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Le blog politique de Thomas JOLY

En 1962, les Français n'ont pas voulu de l'Algérie française, vont-ils avoir bientôt la France algérienne ?

1 Mars 2019, 07:17am

Publié par Thomas Joly

Le drame algérien, vieux de bientôt six décennies, est encore présent dans les mémoires de beaucoup de nos contemporains.

Ce que l’on appelait, pudiquement à l’époque, « les événements d’Afrique du Nord », englobaient aussi les questions marocaine et tunisienne. Le royaume chérifien et la régence de Tunis étant devenus des États totalement indépendants en 1956, restait pendante en AFN, la question algérienne. Sa gravité entraina la chute de la IVe République et l’arrivée au pourvoir en 1958 d’un De Gaulle qui, à Colombey les Deux Eglises, rongeait son frein depuis l’échec de son RPF au lendemain de la Libération.

L’affaire des barricades signait, en 1960, les premiers heurts entre Pieds Noirs et forces de l’ordre. Le putsch d’Alger en avril 1961 allait suivre, épisode clos par la sinistre signature le 19 mars 1962, des accords d’Evian. La tuerie de civils, rue d’Isly, le 26 du même mois, s’ajoutait aux déchirures entre la métropole et sa province méridionale. Un mouvement de résistance française, l’OAS, par ses attentats et son action psychologique auprès de la population, allait sérieusement déstabiliser les autorités. Toutes ces séquences tragiques ponctuaient notre histoire. Elles restent gravées d’une façon indélébile dans nos mémoires.

Le général De Gaulle a, certes, rendu d’éminents services au pays, mais il a surtout renié sa parole, commettant une forfaiture, trahissant sa fonction de garant de l’intégrité territoriale de la République. Même si, à terme, après un long et pacifique processus, l’Algérie aurait pu devenir un État séparé de la France, maintenant côte à côte toutes ses communautés.

Aux derniers moments des négociations avec le FLN, scandaleusement érigé en seul « interlocuteur valable », son fidèle et talentueux biographe de ministre, Alain Peyrefitte, avait écrit un ouvrage très documenté, « Faut-il partager l’Algérie ? », édité chez Plon. Dans ce livre, le futur académicien proposait divers scénarios pour un règlement raisonnable du conflit, permettant de garantir la permanence de la présence de la communauté européenne. En fait, le but principal de cette édition, était de faire pression sur le Front de Libération National, pour qu’il accepte les conditions, bien raisonnables d’ailleurs, des négociateurs français. Ce qui intéressait De Gaulle, ce n’était pas le sort du million d’Européens qui vivaient là-bas depuis des générations, ni celui des musulmans fidèles à la France et qui avaient pris les armes avec nous, mais la possibilité de continuer les expériences atomiques au Sahara et d’importer le pétrole et le gaz pour la découverte desquels notre pays avait bien « transpiré ». Avec, en prime pour le général, l’aura du libérateur, lui permettant, rêvait-il, de prendre la tête des pays du Tiers-monde dans une croisade réfutant la division de la planète entre les  deux blocs. En privé, il ne manquait pas dire que le différentiel démographique, aurait submergé la France, si l’Algérie était restée française, ironisant avec « Colombey les Deux Mosquées ». (Ce qui reste à prouver, car la présence de nos instituteurs, médecins et administrateurs, aurait eu sans aucun doute, une influence sur l’évolution des mœurs et des comportements sociétaux des Algériens).

L’intransigeance  des vainqueurs au drapeau vert et blanc fut telle que, massivement, dans des conditions parfois dramatiques, avec comme témoins nos soldats restant l’arme aux pieds sur ordres de chefs indignes, notamment à Oran, les civils durent fuir dans de scandaleuses conditions. Aucune ONG financée par un Soros ou pays n’étaient là pour les recueillir, à l’exception de l’Espagne qui fit un geste pour ramener vers Alicante ceux des Européens qui étaient, mais pas seulement, d’origine espagnole. On sait aussi que des dizaines de milliers d’Algériens, les harkis et leurs familles, qui avaient cru en la parole de la France, terminèrent leur vie dans d’atroces conditions. N’ayons pas la mémoire courte, mais   Exit« l’Algérie française », une belle et noble entreprise civilisationnelle qui s’est terminée en drame. Si je reviens sur cette histoire-là, à la fois sombre et glorieuse pour nos armes, - jamais le FLN ne fut en mesure de contrôler une parcelle de territoire pour y installer son GPRA -, c’est que l’histoire semble se répéter, bégayer, et nous promettre de nouvelles épreuves mais, cette fois, sur le sol métropolitain même. La cause est entendue, soyons clairs, il y a longtemps que les nostalgiques de « l’Algérie française » dont l’auteur de ces lignes, ont intégré le fait que ce pays est un pays étranger et indépendant. Alors, pourquoi s’en préoccuper ?

UNE NOUVELLE BOMBE QUI CHAUFFE A DEUX HEURES D’AVION DE PARIS

J’ai déjà eu l’occasion, ici même, d’attirer l’attention du lecteur, sur la tragi-comédie de la candidature du sieur Bouteflika à la présidence de la République algérienne, pour un cinquième mandat. L’homme, âgé de 82 ans, est malade, gravement atteint par un AVC pour lequel il fut soigné au Val de Grâce, à Paris, et qui l’amène à aller passer de nouveaux examens en Suisse.

Son image d’homme d’État est illisible, il ne se déplace plus qu’en fauteuil roulant qu’il ne peut mouvoir lui-même. Quelle image donne-t-il ainsi de son pays, à l’étranger ? Personne n’est dupe. Qui commande réellement  à Alger ? Ses frères, son clan, l’armée ? Le FLN ? Tout ce petit monde à la fois ? Les jeunes Algériens et pas seulement, descendent dans les rues pour protester contre cette mascarade électorale envisagée par les hiérarques du parti au pouvoir. Ils ont d’ailleurs manifesté ici même, à Paris, place de la République, sans que le pouvoir macronien n’y trouve rien à redire. Quelle coupable tolérance, alors que les Gilets jaunes, eux, ont droit au mieux... aux gaz lacrymo !

L’économie algérienne ne va pas bien, la mono production des hydrocarbures plombe ce pays, qui n’a pas su diversifier en 57 ans d’indépendance ses activités, contrairement à d’autres pays arabes plus prévoyants, plus « futés ». Incapable d’exploiter son potentiel touristique comme ses voisins maghrébins. Il importe des céréales, alors qu’à l’époque française ce pays était autosuffisant, voire même exportateur. En un mot comme en cent, les hommes du FLN ont été des parasites incapables, incapables d’assurer un emploi à leur jeunesse, incapables de maitriser une démographie qui leur explose au visage et qui risque, disons-le, de balafrer le nôtre.

Les Algériens étaient, en 1830, lors de la conquête, un million. Aujourd’hui ils sont quarante-deux millions, surtout des jeunes, beaucoup de jeunes qui, sans emploi, passent leurs journées le dos appuyé aux murs… Qu’arrivera-t-il demain si ce grand pays de la rive nord de l’Afrique, mais surtout notre grand voisin du sud, explose, comme cela s’est produit lors de la victoire électorale du Front Islamique du Salut ? Le FIS, dont le succès fut vite confisqué par l’armée, l’ANP, dans les années quatre-vingt-dix, bascula dans la clandestinité, entrainant des dizaines de milliers de morts dans une longue guerre civile avec, comme victimes collatérales, les moines de Thibérine.

Déjà, des hiérarques du régime ont transféré des fonds en France en y « planquant » leurs familles. En gros, 14 à 15 millions d’Algériens seraient éligibles au fameux regroupement familial instauré par les calamiteux Giscard d’Estaing et Jacques Chirac. Combien de parents, pères, mères, frères, sœurs, enfants, quitteront « El Djézaïr » dans le cas, nullement à écarter, où ce pays, à nouveau, basculerait dans un conflit interne ? Certes, l’armée  a la réputation d’être intransigeante, voire féroce. Mais, combien d’islamistes se glisseraient parmi les familles demandant à la France le bénéfice du droit d’asile grâce à ce scandaleux dispositif, qu’est le regroupement familial ? Déjà, combien d’Algériens ou de binationaux originaires de ce pays vivent chez nous ? Quand on sait que l’État français est incapable à 100.000 unités près, de savoir combien de personnes sont en Seine Saint-Denis, il y a de quoi s’inquiéter. Il parait, qu’en haut-lieu, - comprenez l’Elysée -, on s’inquiète de ce phénomène bien plus que de l’évolution de celui des Gilets jaunes. Acceptons-en l’augure car, sans cela, nous risquons de vivre dans la douleur les tristes épisodes du remarquable roman de Jean Raspail, sorti en 1972, « Le camp des Saints » !

Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France

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Licencié pour avoir traité de « pourriture islamiste » le pseudo-humoriste Yassine Belattar, proche de Macron

1 Mars 2019, 07:05am

Publié par Thomas Joly

L’islamisation politique de l’Hexagone progresse vite. Après avoir traité de « pourriture d’islamiste » l’activiste pro-voile islamique Yassine Belattar, le cadre d’une entreprise de cosmétique a été durement sanctionné.

Le Monde (source) :

Face à la polémique, la chaîne de magasins de cosmétiques Nocibé a décidé de « suspendre de ses fonctions » son directeur marketing, Alain Bizeul, a annoncé au Monde la direction de la communication du groupe jeudi 28 février en fin de journée. En cause, deux messages postés à visage découvert sur Twitter le 19 février.

A la suite de l’annonce de la démission de l’humoriste Yassine Belattar de la chaîne LCI, où il était chroniqueur régulier dans l’émission « Audrey & Co », l’homme avait écrit : « Bon débarras pourriture d’islamiste, you make my day » (« tu illumines ma journée »). Lorsqu’un internaute, qui prend la défense de Belattar, l’insulte à son tour, il renchérit : « Va te faire enculer sale putain d’islamiste de merde, tu dois avoir l’habitude avec ta famille de dégénérés. »

Lié aux Frères Musulmans, Yassine Belattar est le relais d’Emmanuel Macron auprès des activistes islamistes.

Il a encore récemment appelé à une manifestation en faveur du voile islamique suite à la polémique autour du hijab de Décathlon.

La presse française a pris partie en faveur des islamistes. Dénoncer l’islamisme est ainsi assimilé à du « racisme » par les médias bien que ni l’islam ni l’islamisme ne soient « une race ».

Source : http://breizatao.com

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Le Parti de la France présent à la Fête du Pays Réel samedi 30 mars à Rungis

28 Février 2019, 07:43am

Publié par Thomas Joly

Comme chaque année, le Parti de la France participera à la 3e Fête du Pays Réel, le 30 mars 2019 à Rungis. Bruno Hirout et Guillaume Aguillé vous accueilleront sur le stand de notre mouvement tout au long de cette journée.

 

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Les immigrés africains et arabes ne supporteraient pas le sang des Européens

28 Février 2019, 07:31am

Publié par Thomas Joly

Elizabeth Y. de Mettmann en Allemagne appelle publiquement à l’aide. Son fils a une maladie du sang qui met sa vie en danger. Seul un don de cellules souches peut l’aider. Mais le sang européen provoque souvent chez les immigrés d’Afrique ou des pays arabes une réaction de rejet avec de graves conséquences pour la santé pouvant aller jusqu’à la mort.

Le docteur Thomas Zeiler a lancé pour cette raison un projet de recherche de concert avec les hôpitaux universitaires de Düsseldorf et de Essen, ainsi qu’avec l’association Caritas. Il porte le nom de « Blustar.NRW » [NRW : initiales allemandes de Rhénanie-du-Nord-Westphalie]. Sont recherchés des donneurs de sang et de cellules souches venant des pays africains, mais aussi du Proche et du Moyen-Orient, ainsi que de Turquie.

C’est justement avec des patients qui ont émigré ces dernières années qu’on rencontre des difficultés au niveau des soins. Dans le même temps, grâce à ce projet subventionné par l’Union européenne, les recherches doivent être poursuivies sur les propriétés différentes du sang et des cellules souches dans les différentes ethnies.

Source : WDR via Fdesouche

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Culpabilisation énergétique : la France se tire une balle dans le pied

28 Février 2019, 07:18am

Publié par Thomas Joly

Le 27 novembre dernier, Emmanuel Macron, présentant la Programmation pluriannuelle de l'énergie pour les dix ans à venir annonçait le triplement du nombre d’éoliennes, la multiplication par cinq de l’électricité photovoltaïque, et la volonté d’investir « 7 à 8 milliards d'euros » par an dans les énergies renouvelables. Le tout au nom de la désormais sacro-sainte transition énergétique élevée au rang de principe de sauvegarde universelle.

Cette électricité ainsi produite étant largement plus coûteuse que le prix de marché, la différence sera bien évidemment payée par le consommateur. Deux taxes ont été instituées à cet effet qui viennent alourdir considérablement les factures : la CSPE (Contribution au service public de l’électricité) et le TURPE (Tarif d’utilisation des réseaux publics électricité).

Il s’agit d'une véritable escroquerie d'État.

Alors que 86 députés de la majorité, toute honte bue et toute prudence évanouie, réclament, dans une tribune publiée le 14 février, la relance de la taxe carbone abandonnée en décembre grâce à la mobilisation anti fiscale des Français, rappelons la réalité des choses :

  • En l'espace d’un siècle, le taux de CO2 dans l’air que nous respirons est passé de 0,03 % à 0,04 %, soit de 3 à 4 particules sur 10.000. C'est tout. Et ce serait cette infime augmentation qui, selon le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), devrait nous conduire à l’apocalypse, à une hausse des températures de 4 à 5 degrés d’ici 2100, générant toute une série de catastrophes (désertification, montée des eaux, cyclones, etc). Pour les idéologues fanatiques et totalitaires de cet organisme international détenteur autoproclamé de la vérité planétaire, cette perspective impose de limiter l’augmentation de la température à 2 degrés en réduisant les émissions de CO2 « de 40 à 70 % entre 2010 et 2050 ».
  • Qu’en est-il pour la France de cette « urgence » à réaliser la transition énergétique ? La part qu'elle doit y prendre est-elle si importante qu’elle conduise à te tels efforts à consentir pour État, pour les ménages et pour les entreprises ? Tout cela repose sur un mensonge. La part de la France dans les émissions planétaires de CO2 est infime et celle des Français en tant que personnes physiques, dérisoire. On sait que l’Accord de Paris sur le climat signé lors de la COP21 en 2015 permet à la Chine, à l’Inde et aux pays émergents de continuer à augmenter leurs émissions de CO2 jusqu’en 2030, avec l’engagement non contraignant de commencer à les diminuer ensuite. Les efforts que fera alors la France, qui ne pèse que 1 % des émissions de CO2 dans le monde, seront insignifiants et complètement engloutis par cet accroissement.

C'est donc sur cet ensemble de contre-vérités éhontées qui poussent bobos et jeunes écervelés à défiler dans les rues d'un monde occidental toujours plus docile face à sa propre stigmatisation et toujours plus masochiste dans sa reconnaissance de culpabilité, que le gouvernement se base pour mener une transition énergétique coûteuse et inutile qui pèsera sur les ménages comme sur la compétitivité des entreprises là où la France, par sa politique nucléaire avait su à la fois conquérir son indépendance énergétique, assurer une forme de compétitivité en ce domaine, affirmer son exemplarité environnementale et offrir aux consommateurs une électricité peu coûteuse.

C'est ce qui s'appelle se tirer plusieurs balles dans chacun des deux pieds.

Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire

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Boris Le Lay encore condamné à un an de prison pour avoir dénoncé l’immigration clandestine en Bretagne

28 Février 2019, 07:11am

Publié par Thomas Joly

Le nationaliste breton Boris Le Lay a une nouvelle fois été l’objet d’un procès politique de la part du régime républicain.

Le blogueur cornouaillais a été condamné à un an de prison ferme pour avoir dénoncé l’infiltration islamique de la Bretagne coordonnée par nos gouvernants avec l’appui de collaborateurs locaux.

Ouest-France (source) :

Les peines de prison ferme s’accumulent contre le blogueur breton, Boris Le Lay. En décembre 2017, sur son site internet d’extrême droite, Breiz Atao, l’homme a encore frappé.

Après avoir notamment « fiché » en 2016 des militants de la cause des sans-papiers en Bretagne, il a pris pour cible un conseiller municipal de la commune de Callac (Côtes-d’Armor) œuvrant aussi pour l’accueil des réfugiés.

Sur son site, le blogueur ultranationaliste qualifie le conseiller de « factieux communiste » cherchant à « imposer des afros-musulmans infiltrés sur le territoire breton » et de « faire prendre en charge ces colons par les travailleurs de la commune » .

Elle requiert la condamnation du prévenu à dix mois de prison ferme et cinq ans d’inéligibilité.

Le tribunal a finalement prononcé cette peine d’inéligibilité et infligé une année de prison ferme au blogueur.

La répression se renforce contre ceux que le gouvernement désigne comme les ennemis de sa politique de remplacement total de population. Avec cette nouvelle condamnation arbitraire, le blogueur Boris Le Lay totalise 12 ans de prison pour des écrits ou déclarations à caractère politique.

Source : http://breizatao.com

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Macron annonce le retour de la taxe carbone

27 Février 2019, 17:15pm

Publié par Thomas Joly

La taxe carbone voulue par le gouvernement est loin d'être abandonnée. C’est ce qu’a indiqué Emmanuel Macron.

LCI (source) :

Emmanuel Macron a estimé mardi qu’il n’était pas possible de revenir à une « augmentation automatique » de la taxe carbone, au vu des « incertitudes » sur les cours mondiaux du pétrole. Selon lui, « on doit être pragmatique », évoquant la possibilité d’une « taxation qui varie en fonction des cours mondiaux » pour amortir d’éventuelles fortes hausses à la pompe.

« Le gouvernement s’est inscrit dans la lignée de plusieurs trajectoires qui avaient été votées, depuis dix ans, par toutes les majorités, de l’augmentation de la taxe carburant et de la contribution à la transition écologique », a-t-il  justifié.

Ce qu’il faut lire en creux dans les propos d’Emmanuel Macron, c’est bien le retour du principe de la taxe carbone sur les carburants. Et pour cause : au prétexte d’une improbable lutte contre un réchauffement climatique imaginaire, le gouvernement français a programmé une augmentation considérable de ses rentrées fiscales en guise de garantie pour ses créanciers internationaux.

La taxe carbone devait générer des dizaines de milliards d’euros de rentrées fiscales sur les 15 ans à venir pour atteindre 100 euros de la tonne en 2030.

Las, cette augmentation est à l’arrêt depuis janvier 2019 et le début du mouvement de contestation antifiscale des Gilets Jaunes.
 
L’annonce de sa reprise, à un rythme qui n’est pas encore défini par le gouvernement, témoigne de l’état d’endettement de l’État Français, étranglé par sa dette souveraine.
 
En décidant de remettre en place cette taxe en dépit de la contestation, Emmanuel Macron démontre que l’État est prêt à une confrontation dure pour faire face à ses créanciers internationaux.
 

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Algérie : vers une implosion aux conséquences incalculables

27 Février 2019, 16:43pm

Publié par Thomas Joly

« L’Algérie dit non ! ». La une du quotidien francophone algérien El Watan est inédite dans un pays où l’on contrôle de la presse et la censure valent règles d'État.

Depuis une semaine et l'annonce d'une cinquième candidature d'Abdélaziz Bouteflika, grabataire et perdu dans un néant cérébral, à la présidence, des dizaines de milliers d’Algériens manifestent chaque jour à Alger et dans les rues des grandes villes du pays (mais aussi quelques centaines à Paris).

Le FLN, l'armée, les services de renseignement qui, depuis plus de cinquante ans tiennent d'une main de fer l’Algérie, savent désormais que le temps leur est compté.

D'un pays riche, doté d’infrastructures performantes, bénéficiant de la manne pétrolière et gazière, arraché à la France par le terrorisme et la forfaiture de ceux qui la permirent, l'indépendance à fait une dictature obscure minée par la pauvreté et la corruption.

Le maintien en survie artificielle du régime algérien arrive à son terme.

Pour la France, compte tenu de la proximité géographique, de la présence sur notre sol de plusieurs millions de ses ressortissants, de nos engagements et de nos intérêts en Afrique, et surtout du poids de l'Histoire, les conséquences et l'impact de l'implosion de cet État en matière de submersion migratoire, de déstabilisation géopolitique et de menaces terroristes, risquent d'être terribles.

Des conséquences et un impact qu'à l'évidence, les pouvoirs publics Français n'ont pas anticipés.

Le Parti de la France propose cinq mesures préventives d'urgence :

  1. Suspension des visas dont la délivrance vient encore d’être assouplie.
  2. Mise en place d'un plan de contrôle des populations d'origine.
  3. Rétablissement des frontières.
  4. Fin de la bi nationalité.
  5. Décret d’interdiction de toute manifestation à caractère étranger.

Aucune de ces propositions ne semblant en voie d’être retenue, le pire est bel et bien à venir.

Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire

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Décadence festive et aberrations récréatives

27 Février 2019, 16:24pm

Publié par Thomas Joly

Pendant que les foudres jupitériennes s'abattent sur toutes sortes de fusibles au nom de l’État de droit, pendant que la France s’enfonce dans davantage de lois ineptes ou liberticides, il est un domaine préservé où les perspectives de libertés, d’emplois et d’investissements font figure d'embellie.

Il y a d’abord le développement intensif du chantage par l’intrusion de hackers dans vos messageries, nouveau développement lucratif de l’imagination foisonnante à l’Est ou en Afrique grâce à Internet. Mais Castaner et Nuñez ont dit que tous les gendarmes étaient mobilisés pour traiter les milliers de plaintes en souffrance, donc pas de souci… Nous y reviendrons.

Mais il y a aussi une autre pépinière de talents qui attend de se déverser en France : l’or vert ! Depuis plusieurs mois, des publicités vous invitent à vous préparer à investir prochainement dans la culture du cannabis dès que le commerce de celui-ci aura été d’abord dépénalisé puis autorisé et réglementé en France ! La plupart des Banques sont bien sûr sur le coup car le profit ne s’est jamais encombré de la moralité, la marche du Progrès étant inexorable, c’est bien connu. Déjà désormais comptabilisés dans le calcul du PIB par l’INSEE sur les vives recommandations de l’Union européenne, les trafics de stupéfiants (sic) limités pour l’instant au cannabis et à la cocaïne, génèrent richesses et emplois. La prostitution les rejoint aussi dans cette comptabilité. Je m’étonne que le crime organisé n’ait pas encore été promu au même podium par la Commission européenne car les mafias d’Europe de l’Est, des Balkans au Caucase, peuvent aussi prétendre à leur part de rentabilité : casinos clandestins, armes de contrebande, limousines, hôtels de passe, trafics multiples, pots-de-vin, contrats, assassinats, rapts etc., il y a effectivement là de quoi doper notre PIB et la cote de popularité du Régime actuel. Chirac et Sarko en avaient peut-être rêvé, Jupiter et Bercy l’ont fait. Ce qui m’étonne le plus, avec une candeur qui me fait honte, c’est que de telles publicités préliminaires soient permises et s’étalent sur la toile et dans la presse. Il est vrai qu’il y a plus « urgent » à traiter en matière de formalités, notamment pour les manifestations, mais quand même !

Avec les banques il y a une autre profession qui a senti la bonne affaire, il s’agit des buralistes et marchands de tabac ! Dès juillet dernier, par la voix du Président de leur Confédération nationale, Philippe Coy, ils avaient martelé « Nous sommes pour le cannabis récréatif s’il est réglementé ! ». Vous avez bien lu. Et ils avaient même réclamé l’exclusivité de sa prochaine distribution dans tout le pays. Quand un buraliste annonce qu’il n’attend que le commerce autorisé d’un poison, fut-il prétendu festif, pour remplacer un autre poison trop dévalué afin de prospérer de nouveau, alors oui, on constate l’effarante décadence des mœurs, des responsabilités, et l’avènement de cette culture de mort qui fait tant sourire les crétins.

Cela dit, il y aura une compensation : peut-être le retard pris par la légalisation de la Marijuana en France, malgré l’exemple créatif du Jupiter canadien Justin Trudeau, est-il dû à au maintien de la paix civile ??? Non, je ne parle pas de l’improbable levée des citoyens contre une telle mesure, ce serait trop demander. J’attends simplement de voir comment les buralistes du 93 et de toutes nos banlieues vont distribuer leur nouvelle marchandise…

Voyez-vous, il y a déjà dans ces charmants endroits tous les réseaux d’exclusivité nécessaires où existe un très vaste choix de ces poisons. Les mafias issues de l’immigration ont enclavé leurs activités dans des quartiers entiers où les zones de ventes sont jalousement délimitées, réparties et protégées. Tous les spécialistes le confirment, ces trafics alimentent en grande partie les besoins de l’Islam le plus radical afin de financer ses réseaux, ses employés, ses stocks, ses locaux, son train de vie.

C’est tellement opaque que les polices de tous les ministères écoulés depuis plus de 30 ans ne cherchent même plus à y mettre les pieds, encore moins à y restaurer l’ordre républicain bafoué sur notre sol par l’ordre salafiste.

C’est tellement vrai que les choufs et les dealers assurent l’ordre nécessaire, si affligeante soit cette réalité, car émeutes, tapages ou manifestations nuisent aux bonnes affaires. Et quand il faut châtier concurrents ou délinquants égarés, ils ne se font pas prier, ils font eux-mêmes la police comme si leur quartier était devenu une principauté indépendante. C’est cela l’intégration pour laquelle les contribuables ont versé des milliards depuis 40 ans, la fameuse exception française, la nouvelle « françafrique » ou « françafric ». J’attends donc de voir avec impatience comment les flics français vont venir dans ces quartiers protéger au jour J les buralistes et leurs marchandises, comment les responsables syndicaux de ces débits vont s’y prendre pour demander aux Caïds locaux de se recycler dans le trafic du trèfle à quatre feuilles.

Là, nous serons vraiment dans le récréatif.

Franck Timmermans - Membre du Bureau Politique du Parti de la France

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« Pendant que les revendications des Gilets Jaunes se sont complétement gauchisées, le prix du carburant explose »

26 Février 2019, 20:47pm

Publié par Thomas Joly

Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, réagit à la hausse des prix du carburant qui atteignent de nouveau un niveau insupportable.

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Face à la polémique, Décathlon renonce finalement à commercialiser ses « hijabs de running »

26 Février 2019, 20:24pm

Publié par Thomas Joly

Décathlon renonce finalement à commercialiser un hijab de sport. Le groupe avait confirmé et « assumé » ce mardi matin, son choix de commercialiser ce produit destiné aux femmes musulmanes. Un choix à l’origine d’une vaste polémique qui avait fait réagir la ministre de la Santé Agnès Buzyn.

Le groupe Décathlon fait marche arrière après avoir annoncé sa décision de commercialiser un hijab de sport, destiné aux femmes souhaitant pratiquer la course à pied tout en gardant leurs cheveux et leur nuque cachés.
 
Ce qu'il faut surtout retenir, c'est que si des grands groupes proposent ce genre de produits communautaires, c'est parce qu'il y a une forte demande en République pré-musulmane française.
 

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Benalla et Crase ont pu se parler plus d’une heure pour mettre leur version au point, malgré leur contrôle judiciaire

25 Février 2019, 20:39pm

Publié par Thomas Joly

La justice républicaine fonctionne différemment, selon que vous serez membre de la classe dirigeante ou non.

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Salon de l'agriculture : le Parti de la France défend les paysans français

25 Février 2019, 08:33am

Publié par Thomas Joly

En dix ans un tiers des exploitations agricoles à disparu en France dans l'indifférence générale y compris celle des syndicats censés les représenter mais fonctionnant de plus en plus comme les mandants de leurs propres intérêts ou de ceux exclusifs des grandes exploitations. Entre un tiers et la moitié des exploitants gagnent moins de 350 euros par mois, l'immense majorité des éleveurs touchant moins de 1 000 euros. 75 % des exploitants à la retraite touchent une pension inférieure à 450 euros mensuels. Tous les deux jours, un agriculteur se suicide. Voilà le quotidien, voilà la réalité de notre monde paysan.

Au moment où s'ouvrent les portes du Salon de l’agriculture 2019 et où Emmanuel Macron, lors de son inauguration samedi, toujours dans l'incantation, s'est autoqualifié de « patriote de notre agriculture », les Français attachés à notre ruralité sont en droit d'exiger des actes.

Le Parti de la France demande à l'Exécutif de s'engager sur douze points essentiels.

  1. Alléger la pression administrative et normative pesant sur les exploitations et procéder au gel de toute nouvelle évolution réglementaire risquant de générer de nouvelles charges.
  2. Réduire le coût du travail, notamment saisonnier, pour permettre aux employeurs agricoles d'être compétitifs par rapport à leurs concurrents européens.
  3. Permettre par la loi un rééquilibrage équitable entre les intérêts des agriculteurs, des industries de transformation, et surtout ceux de la grande distribution en mettant un coup arrêt aux pratiques et méthodes de cette dernière trop souvent établies sur la base du fait accompli. C'est aux producteurs qu'il appartient de fixer les prix.
  4. Limiter le développement et les effets de l'agriculture cellulaire encouragée par les multinationales de l’industrie agro alimentaire et les fonds de pension anglo-saxons.
  5. Légiférer contre l'accroissement des accaparements de terres fertiles par des groupes étrangers sans rapport avec le domaine de l'agriculture et, à l'inverse, prendre des mesures pour assurer la transmission et les successions dans la pérennité des exploitations et chaque fois que cela est possible, dans le cadre familial.
  6. Promouvoir la qualité française par l’instauration d'un label de référence tout en agissant dans le cadre de la Politique Agricole Commune pour une protection des productions communautaires, le refus des traités commerciaux qui ouvrent les portes à des produits qui ne respectent pas les normes imposées à nos agriculteurs, et une dynamisation de nos exportations.
  7. Stopper le processus en cours de transfert des aides européennes à l’agriculture vers un budget dédié à l'accueil des migrants.
  8. Garantir le versement dans des délais raisonnables des aides promises par la Commission européenne et par les Régions aux exploitants, en particulier aux producteurs laitiers qui font le choix du bio.
  9. Mettre fin à l'agribashing. Nos compatriotes agriculteurs sont de plus en plus en proie à des campagnes incessantes de dénigrement sur les thèmes de la pollution, de la malbouffe, de la maltraitance animale, alors que l'agriculture française est exemplaire dans sa réduction des traitements phytosanitaires et des pesticides, comme dans sa recherche de qualité. Ces campagnes doivent cesser tout comme doivent cesser les actions pro véganisme.
  10. Développer la recherche pour une agriculture française de la précision et de l'excellence
  11. Soutenir les filières à forte potentialité comme les céréales, la viticulture et les produits laitiers.
  12. Mettre fin aux sanctions contre la Russie qui, en suscitant des mesures de rétorsion contre l'Europe et donc contre la France, met en péril de nombreuses exploitations, touchant en particulier les filières du porc, du lait et des fruits et légumes.

Jean-François Touzé - Délégué National du Parti de la France aux Études et Argumentaire

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Compte-rendu de la réunion de Saint-Aygulf (83) du 23/02/19

24 Février 2019, 10:58am

Publié par Thomas Joly

Compte-rendu de la réunion de Saint-Aygulf (83) du 23/02/19
Compte-rendu de la réunion de Saint-Aygulf (83) du 23/02/19
Compte-rendu de la réunion de Saint-Aygulf (83) du 23/02/19
Compte-rendu de la réunion de Saint-Aygulf (83) du 23/02/19
Compte-rendu de la réunion de Saint-Aygulf (83) du 23/02/19
Compte-rendu de la réunion de Saint-Aygulf (83) du 23/02/19

À l'invitation de Didier Monnin, Délégué départemental du PdF pour le Var, Carl Lang, Président du Parti de la France, a pris la parole lors d'un déjeuner politique à Saint-Aygulf. Jacques Peyrat, ancien maire de Nice, ancien député, ancien sénateur, et membre du PdF, est également intervenu.

À noter que France 3 est venu filmer toute la réunion.

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La nouvelle chanson de Macron : « Je suis un patriote de notre agriculture ! »

24 Février 2019, 10:00am

Publié par Thomas Joly

« C’est la même chanson », chantait Cloclo. Pas tout à fait, ce ne sont jamais les mêmes paroles, mais écoutez attentivement, la chanson de Macron est toujours la même. En voici le refrain : « Regardez-moi, écoutez-moi, moi qui sais tout, qui suis votre guide, celui qui vous veut du bien. Et surtout n’écoutez pas ces vilains gilets jaunes, ne les regardez même pas ! »

Vendredi, c’était la gentillette romance écolo en recevant à l’Élysée, urgence ô combien impérieuse, Greta Thunberg, 16 ans, l’illuminée de la lutte contre le réchauffement climatique. « Regardez comme j’aime l’écologie, combien je pense au climat des “territoires” où vivront vos enfants », semblait-il dire au peuple écolo-bobo.

Il y a quelques jours, c’était Brigitte Macron qui fredonnait « Je pense qu’il faut qu’on se parle, qu’on se réconcilie, parce que, franchement, on a tout à faire ensemble ». Sous la houlette de mon clairvoyant mari, me semblait-elle sous-entendre. « Il faut qu’on soit tous ensemble », a précisé madame Macron, empruntant une vieille ritournelle bien connue. « La culture française est une des cultures les plus extraordinaires au monde. Il faut qu’on soit fier. On a un pays qui est beau, qui a une culture incroyable, qui a une humanité incroyable, qui sait aussi être généreux envers l’autre », a-t-elle ajouté. J’en étais resté à « l’art français, moi je ne l’ai jamais vu ». Virage à 180°. « Nous vous aimons, mon mari et moi », nous chantait-elle. Peut-être que le couple régnant aime même les fainéants, les illettrés, les réfractaires au changement. Cependant, les lépreux antimondialistes et les gilets jaunes resteraient maintenus à l’écart de l’humanité normale.

Samedi, nouveau refrain au Salon de l’agriculture. « Je suis un patriote de notre agriculture […] Je sais tout ce qui fait notre fierté mais cette force de nos territoires ne serait pas la même sans l’Europe. » Macron patriote ! Macron au chevet de l’agriculteur désespéré qui regarde le nœud coulant pendu à la poutre de sa grange.

Toutes ces multiples diversions, c’est la même chanson. Il s’agit de couvrir la voix des gilets jaunes, la voix de la France périphérique, la voix de la France profonde, la voix du peuple qui refuse d’être enterré vivant, la voix du peuple qui refuse de croire aux lendemains macroniens qui chanteraient.

Après la répression sévère, samedi après samedi – sans doute du jamais-vu depuis la guerre d’Algérie -, après le flop retentissant des foulards rouges, après avoir essayé de faire passer tous les manifestants pour des antisémites, la représentation théâtrale continue, spectacle permanent.

Le public est clairsemé, somnolent mais, comme disait le prédécesseur de Macron, c’est l’État qui paye.

Jean-Charles Mignard

Source : http://bvoltaire.fr

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