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Le blog politique de Thomas JOLY

Le scandale de l’électricité verte : 134 milliards extorqués aux Français

25 Avril 2018, 10:24am

Publié par Thomas Joly

La Cour des comptes vient de dévoiler un vol honteux, une escroquerie qui a impacté tous les Français, notamment les plus modestes. Pourtant, les médias n’en parlent pas ou peu, alors qu’il devrait faire les grands titres des journaux. Une telle mansuétude s’explique par l’escroquerie écologique, car ce qui est en cause est la gestion de l’électricité dite verte, une fumisterie qui ruine nos compatriotes au nom de la lutte contre un réchauffement climatique dont les effets sont surévalués.

Ceux qui installent des éoliennes ou des panneaux solaires sont assurés d’un prix de revente supérieur au prix du marché et EDF est tenu d’acheter toute l’électricité produite, même si elle n’en a pas besoin. Quiconque veut mettre des panneaux solaires sur son toit doit déposer une déclaration de travaux à la mairie, qui accepte presque toujours (?) sauf si les bâtiments se trouvent dans des zones classées. Les éoliennes sont simplement tenues d’obtenir un permis de construire. Selon la Cour des comptes, EDF s’est engagée à acheter pour 134 milliards d’euros de cette prétendue électricité verte sur vingt ans, soit près de sept milliards par an. Et ce sont les Français qui financent cette dispendieuse folie par l’intermédiaire d’une taxe sur la consommation d’électricité qui ne cesse – et pour cause – de s’alourdir. Tout le monde paye, y compris nos compatriotes les plus modestes, une centaine d’euros par ménage et par an. Effrayant ! Et cette manne n’a pas servi à créer des emplois en France, car les panneaux solaires proviennent, dans leur grande majorité, de Chine et les éoliennes sont souvent allemandes. Nous enrichissons l’étranger, alors que notre commerce extérieur est gravement déficitaire.

Si, encore, ces sept milliards annuels extorqués aux Français étaient écologiquement utiles… Or, il n’en est rien ! Même si le réchauffement climatique sera probablement plus faible que ce qu’on nous annonce régulièrement, il est normal que l’État veuille fermer des centrales thermiques et inciter à produire de l’électricité qui n’émette pas de gaz carbonique (simple principe de précaution). Mais la France n’est pas l’Allemagne. Avec nos centrales nucléaires, nous étions le pays d’Europe qui émettait le moins de CO2 en produisant son électricité. Notre bilan carbone était exemplaire (même si on ne peut nier le danger de fuites radioactives comme au Japon).
Qu’avions-nous besoin de faire appel à des filières dont le bilan écologique est mauvais (fabriquer des panneaux solaires ou des éoliennes n’est pas très bon pour l’environnement). Et, surtout, qu’avions-nous besoin de subventionner la production d’une électricité superfétatoire. Certes, on a décidé en haut lieu de limiter la part du nucléaire à 50 % (pourquoi ce chiffre ? Pourquoi pas 60 % ou 40 % ?), mais cette stratégie suicidaire est une erreur gravissime.

Il aurait mieux valu continuer à exploiter à fond nos centrales (en prenant toutes les précautions possibles) afin de les rentabiliser au maximum et de jouir de notre avantage indéniable sur les autres nations. Serions-nous le pays le plus bête au monde ?

Christian de Moliner

Source : http://bvoltaire.fr

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Suède : une vieille gauchiste passe la soirée avec deux Afghans pour prouver que les xénophobes ont tort, ils la violent

25 Avril 2018, 10:12am

Publié par Thomas Joly

Une Suédoise d'âge mûr a été victime de viol et d'abus sexuel par deux requérants d'asile afghans dans leur logement, rapporte Fria Tider. Elle faisait partie d'un groupe Facebook contre les expulsions de migrants et croyait prouver que les xénophobes ont tort de dire que les Afghans sont dangereux.

Les faits remontent au 26 décembre dernier. Elle cherchait de la compagnie pour sortir le soir mais personne n'avait accepté.

Elle a rencontré les deux réfugiés afghans non accompagnés devant un pub.

Elle a dit à la police : « Je ne me sentais pas inquiète. Je n'ai jamais eu peur des gens d'autres pays » et « J'ai pensé que c'était très intéressant de parler avec eux. Beaucoup de gens m'avaient dit qu’il faut faire attention à ceux qui viennent comme réfugiés. »

Les deux requérants d’asile non accompagnés lui ont proposé de venir dans leur foyer pour boire un verre. Elle a accepté, après une brève hésitation car elle avait promis à ses enfants de ne pas rentrer tard.

Le règlement du foyer interdit de recevoir des visites pendant la nuit.

Lorsqu'ils sont arrivés dans leur chambre, les choses ont changé rapidement. Ils l’ont empêchée de repartir. Ils ont bu de l'alcool et l'un des jeunes hommes a commencé à la toucher, malgré ses protestations répétées.

Puis l'un d'eux, appelé Anwar, âgé de 18 ans, l'a violée, tandis que l'autre, Fardin, se masturbait à côté d'elle.

Le personnel de nuit du logement pour requérants d’asile n'a rien remarqué.

Quand elle a pu repartir, la femme a appelé la police. Les deux Afghans ont été arrêtés, et condamnés la semaine dernière par le tribunal de district de Växjö.

Anwar est condamné pour viol à un an et trois mois de prison et 13.000 euros de dommages et intérêts à la victime. Fardin est condamné pour abus sexuel à 2.300 euros de dommages et intérêts. Le procureur n'a même pas demandé l'expulsion de Fardin.

Source : http://lesobservateurs.ch

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Belgique : le parti Islam veut la charia « modérée »

25 Avril 2018, 09:56am

Publié par Thomas Joly

C’était il y a 6 ans. Le Redouane-à-son-papa-Prophète est élu conseiller à Anderlecht.  Il prête serment, bien sûr, et tous les bobos l’applaudissent. Mais Pierre Renversez (David Erzet) interpelle la salle, rappelle que c’est un adepte de la charia, que c’est illégal, et donc qu’il est illégitime. Bronca, il se fait virer de la salle.

6 ans plus tard, le Parti islam annonce le programme, devant les bobos et les journaleux ébahis : il est pour la charia modérée. Et il assume qu’il n’a pas envie de serrer la main aux femmes, pas forcément aux hommes, qu’il refuse d’être maquillé par une femme, qu’il a le droit de ne pas les regarder, etc. Pour l’instant, on en est à la stupéfaction. (Voir ici)

Il y aura bientôt la 2e étape : les antiracistes et les islamo-gauchos vont dire que c’est sa culture, et qu’il faut la respecter, et que c’est du colonialisme que de vouloir imposer à des étrangers les pratiques du pays. Et puis la 3e étape, déjà mise en place lors du ramadan, va s’élargir. Les mêmes collabos expliqueront que c’est insulter les nouveaux venus que de leur exhiber nos pratiques, et qu’on ne doit pas embrasser une femme dans la rue, puisque cela les heurte. La finalité : tout le monde devra un jour ou l’autre accepter les lois islamiques comme influençant au mieux, et au pire dominant la société.

Source : http://ripostelaique.com

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Le Parti de la France ou la continuité du Front historique

25 Avril 2018, 09:46am

Publié par Thomas Joly

Un article de Rémi Tremblay (EuroLiberté) sur Un chemin de résistance, le livre de Carl Lang

Ceux qui ont aimé les récentes mémoires de Jean-Marie Le Pen – et ils sont nombreux – apprécieront cet entretien de Carl Lang mené par Jean-François Touzé qui amène un point de vue différent sur l’histoire du Front National.

Lang, qui célèbre cette année 40 ans de lutte pour la nation, 40 ans de résistance sans compromission, « sans courber l’échine » et « sans baisser la tête », s’est joint au Front à l’âge de 20 ans, en 1978. Refusant le communisme, mais aussi le libéralisme, il rejoignit le camp national pour entreprendre le combat de sa vie aux côtés du charismatique Jean-Marie Le Pen.

Son ardeur et son militantisme le firent remarquer et il gravit rapidement les échelons, dirigeant notamment le Front National de la Jeunesse ainsi que le Mouvement des Jeunesses d’Europe et devenant le secrétaire général du parti. Au-delà des souvenirs militants, en lisant cet entretien, on revit l’émergence du Front comme alternative sérieuse aux partis du système et comme force révolutionnaire, mais aussi sa transition vers un parti compatible à la pensée dominante.

Loin d’être aigri malgré les trahisons dont il fut victime, Lang fait revivre cette glorieuse époque et donne au lecteur les clés permettant de comprendre la situation qui prévaut actuellement au front mariniste duquel il fut d’ailleurs exclu en 2009, année où il décida de fonder le Parti de la France, véritable continuité du Front historique.

Plutôt que de prendre une retraite de la vie politique qui aurait été bien méritée, il a continué son combat pour la nation, « communauté physique et de destin », perpétuant ainsi son engagement de jeunesse. Refusant le défaitisme ou la fatalité, il affirme que « le rôle des dirigeants politiques n’est pas de subir l’histoire mais d’agir sur les évènements historiques. »

Partant de ce postulat, il ne propose rien de moins que la remigration, ce qui est fort courageux pour un politicien. Son programme est décrit dans ces pages et en le lisant on comprend rapidement qu’il existe toujours un parti proposant une alternative au système, un parti qui refuse les compromissions et les magouilles, le Parti de la France.

Carl Lang, Un chemin de résistance, Les Bouquins de Synthèse Nationale, 189 p., 2018. Pour commander ce livre, cliquez ici.

Le commander en ligne cliquez là

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Disparition d'Annie Fouet-Pittet

24 Avril 2018, 16:30pm

Publié par Thomas Joly

Annie Fouet-Pittet, militante exemplaire de la cause nationale depuis des décennies, s'est éteinte lundi 23 avril 2018. Conseillère régionale de Picardie de 2004 à 2010, d'une intégrité et d'une abnégation sans failles, elle a rejoint le Parti de la France dès sa création et a largement contribué, avec son mari Paul, à l'essor du PdF dans l'Oise et en Picardie. Prenons exemple sur cette nationaliste courageuse qui a œuvré toute sa vie à la sauvegarde de notre civilisation et de notre identité.

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Jawad Bendaoud, le « logeur de Daech » récemment relaxé, est en garde à vue pour menaces de mort sur son ex-compagne

24 Avril 2018, 14:00pm

Publié par Thomas Joly

Le logeur des terroristes des attentats parisiens vient d’être placé en garde à vue ce mardi matin pour des menaces de mort sur son ex-compagne.

Plus de deux mois et demi après sa relaxe par le tribunal correctionnel de Paris pour recel de malfaiteurs terroristes, Jawad Bendaoud, 31 ans, a de nouveau maille à partir avec la justice. Ce mardi matin, celui qui avait été surnommé « le logeur de Daech » vient d’être placé en garde à vue. Cette fois, il ne s’agit pas d’un dossier de terrorisme mais « de menaces de mort par conjoint », précise le parquet de Bobigny. En l’occurrence à l’encontre de son ex-compagne.

Source : http://fdesouche.com

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Le nouveau numéro de Réinfo

24 Avril 2018, 10:30am

Publié par Thomas Joly

Au sommaire de ce numéro :

 

• Macron à l'Europe : Le nouveau messie des banques s'est présenté devant les députés européens. C'est l'occasion de faire le point sur la situation de la France.

• Le Vivre ensemble n'a pas de prix : Voitures incendiées, mobilier urbain détruit, forces de l’ordre agressées, pompiers caillassés. À Toulouse, les émeutes de cette semaine font grimper en flèche la note du contribuable.

L'ancien directeur des mines Areva mis en examen : Rapide historique de cette multinationale française du secteur de l'énergie qui sert de prétexte à différentes opérations qui n’ont rien à voir avec son métier.

Hongrie. La victoire de Victor Orban aux législatives de son pays, fait souffler un vent d'espoir pour les peuples d'Europe entrés en résistance.

 

Et pour finir, l’actualité du Parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement.

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Encourager les révoltes citoyennes

24 Avril 2018, 06:22am

Publié par Thomas Joly

Certains pinaillent déjà quant à l’action coup menée par les militants de Génération Identitaire pour bloquer le passage de clandestins via les cols des Alpes.

On réduit cela à une simple action de communication, estimant que ça n’empêche pas la submersion migratoire. Laissons là ces esprits grincheux, plus obsédés par des commentaires anonymes sur les réseaux sociaux que par la pertinence d’une action dans le monde réel. Il faut féliciter les militants de Génération Identitaire d’une part pour avoir encore le sens de l’action, la nécessité d’être dans le monde réel, de mettre sur la place publique les vrais sujets clivants. Il suffit en effet de voir l’hystérie des autorités morales et les appels au meurtre à peine déguisés pour voir que la question de l’immigration, de la frontière, du refus des clandestins est une question bien plus importante que l’obsession souverainiste réduite aux seules questions institutionnelles.

Mais ce qu’ont réellement montré les militants de Génération Identitaire par cette question c’est que des citoyens, mêmes réunis dans des structures activistes, doivent désormais se substituer à l’État pour faire appliquer des lois déjà existantes… En effet, les clandestins de par leur présence sur notre sol commentent un délit… Un État incapable donc de faire appliquer la loi comme l’ont montré les images de gendarmes incapables de refouler des clandestins encadrés par des gauchistes italiens, forçant avec délice le barrage mis en place par les forces de l’ordre. Un Etat qui abandonne nos compatriotes comme à Calais ou Ouistreham.

Alors oui encourageons ces révoltes citoyennes, soutenons-les, respectons leurs spécificités mais amplifions les en obtenant enfin des élus de la droite nationale, notamment à l’Assemblée nationale. Des élus préoccupés du sort de la France, capables de soutenir d’autres initiatives que les leurs, des élus non obsédés par des questions de chapelles pour savoir s’il faut voter des projets de lois ou des amendements qui vont dans le bon sens.

Il en va de l’avenir de notre nation et de notre peuple.

Arnaud Malnuit

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À Avignon, va-t-on débaptiser des écoles pour faire plaisir aux musulmans ?

24 Avril 2018, 06:14am

Publié par Thomas Joly

À Avignon, des établissements scolaires publics vont-ils être débaptisés ? C’est ce qu’annonce Vaucluse-Matin, le 20 avril. Laïcité oblige ? L’école Saint-Roch, l’école Saint-Jean, pour commencer. Saint-Gabriel, Saint-Ruf et Sainte-Catherine devraient leur succéder. Cécile Helle, le maire socialiste, s’en défend. Sauf que l’adjointe d’un quartier de la cité papale a déclaré : « On propose de changer le nom de certaines écoles pour qu’il corresponde plus aux aspirations du moment. Est-ce qu’un saint représente encore quelque chose par rapport à ce quartier multiculturel ? » On peut imaginer que cette adepte du multiculturalisme a dû lire ce rapport officiel, écrit par un « groupe de réflexion » appelé « Laïcité et République moderne », et rendu en 2015 à Manuel Valls, alors Premier ministre.

« Revoir la toponymie de la France à la lumière du vivre ensemble » : le titre dudit rapport donne le ton. D’apprendre ensuite que les deux principaux parlementaires l’ayant établi appartenaient, l’un au Parti socialiste (Yann Galut), l’autre à EELV (la trinationale Esther Benbassa), donnait d’emblée le la. Il s’agissait, pour le groupe, de proposer des solutions pour lutter contre « l’apartheid territorial, social, ethnique » évoqué par Manuel Valls, qui ciblait « les discriminations quotidiennes parce qu’on n’a pas le bon nom de famille, la bonne couleur de peau ou bien parce que l’on est une femme ».

Mais revenons à la toponymie. « Une fraction croissante de la population d’origine musulmane est heurtée par des appellations toponymiques qui sont autant de manifestations d’une époque archaïque où l’identité de la France, loin de s’assumer comme plurielle, se définissait exclusivement sous le signe d’une chrétienté triomphante et totalitaire. »

Et de prendre pour exemple des musulmans habitant Pont-l’Abbé qui seraient « amenés à se demander s’il s’agit d’une insulte » ! Vous parlez : être appelés des Pont-l’Abbistes ! Pour parer à cette abominable éventualité, les auteurs de ce vivre ensemble nouveau n’y sont donc pas allés par quatre chemins : « Débaptiser tous les noms de communes comprenant le mot « saint » dans l’intitulé afin “de relaïciser profondément la République” » avec, pour but, de supprimer un « affichage discriminant ». Couper les têtes de nos « saints » accolés à 4.794 communes pour ne pas offenser des fidèles d’un islam intrinsèquement tolérant, quelle drôle d’idée…

En tout cas, éradiquer les signes de chrétienté, c’est chose faite, au pays de Taubira – je veux dire en Guyane. L’école Saint-Jean s’appelle désormais Rosa-Parks, plus fun ; celle de Saint-Maurice a cédé la place au nom d’une féministe, ancienne inspectrice de l’Éducation nationale et d’académie ; et, dans un registre bien dans l’air du temps, le nom d’un architecte designer a remplacé l’école Espérance.

Ces suggestions de la part de ces nostalgiques révolutionnaires ne vous plaisent pas, pas du tout ? Vous vous dites que vous avez votre mot à dire ? Vous rêvez ! Des « référendums locaux, s’ils sont généralement des éléments de revitalisation de la démocratie, seraient ici inopportuns et même néfastes car ils libéreraient une parole réactionnaire qui ne pourrait s’exprimer en dehors des édifices cultuels » (sic).

Ce rapport, comme le disait en aparté un conseiller de Valls en personne, « c’est l’occasion de voir qui est républicain et qui ne l’est pas ». En somme, de voir qui se préoccupe du bien-être des uns plutôt que des états d’âme des autres…

À ce train-là d’effacement de nos racines, combien de temps, à Avignon, avec ses 35 % de population musulmane (chiffre avancé par un représentant musulman à Vaucluse-Matin en 2016 pour justifier la construction d’une grande mosquée dans la cité des papes), la mairie osera encore, sur son site, rappeler qu’elle fut « capitale de la chrétienté au Moyen Âge » ? Et combien reste-t-il à vivre, à tous nos saints communaux ?

Caroline Artus

Source : http://bvoltaire.fr

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Philippot au fond du trou : il fait une conférence de presse avec Geneviève de Fontenay qui se met à chanter l'Internationale !

23 Avril 2018, 06:52am

Publié par Thomas Joly

En mal d'actualité médiatique, Florian Philippot, flanqué de l'improbable Geneviève de Fontenay, a annoncé une manifestation le 1er mai au mot d'ordre assez obscur : contre « la politique antisociale » d'Emmanuel Macron.

Son alliée de circonstance n'a rien trouvé de mieux que d'entonner le chant communiste de sinistre mémoire « l'Internationale » devant des journalistes médusés et un Florian Philippot qui ne savait plus où se mettre.

Nul doute que cette initiative va se transformer en retentissant fiasco...

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Loi « Asile-Immigration » : nouveau tour de passe-passe

23 Avril 2018, 06:29am

Publié par Thomas Joly

La grande crainte des gouvernements républicains étant la possible cristallisation de la colère populaire face au tsunami migratoire, ils tentent depuis des années, en faisant se succéder lois cosmétiques et mesures d'artifices, de distraire le mécontentement en feignant de s'attaquer aux effets de l'immigration sans pour autant en appréhender les causes ; ce qui, il est vrai, leur serait difficile puisque tout, dans leur philosophie et leur vision de l’humanité, va dans le sens de l’immigrationnisme tandis que la peur des associations et des lobbies les paralysent.

La loi Collomb qui vient d’être débattue à l’assemblée en première lecture n’échappe pas à cette supercherie.

Loin de réduire les conditions de la déferlante, elle est, en effet, de nature à en aggraver la portée et à en accélérer encore et encore l’intensité tandis que, en catimini, le gouvernement, comme l'a reconnu le ministre de l’Intérieur auprès d'élus de gauche, se prépare à régulariser un grand nombre de clandestins.

Quatre mesures phares dans cette loi :

  • La réduction des délais de cent vingt jours à quatre-vingt-dix pour l’étude des dossiers de droit d'asile par une procédure accélérée. Censée faciliter les conditions d’expulsion des demandeurs déboutés, elle aura, de fait, un effet d’aspiration supplémentaire de candidats à l'immigration à qui les passeurs représenteront qu'en France, les dossiers vont vite et que l'asile en est facilité.
  • Le passage de 45 à 90 jours de la durée de rétention des clandestins. Présentée comme un volet éminemment répressif de la loi et combattue comme tel par la gauche et l’extrême gauche, cette mesure est dérisoire. Il faut savoir, à titre de comparaison, que la durée de rétention est en Allemagne de quinze mois, et qu'elle est illimitée en Grande Bretagne.
  • Le regroupement familial autour des mineurs bénéficiant du droit d'asile, non seulement ne sera pas supprimé pour ce qui concerne les ascendants, mais sera étendu aux frères et aux sœurs et pourquoi pas, les amendements jouant, aux oncles, aux tantes, aux cousins, notions parfois très larges et souvent invérifiables dans la plupart des pays d'origine. C'est donc bien une nouvelle filière d'immigration par les « mineurs » que crée la loi Collomb, voulue par Emmanuel Macron et défendue par l'actuelle majorité.
  • L'assouplissement du délit fit de solidarité qui vise celles et ceux qui aident les clandestins à entrer dans notre pays. Un assouplissement qui ne peut que réjouir les passeurs.

Le Parti de la France se prononce pour l'immigration zéro par l’arrêt de toutes les pompes aspirantes, le contrôle drastique de nos frontières nationales et européennes, la suppression du regroupement familial, la réforme du code de la nationalité, l'abandon du droit du sol, l’expulsion des clandestins et des délinquants étrangers, la reconquête des pans perdus du territoire français et la mise en œuvre d'une politique cohérente de remigration.

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Enfant monstrueux de Sopo et Bouteldja, Juliette a honte d’être blanche

23 Avril 2018, 06:25am

Publié par Thomas Joly

On connaissait déjà Manon Müller, cette jeune sotte, Insoumise, que j’avais étrillée régulièrement, il y a bientôt une année de cela. Devant passer son bac à 21 ans, à Calais, elle avait entrepris une véritable croisade contre une enseignante, Marie-Jeanne Vincent, professionnellement irréprochable, mais coupable de se présenter aux législatives sur une liste Civitas.

Après bien des pérégrinations, cette jeune idiote s’était retrouvée voilée, en terre palestinienne, et s’était convertie à l’islam, criant sa haine d’Israël. Voir ici et ici.

Juliette de Tolbiac (appelons-là ainsi, puisqu’on n’a pas son nom), c’est un registre proche, avec quelques variantes. Cette jeune imbécile est un parfait mélange du discours anti-raciste traditionnel (uniquement tourné contre les Blancs, et niant le racisme anti-blancs, comme le faisait Sopo, qui y voyait une invention de l’extrême droite) et de celui des Indigènes de la République.

Elle n’hésite pas à faire un véritable négationnisme au sujet du racisme, confirmant que les lois dites antiracistes, et particulièrement la loi Pleven, ne sont dirigées que contre les Européens blancs de tradition chrétienne, et destinées à favoriser l’invasion culturelle des pays du Nord par ceux du Sud. Voir ici.

En 2011, sur Radio Brunet, Sopo, incapable de justifier son discours sur le racisme anti-blancs, avait même pété une durite. Voir ici.

La petite Juliette, elle, du haut de ses 19 ans, a appris par cœur son discours, elle en est imprégnée. Très clairement, elle a honte d’être blanche, et est convaincue d’appartenir à une race (car quand il s’agit de stigmatiser les nôtres, le mot race réapparaît) qui n’a, dans son Histoire, que fait du mal aux autres « racisés », puisque que, quand on parle des non-Blancs, on ne peut utiliser ce mot tabou.

Cette petite bourgeoise, qu’on devine fille de parents de gôche très aisés, a une tête de première de la classe d’une école catholique de haut niveau, style « Couvent des Oiseaux », mais elle veut se la joueur à la rebelle. Alors, elle occupe Tolbiac, et décrit des scènes de violences policières totalement inventées, pour montrer qu’elle vit dangereusement.

Est-elle capable d’avoir des relations amoureuses avec un Blanc ? Je suis certain que non, car, pour elle, coucher avec un « Français de souche » serait la preuve de son racisme. Ceux qu’elle appelle les « racisés », de tous temps, depuis 1968, ont su jouer remarquablement de cette culpabilité des Blanches. Bien évidemment que, dès qu’une fille refusait de coucher avec eux, ils hurlaient au racisme pour l’obliger à y passer. Et le pire est que cela marchait fort souvent. Donc, à mon avis, la petite Juliette et sa gueule de première communiante couche diversité, avec tout ce qui va avec. P’tite conne, comme chantait Renaud.

Mais, et c’est là qu’elle rejoint le discours de Houria Bouteldja, elle met en place un véritable discours raciste, justifiant de fait l’exclusion de personnes, en raison de leur couleur de peau, d’assemblées réservées aux racisés. C’est une ligne relayée par Sud-Education, Danielle Obono et la clique Rokhaya Diallo. Bien évidemment, ils seraient les premiers à déposer plainte si des jeunes Identitaires, pour expliquer ce que subissent les Français d’origine dans les zones où ils sont minoritaires, avaient la même démarche.

La petite Juliette, c’est donc l’enfant monstrueux de Dominique Sopo et Houria Bouteldja, qui passe son temps à vouloir se repentir auprès de l’Autre, à vouloir détruire les siens, mais qui ne se fera jamais pardonner son péché originel : elle est blanche, et, comme le disait, sans tourner autour du pot la même Bouteldja, un jour viendra où tous les Blancs devront payer…

La petite Juliette, c’est la Blanche d’Afrique du Sud qui marchait avec l’ANC pour lutter contre l’apartheid, et qui se retrouve parmi les 70 000 victimes des assassinats de Blancs par des Noirs.

La petite Juliette, c’est cette jeune femme généreuse qui accueille des migrants chez elle, et se fait violer et assassiner par eux.

La petite Juliette, c’est ce personnage de Laurent Obertone, dans lequel on reconnaît une fille d’un grand journaliste (disons Plenel ou Bourdin) qui épouse, bien évidemment, la cause de la diversité, et devient la meuf soumise d’un caïd musulman.

La petite Juliette, c’est cette jeune bourgeoise parisienne, bobo caricaturale, mais tellement réelle, décrite par Philippe Muray, que lit à merveille Fabrice Luchini, « Tombeau pour une touriste innocente ».

La petite Juliette, c’est vraiment la petite conne, comme disait Renaud, qu’on craint tous d’avoir comme fille ou petite-fille…

Martin Moisan

Source : http://ripostelaique.com

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L’agonie du Parti socialiste

23 Avril 2018, 06:06am

Publié par Thomas Joly

Le Parti socialiste est moribond. Les élections partielles confirment, semaine après semaine, sa sortie du paysage politique.

Son dernier congrès, qui a vu la promotion de gens peu connus devant un auditoire restreint, a montré son affaiblissement.

Il conserve, certes, un petit volet de militants, comme ceux que le Parti communiste a longtemps conservés : militants pathétiques luttant contre le sens du courant, longtemps après que l’impact électoral de leur parti est tombé au plus bas.

Il faut naturellement, dans ce déclin, faire la part des circonstances : le mauvais souvenir laissé par Hollande, l’effet Macron, l’esbroufe de Mélenchon, le vent de droite qui souffle sur l’Occident.

Mais il faut bien dire qu’en se détournant de ce parti, les électeurs ne se trompent pas. Parmi les nombreuses dérives de la société française, il n’en est, en effet, pas une où le PS n’ait joué un rôle essentiel : effondrement de l’Éducation nationale, partialité de la Justice (on sait la proximité du Syndicat de la magistrature et du Parti socialiste), montée de l’insécurité, inflation et abus des dépenses sociales, ouverture à l’immigration, déclin du monde rural, hausse des dépenses publiques, du nombre et des rémunérations des élus locaux. Devenu par excellence le parti du « jouir sans entraves », il a cumulé plus que d’autres les affaires de harcèlement sexuel, au grand dam de la cohorte de féministes exaltées qui, par un singulier paradoxe, s’y trouve aussi. On cherche ce qu’on peut mettre en face d’un tel bilan : peut-être le RSA, bien mal organisé ; certains feront crédit au Parti socialiste d’avoir acclimaté en France la mondialisation libérale, mais était-ce bien sa vocation ?

Il n’en a pas toujours été ainsi. Au temps de Léon Blum, il y eut les congés payés, au temps de Guy Mollet, le minimum vieillesse, l’allocation de la mère au foyer, la démocratisation de l’enseignement. Mais, depuis lors, le PS a connu une mutation quasi génétique : de social qu’il était, il est devenu sociétal ; d’ouvrier, bobo et, par-là, irresponsable.

La droite a, certes, sa part de responsabilité dans les dérives signalées, mais plutôt par son suivisme et sa lâcheté que comme agent actif de ces dérives.

De toute cela, la masse des électeurs n’a jamais été clairement consciente et il n’est pas sûr qu’elle le soit encore. Mais, inconsciemment, elle l’a senti et, avec un délai de quelques années, elle en tire les conséquences.

Par rapport à ce discrédit de la mouvance sociale-démocrate, il se peut que l’effet Macron soit, sous un visage apparemment nouveau, le dernier rebond d’une machine à bout de souffle. Cet effet, lui aussi, fera long feu. Les Français n’ont pas encore pleinement pris conscience de son caractère destructeur, mais déjà ils commencent à le ressentir. L’illusion socialiste – nouvelle manière – a mis presque quarante ans à se dissiper. Gageons qu’il en faudra bien moins à l’illusion « En Marche ».

Roland Hureaux

Source : http://bvoltaire.fr

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L’imam El Hadi Doudi n’a pas réussi à apitoyer la Cour européenne des droits de l’homme : historique !

22 Avril 2018, 12:39pm

Publié par Thomas Joly

Triste temps pour Edwy Plenel. Après s’être fait envoyer dans les cordes devant 3,8 millions de téléspectateurs par le Président qui lui rappelait gentiment qu’en matière d’optimisation fiscale, Mediapart était plutôt mal placé pour donner des leçons, voici que le mètre-étalon de l’islamo-gauchisme va pouvoir agiter son mouchoir sur le tarmac de Marignane… Le Point.fr nous apprenait, ce vendredi, en effet, que la mosquée As-Sounna de Marseille allait perdre son imam, M. El Hadi Doudi (ça se chante comme la musique d’un film de Lelouch), qui s’était vu notifier un arrêté d’expulsion. Pourtant, en exhortant « à la défaite et à la destruction des mécréants », le brave homme n’avait rien fait d’autre que son métier : enseigner le Coran in extenso

Des laïcards chipoteurs ont toutefois vu dans ses prêches des « actes de provocation explicite et délibérée à la discrimination, à la haine ou à la violence ». Se pourrait-il que la religion d’amour, de tolérance et de paix ne soit pas ce que l’on nous dit ? On nous aurait trompés à l’insu de notre plein gré ? Le ministère de l’Intérieur a ainsi pointé des « actes de provocation explicite et délibérée à la discrimination, à la haine ou à la violence contre une personne déterminée ou un groupe de personnes – en l’occurrence, les femmes, les juifs, les chiites, les personnes commettant l’adultère.

D’accord, ça fait beaucoup de monde, mais remarquez tout de même que le saint homme n’a apparemment rien contre les homosexuels. Faut quand même mettre ça à son actif ! D’autant que son avocat estime que ses propos avaient été tronqués ou mal traduits. Ce dernier avait également appelé la Cour européenne des droits de l’homme au secours de son client pour éviter l’expulsion vers l’Algérie au motif qu’il y risquerait des tortures ou des « traitements inhumains ou dégradants ». Il est vrai que prêcher la bonne parole au Djezaïr expose à de petits désagréments : demandez aux moines de Tibhirine, par exemple. Quelque chose me dit toutefois qu’il risquerait moins…

Mais après quelques explications supplémentaires de la France, la CEDH a condescendu à ne pas s’opposer à l’expulsion. Espérons que, père de sept enfants, El Hadi Doudi pourra également bénéficier d’une mesure à laquelle la CEDH est très sensible : le regroupement familial. Il serait, en effet, inhumain de les séparer d’un père aux valeurs si formatrices.

À l’occasion, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb révèle qu’en 2017, vingt étrangers radicalisés en situation régulière ont été expulsés du territoire français, chiffre « jamais atteint auparavant ».

C’est bien rassurant d’apprendre qu’à ce rythme, il ne faut plus que deux ou trois siècles…

Richard Hanlet

Source : http://bvoltaire.fr

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Danièle Obono et Rokhaya Diallo font le salut du Wakanda à l’assemblée nationale

22 Avril 2018, 10:44am

Publié par Thomas Joly

Le Wakanda, pays fictif africain appartenant à l'univers Marvel Comics, est l'eldorado historique imaginaire fantasmé par les extrémistes noirs, n'ayant aucune relique civilisationnelle digne de ce nom.

Source : http://suavelos.eu

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