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Le blog politique de Thomas JOLY

Un djihadiste tente de poignarder un militaire à Paris, le gouvernement parle d’une « agression »

15 Septembre 2017, 06:48am

Publié par Thomas Joly

Un terroriste a attaqué au couteau des militaires français qui étaient en faction au métro Châtelet. Il a revendiqué son action au nom de l’État Islamique. L’État Français a procédé à une opération active de désinformation selon la censure de guerre décrétée par le gouvernement.

Le Parisien  (source) :

Un militaire de l’opération Sentinelle qui patrouillait au métro Châtelet (Paris Ier et IVe) a été agressé vendredi matin vers 6h30 par un homme armé d’un couteau. L’homme, qui se tenait derrière le militaire, aurait tenu des propos faisant référence à Daech. Il a été maîtrisé par le militaire sans que personne ne soit blessé.

Le Figaro mentionne le fait que le djihadiste fait une allusion floue au cri de ralliement des combattants de l’islam qu’a prononcé le terroriste (source) :

Selon les premiers éléments de l’enquête, confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire, l’assaillant, rapidement maîtrisé par le militaire, aurait tenu des propos faisant référence à Allah.

La presse d’État ne parle plus d’attentat djihadiste en pareil cas mais « d’agression ». Signe des ordres de normalisation donnés par l’État français aux médias gouvernementaux, Paris ne pouvant plus juguler l’inexorable montée en puissance des forces djihadistes en France.

Cette réalité est d’ailleurs corroboré par le langage adopté par le ministre des Armées françaises peu après l’attaque terroriste : « Nous n’en savons pas plus sur les intentions de l’agresseur », a déclaré la ministre des Armées, Florence Parly, sur Europe 1.

Les « agresseurs » djihadistes risquent donc de devenir la nouvelle norme dans l’Hexagone.

Source : http://breizatao.com

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Un manuel de CE2 explique que les Francs sont des migrants

15 Septembre 2017, 06:38am

Publié par Thomas Joly

Il s'agit là d'un manuel de CE2 édité chez Nathan.

Nous sommes évidemment en face d'une œuvre de propagande dont le but est de faire accroire que les migrants qui nous arrivent en ce moment ne sont ni plus ni moins que ceux qui fonderont une civilisation nouvelle et aussi prestigieuse que l'a été autrefois la chrétienté médiévale.

La chose est d'autant plus drôle que la République nous a bassiné pendant des générations avec l'idée que le Moyen Âge n'était qu'un âge brutal et obscur, une déchéance de la culture gréco-romaine due à l'arrivée de barbares, haute culture qui ne sera retrouvée qu'à l'occasion de la Renaissance et surtout, évidemment, de la Réforme.

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À l’université, les toilettes neutres, c’est leur genre

15 Septembre 2017, 06:31am

Publié par Thomas Joly

Que « celles et ceux » qui, « en même temps », douteraient de la « détermination » des pouvoirs publics à « lutter » contre toutes les « discriminations » pour « réduire les inégalités » se rassurent. La grande révolution sociétale se poursuit, à bas bruit, au sein des entreprises privées comme dans les administrations publiques.

En cette rentrée, l’université François-Rabelais de Tours a pris « deux engagements » pour les étudiants « transgenres » : elle officialise le prénom d’usage et instaure des toilettes neutres. L’article que consacre La Nouvelle République (11 septembre) à cette incongruité générique vaut son pesant d’hormones : « Tout a commencé par cet étudiant de 1re année de psychologie venu frapper à la porte de la chargée de mission diversité, égalité et handicap, Concetta Pennuto, à la rentrée 2016. Inscrit sous un prénom féminin, il se fait appeler Charly et vient de s’engager dans un parcours de réassignation de genre (sic !). « Je leur ai raconté mon histoire, mon parcours, et j’ai évoqué les problèmes que les étudiants trans rencontrent à la fac », explique ce jeune engagé. […] « La fac est une période charnière », souligne Charly. « On commence notre vie d’adulte, c’est important de se sentir respecté dans son identité. » Engagé dans un traitement hormonal, attaché à son apparence désormais masculine, il doit régulièrement se justifier du décalage entre son apparence et son prénom officiel – en attendant de pouvoir le modifier à l’état civil. […] L’université de Tours décide de s’emparer du sujet en s’appuyant sur la loi de 2016 contre les discriminations de genre. « Même si cela ne concernait qu’un seul étudiant, c’est important qu’il puisse poursuivre ses études dans les meilleures conditions, c’est une question d’égalité des chances », affirme la chargée de mission à l’égalité, fermement soutenue par le président de l’université Philippe Vendrix. « À Tours, une dizaine d’étudiants seraient concernés. »

À part ça, la théorie du genre « n’existe pas », ainsi que se plaisait à le clamer l’ancien ministre de l’Éradication nationale, Najat Vallaud-Belkacem. Mais si cette fumeuse théorie n’existe que dans les cervelles carbonisées au LSD des addictologues de la « French Theory » foucaldienne américaine comme dans celles de leurs épigones européens, la tyrannie du genre, quant à elle, étend tranquillement mais inexorablement sa toile. Cette importation outre-Atlantique – au Canada, des toilettes universelles et des salles de bains « neutres » ont été inaugurées dans les universités – est en train de faire tâche d’huile en Europe – la Suède, aux avant-postes du progressisme le plus échevelé, s’y est mise en 2015 – et gagne petit à petit les universités françaises – Angers, Grenoble, Montpellier, Rennes –, ces autres maisons de tolérance où, en sus du voile mahométan, l’on dispense, le plus sérieusement du monde, d’improbables « cours » de sociologie du genre – dont Marie-Hélène/Sam Bourcier de l’université Lille 3 est la très burlesque et médiatique représentante.

Quand des curiosités médicales ou d’infantiles caprices narcissiques deviennent la norme, qui plus est par la voie légale, l’on se demande, à la manière de Guy Debord, si, dans le monde renversé, le vrai n’est pas un moment du faux. Le père du situationnisme – la plus corrosive critique du capitalisme de la séduction – considérait que « le spectacle qui inverse le réel est effectivement produit. En même temps la réalité vécue est matériellement envahie par la contemplation du spectacle, et reprend en elle-même l’ordre spectaculaire en lui donnant une adhésion positive. » CQFD.

Aristide Leucate

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Boris Le Lay de nouveau condamné par la justice politique pour avoir accusé un préfet de « de tiersmondiser les Côtes-d’Armor »

14 Septembre 2017, 18:14pm

Publié par Thomas Joly

Boris Le Lay, fondateur et animateur du site de réinformation Breiz Atao, a été condamné mardi 12 septembre par défaut à 10.000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc. La formation collégiale était saisie d’un dossier de diffamation concernant ce nationaliste breton archiconnu des juridictions bretonnes, à la suite d'une plainte déposée par l’ancien préfet des Côtes d’Armor, Pierre Lambert, en octobre 2016.

"Le préfet, représentant l’Etat s’est estimé diffamé par un article du site, qui l’accusait, je cite, de tiersmondiser les Côtes-d’Armor", a résumé la présidente à l’audience. "L’article était accompagné d’une photographie du préfet au cours d’une cérémonie de naturalisation". Quelle horreur !

Le préfet s'était, à l'époque, attiré les foudres des patriotes français après qu'il avait scandaleusement décidé d'interdire, quelques mois plus tôt, une manifestation initiée par le mouvement Résistance républicaine, "contre l'islamisation et l'immigration"

En l’absence du prévenu, et de tout représentant de la partie civile, la présidente a sobrement rappelé les faits d’armes judiciaires de l’intéressé, "qui se cache au Japon". Dix condamnations, deux mandats d’arrêt, pour apologie de crime, incitation à la haine…

La répression contre les délits d'opinion se porte bien dans la France de 2017...

Source : http://www.letelegramme.fr

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La mode s’y met aussi : quand la nouvelle icône des podiums porte le hijab

14 Septembre 2017, 17:59pm

Publié par Thomas Joly

Elle s’appelle Halima Aden, est âgée de 19 ans, et le monde de la mode se l’arrache.

Comme souvent les Somaliennes (son origine), elle est longue comme une liane, le visage fin, gracieuse et gracile. Rien à voir avec les fatties au milieu desquelles elle a passé son enfance et son adolescence à Saint Cloud, dans le Minnesota. Mais ce n’est pas ce qui fait d’elle la coqueluche des magazines. Non, son ascension fulgurante au Panthéon du bling-bling, Halima Aden le doit au fait qu’elle est la seule mannequin voilée d’une agence occidentale.

C’est une histoire, vraie ou fausse, comme on aime s’en raconter chez l’Oncle Trump. Une version XXL du rêve américain. Ici, celle de la petite fille née dans un camp de réfugiés au Kenya, qui arrive aux États-Unis à 6 ans, supplie sa maman de la laisser porter le hijab, devient reine de promo dans son lycée parce qu’elle le porte, puis décroche son contrat de mannequinat en défilant pour le concours de Miss USA Minnesota il y a moins d’un an.

Il ne manquait pas de jolies filles sur le podium ce jour-là, mais seule Halima a défilé avec son hijab, et quand le troupeau s’est présenté en maillot de bain sur talons hauts, Halima était en burkini. Ça se remarque, forcément. En quelques semaines la belle Américano-Soudanaise est ainsi devenue la jeune beauté noire que tout le monde s’arrache, et comme on ne l’expose jamais nue, elle dame le pion aux portemanteaux décharnés qui promènent leur squelette sur les podiums.

Halima Aden est sans aucun doute intelligente, servant à qui le veut le discours convenu sur l’émancipation des femmes musulmanes. Magnifique faire-valoir, elle est ainsi une double caution : d’un côté, pour les marques qui se l’arrachent et s’ouvrent avec elle un marché difficile à pénétrer (elle a fait la une de Vogue Arabia) ; de l’autre, pour les chanteuses « ethniques » qui se trémoussent fesses et mamelles à l’air, comme Rihanna dont elle promeut la ligne de beauté. Avoir à ses côtés une femme voilée permet de se refaire une virginité religieuse aux yeux de la communauté.

C’est un secret de polichinelle : pour celles qui veulent sortir du lot dans un milieu où les jeunes créatures se bousculent, porter le voile peut être un outil de promotion. On a vu, chez nous, actrices et rappeuses en mal de notoriété tenter de relancer ainsi une carrière. Ce fut le cas de Sophie Guillemin, par exemple, qui se promenait nue comme un ver dans Harry, un ami qui vous veut du bien (en 2000) avant de nous revenir voilée, deux ans plus tard. Et d’enchaîner les interviews pour expliquer que son « cheminement spirituel » et l’amour l’avaient conduite sous la bâche. Retour cinq ans plus tard, à découvert cette fois… et interviews pour expliquer combien c’était étouffant.

On a vu aussi cette pauvre Diam’s, rappeuse pas très intelligente sur le déclin, dodue sous le niqab, puis un peu dévoilée, divorcée et « retrouvant l’amour » avec un salafiste repenti.

Bref, les voiles se posent et s’envolent au gré de la notoriété. Et si l’univers de la mode, flairant le filon, a décidé de s’en mêler, on verra bientôt dans les rues pléthore de midinettes enchiffonnées, persuadées, avec leur petite cervelle de « fashion victime », qu’elles concourent ainsi à l’émancipation des femmes.

Marie Delarue

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Une fillette de 11 ans agressée à Ouistreham par un Soudanais, le maire ne veut plus de migrants dans sa commune

13 Septembre 2017, 19:58pm

Publié par Thomas Joly

C'est une affaire qui serait restée discrète si le maire d'Ouistreham, Romain Bail n'avait pas convoqué, ce mercredi, la presse dans son bureau. Une conférence de presse où il explique aux journalistes présents qu'il y a eu une agression avec « tentative d'atteinte sexuelle » sur une fillette de 11 ans, lundi 11 septembre, près du Port. L'agresseur est un clandestin soudanais de soi-disant 15 ans, sachant que la plupart des migrants mineurs mentent systématiquement sur leur âge.

Une agression qu'il ne peut tolérer. La jeune fille et ses parents seraient sous le choc et la fillette sous le coup d'une très longue ITT (Incapacité Totale de Travail). 

Le maire s'est donc indigné de cette situation et demande à l'État de se ressaisir sur une situation qui se dégrade. Il ne va évidemment pas jusqu'à demander l'expulsion de tous ces envahisseurs criminogènes et ensauvagés.

Source : http://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/calvados/caen-mer/ouistreham/fillette-11-ans-agressee-ouistreham-maire-ne-veut-plus-migrants-sa-commune-1327355.html

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La ridicule et indécente mise en scène d'Emmanuel Macron à Saint-Martin qui dort sur un lit de camp et se lave au seau

13 Septembre 2017, 06:35am

Publié par Thomas Joly

Emmanuel Macron est depuis mardi 12 septembre à Saint-Martin. L'île a été ravagée par l'ouragan Irma. Le chef de l'État est venu au chevet des victimes. Mais pas que.

Selon RTL, certains proches du Président ont tenu à faire savoir qu'Emmanuel Macron n'était pas venu aux Antilles pour se la couler douce. Non. Le leader de la cinquième puissance du monde fait « comme les sinistrés » et dort sur un lit de camp dans la gendarmerie. Même chose pour les toilettes et la douche. Ce sera avec un seau d'eau. À la dure. 

Le chef de l'État l'a lui-même admis mardi lors d'un point presse : « Je vais faire comme les habitants ici puisque je serai avec eux ce soir [mardi]. Il n'y a pas le choix. Mais moi je repartirai demain. Et eux, ils le font depuis plusieurs jours et encore plusieurs jours. »

Autre mise en scène : Emmanuel Macron a patrouillé avec les gendarmes de Saint-Martin une partie de la nuit.  

Ces gestes ne sont surement pas gratuits. Leur publicité non plus. Arrivé mardi aux Antilles, le chef de l'État a dû affronter la colère de certains habitants, excédés. Montrer qu'il vit dans les mêmes conditions qu'eux après le passage d'Irma, ne serait-ce que pour 24h, cela porte un nom : la communication.

Source : http://lelab.europe1.fr

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Climax Festival : des bobos représentent les migrants par une image de singe

13 Septembre 2017, 06:26am

Publié par Thomas Joly

« Tous migrants », même les singes. Pour le festival « festif et engagé » Climax Festival, une foule de bobos a pris la pose devant une image géante de singe portant le slogan : « Tous migrants ».

Boulette ? Que nenni, ces militants se revendiquent antispécistes et antiracistes. Pour eux, défendre les singes et défendre les clandestins revient strictement au même.

On remarquera également un détail charmant : tous prennent la pose l’index levé vers le ciel (comme les islamistes de Daech).

Source : http://www.suavelos.eu

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Un Tunisien agresse sexuellement une jeune fille de 13 ans, il repart libre en raison de différences « culturelles »

13 Septembre 2017, 06:19am

Publié par Thomas Joly

Faits particulièrement révélateurs de l’état de déréliction dans lequel se trouve l’État Français, un tunisien musulman ayant agressé sexuellement une jeune fille de 13 ans a été laissé libre par la justice française.

Le Dauphiné Libéré relate des faits particulièrement graves s’étant déroulés dans la commune de Monteux, dans le département du Vaucluse (source) :

Ce jour-là, avant midi, la victime est abordée par un homme qui lui propose une cigarette, qu’elle refuse, puis la suit. Il la plaque contre une voiture, tente de l’embrasser, lui caresse un sein et pointe un doigt entre ses fesses. Une plainte est déposée le même jour. Les caméras de vidéo-surveillance permettent aux policiers d’avoir le signalement d’un suspect.

Des faits identiques ont permis de retrouver l’auteur :

Les policiers font le lien avec une agression du même type dont une jeune fille de 17 ans a été victime le 30 juin à Monteux, sans dépôt de plainte. Les enquêteurs identifient le suspect quand son employeur reconnaît son vélo. Hier à l’audience, par l’intermédiaire d’un interprète, le prévenu reconnaît seulement “avoir pris un bisou”. Il dit que dans son pays on ne voit pas les choses comme ça du tout.

L’avocate du Tunisien s’étant livré à cette agression sexuelle sur une mineure a justifié le comportement du migrant musulman par le contexte « culturel » des faits:

Le substitut François Arlaud, juge “détestable” ce qu’il qualifie "d’alibi culturel”. Il requiert quatre ans de prison ferme avec mandat de dépôt à l’audience. Pour la défense, Me Léa Marguet, après avoir rappelé que le casier judiciaire du prévenu est vierge, insiste au contraire sur la dimension “culturelle” du dossier : “Il vient d’un village reculé de Tunisie, Il n’a jamais vécu au côté de jeunes files vivant avec nos codes à nous. Je suis convaincue qu’il a compris et qu’il ne recommencera jamais ".

S’il a été condamné, le tribunal s’est visiblement rallié aux théories de l’avocate du Tunisien puisqu’il s’est assuré que l’auteur ne passe pas une seule journée en prison. S’il a en effet été condamné à 30 mois de détention, 24 le sont avec sursis et mise à l’épreuve. Les six mois ferme restants n’ont pas été suivis d’un mandat de dépôt. Le migrant tunisien est donc ressorti libre.

Les afro-musulmans bénéficient donc désormais d’un droit particulier, adapté à leurs origines ethnoculturelles. Une mauvaise nouvelle pour les femmes occidentales qui devront subir la prédation allogène sans être défendues.

Source : http://breizatao.com

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Royal, Hidalgo… aujourd’hui Clinton : le féminisme doloriste des politiques de gauche

13 Septembre 2017, 05:59am

Publié par Thomas Joly

C’est, décidément, un véritable tropisme chez les femmes politiques de gauche ; certes, il en est quelques-unes du centre droit qui en sont également atteintes, mais il faut reconnaître que la « reductio ad misogynum » (j’invente) est une spécialité de ces dames.

Qu’elles perdent une élection, ou même subissent seulement la critique pour leur politique, et voilà qu’elles sortent immanquablement l’argument qui tue : « C’est parce que je suis femme. »
 
Argument qui tue la cause des femmes, vous l’aurez compris.
 
J’évoquais ici, la semaine passée, notre maire de Paris, Anne Hidalgo, contre qui une grande partie des Parisiens, et plus largement des Franciliens, est extrêmement remontée, et pas seulement les automobilistes contraints d’affronter quotidiennement des heures d’embouteillage.
La dame, donc, expliquait ainsi les raisons de sa détestation : « Je suis une femme, donc ça, déjà, c’est un point, je pense, important. […] Je suis une femme de gauche. Je l’assume. Voilà, je le revendique. Je suis une femme qui porte l’écologie, un humanisme, et je suis une femme qui dirige la plus belle ville du monde. Alors, heu… je l’explique par ça. »
 
C’est une explication dont a, maintes fois, usé avant elle cette chère Ségolène Royal. La dernière, c’était en décembre, suite à son panégyrique de feu Fidel Castro – un grand homme cher à son cœur – qui lui avait valu de nombreuses critiques. Sa défense : « Dans l’agression idéologique de la droite sur la façon dont je disais des choses vraies sur Cuba, il y avait cette résurgence de la contestation de l’évaluation historique qu’une femme a droit ou pas le droit de faire même avec mon background et mon expérience politique. On n’est pas encore sorti de cette misogynie et de ce sexisme. »

Aujourd’hui, date de la sortie du livre où Hillary Clinton fait retour sur la dernière campagne électorale dont elle est sortie défaite dans tous les sens du terme, on en trouve dans la presse les grands thèmes. Malgré sa famille aimante, « le Chardonnay » et ses chiens, madame Clinton ne se remet pas d’avoir perdu. Elle tourne et retourne les choses, fait l’exercice minimum d’autocritique, incrimine l’adversaire-épouvantail, incrimine son camp, puis incrimine… les électeurs. Un électorat qui ne l’a jamais aimée, dit-elle. « Qu’est-ce qui fait de moi un bouc émissaire ? Je me le demande vraiment, je n’arrive pas à comprendre », écrit-elle. Et propose cette simple réponse : « C’est en partie parce que je suis une femme. »
 
Non, Madame Clinton, c’est tout bêtement, bien au-delà de votre sexe, parce que vous n’êtes pas aimée. Pour votre morgue, pour votre désir effréné d’occuper le terrain, pour votre goût de l’argent… D’ailleurs, le camp démocrate auquel vous appartenez ne voit pas d’un très bon œil la sortie de votre livre, et encore moins la tournée promotionnelle que vous entreprenez aux États-Unis et au Canada, « avec des séances de dédicaces mardi à New York, d’interviews et 15 conférences payantes jusqu’en décembre », comme nous l’apprend Le Point.
 
Cela dit, on en vient forcément à se poser la question : les femmes politiques de gauche seraient-elles des chochottes ? De petites choses particulièrement entravées par leur condition de pauvre femme ? Car, quoi qu’on pense des personnages et de la politique qu’elles professent, on n’a jamais entendu une Valérie Pécresse, une Michèle Alliot-Marie et encore moins une Marine Le Pen invoquer leur condition féminine pour expliquer leurs échecs électoraux.

Marie Delarue

Source : http://www.bvoltaire.fr

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En souvenir du 12 septembre 1683, mangez des croissants !

12 Septembre 2017, 06:49am

Publié par Thomas Joly

Le 12 septembre 1683, l'armée chrétienne de Jean Sobieski et Charles de Lorraine, avec seulement 80.000 hommes, mettait en déroute l'armée ottomane et ses 300.000 hommes lors de la bataille de Vienne.

Alors participez au devoir de mémoire et mangez des croissants qui nous rappellent la victoire des chrétiens sur les musulmans !

Source : http://www.pdf14.com

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Carl Lang : « Grâce aux camarades de la CGT, nous allons faire un grand saut dans le passé et redécouvrir le doux parfum de l'idéal collectiviste »

12 Septembre 2017, 06:40am

Publié par Thomas Joly

Sur Twitter, le Président du Parti de la France ironise sur les professionnels de l'agitation sociale artificielle, ces syndicalistes communistes avant tout qui vont manifester aujourd'hui :

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Toulouse : Le bain de foule de Macron était bidon

12 Septembre 2017, 06:39am

Publié par Thomas Joly

Pathétique mise en scène d'un régime vermoulu, avec le soutien d'une presse d'État digne de la Corée du Nord...

Source : http://www.fdesouche.com

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Jean-Pierre Pernaut est comme ça, il ne se déculotte pas

12 Septembre 2017, 06:33am

Publié par Thomas Joly

Jean-Pierre Pernaut persiste et signe. Toute la presse (Huffington Post, 20 Minutes, etc.) en bruisse – « Il ne se repent pas ! Il ne se repent pas ! » -, comme ces chœurs, au théâtre, qui répètent la dernière réplique, les mains en porte-voix, courant aux quatre coins de la scène pour imiter la rumeur épouvantée.

Car, pardon bien, mais ce n’est pas prévu du tout par le scénario. Le rituel est pourtant simple, rodé, balisé, éprouvé : lorsqu’un journaliste – un homme politique, un chanteur, un acteur, une miss France, etc. – « dérape », il fait son mea culpa. Il baisse la tête, il regrette, il est tellement, mais tellement bête d’avoir dit ça. Il ne recommencera plus. Il redouble de zèle et donne mille gages. Par exemple, en conspuant à son tour quelques tricards. Trop content que les médias, magnanimes, lui laissent, en dépit de ses péchés, un petit temps d’antenne pour s’excuser. Car certains sont condamnés et lynchés sans autre forme de procès. Avoir le droit de publiquement s’autoflageller, c’est déjà être privilégié.

Mais Jean-Pierre Pernaut, lui, en homme qui en a, ne se déculotte pas. Rappelons les faits : au journal télévisé de 13 heures sur TF1, le 10 novembre 2016, il avait évoqué le sort des sans-abri puis celui des migrants, deux sujets qui occupaient l’actualité ce jour-là, faisant la transition d’un simple « en même temps » : « Plus de place pour les sans-abri, mais en même temps, les centres pour migrants continuent à ouvrir partout en France. » C’est cet « en même temps »-là qui avait déchaîné le courroux de la LICRA et du CSA. Parce qu’il y a des « en même temps » séduisants et des « en même temps » désolants.

Sur le plateau de « Salut les Terriens », il vient d’affirmer, revenant sur l’incident, « n’avoir fait que son travail de journaliste ». Il enfonce même le clou : s’il devait le redire demain, il le redirait. À ceux qui, sur le plateau, lui reprochent le manque de neutralité que traduirait son « en même temps », il répond par une question candide, aussi imperturbable qu’imparable : « Ce n’était pas en même temps ? »

« Résultat, vous faites peur ! » conclut Thierry Ardisson sur un ton tragi-comique. C’est en effet le mot de la fin qui convient. Ce que l’on reproche à Jean-Pierre Pernaut n’est pas d’avoir menti mais d’avoir dit une vérité anxiogène, qui pourrait susciter chez les Français une réaction « malsaine ».

Le travail des journalistes n’est plus de dire le vrai mais le bien. Ils n’informent pas, ils enseignent. Des Français sous tutelle, vieux gamins auxquels on recommande de se cacher les yeux avec les mains pour éviter d’avoir peur dans leur lit quand le soir vient.

On a les héros – et les hérauts – que l’on mérite. Avec son nom d’apéritif un peu beauf, son prénom double emblématique du mâle blanc de plus de 50 ans dont Delphine Ernotte ne veut plus et que les médias raillent méchamment – « Sept réponses à votre beau-père Jean-Louis qui ne supporte plus la réduction des voies pour automobiles à Paris », titrait le site de France Info il y a quelques jours, volant au secours d’Anne Hidalgo -, et son « Journal de 13 heures » ambiance village fleuri et artisanat du terroir, qui lui a valu en 2016 d’être élu « présentateur de JT préféré des Français » – s’il aime la France périphérique, celle-ci le lui rend bien -, il a tous les attributs réputés peu flatteurs de Superdupont. Le pire – ou le meilleur – est qu’il semble endosser le costard assez volontiers et sans façon.

Gabrielle Cluzel

Source : http://www.bvoltaire.fr

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Autriche, Allemagne : les agressions sexuelles commises par des migrants explosent

12 Septembre 2017, 06:29am

Publié par Thomas Joly

En Autriche et en Allemagne, les viols et agressions sexuelles commis quotidiennement par les migrants sont évoqués par la presse régionale. Même les personnes âgées ou déficientes mentales ne sont pas épargnées par les agresseurs, certains d’entre eux n’hésitant pas à mettre en œuvre, afin d’arriver à leurs fins, les méthodes les plus sournoises.

Ainsi, le dimanche 3 septembre 2017, trois demandeurs d’asile ont violé une Autrichienne handicapée mentale de 52 ans au sein de l’Institut Hartheim à Alkoven en Haute-Autriche. La dirigeante de cet organisme a confirmé à l’organe de presse Oberösterreichische Nachrichten (OÖN) que la victime avait été trouvée « complètement détruite ». 75 demandeurs d’asile sont logés à côté de cette institution pour déficients mentaux et sont autorisés à utiliser la salle de sport de celle-ci.

Dans la nuit du 1er au 2 septembre à Haltern am See en Rhénanie-du-Nord-Westphalie (Allemagne), une dame de 40 ans a fait la connaissance d’un homme dans un restaurant. Elle l’a suivi ensuite dans un appartement situé à dix minutes à pied. Là, d’autres hommes l’ont harcelée puis violée collectivement. Les agresseurs et leur complice, le séducteur, sont de peau foncée.

Le vice-gouverneur de Haute-Autriche Manfred Haimbuchner, membre du parti patriotique FPÖ, a commenté le 5 septembre les statistiques de la criminalité dans cette partie de l’Autriche. 31,1 % des délits y sont commis par des étrangers. Les demandeurs d’asile sont, quant à eux, proportionnellement vingt fois plus représentés dans la délinquance sexuelle que les Autrichiens.

Le même jour à Halle-sur-Saale en Saxe-Anhalt (Allemagne), la police a indiqué que le nombre d’agressions sexuelles a fortement augmenté au cours des derniers jours, la plupart étant commises par des étrangers.

Le 6 septembre dans la nuit, à Potsdam au Brandebourg (Allemagne), un homme au physique étranger, aux cheveux noirs, âgé d’environ quarante ans et parlant l’allemand avec un accent étranger, a porté assistance à une Allemande de 66 ans qui souffre de problèmes de circulation sanguine et a eu un malaise. Il a accompagné la dame jusque chez elle et en a profité pour la violer, puis a pris la fuite.

Le 7 septembre à 6 heures du matin à Winsen en Basse-Saxe (Allemagne), une Allemande de 39 ans qui se rendait à son travail a été agressée physiquement par surprise, tirée derrière un buisson et violée par un Marocain de 27 ans. Celui-ci a été ensuite, grâce au signalement donné par la victime, arrêté par la police alors qu’il rentrait à son hébergement pour demandeurs d’asile.

Le même jour à Ingolstadt en Bavière, un Africain a agressé sexuellement une dame de 30 ans, lui a déchiré son T-shirt et a tenté de lui ouvrir le pantalon. La victime s’est défendue et a pu faire fuir l’assaillant.

Ce 8 septembre à Nienburg en Basse-Saxe, une livreuse de journaux a été agressée tôt le matin par un homme au teint foncé qui a tenté de la violer. La victime est arrivée à s’échapper.

Depuis l’ouverture des frontières aux migrants en 2015 par la chancelière Angela Merkel, la tranquillité de la société allemande et autrichienne a disparu et les femmes en sont les premières victimes, tout particulièrement celles qui doivent se déplacer la nuit ou tôt le matin dans le cadre de leur travail ou qui sont faibles physiquement ou mentalement.

Lionel Baland

Source : http://www.bvoltaire.fr

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