Hubert de Mesmay présente son livre sur le FN, « Autopsie d'un crash annoncé », à Radio Libertés

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Président du Parti de la France

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Alors que le maire musulman de Londres vient de récemment se féliciter d’avoir obtenu l’annulation de la venue du président américain au Royaume-Uni pour cause « d’islamophobie », c’est l’armée britannique qui a retenu l’attention pour sa nouvelle campagne de recrutement.
Dans la vidéo produite par le ministère de la Défense anglais, on peut voir un musulman prier avec le slogan « garder la foi ».
Source : http://breizatao.com

Les retombées de l'affaire Weinstein et #balancetonporc ont gagné les rangs du Front national. C'était en novembre dernier. Dans son édition dominicale, Libération rappelle que plusieurs anciens assistants parlementaires ont accusé l'élu du Pas-de-Calais Bruno Bilde de harcèlement sexuel. Surtout, évoque le quotidien, au sein du parti, on se serait livré à des techniques d'intimidation pour ne pas que l'affaire s'ébruite trop.
À 41 ans, Bruno Bilde est considéré comme l'un des incontournables du Front national, tout en restant l'une de ses figures discrètes. Il a été élu député en juin dernier, lors des élections législatives, et la politique coule dans ses veines, sa mère n'étant nul autre que l'eurodéputée Dominique Bilde. Le quadragénaire est également le "conseiller spécial" de Marine Le Pen depuis des années, précise Libération, après avoir été son chef de cabinet. Il est également proche de Steeve Briois, maire de la commune de Hénin-Beaumont, dans le Pas-de-Calais, et secrétaire général du Front national.
Devant un tel personnage, difficile de ne pas être intimidé. Mais à l'automne 2017, deux anciens assistants parlementaires décident de briser le silence, bientôt rejoint par un troisième : ils accusent Bruno Bilde de harcèlement sexuel. France 5 réalise alors une enquête, diffusée dans l'émission "C Politique". Les deux hommes témoignent. "La première chose qu'il m'a dite [en septembre 2011] c'est : 'tu as un beau cul'. Pas bonjour, ni rien. Je ne l'avais jamais vu de ma vie, il ne savait même pas qui j'étais", raconte Alexandre dans le reportage à propos de Bruno Bilde, selon des propos cités par Libération. "Commentaires graveleux", "mains aux fesses", "ambiance lourdingue"... les ex-assistants parlementaires décrivent le même comportement. Le troisième jeune homme a pour sa part évoqué des "gestes répétés, des massages sous couvert de 'camaraderie'", écrit le quotidien. Il s'est toutefois toujours tu, ne souhaitant pas s'attirer les foudres de sa hiérarchie, dit-il.
Dans les colonnes de Libération, il est avancé que le Front national aurait vivement réagi à cette interview, certains membres du parti allant même jusqu'à faire pression sur l'une des victimes présumées. "Cette déclaration va faire plus de mal que de bien. Une tape sur le ventre, un massage d'épaules, ce n'est pas une catastrophe", lui aurait ainsi écrit un frontiste, cite le quotidien. Sur Twitter, une fiche de paie de la seconde victime présumée, du temps où il travaillait au Parlement européen, est même relayée, sans que quiconque puisse en connaître la provenance. "Tu gagnais 5 000 euros et tu connaissais ou tu aurais dû connaître les conditions avant d'accepter", est-il écrit en légende de la photo.
De son côté, Bruno Bilde nie la totalité des accusations portées à son encontre. Selon les informations de Libération, le député estime que les accusateurs seraient des "philippotistes" qui cherchent à "se venger". Le premier est qualifié de "fou" et de "mythomane", le second d'"antisémite". Dans l'entourage du député, on répond que toutes ces accusations ne sont que des "mensonges", précise le quotidien. Celui-ci précise que les trois anciens assistants parlementaires ont sollicité les conseils d'un avocat et auraient commencé à "constituer un dossier". Toutefois, devant les pressions familiales, professionnelles, médiatiques, qu'un tel dossier pourrait déchaîner, les trois intéressés avouent avoir "un peu décroché".
L'un d'eux reconnaît qu'avec la naissance et l'ampleur du mouvement #balancetonporc, "il y a eu un emballement médiatique qui a permis à certains, dont nous, de parler car nous nous sentions moins seuls". Pour autant, il avoue être confronté à "la difficulté d'obtenir des témoignages de personnes qui pourraient nous appuyer et qui préfèrent se taire pour des raisons diverses et variées". Les preuves son minces, dit-il, et la bataille à engager promet d'être longue.

A peine l'abolition de la taxe d'habitation a-t-elle été annoncée, que la « ministre auprès du ministre », Jacqueline Gourault, a déclaré qu'elle sera remplacée par un nouvel impôt !
Sur le principe de payer un montant raisonnable d'impôts, la majorité des Français est d'accord, à condition que les impôts soient utilisés à favoriser la sécurité, un bon niveau d'instruction, la protection du territoire et la qualité de nos infrastructures.
Mais sur l'habitude qu'a l’État de nous voler notre argent pour nous faire la morale et favoriser le confort des étrangers en précarisant nos conditions de vie et de travail, là les Français entrent légitimement dans une colère que le Parti de la France partage.
En effet, nous dénonçons la politique du faux-jeune Emmanuel Macron, dont les recettes sont finalement celles du socialisme périmé : l'immigrationnisme forcené et le matraquage fiscal.
Contre cette politique qui détruit le pays et décourage l'initiative, rejoignez le Parti de la France et votez pour lui à toutes les élections !
Source : http://pdf14.com
Vendredi soir, Synthèse nationale organisait une réunion à Paris pour présenter le livre-entretien Un chemin de résistance que Carl Lang, Président du Parti de la France, vient de réaliser avec Jean-François Touzé, rédacteur en chef de la revue Confrontation.
Ce livre tombe à pic pour faire connaître au grand public, au moment où l'on assiste à une redistribution des cartes dans la famille nationale, son auteur, Carl Lang, qui depuis dix ans à la tête du PdF a dénoncé sans relâche les dérives des mauvais bergers qui ont conduit le FN au fond du gouffre.
Après la débâcle du printemps dernier, il est temps de proposer une nouvelle alternative aux patriotes. Cette alternative doit reposer sur les fondamentaux qui ont fait la spécificité et le succès de la Droite nationale depuis plus de trente ans. Le Parti de la France entend en être l'élément moteur. C'est ce que nous a expliqué avec conviction son Président lors de cette belle conférence qui enthousiasma les participants.
Dans Un chemin de résistance Carl Lang revient sur les motivations de son engagement aux côtés de Jean-Marie Le Pen à la fin des années 1970, il raconte aussi son ascension au sein du FN dont il fut à deux reprises Secrétaire général. Il expose ses idées par rapport aux enjeux d'aujourd'hui et sa conception moderne et réaliste du combat politique. Il ne veut pas d'un Front dédiabolisé, honteux de son passé, il incarne tout simplement la Droite nationale décomplexée présente pour l'avenir.
Pour la Droite nationale et identitaire, l'heure est venue de changer de cap. La période des illusions est révolue. Il est temps de revenir aux choses sérieuses...
Un chemin de résistance, Carl Lang, entretiens avec Jean-François Touzé, Les Bouquins de Synthèse nationale, 190 pages avec un cahier photos, 20 €, cliquez ici pour le commander

Il y avait le.la transsexuel.le, le.la transgenre, le.la transhumaniste, Transformers et tutti quanti… Maintenant il y aura la monstrueuse famille transgenre, la transfamille !
Une famille entière en Arizona a décidé de changer de sexe ! La maman est devenue Daniel Harrot, le « père » de famille, tandis que le vrai père est devenu une femme portant le doux nom de Shirley Austin. Le fils Mason, de 11 ans, veut devenir une fille, et, vice et versa, la sœur Joshua de 13 ans désire être un garçon…
Et vice et versa…
Source : http://medias-presse.info

Je ne vais pas, ici, détailler toutes les mesures envisagées par le gouvernement pour lutter contre l’insécurité routière et la dangerosité de certaines routes.
Certes, il est temps de taper fort sur le bitume pour adapter le réseau au trafic moderne et réel, plutôt que de s’en prendre d’abord et uniquement aux « délinquants » de la route, même si ceux-ci ont besoin d’être fermement et constamment rappelés à l’ordre.
Un point retient mon attention d’usager pragmatique aussi bien urbain que rural. La signalisation est faite avec des panneaux fixes, soigneusement codifiés et appris dans les auto-écoles. Cette signalisation est quasi immuable, qui traduit une sorte de tradition républicaine ayant traversé les années depuis l’invention du véhicule automobile… Paradoxe le plus spectaculaire : alors que certains détecteurs indiquent en temps réel à un conducteur sa vitesse excessive en identifiant et affichant sa plaque minéralogique, certains panneaux le long des autoroutes sont occultés manuellement – par les petits hommes en jaune – avec une rotation de 90 degrés !
Mais hormis travaux ou autres contraintes provisoires, les limitations sont quasiment fixes sur la plupart des voies routières, et en particulier sur celles que visent les décisions du gouvernement. Pourtant, les situations prévisibles et nombreuses sont connues ou identifiables qui pourraient, et devraient, moduler les limitations de vitesse en conséquence.
Quelques exemples non exhaustifs parmi les multiples particularités locales.
Une restriction encadrant une école, un collège, lycée ou autre établissement de l’éducation n’est plus justifiée en période de – larges et nombreux – congés scolaires. Les périodes de jour ou de nuit, d’été ou d’hiver, de beau temps ou de météo dégradée n’exigent pas les mêmes prudences. Les départementales de plaines ou de montagne, du Nord ou du Sud, présentent des risques très différents.
Certains axes supportant des fréquentations estivales denses sont notoirement allégés de trafic le reste du temps. Ce qui entraîne inéluctablement, en dehors de ces périodes chaudes, un dépassement sans risque des limites indiquées, particulièrement par les usagers locaux habitués de ces itinéraires et parfaitement instruits de la présence ou non d’espions-radar…
Cet état des moyens est particulièrement paradoxal à l’ère des objets dits « connectés », qui s’appliquent à nombre d’activités publiques et familiales.
En ce moment se tient, à Las Vegas, le Consumer Electronics Show où la représentation française est pléthorique – 300 micro-entreprises -, comme le vantent les nombreux commentateurs, soulignant les succès tricolores. On y évoque, en particulier, la voiture autonome, libérant le conducteur de sa précieuse et vigilante attention. On imagine que les limitations réglementaires seront judicieusement programmées dans le logiciel de conduite. Il conviendra, évidemment, qu’elles soient télé-modulables en fonction des restrictions temporaires, à l’instar des GPS actuels qui signalent les incidents, chantiers et autres bouchons. Mais aussi qu’elles soient inviolables par les petits malins pressés et bricoleurs de l’informatique…
En attendant cette époque à peine futuriste, ne serait-il pas opportun et possible que les panneaux routiers soient également connectés pour servir mieux, dans un ordre cohérent et en temps réel, le trafic et la sécurité des usagers ?
Henri Gizardin
Source : http://bvoltaire.com

Il s’agit d’un scandale majeur pour l’entreprise américaine Twitter. Des rumeurs courraient depuis des mois sur la politique de modération présumée militante de Twitter. Des membres de l’organisation « Project Veritas » ont décidé de mener l’enquête. Et ont clairement réussi à prouver qu’il existait un énorme problème au sein de Twitter.
Une enquête édifiante pour Twitter
« Enquêter et rendre publique la corruption, la malhonnêteté, la fraude et autres méfaits au sein des institutions publiques et privées afin de favoriser l’émergence d’une société plus éthique et transparente. » Tel est l’objectif affiché de « Project Veritas », cette organisation fondée par James O’Keefe.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les membres de cette organisation ont réussi leur coup. Jusqu’à faire vaciller le géant du numérique ? L’avenir le dire.
Reste que les enquêtes menées en infiltration avec caméras cachées vont poser d’énormes problèmes à Twitter.
Dans une vidéo édifiantes de 15 minutes, James O’Keefe égrène les biais politiques et idéologiques des employés de Twitter découvert durant l’enquête.
La censure de Twitter
Le « Shadow Banning », par exemple, permet aux employés de Twitter de rendre un tweet invisible aux autres utilisateurs sans que son auteur ne puisse s’en rendre compte.
Une vidéo montre un ancien ingénieur de Twitter expliquer cette pratique : « [Les utilisateurs] pensent que personne n’interagit avec leur contenu alors qu’en réalité, personne ne le voit. »
Former Twitter software engineer Abhinav Vadrevu on shadow banning: "they just think that no one is engaging with their content, when in reality, no one is seeing it" #ShadowBan -- WATCH THE FULL VIDEO: https://t.co/ev3bmCVGMQ pic.twitter.com/CxytLgRGsD
— Project Veritas (@Project_Veritas) 11 janvier 2018
Pire encore, un ingénieur encore en service admet (au cours d’une soirée visiblement bien arrosée), que Twitter enlève souvent la « certification » d’un individu (ce petit signe bleu à droite du pseudo) sur demande du gouvernement américain. Selon lui, ce serait donc probablement à cause de la demande du gouvernement de Barack Obama que Julian Assange aurait vu sa certification lui être refusée.
Why won't Twitter verify Julian Assange? Twitter Direct Messaging Engineer Pranay Singh tells us on hidden camera! #ShadowBan
— Project Veritas (@Project_Veritas) 11 janvier 2018
FULL VIDEO: https://t.co/ev3bmCVGMQ pic.twitter.com/ZqKmmE2rkl
Et ces pratiques ne semblent pas près de s’arrêter selon un des ingénieurs qui explique benoîtement qu’il travaille sur la mise en place d’un algorithme permettant la censure de certaines discussions « offensantes ».
Twitter is in the process of automating censorship and banning, says Twitter Software Engineer Steven Pierre -- #ShadowBanning
— Project Veritas (@Project_Veritas) 11 janvier 2018
SHARE VIDEO: https://t.co/ev3bmCVGMQ pic.twitter.com/DEh8M32yfw
Vient ensuite le double bouquet final.
Premièrement, Mo Noral, ancien membre du service des réclamations, explique que, si un compte pro-Trump est signalé et que les deux agents en charge du dossier sont anti-Trump, le compte ne fait pas long feu.
Deuxièmement, Olinda Hassan, responsable des conditions d’utilisation de Tiwtter, explique que son équipe « très controversée » selon ses propres mots, fait tout pour « essayer de faire en sorte que les personnes merdiques n’apparaissent pas » dans le fil Twitter.
Une dérive très inquiétante.
Source : http://breizh-info.com


Dominique Cottrez, condamnée en 2015 à 9 ans d'emprisonnement pour huit infanticides, va être remise en liberté conditionnelle le 22 janvier. Agée de 53 ans, l'aide-soignante avait reconnu avoir tué ses huit bébés, nouveau-nés. Les corps avaient été trouvés dans un pavillon et un jardin du village de Villers-au-Tertre (Nord) en juillet 2010. Dominique Cottrez avait été remise en liberté le 2 août 2012 après deux ans de détention provisoire, puis condamnée le 2 juillet 2015 à 9 ans d'emprisonnement par les assises du Nord. Elle aura passé un peu plus de 4 ans en prison. Elle avait été placée en détention provisoire de 2010 à 2012 puis écrouée à l'issue de son procès en juillet 2015.
Entre un avortement, légal, remboursé, encouragé, et l'infanticide d'un nouveau-né, il n'y a pas grande différence. On s'étonne même qu'elle ait pu faire de la prison...
Source : http://lesalonbeige.blogs.com

Jeudi 11 janvier, à l'occasion d'une réunion en compagnie de législateurs, les participants devaient évaluer la possibilité de restaurer des protections pour les immigrants en provenance notamment d'Afrique, du Salvador et d'Haïti, dans le cadre d'un projet de loi sur l'immigration. Des débats qui ont visiblement agacé Donald Trump.
Alors que M. Durbin lui expliquait qu'un tel accord aurait un impact sur les gens en provenance d'Haïti, Trump a répondu « Haïti ? Pourquoi est-ce qu'on veut avoir des gens d'Haïti ici ? » Et ensuite ils ont parlé de l'Afrique. « Pourquoi est-ce qu'on veut des gens qui viennent de tous ces pays de merde ? On devrait avoir plus de gens d'endroits comme la Norvège. »
Comme l'ont noté de nombreux journalistes, la réponse faite par la Maison Blanche dans la foulée ne niait d'ailleurs pas que le président des États-Unis ait tenu ces propos. Voici le contenu du communiqué : « Certains politiciens à Washington choisissent de se battre pour des pays étrangers, mais le président Trump se battra toujours pour le peuple américain. Le président n'acceptera un accord sur l'immigration que s'il s'attaque correctement au système d'attribution de visas par loterie et à la migration en chaîne, deux programmes qui fragilisent notre économie et permettent à des terroristes d'entrer dans notre pays. »
Et le texte continue ainsi : « Comme d'autres pays qui fondent leur politique d'immigration sur le mérite, le président Trump se bat pour trouver des solutions permanentes, qui rendront notre pays plus fort en accueillant ceux qui peuvent contribuer dans notre société, faire grandir notre économie et s'intégrer dans notre grande nation. Il rejettera toujours les solutions de circonstance, faibles et temporaires qui menacent la vie des travailleurs américains et sapent celle des immigrants venus légalement aux États-Unis chercher une vie meilleure. »

Trois surveillants du centre pénitentiaire de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais) ont été blessés ce jeudi après-midi à coups de ciseaux par un détenu islamiste, Christian Ganczarski. L’un des blessés, sérieusement touché, a été transporté en urgence à l’hôpital. Son pronostic vital ne serait pas engagé.
Ganczarski, un Allemand converti à l’islam, a été condamné à dix-huit ans de réclusion criminelle pour complicité dans l’attentat contre la synagogue de Djerba, en Tunisie (21 morts en avril 2002).
Il se trouvait à l’isolement depuis ce week-end. A l’ouverture de sa cellule, l’agresseur présumé se serait jeté sur les agents en criant : « Allaou Akbar ».
Une source interne à l’administration pénitentiaire indique que le détenu a visé la carotide sans y parvenir. Selon une source policière, sa peine arrivait à échéance en février.
Le parquet de Paris s'est saisi des faits. L'enquête, ouverte du chef de tentatives d'assassinats sur personnes dépositaires de l'autorité publique en relation avec une entreprise terroriste, a été confiée à la SDAT (sous-direction anti-terroriste) et à la DGSI (direction générale de la sécurité intérieure).