Carl Lang et les militants du Parti de la France, participeront comme chaque année, à la mobilisation de dimanche 21 janvier prochain, pour la douzième Marche pour la Vie.
Le premier des droits humains à défendre est le droit à la Vie. Face aux tenants de la Culture de mort qui veulent tout à la fois banaliser l'interruption volontaire de grossesse, créer un délit d'entrave numérique à l’IVG et légaliser l'euthanasie, Le Parti de la France et Carl Lang proposent l'inscription dans la Constitution du principe du respect de la Vie de la conception jusqu'à la mort naturelle ainsi que le remplacement des lois Veil, Roudy et Aubry par une grande politique familiale favorisant l'accueil de la Vie.
Sympathisants, cadres et militants du Parti de la France, nous comptons sur vous pour de nouveau vous mobiliser.
« La semaine où “Me Too” et la “liberté d’importuner” se sont écharpés », titrait, lundi matin, Madame Figaro pour résumer le pugilat de gynécée des jours passés.
Et il faudrait donc que toute femme choisisse son camp ? Catherine Millet ou Caroline De Haas ? Caroline De Haas ou Catherine Millet ? Merci bien, mais ça ne fait pas rêver. Permettez que je tire ma révérence, ciao, salut, je retourne au pays des femmes ordinaires, celles de la vraie vie, avec de vrais soucis, celles qui ne se demandent pas, toute la sainte journée, avec des postures de vestale, si elles aiment être un peu, beaucoup, pas du tout importunées, et si frôler n’est pas frotter.
Mesdames, ôtez-moi un doute : vous ai-je jamais élues, cooptées, désignées, déléguées, missionnées, pressenties pour me représenter ? Alors, de quel droit prétendriez-vous parler en mon nom ? Comme le dit Élisabeth Lévy, il n’y a pas de « parti unique des femmes », et je revendique le droit d’avoir une pensée propre, dont l’alpha ne serait pas mon ovaire gauche et l’oméga mon ovaire droit.
Dans Le Deuxième Sexe, Simone de Beauvoir dénonçait l’essentialisation de la femme, et s’indignait que l’on réduise celle-ci à ses organes génitaux. Comme on peut voir, son combat a porté ses fruits : à quoi la philosophe féministe Olivia Gazalé, dans son livre Le Mythe de la virilité, réduit-elle la femme, décrite en tant que « pénétrée » (sic), opprimée par les « pénétrants » (re-sic) ? Et à quoi le hashtag #BalanceTonPorc réduit-il les hommes ? Pas à leur cerveau, si ?
Évidemment, dans ce contexte, l’autre parti, celui des cent signataires, nous paraît sympathique, ne serait-ce – après la volée de bois vert que ces dames viennent de ramasser – que par solidarité entre taulards face à un maton commun.
Mais la vérité force à dire que, comme dans tout divorce – car c’est bien une tempête dans le verre d’eau de l’entre-soi parisien qui a eu lieu -, les torts sont partagés.
Si le #BalanceTonPorc rencontre un certain écho auprès des jeunes femmes, c’est bien que celles-ci perçoivent un climat d’agressivité sexuelle qui n’existait pas avant, né de la jonction de deux phénomènes :
Celui de la libération sexuelle portée par la génération Mai 68 – peu ou prou celle des signataires – qui a dérégulé les relations hommes-femmes, écrasant les étapes intermédiaires, promouvant dans le cinéma, la littérature, la presse, la pub et jusque dans l’éducation sexuelle dispensée à l’école un « amour libre » très entreprenant, assorti d’un vocabulaire plus que direct, tellement obnubilée par son interdit d’interdire que, même face à la pornographie, elle n’a rien trouvé à redire. Il suffit, pour s’en convaincre, de faire un test simple. Demandez donc à vos grands-mères si l’une d’elles, jadis, s’est entendu dire dans la cour de récréation : « Eh, meuf, t’es qu’une salope ! (ou une p…) », lot commun, aujourd’hui, des collégiennes.
Celui de l’arrivée massive, en Occident, d’une population qui, culturellement, ne porte pas le même regard sur la femme, avec cette fâcheuse propension à jauger, avec son curseur propre, la vertu d’une femme à sa façon de se vêtir.
À quel moment ces deux points cumulés, qui sont une évidence pour madame Tout-le-Monde même si elle n’a pas toujours les mots pour le dire, ont-ils été évoqués par l’un ou l’autre camp ? Quelle solution espère-t-on trouver si l’on n’a pas posé les hypothèses ? Quel débouché concret pourrait avoir ce dialogue de sourdes et d’aveugles patentées ?
Un jour prochain, la femme ordinaire, exaspérée d’être prise en main comme une éternelle fillette par des représentantes autoproclamées, se lèvera enfin. Non pour revenir à l’âge d’or d’une autre époque – qui n’existait pas, sinon Mai 68 ne serait pas arrivé -, mais pour rendre justice à une altérité bien comprise et, sur un terrain ainsi apaisé, retrouver le chemin du respect réciproque. Nombreuses, d’ailleurs, sont celles qui le vivent déjà. Mais ce ne sont pas elles, penses-tu, que l’on fait témoigner.
Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, a de nouveau jugé « scandaleux » le « tri » voulu selon lui par le gouvernement entre les « bons » et les « mauvais » migrants, estimant qu’il était du « devoir » de la France de « les accueillir tous ».
« L’histoire de notre pays et le devoir de notre pays c’est d’accueillir des gens qui sont dans la souffrance, les accueillir tous, tous » et « dans de bonnes conditions », a plaidé M. Martinez sur France inter.
« C’est scandaleux », s’est indigné le communiste xénophile. La France doit selon lui « les accueillir tous » soulignant que le nombre de migrants sur le territoire « ne représent(ait) pas un chiffre considérable ».
• Libertés d’expression : jamais en Europe et en particulier en France, la liberté d’expression n’a été aussi menacée. Censure, poursuite pénale, soumission absolue des médias mainstream qui bénéficient de 4 milliards d’euros de financements publics… Mais ce n’est pas suffisant, visiblement !
• De la cadence des trains à la décadence de la France. La SNCF, vitrine autrefois de l’excellence française est désormais celle du déclin qui la frappe. Une dette colossale, une politique de développement contraire à ses intérêts et à sa mission de service publique, des syndicats tout puissants et saboteurs, un président indéboulonnable grâce à ses puissants soutiens issus du lobby gay : voilà un tableau d’affichage digne d’une gare abandonnée !
• 12e Marche pour la vie le 21 janvier prochain. Malgré les menaces judiciaires qui pèsent contre ceux qui dénonce le génocide français qu’est l’avortement de masse permit par la loi Veil, le Parti de la France sera dans la rue pour réclamer une grande politique familiale favorisant l'accueil de la Vie.
• Uranium One. Ce n’est pas le titre du dernier roman de Tom Clancy, mais il y a bien des Russes, de l’uranium militaire, de la corruption, de la trahison, une enquête du FBI et tout cela porte sur la Fondation Clinton. Plongée en eaux très troubles de la campagne présidentielle américaine…
Et pour finir, l’actualité du parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement. Si vous regardez cette émission, c’est que vous êtes entrés en Résistance et que pour vous aussi, nos libertés ne sont pas négociables.
Alors que le maire musulman de Londres vient de récemment se féliciter d’avoir obtenu l’annulation de la venue du président américain au Royaume-Uni pour cause « d’islamophobie », c’est l’armée britannique qui a retenu l’attention pour sa nouvelle campagne de recrutement.
Dans la vidéo produite par le ministère de la Défense anglais, on peut voir un musulman prier avec le slogan « garder la foi ».
Les retombées de l'affaire Weinstein et #balancetonporc ont gagné les rangs du Front national. C'était en novembre dernier. Dans son édition dominicale, Libération rappelle que plusieurs anciens assistants parlementaires ont accusé l'élu du Pas-de-Calais Bruno Bilde de harcèlement sexuel. Surtout, évoque le quotidien, au sein du parti, on se serait livré à des techniques d'intimidation pour ne pas que l'affaire s'ébruite trop.
À 41 ans, Bruno Bilde est considéré comme l'un des incontournables du Front national, tout en restant l'une de ses figures discrètes. Il a été élu député en juin dernier, lors des élections législatives, et la politique coule dans ses veines, sa mère n'étant nul autre que l'eurodéputée Dominique Bilde. Le quadragénaire est également le "conseiller spécial" de Marine Le Pen depuis des années, précise Libération, après avoir été son chef de cabinet. Il est également proche de Steeve Briois, maire de la commune de Hénin-Beaumont, dans le Pas-de-Calais, et secrétaire général du Front national.
"Commentaires graveleux" et "mains aux fesses"
Devant un tel personnage, difficile de ne pas être intimidé. Mais à l'automne 2017, deux anciens assistants parlementaires décident de briser le silence, bientôt rejoint par un troisième : ils accusent Bruno Bilde de harcèlement sexuel. France 5 réalise alors une enquête, diffusée dans l'émission "C Politique". Les deux hommes témoignent. "La première chose qu'il m'a dite [en septembre 2011] c'est : 'tu as un beau cul'. Pas bonjour, ni rien. Je ne l'avais jamais vu de ma vie, il ne savait même pas qui j'étais", raconte Alexandre dans le reportage à propos de Bruno Bilde, selon des propos cités par Libération. "Commentaires graveleux", "mains aux fesses", "ambiance lourdingue"... les ex-assistants parlementaires décrivent le même comportement. Le troisième jeune homme a pour sa part évoqué des "gestes répétés, des massages sous couvert de 'camaraderie'", écrit le quotidien. Il s'est toutefois toujours tu, ne souhaitant pas s'attirer les foudres de sa hiérarchie, dit-il.
Dans les colonnes de Libération, il est avancé que le Front national aurait vivement réagi à cette interview, certains membres du parti allant même jusqu'à faire pression sur l'une des victimes présumées. "Cette déclaration va faire plus de mal que de bien. Une tape sur le ventre, un massage d'épaules, ce n'est pas une catastrophe", lui aurait ainsi écrit un frontiste, cite le quotidien. Sur Twitter, une fiche de paie de la seconde victime présumée, du temps où il travaillait au Parlement européen, est même relayée, sans que quiconque puisse en connaître la provenance. "Tu gagnais 5 000 euros et tu connaissais ou tu aurais dû connaître les conditions avant d'accepter", est-il écrit en légende de la photo.
Bruno Bilde nie
De son côté, Bruno Bilde nie la totalité des accusations portées à son encontre. Selon les informations de Libération, le député estime que les accusateurs seraient des "philippotistes" qui cherchent à "se venger". Le premier est qualifié de "fou" et de "mythomane", le second d'"antisémite". Dans l'entourage du député, on répond que toutes ces accusations ne sont que des "mensonges", précise le quotidien. Celui-ci précise que les trois anciens assistants parlementaires ont sollicité les conseils d'un avocat et auraient commencé à "constituer un dossier". Toutefois, devant les pressions familiales, professionnelles, médiatiques, qu'un tel dossier pourrait déchaîner, les trois intéressés avouent avoir "un peu décroché".
L'un d'eux reconnaît qu'avec la naissance et l'ampleur du mouvement #balancetonporc, "il y a eu un emballement médiatique qui a permis à certains, dont nous, de parler car nous nous sentions moins seuls". Pour autant, il avoue être confronté à "la difficulté d'obtenir des témoignages de personnes qui pourraient nous appuyer et qui préfèrent se taire pour des raisons diverses et variées". Les preuves son minces, dit-il, et la bataille à engager promet d'être longue.
A peine l'abolition de la taxe d'habitation a-t-elle été annoncée, que la « ministre auprès du ministre », Jacqueline Gourault, a déclaré qu'elle sera remplacée par un nouvel impôt !
Sur le principe de payer un montant raisonnable d'impôts, la majorité des Français est d'accord, à condition que les impôts soient utilisés à favoriser la sécurité, un bon niveau d'instruction, la protection du territoire et la qualité de nos infrastructures.
Mais sur l'habitude qu'a l’État de nous voler notre argent pour nous faire la morale et favoriser le confort des étrangers en précarisant nos conditions de vie et de travail, là les Français entrent légitimement dans une colère que le Parti de la France partage.
En effet, nous dénonçons la politique du faux-jeune Emmanuel Macron, dont les recettes sont finalement celles du socialisme périmé : l'immigrationnisme forcené et le matraquage fiscal.
Contre cette politique qui détruit le pays et décourage l'initiative, rejoignez le Parti de la France et votez pour lui à toutes les élections !
Vendredi soir, Synthèse nationale organisait une réunion à Paris pour présenter le livre-entretien Un chemin de résistance que Carl Lang, Président du Parti de la France, vient de réaliser avec Jean-François Touzé, rédacteur en chef de la revue Confrontation.
Ce livre tombe à pic pour faire connaître au grand public, au moment où l'on assiste à une redistribution des cartes dans la famille nationale, son auteur, Carl Lang, qui depuis dix ans à la tête du PdF a dénoncé sans relâche les dérives des mauvais bergers qui ont conduit le FN au fond du gouffre.
Après la débâcle du printemps dernier, il est temps de proposer une nouvelle alternative aux patriotes. Cette alternative doit reposer sur les fondamentaux qui ont fait la spécificité et le succès de la Droite nationale depuis plus de trente ans. Le Parti de la France entend en être l'élément moteur. C'est ce que nous a expliqué avec conviction son Président lors de cette belle conférence qui enthousiasma les participants.
Dans Un chemin de résistance Carl Lang revient sur les motivations de son engagement aux côtés de Jean-Marie Le Pen à la fin des années 1970, il raconte aussi son ascension au sein du FN dont il fut à deux reprises Secrétaire général. Il expose ses idées par rapport aux enjeux d'aujourd'hui et sa conception moderne et réaliste du combat politique. Il ne veut pas d'un Front dédiabolisé, honteux de son passé, il incarne tout simplement la Droite nationale décomplexée présente pour l'avenir.
Pour la Droite nationale et identitaire, l'heure est venue de changer de cap. La période des illusions est révolue. Il est temps de revenir aux choses sérieuses...
Un chemin de résistance, Carl Lang, entretiens avec Jean-François Touzé, Les Bouquins de Synthèse nationale, 190 pages avec un cahier photos, 20 €, cliquez ici pour le commander
Il y avait le.la transsexuel.le, le.la transgenre, le.la transhumaniste, Transformers et tutti quanti… Maintenant il y aura la monstrueuse famille transgenre, la transfamille !
Une famille entière en Arizona a décidé de changer de sexe ! La maman est devenue Daniel Harrot, le « père » de famille, tandis que le vrai père est devenu une femme portant le doux nom de Shirley Austin. Le fils Mason, de 11 ans, veut devenir une fille, et, vice et versa, la sœur Joshua de 13 ans désire être un garçon…
Je ne vais pas, ici, détailler toutes les mesures envisagées par le gouvernement pour lutter contre l’insécurité routière et la dangerosité de certaines routes.
Certes, il est temps de taper fort sur le bitume pour adapter le réseau au trafic moderne et réel, plutôt que de s’en prendre d’abord et uniquement aux « délinquants » de la route, même si ceux-ci ont besoin d’être fermement et constamment rappelés à l’ordre.
Un point retient mon attention d’usager pragmatique aussi bien urbain que rural. La signalisation est faite avec des panneaux fixes, soigneusement codifiés et appris dans les auto-écoles. Cette signalisation est quasi immuable, qui traduit une sorte de tradition républicaine ayant traversé les années depuis l’invention du véhicule automobile… Paradoxe le plus spectaculaire : alors que certains détecteurs indiquent en temps réel à un conducteur sa vitesse excessive en identifiant et affichant sa plaque minéralogique, certains panneaux le long des autoroutes sont occultés manuellement – par les petits hommes en jaune – avec une rotation de 90 degrés !
Mais hormis travaux ou autres contraintes provisoires, les limitations sont quasiment fixes sur la plupart des voies routières, et en particulier sur celles que visent les décisions du gouvernement. Pourtant, les situations prévisibles et nombreuses sont connues ou identifiables qui pourraient, et devraient, moduler les limitations de vitesse en conséquence.
Quelques exemples non exhaustifs parmi les multiples particularités locales.
Une restriction encadrant une école, un collège, lycée ou autre établissement de l’éducation n’est plus justifiée en période de – larges et nombreux – congés scolaires. Les périodes de jour ou de nuit, d’été ou d’hiver, de beau temps ou de météo dégradée n’exigent pas les mêmes prudences. Les départementales de plaines ou de montagne, du Nord ou du Sud, présentent des risques très différents.
Certains axes supportant des fréquentations estivales denses sont notoirement allégés de trafic le reste du temps. Ce qui entraîne inéluctablement, en dehors de ces périodes chaudes, un dépassement sans risque des limites indiquées, particulièrement par les usagers locaux habitués de ces itinéraires et parfaitement instruits de la présence ou non d’espions-radar…
Cet état des moyens est particulièrement paradoxal à l’ère des objets dits « connectés », qui s’appliquent à nombre d’activités publiques et familiales.
En ce moment se tient, à Las Vegas, le Consumer Electronics Show où la représentation française est pléthorique – 300 micro-entreprises -, comme le vantent les nombreux commentateurs, soulignant les succès tricolores. On y évoque, en particulier, la voiture autonome, libérant le conducteur de sa précieuse et vigilante attention. On imagine que les limitations réglementaires seront judicieusement programmées dans le logiciel de conduite. Il conviendra, évidemment, qu’elles soient télé-modulables en fonction des restrictions temporaires, à l’instar des GPS actuels qui signalent les incidents, chantiers et autres bouchons. Mais aussi qu’elles soient inviolables par les petits malins pressés et bricoleurs de l’informatique…
En attendant cette époque à peine futuriste, ne serait-il pas opportun et possible que les panneaux routiers soient également connectés pour servir mieux, dans un ordre cohérent et en temps réel, le trafic et la sécurité des usagers ?
Il s’agit d’un scandale majeur pour l’entreprise américaine Twitter. Des rumeurs courraient depuis des mois sur la politique de modération présumée militante de Twitter. Des membres de l’organisation « Project Veritas » ont décidé de mener l’enquête. Et ont clairement réussi à prouver qu’il existait un énorme problème au sein de Twitter.
Une enquête édifiante pour Twitter
« Enquêter et rendre publique la corruption, la malhonnêteté, la fraude et autres méfaits au sein des institutions publiques et privées afin de favoriser l’émergence d’une société plus éthique et transparente. » Tel est l’objectif affiché de « Project Veritas », cette organisation fondée par James O’Keefe. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les membres de cette organisation ont réussi leur coup. Jusqu’à faire vaciller le géant du numérique ? L’avenir le dire.
Reste que les enquêtes menées en infiltration avec caméras cachées vont poser d’énormes problèmes à Twitter.
Dans une vidéo édifiantes de 15 minutes, James O’Keefe égrène les biais politiques et idéologiques des employés de Twitter découvert durant l’enquête.
La censure de Twitter
Le « Shadow Banning », par exemple, permet aux employés de Twitter de rendre un tweet invisible aux autres utilisateurs sans que son auteur ne puisse s’en rendre compte.
Une vidéo montre un ancien ingénieur de Twitter expliquer cette pratique : « [Les utilisateurs] pensent que personne n’interagit avec leur contenu alors qu’en réalité, personne ne le voit. »
Former Twitter software engineer Abhinav Vadrevu on shadow banning: "they just think that no one is engaging with their content, when in reality, no one is seeing it" #ShadowBan -- WATCH THE FULL VIDEO: https://t.co/ev3bmCVGMQpic.twitter.com/CxytLgRGsD
Pire encore, un ingénieur encore en service admet (au cours d’une soirée visiblement bien arrosée), que Twitter enlève souvent la « certification » d’un individu (ce petit signe bleu à droite du pseudo) sur demande du gouvernement américain. Selon lui, ce serait donc probablement à cause de la demande du gouvernement de Barack Obama que Julian Assange aurait vu sa certification lui être refusée.
Why won't Twitter verify Julian Assange? Twitter Direct Messaging Engineer Pranay Singh tells us on hidden camera! #ShadowBan
Et ces pratiques ne semblent pas près de s’arrêter selon un des ingénieurs qui explique benoîtement qu’il travaille sur la mise en place d’un algorithme permettant la censure de certaines discussions « offensantes ».
Twitter is in the process of automating censorship and banning, says Twitter Software Engineer Steven Pierre -- #ShadowBanning
Premièrement, Mo Noral, ancien membre du service des réclamations, explique que, si un compte pro-Trump est signalé et que les deux agents en charge du dossier sont anti-Trump, le compte ne fait pas long feu.
Deuxièmement, Olinda Hassan, responsable des conditions d’utilisation de Tiwtter, explique que son équipe « très controversée » selon ses propres mots, fait tout pour « essayer de faire en sorte que les personnes merdiques n’apparaissent pas » dans le fil Twitter.