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Le blog politique de Thomas JOLY

Une « division secrète » pour lutter contre la fraude fiscale des Juifs de France ?

29 Décembre 2017, 15:26pm

Publié par Thomas Joly

La France a instauré une division secrète au ministère de l’Économie et des Finances pour lutter contre la fraude fiscale présumée des Juifs de France, affirme le très sérieux  journal financier israélien Globes.

“Tranquillement, sous le radar, un département secret a récemment ouvert ses portes dans le seul but de faire face à l’évasion fiscale des Juifs de France”, dénonce Globes.

Selon ses informations, le ministère a recruté une vingtaine de personnes parlant l’hébreu, notamment des Juifs de France ayant vécu par le passé en Israël.

“C’est un département inhabituel, qui, autant qu’on le sache, n’a pas d’équivalent dans le monde. Les autorités fiscales n’établissent pas un département pour enquêter en particulier sur une nationalité ou une religion. Ceci est particulièrement déroutant quand il s’agit de la France, qui se définie comme une république laïque, qui s’abstient de “marquer” les gens en fonction de leur religion”, s’étonne Globes.

Interrogé par Globes, l’avocat Itay Bracha, un expert fiscal représentant des clients français vis-à-vis des autorités fiscales en Israël et en France, a affirmé qu’il s’agit “d’une procédure nouvelle et problématique qui discrimine les Juifs de France. C’est une démarche extrêmement inhabituelle et rare dans laquelle une autorité fiscale dans un pays étranger établit un département spécial pour s’occuper des Juifs”, a-t-il souligné.

Contactée par le journal financier israélien, l’ambassade de France en Israël a nié en bloc les révélations. “Les autorités françaises luttent contre la fraude fiscale et menent des enquêtes sur des cas individuels, conformément aux accords internationaux.  Nous nions l’existence d’une telle division secrète”, a assuré l’ambassade.

Source : https://www.lemondejuif.info/2017/12/revelations-explosives-dun-media-israelien-france-instaure-division-secrete-lutter-contre-fraude-fiscale-juifs-de-france/

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Donald Trump ironise sur le réchauffement climatique avec la vague de froid aux États-Unis, les fanatiques glapissent

29 Décembre 2017, 11:28am

Publié par Thomas Joly

Le président américain a ironisé ce jeudi 28 décembre sur le réchauffement climatique, alors que le nord des Etats-Unis est balayé par une vague de froid extrême avec des températures jusqu'à -40°C.

« Dans l'est, cela pourrait être la veille du jour de l'an LA PLUS FROIDE jamais enregistrée. Peut-être qu'on pourrait utiliser un peu de ce bon vieux réchauffement climatique que notre pays, mais aucun autre pays, s'apprêtait à payer DES TRILLIONS DE DOLLARS pour s'en protéger. Couvrez-vous! », a tweeté Donald Trump.

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Plus de blanches et de noir.e.s en musique…

29 Décembre 2017, 11:22am

Publié par Thomas Joly

France Musique nous apprend que l’Orchestre symphonique de Boston vient d’être invité à diversifier sa programmation. Trop de Gershwin, de Bartók, pas assez de Beethoven, de Berlioz ? Vous n’y êtes pas du tout. Pas assez de compositeurs de couleur. Pas assez de femmes. Une soixantaine de musiciens de la région de Boston ont donc adressé une lettre ouverte – c’est toujours mieux qu’une lettre anonyme – à la direction de l’orchestre symphonique pour lui demander plus de diversité dans les programmes musicaux.

Il a, en effet, été constaté que, pour la saison 2017-2018, sur les 73 pièces programmées, on n’en trouvait qu’une seule composée par une femme et aucune par un compositeur de couleur. On en est donc là, aujourd’hui : même la musique n’échappe pas à cette fuite – j’allais dire fugue – en avant vers plus de diversité et de parité.

On imagine que, très bientôt, un collectif de sportifs publiera une lettre ouverte pour exiger plus de diversité dans les courses de 100 mètres aux Jeux olympiques. Des quotas, peut-être ? Ce qui donnera une chance aux personnes de non-couleur de gagner une médaille. Des quotas, ce n’est pas une mauvaise idée. C’est ce que demandent les signataires de cette lettre. À la clef, que le taux d’œuvres composées par des femmes ou des personnes de couleur passe à 20 % pour la prochaine saison.

Plusieurs questions nous viennent alors immédiatement à l’esprit. Pourquoi 20, pas 15 ou 25 % ? Pourquoi pas, carrément, 50 % d’ailleurs, puisque les femmes représentent plus de 50 % de l’humanité ? Comment va-t-on comptabiliser les compositeurs femmes de couleur ? Il faut y penser et, du reste, la très sérieuse Women’s Philharmonic Advocacy, une organisation qui se donne pour mission de donner plus de visibilité aux compositrices, ne répertorie-t-elle pas sur son site Internet l’« Orchestral Music by Women of African Descent » (la musique d’orchestre composée par des femmes de descendance africaine) ? Au passage, on imagine le tollé que susciterait un répertoire qui établirait la liste de la musique d’orchestre composée par des hommes de descendance caucasienne… Et puis, évidemment, la question ne manquera pas d’être posée rapidement : quid des transgenres ? La question n’est pas baroque en ces temps postmodernes.

Maintenant, ne soyons pas machos et avouons que l’on connaît moins de noms de compositrices que de compositeurs. Si l’on vous dit Clara, beaucoup d’entre vous vont d’abord penser à Clara Morgane plutôt qu’à Clara Schumann (1819-1896), sans doute l’une des plus grandes pianistes du XIXe siècle et épouse de Robert Schumann (1810-1856). Sait-on, par exemple, que c’est une compositrice française, Mme Brillon de Jouy (1744-1824), amie de Benjamin Franklin, grande interprète de clavecin et de piano-forte, qui composa en 1777 une « Marche des insurgés » pour célébrer une victoire des Américains sur les Anglais durant la guerre d’indépendance ? Les pétroleuses de la Women’s Philharmonic Advocacy doivent l’ignorer car je ne trouve pas ce nom sur leur liste des compositrices. Mais je ne voudrais pas troubler la belle harmonie qui doit régner dans cette association de harpies (rien à voir avec des joueuses de harpe !).

Quant à introduire de la couleur dans la musique, Jean-Sébastien Bach (1685-1750), compositeur et musicien allemand d’origine caucasienne, y songea, bien avant que l’on inventât la notion de quotas, en écrivant sa « Fantaisie chromatique et fugue » ! Il est vrai, aussi, on l’aura noté, que la musique est figurée par des blanches et des noires…

Georges Michel

Source : http://bvoltaire.com

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Un comptable belge licencié pour « faute grave » après avoir « liké » du contenu soi-disant raciste sur Facebook

28 Décembre 2017, 21:34pm

Publié par Thomas Joly

L’arrêt récemment publié (mais rendu le 24 mars 2017) concerne le cas d’un travailleur licencié pour faute grave, après que celui-ci a été rappelé à l’ordre par son employeur à la suite de partages douteux sur son « mur » Facebook. L’homme diffusait en effet des liens renvoyant à des mouvements qui soutenaient la « quenelle », ce geste inventé par le comédien français Dieudonné et qui rappellerait le salut nazi dans l'esprit de certains tordus. Convoqué par son employeur, le comptable s’était engagé par écrit à retirer les contenus incriminés, considérés comme susceptibles de « heurter l’opinion publique » et de ternir l’image de l’ASBL, expose L’Echo.

L’homme avait cependant « récidivé » en « likant » des publications similaires, ce qui a entraîné son licenciement. L’employé a donc saisi la cour du travail de Liège qui a donné raison à l’employeur. Une sentence confirmée en appel.

Le comptable invoquait son droit à la liberté d’expression. Selon lui, « aimer » un contenu sur Facebook n’équivalait guère à le partager. « Il est vrai que l’article 10 de la Convention européenne des Droits de l’Homme reconnaît le droit de chacun à s’exprimer librement », commente à Belga Me Jacques Englebert, avocat spécialisé en droit des médias. « Toutefois, elle précise également que les salariés ont un devoir de loyauté, de réserve et de discrétion envers leur employeur. »

À cet égard, la jurisprudence belge (mais aussi française) tend à considérer l’expression sur les réseaux sociaux comme publique et donc susceptible de contrevenir à ce devoir. « Avec les réseaux sociaux, on ne sait jamais très bien quelle est la portée d’un propos. C’est plus public qu’on ne le pense », prévient Me Englebert.

Source : http://fdesouche.com

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Le maire musulman de Londres menace ses administrés qu'une visite de Donald Trump aurait des conséquences pour leur « sécurité »

28 Décembre 2017, 15:20pm

Publié par Thomas Joly

Le maire de Londres, le musulman d’origine pakistanaise Sadiq Khan, a une nouvelle fois fait part de son opposition à la venue du président américain Donald Trump en expliquant que la capitale britannique était « un exemple de tolérance, d’acceptation et de diversité » et ne pouvait en conséquence accueillir le chef de l’État.

Sadiq Khan, un ancien avocat de terroristes d’Al Qaeda liés au 11 septembre proche du mentor des attaques de Charlie Hebdo (lire ici), a fait cette réponse par écrit à un membre du conseil municipal de la ville qui lui demandait comment faire en sorte que Donald Trump se sente « bien accueilli » en cas de visite.

L’édile musulman est allé plus loin, rappelant qu’il avait « déjà appelé Theresa May à annuler cette visite d’état mal avisée » car elle mettrait « les intérêts et la sécurité des Londoniens » en jeu avant de conclure que toute visite officielle ne « serait pas la bienvenue ».

En mettant en balance la sécurité des Londoniens avec une visite à caractère politique, Sadiq Khan procède à l’habituel chantage qu’utilisent les organisations terroristes musulmanes pour parvenir à leur fin. Ici, en l’occurrence, rompre l’alliance entre les USA et la Grande-Bretagne au profit de l’islam.

Source : http://breizatao.com

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Vite, une cellule psychologique pour Gérard Collomb !

28 Décembre 2017, 13:44pm

Publié par Thomas Joly

Le Canard enchaîné révèle, ce mercredi, que ce pauvre Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, aurait confié à ses proches en « avoir un peu marre de passer pour le facho de service ». Dans toute institution, et donc dans un gouvernement, il faut un gentil et un méchant, c’est bien connu. Un classique que le patron de toutes les polices de France devrait tout de même connaître, et on ne nous fera pas croire qu’il n’a jamais vu un film policier de sa vie, au moins la veille de sa prise de fonction, histoire de se documenter sur les habitudes de la maison.

Il faut un gentil. Il faut un méchant. C’est comme ça. Regardez, sous Chirac, le gentil Raffarin avait pour ministre de l’Intérieur le méchant Sarkozy qui voulait « kärcheriser » tout partout. Et ça plaisait beaucoup aux gens. Jean-Marc Ayrault était gentil, brave – comme on dit par chez nous –, et Valls pouvait s’en donner à cœur joie en fronçant les sourcils place Beauvau. Comme il ne sait pas faire autre chose, lorsqu’il rejoignit Matignon, il garda le rôle du méchant et c’est Cazeneuve qui récupéra en toute logique le rôle du gentil à l’Intérieur. Et l’on pourrait multiplier les exemples. C’est presque une loi physique.

Or, dans le casting actuel, le gentil, c’est Édouard Philippe. Et apparemment, cet homme, qui semble fait pour le bonheur, préfère le rôle du gentil. Il est Premier ministre, donc c’est lui qui décide de son rôle. Ça aussi, c’est un truc vieux comme le monde : c’est le chef qui décide. Et ça aussi, Gérard Collomb, qui a vu couler beaucoup d’eau entre Rhône et Saône, devrait le savoir. Donc, Gérard, avec ta face de Carême, tu vas te coltiner le rôle du méchant, et si t’es pas content, y a un TGV pour Lyon toutes les heures… Parce que le gentil sait aussi être méchant quand il faut. Mais là, j’invente.

Au fait, pourquoi « facho de service » ? Les annonces du gouvernement sur la future politique d’immigration et d’accueil des migrants, évidemment. Comme on dit, les critiques fusent d’un peu partout : à gauche, mais aussi dans les rangs composites de La République en marche. L’ex-camarade de jeu socialiste Benoît Hamon a même parlé, la semaine dernière, de politique « infâme ». « Le procès que l’on me fait est assez malhonnête », aurait confié Gérard Collomb. On devine que le grand humaniste qu’il est a du mal à endosser le pardessus de l’« infamie » ! Du reste, explique-t-il, cette politique, c’est pour « protéger les migrants » qu’elle sera mise en œuvre : « Si l’on veut vraiment agir pour protéger les migrants qui risquent leur vie dans les pays dont ils viennent, il faut bien savoir qui est qui. » C’est vrai, mais les naïfs qui imagineraient une seconde que c’est d’abord pour protéger la France, son identité et les Français que cette politique sera mise en œuvre devraient y réfléchir un instant.

Espérons, néanmoins, qu’il ne sera pas nécessaire de mettre en place, au sein du cabinet de Gérard Collomb, une cellule psychologique pour soutenir le ministre. Il devrait se dire qu’on a connu pire, à l’Intérieur. Tenez, en 1947, l’année de naissance de Gérard Collomb. Grandes grèves en France, notamment dans le bassin minier du Nord. La CGT et le Parti communiste attisant le feu. Une répression policière sévère. En première ligne, le ministre de l’Intérieur socialiste Jules Moch. À l’Assemblée, qui ne ressemblait pas encore à un congrès de télévangélistes, les communistes se déchaînent. Florilège : « Chiens couchants ! », « Vous avez soif de sang ! », « Émule de Goebbels ». La presse n’était pas mal non plus. Dans L’Humanité : « L’Histoire stigmatisera la conduite de ce perroquet vaniteux, technocrate et synarque. » Ou encore : « Tous les Français dignes de ce nom vous haïssent […] vous plus que tout autre, Jules Moch qui faites pire que les nazis. »

Le « facho de service » Gérard Collomb peut toujours se réconforter en lisant les journaux de son année de naissance.

Georges Michel

Source : http://bvoltaire.com

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Pour « décoloniser la Belgique », une « artiste » africaine se grime en Saint-Nicolas

24 Décembre 2017, 14:00pm

Publié par Thomas Joly

La pseudo-artiste « belge » d’origine rwandaise Laura Nsengiyumva a décidé de ridiculiser une tradition belge de fin d’année en proposant un Saint Nicolas…femme et noire.

« C’est toi, la femme de Saint Nicolas ? » Telles ont été les réactions incrédules des petits garçons d’un club de football à Evere, un quartier de Bruxelles, surpris par la visite début décembre d’une « Queen Nikkolah » des plus originales. Ce n’est pas un homme blanc déguisé en Saint Nicolas de Myre, la figure de père Noël fêté le 6 décembre en Europe du Nord, qui est venu leur donner des bonbons et leur demander s’ils avaient été sages durant l’année. Ils ont en revanche reçu la visite d’une étrange africaine tout de rouge vêtue, arborant une mitre grotesque faite de perles et de cheveux.

« Les enfants ont tout déconstruit très vite et n’étaient pas surpris, ils étaient là pour les bonbons, les cadeaux, la fête », a déduit Laura Nsengiyumva.

Les parents, issus de « l’extrême diversité » (sic) de Bruxelles, l’une des villes les plus envahies d’Europe, étaient déjà conquis en arrivant. « Ils étaient soulagés de pouvoir vivre cette fête autrement et j’ai eu des retours très positifs », note la blasphématrice.

Source : http://www.fdesouche.com/925567-decoloniser-belgique-saint-nicolas-femme-noir#

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Quand les « vegans » nous prennent pour des dindes

24 Décembre 2017, 13:03pm

Publié par Thomas Joly

La bêtise est décidément incommensurable et intarissable. Ainsi voit-on pousser, depuis une semaine, une dizaine de panneaux d’affichages dispersés dans Paris, montrant une tête de chien rôtie sur un plateau de Noël, avec le slogan « Si vous ne pourriez pas manger un chien, pourquoi manger une dinde ? Changez de tradition : devenez végan. »

D’abord, parce qu’elle sonne atrocement à l’oreille – et que, partant, pour cette seule raison, cette campagne de sensibilisation devrait être aussitôt doublée d’une tout aussi impérative campagne de défense de la langue française –, on relèvera cette impardonnable faute d’orthographe qui consiste à associer la conjonction « si » avec le conditionnel. Qui ne sait que, lorsqu’on emploie celle-là, qui exprime déjà une condition, il est redondant et inutile de la doublonner d’un verbe conjugué au conditionnel et exprimant, comme son nom l’indique… la condition.

Cette campagne a été mise en œuvre par PETA France (People for the Ethical Treatment of Animals), association fondée en 1980, spécialisée dans la défense des droits des animaux, dont la maison mère est basée dans l’État de Virginie. Ceci expliquant, sans doute, cela, les affiches ayant vraisemblablement été conçues et rédigées par des Américains.

Voilà pour la forme, laquelle, pour un Français soucieux de ne pas laisser maltraiter la langue de Du Bellay, occulterait volontiers le fond. En l’espèce, celui-ci est d’une rare stupidité démontrant, à l’occasion, l’aveuglement, jusqu’au délire, des zélateurs « antispécistes » de la cause animale. Ainsi, opposer, par le mot et l’image, deux « traditions » alimentaires ou coutumes culinaires, au nom d’une soi-disant autre tradition végétarienne (foin de cet affreux anglicisme « vegan » si répandu), relève de l’escroquerie intellectuelle. La consommation d’un aliment carné (le porc, dans un premier temps, remplacé ensuite par la dinde) à Noël est une coutume européenne ancienne, de la même façon que la cynophagie a cours au Vietnam, en Corée, en Chine, en Indonésie, voire dans certaines contrées africaines.

L’homme est omnivore. Il ne s’agit pas d’un fait de culture mais de nature, ce qui signifie que si la nécessité de s’alimenter est physiologiquement objective, le choix d’ingérer tel ou tel aliment ressortit à la subjectivité la plus intégrale. Chercher à imposer le végétarisme à coups de 4×3 publicitaires, outre son présupposé « progressiste », implicite et trompeur, s’inscrit dans une démarche totalitaire.

Or, le vrai problème n’est pas la consommation de viande mais sa méga-industrialisation planétaire et toutes les conséquences sanitaires et écologiques qu’elle engendre au mépris de toutes les lois phylogénétiques et écosystémiques régissant le vivant depuis l’aube de l’humanité. Il s’ensuit inévitablement un processus de rentabilité turbo-capitalistique qui ne peut faire l’économie de la maltraitance animale qui, en dépit des normes sanitaires existantes, est une indéniable réalité.

En outre, l’on ne signalera jamais assez que la prolifération de pratiques alimentaires exotiques, du fait de la présence massive, sur le sol européen, de mahométans d’importation, ne plaide guère non plus en faveur du bien-être animal. Une fois de plus, la nature n’a plus rien à voir quand nous sommes en présence de faits foncièrement culturels ravalant nos amis les bêtes à la froide conscience cartésienne de l’animal-machine.

Finalement, en nos sombres temps postmodernes, les animaux sont pris en tenaille entre l’option libérale-capitaliste de l’Occident et le rigorisme halal-musulman, tous deux abondamment encouragés par les deux dogmes irréfragables du libéralisme et de la laïcité.

Aristide Leucate

Source : http://bvoltaire.com

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Diplômé de l'université de Rennes, l'imam salafiste de Brest pourra devenir « référent laïcité »

23 Décembre 2017, 19:14pm

Publié par Thomas Joly

Il a défendu un islam ultraconservateur et souvent considéré comme proche du salafisme : l'imam de Brest Rachid El Jay, connu sous le nom de Rachid Abou Houdeyfa, s'est-il racheté une conduite ? Il vient en tout cas d'être diplômé par l'université de droit à Rennes 1 en « Religions, droit et vie sociale ».

L'université Rennes 1 précise qu'avec l'obtention de ce diplôme, Rachid Abou Houdeyfa pourra désormais être l'un « des référents laïcité dans divers domaines de la vie professionnelle ou associative ». « Ces référents peuvent être amenés à éclairer, du point de vue du droit, de multiples situations quotidiennes où la question religieuse est susceptible de croiser les règles de l’Etat républicain et laïc », précise l'établissement.

En septembre 2016, l'imam entamait ce cursus universitaire, selon des informations rapportées par Libération, afin de « se conformer aux règles de la laïcité et du vivre ensemble français ». « Soutenus par le ministère de l’Intérieur, ces [diplômes universitaires] sont l’une des actions promues par le gouvernement pour rendre "républicano-compatibles" les imams des mosquées françaises », affirmait le quotidien.

Après un an de cursus, Rachid Abou Houdeyfa ne cache pas sa satisfaction de recevoir ce diplôme universitaire : « C'est un diplôme que l'on demande pour celles et ceux qui désirent être, entre autres, aumôniers dans les hôpitaux, aumôniers dans les prisons. C'est un diplôme intéressant dans le sens où aujourd'hui on entend un peu parler de la laïcité à toutes les sauces », assure l'imam, qui affirme avoir reçu son diplôme avec la mention « bien ».

Néanmoins, un certain nombre d'intellectuels et responsables politiques ne voient dans ce projet universitaire qu'une façade provisoire, qui cacherait la véritable identité du religieux.

Ainsi, l'écrivain palestinien Waleed Al-Husseini, auteur d'Une trahison française, ouvrage dans lequel il défend avec vigueur la laïcité et critique la religion islamique, s'étonne qu'un individu qui « justifiait le viol de femmes non-voilées » reçoive un « diplôme de laïcité ».

Lydia Guirous, porte-parole des Républicains, interpelle le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, en questionnant : « C'est donc un intégriste qui sera référent laïcité ? »

 

Fortement inquiété après les attentats de 2015, sa mosquée subissant une perquisition, Rachid Abou Houdeyfa, est une personnalité qui fait polémique depuis plusieurs années.

L'ancien président de la République, François Hollande, avait même fait référence à Rachid Abou Houdeyfa : « Il est Français, il ne peut pas être expulsé, mais son lieu de prière [...] ce lieu de haine, a été fermé », avait-il déclaré en avril 2016 sur France 2.

La haine dont il est question ici découle des nombreux prêches que Rachid Abou Houdeyfa diffusait abondamment sur internet. Entre autres exemples, en 2012, il avait déclaré : « Si la femme sort sans honneur, qu’elle ne s’étonne pas que les hommes abusent de cette femme-là. » En 2015, il avait affirmé dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux que la musique était prohibée par l'islam et que Dieu pouvait transformer ceux qui l'écoutaient en porcs ou en singes.

Source : https://francais.rt.com/france/46764-accuse-pour-ses-preches-radicaux-imam-brest-recoit-diplome-universitaire

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Des institutrices laïcardes tarées interrompent un dessin animé au cinéma en pleine séance scolaire parce qu'il parle de la Nativité

23 Décembre 2017, 14:16pm

Publié par Thomas Joly

Le 13 décembre, un groupe scolaire de 83 écoliers du Langonnais assistait à une projection du film d’animation américain « L’Étoile de Noël » au cinéma Le Rio de Langon (33) quand celle-ci a été interrompue à la demande des enseignantes.

Elles se sont en effet aperçues qu’il y avait un problème de thématique et qu’il ne correspondait pas au choix qu’elles avaient fait.

Il est vrai que le synopsis de ce film de Timothy Reckart parle avant tout d’une histoire d’animaux : « Un petit âne courageux, Bo, rêve d’une vie meilleure loin du train-train quotidien du moulin du village. Un jour, il trouve le courage de se libérer pour vivre enfin la grande aventure avec une brebis, une colombe, trois chameaux déjantés et des animaux de la ferme, très excentriques… »

L’histoire de la nativité

Mais on se rend compte au fil de l’histoire qu’il ne s’agit pas d’un film sur une légende de Noël mais sur l’histoire de la nativité, de la naissance de Jésus, du périple de Marie et Joseph jusqu’à Bethléem… Le film puise d’ailleurs son contenu dans les Évangiles, ce qui n’a pas été du goût des institutrices gauchistes qui y ont vu une grave atteinte à la sacro-sainte laïcité.

« J’avoue que je n’avais pas vu le film avant, il vient d’un grand studio américain », reconnaît le responsable du Rio, Emmanuel Raymond, qui a remboursé la séance. Comme s'il avait fait voir aux enfants un film ultra-violent ou pornographique...

Les écoliers, pris en otages par ces ayatollahs de la laïcité, sont retournés en classe sans avoir pu voir la fin du dessin animé...

Source : https://actu.fr/societe/langon-film-letoile-noel-arrete-pleine-seance-scolaire_14630391.html

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Facebook censure l'annonce du rassemblement anti-migrants à Ouistreham !

23 Décembre 2017, 14:01pm

Publié par Thomas Joly

Incroyable mais vrai, le compte Facebook du Délégué départemental du PdF 14, Bruno Hirout, ainsi que son compte de secours, ont été bloqués à cause... de l'opposition du Parti de la France à l'immigration clandestine ! Ainsi, avec ce blocage, Facebook démontre qu'il y a deux possibilités pour rester actif sur ce réseau social : soit être immigrationniste, soit se taire !

Source : http://pdf14.com

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Hauts fonctionnaires de Bercy : vous vous serrez la ceinture, ils se sucrent !

23 Décembre 2017, 13:50pm

Publié par Thomas Joly

France Culture rediffusait, l’autre nuit, une émission consacrée aux grands travaux mitterrandiens des années 90. Des travaux à « vocation culturelle », disait-on alors en se pâmant devant ce monarque bâtisseur qui hérissa la capitale de ses monuments à l’ésotérisme de carton-pâte, monuments qu’il fallut tous rafistoler dix ans plus tard parce que leurs façades en carrelage s’effondraient sur les Parisiens… mais cela est une autre histoire.

Bref, parmi ces chefs-d’œuvre ruineux, l’un sortait du lot puisque n’étant pas à vocation culturelle : c’est le ministère des Finances, le bunker de Bercy. Architecte Paul Chemetov, un homme dont l’art est qualifié de « brutaliste ». Très inspiré par une carrière à l’ombre des HLM des banlieues rouges et du PC, il avait d’ailleurs spécifié dans sa note d’intention que le citoyen, levant les yeux vers le ministère, devait ressentir toute la rigueur et le poids de l’impôt. Sur ce plan, c’est parfaitement réussi.

Voilà, donc, pour l’extérieur : lignes droites, architecture concentrationnaire, gigantesque pavé brisant net la perspective en bord de Seine. À l’intérieur, il semble que ce soit nettement plus rock’n’roll.

C’est la Cour des comptes qui le dit dans un référé publié mercredi dernier et repris par L’Obs : les rémunérations des hauts fonctionnaires de l’auguste maison atteignent « un niveau élevé et difficile à justifier ». Notamment des écarts de salaire étranges avec le petit peuple des ministères. « La rémunération nette des AGFiP (administrateurs généraux des finances publiques) de classe exceptionnelle s’élevait, en 2015, en moyenne, à 202.456 euros […], celle des CBCM (contrôleurs budgétaires et comptables ministériels) à 174.979 euros », précise le référé, qui estime que le niveau de rémunération des administrateurs généraux « doit être mis en cohérence avec celui du reste de l’administration ». Ce qui fait, si je compte bien, un salaire de 16.870 € mensuels pour les premiers et 14.580 € pour les miséreux.

Toutefois, cela ne suffit pas à éponger leurs menus frais, en conséquence de quoi l’administration octroie aux administrateurs des finances publiques, le gratin du gratin de Bercy, une « indemnité différentielle ». En 2016, un petit plus de 256.000 euros pour seize agents, soit 16.000 euros par personne (un treizième mois, en somme), ramené à 150.000 euros cette année, a dit le ministre Darmanin. La Cour s’en accommoderait sans doute si cette indemnité et quelques autres n’étaient « sans fondement légal ».

On lit cela d’un œil distrait. On a tort. Ces gens-là sont les gérants des finances publiques, c’est-à-dire de NOS finances. Les gestionnaires du patrimoine de l’État, c’est-à-dire NOTRE patrimoine. Et plus ils exigent qu’on se serre la ceinture, plus ils se sucrent !

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.com

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Rassemblement anti-migrants à Ouistreham samedi 3 février 2018, en présence de Carl Lang

22 Décembre 2017, 07:49am

Publié par Thomas Joly

 

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Un beau salaud !

22 Décembre 2017, 07:32am

Publié par Thomas Joly

Il a écrit des choses abjectes, des phrases qui, aujourd’hui, vous mènent tout droit devant la XVIIe chambre, corde au cou, sous un déluge de crachats, avec la potence au bout du chemin. Par exemple : « Les nègres, sortis des mains de leurs maîtres avec l’ignorance et tous les vices de l’esclavage, ne seraient bons à rien », et encore « Je ne vois pas la nécessité d’infecter la société active de plusieurs millions de brutes décorées du titre de citoyen, qui ne seraient en définitive qu’une vaste pépinière de mendiants et de prolétaires ». On entend déjà les hurlements des officines de la bien-pensance, les groupuscules de tous bords, les LICRA, LDH, MRAP, CRAN… Mais, Messieurs-que-je-n’ai-pas-entendus-hurler-sur-l’affaire-des-marchés-aux-esclaves-de-Libye-il-y-a-quelques-jours, ne vous gênez pas : tournez votre colère contre celui qui a écrit les phrases citées ci-dessus, faites des pétitions, mobilisez les radios, les télés, les journaux, manifestez dans la rue. Qu’on le pende en effigie, ce sale raciste ! Que plus jamais on ne prononce son nom ! Qu’il disparaisse, banni à tout jamais de nos mémoires, englouti dans les latrines de l’Histoire.

Et vous, les détracteurs compulsifs de la France dont vous êtes les citoyens, vous, les éreinteurs insatiables de ce pays qui est pourtant le vôtre, vous qui, à tort et à travers, réclamez qu’on vous respecte et qui lardez d’un coup de surin qui vous « regarde mal » ou vous refuse une clope. Oh ! vous qui brûlez du flic et cramez du pompier, vous, les encapuchonnés qui tenez le pavé de ces quartiers dont vous vous êtes proclamés les caïds. Et vous, les beugleurs de rap, champions de la musique à une note et qui hurlez « J’baise vot’ nation » et « La France est un pays de putes » ? Qu’en dites-vous ? Au bûcher, ce type, non ?

Attendez ! Vous n’avez pas tout lu. Il a dit aussi : « La seule chose dont on doive s’occuper aujourd’hui, c’est de tarir la source de l’esclavage en mettant fin à la traite. Envisager la question autrement, c’est faire du sentiment en pure perte » 1.

Ah ! Mais voilà qui change tout ! Comment s’appelle-t-il ? Attendez un peu. Vous n’en avez jamais entendu parler à l’école, je suis sûr ! Un bonhomme qui traite les Africains de « nègres » comme une vulgaire Agatha Christie, ça ne vaut pas une ligne dans les livres scolaires.

Et pourtant… Le respect que vous exigez du monde entier, rendez-le-lui. L’admiration que vous dispensez à vos petits caïds délinquants, donnez-la-lui. Devant ses rares statues, courbez la nuque. Pliez le genou devant sa silhouette d’un autre âge et sa barbiche frisottante. Il était un enfant de cette France « pays de putes », il a œuvré toute sa vie pour que vous ne vous fassiez plus « baiser ».

Il a aboli l’esclavage.
Le 25 décembre, nous célébrerons le 124e anniversaire de sa mort.
Il s’appelait Victor Schoelcher.
C’est grâce à lui que beaucoup d’entre vous existent, aujourd’hui.

Yannick Chauvin

 

Notes:

  1. Les citations sont extraites de l’article « Des Noirs », signé Victor Schoelcher, paru dans la Revue de Paris 1830, tome XX, p. 71 et s.

 

Source : http://bvoltaire.com

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