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Le blog politique de Thomas JOLY

Numéro 50 de Synthèse Nationale : « La nécessaire révolution identitaire »

21 Janvier 2019, 07:18am

Publié par Thomas Joly

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« L'Histoire de France ne se réduit pas à la république et la France n'est pas née du bain de sang de la révolution »

21 Janvier 2019, 07:10am

Publié par Thomas Joly

Carl Lang, Président du Parti de la France, rend hommage au roi Louis XVI, exécuté par la vermine révolutionnaire il y a aujourd'hui 226 ans.

 

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La France au premier rang européen de la consommation de cannabis. Pourquoi ?

21 Janvier 2019, 07:06am

Publié par Thomas Joly

Pourquoi les Français, parmi les populations des 28 États membres de l’Union européenne, sont-ils les champions incontestés de la consommation de cannabis, avec un nombre de « consommateurs réguliers » de 1.500.000 et d’usagers quotidiens de 700.000. Le taux d’expérimentation à l’âge adulte est de 45 % de la population, alors qu’il était de 33 % en l’an 2000 (chiffres de l’Observatoire français des drogues et toxicomanies).

Ces chiffres énormes, s’agissant d’une drogue illicite, résultent des effets conjugués :

– De nos longues frontières maritimes (5.800 km) et terrestres (2.900 km) ainsi que de notre appartenance à l’espace Schengen, où règne la libre circulation des biens et des personnes (dont les drogues et leurs mules), facilitant l’entrée de cette drogue exogène, à 90 % marocaine.

– De son prix qui, malgré les importants bénéfices réalisés par les trafiquants et les rémunérations servies à plus de 200.000 dealers, est d’un niveau modique (≈ 6 € le gramme).

– D’une production autochtone, facilitée par des cultures hydroponiques, en appartement. Les « grow shops » vendant librement les matériels dédiés à cette culture : lampe à vapeur de sodium, thermostats, programmateurs de cycles jour-nuit, vaporisateurs d’eau…) ; ce qui est complété par l’achat sur le Net de graines de cannabis livrées à domicile par La Poste.

– Des familles désunies ou monoparentales ; l’absence ou la démission des pères ; une grande prise de distance des parents d’avec leur progéniture ; un argent de poche prodigué d’une façon inconsidérée, comme pour compenser des carences éducatives ; la perte de l’exemplarité (avec un nombre croissant de parents consommateurs) .

– De l’impéritie des politiques, qui n’ont pas su ou voulu contenir une immigration non ajustée à nos capacités d’accueil ; et qui ont cru acheter la paix dans les cités en y laissant se développer l’économie souterraine du cannabis (et d’autres drogues).

– De « l’interdiction d’interdire » héritée des errements de la féria de Mai 1968 qui, survenant à l’âge d’une grande vulnérabilité psychologique, a marqué une part importante de cette génération.

– De médias sous la coupe de journalistes souvent consommateurs qui feignent d’ignorer, pour ne pas les restituer, les méfaits multiples de cette drogue ; qui multiplient les messages banalisants ; qui entretiennent une confusion délibérée entre des potentialités thérapeutiques (très largement à démontrer) et l’usage dit récréatif, faisant du cannabis « une drogue bonne pour tout et donc bonne pour tous ».

– Par une loi répressive, très dissuasive, puisqu’elle permet de condamner à une année de prison ou à 3.500 € d’amende un consommateur. La Justice en a annihilé les effets, par un usage « en tout ou rien » ; répugnant au « tout », qui est essentiellement un moyen de dissuasion, elle a systématisé le « rien », classant sans suite le délit constaté et se privant d’user des différents degrés intermédiaires ; sans oublier les récentes dispositions qui limitent la dissuasion à une simple amende de 200 €, en solde de tout compte.

– Par l’absence d’information de nos jeunes sur cette drogue ; ce qu’a épinglé récemment l’Observatoire européen des drogues et toxicomanies ; leurs parents et leurs éducateurs n’ayant, non plus, bénéficié d’informations à leur âge, comment les transmettraient-ils ?

– Des addictologues à contre-emploi, souvent incapables d’affranchir du cannabis leur patientèle, n’ont rien de mieux à suggérer qu’un accès facilité à cette drogue.

– D’énormes intérêts sont en jeu et une légalisation apporterait à quelques-uns des revenus considérables. Des lobbyistes démarchent députés et sénateurs pour les inciter à cette légalisation. En attendant, ils ont missionné des émissaires qui préparent « le marché », en recrutant de nouveaux « accros » au cannabis.

Mélangez ces ingrédients, mettez au feu doux de la désinformation et vous avez la recette des performances françaises au critérium des plus grands fumeurs européens de cannabis.

Jean Costentin

Source : http://bvoltaire.fr

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Thomas Joly dans le Morbihan (56) dimanche 3 février

20 Janvier 2019, 13:02pm

Publié par Thomas Joly

Dimanche 3 février, à l'invitation de Jean-Marie Lebraud, Délégué régional du Parti de la France pour la Bretagne, Thomas Joly, Secrétaire général, sera à Sérent dans le Morbihan (56) pour un déjeuner-débat suivi de la traditionnelle galette des rois.

La participation aux frais est de 22 €. Réservations au 06 09 53 93 84 ou j-m.lebraud@orange.fr

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Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)

20 Janvier 2019, 12:19pm

Publié par Thomas Joly

Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)
Compte-rendu de la visite de Carl Lang à Castres (81)

Très bonne journée pour le Parti de la France Occitanie, samedi 19 janvier à Castres (81), qui organisait son traditionnel déjeuner de la nouvelle année, sous la houlette de Guy Jovelin, Délégué régional du mouvement.

C’est aussi avec le concours des représentants tarnais des « Comités Jeanne », que le Président du PdF, Carl Lang, a pu s’imprégner de l’ambiance du terroir du Sud Ouest, notamment une visite au marché local où il a pu s’entretenir avec les commerçants et apprécier les produits authentiques de notre région.

Puis dans une ambiance conviviale lors du déjeuner, une quarantaine de personnes ont pu découvrir pour la plupart le Parti de la France à travers le discours du Président Carl Lang, suivi d’échanges très pertinents.

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« J'accuse les médias d'avoir caché pendant 8 semaines une répression d'une violence sans précédent en France depuis la guerre d'Algérie ! »

20 Janvier 2019, 11:47am

Publié par Thomas Joly

Découvrez la colère de Jean-Yves Le Gallou contre les médias dominants qui ont fermé les yeux pendant des semaines sur une répression qu'ils n'auraient pas pardonnée à Poutine, Orban ou même à Marine Le Pen ou Laurent Wauquiez...

L'émission complète est à voir ici.

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Au moins 350 000 Gilets Jaunes dans les rues pour l’Acte X selon le syndicat indépendant « France Police »

19 Janvier 2019, 20:43pm

Publié par Thomas Joly

Le mouvement des Gilets Jaunes a rassemblé au moins 350.000 personnes dans les rues pour la 10e journée d’action d’affilée. C’est une mobilisation similaire à celle de samedi 12 janvier et l’une des plus fortes depuis 2 mois.

Source : http://breizatao.com

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Grand débat : le marketing-circus de la communication en tournée dans toute la France

19 Janvier 2019, 11:08am

Publié par Thomas Joly

Emmanuel Macron en tournée… Ce soir dans votre ville ! Le débat est grand, il est grand le débat ! Six heures en chemise face à la foule ! Six heures de brassage d’air ! Une chemise par débat ! Des maires comme s’il en pleuvait ! Des écharpes de toutes les couleurs ! Du bleu, du rouge, du blanc, de la gaieté, de l’extraordinaire !

Outre l’aspect marketing-circus de l’opération, le grand débat fait penser à ce sketch des Inconnus où la candidate un peu neuneu qui ne connaît pas la réponse essaie de gagner du temps avec cette repartie devenue célèbre : « Vous pouvez répéter la question ? » Pas besoin de débat grand ou petit pour savoir ce que le peuple veut. Les gilets jaunes hurlent leur ras-le-bol depuis des semaines, leurs demandes sont connues, leurs difficultés aussi…

Terré dans l’Élysée, invisible durant des jours et des jours, le Président sort soudain de son bureau et organise un tonitruant : « Vous pouvez répéter la question ? » Dociles, les maires accourent. Se prêtent à la mascarade. Les violences policières pour seule réponse à la détresse qui s’exprimait dans les rues ne les ont pas indignés. Pas choqués. Ils sont là. Assis sagement. Reformulent, façon « politiquement correct », ce que les gilets jaunes martèlent depuis des mois. Ce que le Président savait déjà. Ils répètent la question. La réponse arrive, noyée dans un flot de bla-bla dont ils ne retiendront pas grand-chose. En repartant, les maires s’interrogent : « Au fait, c’était quoi, la réponse ? » Comme une envie de retourner dans la salle pour dire : « Vous pouvez répéter la réponse ? » Trop tard. Le showman est parti vers une autre ville.

Écran de fumée. Gaz lacrymogène, volutes bleutées dans les rues. Nuages opaques dans les salles où se produit Emmanuel Macron. Le maire est enveloppé d’une brume dont il ne sait que penser. De retour dans sa commune, il ressent une sorte de gueule de bois. Saoulé par six heures de parlotte. C’était du puissant. Le crapaud séché qui trempait dans la bouteille a laissé comme un goût bizarre.

Au lendemain du « big débat », voilà l’élu communal partagé entre deux postures : faire celui qui a tout compris. Presque ami du Président. En tout cas, proche collaborateur. Ou bien essayer de faire le tri dans le stock de mots débités par le winner en chemise. Y a-t-il une chance de sauver le poisson que le Président a tenté de noyer ? La survie de la pauvre bête n’est pas garantie.

Pour donner au barnum ce petit air pompeux qui peut faire illusion, il a été décidé de nommer cinq garants. La qualité de la fumée doit être irréprochable. Cinq ramoneurs veilleront à la propreté des tuyaux. Tous choisis dans la sphère technocratique. Indépendance, bonne tenue et impartialité seront au rendez-vous. Pour l’instant, Robert Ménard : pas invité. Julien Sanchez, maire RN de Beaucaire, non plus. Ça commence mal…

À notre connaissance, le coût de cette opération de diversion n’a pas été communiqué. Son montant pourrait, à lui seul, anéantir l’efficacité recherchée auprès de l’opinion. Ce serait ballot.

Jany Leroy

Source : http://bvoltaire.fr

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Hommage aux sapeurs pompiers tués rue de Trévise : Nathanaël Josselin et Simon Cartannaz

19 Janvier 2019, 10:42am

Publié par Thomas Joly

Ils étaient jeunes, respectivement âgés de 27 et 28 ans. L’un était père de famille. Ils avaient certainement la tête pleine de rêves et de projets. Ils, ce sont le sapeur de première classe Nathanaël Josselin et le caporal-chef Simon Cartannaz. Ils servaient, l’un et l’autre, au sein de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP).

Et puis, pour eux, tout s’est arrêté le 12 janvier dernier, rue de Trévise, dans le 9e arrondissement. Alors qu’ils intervenaient dans un immeuble pour une fuite de gaz, une explosion d’une formidable ampleur les a tués instantanément. Un de leurs camarades, grièvement blessé, est toujours hospitalisé. Ces deux héros ordinaires sont partis rejoindre leurs camarades morts en mission. 26 depuis 1967, date de la création, par le général de Gaulle, de la « Brigade », comme l’appellent familièrement les anciens et les connaisseurs.

La BSPP plonge ses racines dans la longue histoire que les hommes mènent contre le feu. Longtemps l’affaire de la collectivité tout entière, notre pays, au fil du temps, s’est organisé pour lutter contre un fléau qui ne se dément pas et qui est toujours aussi présent, dévastateur et meurtrier. Et puis, peu à peu, les missions des sapeurs-pompiers se sont élargies et diversifiées pour concerner, aujourd’hui, tous les aspects du secours aux personnes.

C’est Napoléon Ier, empereur des Français, qui, suite à l’incendie meurtrier de l’ambassade d’Autriche, le 1er juillet 1810 – une centaine de victimes est alors à déplorer -, décide de la création d’une unité spécialisée dans la lutte contre les incendies dans la capitale. Ce sera chose faite par le décret impérial du 18 septembre 1810. En 1866, ce qui était le bataillon de sapeurs-pompiers de Paris devient un régiment. Et le 1er mars 1967, l’unité est transformée en brigade, à la tête de laquelle est nommé l’emblématique colonel Casso, promu général pour la circonstance.

Formatée, avec ses 80 casernes et 8.500 hommes environ, pour 450.000 missions par an, la BSPP en a assuré 520.000, en 2018. Cette augmentation est, en grande partie, due à la désertification médicale qui sévit, ainsi qu’à l’augmentation significative des accidents (blessures, chutes…). De cela, il ressort également une grande demande d’un corps social en sollicitation sans cesse grandissante d’attention, de secours et d’assistance. Si les sapeurs-pompiers sont, en général, auréolés d’une réputation de courage et d’abnégation qui n’est plus à faire, cette corporation vit aussi une grande période de doutes. Ainsi, le taux de réengagement à l’issue du premier contrat de cinq ans est-il passé, au cours de ces dernières années, de 83 % à 53 %. En cause non pas les risques inhérents au cœur de métier mais une aggravation significative des conditions d’intervention.

À cet égard, l’assassinat du jeune sapeur-pompier Geoffroy Henri, 27 ans, poignardé lors d’une mission à Villeneuve-Saint-Georges, en banlieue parisienne, est venu rappeler combien le contexte de violence généralisée qui touche notre société devient intolérable, même pour les plus courageux et les plus dévoués de nos concitoyens. Chaque année, plusieurs pompiers meurent en service. 65 d’entre eux, depuis 2003, ont payé au prix de leur vie ce qu’une société peut offrir de meilleur. Le don de soi au nom d’un idéal qui transcende tout le reste. En sauvant au moins une vingtaine de personne par leur sacrifice, Nathanaël Josselin et Simon Cartannaz nous ont rappelé le sens du mot « humanité » dans ce qu’il a de plus grand et de plus beau. Et en cette période de fortes tensions dans notre pays, le message est loin d’être inutile.

Olivier Damien

Source : http://bvoltaire.fr

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« Débat National » : à Souillac, 10 000 CRS et gendarmes confinent les 3 400 habitants chez eux !

18 Janvier 2019, 07:32am

Publié par Thomas Joly

Plus que jamais, la République française se soviétise. Le pseudo-débat organisé par Emmanuel Macron et son gouvernement est rigoureusement interdit aux habitants des communes où il est mis en scène.

Le village est placé sous occupation politique par le gouvernement central.

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Pour compenser la dégradation des radars, les gendarmes multiplient les contrôles de vitesse

18 Janvier 2019, 07:09am

Publié par Thomas Joly

Alors que, suite à la neutralisation des pompes à fric de l'État par les Gilets jaunes, le nombre de morts sur les routes a reculé depuis deux mois, la gendarmerie a reçu l'ordre de concentrer ses efforts sur la répression routière en traquant les automobilistes à coups de radars mobiles et de jumelles (voir ici dans l'Oise).

Ceci démontre bien que, sous prétexte de sécurité routière, le racket des automobilistes français constitue une véritable rente fiscale pour nos gouvernants.

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115 milliards d'économie à faire grâce au RAP !

17 Janvier 2019, 19:09pm

Publié par Thomas Joly

Si le Pacte mondial sur les migrations de Marrakech s’invite régulièrement sur les banderoles des Gilets Jaunes, c’est bien parce que la France des oubliés, la France rurale, la Franche de souche, la seule victime du mondialisme heureux que l’on veut nous imposer, commencent à percevoir le coût de l’immigration.

Coût identitaire, coût sécuritaire, et bien sûr coût financier. Gérard Pince, docteur en économie et spécialiste de l’économie du développement a publié en 2013, un livre sobrement intitulé : Les Français ruinés par l’immigration. Il avançait le chiffre de 115 milliards par an. Des chiffres jamais contestés par l’administration ou les chiens de garde de l’antiracisme judiciaire.

115 milliards en 2012. Or, par exemple, pour la simple AME, l’aide médicale d’état gratuite pour tout étranger, en situation régulière ou non, quelle que soit la pathologie, cette aide a augmenté de 38 % entre 2012 et 2018, le nombre de bénéficiaires progressant lui de 47 % ! 300 000 personnes qui n’ont jamais rien donné à la France, pas un centime, pas une goutte de sang, pas une seconde de leur temps coûtent à notre collectivité plus d’un milliard d’euros en 2018.

Nous avons, ici même, maintes fois dénoncé le coût exorbitant de l’immigration, légale ou illégale, pour notre communauté. La faillite des départements par exemple, avec le poids des Mineurs Non Accompagnés, les MNA, dont le nombre explose d’année en année. Aujourd’hui, 40 000 d’entre eux seraient pris en charge par les collectivités locales au titre de l’Aide sociale à l’enfance contre 25 000 en 2017 et 13 000 en 2016. Sachant que le coût annuel d’une prise en charge, prévue dans le cadre de l’Aide sociale à l’enfance (ASE), atteindrait 50 000 euros par an, la facture devrait frôler les 2 milliards d’euros à la fin de l’année. Et lorsque les mineurs atteignent la majorité, les départements sont parfois conduits à poursuivre leur accompagnement via des « contrats jeunes majeurs », comme les 5 000 signés en 2017, au coût unitaire d’environ 30 000 euros par an… La préférence étrangère à l’embauche…

Dans un tract disponible auprès de vos fédérations ou du secrétariat général, le Parti de la France rappelle que s’il vous manque 50 euros pour finir votre mois, chaque demandeur d’asile reçoit lui, 343,50 euros par mois, hors logement, soins et aides locales !

Le précédent Gouvernement Valls avait dû créditer une rallonge de 617 millions d’euros supplémentaires pour 2017 afin de faire face à l’afflux des nouveaux bénéficiaires !

De même, s’il vous manque 50 euros pour vous loger, sachez que, chaque soir, 35 000 immigrés sont logés à l’hôtel par les pouvoirs publics. Mais 1,7 million de Français attendent un logement social et 150 000 SDF sont abandonnés à la rue.

Imaginez alors, ce qui nous attend avec le Pacte de Marrakech et les engagements qui y sont liés…
 
À titre d’exemple, prenons l’hypothèse basse de 200 000 étrangers supplémentaires par an, ce qui, notez-le bien, est inférieure à la réalité, puisqu’en 2016, selon le tout dernier rapport de l’INSEE publié le 12 décembre 2018, le chiffre réel est de 259 826 nouveaux arrivants.

Mais partons sur 200 000 étrangers supplémentaires s’installant chaque année en France, c’est 0,3 % de la population, 0,4 % de la population scolaire et 3,2 % de la population étrangère déjà présente en France. Cela génère 3 milliards en dépenses de fonctionnement des services publics et en redistribution sociale (soit 0,3 % de 1 000 milliards).

Cela génère aussi et surtout 15 milliards de dépenses d’infrastructures. Comme l’avait souligné le prix Nobel Maurice Allais, l’arrivée d’une population nouvelle suppose de puiser dans l’épargne (ou de creuser le déficit) pour réaliser les équipements nécessaires à leur accueil.

Ces dépenses se décomposent ainsi :

  • Établissements scolaires : 1 milliard ;
  • Logements : 7 milliards ;
  • Transports urbains régionaux : 4 milliards ;
  • Prisons : 100 millions ;
  • Universités : 400 millions ;
  • Hôpitaux : 700 millions ;
  • Autres réseaux nationaux et locaux : 2 milliards.

Cela génère aussi des dépenses d’assurance chômage : dans un pays qui a 15 % de chômeurs, un étranger de plus ce n’est pas un emploi de plus c’est un chômeur de plus (français ou étranger, d’ailleurs, puisque le taux de chômage des étrangers et des enfants d’immigrés est, selon les statistiques officielles, deux à trois fois plus fort que le taux de chômage moyen). Le coût de l’indemnisation de ce surchômage c’est 500 millions.

Au total plus de 18 milliards d’euros : près du quart du déficit budgétaire, chaque année, pour l’hypothèse basse de 200 000 nouvelles entrées.

Si l’on doit prendre aussi le coût sécuritaire de l’immigration illégale qui accompagne cette immigration légale, vous pouvez rajouter 1,20 milliard supplémentaire, à répartir entre les structures de lutte contre l’immigration irrégulière (85 millions), le coût des reconduites (674 millions), les centres de rétention (79 millions) et le coût de la délinquance de l’immigration irrégulière (367 millions d’euros), selon l’expert financier André Posokhow.

À l’occasion du énième attentat perpétré au nom de l’islam, il y a quelques semaines à Strasbourg, rappelons que le même André Posokhow a estimé que le seul coût sécuritaire de l’immigration s’élèverait à 13,67 milliards d’euros…
 
115 milliards en 2012. Certainement 130, 140 en 2018. Oui, les Français sont ruinés par l’immigration. En période de crise, il est clair que la France n’a plus les moyens de poursuivre sa politique d’immigration ou que, si elle la poursuit, cela ne peut se faire qu’au détriment des services rendus à la population, de son niveau de vie et de sa qualité de vie.

Pour le Parti de la France, il est urgent de rendre aux Français le produit de leur travail et de leur épargne, tout en permettant aux entreprises de conforter leur compétitivité. Cela passe par un allègement réel de la pression fiscale qui étouffe les familles et étrangle les entrepreneurs. Avec pour condition sine qua non la réduction drastique du train de vie de l'État et des collectivités locales, la fin de la gabegie, la chasse aux fraudes et au gaspillage, la suppression des organismes inutiles et d’au moins un des échelons administratifs de la Nation, sans même compter sur les économies réalisées par une politique cohérente et réaliste d'immigration zéro.

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Le Parti de la France à la Marche pour la Vie dimanche 20 janvier !

17 Janvier 2019, 07:44am

Publié par Thomas Joly

Comme chaque année, le Parti de la France appelle ses militants et sympathisants à participer à la grande Marche pour la Vie qui se déroulera dimanche 20 janvier à Paris (13h30 - porte Dauphine).

Face aux tenants de la Culture de mort qui veulent tout à la fois banaliser l'interruption volontaire de grossesse et légaliser l'euthanasie, le Parti de la France et Carl Lang proposent l'inscription dans la Constitution du principe du respect de la Vie, de la conception jusqu'à la mort naturelle, ainsi que le remplacement des lois Veil, Roudy et Aubry par une grande politique familiale favorisant l'accueil de la Vie.

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La députée LREM Anne-Christine Lang utilisait l’argent de l’assemblée pour payer ses vacances et remplir son frigo

17 Janvier 2019, 07:32am

Publié par Thomas Joly

Nouveau symbole de la corruption qui règne dans la classe politique hexagonale, la députée LREM Anne-Christine Lang va devoir rembourser l’argent que lui versait l’Assemblée. Motif : elle s’en servait pour se soigner, remplir son frigo, aller en vacances ou encore payer des verres à l’étranger.

Le Point (source) :

Le président de l’Assemblée nationale a tranché. Mardi 15 janvier, Richard Ferrand a annoncé que la députée Anne-Christine Lang allait devoir « rembourser ce qui, selon elle, a fait l’objet de négligence ». Selon Radio France, la députée a utilisé son enveloppe parlementaire de frais de mandat pour des dépenses personnelles. Citant des relevés de compte de l’indemnité représentative de frais de mandat (IRFM) d’Anne-Christine Lang pour la période de février à septembre 2016, Radio France a rapporté vendredi que la députée, aujourd’hui LREM et socialiste à l’époque des faits, aurait utilisé une partie de cette enveloppe pour des dépenses à caractère personnel. Elle a plaidé la « négligence » auprès de Radio France.

La députée LREM Anne-Christine Lang utilisait notamment l’argent prévu pour ses activités parlementaires pour aller en vacances, faire des cadeaux ou remplir son frigo.

France Info (source) :

Nous nous sommes procuré les relevés de compte d’IRFM d’Anne-Christine Lang sur l’année 2016. Elle était à l’époque membre du groupe socialiste. Cette députée de Paris siège toujours à l’Assemblée, mais sous l’étiquette LREM.

Les relevés que nous avons pu examiner couvrent une période qui va de février à septembre 2016. On y trouve notamment des frais médicaux : cinq paiements à des médecins (dont 1 000 euros payés en carte bleue à un stomatologue et 680 euros payés à un autre spécialiste) et 11 règlements dans des pharmacies pour 360 euros au total. Des paiements d’autant plus problématiques qu’ils étaient par ailleurs remboursés – au moins partiellement – à la députée sur son compte personnel. « Je pensais de bonne foi que l’assemblée nationale remboursait ces frais sur mon compte IRFM, nous a expliqué Anne-Christine Lang au téléphone, puis dans un mail. Il s’agit d’une négligence de ma part » ajoute-t-elle.

En six mois, elle a également utilisé 22 fois sa carte bleue de députée dans des supermarchés, dont 15 dans celui qui se trouve juste à côté de son domicile, pour un total de 1 539 euros. Il s’agissait, selon elle, d’achats de vêtements (qui sont autorisés) ou « de petits achats pour des réunions ou plus rarement de grosses courses pour l’organisation d’une soirée militante », explique-t-elle. Mais lorsqu’on lui fait remarquer un paiement de 111 euros chez Leclerc, dans une station balnéaire où elle partait en vacances, Anne-Christine Lang évoque à nouveau « une négligence ».

Les relevés font également apparaître sept paiements dans des magasins de jouets ou de puériculture, pour un total de près de 600 euros. « Ce sont probablement des cadeaux pour des naissances ou mariage » nous a expliqué la députée sans pouvoir nous dire précisément lesquels, et sans exclure encore de possibles « négligences ». Elle explique de la même façon le fait qu’elle ait pu payer, à quelques reprises, des péages d’autoroute sur la route des vacances depuis son compte dédié à l’IRFM.

Autre constat : la députée retirait tous les mois en moyenne 1 500 euros d’argent liquide et jusqu’à 2 070 euros pour la période du 11 juin au 13 juillet 2016. Au téléphone, Anne-Christine Lang nous a expliqué qu’elle préférait « régler en liquide pour des raisons de confidentialité. Je n’avais pas envie qu’on sache où je mangeais, avec qui, etc. » Selon elle, ces sommes servaient bien à payer des dépenses professionnelles. Néanmoins, ses relevés font apparaître un retrait de 250 livres sterling, en août 2016, en Angleterre, alors qu’elle y passait des vacances, selon nos informations, ce qu’elle nous a confirmé. « J’ai organisé deux dîners » nous a-t-elle affirmé dans un premier temps au téléphone, sans vouloir nous dire avec qui, avant de nous donner une autre explication par mail : « J’ai réglé un ‘pot’ avec des élues féministes anglaises et une veste à Canterbury » écrit-elle, sans nous préciser l’identité des élues.

Enfin, un dernier point a attiré notre attention, cette fois-ci sur les relevés de gestion de son IRFM que lui envoyait tous les mois l’Assemblée nationale et que nous avons également obtenus. Sur six mois, tous portent la mention « Remboursement prêt d’honneur » pour 978 euros. Anne-Christine Lang nous a effectivement confirmé qu’elle a bénéficié d’un prêt à usage personnel (voir plus haut) de l’Assemblée pour un montant de 18 000 euros fin 2014. Ce prêt était donc remboursé par prélèvement sur son indemnité de frais de mandat, comme en attestent les relevés de gestion. Cette situation semble problématique, Anne-Christine Lang ayant signé en 2016 une déclaration sur l’honneur attestant qu’elle avait bien utilisé l’IRFM aux fins définies dans le règlement de l’Assemblée. Or ce type de prêt à usage personnel n’en faisait pas partie. La députée, elle, affirme qu’elle s’est conformée aux règles fixées par l’Assemblée. 

Source : http://breizatao.com

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Et pendant ce temps, l’ennemi avance ses pions

17 Janvier 2019, 07:05am

Publié par Thomas Joly

J’ignore si l’ordre du jour du futur grand débat national permettra de trouver l’armure idéale pour protéger les CRS des poings nus de certains manifestants, mais il y a d’autres symptômes de guerre civile qui passent malheureusement inaperçus à cause des tollés médiatiques et émois républicains du moment.

Pour la première fois en Europe, force est de constater l’existence d’un État officiellement et totalement narcotrafiquant. Et c’est la France qui l’abrite dans une enclave qui ne tardera pas à réclamer son émancipation. La chaîne de télévision parlementaire a récemment diffusé une émission intitulée « Droit de suite » qui traitait du trafic de drogue dans notre pays et des complicités politiques locales qui lui permettait de prospérer. A cette occasion, les journalistes Frédéric Ploquin et Jean-Pierre Gratien ont annoncé et confirmé que le département « français » de Seine St Denis était devenu le premier état narcotrafiquant de l’UE et la réalité des faits suffit à dissiper les doutes. Ce triste constat s’appuie d’abord sur une très discrète progression des métastases durant ces quatre dernières décennies dans toutes les villes du département avec comme citadelles les cités les plus importantes des grandes villes. Aujourd’hui, une mue décisive du monstre a été actée : le trafic des drogues dans le 9-3 constitue un budget annuel de plus de 3 milliards d’euros. Alors que le budget du Conseil départemental, l’assemblée chargée de gérer ce territoire provisoire de la République, ne dispose que de 2 milliards de budget. Le trafic des drogues est donc devenu le « premier employeur » du département, sa première « richesse », l’économie souterraine et parallèle la mieux organisée pendant que l’État et ses élus sont incapables depuis 40 ans à endiguer le phénomène. Pire nous dit-on, certains élus l’accompagnent en le cautionnant, en le soutenant tels des affidés de la mafia, puisque des facilités sont octroyées pour sanctuariser les lieux de vente et des locaux municipaux sont même parfois mobilisés pour accueillir des nouveaux stocks du poison. Non, vous ne rêvez pas. Cet état de fait ne nous étonne absolument pas. J’ai moi-même vécu plus de 20 ans en Seine Saint-Denis. Nous connaissions le processus qui gangrenait nos villes et l’omerta y régnait déjà car les trafiquants savaient parfaitement arroser les interlocuteurs qui leur étaient indispensables. Ce que l’émission de la chaîne parlementaire ne dit pas est encore plus grave car, au-delà des complicités actives ou passives, il y a une réalité qui conditionne la suite des évènements à venir. Ce trafic, de dimension colossale et para-institutionnelle, est indissociable des phénomènes migratoires puisque leurs concentrations massives et immaitrisables dans nos banlieues ont justement généré cette forme d’économie.

Ce n’est pas la pauvreté qui a conduit des populations « exploitées » à ces expédients, comme se plaît à l’ânonner la Gauche parmi toutes les foutaises qu’elle utilise pour mieux se dédouaner de sa coupable permissivité habituelle, non ! Ce n’est pas non plus le « manque de moyens pour l’intégration » car ils ont été considérables, honteux même au vu des résultats, et quand on sait que ce département a fourni à l’Exécutif un Ministre de l’Intérieur (Pandraud), un Ministre de l’Intégration (Raoult), tous deux RPR ce qui est une circonstance aggravante mais nous n’oublierons pas non plus les ministres de gauche, postes tous confondus en rapport avec l’immigration, le social et le logement, qui leur ont permis de faire preuve eux aussi d’incompétence gravissime : Bruno Leroux, Marcel Debarge, Claude Bartolone, Jack Ralite etc. sans oublier Tapie qui, à l’appel du Maire de Montfermeil dans les années 80, avait promis d’utiliser la tour mise à sa disposition pour mettre le pied à l’étrier aux jeunes de banlieue abandonnés par l’État. Foutaises, sornettes et mensonges éhontés. De tout ce fatras de promesses non tenues une seule l’a été : l’exorbitance des montants alloués justement à l’immigration et à l’intégration, autant de milliards de francs et d’euros enfournées pendant quarante ans dans le tonneau des Danaïdes en pure perte au vu du bilan catastrophique. Un échec cuisant aussi pour la République, toujours bouffie de ses ambitions arrogantes, de ses leçons dispensées par un corps préfectoral qui n’a jamais rien eu à envier au corps politicien.

Car la République en question n’est plus qu’un paravent. Les forces de l’ordre ne se déplacent plus dans les zones de non-droit pour faire appliquer la Loi et précisément le Droit ; trop dangereux, les zones sont gardées, les cités réputées imprenables, les kalachnikovs chargées, les nombreux choufs bien payés et aux aguets. Les élus honnêtes n’ont plus droit de cité dans leurs quartiers et négocient avec des interlocuteurs divers pour négocier ici un retour au calme, là le passage d’un bus ou encore la bonne tenue d’un bureau de vote. On s’adresse alors à un supposé doyen d’âge, ou à un chef de clan autoproclamé tandis que les vrais responsables restent à couvert car les aînés n’ont plus le droit comme jadis au respect.

La seconde réalité c’est que le trafic de drogue est indissociable de l’Islam radical. Partout où celui-ci se répand, il a besoin d’argent et utilise les trafics de toutes sortes pour se doter des moyens nécessaires à sa prolifération : véhicules, armes, stockages, salaires des complices, pots-de-vin, propagande, mosquées ; c’est ainsi. On l’a vu surtout en Afghanistan où les forces américaines ont été si pitoyablement incapables d’endiguer le trafic qu’on se demande, au vu de l’effarante explosion de sa prospérité, si ce n’était pas voulu ?

Mêmes principes avec Daesh qui a utilisé tous les trafics pour se financer. On ne peut donc que s’alarmer des chiffres budgétaires en Seine St Denis car ils peuvent légitimement être interprétés comme un baromètre florissant de l’Islamisme le plus radical. On reconnaît d’ailleurs sa patte dans l’organisation feutrée de ses réseaux et dans l’efficacité du maintien de l’ordre quand des échauffourées extérieures viennent gêner le commerce en question. Le cannabis venant en tête du hit-parade des ventes, on ne peut qu’être atterré devant l’insistance de prétendus spécialistes ou sociologues à réclamer sa dépénalisation au motif que la lutte contre la drogue est en échec. Si c’est bien le cas c’est à cause d’une inertie politique générale et ce n’est pas en légalisant le cannabis que le fléau sera jugulé, au contraire. À force de retirer à l’échelle des peines tous ses échelons il n’y aura plus d’échelle du tout car l’échec des Pouvoirs publics face à la délinquance devrait aussi logiquement nous interpeller au point d’envisager la dépénalisation de tous les délits dits mineurs !!! On nage dans l’absurde criminel ! Plus grave, demain ce sont les Imams radicaux qui proposeront de suppléer la police française par leurs milices dans les quartiers de banlieue et, malgré l’entorse évidente faite à la laïcité, le Pouvoir n’aura pas le choix et ce sera le début de la fameuse partition que Hollande (et Collomb) prophétisait, comme tout bon pyromane sait le faire.

Ce sera un pas décisif dans l’implantation de l’Islam radical en Europe, avec des centaines d’enclaves qui prétendront aux mêmes droits avant de déclencher plus tard la conquête sainte.

Ils ont tout observé, nos forces armées, notre décadence, l’insuffisance de nos moyens policiers, la cupidité de certains élus, la démographie du déclin, la repentance. Le fruit devient mûr et ils n’ont même plus besoin d’un droit de vote… La main qui sauvera notre Pays ne devra pas trembler, la politique qui sera la seule ne devra pas mollir. Tout le reste n’est que divisions dérisoires, complicités aveugles ou criminelles, et il faudra garder cela en mémoire.

Frank Timmermans - Membre du Bureau politique du Parti de la France

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