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Le blog politique de Thomas JOLY

L’Homo festivus se marie (avec lui-même)

20 Novembre 2017, 07:13am

Publié par Thomas Joly

Oyez, braves gens, oyez la grande, la bonne nouvelle : il se marie, l’Homo festivus, cette incarnation de l’homme de notre temps qui, en remplaçant, selon Philippe Muray, l’Homo sapiens lui-même, est en train de submerger le monde sous les flots de son rire frivole, égoïste et niais. Voilà : notre homme se marie, et pas avec n’importe qui. Il fait un mariage vraiment fortuné : il se marie, épatez-vous tous et vous toutes… avec lui/elle-même.

Lorsque j’ai entendu pour la première fois parler d’une telle auto-folie, mais une folie qui requiert quand même la participation complaisante d’amis et d’invités, j’ai cru, franchement, qu’il s’agissait d’un de ces bobards qu’on appelle maintenant fake news. Mais non, la chose est tout à fait sérieuse et elle est en train de se développer (faites un tour sur Google : vous y retrouverez même d’avisés commerçants qui vous proposeront leurs services pour votre auto-mariage).

Je croyais aussi qu’aucune autorité civile ou religieuse (mais avec le pape François, on ne sait jamais…) ne se prêterait à une telle loufoquerie dépourvue, faut-il supposer, du moindre effet juridique. Je le croyais jusqu’au moment où j’ai appris qu’en Espagne, une conseillère municipale de Podemos (rien de plus logique !) avait déjà béni un de ces délires égotistes.

Des délires qui ne vont pas sans poser bien des questions pratiques. Celle des rapports sexuels, par exemple. Cela est pourtant facile à régler. Outre que plusieurs des (auto)fiancées sont en ménage avec quelqu’un qui, lui aussi, peut participer aux noces en tant qu’invité, la question sexuelle ne pose aucun problème : il suffit d’avoir recours à l’auto-service qui, d’après d’autres malheureux – mais ceux-là sont déjà hors circulation –, engendrait surdité et maux divers. Soit, mais… que se passe-t-il en cas de divorce ? Comment fait-on pour divorcer de soi-même ? Faudrait-il se suicider ? L’auto-mariage serait-il devenu, dès lors, la seule union conjugale vraiment indissoluble ?

Pour bien préciser les choses, celui qui se marie n’est pas exactement l’Homo festivus. C’est plutôt la Mulier festiva, car le phénomène ne concerne, du moins pour l’instant, que l’ancien « sexe faible », aujourd’hui devenu « le premier sexe », aussi hautain que… « opprimé ».

Il est probable que les anciens mâles ne tarderont pas longtemps à se marier aussi avec eux-mêmes, mais en attendant, on peut se demander si une des raisons dernières de notre déchéance ne se trouve pas dans l’actuel suprémacisme féministe : dans cette croissante féminisation de la société dont parle quelqu’un comme Éric Zemmour.

Moi, moi, moi, moi… et rien que moi, proclame l’Homo, la Mulier ou le Vir festivus, cette mutation anthropologique consistant, entre autres, à embrasser les égarements les plus saugrenus : depuis l’auto-mariage jusqu’à l’idéologie de genre, qui conçoit l’identité sexuelle comme une simple affaire de goût ou de choix personnel. Lorsque plus rien ne soutient le monde et la vie, lorsque tout s’enfonce dans le puits noir du non-sens, lorsque le nihilisme parvient à sa phase ultime, c’est alors, en effet, que le dernier homme envahit la Terre entière.

« Voici ! Je vous montre le dernier homme », écrit Nietzsche dans le Zarathoustra.

« “ Amour ? Création ? Désir ? Étoile ? Qu’est cela ? ” – ainsi demande le dernier homme et il cligne de l’œil. La terre sera alors devenue plus petite, et sur elle sautillera le dernier homme qui rapetisse tout. Sa race est indestructible comme celle du puceron ; le dernier homme vit le plus longtemps. “ Nous avons inventé le bonheur ” – disent les derniers hommes, et ils clignent de l’œil. […] On a son petit plaisir pour le jour et son petit plaisir pour la nuit : mais on prend soin de sa santé. »

Pas de doute, le dernier homme prend bien soin de sa santé. C’est même l’une de ses plus grandes obsessions. Mais ce dont il ne prend nul soin, c’est d’écarter la mort en vie.

Javier Portella

Source : http://bvoltaire.com

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Un « Français d’origine marocaine » tente de poignarder des policiers espagnols au cri de « Allah akbar » et se prend une bastos

19 Novembre 2017, 15:19pm

Publié par Thomas Joly

La police espagnole a été contrainte d’ouvrir le feu sur un individu suspect qui leur fonçait dessus en hurlant « Allah Akbar ». Le « Français d’origine marocaine » (sic) a été blessé à la hanche mais, hélas, ses jours ne seraient pas en danger.

L’affaire s’est déroulée la nuit dernière à la hauteur du péage de La Jonquera, à la frontière avec la France, peu après minuit. La Guardia Civil a invité un véhicule a s’arrêter afin de procéder à son contrôle. Les policiers ont eu rapidement leur attention attirée, non pas par la conductrice mais par un individu ayant une attitude « étrange », assis à l’arrière du véhicule. Les policiers de la Mossos d’Esquadra sont également arrivés sur place.

« Il paraissait manipuler quelque chose à l’intérieur du véhicule, la police lui a demandé de sortir, il a fini par sortir avec quelque chose dans les mains et s’est dirigé vers les agents », a précisé le porte-parole de la police, ajoutant que le suspect a hurlé « Allah Akbar ».

Malgré les injonctions des policiers lui demandant de s’arrêter, le français a poursuivi sa course. Les policiers ont alors tiré en l’air afin d’intimider le suspect, qui ne s’est pas arrêté. L’homme a finalement été neutralisé d’une balle au niveau de la hanche. L'islamiste à papiers français a été transféré à l’hôpital Josep Trueta de Gerone, où il a été opéré.

Source : http://breizatao.com

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Le nègre devient le prête-plume : la grande lessive de la langue française continue

19 Novembre 2017, 10:30am

Publié par Thomas Joly

Pendant qu’en Libye, des Noirs sont vendus comme esclaves, M. Louis-Georges Tin, qui dirige le Conseil représentatif des associations noires, a une mission autrement urgente : la purification de la langue ; il a le sens des priorités. Justement, aujourd’hui, le voilà qui exulte : il vient d’obtenir de Mme Nyssen, ministre de la Culture, que le mot nègre, dans le sens de « nègre littéraire », disparaisse et soit remplacé par « prête-plume ». Bientôt, sans doute, M. Tin rejoindra-t-il Mlle Lââm, philosophe moraliste, qui exigeait il y a peu du CSA qu’il fasse changer le titre Dix petits nègres et réclamait le boycott de la chaîne qui diffusait le feuilleton adapté du fameux roman d’Agatha Christie.

Ces attaques répétées contre le langage (écriture inclusive, féminisation des métiers, suppression du « neutre » dans les masculins génériques, interdiction de certains mots) correspondent évidemment à une censure progressive de la pensée, à sa javellisation : il s’agit que le Français de souche expie. On n’essaiera pas d’opposer à M. Tin que sa conception littérale, anachronique de la langue française, en effaçant d’un coup d’un seul l’histoire de celle-ci, fait honte à l’intelligence ; ce monsieur est là pour javelliser, non pour nous écouter.

Qui est-il, d’ailleurs, ce Louis-Georges Tin ? Il s’est essayé à la critique littéraire au journal Le Monde, brièvement, d’ailleurs, peut-être parce que l’hilarité que provoquaient ses stupéfiants articles devenait trop humiliante pour lui (il y discriminait positivement Abd al Malik et le rap, dont il soulignait le rôle civilisateur : « Ce n’est pas le moindre des mérites du slam et du rap, écrivait-il, que d’avoir démocratisé en France le goût de la poésie ») ; surtout, dans le civil, il est « militant homosexuel et militant noir », ce qui l’a conduit à créer l’association Homonormalités, le Comité IDAHO, la Journée mondiale contre l’homophobie, la lesbophobie, la biphobie et la transphobie, l’Observatoire de l’hétérosexualité, sans compter le CRAN, donc – et quantité d’autres inutilités à subventions qui servent à faire croire qu’elles sont utiles. (Une de ses plus glorieuses tartuffiades consistait dans une grève de la faim pour demander que les Nations unies votent la dépénalisation de l’homosexualité dans le monde…)

Toutes ces choses ne servent donc à rien, sinon à faire de leur promoteur un de nos meilleurs ratisseurs de discriminations en tous genres, un ratiboiseur hyper-sphérique, un rafleur tous azimuts, un faucheur qui fauche le plus large possible. Il a eu, à ce sujet, cet aveu époustouflant : « Si l’on compte toutes les personnes discriminées, femmes, jeunes, personnes âgées, handicapées, homosexuels, noirs, arabes, asiatiques, juifs, personnes vivant dans les quartiers défavorisés, etc., cela fait plus de quatre-vingts pour cent de la population française. Par ailleurs, ceux qui ne sont pas dans ces quatre-vingts pour cent ont été jeunes un jour, sont appelés à vieillir également, et sont donc exposés à la discrimination à ce double titre. Bref, cent pour cent des Français sont discriminables ! »

Cent pour cent, pas tout à fait, car on notera que, si la ségrégation est un royaume où le soleil ne se couche jamais, elle ne concerne jamais les Français de souche, condamnés à payer pour des crimes dont ils ne sont pas coupables au profit de gens qui n’en furent pas victimes.

Bruno Lafourcade

Source : http://bvoltaire.com

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Les suicides de policiers en 2017 battent des records

19 Novembre 2017, 10:16am

Publié par Thomas Joly

« On n’en peut plus, on ne sait plus à qui se confier et où se situe notre avenir. »

Voilà ce qu’ont dû ruminer les huit policiers et les deux gendarmes avant de mettre fin à leurs jours la semaine dernière. Comme le souligne Le Parisien, en une semaine, le commissaire Antoine Boutonnet, ancien responsable de la lutte contre le hooliganisme, un capitaine de 45 ans du commissariat d’Alfortville (Val-de-Marne) et trois gardiens de la paix dont deux femmes ont mis fin à leurs jours. La première, âgée de 32 ans, agent de la police aux frontières (PAF), a été découverte pendue dans un centre de rétention, la seconde s’est tuée avec un fusil de chasse dans un bois.

Depuis le début de l’année, ce sont 47 policiers et 16 gendarmes qui se sont suicidés. Le chiffre de 2016 (43) était dépassé dés la fin septembre. Depuis 25 ans, 1.135 policiers ont mis fin à leurs jours. On le voit, le plan anti-suicide validé par l’ex-ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve est loin d’être convaincant.

Pourtant, au ministère, les cerveaux s’activent et phosphorent au maximum car ces morts constituent un sujet particulièrement dramatique. J’en sais quelque chose, ayant eu moi-même un gendarme qui s’est tué avec son arme de service. Or, les autorités atténuent souvent certaines causes en niant les difficultés de service, camouflant ainsi en partie la réalité du quotidien à laquelle est confronté le policier.

Mais quelles sont les raisons possibles d’un tel acte autodestructeur dans la police ?

D’abord des raisons personnelles : lorsque des problèmes familiaux (divorce, adultère, relations difficiles parents ou enfants) arrivent à leur paroxysme, des individus plus vulnérables peuvent disjoncter. De la même manière, les problèmes de maladies graves, d’argent, d’addiction peuvent aussi pousser les fonctionnaires à retourner leurs armes contre eux-mêmes.

Tout citoyen peut avoir un coup de blues, un « pet au casque », comme on dit dans l’armée, mais tout citoyen n’a pas la chance ou plutôt la malchance d’avoir dans sa table de nuit un 9 mm parabellum. Comme le souligne une source ministérielle pour les policiers : « L’autorisation de pouvoir prendre son arme chez soi en raison de la menace d’attentats a pu être un élément facilitateur. »

Ensuite des raisons professionnelles : « La problématique du suicide est multifonctionnelle mais les mauvaises conditions de travail, le manque de considération, un management parfois trop rude sont des réalités que l’on ne peut exclure », soulignait Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint du syndicat Alliance. De plus, les tracas professionnels induisent la causalité privée, c’est souvent le mélange des deux qui va entraîner l’implosion.

Enfin, il est primordial de mentionner ce qui apparaît comme une constante dans de nombreux cas, la manière dont se voient traiter les fonctionnaires à la fois par les « racailles » de banlieues, la justice et les grands médias. Pris entre ces différents étaux, ils se retrouvent finalement désavoués par une hiérarchie aux ordres, une justice idéologisée et la pensée unique retranscrite par les médias « mainstream ».

Car comment peuvent-ils ne pas être blessés quand ils voient à la télévision le président de la République de l’époque s’épancher au chevet de Théo. Comment ne seraient-ils pas désespérés quand ce dernier salue chez l’interpellé « un jeune qui a toujours été connu pour un comportement exemplaire » ?

Il est clair que les banlieues difficiles provoquent découragement, colère et engendrent la peur. Les dernières manifestations de ras-le-bol en dehors des syndicats des forces de l’ordre en sont le parfait reflet.

J-P Fabre Bernadac

Source : http://bvoltaire.com

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L'État islamique menace le Vatican, la dhimmitude et la xénophilie de Bergoglio n'auront servi à rien

18 Novembre 2017, 15:36pm

Publié par Thomas Joly

Un terroriste islamique dans une voiture, sur l’avenue de la Conciliation à Rome, se dirigeant vers la basilique Saint-Pierre : c’est l’image inquiétante apparue sur Wada Media Foundation, une organisation, comme le souligne Il Messagero, très proche de Daesh.

Sur la même image apparaît aussi une kalachnikov et un petit sac à dos sur le siège à côté du conducteur. Le rétroviseur reflète un homme avec un passe-montagne noir. Un écrit en grand domine l’image : Christmas blood, Noël de sang. En-dessous, un autre écrit plus petit : dans cette attente.

Au Vatican personne ne veut donner de crédit ni commenter cette menace inquiétante. Tout va bien, aucun danger concret, sont le leitmotiv répété à satiété.

Pourtant ce fut durant les fêtes de Noël qu’eut lieu l’attaque islamiste de Berlin de l’an dernier. L’année précédente un terroriste musulman armé d’un fusil avait fait un massacre durant une soirée de Noël en Californie.

Probablement, c’est aussi à cause de ce climat d’insécurité liée au terrorisme islamiste que le maire de Paris, sans vouloir l’avouer pour autant, a du interdire le traditionnel marché de Noël sur les Champs-Élysées.

De fait, les fêtes de Noël, par leur caractère chrétien, ne peuvent qu’être une cible privilégiée des djihadistes musulmans. Divers médias américains ont d’ailleurs rappelé que les années passées Daesh a plusieurs fois publié des manifestes sur la conquête islamiste de Rome la Croisée. Mais ne nous y trompons pas : cette dernière a déjà commencé, pas de façon guerrière mais ni de façon pacifique… Le Grand Remplacement en marche grâce aux immenses vagues de clandestins venus d’Afrique et majoritairement musulmans n’est qu’une forme détournée de conquête des territoires occidentaux et de civilisation chrétienne !

Source : http://medias-presse.info

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Tuerie du Bataclan : encore une « victime » mythomane !

18 Novembre 2017, 15:22pm

Publié par Thomas Joly

Cédric Rey est un survivant. Un rescapé du massacre du Bataclan. Une victime emblématique de la barbarie. Un héros ordinaire, aussi. Au lendemain du 13 novembre 2015, il affirme : « J’étais en train d’appuyer sur la plaie d’un blessé qui s’était effondré sur le boulevard quand j’ai relevé la tête. J’ai vu un type devant l’entrée du Bataclan. Il avait sa kalachnikov en bandoulière, elle était pointée vers moi. Au même moment, une femme est passée entre nous en courant. Elle a pris les balles. »

Poignant et tragique à la fois. De quoi bouleverser lecteurs, auditeurs et téléspectateurs. Aux uns, il exhibe son tatouage, depuis fétiche, une Marianne pleurant une larme de sang et juste ornée de ces chiffres : 13/11/15 ; on ne saurait faire plus sobre. Aux autres, il explique comment chercher à se reconstruire : « C’est bizarre, mais des fois, j’ai presque envie de revenir au soir des attentats. »

En attendant, il fait œuvre de résilience, organise des « apéros-thérapie » au sein d’un groupe de victimes, Life for Paris. Bref, un homme d’exception, ambulancier de profession et pompier volontaire à ses heures. Celui qu’on donnerait volontiers en exemple si ce gendre idéal, ce citoyen modèle, n’était aussi un modèle de mythomanie…

En effet, la supercherie vient enfin d’être mise au jour par nos confrères de Libération, ceux-là mêmes qui, en toute bonne foi, avaient relayé en premier son récit. La vérité, c’est que le soir du drame, Cédric Rey arrive chez lui, dans les Yvelines, entend la nouvelle à la radio et fait immédiatement demi-tour en voiture pour se mêler aux survivants. Les forces de l’ordre, sûrement moins crédules que les journalistes, ont tôt fait de douter et de faire parler son téléphone portable, pendant que lui parle devant micros et caméras de télévision. « Il souffrait d’un manque de reconnaissance », remarquent aujourd’hui ses collègues. On voit ça.

Soyons justes, il ne s’agit pas du premier et encore moins du dernier baratineur du genre, après (et au choix) la fille du RER D, la tondue imaginaire ou le rabbin qui se poignarde tout seul. Déjà, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, il y avait en France tant de dizaines de milliers de cartes d’anciens résistants en circulation que certains esprits forts se demandaient comment les Allemands s’étaient débrouillés pour rester chez nous plus qu’un simple week-end…

La partition est la même et seul change le registre : avant, les menteurs se faisaient passer pour des héros alors qu’aujourd’hui, le statut de victime est autrement plus gratifiant ; ce qui en dit long sur l’état de notre société. Bien sûr, le phénomène, lui aussi un peu victime de son propre succès, connaît une indéniable inflation. En attendant l’explosion de cette nouvelle bulle spéculative ?

Car, désormais, tout le monde est victime. Les femmes et les homosexuels. Les immigrés et les travestis. Les jeunes et les vieux. Les unijambistes et les ragondins. Les chrétiens et les musulmans. Les Noirs et les juifs, surtout Sammy Davis, Jr., qui, non content d’être borgne, cumulait les deux handicaps. Les goitreux et les pauvres, sans oublier les pauvres goitreux. Les minorités visibles et invisibles. Nous sommes tous issus de peuples qui ont beaucoup souffert. La discrimination est partout. À tel point que seront bientôt discriminés les seuls qui n’auront été victimes de rien.

« Comment, vous n’êtes pas victime ?
« Ben non, je vois pas…
« Ce mec est d’un ringard. Viens ma chérie, partons. De toutes façons, on s’ennuyait à mourir dans cette réception. »

Sacré Cédric Rey, qui rêvait d’être victime et qui se trouve par deux fois exaucé : victime de la mode et de sa propre mythomanie. De quoi relancer le débat sur le cumul des mandats.

Nicolas Gauthier

Source : http://bvoltaire.com

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Jérôme Bourbon agressé par un membre de la secte des « Brigandes »

17 Novembre 2017, 19:43pm

Publié par Thomas Joly

Le directeur de Rivarol, Jérôme Bourbon, s'est fait agressé aujourd'hui à Paris par un certain Antoine Duvivier, grouillot de la secte de Joël Labruyère, vieux gourou initiateur du groupe nullissime « Les Brigandes » qui a tenté, sans succès, d'infiltrer le milieu nationaliste.

Le différend viendrait du fait que Jérôme Bourbon a refusé de céder aux menaces lui intimant de faire retirer du net le dossier sulfureux que son journal avait publié sur cette communauté d'illuminés, qui vivent entassés dans des conditions particulièrement glauques.

Incapables de porter plainte pour diffamation contre l'hebdomadaire d'opposition nationale (quel aveu !), les membres de la secte ont préféré agresser physiquement son directeur, peu connu pour être un bagarreur (quel courage !).

Pour lire l'enquête en question sur cette bande de fous et de folles furieuses, cliquez ici

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Un responsable musulman exige le doublement des mosquées contre l’arrêt des prières de rue

17 Novembre 2017, 07:45am

Publié par Thomas Joly

Abdallah Zekri, membre du Conseil Français du Culte Musulman lié au gouvernement, a exigé le doublement du nombre de mosquées en France contre l’arrêt des prières de rue islamistes.

Cette exigence fait suite aux prières de rue illégales de Clichy-la-Garenne où des islamistes se rassemblent devant la maire chaque vendredi pour exiger une mosquée.

Zekri, lui-même partisan de l’expansionnisme musulman, rejoint ainsi les revendications de l’UOIF, la branche des Frères Musulmans en France, qui exige « 6.000 mosquées » à court terme.

Source : http://breizatao.com

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Des islamistes s'introduisent dans le carmel de Verdun, prient en arabe et menacent les Soeurs

17 Novembre 2017, 07:28am

Publié par Thomas Joly

Les faits se déroulent au moment de l’office de Vêpres, lorsque deux individus d’une trentaine d’années, barbus, pénètrent dans le Carmel de Verdun.

Après avoir discuté avec la Sœur présente à l’accueil, cette dernière leur a dit que l’office allait commencer. « Ils lui ont demandé s’ils pouvaient aller dans la chapelle », poursuit l’évêque. « Elle a dit oui ». Une fois dans la chapelle, « ils ont prié en arabe pendant les Vêpres », souligne Mgr Gusching. « Ils se sont présentés comme des annonciateurs et leur ont dit : si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer ».

Dans un communiqué, Guillaume Dupont, procureur de la République de Verdun expliquait qu’à l’issue de l’office, l’un des deux hommes « aurait rédigé les mots « Allah Akbar » sur le livre d’or de l’église ».

Les deux individus ont été interpellés à Verdun le 11 novembre et placés en garde à vue dans les locaux du commissariat. « À l’issue de celle-ci, ils ont été déférés devant le procureur de la République de Verdun, le 13 novembre 2017, puis placés sous contrôle judiciaire par le Juge des libertés et de la détention. »

La prochaine fois, égorgeront-ils les Sœurs pendant la messe en hurlant « Allah Akbar » ?

Source : http://fdesouche.com

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Il y a un an, Emmanuel Macron…

17 Novembre 2017, 07:15am

Publié par Thomas Joly

Il y a tout juste un an, un certain Emmanuel Macron se déclarait à l’élection présidentielle, avant de faire son entrée à l’Élysée, six mois plus tard. Personne n’y croyait, que ce soit dans les cercles politiques ou médiatiques ; pas plus, d’ailleurs, qu’à Boulevard Voltaire – l’auteur de ces ligne en premier.

Certes, avec à peu près un tiers des électeurs inscrits, il s’agit d’un Président mal élu. Certes, contre Marine Le Pen, il pouvait difficilement ne pas être élu. Certes, c’est encore par une certaine France – celle, minoritaire, de la mondialisation heureuse, des visibles et des inclus – qu’il a été élu. Certes, il continue de battre des records d’impopularité, mais au moins a-t-il été élu. Et en face ?

En face, rien ou plus grand-chose. Comme si tous les compteurs avaient été remis à zéro. Comme si tout était désormais à recommencer, à la manière de survivants s’extrayant des décombres, après des mois de bombardements aériens.

Il y a ceux qui peineront à se relever, les écologistes, les communistes et l’extrême gauche traditionnelle, dont les derniers spécimens encore en vie, malgré un encéphalogramme plat, n’ont plus guère le choix qu’entre ralliement piteux à La France insoumise et mort clinique.

Le Parti socialiste et Les Républicains ? Les traîtres avaient déjà rejoint la puissance montante avant même le début de la bataille. Logique, puisque l’algorithme macronien leur ouvrait cette troisième voie permettant à tout un chacun de faire son chemin entre libéralisme social et socialisme libéral ; soit la social-démocratie libertaire que prônait naguère Valéry Giscard d’Estaing, désormais seul homme politique français à connaître un triomphe posthume de son vivant.

De cette gauche et de cette droite, données il y a peu pour être de gouvernement, ne demeurent plus, face à Macron, que des lambeaux : ceux qui ne l’ont pas encore rejoint. Ils entendent résister. Mais à quoi ? À un Emmanuel Macron dont ils applaudissent les initiatives en cachette de leurs derniers électeurs ? Et en s’alliant avec qui ? Faire front commun, les uns avec Jean-Luc Mélenchon, les autres avec Marine Le Pen ? Dans ces deux cas de figure, leurs « cordons sanitaires » respectifs demeurent solides et, aujourd’hui encore, le « rejet des extrêmes » continue de tenir lieu de bréviaire aux arbitres des élégances démocratiques.

Pis : France insoumise et Front national ne sont pas au meilleur de leur forme, leurs leaders n’en finissent plus de lécher leurs plaies, inconsolables qu’ils sont, l’un du second tour lui ayant échappé de peu, l’autre d’un débat d’entre-deux-tours raté, devenu depuis sorte de tunique de Nessus. Pour tout arranger, Mélenchon est embourbé par l’échec du troisième tour social sur lequel il avait tant misé, tandis que Le Pen s’enlise dans une refondation de son mouvement, refondation dont les contours demeurent des plus flous.

Ces deux formations sont pourtant celles qui parviennent encore à tirer à peu près leur épingle du jeu, malgré le désenchantement visible de leurs chefs de file. Lesquels demeurent condamnés à ramer, en eaux basses et à contre-courant. En effet, même si contestés de l’intérieur, qui pour remplacer Jean-Luc Mélenchon ou Marine le Pen ? Même si un ressort s’est cassé, si une dynamique s’est brisée, ils n’ont plus d’autre choix que de rebondir.

Il en va parfois de la politique comme de la boxe. Le 20 mai 1974, à Kinshasa, Mohamed Ali était donné perdant contre George Foreman. Il a longuement encaissé. Et, contre toute attente, au huitième round, lui, le challenger, mettait KO le tenant du titre. L’endurance est la marque des vrais champions.

Emmanuel Macron, lui, n’a jamais souffert.

Nicolas Gauthier

Source : http://bvoltaire.com

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Metz : 800 migrants évacués pour être relogés aux frais des contribuables français

16 Novembre 2017, 07:52am

Publié par Thomas Joly

800 clandestins ont été évacués ce mercredi du bidonville de Blida, à Metz. L'ONG immigrationniste Médecins du monde condamne des conditions de vie exécrables.

7 heures, ce mercredi à Metz. Quelque 800 femmes, hommes et enfants qui dormaient sous des tentes depuis le mois d’avril dans le camp de Blida ont été évacués par la police et les agents de la préfecture. Comme le précise France Bleu Lorraine Nord, ces migrants ont été enregistrés par les services de l’État (l'Office français de l'immigration et de l'intégration), avant de monter dans des cars. Selon leur statut, ils ont été envoyés dans des hébergements dans une quarantaine de villes en France, certains sont restés à Metz, environ 200 majeurs isolés hébergés dans l’ancien lycée Poncelet.

“Les occupants développent des maladies assez lourdes”

Parmi ces migrants, certains sont demandeurs d'asile, d'autres ont déjà été enregistrés dans d'autres pays de l'Union européenne et certains font l'objet d'une obligation de quitter le territoire français. Le bidonville de l’avenue Blida avait repris forme en avril. “Les occupants développent des maladies assez lourdes, d’autant qu’il y a des enfants, des femmes enceintes”, indique Malika Tounsi, de l'ONG Médecins du monde au micro de France Bleu. Les occupants du bidonville sont confrontés au quotidien à des conditions de vie exécrables (bagarres, rats, froid).

Source : http://valeursactuelles.com

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La députée Emmanuelle Ménard demande la fin du contrôle financier des médias par le gouvernement

16 Novembre 2017, 07:42am

Publié par Thomas Joly

En France, la presse est étroitement placée sous la tutelle de l’État qui la contrôle grâce à des flots massifs d’argent. C’est ce qu’a dénoncé la député Emmanuelle Ménard dans une récente prise de parole à l’assemblée nationale française.

Une presse d’État 

Ainsi, en 2015, le montant total des transferts financiers gouvernementaux s’élevait à 387 millions d’euros (source), montant auquel il faut ajouter celui du soutien déguisé – niches fiscales des journalistes, avantages fiscaux, tarifs postaux préférentiels – dont la somme, pour la seule période 2009-2011 s’élevait à 5 milliards d’euros (source).

En 2014, chaque numéro du journal communiste L’Humanité recevait 60 centimes d’euros d’aides de l’État (source).

Des titres subventionnés appartenant à des grandes fortunes

Des titres appartenant à des grandes fortunes tels que Aujourd’hui en France (Bernard Arnault), Le Monde (Mathieu Pigasse) ou Le Figaro (Dassault) reçoivent paradoxalement des sommes colossales de l’État, soit respectivement 7,7 millions, 5,4 millions et 6,4 millions d’euros. De 2009 à 2013, le seule journal Le Monde a reçu la bagatelle de 90 millions d’euros (source).

La mise sous contrôle de l’information par l’État n’est pas sans conséquence : la confiance dans la presse s’est effondrée à mesure qu’elle s’est mutée en simple relais de propagande pour le régime. Elle est à un plus bas historique (voir ici).

Largement contestés sur les réseaux sociaux et concurrencés par les médias numériques, le système médiatique para-étatique se réfugie derrière des procès en illégitimité de leurs concurrents. Ainsi en est-il de l’accusation de diffusion de « fausses nouvelles » (fake news) propagés par les médias du système alors que la désinformation et les mensonges sont leur lot commun.

Source : http://breizatao.com

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Quand l'antiracisme conduit au racisme

16 Novembre 2017, 07:28am

Publié par Thomas Joly

Le 19 octobre, lors du festival de musique Pop Explosion à Halifax, la chanteuse canadienne d’origine afro-colombienne, Lido Pimienta (gagnante du prix Polaris 2017), a demandé­­­ à son public de se séparer : les hommes à l’arrière­­­, les femmes à l’avant. Et les femmes « de couleur » devant les femmes blanches. Son public, comme un mouton politiquement correct, élevé au biberon de la justice sociale, a acquiescé.

Sauf qu’une bénévole à la peau blanche, qui était là pour prendre des photos pour le Festival, a refusé de quitter sa place près de la scène. Ô scandale ! La chanteuse était furieuse, la photographe qui a réagi violemment a été évincée !

Au lieu de dénoncer cette ségrégation stupide, cette distinction idiote entre personnes de couleur et personnes à la peau blanche, la direction du Festival a écrit à Pimienta pour s’excuser pour le « racisme évident »... dont la bénévole aurait fait preuve ! Le RACISME d’avoir refusé de se faire discriminer selon la couleur de sa peau ? Faut le faire.

On a l’impression d’être en plein milieu d’un roman de George Orwell. Dans 1984, il disait : « La guerre, c’est la paix. La liberté, c’est l’esclavage. L’ignorance, c’est la force. » Au Festival Pop Explosion de Halifax, on dit : « Le raciste, c’est celui qui s’oppose à un comportement raciste­­­ ».

Mais attendez, ce n’est pas tout ! Le Festival Pop Explosion s’est aussi engagé à offrir à ses employés « des formations d’éducation d’antiracisme et d’anti-oppression ». Est-ce que c’est assez fort à votre goût ?

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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Les franc-maçons honorent les Femen

16 Novembre 2017, 07:26am

Publié par Thomas Joly

Anna Shevchenko, Ukrainienne de 27 ans et figure majeure du groupe Femen, a obtenu le « Grand Prix International » du maçonnique Comité Laïcité République, présidé par l’ancien Grand Maître du GODF Patrick Kessel, le 14 novembre dans le Grand Salon de l’Hôtel de Ville de Paris en présence du maire PS Anne Hidalgo et de deux anciens ministres de l’Intérieur socialistes Manuel Valls et Jean-Pierre Chevènement.

Anne Hidalgo, dans son discours d’accueil, n’a pu s’empêcher de saluer en Shevchenko « une belle personnalité laïque qui défend les droits et l’émancipation des femmes ». Et, dans son allocution, la militante féministe de s’élever « contre les extrémismes religieux, la domination patriarcale et cléricale, l’autorité masculine liberticide… qui veulent les femmes discrètes ». 

Cette militante, réfugiée en France depuis 2012, avait notamment investi la cathédrale de Paris, seins nus et couverte de slogans hostiles au Pape.

C'est l'alliance logique des anti-cléricaux.

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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Le vieux tyran Mugabé forcé à tirer sa révérence

16 Novembre 2017, 07:12am

Publié par Thomas Joly

Des coups de feu tirés dans la nuit de mardi à mercredi autour du palais présidentiel ont rompu la tradition de calme qui régnait, jusqu’ici, dans ce pays soumis à une dictature féroce par le président Mugabe depuis le début du siècle. On disait, en effet, des habitants du Zimbabwe que la seule préoccupation qu’ils avaient, le matin en se levant, était d’aller chercher de quoi manger et non pas de faire la révolution…

Depuis deux jours déjà régnait à Harare comme un air de putsch militaire. Des chars convergeaient vers la capitale sans qu’on sache trop ce qu’ils allaient y faire.

On est maintenant certain que c’est le dernier épisode en date de la terrible guerre de succession du vieux tyran de 94 ans qui a fait descendre l’armée dans les rues. Il y a une semaine, en effet, le président Mugabe révoquait son dernier vice-président, Emmerson Mnangagwa, qui était surtout hostile aux agissements en coulisses de (Dis)Grace, l’épouse du président qui ne cachait pas ses intentions de succéder à son vieillard de mari. Un an plus tôt, c’était au tour de la première vice-présidente Joice Mujuru d’être démissionnée pour les mêmes raisons.

Après avoir pris le bâtiment de la radio sans coup férir, il semble que les militaires se soient ensuite dirigés vers le palais présidentiel pour « protéger le président en le mettant en résidence surveillée ». De là, probablement, l’origine des coups de feu échangés entre les mutins et la garde rapprochée du président .

Dans une déclaration faite à la presse, le brigadier-major Sibusiso Moyo a déclaré être toujours fidèle à Robert Mugabe et vouloir s’en prendre surtout aux criminels qui l’entouraient. Mais personne n’est dupe à Harare. Emmerson Mnangagwa, qui avait fui le pays après son éviction, est revenu et a tweeté dans un message à la population de rester calme et qu’il allait prendre contact avec elle en temps et lieu, « les prochains jours devant être très chargés pour lui ». Aux dernières nouvelles, le pays est définitivement sous la férule des militaires, ces derniers ayant décidé de dissoudre le Parlement, de nommer un nouveau conseil militaire et d’engager des discussions avec Joice Mujuru, Emmerson Mnangagwa et Morgan Tsvangirai, ancien Premier ministre et fondateur du MDC (Movement for Democratic Change). Quant au président Mugabe, sa femme et son entourage proche, ils sont officiellement en état d’arrestation et confinés au palais présidentiel.

Jean-Pierre Lenoir

Source : http://bvoltaire.com

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