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Le blog politique de Thomas JOLY

Attaque de Christchurch en Nouvelle-Zélande : un nouveau drame du multiculturalisme

15 Mars 2019, 07:47am

Publié par Thomas Joly

Le carnage qui a eut lieu dans deux mosquées en Nouvelle -Zélande à Christchurch a fait au moins 49 morts. L'auteur présumé, Brenton Tarrant, 28 ans, qui s'est filmé pendant son acte, a publié un manifeste de 87 pages où il dénonce un « génocide blanc », il se présente comme un « homme blanc ordinaire » et explique être né « dans une famille de la classe ouvrière ayant de faibles revenus ».

Dans ce long texte, l'assaillant déclare que les moments clé de sa radicalisation furent la défaite de Marine Le Pen à la présidentielle française de 2017 et une attaque au camion qui a fait cinq morts à Stockholm en avril 2017. Le titre de son manifeste, « The Great Replacement », fait référence à la théorie de l'écrivain Renaud Camus. « Cela faisait de nombreuses années que j'entendais et lisais sur l'invasion de la France par des non-Blancs », écrit-il. « Une fois arrivé en France, j'ai découvert que les histoires étaient non seulement vraies, mais profondément sous-estimées. Dans chaque ville française, les envahisseurs étaient présents ».

À vouloir imposer une immigration planétaire et surtout musulmane à tous les pays occidentaux, les tenants du mondialisme cosmopolite provoquent délibérément le choc des civilisations qui aboutit inéluctablement à des sociétés multiconflictuelles et à des tragédies de ce type.

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Buzz autour d’une menace de grève des IVG

15 Mars 2019, 07:23am

Publié par Thomas Joly

Tout comme la ministresse de la Santé, les féministes hystéro-compulsives ont réagi au quart de tour à l’initiative du Syndicat national des gynécologues obstétriciens de France (SYNGOF), qui a recommandé à ses membres de « se tenir prêts » à une grève des IVG. Et la provocation a bien marché.

Tour à tour, #Osezleféminisme, le Planning familial et, bien évidemment, Marlène Schiappa se sont fendus de communiqués pour stigmatiser cette « prise en otage des femmes ». Sans oublier la condamnation du Conseil national de l’ordre, qui considère rituellement que les médecins n’ont qu’un seul et unique droit : soigner et fermer leurs g… Mais « si vous ne créez pas le buzz, on ne vous entend pas », se désole le docteur de Rochambeau président du SYNGOF, qui voulait alerter sur un sujet qu’il dit « trop technique pour intéresser la presse ».

Or, la question est toute simple : pour un accouchement, un·e obstricien·ne (je m’y mets !) est payé 313,50 € et son assurance en responsabilité professionnelle – en raison de la judiciarisation démente de la médecine – coûte environ 40.000 €. Ce qui veut dire que les 120 premiers bébés qu’il met au monde dans l’année lui financent simplement de quoi payer son assurance.

Est-il, à ce prix-là, au moins bien couvert en cas d’erreur médicale ? Même pas. Parce que jusqu’en 2012, avant qu’un fonds commun n’en prenne en charge les dépassements, les assureurs ne couvraient que jusqu’à un certain plafond.

C’est ainsi qu’aujourd’hui, une bonne dizaine de gynéco-obstétriciens sont encore condamnés à payer des sommes non couvertes en totalité par leur assurance professionnelle ; et c’est un domaine où on compte plutôt en millions. Rappelons, par ailleurs, que quelqu’un qui s’estime victime d’un handicap par la faute de celui qui l’a mis au monde peut porter plainte pendant trente ans, auxquels s’ajoute l’âge de la majorité, soit 48 ans ! On comprend mieux pourquoi les vocations se font rares.

Mais grâce au tollé, Agnès Buzyn assure aujourd’hui que son ministère « suit le dossier de très près », tout en indiquant « qu’il ne pourra être traité efficacement que dans la sérénité nécessaire et l’esprit de responsabilité de chacun ». Ben voilà…

Et que ces dames se rassurent : une grève des curettes et des aspirateurs n’est pas pour demain. Jamais, en France, même quand les plus graves menaces pesaient sur la médecine libérale, aucun syndicat n’a réussi un seul jour de grève générale. Seuls, s’il m’en souvient bien, mes confrères israéliens et belges ont réussi de tels exploits face aux petits hommes gris qui, dans ces cas-là, lèvent les bras au ciel en nous disant « Vous avez la chance de faire un si beau métier, et en plus… vous voudriez de l’argent ! »

Richard Hanlet

Source : http://bvoltaire.fr

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« Les mondialistes manipulent les plus jeunes pour imposer le mythe du réchauffement climatique »

15 Mars 2019, 07:10am

Publié par Thomas Joly

Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, en ce jour de mobilisation soi-disant « spontanée » des collégiens et lycéens français pour le climat, dénonce une manipulation mondialiste.

 

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Banlieues colonisées : le livre sans tabou d’un ancien préfet

14 Mars 2019, 07:23am

Publié par Thomas Joly

« 40 ans dans les cités », le livre témoignage que publie Michel Aubouin, nous dissuade de détourner les yeux. L’auteur, un ancien préfet qui a lui-même grandi dans un quartier HLM, a derrière lui une longue carrière au contact de ces territoires. Ce familier des cités raconte dans un livre à paraître ce jeudi 14 mars l’état dramatique de ces quartiers. Et imagine ce qu’ils peuvent devenir.

Il a notamment rendu à Manuel Valls, en 2016, un rapport sur la situation de Grigny, la ville la plus pauvre de France, dans l’Essonne. Politique de logement erratique, urbanisme hasardeux, crise de l’emploi, échec de l’intégration, montée du communautarisme… Son récit a le mérite d’embrasser l’ensemble des causes de la lente décomposition des cités françaises. Sans raccourci et sans tabou.

Depuis maintenant 40 ans, plusieurs « plans banlieues » se sont succédés pour faire bouger les choses dans ces quartiers. L’on peut notamment citer la création des zones d’éducation prioritaire en 1981 ou le plan Borloo de rénovation urbaine en 2005. Sur 25 ans, les engagements financiers à cet effet s’élèvent à 75 milliards d’euros. Et pourtant, cela n'a eu aucun impact majeur sur le terrain.

Même si ce que révèle ce livre n'étonnera personne et que l'invasion migratoire n'y est évidemment pas remise en cause, qu'un ancien serviteur zélé du Système aborde ce sujet avec préoccupation démontre la gravité de la situation dans ces zones occupées.

Source : http://fdesouche.com

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Clémentine Autain et le retour en France des djihadistes : angélisme ou connivence ?

14 Mars 2019, 07:23am

Publié par Thomas Joly

Elle n’est pas la moins sincère des carriéristes de gauche et on pourrait la créditer d’honnêteté intellectuelle si son jugement n’était altéré par des a priori idéologiques. Quand Clémentine Autain organise, à l’Assemblée nationale, une rencontre avec le collectif Familles unies, fondé en 2017 pour soutenir les familles touchées par la radicalisation islamiste, on est obligé de se poser des questions sur ses motivations et ses intentions.

Ce député de La France insoumise rencontrera donc, prochainement, le collectif Familles unies. Ne nous méprenons pas : il ne s’agit pas de mener une croisade pour défendre la famille – pas la famille traditionnelle, en tout cas – mais de préserver l’unité des familles de djihadistes partis combattre en Syrie et en Irak aux côtés de l’État islamique.

« Le point commun de tous les parents », peut-on lire sur le site du collectif, « est qu’ils sont tous victimes d’une idéologie mortifère, qui a entraîné leurs enfants dans une zone de guerre, pour les sacrifier en première ligne, au nom de cette idéologie ». Un objectif apparemment louable. Ils ont décidé de se réunir « en un collectif laïc et républicain, respectueux des différences philosophiques, politiques et religieuses ». Un lieu de rencontre et d’entraide ?

On peut comprendre que des familles françaises, consternées de voir leurs enfants rejoindre les combattants islamiques, éprouvent le besoin d’évoquer entre elles leur situation. Ne serait-ce que pour confronter les conditions de leur départ et en tirer des leçons afin que de tels faits ne se renouvellent pas. Mais la réunion organisée à l’Assemblée n’est pas une rencontre destinée à se soutenir ou à prévenir. Il s’agit « [d’échanger] avec des parents de jeunes partis faire le djihad », de s’entretenir du sort des enfants de djihadistes et d’étudier, au-delà des « non-dits et négociations secrètes », quelles actions pourraient être menées pour le retour de ces enfants.

On ne peut reprocher à ce collectif de se préoccuper de l’avenir d’enfants dont les parents risquent d’être condamnés à mort. Mais la lecture de ses communiqués montre que leur attention ne se limite pas aux enfants innocents, emmenés de force ou nés sur place. Ainsi, dans un communiqué du 26 décembre 2018, sous le titre « Les Français détenus dans les camps et les prisons en Syrie vont-il être livrés à Assad ? », il réclame « le rapatriement immédiat des enfants et des ressortissants français détenus en Syrie ».

S’il insiste sur la souffrance des enfants, il estime que ce sont tous les djihadistes français et leurs familles, « en danger de mort », qui doivent être rapatriés d’urgence. Les adultes prisonniers, « aussi coupables soient-ils », doivent être jugés dans des « procès équitables ».

En appuyant une telle démarche, Clémentine Autain fait-elle preuve d’un angélisme irresponsable ou confirme-t-elle les soupçons d’islamo-gauchisme portés contre une partie de l’extrême gauche ?

Si les enfants reviennent en France, le gouvernement doit préparer sérieusement leur réinsertion, qui sera difficile après les traumatismes et les endoctrinements qu’ils ont subis. Quant aux djihadistes, hommes et femmes, s’il ne faut pas répondre à la barbarie par la barbarie, son premier devoir est de protéger l’ensemble des Français du danger que représenterait leur retour.

C’en est assez de s’apitoyer sur des criminels qui ont choisi de trahir la France et de la combattre ! D’autant plus que la plupart sont des fanatiques, des jusqu’au-boutistes qui n’ont aucune intention de se repentir.

Philippe Kerlouan

Source : http://bvoltaire.fr

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Depuis 2012, les recettes fiscales de l'État ont explosé

13 Mars 2019, 15:27pm

Publié par Thomas Joly

Entre 2012 et 2017, les impôts et taxes ont explosé, comme le montre ce tableau de l'INSEE et de la DGFIP, organismes pourtant au service du Système. Emmanuel Macron et son gouvernement poursuivent le matraquage fiscal des Français.

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Le « Financial Times » affirme que Macron est « sur la voie du despotisme »

13 Mars 2019, 14:57pm

Publié par Thomas Joly

The Financial Times, prestigieux quotidien financier britannique connu pour sa couleur saumon, ne mâche pas ses mots à propos d’Emmanuel Macron. Pour le journal le plus lu du monde des affaires, Macron est désormais engagé sur la voie du despotisme.

FT (source) :

Vite, nommez un pays : critiqué cette semaine par la présidente de la Commission de l’ONU pour les Droits de l’Homme pour son usage excessif de la force contre les manifestants, son gouvernement a fait passer une série de lois pour réprimer les manifestations, dissoudre les réseaux d’opposants, promouvoir une « vérité officielle » et supprimer les contenus sur les réseaux sociaux. Maintenant, son président évoque ouvertement la possibilité de nommer des fonctionnaires pour superviser les médias et contrôler l’information.

Bienvenue en France, patrie d’Emmanuel Macron, le chéri des progressistes. Les manifestants, évidemment, sont les méchants Gilets Jaunes, qui pourront être interdits individuellement de participer à des manifestations et seront placés sur une liste spéciale à la faveur de la loi « anti-émeute » votée le mois dernier par l’Assemblée Nationale. Les opposants, pendant ce temps-là, sont à l’extrême-droite. Monsieur Macron a juré de dissoudre (jusqu’à présent légales) leurs associations. Les restrictions sur la liberté d’expression sont débattues au sujet des ignobles « antisionistes » afin de combler un vide existant dans la loi qui interdit pourtant déjà l’antisémitisme. La promotion d’une vérité officielle est la conséquence inévitable de la loi bien intentionnée contre « les fausses nouvelles » votée en novembre dernier.  

Et bien, non. L’État de droit ne fonctionne pas de cette façon. Tolérer les attitudes déviantes, irritantes, excentriques qui ne blessent pas directement les autres est la définition même d’une société ouverte. En essayant de définir qui est autorisé à écrire, parler, tweeter ou manifester, M. Macron risque d’élargir le fossé avec ses opposants.

En répondant à chaque mot social par des lois qui réprime l’opinion publique générale, le gouvernement exacerbe les tensions. Il pose également les jalons pour des abus beaucoup plus graves, si ce n’est par son gouvernement, du moins par ses successeurs. M. Macron en prétendant agir pour préserver les normes morales conventionnelles devient d’autant plus menaçant.

Monsieur Macron est sur une pente glissante vers un « despotisme démocratique » qui est familier pour les lecteurs d’Alexis de Tocqueville. Il place le bien et la sécurité publics au dessus des droits individuels. Cela reflète une tendance inquiétante de la part des démocraties d’emprunterles méthodes des régimes autoritaires. Nous ne pouvons pas être complaisants.

Interdire des contenus outranciers sur les réseaux sociaux est de la censure. Collecter des informations biométriques est de la surveillance. Emprisonner de possibles délinquants avant qu’ils aient commis le moindre crime est de la répression. Blesser des manifestants est de la violence d’état et imposer une « neutralité » aux rédactions est de l’autoritarisme. Les citoyens devraient résister à la tentative d’imposer la vertu par la force.

Voilà un constat partagé par beaucoup de personnes dans l’Hexagone que l’on ne retrouvera pas dans la presse d’État.

Et pour cause : elle est contrôlée par le pouvoir.

Lorsque l’ONU a récemment critiqué l’usage de la répression policière contre les manifestations populaires en France, c’est un des principaux journalistes français qui a réagi pour protéger le gouvernement en évoquant une « sous-secrétaire » désœuvrée qui « s’ennuyait ».

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Que cache l’interminable feuilleton du dernier bastion de Daech en Syrie ?

13 Mars 2019, 13:42pm

Publié par Thomas Joly

C’est une fin qui n’en finit plus. L’affaire devait durer quelques jours, voire quelques semaines, et elle traîne en longueur depuis plusieurs mois malgré les intenses bombardements américains. Les FDS (Forces démocratiques syriennes), ces combattants recrutés par les États-Unis et composés de Kurdes dans leur grande majorité, avancent plusieurs explications pour justifier le piétinement de leurs troupes devant ces deux misérables kilomètres carrés à reconquérir.

La principale est le nombre de civils vivant à Baghouz ou dans les tunnels creusés par Daech, et ses prisonniers. Ces civils se sont enfuis vers les lignes kurdes pour certains, mais la plupart ont été autorisés à rejoindre les FDS. Quelques centaines au début, par petits groupes, puis en nombre croissant. Certains jours, de très longs cortèges de femmes en noir accompagnées de nombreux enfants et d’hommes, sans identité pour beaucoup, se pressaient vers les troupes kurdes.

Aujourd’hui, les FDS estiment que ce sont près de 60.000 personnes qui ont ainsi quitté le territoire lilliputien de Daech, où ils mouraient de faim. Il a été beaucoup dit que l’État islamique se débarrassait ainsi de bouches inutiles. Voire !

Une autre thèse est également envisageable : il s’agit de permettre aux épouses et veuves de sauver les enfants afin d’en faire de futurs combattants islamistes. Les déclarations entendues sur de nombreuses chaînes de télévision ou de radio sont très éloquentes à cet égard. Quant aux hommes, ils n’étaient jamais des combattants mais affectés à des tâches manuelles et subalternes. Qui peut croire cela ?

Daech adapte, en fait, sa stratégie à sa défaite du moment : le califat est mort et à la notion de territorialité vont se substituer les combats clandestins, les coups de main et les attentats aveugles.

Les FDS ont également reconnu que de longues négociations avaient eu lieu pour la libération de prisonniers kurdes détenus par Daech ; en échange de quoi ? On sait que lors de la chute de Raqqa, la capitale syrienne de l’État islamique, plusieurs centaines de combattants islamistes ont été autorisés à partir vers Baghouz. Les Américains avaient tenté de s’y opposer, mais quand on fait faire le travail par les autres…

Un autre point retient l’attention dans cet étrange imbroglio : à l’automne, les FDS affirmaient qu’environ 2.000 combattants et leurs familles se trouvaient dans le dernier réduit de Daech. On en est à 60.000 ! Comment l’armée américaine peut-elle se tromper à ce point ? C’est un mystère mais, de ce fait, la gestion de tous ces prisonniers est impossible. Cela expliquerait la récente demande de Donald Trump concernant le rapatriement des djihadistes dans leurs pays d’origine. C’est un risque immense pour tous les pays concernés, mais les Américains font valoir que le risque de voir tous ces combattants disparaître dans la nature est plus grand encore.

Il est certain que les Kurdes ont bien expliqué qu’ils n’avaient pas vocation à jouer les gardes-chiourme du monde entier. Or, le camp de réfugiés qu’ils gèrent, à Al-Hom, est aujourd’hui saturé, avec 55.000 personnes. Qu’en faire ?

Le califat est mort, mais pas ses militants.

Antoine de Lacoste

Source : http://bvoltaire.fr

 

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Vivre ensemble carcéral : un détenu étrangle un surveillant parce qu'il a marché sur son tapis de prière

12 Mars 2019, 07:35am

Publié par Thomas Joly

L’émotion était encore vive lundi devant le centre pénitentiaire de Bourg-en-Bresse (Ain). Plusieurs surveillants des syndicats FO et UFAP (Union fédérale autonome pénitentiaire) ont en effet bloqué l’accès à la prison en soutien à leur collègue, agressé dimanche par un détenu. Comme le révèle Le Progrès, un détenu s’en est pris violemment à un surveillant en lui saisissant la gorge, serrant sa victime pendant plusieurs secondes. Selon les précisions du quotidien régional, le détenu aurait reproché au surveillant d’avoir marché sur son « tapis de prière ».

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Samedi 11 mai, le Parti de la France fête ses 10 ans à Paris !

12 Mars 2019, 07:13am

Publié par Thomas Joly

Samedi 11 mai, le Parti de la France célébrera ses 10 ans d'existence au cours d'un grand banquet dans un prestigieux restaurant du Paris historique. Tout au long de la journée, des personnalités qui ont contribué à la fondation et au développement de notre mouvement prendront la parole.

Afin que le maximum de militants et de sympathisants du Parti de la France puisse participer à cet événement, le tarif est fixé à 20 € par personne, le PdF prenant le reste à sa charge.

Vous pouvez dès maintenant envoyer votre réservation accompagnée de votre règlement par chèque (à l'ordre de Myriam Baeckeroot) à cette adresse : PdF - Banquet des 10 ans - 6, allée des Templiers - 78 860 Saint-Nom-La-Bretèche

Renseignements au 06.38.73.25.61 ou 10ans@parti-de-la-france.fr

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Suppression d'un second jour férié : halte à l'escroquerie macroniste !

12 Mars 2019, 07:12am

Publié par Thomas Joly

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Pseudo « Grand Débat » : seule la bourgeoisie urbaine macroniste a participé

12 Mars 2019, 07:07am

Publié par Thomas Joly

Le pseudo « Grand Débat » organisé par le régime parisien est un échec. Les premières analyses de la participation démontrent que les populations n’ont prêté aucune attention à la campagne médiatique intensive menée par le gouvernement et le président français.

Le clivage gauche/droite n’existe plus. Il est remplacé par un clivage ethno-racial et territorial.

Le Parisien (source) :

Jérôme Fourquet, directeur du Département opinion publique à l’Ifop, revient sur notre analyse des 334.000 propositions citoyennes dans le cadre du grand débat.

Jérôme Fourquet, directeur du Département opinion publique à l’Ifop, vient de publier « L’Archipel français ». Nous l’avons interrogé sur cette France coupée en deux, qui ressort de notre analyse, département par département, des 334.000 contributions publiées sur Internet par les citoyens dans le cadre du grand débat.

Que vous inspirent les premiers enseignements géographiques des contributions spontanées sur Internet au grand débat ?

JÉRÔME FOURQUET : Cette carte des contributions est intéressante car elle ne correspond en rien au clivage gauche/droite de la France telle que nous la connaissions précédemment. Elle confirme et conforte l’idée que nous sommes entrés dans une nouvelle ère. La France qui a participé à cette vaste enquête est celle qui a voté pour Emmanuel Macron au premier tour de l’élection présidentielle. La crise des Gilets jaunes a remobilisé son électorat. Il a sans doute perdu un peu de celui qui était le plus à gauche, mais a gagné sur sa droite. Les contributeurs se retrouvent dans les départements de la façade ouest, le Massif central, l’Ile-de-France. Le Nord-Est et son électorat frontiste bien installé comme la Sarthe de François Fillon sont restés à l’écart. Cette photographie, certes encore impressionniste, montre que c’est une France urbaine, socialement favorisée et retraitée qui s’est exprimée, du moins sur Internet.

Le Grand débat a-t-il manqué sa cible ?

C’est un peu tôt pour le dire. En revanche, la carte de la participation qui se dessine ressemble étrangement à la France qui est descendue dans la rue après les attentats contre Charlie Hebdo. C’est une France intégrée, qui a un sens du civisme bien ancré. La carte des non-contributeurs correspond à celle du non à Maastricht. Le Nord-Est auquel Emmanuel Macron avait consacré son itinérance mémorielle pendant près d’une semaine, n’a visiblement pas été force de propositions et s’est peu investi dans l’exercice. Nous sommes face à des îlots indépendants. Une fracture civique et démocratique.

Une analyse qui valide la théorie de l’archipel français que vous développez dans votre livre…

Il s’agit d’une société fragmentée, avec des revendications très différentes. L’Ile-de-France illustre ce phénomène avec ses oppositions. Les départements riches de l’Ouest parisien très présents contre la Seine-et-Marne dont sont issus les Gilets jaunes Priscillia Ludosky et Eric Drouet. La Seine-Saint-Denis paraît encore plus éloignée du reste de « l’archipel ». Ce département s’est montré indifférent au mouvement des Gilets jaunes et n’a pas participé au grand débat.

Cette consultation géante ne montre-t-elle pas les limites de la démocratie participative ?

Le principe d’une participation plus grande des citoyens n’est pas remis en cause. En revanche, il ne faut pas lui demander ce qu’elle est incapable de donner. Elle n’est pas le remède ou le ciment d’une société fragmentée. Les outils de démocratie sont utilisés par ceux qui savent le mieux les utiliser.

Jérôme Fourquet vient de co-écrire un ouvrage qui confirme la balkanisation raciale et culturelle de l’Hexagone avec 1 naissance sur 5 d’origine musulmane en 2016 (lire ici). Ce qui n’intègre pas les autres naissances d’origine non-européenne qui représente 40% du total.

Ce à quoi nous assistons, c’est bien au remplacement du clivage gauche/droite hérité de la Révolution Française par un nouveau clivage, conditionné par cette balkanisation ethnique, qui fait de l’affinité communautaire/raciale le nouveau déterminant du politique qu’est l’affrontement entre ami/ennemi.

C’est encore l’attitude du département de Seine-Saint-Denis  massivement repeuplé par des populations extra-européennes qui traduit le mieux cette nouvelle situation. Il est indifférent au mouvement de révolte populaire et antifiscal des Gilets Jaunes, puisque vivant de l’assistanat offert par le gouvernement central. Mais il n’a pas davantage été mobilisé par cette campagne pro-gouvernementale qui a rassemblé une « France urbaine, socialement favorisée et retraitée ».

Cependant, très globalement, la mobilisation est extrêmement faible. En Bretagne, les départements les plus mobilisés – Morbihan et Loire-Atlantique – 99,2% des gens n’ont pas participé à l’initiative gouvernementale.

Bref, l’État Français et sa direction parisienne n’ont plus la capacité de mobiliser les populations. Seulement d’occuper intensivement l’espace médiatique sans aucun impact sur le terrain, ce qui constitue une défaite majeure pour le système politique jacobin.

Source : http://breizatao.com

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Salvini en faveur d’une légitime défense sans proportionnalité

11 Mars 2019, 07:09am

Publié par Thomas Joly

Pour lutter contre le crime, Matteo Salvini semble vouloir redonner du pouvoir aux citoyens, y compris celui de se faire justice soi-même. Après que la chambre des députés italienne a donné son feu vert, mercredi, sur la légitime défense voulue par le ministre de l’Intérieur, il ne manque désormais plus que l’approbation finale du Sénat pour qu’elle puisse entrer en vigueur, rapporte L’Obs ce vendredi 8 mars. 

« D’ici la fin du mois de mars, la loi entrera en vigueur », assure le ministre, également patron de la Ligue du Nord. Celle-ci vise à effacer le « principe de proportionnalité » en cas de légitime défense. Ainsi, la victime d’une effraction aura le droit de tirer sur son cambrioleur sans être inquiétée, que celui-ci détienne une arme ou non. Une législation qui s’appliquera tant que la victime se trouve dans un « état de perturbation ». S’il fallait jusqu’alors, pour tirer avec une arme sur un malfaiteur, être dans une « vraie nécessité » ainsi que faire face à un « péril imminent », ces conditions n’auront plus lieu d’être.

Source : http://valeursactuelles.com

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11 mars 1963 : mort du colonel Bastien-Thiry, une reconnaissance symbolique ?

11 Mars 2019, 07:02am

Publié par Thomas Joly

Pendant très longtemps, la question de la légitimité française me tarauda l’esprit. M’inspirant des réflexions de Bertrand Renouvin, la meilleure approche que j’en faisais était celle consistant à dire que cette quête de légitimité passait, pour la France, par sa capacité à situer son action dans le projet historique de la nation. Et il est vrai que l’Histoire de France s’était bien écrite à travers la construction d’un État à même d’accompagner l’épanouissement de notre nation.

Toutefois, Philippe de Villiers, dans son ouvrage consacré à Clovis, Le Mystère Clovis, offre la définition la plus pertinente qui soit. En effet, tout l’enjeu de la légitimité française réside dans le difficile équilibre à trouver entre l’obéissance et la discipline. L’obéissance aux règles élémentaires qui définissent la vie en cité, c’est-à-dire les lois d’un État : la potestas. La discipline envers des principes moraux qui nous dépassent et que nous respectons naturellement : l’auctoritas.

C’est en cela que la mort du colonel Bastien-Thiry est loin d’être anodine dans ce cycle historique, car elle signe la fin ou, du moins, une sérieuse remise en cause de la légitimité française, en ce sens qu’il s’agissait d’en finir avec un homme qui s’était dressé contre la potestas au nom de l’auctoritas. Car comment comprendre cette phrase, « Devant l’Histoire, devant nos concitoyens et devant nos enfants, nous proclamons notre innocence, car nous n’avons fait que mettre en pratique la grande et éternelle loi de solidarité entre les hommes », si ce n’est sous l’angle d’une transcendance poussant l’homme à agir au nom d’un idéal presque chevaleresque.

L’action du colonel Bastien-Thiry surgit de ce sentiment de trahison, que l’on partage ou non, né de la transformation d’une victoire militaire acquise sur le terrain en une défaite politique (les accords d’Évian) sans précédent, que la France n’a toujours pas soldée, étant donné qu’elle en paie encore les dommages collatéraux : repentance à outrance, immigration extra-européenne…

Au-delà de la rancune personnelle qui opposa le général de Gaulle à son assassin d’un jour, condamner à mort le colonel Bastien-Thiry revenait à accepter implicitement qu’il avait eu raison sur l’interprétation de ce conflit national mais qu’il était impossible, pour l’autorité politique, de le reconnaître et qu’encore une fois, la potestas, le pouvoir légal, avait les moyens de taire cette vérité.

Le geste du colonel, aussi désespéré ou aussi justifié soit-il, n’était pas légal, il en paya le prix fort, mais totalement légitime, puisqu’il s’agissait de refuser que la notion d’intérêt général, jusqu’alors incarnée par la France, soit foulée aux pieds. Maintenir jusqu’au bout sa condamnation à mort signifia que l’État, et non la France soyons-en sûrs, était prêt à compromettre sérieusement ce qui l’avait animé jusque dans sa construction : la défense de son intégrité territoriale, politique et morale, en somme, de ses intérêts souverains.

Bastien Gorse

Source : http://bvoltaire.fr

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Rassemblement national : des promotions internes en échange de relations homosexuelles

10 Mars 2019, 16:19pm

Publié par Thomas Joly

« Je me souviens de ce très haut placé dans la hiérarchie frontiste dont le jeu préféré était de convertir de jeunes hommes bruns à l’homosexualité… en échange de places, de promotion. »

Un ancien cadre du FN « mariniste » évoque la prédation homosexuelle et les « parties fines » au sein du parti repris et transformé par Marine Le Pen. Mœurs, affaires judiciaires, alignement du programme sur l’idéologie dominante…, elle qui voulait en faire « un parti comme les autres » a au moins réussi ce pari.

Source : http://contre-info.com

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