Dans son édition de ce dimanche 26 mars, le Journal du dimanche (JDD) donne la parole à Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de France à Alger, afin d’explorer la trame de l’histoire complexe qui unit (et désunit) la France à l’Algérie et qui fait que soixante ans après l’indépendance du second pays, « la réconciliation franco-algérienne s’apparente au mythe de Sisyphe ».
L’article se réfère au livre de Xavier Driencourt, L’énigme algérienne, paru aux Editions de l’Observatoire, « pour se persuader que la réconciliation franco-algérienne est un projet chimérique ».
Xavier Driencourt ne mâche pas ses mots. Il explique ainsi avoir retenu de ces sept années algériennes que « la France n’est qu’un partenaire banal, plutôt plus maltraité que les autres. Avec des alternances de fâcheries longues et de retours de flammes qui ne durent pas. » À son sens, il n’y a d’ailleurs qu’une chose qui intéresse les Algériens : les visas. Au point que c’en est devenu une véritable obsession car, rappelle-t-il, « quarante-cinq millions d’Algériens n’ont qu’un rêve : partir en France, où chaque Algérien a de la famille ».
Paradoxalement, face à cet engouement pour les visas français, le discours anti-français, lui, est le levain de toutes les campagnes présidentielles en Algérie, au point que Xavier Driencourt pressente « que le président Tebboune choisisse de venir à Paris le 8 mai prochain, histoire de rappeler le massacre de Sétif du 8 mai 1945 pour pouvoir encore accabler les Français ».
En face, la crédulité d’Emmanuel Macron, qui a toujours voulu croire en une impossible quête, pensant réussir là où ses prédécesseurs ont échoué, misant sur son jeune âge et « son pouvoir de séduction », pensant pouvoir entretenir la flamme d’une relation qualifiée dernièrement par Abdelmajid Tebboune, sur Al Jazeera, de « fluctuante ».
De crainte que son séjour ne tourne au fiasco au milieu des poubelles en flammes, des grévistes en colère et des gaz lacrymogènes des CRS, l'Élysée a prudemment reporté la visite de l'insipide et déjà cacochyme roi d'Angleterre.
On se remettra sans trop de peine de l'annulation de la villégiature d'un Charles III acquis à toutes lubies progressistes et immigrationnistes du moment.
Que les doux rêveurs du camp national exaltés par les manifestations actuelles recouvrent leurs esprits. Si ces troubles devaient aboutir à une hypothétique « révolution » : elle serait islamo-gauchiste.
Il y a d'un côté le chaos institutionnel et de l'autre la chienlit…
Samedi 25 mars à Paris, lors du Ve Congrès du Parti de la France, Pierre-Nicolas Nups expliquera comment le PdF rétablira l'ordre et organisera la grande remigration.
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L'effervescence générale autour du Ramadan démontre plusieurs choses :
- L'islamophilie des autorités publiques soi-disant laïques ;
- Le degré avancé de colonisation afro-islamique du pays ;
- La condition de pré-dhimmitude d'une population française indifférente et/ou résignée. pic.twitter.com/JWyeAtnzkR
Samedi 25 mars à Paris, lors du Ve Congrès du Parti de la France, Maxime Leroy interviendra sur la nécessité d'en finir avec le socialo-communisme d'État et de démarxiser le camp national.
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Au JT de 13h aujourd'hui, au cours d'une interminable intervention dont il a le secret, le Président de la République a rassuré son électorat de boomers (75 % des + de 65 ans ont voté pour lui au 2nd tour en 2022) : les actifs bosseront deux ans de plus pour payer leurs retraites et il fera éteindre les feux de poubelles dans les grandes villes pour garantir « l'ordre républicain ».
Pas un mot évidemment sur le poids astronomique du coût de l'immigration qui plombe les finances publiques, la fameuse « loi sur l'immigration » étant d'ailleurs reportée aux calendes grecques.
On notera, au milieu de ce pénible exercice d'autosatisfaction, l'incantation quasi-mystique de revenir au « plein emploi » alors même que notre pays est l'un de ceux où les entreprises et les citoyens sont les plus taxés au monde...
Enfin, le locataire de l'Élysée a rappelé, au nom de la nouvelle lubie écolo-tarée, sa détermination à mettre en place des restrictions d'eau et sans doute d'en augmenter considérablement le prix pour les consommateurs.
Le Parti de la France ne s'était pas trompé sur la nocivité de cet individu à qui une majorité d'abrutis ont donné les pleins pouvoirs jusqu'en 2027.
Plus que jamais, la droite nationale non-reniée doit être une force d'opposition radicale face aux fossoyeurs de notre Nation.
Samedi 25 mars à Paris, lors du Ve Congrès du Parti de la France, Eric Pinel interviendra pour rappeler qu'il ne faut pas abandonner les enjeux environnementaux à la gauche.
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Dans le Forum du PdF du jeudi 23 mars, Alexandre Hinger reçoit Bruno Hirout et Alexandre Simonnot.
L'émission sera consacrée au bilan des activités du Parti de la France ainsi qu'à ses perspectives politiques ; elle traitera également de l'actualité politique.
Entretien accordé au site ami Riposte Laïque à quelques jours du Ve Congrès du Parti de la France.
Riposte Laïque : Vous êtes le président du Parti de la France, pouvez-vous rappeler à nos lecteurs l’histoire de votre parti, et ses principaux axes de bataille ?
Thomas Joly : Le Parti de la France a été créé en 2009 suite à la transmission programmée du Front National à Marine Le Pen qui donnait, à l’époque, tous les signes d’une volonté de liquider l’héritage politique de son père afin de « normaliser » le parti. Ce qu’il s’est passé ensuite nous a donné raison, Marine Le Pen et sa clique d’incompétents sont allés de reniements en reniements et de purges en purges. Le Parti de la France conserve la ligne politique de droite nationale du FN originel que ce soit sur l’immigration ou les questions sociétales par exemple. De même, le programme économique de Marine Le Pen n’a plus grand chose à envier à celui de Jean-Luc Mélenchon. Au Parti de la France, nous rejetons toute forme de socialisme, de communisme ou bien encore de marxisme.
Riposte Laïque : Vous avez choisi de soutenir Éric Zemmour, lors de la dernière campagne présidentielle. Ce dernier, malgré de fortes pressions, n’a jamais renié ce soutien. Quel bilan tirez-vous, bientôt un an après l’élection présidentielle, de cette campagne ?
Thomas Joly : Éric Zemmour a été bien peu récompensé électoralement de la formidable campagne qu’il a menée et de la ferveur militante qu’elle a suscitée. Il n’a hélas pas su capter l’électorat populaire du RN qui a voté pour l’imposture ambulante qu’est Marine Le Pen par réflexe pavlovien. Il s’agit de Français qui s’intéressent peu à la politique et qui ne sont pas toujours en mesure de comprendre ce que dit Éric Zemmour voire même Marine Le Pen. Il votent « Le Pen » comme on achète une marque de lessive qui a fait ses preuves, sauf que Madame Le Pen ne lave pas « plus blanc que blanc », loin s’en faut.
Le Parti de la France ne regrette pas son soutien au candidat qui a fait du Grand Remplacement le thème central de sa campagne. C’est l’urgence vitale de mettre fin à cette substitution massive de notre population qui aboutira, dans 20-30 ans tout au plus, à faire des Français de souche une minorité parmi les autres alors que nous sommes dans notre propre pays !
Riposte Laïque : Reconquête est aujourd’hui une force militante incontournable, avec plus de 100 000 adhérents revendiqués. Qu’est-ce qui justifie encore l’existence du Parti de la France, qu’est-ce qui vous différencie du Parti d’Éric Zemmour ?
Thomas Joly : Je constate hélas un grand décalage entre Éric Zemmour et les militants d’un côté, et un grand nombre de cadres de Reconquête de l’autre, complètement obsédés par la dédiabolisation, qui souhaitent faire de leur parti un RN-bis. D’ailleurs, le Parti de la France accueille un certain nombre de déçus de Reconquête, surpris d’y avoir retrouvé la même tiédeur qu’au RN. De plus, certains dirigeants nationaux – Sarah Knafo en tête – rejettent viscéralement le Parti de la France : la plupart des membres de Reconquête également adhérents du PdF ont vu leur investiture refusée aux élections législatives pour cette raison. Des dirigeants de Reconquête ont fait pression sur les organisateurs d’événements contre l’installation de migrants comme à Callac ou à Saint-Brevin pour en exclure le Parti de la France. Cette attitude est minable et paradoxale pour un parti qui prétend faire « l’union des droites ».
Le Parti de la France a donc toutes les raisons de poursuivre son combat politique sur une ligne de droite nationale non-reniée et décomplexée. Ce qui n’empêche pas, par pragmatisme et sans sectarisme stérile, de soutenir les candidats qui se rapprochent le plus de nos idées. Mais nous tenons à conserver notre liberté de parole et nos spécificités.
Riposte Laïque : Vos militants sont présents dans tous les combats contre l’invasion migratoire dans nos campagnes, comme à Callac, où ils ont été très actifs dans l’organisation. Pensez-vous que ces premiers combats, à Callac, Saint-Brevin, Beyssenac, Bélâbre ne sont qu’un avant-goût de ce qui attend des millions de Français, et vos militants sont-ils prêts à mener ces batailles partout où elles se produiront ?
Thomas Joly : La lutte contre l’invasion migratoire, en particulier dans nos campagnes, est essentielle. Le Parti de la France sera donc de toutes les mobilisations contre la répartition des clandestins dans nos communes rurales jusqu’alors préservées de l’immigration. Ces gens qui sont entrés sur le territoire français de manière illégale doivent tous – sans exception – être expulsés de notre pays. Si quelqu’un entre chez vous sans que vous l’ayez invité à le faire, si vous êtes un individu sain d’esprit vous le foutez dehors à coups de pied au cul. Eh bien la France doit faire pareil avec tous ceux qui se permettent de venir s’y installer sans y avoir été préalablement autorisés. Enfin, ces populations, pour la plupart afro-musulmanes, sont généralement criminogènes, agressives, hostiles au pays d’accueil et n’ont aucune intention de s’intégrer et encore moins de s’assimiler.
Riposte Laïque : Quelle est la position du Parti de la France sur la réforme des retraites proposée par le gouvernement Borne, et votre regard sur la représentation nationale, durant ces débats, et le recours au 49-3 ? Voyez-vous ce gouvernement tomber ?
Thomas Joly : Concernant les retraites, le Parti de la France propose 3 axes simples :
– Créer un voire deux millions d’emplois en relocalisant, en réindustrialisant, en appliquant un protectionnisme salvateur et la préférence nationale (gain : 26 milliards de cotisation).
- Mettre fin à la fraude sociale pratiquée par les étrangers (ex : faux retraités centenaires algériens) et ne plus leur accorder le minimum vieillesse (économie : 2 milliards).
– Relancer la natalité des familles françaises et mettre fin immédiatement à l’immigration dite « de travail » mais surtout de parasitage social.
Tant que la France ne sera pas libérée du poids insupportable de l’immigration, aucune réforme des retraites ne sera viable.
Le spectacle parlementaire lors de ces débats donne quasiment des envies de coup d’État militaire. Entre la NUPES qui se croyait dans un amphi en mai 1968, le RN complètement inaudible par souci de « respectabilité », les LR prêts à se vendre au plus offrant et les députés Renaissance obligés d’être disciplinés par un 49-3, les Français ont assisté une mascarade affligeante de la part de leurs représentants. Personnellement, je pense que le gouvernement ne tombera pas.
Macron se fout de la mobilisation de la rue, la plupart des manifestants sont ceux qui l’ont réélu pour un second mandat non-renouvelable et il peut prendre, sans aucun état d’âme, toutes les mesures impopulaires qu’il souhaite. Après la répression inouïe contre les Gilets Jaunes et l’implacable dictature sanitaire mise en place pendant plus de deux ans, il faut vraiment être naïf pour imaginer qu’Emmanuel Macron va céder à la pression de la rue contre la réforme des retraites.
Riposte Laïque : Parlez-nous de votre cinquième congrès, qui aura lieu le samedi 25 mars. Quel est le bilan du Parti de la France, depuis votre dernier congrès, et quelles perspectives tracez-vous pour les prochaines échéances ?
Thomas Joly : Samedi 25 mars à Paris, le Parti de la France renouvellera ses instances : élection du Président, du Conseil National et du Bureau Politique. Les travaux internes sont réservés aux adhérents mais à partir de 15 h, il y aura toute une série d’interventions thématiques qui seront ouvertes au public. L’entrée est gratuite mais l’inscription obligatoire à cette adresse mail : partidelafrancecongres5@gmail.com
Le bilan de mes 3 années de présidence et nos projets politiques seront dévoilés à cette occasion.
Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Thomas ?
Thomas Joly : Le Parti de la France est la structure d’accueil naturelle de tous les déçus des partis du camp national. Au PdF, il n’y a pas de langue de bois ou de dédiabolisation castratrice, même si nous nous démarquons des provocateurs qui prennent des postures volontairement extrémistes pour prouver à je-ne-sais-qui qu’ils sont les plus radicaux.
Comment peut-on demander des efforts aux Français quand on dilapide chaque jour leur argent ? Quand vous voyez qu’Emmanuel Macron se lève un matin et donne un milliard à l’Afrique, puis le lendemain demande aux Français de travailler deux ans de plus, il est normal qu’ils soient… https://t.co/GtzRMBSEojpic.twitter.com/cO2VWUBIEj
Samedi 25 mars à Paris, lors du Ve Congrès du Parti de la France, Jean-Claude Rolinat fera un bilan sans concession de l'effacement de la France sur la scène internationale.
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Rejet sans surprise de la motion de censure : cette réforme des retraites ne résoudra rien et n'empirera pas grand chose. Tant que le problème migratoire sera mis sous le tapis, les Français seront toujours les dindons de la farce.