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Le blog politique de Thomas JOLY

Chasse aux pauvres : des péages à l'entrée des grandes villes et des cartes grises pour les vélos !

19 Octobre 2018, 06:11am

Publié par Thomas Joly

On sait quand la gauche de progrès est en marche. Il y a des signes qui ne trompent pas, tous les trucs sympathiques finissant tôt ou tard par être réservés aux riches. En attendant les dix euros pour le paquet de cibiches – c’est prévu dans les mois à venir –, vous avez intérêt à bien savourer chaque bouffée. Ce qui nous met le cancer et les métastases au prix de l’or fin. Pour tenter d’oublier le monde qui les entoure, les pauvres n’auront donc plus qu’à sniffer de la colle à bois ou de la litière pour chats.

Et puis, la voiture, évidemment. Autrefois, on vous fourguait du plaisir et de la vitesse. Des lignes de carrosserie harmonieuses, vendues avec courbes et châssis de la fille allant généralement avec. Les riches avaient la Ferrari et les pauvres la Simca 1000. Il y en avait pour tout le monde en matière de sensations. Aujourd’hui, on nous biberonne de sécurité et de sièges pour enfants. Fini le glamour. Imagine-t-on James Dean ou Roger Nimier se fracasser contre un arbre au volant d’une Twingo ou James Bond faire la course en tricycle hybride, recyclé et éco-responsable ? Non.

Mais ce dernier petit plaisir coupable ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir pour les plus impécunieux de nos compatriotes, sachant que les villes de plus de cent mille habitants devraient, si tout se passe aussi mal que d’habitude, se barricader de péages. Ça se fait déjà à Londres et à Milan. Il paraît que c’est le top de l’ultra. Que c’est la modernité. Avec des contrôles techniques de plus en plus tatillons et une flambée des cours du diesel, les gueux étaient déjà tricards de bagnoles. Désormais, ils n’auront même plus le droit de monter à la ville, à moins de s’acquitter d’une dîme de deux euros cinquante pouvant aller jusqu’à cinq pour les villes de plus de cinq cent mille habitants.

Ce n’est pas que l’auteur de ces lignes soit un fervent défenseur de la Révolution française – ça se saurait et il aurait fini par y avoir des fuites –, mais, au moins, les braillards en pyjamas rayés et à bonnets de Schtroumpf nous avaient-ils légués quelques acquis, l’un des plus fameux consistant en l’abolition du péage sur les routes de France. Pareillement, les manants avaient le droit de chasser tout comme leurs châtelains ; ce qui est de moins en moins le cas, Olivier Dassault et ses amis milliardaires étant en train de privatiser la Sologne. Mais il s’agit encore, là, d’une tout autre histoire ; quoique…

Que l’on revienne à l’Ancien Régime et à ses fastes, voilà qui ne peut donc que réjouir l’homme de bien ; sauf s’il s’agit d’en adopter à nouveau les aspects les plus contestables. Certes, aux miséreux dont les véhicules sont en passe de devenir une charge plus qu’un agrément restera toujours la bicyclette. N’était-ce, d’ailleurs, pas le vœu émis par Christine Lagarde, la Grande Duduche du FMI, qui, en pleine flambée des prix du pétrole, conseillait à tous ses administrés de prendre leur vélo pour aller au boulot ? Il est vrai que, faute de limousine ministérielle avec chauffeur appointé, ce n’était pas, pour elle, accomplir un effort surhumain que de pédaler du Champ-de-Mars jusqu’à la rue de l’Université.

Pas de vase, et un bonheur citoyen n’arrivant jamais seul, les heureux possesseurs de petites reines devront être, sous peu, détenteurs d’une carte grise et d’un ersatz de plaque d’immatriculation. Il semblerait qu’une telle mesure soit prise pour des raisons de vol et de sécurité. C’est-à-dire pour notre bien. C’est tout de même marrant, cette manie voulant que, chaque fois que l’État nous prive d’un petit bout de liberté, on nous assène que c’est « pour notre bien ». Prochaine étape, encore plus respectueuse de l’environnement et du vivre ensemble, la voiture à pédales ? Comme dirait Marcel Campion, la mairie de Paris aurait quelques longueurs d’avance en la matière.

Nicolas Gauthier

Source : http://bvoltaire.fr

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Le paparazzi J-C Elfassi qui avait photographié J-M Le Pen sur son lit d'hôpital écroué en Maison d'arrêt

19 Octobre 2018, 06:05am

Publié par Thomas Joly

Le paparazzi Jean-Claude Elfassi a été placé en détention provisoire mardi 16 octobre à la maison d’arrêt de Bonneville. Connu pour ses nombreuses frasques avec des stars de la chanson et du cinéma, le Franco-Israélien est sous la tutelle du juge d’instruction de Bonneville.

Jean-Claude Elfassi a été conduit dans la nuit de mardi à mercredi à la prison bonnevilloise. Le photographe a été placé sous mandat de dépôt à Versailles. À la demande du juge d’instruction, le parquet n’a pas dévoilé le motif de son incarcération.

À l’origine de nombreux scoops dans la presse people

Toutefois, selon une source anonyme, le paparazzi serait mis en cause pour des faits d’escroquerie. Une information que le parquet n’a pas voulu confirmer ou infirmer. Contacté par Le Dauphiné, son avocat Me Kamel Benamghar n’a pas souhaité réagir.

 A l’origine de nombreux scoops dans la presse people, Jean-Claude Elfassi n’en est pas à sa première mésaventure avec la justice. Les attaques en diffamation ont longtemps fait partie de son quotidien. Guillaume Canet, en 2013, Lara Fabian et Daniel Ducruet avant lui, s’en étaient tous pris physiquement au photographe. Dernièrement, l'individu avait diffusé des photos de Jean-Marie Le Pen hospitalisé, agrémentées de commentaires orduriers.

Une langue bien pendue et une détermination sans faille sont sa marque de fabrique. « Si j’ai pu vendre mes photos aussi cher, c’est aussi grâce à ma provocation », avait-il déclaré à la caméra de BFM TV en 2015. Il avait à plusieurs reprises déclaré avoir arrêté son activité professionnelle, sans pour autant la renier.

Source : http://ledauphine.com

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Fesneau, Riester et Attal, qu’est-ce qui leur vaut d’être nommés ministres ?

18 Octobre 2018, 06:39am

Publié par Thomas Joly

Revenons sur messieurs Fesneau, Riester et Attal, respectivement nommés ministre en charge des Relations avec le Parlement, ministre de la Culture et secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale. Pour faire vite : un Modem, un LR Macron-compatible et un petit jeunot socialiste issu d’une gauche caviar comme on n’en fait plus (en tout cas, pas ouvertement).

Marc Fesneau, Beauceron de Marchenoir, est un poulain de Jacqueline Gourault. Ce proche de François Bayrou, président du groupe MoDem à l’Assemblée nationale, s’est fait une place comme défenseur de l’immigré clandestin, félicitant en séance son collègue Aurélien Taché (LREM) pour ses propositions audacieuses. Des propositions qui passent par l’abolition du délit d’aide aux immigrés clandestins, la fin de la préférence nationale dans la fonction publique ou encore la « simplification des procédures administratives d’octroi d’autorisations de travail aux étrangers ainsi que la suppression de la taxe versée par les employeurs pour l’embauche de réfugiés ». On ne pense pas que son entrée au gouvernement le fera changer d’optique… À suivre, donc.

Franck Riester, maintenant. Il est pour moi, je le confesse, un parfait inconnu. J’étais donc curieuse de savoir ce qui lui valait le poste glorieux de ministre de la Culture. Françoise Nyssen avait au moins pour elle une maison d’édition de grand renom ; lui, je ne sais pas. On ne trouve à son palmarès qu’un Rapport sur la création musicale et diversité à l’ère numérique, puis des fonctions de rapporteur à l’Assemblée du projet de loi Hadopi 1 et Hadopi 2. C’est maigre pour une telle fonction.

Alors, cet homme ne faisant pas mystère de son orientation sexuelle, je me demande si nous ne serions pas, une nouvelle fois, victimes du cliché « Il faut un homo à la Culture ».

Je me souviens de la confidence d’un proche de Jacques Toubon rapportant cette sortie de Jacques Chirac, avec le « franc-parler » qu’on lui connaît. S’adressant à son fidèle bras droit : « Trouve moi un homo pas trop de gauche pour s’occuper de Beaubourg. » C’est ainsi que Jean-Jacques Aillagon, passé de prof d’histoire en Corrèze à directeur des Affaires culturelles à la mairie de Paris, devint président du Centre Georges-Pompidou, puis ministre de la Culture sous Raffarin. Cela, avant de s’envoler à la tête du château de Versailles où il nous offrit, en autres, les délires de Jeff Koons…

Reste le petit dernier, Gabriel Attal, 29 ans, soit, à ce jour, le plus jeune ministre de la Ve République. Ascension fulgurante, là encore : militant au PS à 17 ans, membre du cabinet de Marisol Touraine à 23, député LREM à 27, porte-parole du mouvement depuis janvier dernier et ministre depuis deux jours. Avouez, le gamin a les dents longues !

Voilà, donc, Gabriel Attal secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale. Avec quelles compétences, pour un tel poste ? Mystère. On sait seulement (Wikipédia) qu’« en 2002, à l’âge de 13 ans, ses parents l’emmènent à une manifestation contre la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour de l’élection présidentielle ». C’est là que « sa vocation politique est née ». C’est du dur !

Papa est avocat, maman travaille dans une société de production, Gabriel va… à l’École alsacienne. On rigole : c’est là où tout le gratin, ministres et « cultureux » de la Mitterrandie, mettait ses enfants. École privée ultra-chic du VIe arrondissement. Comme dit la fiche : « Les élèves de l’École alsacienne sont souvent issus des couches les plus favorisées de la population en raison du caractère sélectif des procédures d’admission et de son implantation géographique. »

Et c’est pour ça qu’on le met à l’Éducation ?

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Fiscalisme antinational : les années de service militaire ne vont plus être prises en compte pour le calcul des retraites

18 Octobre 2018, 06:10am

Publié par Thomas Joly

La réforme des retraites souhaitée par Emmanuel Macron fera nécessairement des perdants. Il est probable que les Français ayant servi sous les drapeaux 12 mois durant en fasse partie…

L’exécutif entend créer un système de retraite universel, "avec un principe d’égalité". Chaque euro cotisé doit offrir le même droit à une pension pour tous, rappelle France Culture qui détaille ce chantier essentiel du quinquennat d’Emmanuel Macron. Pourtant, malgré une volonté d’équité et de justice, la réforme des retraites fera mécaniquement des perdants. Au rang desquels, sûrement, les Français qui ont effectué leur service militaire.

Compte tenu du calendrier prévu par la réforme des retraites, seuls les français qui cesseront leur activité à partir de 2025 sont concernés. C'est-à-dire les salariés dont la naissance remonte au plus tard à 1963. Sur cette période, près de trois millions de Français ont servi la France dans le cadre de leur service militaire, rapporte BFMTV. C’est pour eux que le passage au régime à point pourrait être défavorable. D’après la chaîne d’information continue le risque que le gouvernement minimise les droits générés par le service militaire, pourtant obligatoire jusqu’en 1997, est réel.
Pendant ce temps, des députés macronistes proposent d'accorder une réduction d'impôts à ceux qui hébergent des migrants...

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Du jamais vu : grâce au racket du gouvernement, le diesel est plus cher que l’essence !

17 Octobre 2018, 06:35am

Publié par Thomas Joly

Dans 20 % des stations-service du pays et jusqu’à 60 % par endroit, en Ile-de-France, le prix du gazole dépasse celui du sans-plomb 95. La faute au rattrapage fiscal qui pénalise le diesel.

Quel est le point commun entre le gazole facturé ce lundi 1,538 euro au Carrefour Market de Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis) et celui vendu 1,509 euros au Super U de Mirepoix (Ariège) ? À chaque fois, le diesel y est plus cher que l’essence. L’écart est encore millimétrique avec le sans-plomb 95 (SP 95), de l’ordre de quelques centièmes d’euro, mais les exemples abondent de ce croisement des courbes. Surtout, le phénomène est totalement inédit.

« C’est vrai, c’est la première fois, chez nous, que le prix du gazole passe au-dessus du 95, confirme un pompiste BP d’Argenteuil (Val-d’Oise), une ville où trois stations sur dix affichent le gazole supérieur au SP 95. Forcément, ça fait parler les clients. Certains ne sont pas contents. » Dans l’ensemble du département, 40 % des stations-service (46 sur 115) sont dans le même cas.

Ailleurs en Ile-de-France, la situation varie assez fortement. Si, à Paris, le diesel est plus cher que l’essence dans un peu moins de 18 % des stations, le pourcentage grimpe à plus de 35 % en Seine-et-Marne et dans les Hauts-de-Seine, dépasse 40 % en Essonne, atteint 47 % dans les Yvelines et culmine à 58 % en Seine-Saint-Denis et même à… 62 % dans le Val-de-Marne.

À l’échelle nationale, le phénomène est moins massif. Mais 2.089 des 9.902 stations recensées sur le site www.prix-carburants.gouv.fr affichaient tout de même un gazole au-dessus de l’essence. Les propriétaires de véhicules diesel sont donc en train de perdre un avantage fiscal historique qui remontait à l’après-guerre.

Une conséquence des politiques successives

« À partir des années 80, rappelle Pierre Chasseray, délégué général de 40 millions d’automobilistes, le gouvernement a aussi voulu aider les constructeurs français concurrencés les petites voitures asiatiques. » Pour Renault et, surtout PSA, avec son modèle phare la 205 lancée en 1983, le succès sera phénoménal. Normal : les voitures diesel consomment, à puissance égale, 20 % de moins que les modèles essence, et le carburant est beaucoup moins taxé.

Les premiers ratés interviennent avec le gouvernement Jospin. La ministre verte Dominique Voynet s’attaque au diesel accusé d’être à l’origine d’une pollution aux particules fine. Sous François Hollande est prise la décision de faire fondre l’avantage fiscal octroyé au diesel, percuté de plein fouet en 2015 par le scandale du « Dieselgate » qui frappe Volkswagen.

Avec l’arrivée à l’Élysée d’Emmanuel Macron, aiguillonné par Nicolas Hulot, le mouvement s’accélère. Dans la foulée du rééquilibrage fiscal entamée en 2015, la fiscalité sur le gazole augmentera en 2018 de 7 centimes et de 4 centimes pour l’essence. Objectif : faire converger le prix des deux carburants d’ici à la fin du quinquennat.

« Ce fameux rattrapage fiscal, c’est surtout un jackpot pour les finances publiques », grince Pierre Chasseray. « Un centime de hausse de la fiscalité, c’est 400 à 450 millions d’euros qui tombent dans les caisses de l’État. On veut faire croire qu’on va sauver la planète, la vérité, c’est que Bercy cherche 12 milliards pour compenser l’exonération de la taxe d’habitation. »

« Ils vont payer et payer cher ! »

Conjugué à la flambée des cours du brut - le brent est passé de 66 dollars en janvier à 80 dollars - , le coup de bambou fiscal pèse lourd en tous cas dans le budget des conducteurs. « Ils vont payer et payer cher ! », tempête Pierre Chasseray dont le formulaire de l’opération « Coup de pompe » invitant les automobilistes à adresser leur facture d’essence à l’Élysée a déjà été téléchargé plus de 700.000 fois.

Après les retraités, les automobilistes, touchés au portefeuille, vont-ils alimenter la grogne sociale ? Cela ferait du monde. Si moins de la moitié des véhicules achetés en France sont désormais des diesel, ils représentent encore plus de 80 % des 30 millions de voitures en circulation dans le pays.

Source : http://leparisien.fr

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Deux cheftaines scouts virées parce qu'elles ont refusé que des transexuels fréquentent les douches des filles

17 Octobre 2018, 06:19am

Publié par Thomas Joly

La barbarie à visage de clown, la subversion ridicule, sont les plus dangereuses, étant les mieux insinuées. Elles visent le scoutisme parce que c’est un précieux instrument de formation des jeunes : deux cheftaines guides sont exclues pour vouloir interdire aux transgenres d’utiliser la douche des filles.
 
J’ai consulté Wikipedia pour vérifier certains articles de la loi scoute qui m’étaient sortis de la tête. Je n’ai pas été déçue du voyage. Le pauvre Baden Powell s’en retournerait dans sa tombe. Les maçons à l’œuvre aujourd’hui dans le scoutisme mondial et français (si l’on excepte les mouvements traditionnels) ne sont pas du même atelier que lui. Madoué ! Les choses ont bien changé depuis que j’usais mes bottines par les halliers et les bois.

Le Sunday Times raconte l’histoire des cheftaines exclues

Le Sunday Times publiait en avril dernier une lettre manifeste signée par 224 cheftaines guides, anciennes guides et parents de guides. Elle déplorait notamment que « les règles d’inclusion trans (renforçaient) les stéréotypes de genre », tout en ne donnant pas droit « au consentement des parents au préalable informés », et en menaçant la sécurité et l’intimité des filles. Elle dénonçait en particulier l’interdiction faites aux cheftaines de dire aux parents que leurs filles doivent partager leur dortoir, la salle de douches et les toilettes avec des individus « physiquement mâles », même s’ils se déclarent filles, en clair avec des transgenres, sincères ou non, ce qui est imposé par le scoutisme d’aujourd’hui aux guides, dont les troupes sont tenues d’accepter en leur sein des garçons qui « s’identifient en tant que filles ».

Des transgenres de six ans dans les douches des filles

Ces bêtises mériteraient un gros éclat de rire, mais elles existent, elles sont contraignantes, et opposables à qui s’en étonne ou les critique. Parmi les 224 signataires de cette lettre de bon sens figuraient douze cheftaines en exercice. Mal leur a pris. La direction des guides du Royaume uni a exclu deux d’entre elles et fermé leurs troupes, lançant des enquêtes disciplinaires sur « au moins cinq autres cheftaines guides », selon le Sunday Times. L’un des cas nommément cité désole : Helen Watts était cheftaine depuis quinze ans, elle dirigeait la troupe de l’Arc en ciel à Londres, un groupe de toutes petites louvettes âgées de cinq à sept ans. Elle a appris qu’elle était exclue. Pour s’être étonnée qu’on puisse songer à lui imposer des petits louveteaux transgenres de six ans.

Des cheftaines exclues au nom du principe d’inclusion des guides

Du côté de la direction des guides, on voit les choses autrement. Helen Watts a été exclue parce qu’elle ne « voulait pas suivre la charte d’égalité et de diversité des guides, qui assure l’inclusion des trangenres. » Et la direction des guides de déplorer : « Exclure une cheftaine est une décision qu’on prend en dernier ressort, mais nous prenons très au sérieux toute atteinte à notre code des volontaires et à nos principes. Or, selon une enquête indépendante, deux individus les ont transgressées, ils ne voulaient pas suivre notre code guide de l’égalité et de la diversité (…) Le mouvement guide est ouvert à toutes les filles, et cela inclut les transgenres (…) Il est important que nous puissions discuter ces questions dans le respect mutuel et la tolérance, pour le bonheur et le bien-être des filles et des jeunes femmes, qui est au cœur de tout cela ».

Le scoutisme actuel entre ambiguïté et subversion

On touche ici à l’ambiguïté du scoutisme actuel. J’apprends par Wikipedia qu’au début des années 1990, les éclaireurs et éclaireuses de France « ont fait le choix de rénover les notions de loi et de promesse, peu pratiquées à l’époque », pour les remplacer par la Règle d’Or qu’ils s’engagent à « vivre et faire vivre » Elle comporte cinq principes exprimés par les mots laïcité, coéducation, démocratie, solidarité et éco-citoyenneté.
 
En voici un aperçu par le premier des cinq articles : « Nos copains sont tous différents et nous les respectons quels que soient leur origine, leur religion leur handicap : nous vivons la LAÏCITE ». On le voit, cette règle d’or s’apparente aux codes, aux principes et politiques britanniques : tous ensemble, ils ne définissent plus le scoutisme tel que Baden Powell l’a institué et tel qu’il fonctionnait jusqu’à la fin des années soixante du vingtième siècle, mais une subversion, voire une inversion du scoutisme à des fins révolutionnaires.

Ce scoutisme interdit la loi et la promesse

 Ce scoutisme est en un mot une propédeutique au vivre ensemble sans frontière. Le chant de promesse, qui dit notamment « fidèle à ma patrie, je le serai, tous les jours de ma vie, je servirai », n’a dans cette optique plus de raison d’être « pratiqué », il doit au contraire être prohibé comme dangereux, porteur d’exclusion et nauséabond. Toutes les frontières, du sang, de la langue, de la religion, du genre, sont jugées mauvaises et dangereuses. La Règle d’Or des éclaireurs dit aussi : « Nous apprenons à vivre ensemble, filles et garçons : nous vivons la COEDUCATION ». Les guides britanniques font un pas de plus. Les filles sont invitées à vivre ensemble avec les garçons qui se disent filles. Elles y sont même forcées, telle est la politique d’inclusion. Et celles qui ne le veulent pas sont exclues. Pas d’inclusion pour les ennemis de l’inclusion.

Filles, transgenres et musulmans : la subversion se mord la queue

Ce qu’il y a de rigolo avec la folie de l’idéologie, avec cette pensée qui tourne en rond sans qu’aucun frottement avec la réalité ne l’arrête, c’est qu’elle finit par se mordre la queue. Helen Watt, l’une des deux exclue n’est pas seulement « en colère contre une politique qui ignore les principes de base de la sécurité », mais elle répertorie les contradictions de la dite politique. D’abord, elle le suggère, ce sera une fabrique de metoo de demain. Ensuite elle note que « cela contredit d’autres politiques d’inclusions – pour certaines religions ». Eh oui, si vos copines sont musulmanes, juives ou simplement catholiques, elles ne se laveront pas les pieds avec des garçons qui se prennent pour des filles. Et même si elles sont athées comme des tasses, leurs parents, s’ils ont le moindre bon sens, n’y consentiront pas non plus.

Les balilas du mondialisme et le vivre ensemble sélectif

Reste maintenant à dire à quoi sert le scoutisme actuel. Comme tous les mouvements de jeunesse, à former, à formater. Ils valent ce que vaut la forme qu’ils perpétuent. Le scoutisme traditionnel transmettait la chrétienté. Le scoutisme d’aujourd’hui, qui inclut les guides britanniques, transmet la révolution mondialiste. Ses adeptes sont les Balilas de l’antiracisme, du féminisme, de l’écologisme. Quant à l’inclusion, comme la tolérance qui sert à diaboliser celui qui ne pense pas comme il faut, elle sert tout uniment à exclure le contradicteur. Les guides d’Angleterre viennent d’en donner un joli exemple.

Pauline Mille

Source : http://reinformation.tv

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Indécence sur le front des inondations : nos politiques sont des charognards

17 Octobre 2018, 06:14am

Publié par Thomas Joly

Je vous disais, hier, qu’on n’avait pas fini d’en voir et d’en entendre sur le front de la démagogie. À ce jeu, en effet, tout est bon, jusqu’à l’absurde et l’indécent.

Ainsi en va-t-il des politiques qui, sans vergogne, surfent sur tout.

L’Aude, depuis deux jours, occupe toute l’actualité. On compte les morts et on ne compte plus les maisons ravagées par les eaux torrentielles et la boue, tant il y en a. Désastre d’un nouvel « épisode cévenol » pour lequel il faut absolument trouver des coupables.

Il tombe 300 litres d’eau au mètre carré en quelques heures ? Vite, des noms ! Des adversaires politiques, de préférence, à clouer au pilori. Chacun y va de son couplet sans attendre ni surtout écouter ceux qui ont des choses à dire. Les météorologues, par exemple, qui expliquent qu’on ne peut alerter à l’échelle nationale sur un phénomène circonscrit sur trente kilomètres. Les maires des communes sinistrées, les pompiers, les gendarmes, qui ont surveillé les cours d’eau sans relâche et ont lancé l’alerte rouge à six heures du matin parce que les vannes du ciel se sont ouvertes au milieu de la nuit.

Qu’importe, au réveil, devant leur café quand les autres nagent dans la boue, nos politiques veulent des coupables : Comment ça, on n’a pas anticipé ! C’est un scandale !

Marine Le Pen : « Il faut absolument que l’on puisse savoir s’il y a des manquements en termes d’aménagement du territoire. Parce que ce n’est pas le premier épisode d’inondations que vit notre pays. »

Jean-Luc Mélenchon : « Un jour ou l’autre, on finira par avoir besoin d’un véritable gouvernement de salut public écologique, capable de commencer à prendre des dispositions anticipant des situations de ce type, et prévoyant de les éviter. »

Olivier Faure : « Il y a la nécessité de vérifier ce qu’il (sic) s’est passé. Est-ce qu’on pouvait prévenir, est-ce qu’on pouvait anticiper, est-ce qu’il y a une faute ? De la part de qui ? Quel acteur ? »

Oui, il fait très chaud, cet automne. Oui, plus grave que le pet des moutons et le rot des vaches, le champ magnétique de la Terre se modifie, et celui de notre Soleil également. Et si ça continue, on pourrait bien avoir très très très chaud dans les siècles qui viennent. Il paraît que c’est un cycle de plusieurs milliers d’années, qui dépasse donc de loin notre misérable condition d’humains. Nos querelles sont juste à la mesure de notre prétention face à la nature : incommensurables.

Z’aviezka, yfokon… Laissez-moi donc la place et je ferai mieux… Rien ne change, c’est toujours le même refrain. On va voir ce qu’on va voir, et au bout du compte, on ne voit rien. Les politiques, c’est triste à dire, sont tous des charognards du malheur.

Je ne sais pas si Mélenchon a lu Les Facéties du sapeur Camember, pas plus, sans doute, que Marine Le Pen ou Olivier Faure. C’est dommage. S’ils avaient lu cette BD vieille de plus d’un siècle, il leur apparaîtrait comme une similitude entre la pensée affûtée de François Baptiste Ephraïm Camember et leurs fines analyses.

Ayant embrassé la carrière des armes, devenu homme du génie, l’obscur natif de Gleux-lès-Lure sut y déployer une intelligence jusqu’alors « obscurcie par le terre-à-terre des préoccupations agricoles ». Certes, les temps ont changé, et nos censeurs ont la comprenoire davantage obscurcie par le terre-à-terre des préoccupations politiques, même et surtout lorsque planquées derrière le paravent écolo. Qu’importe, il y a chez Camember des idées à prendre.

Ainsi, dans sa grande sagesse, le sapeur essayait-il la pompe à incendie la veille de chaque sinistre. C’est un peu ce qu’ils réclament, non ?

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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La colère de Mélenchon cacherait-elle sa peur ?

17 Octobre 2018, 06:00am

Publié par Thomas Joly

Le bouffon de Macron qui se pourléchait de la répression faite aux patriotes de France vient de découvrir qu’il n’est plus intouchable. Tôt hier matin, les bras armés du pouvoir central ont investi son domicile et raflé toutes sortes de documents et leur supports informatiques dans le cadre d’une suspicion d’emplois fictifs d’attachés parlementaires au Parlement européen et des soupçons d’irrégularités sur les comptes de campagne pour la présidentielle de 2017.

Cette fois-ci, il a les foies Mélenchon, il a même la trouille d’aller en cabane.

L’imposteur favori des électeurs gauchistes a raison de numéroter ses abattis. Le voici dans le même sac que Marine Le Pen, pour les mêmes griefs, réels ou supposés. Griefs à géométrie variable, s’entend. Tout dépend des partis du pouvoir en place et de sa justice aux ordres. Après celle de Hollande, celle de son corollaire Macron. Pierre Cassen, Christine Tasin et de nombreux contributeurs à Riposte Laïque et Résistance Républicaine en savent quelque chose. Mais aussi Éric Zemmour, Renaud Camus, Thomas Joly, (Le Parti de la France) et bien d’autres encore. Qu’ils veuillent me pardonner de ne pouvoir les citer tous ici.

Marine Le Pen, pour le Front National avant son implosion, Jean-Luc Mélenchon, aspirateur troué de la gauche, et les coupables électeurs de Macron ont un point commun : ils ont tragiquement sous-estimé la dangerosité d‘Emmanuel Macron et ses visées de destruction de l’identité française.

Si personne n’arrête Macron, rien ne l’arrêtera dans son torpillage de la moindre opposition. Bayrou et ses casseroles a été facile à aplatir, les prochaines cibles seront Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France) et Laurent Wauquiez (Les Républicains). D’où la nécessité absolue d’une coalition de Droite nationale sur des bases claires en matière identitaire, nationaliste, populiste, euro-sceptique, de souveraineté nationale, d’arrêt de l’immigration et remigration, etc. Synthèse nationale vient d’y contribuer avec sa 12e Journée Nationale.

Jacques Chassaing

Source : http://ripostelaique.com

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Attaque djihadiste à la gare de Cologne, trois blessés

16 Octobre 2018, 06:40am

Publié par Thomas Joly

Un nouvel attentat djihadiste s’est déroulé à la gare de Cologne, une des plus fréquentées d’Allemagne.

La prise d’otage survenue lundi dans la gare de Cologne a fait trois blessés en plus de l’assaillant, grièvement blessé lors de l’intervention policière. Ce dernier s’est réclamé du groupe État islamique.

Il s’est notamment réclamé du groupe État islamique (EI) au cours de la prise d’otage dans une pharmacie de la gare. Un document d’identité concernant une personne née en Syrie en 1963 a notamment été retrouvée sur les lieux. Il s’agit « très vraisemblablement » de la même personne, a expliqué la police. Selon les enquêteurs, le détenteur de la carte d’identité, dont le permis de séjour en Allemagne était valable jusqu’en 2021, était bien connu des services de police pour divers délits depuis 2016 tels que des vols et des menaces.

Au cours de la prise d’otage, l’individu « a exigé la libération d’une Tunisienne » et également qu’une valise, qu’il avait laissée un peu plus tôt dans un autre endroit, « lui soit rendue », a dit la police.

Les faits se sont déroulés en milieu de journée. L’homme a d’abord jeté un cocktail molotov dans un établissement de restauration rapide situé dans une galerie marchande de la gare de Cologne, l’une des plus fréquentées d’Allemagne avec 280.000 passagers qui s’y croisent en moyenne quotidiennement dans cette région densément peuplée. Une personne a été blessée par la fumée dégagée par l’engin incendiaire et une autre, une adolescente de 14 ans, a subi des brûlures et a dû être hospitalisée.

Ensuite, l’assaillant s’est rendu dans une pharmacie de cette gare et s’y est retranché en prenant en otage une femme. Il avait avec lui un liquide allume-feu et plusieurs petites bonbonnes de gaz attachées entre elles, dont deux qu’il a fixées sur son otage. L’homme était aussi muni d’une arme et la police doit vérifier si elle était ou non factice. Après avoir fait évacuer la gare, bouclé le quartier situé au pied de la cathédrale de Cologne et pris contact avec le preneur d’otage, les forces spéciales ont finalement donné l’assaut en début d’après-midi, utilisant des grenades aveuglantes dont la détonation a pu être entendue à l’extérieur.

L’auteur de l’attaque a « été grièvement blessé lors de l’intervention » policière, touché de plusieurs balles tirées par les forces de l’ordre. Après avoir été réanimé par les secours, il a été transporté à l’hôpital et était opéré d’urgence dans la soirée. La police a déclaré être intervenue car il menaçait de mettre le feu à la pharmacie. Il a aussi tenté d’allumer les vêtements de son otage lors de l’assaut.

Source : http://breizatao.com

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Marlène Schiappa fait un rappel de la loi à Cyril Hanouna pour l’IVG… mais pas pour la burqa

16 Octobre 2018, 06:39am

Publié par Thomas Joly

On le sait, à chacun son fonds de commerce ; celui de Cyril Hanouna, c’est la transgression. Parce que la transgression, bien sûr, c’est bon pour l’Audimat®. Durant de longues années, Cyril Hanouna s’est donc consciencieusement appliqué à transgresser, avec le succès que l’on sait, devenant le roi de la vanne graveleuse, le champion du sous-entendu salace, le dieu du gloussement scabreux. Mais voilà, peu à peu, tout cela est devenu de plus en plus laborieux. Comment transgresser dans le registre sexuel, ma petite dame, quand il n’y a plus d’interdits et que tout est permis ?

Cyril Hanouna était allé au bout du bout de sa créativité en la matière. Dans une société trop libertaire, la chair est triste, comme dirait Mallarmé, et la surenchère vulgaire est si banale qu’on n’arrive même plus à en rigoler. Il était en train de perdre des parts de marché. Misère ! Que faire ?

Eurêka ! s’est dit Cyril Hanouna, pour me renouveler, il faut aller chercher la transgression là où elle est. Dont acte, le vendredi 12 octobre dernier.

« Pour ou contre l’IVG », « pour ou contre la burqa » : « Dans sa nouvelle émission “Balance ton Post”, l’animateur de C8 s’éloigne des sujets purement télévisés pour s’attaquer aux débats d’actualité. Il y remet en question des sujets aussi graves que l’accès à l’avortement en France ou l’interdiction du port du voile intégral », explique Marianne.

Les deux sujets ont fortement agité les réseaux sociaux. C’était le but. Mais un seul d’entre eux a fait réagir de concert, outrées, une secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes (Marlène Schiappa) et un ancien ministre des Droits des femmes (Laurence Rossignol). Saurez-vous trouver lequel ? L’IVG, bravo ! Mais comment avez-vous deviné ?

Marlène Schiappa avait, en effet, décidé de regarder cette émission car « [sa] collègue Brune Poirson était invitée en plateau ». Mais « Quand [elle a] vu débarquer un militant anti-choix, [elle a] immédiatement contacté Cyril Hanouna », raconte-t-elle, encore toute commotionnée, à 20 Minutes : « J’ai notamment rappelé que l’entrave à l’interruption volontaire de grossesse est un délit, puni par la loi, et cela a été lu en direct. »

Car elle n’imaginait pas, sapristi, qu’il y aurait un détracteur de l’IVG (en l’occurrence Émile Duport, des Survivants) : depuis quand, dans les débats, tout le monde n’est-il pas du même avis ?

La burqa, en revanche, comme la GPA vantée en toute impunité dans tous les médias par Marc-Olivier Fogiel, ne semble plus – on nous l’aurait caché ? – interdite par la loi. Ou bien, depuis la péripétie Rédoine Faïd, ces dames considèrent-elles que cet accessoire n’est plus spécifiquement féminin ? Quoi qu’il en soit, écoutant l’injonction de Cyril Hanouna, elles avaient visiblement, pour cette autre séquence, balancé leur poste par la fenêtre ou, moins spectaculaire et onéreux, l’avaient éteint : aucune d’entre elles n’a « immédiatement contacté Cyril Hanouna » en voyant « débarquer » une femme en burka ni n’a rappelé que le port de la burka était « puni par la loi ». Rien n’a été « lu en direct ».

Parce qu’il en va, visiblement, de cela comme du reste dans notre pays à deux vitesses : il y a loi et loi.

Gabrielle Cluzel

Source : http://bvoltaire.fr

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Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis

16 Octobre 2018, 06:32am

Publié par Thomas Joly

Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis
Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis

Dimanche à Rungis la 12e Journée de Synthèse nationale a pulvérisé les records d'influence puisque près de 1.800 visiteurs (à 13 h, nous avions dépassés le chiffre total de l'an passé) sont passés dans la journée assister aux différents forums et au meeting final et visiter les 80 stands installés dans les couloirs et les halls prévus à cet effet.

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Gouvernement : une très soutenable attente

16 Octobre 2018, 06:11am

Publié par Thomas Joly

Dans cette Ve République agonisante, le rôle d'un ministre n'est, certes pas essentiel.

Doublés par les conseillers de l’Élysée dédiés à leur secteur, prisonniers de leurs administrations, interdits d'initiative et tenus à l'obéissance, les ministres, s’ils sont toujours ce que l’étymologie dit d'eux – des serviteurs – ne le sont plus de l’État mais de leur maître-président. Il décide, ils exécutent, et la plus grande de leurs prérogatives consiste à répondre aux questions du Parlement en se contentant, si le Premier ministre veut bien les y autoriser, d'ânonner chaque mardi et mercredi devant l'Assemblée et chaque jeudi devant le Sénat les fiches préparées par leurs rares collaborateurs.

Dans ces conditions, l'inhabituelle attente d'un remaniement rendu nécessaire par la démission du ministre d’État, ministre de l’intérieur Gérard Collomb (qui, à cette occasion s'est livré à un implacable réquisitoire contre la politique migratoire et sécuritaire menée tant par ses prédécesseurs que par lui-même), venant après celle de Nicolas Hulot, ne revêt donc pas, en elle-même, une grande importance.

Elle témoigne, en revanche, de la décomposition interne du régime.

Que cinq personnalités politiques ou issues de la « société civile » aient refusé d'entrer, comme cela leur était proposé, au gouvernement en dit long sur le prestige et l’attrait désormais attachés à la fonction ministérielle et sur la perception de son impuissance. Le roi Macron est nu et tous peuvent aujourd’hui le voir.

Que les propositions appuyées faites par le Premier ministre Édouard Philippe de faire entrer ou monter plusieurs de ses proches venus comme lui de LR en dit long sur la qualité des rapports entre les deux têtes de l’Exécutif.

Que le Président de la République n'ait d'autre obsession dans ce réaménagement que la loyauté ou l'absence de loyauté des impétrants possibles, en dit long sur le degré de confiance qu'Emmanuel Macron accorde aux siens.

Que les dossiers des sélectionnés soumis à la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP) chargée de vérifier leur situation fiscale et patrimoniale, mais aussi leur casier judiciaire, donnent lieu à un temps d'examen aussi long (l'annonce du premier gouvernement Philippe en mai 2017 avait déjà été retardée d'une journée sous ce prétexte) en dit long sur la nature des rapports entre pouvoir et argent.

Au final, la fumée blanche sortira de la cheminée élyséenne. Le Secrétaire général Alexis Kohler (visé par une enquête préliminaire pour trafic d'influence) prononcera la Habemus gubernationem…

Mais un pas de plus aura été franchi sur le chemin de la liquéfaction d'un régime qui n'en finit plus de pourrir.

Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaire

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Pour renflouer les caisses de la sécu, la Cour des Comptes propose de taxer l'alcool plutôt que supprimer l'AME et la CMU pour les étrangers

13 Octobre 2018, 08:51am

Publié par Thomas Joly

La Cour des comptes a rendu son traditionnel rapport annuel sur les comptes de la Sécurité sociale. Son but est (officiellement) que les dépenses baissent et les recettes augmentent.

Mais elle ne remet pas en cause la CMU (qui paye les soins des étrangers y compris clandestins – venus parfois en France pour cela : coût 2,2 milliards d’euros en 2017), ni les connivences honteuses entre les politiciens et les laboratoires pharmaceutiques, qui se gavent sur le dos des contribuables.

Par contre, elle lance cette idée très imaginative : plus de taxes ! « Elle estime également que la lutte contre les maladies cardio-vasculaires, deuxième cause de mortalité en France, est insuffisante et qu’il faudrait pour y remédier augmenter la fiscalité sur l’alcool, comme cela a été fait sur le tabac. » (source)

Comme sur la cigarette, ça va être difficile de faire plus, pourquoi pas sur notre bon vieux vin et nos bières ? Même si la plupart des Français en consomment raisonnablement, tout le monde va « trinquer »…

Source : http://www.contre-info.com/
 

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La Najat nouvelle est arrivée : pire que l’autre !

13 Octobre 2018, 08:05am

Publié par Thomas Joly

Venue faire la promotion, sur France Inter, de Contre-courants politiques, le livre d’Yves Citton édité par la maison d’édition Fayard, chez qui elle est directrice de collection, l’ex-ministre de l’Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem a gratifié les auditeurs d’une interview sidérante.

Savez-vous de quoi « souffre notre société démocratique » ? De « l’absence de débats publics politiques » parce qu’ils sont infestés de « journalistes », de « polémistes », de « caricaturistes », d’« experts autoproclamés », de « communicants » qui ne font « que conforter les gens » (déjà convaincus) « dans leurs certitudes ». Jusque-là, on ne peut qu’être d’accord et saluer la nouvelle lucidité de l’ex-ministre dont la première carrière fut, justement, bâtie en s’appuyant sur ce petit monde-là qu’elle réprouve aujourd’hui…

Évidemment, on ne la suit plus quand elle propose son remède : les remplacer par des « chercheurs », des « écrivains », des « artistes », qui « auraient pourtant tant à apporter ». En clair, il est temps, à présent que les Français sont de plus en plus nombreux à se rendre compte de la tournure idéologique, autoritaire et liberticide systématiquement imposée dans le traitement des grands enjeux démocratiques, d’appeler en renfort d’autres personnalités du même acabit pour les remettre dans le droit chemin. En fait, Najat n’a pas vraiment changé : elle persévère. L’idéologie de gauche ne réussit pas à conquérir les Français, rajoutons-en une couche !

Et donc, avec « des chercheurs progressistes plutôt de gauche ? », lui fait remarquer, amusé, Ali Baddou. Najat opine, se reprend immédiatement pour finalement, sans doute saisie par le spectre interdit d’Éric Zemmour qui hante les couloirs de France Inter, approuver. Pas de Zemmour, donc, pour notre nouvelle éditrice-experte qui reprend la phrase qui tourne en boucle depuis dix jours car il « discrédite tous les historiens de métier ». Eux seuls seront désormais invités. Même ceux qui défendent certaines thèses de cet auteur à mettre à l’index ?

La réflexion n’a pas pu être poussée aussi loin car ce qui est encore plus problématique, pour notre nouvelle Najat, c’est que « la plupart des citoyens en France » sont bardés de certitudes, donc. Ou de « perceptions », qui peuvent même être « tronquées » ! Attention, le fake n’est pas loin ! Car ces Français se trompent sur tout : « Sur le nombre de musulmans en France, sur le nombre d’étrangers dans nos prisons, sur le nombre de migrants qui arrivent à nos frontières […] ». On se doutait bien que c’était sur ces sujets-là qu’il fallait d’urgence rééduquer les Français qui, c’est vrai, ont des hallucinations : mosquées par-ci, banlieues communautarisées par-là, Rédoine en burqa à Creil. Les Français sont en plein délire : des mirages pires que dans Tintin au pays de l’or noir. En tant qu’ex-ministre, faudrait quand même qu’elle se méfie. Regardez son collègue Collomb, un ex du PS comme elle – donc a priori vacciné -, eh bien, à peine sorti de son ministère, il a eu des mirages du même type !

Enfin, un dernier travers dérange Najat Vallaud-Belkacem : les Français toléreraient trop les inégalités sociales et hiérarchiques car ils seraient ambitieux pour eux-mêmes. Il faut donc leur apprendre à ne pas « surestimer leurs probabilités d’accéder un jour à des rémunérations beaucoup plus élevées que celles qu’ils ont aujourd’hui ou à des postes beaucoup plus élevés dans leur entreprise. […] Ils se disent, moi, un jour, je passerai tout en haut et je voudrai, à ce moment-là, prendre ma revanche sauf, que, en fait, ça t’arrivera pas ! »

On se pince, on se demande si on n’est pas victime d’un nouveau mirage : c’est bien elle, ce modèle d’ascension sociale – ou d’ambition et d’arrivisme forcenés -, qui est en train de dire doctement au Français moyen « Ça t’arrivera pas ! » dans un grand éclat de rire ?

La Najat nouvelle est arrivée, mais on a encore plus envie de dire à l’éditrice qu’au ministre : « Ça t’arrivera pas » d’arrêter de débiter tes fadaises ?

Caroline Artus

Source : http://bvoltaire.fr

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Plutôt que de s'occuper de la délinquance, les gendarmes surveillent des radars toute la nuit pour attraper ceux qui les dégradent

12 Octobre 2018, 06:33am

Publié par Thomas Joly

Les gendarmes ont interpellé en flagrant délit un homme qui taguait un radar automatique de Dracy-Saint-Loup en Saône-et-Loire dans la nuit de jeudi 4 à vendredi 5 octobre.

Les gendarmes d'Autun et d'Étang-sur-Arroux avaient décidé de surveiller toute la nuit l'appareil, situé au bord de la RD681 (ancienne route nationale 81). Et ils ont eu le nez creux, comme ils osent s'en vanter sur leur page Facebook.

Ils ont aperçu un homme "dont le visage était dissimulé par un masque et un bonnet" s'approcher du radar et le taguer avec une bombe de peinture. Des preuves suffisantes pour l'arrêter et le placer en garde à vue.

L'individu doit être déféré ce vendredi 5 octobre en fin de journée devant le procureur de la République de Chalon-sur-Saône, tel un criminel. "La peine maximale encourue, pour la dégradation d'un bien d'utilité publique est de 5 ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende", rappelle la gendarmerie.

Dormez tranquille bonnes gens, les machines servant à vous racketter sont bien gardées...

Source : https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/dracy-saint-loup-homme-interpelle-flagrant-delit-degradation-radar-1553364.html

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