en main des documents prouvant que la mairie de Saint-Omer a, elle aussi, employé des MNA jusqu’en 2022, par exemple pour l’entretien des espaces verts. Il est probable qu’elle en emploie encore. Le cabinet du maire, François Decoster, n’a pas donné suite à notre demande de renseignements : sujet gênant ?

Faux réfugiés mais apprentis « modèles »

Pourtant, répétons-le, cela n’a rien d’illégal. Mais pourquoi favoriser des mineurs supposés, entrés illégalement et dont bien peu répondent à la définition du réfugié ? Il n’est que de lire les journaux. Garan, malien : « Depuis tout petit, je rêvais de venir en France. » Delwar, bengladais : « Des problèmes familiaux l’ont poussé à l’exil. » Non loin de Saint-Omer, l’usine Elanplast a embauché deux mineurs en apprentissage : Lassana « a quitté la Guinée dans l'espoir de mener une vie meilleure » et Ibrahima « fuyait des problèmes familiaux, au Mali ». On est loin de l’image du migrant fuyant les persécutions ou les catastrophes climatiques, et tout à fait en dehors de la définition officielle du « réfugié ».

De mémoire de patron, on n’a jamais vu des apprentis si compétents, de bonne volonté, intelligents, motivés, etc. Au point que la directrice de restaurant mentionné supra se sert directement chez France terre d’asile : « Maintenant, quand on a besoin d’apprentis, on passe directement par France terre d’asile car on est très satisfaits, c’est important de leur donner une chance dans ce contexte-là. » Mieux vaut être MNA que « de souche » ?

Cynisme associatif

La doxa migratoire veut que les migrants majeurs qui débarquent en Europe soient tous plus ou moins ingénieurs, chirurgiens, pianistes (et spécialistes de Victor Hugo, selon Yann Moix). Les MNA auront un autre destin. En 2021, la directrice de France terre d’asile, Mathilde Moutiez, expliquait : « Quand les jeunes arrivent, on travaille avec eux sur leur projet professionnel, certains rêvent de devenir footballeur, médecin. Notre rôle, c’est de les remettre dans une certaine réalité. »

Quel cynisme ! Cette professionnelle de l’accueil à tout crin n’est pas là pour aider les mineurs dans un projet personnel mais pour diriger cette main-d'œuvre bon marché vers les fameux « métiers en tension », qu’elle énumère : « le bâtiment, le maraîchage, la restauration ou l’industrie ». Les associations du genre France terre d’asile jouent sur deux tableaux. Ils sont les fourriers du patronat et jouent la carte de la régularisation d’un maximum de clandestins.

Des apprentis à foison

Nous avons pris l’exemple de Saint-Omer et de France terre d’asile, mais il en va de même partout en France. Il semble même qu’on se dirige vers une orientation systématique : le département du Finistère entend « prioriser » l’orientation vers l’apprentissage des MNA dont il a la charge, autrement dit aller au-delà des 40 % déjà présents dans cette filière en 2021. « Des partenariats ont déjà été noués avec des centres de formation des apprentis pour diriger les jeunes vers les filières sous tension », écrit Le Télégramme.

Alors que l’Assemblée nationale s’apprête à discuter le projet de loi Immigration, il faut dénoncer ce mécanisme qui permet de transformer des mineurs clandestins en adultes légalisés qui n’ont rien à faire en France… au nom de l’insertion professionnelle.

Samuel Martin

Source : http://bvoltaire.fr

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Roland Hélie invité de Martial Bild sur TV Libertés

6 Décembre 2023, 18:21pm

Publié par Thomas Joly

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Terrorisme : face aux couteaux, Darmanin en appelle aux… psychiatres !

5 Décembre 2023, 07:28am

Publié par Thomas Joly

Un homme, un touriste allemand, est mort, samedi soir 2 décembre, à Paris, sous les coups de couteau d’un islamiste, « français », s’empressent de clamer les médias. Un Français naturalisé avec sa famille en provenance d’Iran en 2002. Un autre homme est mort à Nantes dans des circonstances troubles entourant un match. D’un coup de couteau, lui aussi. Signe d'une civilisation assassinée, pas moins de 120 coups de couteau s’abattent, chaque jour, au pays de Montaigne et La Boétie sur… n’importe qui.

Mais c'est bientôt Noël. On peut compter sur le gouvernement particulièrement inefficace sur le plan sécuritaire d'Élisabeth Borne et Gérald Darmanin pour… enrober sa faillite d’un papier cadeau communicationnel. Ainsi, ce dimanche soir, à Matignon, une réunion au sommet réunissait le Président Macron, le Premier ministre Élisabeth Borne, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et le garde des Sceaux qui vient d’échapper à une condamnation de la Cour de justice de la République, Éric Dupond-Moretti, et même le ministre de la Santé Aurélien Rousseau. On a aussi convoqué le directeur de la sécurité intérieure, pour faire bonne mesure. Il faut calmer les Français qui n’en peuvent plus et rejoignent les rangs de Le Pen, de Marion Maréchal et Éric Zemmour en gros bataillons, comme le montrent les sondages. Alors, on mobilise et on le fait savoir.

Des infirmiers costauds

Résultat ? Darmanin, sur le plateau de TF1, accouche d’une souris décisionnelle. Et d’une ligne de fuite grosse comme un asile d’aliénés. Pour lui, de nombreux terroristes cumulent en réalité des pathologies psychotiques avec une pratique de l’islam radical. Darmanin s’est donc entendu avec le Premier ministre, dit-il, pour travailler sur une obligation de soins psychiatriques. Face au couteau, le psy. On se pince. Et il accuse Marine Le Pen, coupable de n’avoir pas voté en 2021 une mesure qui prévoyait dans le cadre de la loi antiterroriste un suivi des sortants de prison sur une longue durée. Donc, vingt policiers pour une surveillance continue (le nombre nécessaire) plus une escouade de policiers supplémentaires ou d’infirmiers costauds pour contraindre l'islamiste fou à prendre ses médicaments. Et aussi un coach pour lui apprendre à remercier le contribuable ? Fallait-il réunir tant de ministres pour accoucher d’une mesure politicienne aussi bas de gamme ?

Dans cette affaire comme à chaque fois, il y a le vrai et le faux débat. Darmanin a choisi aussitôt le faux, celui qui envahit les ondes : le meurtrier était-il fou ? Quel était son degré de folie ? La folie a-t-elle précédé le coup de couteau ou le coup de couteau témoigne-t-il en lui-même de la folie de celui qui le tenait ? Que faire face aux fous ? Mais voilà. L’homme n’était pas assez fou pour oublier de hurler « Allah akhbar » et d'évoquer la Palestine. Ce profil, malheureusement, est bien connu des Français qui comptent les morts et les égorgements avec un rythme qui ne cesse plus désormais d’accélérer.

Autre débat, la prison. Ce charmant « Français » a passé quatre ans en prison pour projet terroriste, aux frais des Français : la prison ne l’a pas guéri, manifestement. Comment, pourquoi ? Mais la prison française est depuis longtemps l’école de l’islamisme. Elle n’a pas de pouvoir sur les convictions religieuses et n’est pas faite pour cela. Par ailleurs, les récidives sont légion.

Troisième faux débat, le suivi policier. A-t-il été suffisamment suivi à sa sortie de taule ? S’il l’avait été davantage, le touriste allemand poursuivrait ses vacances à Paris, estiment certains observateurs. Mais la France compte plus de 8.000 fichés S pour islamisme, selon les propos du ministre de l’Intérieur lui-même en 2020. Suivre chacun d’eux à la trace jour et nuit, samedi et week-end compris, nécessite 160.000 policiers dédiés à cette seule fonction. Par ailleurs, la porte reste largement ouverte à l'arrivée de nouveaux fous islamistes.

Le couteau fait la loi

« Quand le sage montre la lune, le fou regarde le doigt », dit le proverbe chinois.

Le débat va donc rouler dans l'étroite gouttière des mesurettes, du cas par cas, de l’accompagnement et du suivi. On passera à côté du fleuve de l’évidence. La France n’intègre plus les populations musulmanes qui entrent chez elle dans des proportions et des quantités qui les rendent inintégrables. L’assimilation est confiée aux islamistes qui, eux, convainquent et gagnent du terrain dans l’aveuglement général. Égorgements, meurtres par balle, la France avance vers le chiffre de 300 victimes du terrorisme islamiste depuis 2012. Rien ne permet d'espérer que ce chiffre baisse, et sûrement pas l'arrivée des psychiatres, indépendamment du respect qu'on peut avoir envers la profession.

Le couteau fait la loi. Et pourtant, traditionnellement, en France, on ne tue pas au couteau. On use du coup de gueule, du coup de poing ou du coup de feu, pas du coup de couteau. Le couteau est l’arme du changement de population, c’est évident pour les Français : le gouvernement et les élites aveugles et sourdes font semblant de ne pas voir, comme les enfants se cachent sous une serviette. Au sommet de l’État, on décidera donc de multiplier les suivis et les soins psychiatriques. Et on ouvrira un peu plus largement encore les portes à une immigration incontrôlée, venue d’Afghanistan (le pays détenteur du record de demandes d’asile en 2022) ou d’ailleurs. Il faut sauver la doxa officielle qui vit des temps difficile. Coûte que coûte.

Marc Baudriller

Source : http://bvoltaire.fr

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Centenaire de Barrès : messages posthumes à une jeunesse française déracinée

5 Décembre 2023, 07:16am

Publié par Thomas Joly

Au lendemain de sa disparition le 4 décembre 1923, la IIIème République faisait à Maurice Barrès les honneurs d’obsèques nationales, sentant bien que le Nancéien incarnait comme personne l’âme française.

Un poète de génie, jeté aux oubliettes

Oublié depuis, il a eu depuis, parmi d’innombrables titres de noblesse celui d’avoir suscité la jalousie d’un Gide, ne supportant pas que Barrès puisse être le « prince de la jeunesse » française, à la fois enracinée dans son terroir ainsi que dans sa patrie, et férocement libre, voyageur ouvert au monde, les pieds dans sa terre, la tête dans les étoiles...

Aujourd’hui encore, Barrès est par excellence l’ennemi intellectuel à abattre, pour une génération de la gauche sociétale post soixante-huitarde dont Bernard-Henri Lévy résumait dès 1985 la pensée profonde dans le manifeste de la revue Globe : « Bien sûr nous sommes résolument cosmopolites. Tout ce qui est terroir, béret, bourrées, binious, bref, "franchouillard" ou cocardier, nous est étranger, voire odieux. »

Pourtant, Barrès ne correspond pas à ce portrait volontairement réducteur et caricatural. S’il mérite aujourd’hui d’être redécouvert, et surtout par les nouvelles générations, c’est justement parce qu’il avait su donner un sens à la vie d’un jeune Français. Nourrir son besoin d’idéal, sa curiosité du monde et sa soif d’une mystique, tout autant que son inscription dans une histoire, dans une lignée française, en sa qualité d’héritier qui réclame respect pour la « terre et les morts ».

Autant de valeurs dont la « République des laïcards » manquait déjà fortement à la veille de la première guerre mondiale, et dont on cherche vainement les traces dans celle de d’Emmanuel Macron, de Cyril Hanouna et de Jean-Luc Mélenchon...

Un injuste procès en antisémitisme

Emmanuel Godo a eu la bonne idée de faire publier récemment chez Tallandier un Maurice Barrès, le grand inconnu d’excellente facture, qui rend justice au penseur engagé et corrige enfin les erreurs nombreuses dont les calomnies des jaloux ont laissé des traces dans l’histoire des idées.

Et il a été intenté à Barrès, comme à bien d’autres gêneurs, un procès en antisémitisme aussi exagéré dans sa portée qu’injuste dans ses motivations. Il a certes été emporté, comme la quasi-totalité du spectre politique, par un antisémitisme né à gauche au XIXe siècle avant de basculer à droite par la suite. Mais contrairement à ce qu’a pu prétendre un temps Zeev Sternhell dans Ni Droite, ni Gauche. L'idéologie fasciste en France (Folio Histoire), l’antisémitisme barrésien fût purement conjoncturel (nourrie entres autres péripéties par les scandales politico-financiers et par l’affaire Dreyfus), et surtout pas biologique (ce dont nombre d’idéologues du nazisme lui ont d’ailleurs fait le reproche dans les années 30). Aujourd’hui, si le travail d’historien de Sternhell sur Barrès reste valable pour la rigueur de son enquête, ses conclusions en faisant un fondateur d’un « fascisme à la française » n’est plus guère revendiquée que par une certaine gauche en quête d’épouvantails imaginaires nécessaire à sa survie.

Relire Barrès, mais quoi ?

Maurice Barrès, le républicain, socialiste rallié un temps au boulangisme, puis se réclamant du nationalisme, a entretenu avec le royaliste Charles Maurras, une amitié personnelle à laquelle s’est ajoutée au fil du temps une amitié politique. Pourtant, Barrès n’a jamais adhéré au royalisme, parce qu’il croyait en la possibilité de réformer la république et estimait la monarchie comme appartenant définitivement au passé. Il s’en est expliqué dans la réponse qu’il a fait à Maurras, à lire dans l’Enquête sur la Monarchie (que l’on trouve en occasion dans l’édition de 1986 du Porte-Glaive). Mais de Barrès lui-même, outre l’ouvrage culte Les Déracinés , on peut trouver Le Culte du Moi chez Hachette BNF, et découvrir la seule pièce de théâtre de sa composition, Une Journée Parlementaire, qui vient d’être éditée aux Editions de Flore.

Etienne Lombard

Source : http://bvoltaire.fr

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Le tueur du pont de Bir-Hakeim : on n’avait rien vu venir…

4 Décembre 2023, 07:45am

Publié par Thomas Joly

Le tueur du pont de Bir-Hakeim : on n’avait rien vu venir…

On peut dire que, dans cette énième affaire de meurtre gratuit, on n’avait rien vu venir. Le touriste allemand qui se promenait, en ce soir de décembre, en compagnie de sa femme, sur le pont de Bir-Hakeim, n’a rien vu venir non plus, d’ailleurs. À quoi pensait, d’ailleurs, ce pauvre jeune homme de 23 ans, au moment où ce terroriste l’a froidement poignardé, en criant « Allahou akbar » ? On se perd en conjectures. « C’est pas le boug, il a fait une dinguerie », diront les jeunes Français, sur les réseaux sociaux, dans les jours qui viendront. Une affaire tristement banale, comme il en arrive tous les jours en France. Tous les jours ou presque.

« Français né en France », comme dit la presse, de parents non musulmans, réfugiés en France pour échapper aux islamistes de Téhéran, cet homme s’appelait Armand. En lien avec des terroristes dangereux, il avait été condamné, en 2018, à cinq ans de prison, dont un avec sursis, pour un projet d’attentat terroriste. Il n’en avait fait donc que quatre (sans énorme surprise). Depuis sa sortie de prison en 2020, il était suivi par des psychiatres, mais Le Monde nous révèle, ce week-end, que le personnel de santé qui le prenait en charge a été « leurré » par son comportement en apparence tout à fait normal. Encore une fois, on n’avait rien vu venir. Après sa « déradicalisation éclair », tout le monde (à commencer par ses parents) avait envie de croire que ça allait mieux.

Ah ! si seulement nous cessions d’être aveugles, si nous arrêtions d’accepter ces discours stupides (« il était français comme vous et moi », « il était pourtant suivi pour sa déradicalisation ») et si nous acceptions de prendre certaines mesures, a minima d’éloignement définitif de la société. Amis lecteurs, on va vous dire qu’on ne peut rien faire, que c’est comme ça. On irait presque jusqu’à dire que c’est le « vivre ensemble », alors que nous mourons et qu’ils tuent, et qu’à aucun moment il n’est question de vivre, ni d’être ensemble. La gauche essaie de dévier l’analyse, pourtant parfaitement intuitive, que n’importe qui peut faire aujourd’hui. Côté LFI, on parle du suivi psychiatrique et du fait que les structures d’accueil ne sont pas assez nombreuses. On imagine que Renaissance ne voudra pas être en reste et que Darmanin va devoir mettre le paquet sur le complot d’ultra-droite. Il va falloir en inventer, des bataillons de SS, pour tenter de cacher au peuple de France ce qu’il voit parfaitement : il y a, en France, des Français de papiers qui tuent au nom d'Allah. Les motifs sont divers, c’est peut-être d’ailleurs tout ce qu’il y a de « divers », dans ces faits qui sont tout sauf anodins.

Que ce soit un lycéen qui se fait poignarder parce que son assassin n’aime pas les Blancs ou un touriste étranger qui se fait poignarder parce que son assassin défend la Palestine ou encore un prof qui se fait égorger parce que son assassin n’aime pas la France, toutes ces excuses peinent à convaincre. C’est du flan. Il y a deux guerres contre nous sur notre propre sol : une contre les Français de souche, une contre les valeurs de l’Occident (quoi que l’on pense par ailleurs de ces « valeurs », ce n’est pas la question pour le moment). Les assassins, eux, sont toujours les mêmes : ils ont moins de trente ans, sont issus de l’immigration musulmane (maghrébine, subsaharienne - ou persane, donc, dans ce cas précis), ils ont un casier judiciaire et un couteau. Certains sont même, c’est le cas d’Iman Rajabpour-Miyandoab alias « Armand », notre terroriste du jour, capables de faire croire qu’ils ont changé. Et nous, où en sommes-nous ? Avons-nous décidé de rester du gibier ?

Arnaud Florac

Source : http://bvoltaire.fr

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Montargis : quand la France bien élevée relève la tête

4 Décembre 2023, 07:04am

Publié par Thomas Joly

Un extrait de l’émission Envoyé spécial du jeudi 30 novembre a rencontré un vif succès sur les réseaux sociaux. Le sujet ? Les émeutes de juin dernier, avec une étude de cas : la petite ville de Montargis, dans le Loiret, 15.000 habitants. Avec son commissariat, sa mairie et sa rue commerçante saccagés et incendiés, elle est « devenue l’un des symboles de ces violences urbaines sans précédent », des violences dont on nous explique qu’elles « ont profondément marqué la ville ».

Parmi les personnes interrogées, un chef d’entreprise, qui habite une maison en centre-ville. Des émeutiers, la nuit du 29 au 30 juin, sont entrés chez lui. Dans le reportage, il explique être descendu de l’étage où il était couché, prenant la précaution de se saisir au passage d’une épée médiévale (très lourde mais peu tranchante) datant des cours d’escrime médiévale de sa jeunesse. Muni de cette arme d’un autre âge, il a réussi à faire fuir les intrus. Il a passé le reste de la nuit à monter la garde chez lui, avec ses deux fils de 15 et 13 ans et un neveu, chacun muni d’une épée… médiévale.

Quand on lui fait remarquer qu’il aurait pu tuer ou blesser l’un de ses cambrioleurs, il rétorque que dans la rubrique faits divers, il « préfère être le mec qui bute un salopard pour se défendre que le mec qu’on enterre avec une petite marche blanche parce que le pauvre, il s’est fait agresser par des racailles ». À la question presque accusatrice « vous vous êtes fait justice vous-même », il répond en invoquant l'article 122.6 du Code pénal : « Non, il faut juste se défendre. C’est prévu dans le droit. » D’ailleurs, ni la police ni la Justice ne sont venues lui demander des comptes. « Je défendais ma femme, je défendais mes enfants, je défendais ma maison », conclut-il tranquillement. Ses réponses sans détour, simples et sereines, ont réjoui les réseaux sociaux. Comme si cette incarnation d’une France bien élevée relevant enfin la tête redonnait espoir.

Joint, ce vendredi, par téléphone, ce père de famille de cinq enfants confie à BV être étonné mais heureux des réactions positives que son témoignage suscite.

Il se souvient très bien de cette soirée. Quand, à minuit, il entend du bruit, il pense à la sortie d’un concert, sur la petite place toujours très animée à proximité. D’autant que Montargis est réputé être calme… même si, depuis quelques années, comme beaucoup d’autres villes, elle change de physionomie. Soudain, des vibrations anormales l’alertent : il y a un attroupement en bas, en train de défoncer son portail !

En caleçon et l'épée à la main !

Il demande à son épouse d’appeler la police, et c’est en caleçon qu’il descend. Sept jeunes originaires d’Afrique subsaharienne sont en train de faire démarrer sa Tesla - sur laquelle il a laissé sa carte. N’arrivant pas à maîtriser le véhicule qui est nerveux, ils enfoncent le porche XVIIIe en face d’eux - c’est ce que Cédric Gallineau déplore le plus. Jusque-là, il avait traversé les siècles et il lui était confié ! Comme la vitre conducteur est à moitié ouverte, Cédric peut faire passer son épée. Les intrus prennent peur, ils se bousculent pour fuir de l’autre côté. Comme ils ont tout cassé, ils sont obligés de passer sur le capot… et d’y laisser donc leurs empreintes. Cest sur ces traces que le père de famille compte pour l’enquête.

Le portail étant défoncé, impossible de le fermer. Et la police que sa femme a appelée, très occupée par les émeutes tout autour, a d’ores et déjà annoncé ne pas pouvoir arriver avant plusieurs heures. Il faut bien surveiller. Il s’organise avec les enfants. Au milieu de la nuit, un trentenaire, africain lui aussi, qui passe par là, accompagné d’un ami originaire du Maghreb, lui propose de l’aide pour bloquer son entrée de façon à pouvoir la rendre hermétique. Tous trois finissent par y arriver. Il a noté que durant cette nuit d’émeutes, il y avait beaucoup de circulation dans la ville, essentiellement issue de la diversité, mais de trois types différents, facilement identifiables : les émeutiers, clairement organisés. Les délinquants d’opportunité, venus pour piller et voler. Et des curieux, déplorant la situation.

Ses agresseurs n’ont, pour le moment, pas été arrêtés. Est-il inquiet ? Pas vraiment, même si ceux-ci l’ont menacé de le retrouver (« Quels abrutis ! Évidemment qu’ils connaissent mon adresse, puisqu’ils sont venus chez moi ! »), il veut continuer à vivre normalement. Les premiers temps, leurs enfants sont allés se mettre au vert. Puis ils sont revenus. Vivre normalement, oui, mais en anticipant et s’organisant. Ses épées médiévales, la prochaine fois, ne suffiront peut-être pas.

C’est cette nécessité de se préparer, ressentie par nombre de bons pères de famille comme lui, qui signe la bascule d’un État français devenu incapable de protéger ses administrés.

Gabrielle Cluzel

Source : http://bvoltaire.fr

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Rediffusion du Forum du Parti de la France du 01/12/23

3 Décembre 2023, 15:55pm

Publié par Thomas Joly

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Succès de l'hommage à Thomas vendredi 1er décembre à Paris

2 Décembre 2023, 11:39am

Publié par Thomas Joly

Malgré une scandaleuse interdiction préfectorale cassée in extremis par un très laborieux Tribunal administratif, une surveillance policière étroite et démesurée, des centaines de Français non-reniés se sont réunis vendredi 1er décembre place du Panthéon à Paris pour exprimer leur ras-le-bol de la criminalité afro-maghrébine.

Un hommage à Thomas, à Lola et à toutes les autres victimes de la sauvagerie étrangère a été rendu.

Nous ne laisserons pas les nôtres se faire trucider sans réagir, ça suffit !

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Les crèches de Noël : un scandale, pour les puritains de la laïcité !

30 Novembre 2023, 07:49am

Publié par Thomas Joly

Dans un monde travaillé par le wokisme qui ne veut plus de Noël, ni même de Père Noël ou de sapin du même nom, les crèches avec l’enfant Jésus entre le bœuf et l’âne gris sont devenues une offense, voire, pour beaucoup de puritains de la laïcité, une odieuse provocation politique.

Le député (RN) de l’Aude Christophe Barthès en a installé une dans sa permanence parlementaire et la montre fièrement sur son compte X : « La crèche est en place à ma permanence parlementaire, dans le respect de nos traditions ! ». Ça ne plaît pas à Adrien Quattenens qui lui répond par le même canal : « Bonjour Monsieur le député, Ici c’est la France. Et la France est une République laïque. Comme parlementaire, vous représentez tous les Français. La crèche, c’est éventuellement dans le salon à la maison. Pas dans la permanence parlementaire. »

Dans le nord d’Adrien Quattenens, y’avait les corons, et puis les carnavals, et puis les fêtes du Houblon, de la bière, aussi les festivals et leurs défilés de géants. Dans le sud y’avait les ferias, les courses de vachettes, les corridas et puis la Vierge noire, les rassemblements de gitans et…les crèches. Et ça c’est la France, n’en déplaise à Monsieur Quattenens et ses semblables.

« Un flou juridique qui ferait saigner le cœur du jacobin le plus endurci »

En décembre de l’année dernière, Libération s’était penché sur la question. Sous le titre « Santons de solitude » (sans doute une allusion branchée au roman de Gabriel Garcia Marquèz), une enquête : « Crèches de Noël dans les bâtiments publics : que dit le droit ? ».

« Faute de loi claire applicable à tout le territoire, les usages varient suivant les régions, l’aspect traditionnel local pouvant faire basculer les décisions de justice d’un côté ou de l’autre », si bien que « le flou juridique qui les entoure ferait saigner le cœur du jacobin le plus endurci », écrivait alors Libé. Bref, c’est à l’appréciation de la justice qui, là encore, tranche comme ça l’arrange. Et de citer en exemple la ville de Fréjus (Var) qui « peut, année après année, installer des santons dans le hall de sa mairie, sans être inquiétée par la justice », contrairement à celle de Beaucaire (Gard) qui, elle, doit « compter avec les procédures, qu’elle perd systématiquement ». On se souvient aussi du bras de fer de Robert Ménard, à Béziers, le préfet de l’Hérault lui donnant finalement l’autorisation d’installer une crèche dans sa mairie. De même à Perpignan (Pyrénées-Orientales) et malgré les polémiques de l’an passé, Louis Aliot compte bien récidiver et installer la crèche devant sa mairie.

Empêché, lui aussi, par le tribunal administratif de Lyon, d’installer une crèche dans l’hôtel de région (Auvergne-Rhône-Alpes), Laurent Wauquiez avait pu l’année suivante contourner l’interdit en invoquant une manifestation culturelle consacrée aux santonniers. C’est aussi à ce titre qu’on peut faire la visite des 500 crèches de Lucéram, village médiéval du haut pays niçois. A Toulon, on se rit aussi des grincheux : non seulement on peut aller voir la crèche géante, attraction majeure du marché de Noël, mais on peut aussi aller admirer une grande crèche provençale dans le centre commercial de Mayol !

Partout en France des édiles courageux se battent pour la tradition d’une France chrétienne quand d’autres se battent contre, au nom de la laïcité quand ce n’est pas carrément au nom de l’écologie ou de la lutte fumeuse contre le patriarcat. A la pointe du combat, bien sûr, la Fédération des Libres penseurs, ces champions du sectarisme qui ne semblent pas trop gênés par « le mois du Ramadan » où les menus hallal (répondant donc à un rituel confessionnel) dans les cantines…

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Raspail, J-M Le Pen... ils avaient sonné le tocsin ! - Le Zoom - Didier Lecerf - TVL

30 Novembre 2023, 07:12am

Publié par Thomas Joly

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Hommage à Thomas à Paris vendredi 1er décembre

29 Novembre 2023, 21:38pm

Publié par Thomas Joly

Hommage à Thomas à Paris vendredi 1er décembre

Le Parti de la France appelle ses militants et sympathisants d'Île-de-France et limitrophes à participer à cet hommage au jeune Thomas, assassiné par la racaille afro-maghrébine.

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Gérald Darmanin est content : la France a évité un scénario à l’irlandaise !

29 Novembre 2023, 07:06am

Publié par Thomas Joly

Gérald Darmanin est drôlement content. Très satisfait de lui : « Je ne laisserai aucune milice d’extrême droite ou autre faire la loi à la place des procureurs et des policiers », déclare-t-il, bombant le torse, ce mardi 28 novembre, dans la matinale de France Inter. Grâce à sa remarquable efficacité, « la France a évité un scénario à l’irlandaise de petite guerre civile ».

Qui a dit que la Justice était lente et laxiste ?

Fort bien. Tout le monde est soulagé. Six militants d’ultra-droite - ne dites plus extrême droite, le mot n'effrayant plus si bien qu'avant, on a dû en changer -, sur les vingt interpellés, ont été fissa coffrés, jugés, emprisonnés (qui a dit que la Justice était lente et laxiste ?).

Après les supporters anglais, Kevin et Matteo, voici les militants d’ultra-droite : ils sont la cause de tous nos maux. Nombre de médias soutiennent et portent avec beaucoup de zèle le discours de Gérald Darmanin. Qu'on en juge :

« Mort de Thomas à Crépol : qui sont les "milices d’ultra-droite" qui ont défilé à Romans-sur-Isère », écrit 20 Minutes.

« Mort de Thomas : qui sont les militants d’ultra-droite qui se sont rassemblés à Romans-sur-Isère », renchérit RMC.

« Mort de Thomas à Crépol : descente de militants d’extrême droite dans un quartier de Romans-sur-Isère », titre Libération.

« Mort de Thomas à Crépol : GUD, Luminis, Division Martel, Argos… qui sont les militants identitaires des groupes d’ultra-droite en France », peut-on trouver en haut de La Dépêche.

« Mort de Thomas : un nouveau groupe de militants d’ultra-droite à Romans-sur-Isère, sept interpellations », lit-on sur le site de France Bleu

On continue ?

Puisque le signe de ponctuation composé de deux points verticaux est censé « introduire une explication, une énumération » (Larousse) ou bien, encore, « établir un rapport de causalité » (site Alloprof.fr), on comprend donc ce qu’ont voulu dire, en toute logique, ces journaux : les militants d’ultra-droite sont la cause et l’explication de la mort de Thomas ! Exit ses meurtriers présumés, donc, dont le profil apparemment n’intéresse plus personne. Exit au sens propre comme au sens figuré, pour certains, puisque sur les neuf mis en examen - pour « meurtre en bande organisée », « tentative de meurtre », « violences volontaires commises en réunion » -, six ont été mis en détention provisoire, mais trois autres ont pu passer la porte du commissariat, libérés sous contrôle judiciaire.

C’est qu’il fallait sans doute faire un peu de place pour les militants d’extrême droite qui, eux, ont été condamnés à des peines de six à dix mois de prison ferme, avec mandat de dépôt, pour « participation à un groupement formé en vue de la préparation de violences ou de dégradations » et, pour cinq d’entre eux, pour « violence » sur policier (ils ont dix jours pour faire appel). Si l’on suit bien la logique de la justice, se regrouper en vue de préparer des violences et des dégradations (et, donc, ne pas en avoir encore commis, c’est le cas d'un des militants, celui qui n’est pas accusé de violence envers les policiers) est plus grave qu'être présumé les avoir commises réellement (à l'instar des trois qui ont été libérés).

« Petite guerre civile »

Pourtant, à l’exception de l’un d’entre eux, le casier des manifestants était vierge. À l'inverse, la majorité des agresseurs présumés de Thomas étaient connus des services de police. Les attendus de la comparution immédiate confirment, officiellement en tout cas, ce que chacun avait bien compris : pas plus de « ratonnade » dans cette affaire que de brushing sur la tête d’un chauve. Si un cheveu d’un seul habitant de la cité avait été touché, cela se saurait. En revanche, un jeune manifestant de 20 ans a été tabassé, déshabillé, filmé, laissé en rase campagne et ramassé par les pompiers. Son pare-brise a été brisé, sa voiture incendiée. Personne n'en parle. À l'exception de Jean-Luc Mélenchon, qui trouve cela très beau. Il y voit « la magnifique autodéfense des habitants du quartier de la Monnaie ».

Oui, vraiment, « la France a évité un scénario à l’irlandaise ». Ouf ! Mais pour éviter le scénario à l’israélienne, il y a quelque chose de prévu ? Car comme le rappelle Dominique Jamet, sur X : « Nombre de victimes du terrorisme islamiste en France depuis 2010, 283. Victimes de l'ultra-droite sur la même période : zéro. »

Gabrielle Cluzel

Source : http://bvoltaire.fr

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