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Le blog politique de Thomas JOLY

Le Parti de la France abrogera la liberticide loi Gayssot

9 Janvier 2025, 13:31pm

Publié par Thomas Joly

Le Parti de la France abrogera la liberticide loi Gayssot

La liberticide loi Gayssot a été voté en 1990 dans un contexte éminemment politique suite à la polémique du « détail » et de la manipulation de Carpentras.

La cible était évidemment Jean-Marie Le Pen et le Front National mais aussi tous les Français, dont il fallait criminaliser l'éventuel scepticisme à l'égard de la vérité officielle dans un certain nombre de domaines.

Le Parti de la France abrogera cette loi scélérate, véritable atteinte à la liberté d'expression et au libre débat historique.

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Cérémonie d'hommage à Jean-Marie Le Pen

9 Janvier 2025, 07:29am

Publié par Thomas Joly

Cérémonie d'hommage à Jean-Marie Le Pen

Si les obsèques de Jean-Marie Le Pen se dérouleront ce samedi à La Trinité-sur-Mer dans l'intimité familiale, une cérémonie religieuse et d'hommage aura lieu jeudi 16 janvier à 11h en l'église Notre Dame du Val-de-Grâce (277, rue Saint-Jacques - Paris Ve).

Le Parti de la France invite ses adhérents et sympathisants à venir rendre un dernier hommage à ce serviteur exceptionnel de la cause nationale.

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Jean Marie Le Pen parle de lui aprés sa mort, sa dernière interview

9 Janvier 2025, 07:27am

Publié par Thomas Joly

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Adieu, Jean-Marie. Et merci.

9 Janvier 2025, 07:20am

Publié par Thomas Joly

Adieu, Jean-Marie. Et merci.

Mardi 7 janvier 2025, Jean-Marie Le Pen s’est éteint, laissant derrière lui une empreinte indélébile qui aura profondément marqué son époque.

Jean-Marie Le Pen a traversé l’histoire de France tel une étoile filante, illuminant son passage d’un éclat qui ne laisse personne indifférent. Nul mot n'est capable d'apaiser une tristesse aussi profonde et légitime. La France pleure un homme dont la vie fut dédiée à la défense de son peuple, de ses valeurs et de son identité.

Né dans une famille modeste en 1928, pupille de la nation, élevé par sa mère dans une France blessée par la guerre, Jean-Marie Le Pen a grandi avec pour boussole le sens du devoir et l'amour des gens chevillé au corps. Il portait en son âme un amour indéfectible pour la patrie, cet amour vibrant qui a illuminé sa vie, inspirant aussi bien ses engagements militaires que ses combats politiques.

Soldat, marin-pécheur, mineur de fond, militant, bâtisseur, combattant infatigable parmi d'autres choses, Jean-Marie Le Pen était plus qu’un homme politique ; il demeurera pour nous l’incarnation la plus saisissante et singulière de l’histoire des Quatrième et Cinquième Républiques.

Orateur d'une éloquence rare, patriote au cœur ardent et visionnaire trop souvent mal compris, il illustrait à merveille cette vérité éternelle qui nous fut enseignée par notre Seigneur Jésus-Christ : « Nul n’est prophète en son pays. »

Son discours, toujours juste et sincère, a marqué des générations.

Ayant grandi dans un pays qui fut encore dans sa jeunesse le plus grand empire du monde, avant que des dirigeants sans éclat ne la réduisent à un petit pays, une nation vacillante, morcelée et sur le point de devenir la colonie de ses anciennes colonies, Jean-Marie Le Pen n’a cessé de nous rappeler que la France aspire à l’excellence et que nous, ses héritiers, avons la mission sacrée de la protéger avec l’amour que l’on doit à une mère.

Je ne le répéterai jamais assez, c'est grâce à Jean-Marie Le Pen que je suis devenu l'homme que je suis. Jean-Marie Le Pen m'a transmis le feu sacré. J'ai eu l'inestimable privilège de l'avoir connu en tant que militant, puis de l'avoir fréquenté comme un ami à la fin de sa vie. Lorsque tous ont trahi, nous sommes restés fidèles. Quand d’autres l'ont renié, nous avons tenu bon, restant toujours fidèles à l'esprit de son combat.

Aujourd’hui, j’ai perdu un modèle et un guide. Pourtant, je sais qu’au-delà de cette peine, qui n’est qu’éphémère, la joie renaîtra. Et je fais le serment, devant Dieu et son fils Jésus-Christ, de ne jamais cesser, jusqu’à mon dernier souffle, d’honorer et de célébrer l’héritage précieux qu’il nous a transmis.

Cet héritage, c’est celui d’une France fière, enracinée et libre. Une France qui ne ploie pas sous les vents du renoncement, mais qui se dresse, forte, face aux défis de son époque. Jean-Marie nous quitte, mais son combat reste le nôtre.

À nous, désormais, de porter haut ses idées, de poursuivre son œuvre et de transmettre aux générations futures ce flambeau qu’il a allumé il y a tant d’années. Président Le Pen, reposez en paix aux cotés de vos aïeux et de vos amis, Roger et tous les autres. Sachez que jamais nous n’oublierons votre dévouement, votre énergie et votre amour indéfectible pour cette France que vous avez tant chérie. Vous êtes parti, mais votre nom vivra à jamais dans l’histoire et dans nos cœurs.

Adieu, Jean-Marie. Et merci.

Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France

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Hommage à Jean-Marie Le Pen : un soldat, un homme de vérité, un guide pour la Nation

8 Janvier 2025, 07:06am

Publié par Thomas Joly

Hommage à Jean-Marie Le Pen : un soldat, un homme de vérité, un guide pour la Nation

I. Le guerrier indomptable

Jean-Marie Le Pen s’en est allé, et avec lui disparaît un pan entier de notre histoire nationale. Que l’on l’aime ou le haïsse, nul ne peut nier la trempe d’un combattant forgé dans le feu des batailles et le fracas des idéaux. Dès sa jeunesse, il avait ce goût du défi, cette flamme intérieure qui pousse les hommes à aller là où les autres reculent.

Engagé en Indochine, il porta les couleurs de la France dans des terres lointaines, là où les forêts dévoraient les routes et où chaque pas était un pari sur la vie. En Algérie, il affronta des vents contraires, fidèle à cette idée d’un pays à la fois Empire et héritage. Bagarreur dans l’âme, il connaissait les coups, les vrais, ceux des poings et des mots. Il portait sur son visage les marques des affrontements, et dans son regard, la lueur d’un homme qui ne cède jamais.

Jean-Marie Le Pen était de cette race rare d’hommes qui préfèrent mourir debout que vivre à genoux.

II. L’homme politique aux vérités tranchantes

En politique, il incarnait une vertu devenue étrangère à beaucoup : le courage. Il ne mentait pas. Il ne mâchait pas ses mots. Que ses paroles soient appréciées ou honnis, elles portaient toujours le poids d’une vérité brute, non édulcorée par le conformisme ou la peur de déplaire.

Lui qui a été vilipendé, calomnié, parfois réduit au silence par les censeurs de tout bord, n’a jamais courbé l’échine. Jean-Marie Le Pen affrontait le tumulte médiatique comme un marin affrontant une mer démontée : droit, ferme, regardant l’horizon. Avec des décennies d’avance, il avait tiré la sonnette d’alarme sur les dangers pesant sur notre Nation. L’immigration massive, la perte des repères, le naufrage de l’identité française : ses mises en garde, raillées hier, résonnent aujourd’hui comme des prophéties.

Il aura eu raison avant les autres. Mais le courage d’avoir raison seul est une épreuve que peu osent endurer. Lui l’a fait, jusqu’à son dernier souffle.

III. Le flambeau du combat national

Jean-Marie Le Pen a quitté cette terre, mais son combat demeure. Son œuvre politique, cristallisée dans ce Front National qu’il a porté à bout de bras, ne s’arrête pas avec lui. Il a semé une graine : celle de la défense de la France éternelle, contre vents et marées, contre l’indifférence des élites et la lâcheté ambiante.

Aujourd’hui, le Parti de la France reprend ce flambeau. Héritier naturel du Front National historique, il poursuit cette lutte ardente pour stopper l’invasion migratoire, pour rétablir l’ordre, pour défendre les valeurs qui font de notre pays une terre unique.

Jean-Marie Le Pen nous a montré le chemin. Celui d’un combat sans compromis, d’une fidélité sans faille à la Patrie. Que son exemple inspire chaque Français soucieux du redressement de notre nation. Que son souvenir guide ceux qui, comme lui, refusent de céder à l’abandon.

Et si, un jour, la France se relève, forte, fière, souveraine, alors l’Histoire saura rendre justice à celui qui, dans l’adversité, n’a jamais cessé de croire en elle.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Émission d'hommage du Parti de la France à Jean-Marie Le Pen

8 Janvier 2025, 06:53am

Publié par Thomas Joly

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Adieu Jean-Marie !

7 Janvier 2025, 15:50pm

Publié par Thomas Joly

Adieu Jean-Marie !

Jean-Marie Le Pen a été rappelé à Dieu aujourd'hui, mais ne soyons pas triste !

Sachons nous montrer dignes de son engagement exceptionnel au cours de sa longue vie au service de la Nation.

Adieu Jean-Marie, nous poursuivrons ton combat pour la France !

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10 ans après Charlie : le silence complice d'une Nation en déclin

7 Janvier 2025, 07:29am

Publié par Thomas Joly

10 ans après Charlie : le silence complice d'une Nation en déclin

Dix ans se sont écoulés depuis l’attaque islamique contre Charlie Hebdo, cet attentat qui aurait dû réveiller une France anesthésiée par son propre déni. Dix ans de larmes et d’hommages vides, pendant lesquels nos dirigeants ont rivalisé de lâcheté, refusant obstinément de s’attaquer à la cause profonde : l’islamisation rampante de notre pays. Ils se sont réfugiés derrière des slogans creux, préférant peindre des fresques murales et allumer des bougies plutôt que de prendre les mesures nécessaires. Pendant ce temps, la société française s’est fragmentée, rongée par une idéologie étrangère qui ne cache plus son mépris pour notre mode de vie et nos libertés.

Le problème est clair et ses racines sont profondes : une immigration afro-musulmane insupportable qui ne cherche ni à s’intégrer ni à s’assimiler, mais à imposer ses mœurs et ses ressentiments. Que dire de cette jeunesse nourrie à la haine de la France, éduquée dans des enclaves ethniques où les lois françaises sont bafouées au profit d’une autre loi, bien plus communautaire ? Que dire encore de ces vagues de clandestins qui déferlent sur la France, véritables chevaux de Troie d’un terrorisme qui a frappé au cœur de Paris, de Nice, de Saint-Étienne-du-Rouvray et de tant d’autres lieux ? Chaque nouvel attentat révèle la même vérité : notre naïveté migratoire est devenue une menace existentielle.

Il n’y a pas cinquante solutions, mais une seule, radicale, à la hauteur du défi. Il faut une remigration massive : le retour dans leur pays d’origine des populations extra-européennes inassimilables. Il faut expulser sans faiblesse tous les clandestins et les faux réfugiés, rétablir des frontières nationales infranchissables, mettre fin à ce laxisme criminel qui fait de la France un eldorado pour ceux qui la détestent. Mais pour cela, il faudra d’abord changer de dirigeants, balayer cette classe politique qui préfère pleurnicher sur les ruines plutôt que de reconstruire la maison. Dix ans après Charlie, la question est simple : voulons-nous enfin défendre la France ou accepterons-nous d’en signer l’acte de capitulation ?

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Régularisations de clandestins dans les métiers dits « en tension » : la trahison de Retailleau

6 Janvier 2025, 07:33am

Publié par Thomas Joly

Régularisations de clandestins dans les métiers dits « en tension » : la trahison de Retailleau

Le ministre de l’intérieur Bruno Retailleau publiera fin février une liste de métiers réputés « en tension » dans lesquels des travailleurs sans-papiers pourront être régularisés.

Ce texte viendra théoriquement « durcir les critères d'admission qui ont permis en 2023 à 34.724 personnes d'obtenir des papiers », dixit Le Figaro en date du 5 janvier 2025.

Il s’agit pourtant d’une mesurette au regard de la déferlante migratoire actuelle, et d’une trahison du régalien qu’elle prétend défendre, en entérinant un droit à l’immigration illégale dès lors qu’elle se met au service de secteurs soi-disant « en manque de main d’œuvre » (dans un pays comptant pour rappel 2,3 millions de chômeurs, soit 7,4 % de la population active).

Comme pour Musk outre-Atlantique avec ses positions lamentables vis-à-vis de l’immigration indienne, il est pénible de toujours voir des figures au verbiage technocratique justifier la perpétuation d’une immigration de remplacement sur l’autel d’une prétendue compétitivité économique à retrouver. Il s’agit en réalité, comme partout en Occident, d’un chantage cupide qui est exercé sur les travailleurs autochtones désireux de conserver leur niveau de vie, en les mettant en compétition avec des immigrés du Tiers Monde. Nombreux sont les employeurs peu scrupuleux, qui préfèrent embaucher des clandestins sous-payés, taxant volontiers les travailleurs français de fainéantise plutôt que remettre en question leurs méthodes de gestion…

Au Parti de la France, nous rétablirons le délit de séjour illégal pour ceux qui viennent chez nous sans y être conviés. Nous ferons en sorte que les employeurs qui jouent les négriers de pacotille soient systématiquement condamnés à de lourdes peines dissuasives et interdits d’exercer tout mandat de gérance par la suite. Nous établirons une véritable préférence nationale, faisant toujours passer les travailleurs français avant les autres.

Victor Jan de Lagillardaie – Délégué général adjoint du Parti de la France

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Bonne fête de l'Épiphanie !

6 Janvier 2025, 07:14am

Publié par Thomas Joly

Bonne fête de l'Épiphanie !

Bonne fête de l'Épiphanie à tous les chrétiens ! Que la bénédiction de notre Seigneur Jésus-Christ guide notre Nation, terre de foi et de tradition, dans la lumière et la vérité !

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Thomas Petit, le policier viré ! - Les entretiens du PdF (05/01/2024)

6 Janvier 2025, 06:56am

Publié par Thomas Joly

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Féministes : l'indignation à géométrie variable

5 Janvier 2025, 16:10pm

Publié par Thomas Joly

Féministes : l'indignation à géométrie variable

L’indignation, aujourd’hui, a pris des accents de catéchisme sélectif. On brandit le poing contre des moulins choisis avec soin, mais on détourne les yeux lorsque les vents deviennent trop dérangeants. Prenons le cas des chevaliers modernes du féminisme, toujours prompts à dénoncer l’ombre d’une inégalité dans les cercles qu’ils connaissent bien, mais étrangement silencieux dès que la réalité leur pose des questions moins confortables.

Il est fascinant de voir Sandrine Rousseau, drapée dans sa vertu militante, détourner le regard des faits pour leur préférer des récits filtrés par ses croyances. Qu’une agression soit le fait d’un étranger, voilà un détail presque trivial pour elle, réduit à une note de bas de page dans son évangile progressiste. Les coups portés à une femme ne mériteraient-ils pas la même colère sacrée, quel que soit le nom ou la langue de celui qui les porte ?

Mais non, la géométrie de l’indignation est subtile, exigeant que l’on trace ses lignes à travers les dogmes et non la réalité. La vérité, à ses yeux, ne doit jamais déranger la parabole. Ainsi, on se barde de morale et on chante des hymnes au courage, tout en évitant soigneusement d’affronter ce qui cloche dans l’histoire qu’on raconte.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Décidément, cet Olrik n'est pas très fréquentable !

4 Janvier 2025, 12:43pm

Publié par Thomas Joly

Décidément, cet Olrik n'est pas très fréquentable !

Mais quelle mouche a bien pu piquer Yves Sente, le scénariste du dernier album des aventures de Blake et Mortimer, « Signé Olrik », faisant succomber l’un de ses héros au « politiquement correct » ? Un invraisemblable plaidoyer pro-migratoire sert presque de fil conducteur à cette aventure qui aurait pu être digne d’intérêt si, justement, on n’y assénait pas, notamment page 32 - dernière vignette -, des âneries du genre « …La guerre a privé la région de bon nombre d’hommes (…) Nous sommes par conséquent obligés de faire appel à une main d’œuvre étrangère pour exploiter la mine et faire vivre la région…et ce sont  les locaux qui nous le reprochent ! Un comble ! ». Pourtant, l’aventure commençait bien, avec un colonel Olrik à deux doigts de terminer sa carrière comme feu Saddam Hussein,  et sa dose de mystère historico-ésotérique, sans oublier son inévitable innovation scientifique …Et pour clore l’album, son  récurrent monde souterrain, la marque de fabrique d’Edgar P. Jacobs !

Nous sommes au Royaume-Uni et un certain Free Cornwall Group entend réactiver une hypothétique indépendance de la Cornouaille sur fond de légende Arthurienne. Pas d’aventures de Blake et Mortimer sans colonel Olrik à l’horizon. Une fois de plus, le légendaire malfaiteur aura les honneurs de cette histoire où, à contre-courant d’une opinion majoritaire en Grande-Bretagne comme partout ailleurs en Europe, le professeur Mortimer se croit obligé d’en faire des tonnes avec des immigrés indiens, se rappelant, sans doute, sa jeunesse passée aux Indes. Ce qui lui vaut de la part d’un ouvrier très british  page 31, 5 ème case, une acerbe remarque en constatant qu’il est écossais : « À l’oreille, je parierais pour un accent écossais. Autant vous dire que vous n’êtes pas beaucoup mieux vu que les moricauds par ici ». Pourquoi diable être allé chercher une très aléatoire ségrégation dans une fiction dessinée destinée à la jeunesse, mais pas que ? Pour formater, comme la télévision et la radio le font, hélas « merveilleusement », nos chères petites têtes de moins en moins blondes, et les vacciner contre un prétendu virus raciste, à de très fortes doses de haine de soi ?

Bref, sans ce message anti-raciste superflu et maladroit, qui n’ajoute rien à Signé Olrik, le duo d’enfer composé du savant amateur de pipe et de whisky, et du captain Blake - chef du MI 5 -, pouvait entrainer tranquillement le lecteur dans cette énième histoire bien dessinée par le regretté André Juillard. Un dessinateur à qui le scénariste rend d’ailleurs  hommage en première page, et qui est l’auteur de  pas mal d’albums de la période post-jacobsienne. (Il est paru plus d’aventures de « Blake et Mortimer » après la mort de leur créateur, que pendant sa période active.) Vous l’aurez compris, on peut ne pas lire Signé Olrik si l’on est allergique aux rabâchages de SOS Racisme. Reste la légende du Roi Arthur. Et les explications qui sont offertes donneront peut-être l’envie à certains lecteurs, d’approfondir le sujet autour d’une table ronde !

Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France

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