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Le blog politique de Thomas JOLY

Emmanuel Macron chez Jean-Pierre Pernaut : aucun effet de surprise

9 Avril 2018, 06:24am

Publié par Thomas Joly

Il y avait bien quelques gazetiers ici ou là pour nous expliquer qu’Emmanuel Macron, contrairement à ses prédécesseurs, avait retrouvé l’esprit monarchique de la Ve République et qu’il travaillait sur le temps long, au-dessus des aléas quotidiens de la vie politique, laissant la gestion pratique des réformes au Premier ministre et au gouvernement. Grève dure à la SNCF et blocages des universités ? Le Président parlait intelligence artificielle dans une revue américaine. Lui-même avait théorisé, cet été, une nouvelle doctrine « pilhanesque » de la parole présidentielle rare, s’abstenant des « 20 Heures ». Nous n’y avions pas cru plus que lui et nous eûmes donc la déambulation du Président à l’Élysée, accompagné par Laurent Delahousse.

Il était évident qu’Emmanuel Macron allait parler très vite. Pour deux raisons. D’abord, par nature, sa nature de PDG de start-up. Loin de déléguer et de se désintéresser de l’application concrète des réformes, on sait qu’il veut savoir comment ça se passe au plus près. Pas au plus près « des gens ». Au plus près du marché. Il gouverne comme il a mené campagne, en suivant en permanence sur ses écrans les marchés à satisfaire ou à reconquérir. Le patron va mouiller la chemise. Ce sera excellent en termes d’image.

Ensuite, parce que son équipe a vite révélé ses faiblesses. M. Philippe est très bon pour les petites blagues et les fous rires, et la pédagogie grise (en écrivant cela, je découvre que c’est un mélange de Hollande, de Raffarin et de Juppé), mais dès que les choses deviennent sérieuses, il ne fait plus le poids. Ne parlons pas de Mme Borne, ex-cadre à la SNCF pendant des années chargée de la stratégie qui vient, aujourd’hui, expliquer aux cheminots que cette stratégie n’était pas bonne… Et, évidemment, pour défendre cette réforme qui fâche à gauche, M. Castaner n’est pas d’une grande utilité. Deux jours de grève à la SNCF ont révélé la grande fragilité de ce gouvernement.

Il était aussi couru que M. Macron irait chez Jean-Pierre Pernaut. Le Pernaut de 13 heures est une aubaine pour le chef de l’État car c’est le journal des retraités, du terroir et des classes populaires. De la France mécontente et pas mondialisée. Mais aussi de la France aigrie qui en veut aux cheminots, qui en assez de ces grèves, qui ne supporte pas ces braillards de l’UNEF qui bloquent les facs. M. Macron va caresser cette France, qui ne lui est pas spontanément acquise, dans le sens du poil. Chez Pernaut, Emmanuel Macron va adresser un subtil « Je vous ai compris » aux 35 % qui n’ont pas voté pour lui il y a un an. Cette grève d’un autre âge a ouvert un boulevard à M. Macron pour conquérir le marché qui apparaissait a priori le plus fermé. Et ces braves gens en oublieront même leur augmentation de CSG et tous les griefs qu’ils avaient. La visite chez Pernaut, c’est un peu comme son détour par le Puy du Fou au printemps 2016, et une photo complice avec Philippe de Villiers. Opération tout bénéfice pour Emmanuel Macron. Marché conquis.

Frédéric Sirgant

Source : http://bvoltaire.fr

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Carl Lang : « Aux élections européennes, le Parti de la France défendra la mise en place d'un partenariat entre l'Union européenne et la Russie »

8 Avril 2018, 12:17pm

Publié par Thomas Joly

Carl Lang, Président du Parti de la France, s'est exprimé sur les élections européennes de 2019.

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Paris : le nombre d’agressions par « des bandes de mineurs » aux distributeurs de billets explose

8 Avril 2018, 12:07pm

Publié par Thomas Joly

À Paris, le nombre d’agressions aux distributeurs automatiques explose, selon une enquête du Journal du Dimanche. L’année dernière, il y a eu 317 agressions répertoriées. Cette année, depuis le mois de janvier, la police comptabilise déjà plus d’une centaine de vols, en particulier dans le centre ville.

Les forces de l’ordre peinent tout particulièrement à appréhender les malfaiteurs. « En général, ce sont des groupes de jeunes mineurs qui se livrent à ces agressions, et il donc est très difficile de les poursuivre et de les empêcher de nuire » (comprendre : en tant que mineurs, ils ne risquent rien de la part de la justice française). « Ce sont souvent des filières familiales » (comprendre : ce sont des gangs de Roms organisés).

Source : http://fdesouche.com

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Le Pen, la dernière bête (immonde, bien sûr) de scène

8 Avril 2018, 11:57am

Publié par Thomas Joly

Tout ou presque a été dit, écrit, raconté sur lesdits Mémoires, que ce soit avant, pendant ou après la sortie. Souvent, l’auteur s’est lui-même chargé de la promotion de son ouvrage, avec le talent (immense) qu’on lui connaît : c’est toujours, sur les plateaux de télévision, la même silhouette d’ours érudit, la même gourmandise visible à incarner le diable en personne, la même rhétorique fluide et robuste ; l’homme et son masque n’ont pas pris beaucoup de rides. On commence même à le laisser parler quand il est interrogé : il faut dire qu’avoir eu raison avant tout le monde, cela vous pose un homme, fût-il nonagénaire. Reconnaissance tardive, mais c’est déjà ça.

Ses Mémoires surprennent. Bien sûr, il y a une quantité de choses que l’on s’attendait à y trouver, et pour lesquelles on peut acheter le livre. Les pages de Jean-Marie Le Pen sur l’amour de la France, sa condition de pupille de la Nation, son engagement en Algérie et sa vie étudiante dans le quartier Latin relèvent maintenant du chromo, et elles sont à ses discours ce qu’une cascade en hélicoptère était à un film de Belmondo : on l’attend, on ne s’en lasse pas et c’est même pour ça qu’on paie sa place.

On s’attend aussi à un exercice de sincérité ; là encore, on en a pour son argent. Sur De Gaulle (hautain, moche, narcissique, menteur etc.) et Pétain, sur les communistes français (leur lâcheté, leur omniprésence dans les médias du temps, leur aveuglement), sur la presse en général, Le Pen travaille au scalpel, avec beaucoup de justesse et une froideur clinique. À mon humble avis, tout est vrai.

Mais, au-delà de ce que l’on s’attendait à trouver, il y a aussi et peut-être surtout un ton, une voix, un véritable style d’écrivain (eh oui !). L’éducation des jésuites, me direz-vous, qui obligeaient les petits Vannetais du collège où étudiait le jeune Le Pen à apprendre des centaines de vers grecs, latins et français chaque trimestre. Cela forge, certes, davantage que les Pokémon. Mais, à mon sens, cela ne suffit pas à expliquer la richesse et la finesse de ces Mémoires : tour à tour lyrique, grandiose, tendre, émouvant, truculent ou rigolard, le vieux briscard de la droite est incroyable. Tout bonnement. Il ne semble pas y avoir de recomposition, de réinvention des faits dans ces pages. On ne voit pas les coutures, tout est parfaitement exécuté ; on partage son émotion (à son départ de l’Indochine par exemple), ses emportements, ses joies et ses admirations. Ne serait-ce que pour le style, ces Mémoires méritent déjà amplement d’être lus.

Et puis, enfin, Le Pen, c’est un peu de notre patrimoine. C’est la dernière bête (immonde, bien sûr) de scène. Avant le triomphe des loukoums de sous-préfecture et des petits banquiers gommeux, il y avait des tribuns et nous l’avons oublié. Ca cognait dur, ça buvait apparemment ferme, on s’emportait avec des formules à la française (l’éloquence et la gouaille, l’argot, la métrique et la culture classique : comme un Audiard, quoi) ; la politique était un métier d’excessifs, le genre dangereux, du brutal.

En refermant ce premier tome, on attend impatiemment le deuxième, bien sûr, sonné par le destin et la faconde du vieux chef. Clou du spectacle, une discrète métaphore nous est peut-être livrée à la page 55 : « J’ai même persuadé ma mère que nous avions découvert un trésor et, de guerre lasse, pour ne plus m’entendre, pour me confondre (ou l’avais-je à moitié convaincue ?), elle m’a accompagné le chercher. Il n’y avait rien, bien sûr. »

Eh non, chers électeurs, il n’y avait rien. Peut-être. Mais c’était rudement bien raconté.

Arnaud Florac

Source : http://bvoltaire.fr

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Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)

6 Avril 2018, 06:52am

Publié par Thomas Joly

Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)
Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)
Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)
Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)
Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)
Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)
Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)
Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)
Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)
Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)
Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)
Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)
Bordeaux pour la liberté d'expression (photos et vidéos)

Mardi 3 avril à Bordeaux, les patriotes se sont rassemblés devant l'École Nationale de la Magistrature pour dénoncer la répression judiciaire à des fins politiques.

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« Bientôt la soixantaine, on ne sait plus combien de mandats, mais Dupont-Aignan découvre qu'il est un puceau de la politique française »

6 Avril 2018, 06:44am

Publié par Thomas Joly

Suite au procès dont est victime Nicolas Dupont-Aignan à cause d'un tweet où il parlait d'invasion migratoire et de remplacement de la population, celui-ci semble découvrir que le parquet est aux ordres des lobbies de l'anti-France. Boris Le Lay ne manque pas de railler la naïveté consternante de cet élu du Système. D'autant plus que son avocat n'a rien trouvé de mieux que de dénoncer l'extrême-droite pour sauver son client... Affligeant...

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Clémentine, l'insupportable candidate de Koh Lanta, est une sale gauchiste pro-migrants

6 Avril 2018, 06:32am

Publié par Thomas Joly

Clémentine, la candidate de Koh Lanta la plus détestée des téléspectateurs, s'est fendue d'un message sur son compte Facebook où elle déclare tout son amour pour les clandestins africains qui viennent envahir l'Europe. Elle explique également que toute sa famille vient en aide à ces individus.

« Il y a Warrior dans un jeu & Warrior dans la vraie vie.

Koh Lanta c'est dur, mais c'est un jeu, sans risques, tout est cadré, les médecins ne sont pas loin & c'est à durée déterminée.


Aujourd'hui, dans mon village j'ai rencontré des VRAIS aventuriers. Ceux pour qui, l'aventure, le risque, la survie c'est leur VIE. Ils ont tout quitté, ils n'ont plus rien ... Enfin si... ils ont toujours leur sourire greffé & la joie de vivre comme personne.

Voici, en bref, leur histoire. Je ne suis pas de nature sensible mais ces gars là m'ont bouleversé.

Ils sont 9 hommes, venus d'Erythrée & du Soudan. Ils ont entre 21 et 31 ans. Chacun de son côté, a fuit son pays, a fuit la guerre. Laissant derrière eux, leurs mamans, papas, frères, soeurs et enfants parfois.
Leurs vies étaient en danger, et très souvent leurs familles les ont poussé à partir vers l'Europe.
Ils sont tous passés par le Soudan où les réfugiés érythréens étaient accueillis dans des camps. Mais quels camps... cauchemardesques & maltraitance, voilà l'ambiance.
Ils ont alors fuis vers l'Egypte, où ils se sont fait pillés mainte & mainte fois, arme sur la tempe. Il fallait pour eux rejoindre la Méditerranée au plus vite. Quitte à passer des jours à marcher, sans boire, sans manger à travers une partie du Sahara. En arriver là ... au bord de cette côte Méditerranéenne était déjà un exploit surhumain. Certain n'y seront jamais arrivé. Mais nos 9 Warriors l'ont fait. Le plus dur n'était pas encore vraiment passé. La traversée de la mer M, dans une pauvre embarcation serrés comme des sardines, sans savoir nager, avec des enfants, des p'tis vioks, sans eau, sous 45°... Et une arrivée sur la côte italienne avec un comité d'accueil pas des plus sympathique. L'Italie les prend en charge, enregistre leurs empreintes digitales mais ils sont traités sans cesse de "sous-merde", de vermines. Donc pour eux, il faut encore fuir.
Ils ont tous, chacun de leur côté, remonté l'Italie à pied. Pour enfin arriver en France, à Paris, là où tous les migrants espèrent trouver leur bonheur.



C'est ainsi, que ces 9 Warriors ont été envoyé du côté d'Annecy en septembre 2017, où un appel à la solidarité a été lancé pour leur trouver un hébergement. C'est le petit village de Chaumont qui a répondu présent en leur proposant un gîte. L'association du village a sensibilisé les habitants des alentours pour leur trouver à manger, des habits, de l'argent, & différents services. C'est à ce moment là, que l'on peut encore croire en l'humanité. Chacun a mis la main à la patte. Du rêve pour eux. Des dizaines et dizaines de personnes se sont rassemblées, les mamies et papis du coin pour différents cours de français, anglais, des cadeaux, du partage, des commerçants pour des dons de nourriture, des hôteliers pour des nouveaux lits. Une fierté particulière de voir ma petite famille s'investir aussi. Ma p'tite mère pour leur donner des cours de français, mon p'tit père pour les emmener à droite à gauche pour la paperasse administrative, ma soeur & mon frère pour les divertir au badminton, au foot, en vélo etc...

Ils ont déménagé récemment dans un autre village proche, à Frangy où la mairie leur a aménagé un grand appartement, en faisant également appel à la solidarité.
Le but, les intégrer dans notre société.

Mais tout serait trop simple et trop beau si cela se passait comme ça. Les démarches administratives sont très compliquées pour pouvoir rester en France pour ces gars là. Ils sont tous en attente de réponses, pour savoir quelle va être leur durée de "séjour". Ils peuvent du jour au lendemain être renvoyé en Italie avec interdiction de revenir en France.

Hier, l'un des 9 est reparti en Italie ...

C'est donc avec le coeur lourd que nous avons fêté leur crémaillère hier soir en chantant, en dansant, en mangeant. Une cinquantaine de personnes était là. Pour leur apporter un peu de bonheur, leur changer les idées et oublier pendant quelques temps toute la galère qu'ils ont traversé. Sans ne jamais oublier d'où ils viennent et ce qu'ils ont de plus cher : leurs familles.

Ils sont juste géniaux, drôles, hyper respectueux, serviables, tellement gentils ... tellement forts !

C'est eux les Warriors

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Les Français majoritairement pour la remigration et non pour l'intégration

6 Avril 2018, 06:26am

Publié par Thomas Joly

C'est l'enseignement d'un extrait de sondage paru dans L'Obs.

Source : http://lesalonbeige.blogs.com

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Médecins agressés, le rapport accablant du Conseil de l'ordre

6 Avril 2018, 06:24am

Publié par Thomas Joly

C'est une étude accablante que vient de publier l'observatoire de la sécurité du Conseil national de l'ordre des médecins. En France, en 2017, plus de 1.000 médecins ont été victime d'agressions, du jamais vu.

Le nombre de violences physiques et verbales n'a jamais été aussi élevé. 

C'est ce que révèle une enquête Ipsos pour le Conseil national de l'ordre des médecins, publiée dans Le Parisien ce mercredi. En 2017, 1.035 médecins ont été agressés dont 51% de femmes contre 46% en 2016. "Pour certains, elles sont clairement une cible. Il n'y a jamais eu autant de violences. Ce sont des insultes, des crachats, des vols, des agressions sexuelles, des coups", déplore dans les colonnes du quotidien le Dr Hervé Boissin, coordinateur de l'observatoire de la sécurité. 50% des agresseurs sont des patients, 15% des accompagnants. Parmi les départements les plus touchés : le Nord avec 108 agressions enregistrées en 2017, juste devant les Bouches-du-Rhône. Les victimes sont pour 61% des cas des médecins généralistes.

Le Conseil national de l'ordre des médecins tire aujourd'hui la sonnette d'alarme et en appelle au gouvernement. "Les pouvoirs publics doivent réagir et notamment le ministère de l'Intérieur",insiste le Dr Hervé Boissin, qui préconise l'utilisation de l'application Reporty, qui permet de mettre en relation médecins et forces de l'ordre. "On attend le feu vert... qui tarde à venir. Pourtant, là, il a urgence. Vu la situation, attendre n'est plus acceptable".

Pour le président de France Assos Santé, Alain-Michel Ceretti, cette situation pourrait d'ailleurs être préjudiciable aux patients. "Être agressé alors qu'on soigne, c'est purement intolérable. Si la mesure du problème n'est pas prise et si rien n'est fait, on va voir des médecins quitter certaines zones, réduire leur présence le soir, ne plus faire de visites à domicile...", alerte-t-il dans les colonnes du Parisien.

L'enquête ne va évidemment pas jusqu'à dévoiler l'origine ethnique et religieuse des agresseurs...

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La dame devenue homme était maman mais voulait qu’on l’appelle papa

6 Avril 2018, 06:13am

Publié par Thomas Joly

L’histoire est terrible. C’est un vrai casse-tête et, surtout, un sujet chaud, chaud, show… D’ailleurs, pour être franche, je vous avoue que je vais marcher sur deux douzaines d’œufs au moins pour vous la raconter.

C’était le 31 mars dernier. À l’occasion de la Journée internationale de la visibilité trans, Thierry Ardisson recevait sur le plateau de « Salut les Terriens » (C8) un couple de trans, Trystan Reese et son mari Biff Chaplow, qui sont devenus, le 14 juillet dernier, les heureux papas d’un bébé nommé Léo. Voilà donc deux hommes et un couffin. Sauf que Trystan, s’il est devenu homme, a gardé un vestige de son passé féminin, et pas des moindres, puisqu’il s’agit de son utérus. Spécificité qui lui a donc permis de se retrouver « enceint » de son époux et d’être ainsi le premier homme à accoucher.

D’aucuns évoqueront sans doute ici un cadeau de mère Nature, car si l’on s’en réfère aux traditions des peuples dits primitifs, ce ne serait en fait rien d’autre que le retour de l’Adam/Ève primordial, être bisexué, mâle et femelle à la fois.

Oui, mais voilà, les choses ne sont pas si simples. Croyant bien faire, l’ami Ardisson, voulant aider le téléspectateur à s’y retrouver dans la jungle des genres, a cru bon – l’imprudent ! – d’apposer un bandeau disant : « la maman est à gauche de l’écran ».

Aie, Aie, Aie ! Horreur, scandale et putréfaction ! La dame devenue homme est bien maman mais elle veut qu’on l’appelle papa. Consécutivement, déchaînement sur les réseaux sociaux où l’on pointe « l’homophobie » du sieur Ardisson. Ainsi cet internaute, cité par Le HuffPost : « C’était quoi le but de tout ça ? Humilier votre invité en direct (probablement à son insu) ? Moquer nos vécus et décrédibiliser nos luttes ou simplement propager votre transphobie ordinaire ? Pari réussi en tout cas. »

Interrogés par AJ+ – le « média inclusif qui s’adresse aux générations connectées et ouvertes sur le monde. Éveillé·e·s. Impliqué·e·s. Créatif·ve·s. » accuse l’émission d’avoir « mégenré » cet Américain « qui a donné naissance à son fils » –, Trystan et son mari Biff eux-mêmes ont réagi. « Dire que Trystan est une mère et non un père est non seulement blessant mais inexact. C’est un bon exemple de la façon irrespectueuse dont sont traitées les personnes transgenres dans les médias », ont-ils déclaré avant d’exiger des excuses.

Quand je vous disais que c’est compliqué…

And so what? comme on dit chez Biff et Trystan. Et alors, il faut maintenant trouver une terminologie adaptée qui ne froisse personne et rende compte de la réalité. Le mieux, me dis-je ici, c’est donc d’aller demander aux trans eux-mêmes comment ils se définissent.

Réponse : mal.

Je suis en effet allée regarder les débats des « T », invités d’honneur de la Gay Pride 2016. Le Huff y interrogeait cinq personnes transgenre « pour démêler le vrai du faux et comprendre quel vocabulaire adopter quand on parle de transidentité ». Chic ! me dis-je, voilà une occasion inespérée d’enrichir mon vocabulaire. J’ai ainsi découvert l’existence du mot « cisgenre ». C’est moi et peut-être vous, les cisgenres, soit « les individus dont le genre de naissance, le corps et l’identité personnelle coïncident ». Eh oui, ça existe encore ! Mais c’est toutefois moins simple qu’il y paraît puisque je découvre également, en explorant la définition du mot, que « ces nouvelles terminologies permettent aussi de rendre compte de la différence qu’il (sic) existe entre eux et des personnes cisgenres, en mêlant corps et orientation sexuelle : on trouvera les termes “transgouine” ou “transpédé” ».
 
Voilà, voilà…

Cela dit, et après mûre réflexion, il m’est venu une idée qui me paraît pouvoir mettre tout le monde d’accord. Je propose, dans le cas présent, une définition, inattaquable à mon avis : c’est « papa femelle ». Car mieux que femme, qui est un qualificatif de genre, le mot femelle désigne en effet un individu doté d’un organe reproducteur, ce qui est le cas de Trystan Reese. CQFD.

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Finalement, cela doit être sympa d’être encore mineur à 45 ans

5 Avril 2018, 06:56am

Publié par Thomas Joly

Ça doit être finalement assez sympa d’être encore mineur à 45 ans. Si en plus on dispose d’une libido en bon état, on est paré pour affronter le « Printemps français ».

Un conseil à nos orphelins plein de testostérone : laissez tomber les voilées, un mot de trop et c’est l’oumma rassemblée qui vous tranche les glandes sécrétoires.

En revanche, voyez vers les universités sous-chiennes en grève, les filles s’y ennuient, négociez un partage de leurs compagnes avec les zadistes, explorez la piste antifa, des partageurs là aussi. Et, par dessus tout, interrogez le CRAN, le MRAP, la Ligue des Droits de l’Homme, et les associations qui vous feront la petite gâterie des amis en prime du gîte et du couvert, sans poser de question, la bouche pleine on ne peut pas.

Source : http://ripostelaique.com

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L'Afrique du Sud, l'avenir de l'Europe ?

5 Avril 2018, 06:51am

Publié par Thomas Joly

J'aurai pu m'attarder sur la grèves à la SNCF, sur les déclarations d'un ministre expliquant sur RMC que oui l’État subventionnera la discrimination positive à l'embauche, sur les dernières déboires du FN officiel...

Non, le commentaire de cette semaine portera sur l'Afrique du Sud. Afrique du Sud à nouveau au cœur de l'actualité avec le décès de Winnie Mandela. Il est certes amusant – avec un énorme rire jaune – de voir la presse user de pudeur de vierge effarouchée et de circonvolutions pour vanter la veuve de Mandela tout en reconnaissant quelques comportements peu recommandables.

Il est vrai que le bilan de la dame est sur ce point particulièrement édifiant : milice faisant régner la terreur dans les quartiers noirs des villes d'Afrique du Sud (y compris en torturant), corruption, mise en place du supplice du pneu (la victime était attachée, un pneu mis sur elle et enflammé...), justification du slogan « un boer  – les Blancs issus des colons néerlandais et huguenots français – une balle », etc. C'est cette idéologie qui marque depuis près de 30 ans l'Afrique du Sud post-apartheid, qui continue à justifier le massacre des fermiers blancs ou l'expropriation de leurs terres sans compensation, qui a ruiné un des plus beaux pays d'Afrique...

Mais surtout c'est cette idéologie qui ne se cache plus dans les propos, chez nous en France, des militants du Parti des indigènes ou des officines anti-racistes anti-Blancs. Voire même directement dans des manifestations.... Ainsi, à Nantes, samedi 31 mars, on a pu voir des clandestins réclamer leur régularisation ayant à la main des pieds de biches ! Un jour ce sera peut-être des machettes....

Alors oui, ce qui se passe en Afrique du Sud ou au Zimbabwe voisin doit nous alerter. Bien au-delà de la nécessaire solidarité avec des cousins qui ont créé de toutes pièces des pays, certains avant l'arrivée des Noirs comme les Boers en Afrique du Sud. Mais parce que c'est notre avenir qui se dessine, un avenir cauchemardesque... Car rien n'est fait pour arrêter les vagues de submersion migratoire qui nous touchent quotidiennement.

Alors, avec nous, avant qu'il ne soit trop tard !

Arnaud Malnuit

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Complétement bourré, Jean-Vincent Placé se fait embarquer par la police après avoir fait un scandale dans un bar

5 Avril 2018, 06:44am

Publié par Thomas Joly

Dans la nuit, les brigade anti-criminalité des 5e et 6e arrondissements de la capitale ont interpellé l'ancien secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la simplification de Manuel Valls, en état d'ébriété avancé. Il a dû être conduit au poste en raison d'injures raciales, outrage à agent et violences en état d'ivresse. 

C'est le portier du bar qui a prévenu la police. Il a dû faire sortir de la salle Jean-Vincent Placé car il "a traité une femme de sale pute". Au cours de son éviction de l'établissement, Jean-Vincent Placé aurait, selon le portier, dit à ce dernier: "On n'est pas au Maghreb ici. Je vais te renvoyer en Afrique moi. Tu vas voir !"

La jeune femme importunée est âgée d'une vingtaine d'années et affirme que l'homme politique l'aurait saisie par le bras pour lui demander de danser contre rémunération. C'est à ce moment-là qu'elle aurait été insultée de "sale pute qui ne mérite que ça". Le portier est intervenu pour sortir Jean-Vincent Placé qu'il décrit "fortement alcoolisé et avec un équilibre précaire". Après contrôle d’alcoolémie, il avait 1,16 mg/l d'air.

Au cours de son interpellation, Jean-Vincent Placé a insulté les policiers de "connards" et de "tocards". Il a été placé en garde à vue à 2h20. Enfin, il affirme avoir été agressé par un individu d'extrême droite et dit avoir reçu un coup au visage après avoir été étranglé. Les policiers n'ont relevé aucune trace sur son visage ou sur sa gorge.

Source : http://bfmtv.com

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Carl Lang se réjouit du projet de réduction du nombre des députés

5 Avril 2018, 06:23am

Publié par Thomas Joly

Le Président du Parti de la France souhaite que le passage de 577 à 404 députés se réalise, dans l'intérêt des deniers publics.

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Château-Thierry : le député macroniste Jacques Krabal voit la future mosquée comme une « plus value pour le quartier »

5 Avril 2018, 06:17am

Publié par Thomas Joly

À la recherche d’un terrain pour déménager ses locaux, l’association Salam souhaitait se porter acquéreur d’une partie de l’ancien plateau sportif, situé tout près de la passerelle piétonne.

Un plateau utilisé de façon très occasionnelle selon la municipalité. Lors de conseil, les élus ont donc dû se prononcer sur cette division cadastrale : d’un côté un plateau multisports destiné aux jeunes et familles ; et de l’autre la construction d’une mosquée.

Jacques Krabal, ancien maire de la ville et député de l’Aisne, a livré son opinion : « Cela fera une plus value pour le quartier. »

Source : http://alertesinfos.fr

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