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Le blog politique de Thomas JOLY

Bistrots fermés : c’est l’esprit de la France qu’on assassine

8 Octobre 2020, 06:17am

Publié par Thomas Joly

Qu’il soit de quartier ou en terrasse, chic ou familial, qu’il soit mondialement connu comme le Flore, ou un rade perdu au fond de la campagne, qu’il soit littéraire ou rustique, on a tous dans notre cœur un café préféré, rempli de souvenirs, celui que l’on fréquentait dans notre jeunesse, celui qui nous relie aux autres, à la rue, celui où l’on prend un peu le temps de vivre, de regarder passer les passants, de converser avec des inconnus sans autre arrière-pensée que de passer un moment. Le café est l’âme de la France. Il est aussi ancré dans le paysage français que le clocher de l’église, l’hôtel de ville ou l’école du village. Le café est une scène de théâtre où se joue chaque jour un bout de nos vies. C’est là que se passe et se raconte la petite histoire de notre pays, celle du quotidien de ses gens. C’est aussi là que l’on se confie sur le cours du monde, que l’on fait et refait la politique, les gouvernements, les lois… Le café est subversif, naturellement et intrinsèquement subversif, car les lois sur la liberté d’expression y ont rarement cours…

Sorti ce matin de chez moi, avec bien d’autres idées en tête, c’est le cœur serré que j’ai vu le rideau métallique tombé sur la devanture de celui auquel je consacre chaque matin, et sans jamais faillir, un bon quart d’heure avant d’aller affronter la journée. Paris sans ses cafés, ses terrasses, ses tables qui débordent sur le trottoir, ses garçons affairés au service, c’est comme si la rue était en deuil, comme si l’on baissait le rideau pour laisser passer un corbillard, comme cela se faisait dans le temps, ou se pratique encore de nos jours en Sicile.

Hélas, le corbillard qui passe est aussi long que le jour des morts. Ce corbillard, c’est la France qu’il semble emporter. Comme en Sicile, dans le cortège funèbre, ce sont juste derrière lui les officiels qui font semblant de porter le deuil, la mine sombre, alors qu’ils sont complices du crime. Et les bonnes gens au balcon ferment leurs volets sur son passage, taiseux, épouvantés, ne voulant rien voir, tout en sachant bien qui sont les vrais coupables.

Toute une foule de commerçants, d’artisans, d’indépendants est sacrifiée, et mourra au champ d’honneur pour sauver la France d’une épidémie devenue fantoche. Elle n’en sera jamais remerciée. Demain, quand le rideau tombera sur les lieux où le peuple était encore autorisé à s’égayer et à s’exprimer librement, gageons que ce seront des enseignes de banques, de compagnies d’assurance, de chaînes de distribution qui s’élèveront fièrement, triomphantes, avec l’arrogance des vainqueurs qui ont fini par écraser la piétaille, briser la jacquerie. Ce virus qui s’abat sur nous est devenu celui de la mondialisation mortifère, qui veut en finir une fois pour toutes avec les peuples, les populismes, les nations, et tout ce qui la gêne dans ses ambitions impériales. Il est devenu le prétexte des puissants pour nous soumettre une bonne fois pour toutes. Faisons tout pour les en empêcher, le temps presse…

Olivier Piacentini

Source : http://ripostelaique.com

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Yann Barthès, un gamin dérangé qui se prend pour une fille et sa mère folle

8 Octobre 2020, 06:07am

Publié par Thomas Joly

Nous pensions qu'il était le dernier des hommes, Yann Barthès nous révèle qu'il est encore pire que ça. En recevant sur son plateau un gosse de 8 ans qui se prend pour une fille, et sa mère qui l'encourage à effectivement s'assumer comme fille, alors qu'il est bien évident que l'un et l'autre souffrent de désordres psychologiques sérieux (parlez-en avec des médecins ou des psys dans le secret d'une discussion entre quatre yeux, ils vous le confirmeront tous), et en donnant à ces deux personnes dérangées l'onction définitive, la reconnaissance médiatique et l'admiration yeux-mouillés du présentateur cool de Quotidien, la chaîne et ses sbires ont dépassé les bornes.

Ce dont ce gosse a besoin, c'est déjà, dans un premier temps, d'être éloigné de sa folle de mère, et dans un second temps d'être approché par des spécialistes de la santé mentale et des troubles de l'identité. Un gosse qui se prend pour une fille, cela s'appelle un schizophrène ; et on s'occupe de ces gens dans les cabinets spécialisés, certainement pas sur un plateau de télévision où tout est fait pour l'encourager dans sa démence. Cette scène est absolument choquante, dérangeante et malsaine. Le regard attendri de la mère qui observe son fils en pliant la tête sur le côté pour accentuer devant les caméras son image de mère aimante et chaleureuse, le visage surjouant l'admiration de Barthès, la complicité du public obtenue par les chauffeurs de salle, la mise en scène de cet entretien, tout est absolument surréaliste de dinguerie.

Dès qu'un mal-pensant s'exprime virilement dans les médias, une meute de chiens de garde de l'Ordre officiel bombarde le CSA de signalements, et là rien ? Personne pour dénoncer cette séquence où des adultes poussent un enfant mentalement dérangé à s'enfoncer avec plus de gourmandise encore dans son désordre psychique ?

Barthès est une sale ordure.

Jonathan Sturel

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Avec l'accord de la France, le Mali cède aux islamistes

7 Octobre 2020, 06:57am

Publié par Thomas Joly

Entre 100 et 250 djihadistes viennent d'être remis en liberté par les autorités maliennes.

En échange de ces libérations, la junte militaire qui a pris le pouvoir à Bamako espère obtenir celles de Soumaïla Cissé, politicien enlevé par les islamistes et, accessoirement pour les nouveaux maîtres du Mali, de Sophie Pétronin, otage française détenue depuis 2016 par un groupe armé proche d'Al-Qaïda.

Contrairement à celui de monsieur Cissé qui ne nous concerne en rien, nous ne saurions être indifférents au sort de notre compatriote même si nous regrettons que son sens de la compassion l'ai menée à se pencher sur la condition des démunis de Gao plutôt que sur la détresse des Français miséreux.

Pour autant, rien, jamais, sous aucune condition, ne peut justifier que des négociations soient entamées avec des terroristes. Rien ! Pas même la vie d'un otage.

On ne discute pas avec les djihadistes, on n'entame pas avec eux des pourparlers, on ne cède pas à leur chantage. On les extermine. Et dans une guerre, on ne les enferme pas. On les exécute.

Dans ces conditions, la libération des tueurs islamistes emprisonnés au Mali qui n'a pu se faire sans le feu vert de Paris, est non seulement une faute politique et une lâcheté. Elle est une insulte à tous nos soldats tués au Sahel.

Jean-François Touzé- Délégué général du Parti de la France

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Suède : la municipalité nationaliste de Sölvesborg refuse les migrants et défie la « loi de colonisation »

7 Octobre 2020, 06:41am

Publié par Thomas Joly

A Sölvesborg, ville du sud de la Suède, dirigée par Louise Erixon (SD - droite nationale), la municipalité a décidé de remettre en cause la « loi de colonisation » qui permet à l'État d'imposer aux communes l'arrivée de migrants, comme en France.

La coalition de droite à la tête de la ville veut opposer l’autonomie municipale aux diktats du « Conseil suédois des migrations » qui répartit de manière autoritaire des pseudo-réfugiés dans toutes les villes de Suède.

Dans cette ville saine, migrants, mendiants, tarés LGBT et artistes contemporains ne sont pas les bienvenus, au grand dam de la bien-pensance de gauche.

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« Entre ici, Gisèle Halimi ! »

7 Octobre 2020, 06:24am

Publié par Thomas Joly

La municipalité parisienne, avec en première ligne les élus roses-rouges-verts de la capitale qui n'ont rien oublié ni rien renié de leurs engagements au service de la gauche radicale, déconstructiviste et internationaliste, demande officiellement à Emmanuel Macron l'entrée au Panthéon de Gisèle Halimi, leur héroïne et leur égérie qui, bien plus qu'une avocate, fut une militante de toutes les causes anti-francaises et reçut néanmoins de Jacques Chirac en septembre 2006, la croix d'officier de la Légion d'honneur.

Reste à choisir celui qui prononcera le discours solennel pour l'accueillir dans cette ancienne église devenue la fosse commune de la République.

 « Entre ici, Gisèle Halimi, avec ton terrible cortège fait de tous ces terroristes que tu as défendus et soutenus — de la porteuse de bombes FLN Dajamila Boupacha et des massacreurs d'El Halia aux tueurs arabes des années 70 et 80 — de ces victimes de la doxa migratoire que tu as tant prônée, et de ces enfants tués dans le ventre de leurs mères au nom de l'idéologie abortive dont tu fus une porte-parole acharnée. »

À ses ennemis, la Patrie reconnaissante !

Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France

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« Les entreprises ne sont pas victimes du Covid mais des décisions mortifères du gouvernement »

7 Octobre 2020, 06:11am

Publié par Thomas Joly

 

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Quand les stars de Game of Thrones n’acceptent pas le côté conservateur de leur série

7 Octobre 2020, 06:03am

Publié par Thomas Joly

Interrogé, il y a quelques jours, par The Telegraph, l’acteur Kit Harington, qui incarnait le personnage de Jon Snow dans Game of Thrones, évoquait sa volonté d’en finir avec les rôles virils : « J’ai l’impression que les hommes ont un problème d’un point de vue émotionnel, un blocage datant de la Deuxième Guerre mondiale […] Nous ne parlons pas de nos sentiments parce que cela dévoilerait nos faiblesses, parce que ce n’est pas masculin. [… ] Ce n’est plus un personnage que j’aimerais jouer désormais, car c’est une figure masculine que le monde n’a plus besoin de voir. »

Le comédien fait là un contresens manifeste dans la mesure où son personnage pleurnichait déjà beaucoup sur son sort et où, surtout, ce sont précisément les deux guerres mondiales qui accouchèrent d’un homme nouveau à l’écoute de ses émotions et de ses sentiments, mais passons.

Quelques mois plus tôt, c’est Emilia Clarke, partenaire de jeu de Kit Harington, qui s’offusquait de voir Jon Snow tiré d’affaire après le meurtre de la reine Daenerys, comme si les scénaristes avaient manqué de moralité. Pourtant, tous les personnages s’accordaient à voir en elle un despote en puissance. Son régime ayant été renversé, quoi de plus normal que le « héros » s’en tire…

Ce qui est frappant, dans ces réactions de Kit Harington et d’Emilia Clarke, c’est qu’elles font preuve d’un manque de compréhension évident de l’univers dépeint dans la série.

Game of Thrones est une œuvre d’heroic fantasy, tout comme le fut la saga du Seigneur des anneaux. Un genre qui ambitionne de renouer avec le récit homérique et puise encore davantage dans l’imaginaire arthurien et dans la chanson de geste. Les personnages y ont pour fonction de former la jeunesse occidentale, de poser un idéal de comportement – très proche, d’ailleurs, des valeurs stoïciennes – face à une situation donnée, et sont donc volontairement archétypaux.

La série de David Benioff et Daniel Brett Weiss reposait, dès le départ, sur l’imbrication de deux imaginaires foncièrement incompatibles : d’un côté la chanson de geste et les valeurs traditionnelles, de l’autre l’idéal progressiste et le regard sévère porté à l’encontre d’un passé honni (et notamment la période médiévale). D’où la confusion dans laquelle se trouvent aujourd’hui nos deux comédiens…

Car si la série met en avant les figures bien connues du chevalier, de la princesse, du roi, du dragon ou du nain facétieux et intelligent, elle nous gratifie également de tous les clichés progressistes en vogue depuis un demi-siècle : le Moyen Âge sombre et violent, les aristocrates décadents qui couchent entre frères et sœurs, les femmes viriles, les homosexuels prétendants au trône, les sorcières féministes, les seigneurs cruels et sanguinaires, les esclaves en quête d’émancipation, les rois fous, pervers ou fantoches, etc. Le tout mâtiné de sexe et d’hémoglobine pour flatter un peu les pulsions primaires du spectateur – ce qui revient, au passage, à délaisser le public visé à l’origine par l’heroic fantasy : les jeunes adolescents…

Cet équilibre incohérent entre les imaginaires traditionaliste et progressiste va peu à peu basculer, dans les deux dernières saisons de la série, au bénéfice du premier, les scénaristes ayant opté – consciemment ou non – pour un retour aux fondamentaux du genre. Si bien que le trône revient naturellement à la famille la plus vertueuse, les Stark, que le bâtard Jon Snow est écarté du pouvoir, que les envahisseurs « convertissant » en masse dans l’armée des morts sont vaincus et que les peuplades du nord et du sud venues soutenir les héros décident de retourner chez elles, faisant ainsi avorter la naissance d’une société multiculturelle et discordante. N’oublions pas, évidemment, la reine Daenerys, la candidate des droits de l’homme et du sans-frontiérisme humanitaire qui, rendue folle par son idéologie totalitaire, s’en va détruire Port-Réal (la Libye ?) et massacrer ses populations avant d’être punie et envoyée ad patres aux côtés de Robespierre.

Les héros se retrouvent à la fin pour discuter de l’avenir du régime, l’un d’eux propose naïvement d’instaurer une république, mais très vite, l’hypothèse est balayée par quelques rires goguenards…

On sait maintenant, en partie, pourquoi la fin de la série a pu décevoir tant de spectateurs.

Pierre Marcellesi

Source : http://bvoltaire.fr

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« Marine Le Pen juge les propos d'Eric Zemmour excessifs. Et c'est elle l'opposition à Macron ? »

6 Octobre 2020, 06:40am

Publié par Thomas Joly

 

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Hommage de la Russie aux soldats français de Napoléon III tombés en Crimée

6 Octobre 2020, 06:21am

Publié par Thomas Joly

Magnifique geste d'amitié de la Russie qui, au cours d'une cérémonie religieuse et militaire à Sébastopol, a rendu les honneurs à 150 de nos soldats tombés pendant la guerre de Crimée, inhumés désormais dans la nécropole où reposent déjà 23.000 de leurs camarades parmi les 90.000 morts français de ce conflit.

Hymne russe, Marseillaise, drapeaux tricolores et drapeaux russes, cosaques de Crimée, prières orthodoxes et catholiques... Rien ne manquait a ce beau salut rendu, dans le respect de ceux qui se combattirent selon les lois de la guerre mais savent qu'ils appartiennent à une même civilisation. Hommage d'un grand peuple à ceux qui furent des adversaires d'un temps.

Rien ne manquait... Sauf la France. La République, figée dans son refus du retour de la péninsule de Crimée à sa patrie de toujours, avait refusé d'envoyer des représentants officiels.

Honneur et force d'un côté. Lâcheté et soumission de l'autre.

Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France

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De retour à la Maison Blanche, Donald Trump retire son masque et appelle les Américains à « sortir »

6 Octobre 2020, 06:09am

Publié par Thomas Joly

Donald Trump a quitté lundi l'hôpital et a, dès son retour à la Maison Blanche, retiré son masque et appelé les Américains à « sortir » avec prudence, après avoir promis de reprendre bientôt sa campagne électorale.

Le président des Etats-Unis est descendu de l'hélicoptère qui l'a amené du Centre médical militaire Walter Reed, a traversé la pelouse en saluant les caméras qui l'attendaient avant de grimper les marches vers le balcon de sa résidence. Là, il a retiré son masque et levé les pouces.

Un geste de défi pour un dirigeant qui, pendant des mois, a affiché son dédain pour les paniquards qui se couvrent le visage en permanence pour se protéger du Covid-19.

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Mieux vaut avoir les idées d’Alice Coffin que celles d’Éric Zemmour

6 Octobre 2020, 06:06am

Publié par Thomas Joly

D’un côté, une pluie de plaintes s’abat sur Éric Zemmour, qui aurait mis tous les mineurs étrangers dans le même panier de la délinquance. De l’autre, à ce jour, aucune à l’encontre d’Alice Coffin qui, tout au long de son bouquin, met, elle, tous les hommes dans le même panier de la violence.

La presse s’en fait pourtant régulièrement l’écho : « Cambriolages, les (sic) mineurs continuent d’écumer l’Île-de-France » (Le Parisien, août 2020) ; « Brest, une bande de mineurs étrangers isolés s’adonne à des vols, des violences, à un trafic de stupéfiants » (Ouest-France, 2018) ; Bordeaux : « La police cible la violence des (sic) mineurs migrants » (Sud-Ouest, 2019) ; « Délinquance aggravée dans le centre de Bordeaux liée notamment à la présence de mineurs non accompagnés » (20 Minutes, septembre 2020). Éric Zemmour, s’appuyant sans aucun doute sur ce genre de litanies sans fin d’actes de délinquance perpétrés par des mineurs étrangers, emporté par un agacement justifié, a donc lancé qu’ils n’avaient « rien à faire ici, ils sont voleurs, ils sont assassins, ils sont violeurs, c’est tout ce qu’ils sont. Il faut les renvoyer. »

Il n’en fallut pas davantage pour que les chiens de garde de la bien-pensance lui tombent dessus à bras raccourcis. Et fassent insulte à son intelligence, occultant, sans vergogne, la nuance de ses propos explicitant, tout naturellement, que « tous les mineurs isolés ne sont pas des violeurs, des voleurs, vous avez raison […] », en réponse à Christine Kelly qui lui faisait préciser sa pensée.

Ces enfants, justement, que ferait Éric Zemmour – comme n’importe quelle personne touchée par leur détresse – s’il les rencontrait dans la rue, tout seuls, perdus loin de chez eux ? Il les ramènerait dans leur famille parce que la place des enfants, c’est d’être « auprès de leurs parents, même pauvres ». Et ce serait inhumain ?

Allons plus loin : quelle sorte de parents peut envoyer son enfant traverser seul les océans, le jeter en pâture à tous les malveillants, les trafiquants, à vivre dans la rue dans un pays inconnu, au lieu de le chérir, de faire son éducation et, par l’école, lui donner de l’instruction ? Les tenants d’une immigration sans limite ni d’âge ni de nombre agiraient-ils ainsi avec leurs propres enfants, eux qui préfèrent laisser ceux des autres à la violence de la rue ou les parquer dans des centres pour les couper définitivement de leurs racines ? Et ce serait humain ?

C’est donc la curée pour Éric Zemmour. Mais pour Alice Coffin, on ne les entend guère, ces belles âmes droits-de-l’hommistes. Quand on est élue EELV, militante féministe et lesbienne, on peut faire éditer un bouquin tout au long duquel elle crie sa haine des hommes sans provoquer de tollé particulier. Et même pas de tollé du tout. Encore moins de plaintes du parquet de Paris ou de départements, comme c’est le cas pour le lucide, brillant journaliste écrivain de CNews.

En 2018, sans ambiguïté, elle mettait pourtant tous les maris et pères dans le même panier des viols, des tabassages et des meurtres. Aujourd’hui, dans Le Génie lesbien, elle récidive en traitant les hommes d’« assaillants » ! Et puisqu’« il ne suffit pas aux lesbiennes de s’entraider », écrit-elle, elle assène carrément qu’« il faut, à notre tour, les éliminer » ! Pas d’incitation à la haine de la gent masculine ?

Éric Zemmour, raciste et haineux pour vouloir protéger les Français de mineurs illégaux étrangers violents ; Coffin, lesbienne dite progressiste décrète tous les hommes mauvais jusqu’à vouloir leur disparition, sans susciter de réaction chez les politiques.

Odieux sempiternel deux poids deux mesures, qui signe une France en état de décomposition avancée.

Caroline Artus

Source : http://bvoltaire.fr

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In memoriam Michelle Béal

5 Octobre 2020, 17:53pm

Publié par Thomas Joly

Le 1er octobre, à l'âge de 90 ans, Michelle Béal, figure historique de la droite nationale dans le Nord, nous a quittés.

Ancienne Conseillère municipale de Saint-Amand-les-Eaux, ancienne Conseillère régionale du Nord/Pas-de-Calais, membre fondatrice du Parti de la France en 2009 aux côtés de Carl Lang, cette femme truculente est toujours restée fidèle à ses convictions et au combat national.

Le Parti de la France adresse ses condoléances attristées à tous ses proches.

 

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Trump va de mieux en mieux, des médecins gauchistes enragent et déclarent n'importe quoi

5 Octobre 2020, 06:46am

Publié par Thomas Joly

Le délire anti-Trump prend des proportions ahurissantes et donne l'occasion à deux ou trois médecins de nous gratifier de déclarations surréalistes.

Actuellement à l'hôpital pour Covid-19, le président Trump, qui va mieux, a fait une sortie en voiture pour venir saluer ses soutiens devant l'hôpital en question. Déception pour les gens qui le voyaient, pardon qui le voulaient déjà mort et qui doivent contenir leur frustration haineuse en le voyant debout, et bien debout, et capable de sortir de sa chambre. Alors cette frustration, ces gens l'expriment en critiquant cette sortie. En particulier un « expert médical », James Phillips, du département de médecine de l'université George Washington, qui va jusqu'à sortir cette énormité que la presse française relaie docilement, comme elle relaie tout ce qui critique Trump : « Il faut que chaque personne présente dans le véhicule pendant cette sortie présidentielle complètement inutile soit mise en quarantaine pendant 14 jours. Ils peuvent tomber malades. Ils peuvent mourir. Pour le théâtre politique. Commandés par Trump pour mettre leur vie en danger pour ce théâtre. C'est de la folie ».

Vous entendez ?! ILS PEUVENT MOURIR !!!

On n'oubliera pas de remarquer que la déclaration de ce médecin a surtout une teinte très marquée politiquement, qu'il ne se prive pas de glisser, à côté ou à la place de son expertise médicale, un avis très personnel sur les motivations ayant conduits Trump à faire cette sortie. Et on n'oubliera pas non plus que la partie médicale, si on peut l'appeler ainsi, de cette déclaration est d'une bêtise inutilement alarmiste. Nous savons maintenant que la contagiosité est très liée à la présence quantitative du virus dans l'organisme du patient, et que les cas positifs asymptomatiques ou très peu symptomatiques ou qui ne sont plus symptomatiques ne sont pour ainsi dire plus contagieux, et en tout cas pas de la forme sévère ou létale de la maladie. Si Trump avait la capacité de contaminer un autre, qui plus est un agent du dispositif présidentiel de sécurité, jeune et sportif, c'est-à-dire s'il avait une charge virale suffisante pour le faire, il ne serait pas dans cette voiture mais au fond de son lit, dans un état critique.

L'anti-trumpisme est une excroissance dégénérative du gauchisme qui est lui-même une maladie dégénérative des facultés cognitives.

Jonathan Sturel

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Le pape François est-il désormais officiellement islamo-gauchiste ?

5 Octobre 2020, 06:30am

Publié par Thomas Joly

Le texte publié ce dimanche 4 octobre par le pape jésuite a de quoi étonner…

En premier lieu, le pape lui-même indique que son encyclique a été inspirée par le grand imam du Caire, Ahmad Al-Tayyeb, cité à cinq reprises ! De quoi déjà faire frémir…

Mais ce n’est pas tout. Accrochez-vous !

Sur les frontières, le texte est proprement hallucinant : Les « limites et les frontières des États ne peuvent pas s’opposer » à l’arrivée d’un migrant car il n’est pas un « usurpateur ». Ainsi « personne ne peut être exclu, peu importe où il soit né » puisque « chaque pays est également celui de l’étranger ». Il est donc « important d’appliquer aux migrants arrivés depuis quelque temps et intégrés à la société le concept de ‘citoyenneté’ » et « renoncer à l’usage discriminatoire du terme ‘minorités’ ». En effet, « les migrants, si on les aide à s’intégrer, sont une bénédiction, une richesse, un don qui invitent une société à grandir ».

Le pape François se positionne donc désormais clairement sur l’échiquier politique, là-bas, très à gauche, comme la quasi totalité de ses frères jésuites, dont on a appris récemment que certaines « œuvres » étaient financées pour partie par l’Open Society d’un certain… Soros.

Source : http://lalettrepatriote.com

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Il y a 48 ans était créé le Front National

5 Octobre 2020, 06:14am

Publié par Thomas Joly

Il y a 48 ans, le 5 octobre 1972, était créé le Front National, le vrai. Le combat de la droite nationale de convictions est plus que jamais d'actualité.

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