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Le blog politique de Thomas JOLY

Il y a 50 ans, le Front National est concurrencé ! - Le Zoom - Roland Hélie - TVL

1 Novembre 2024, 12:50pm

Publié par Thomas Joly

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Jean-Claude Rolinat - Israël/Palestine - Les entretiens du PdF (27/10/24)

29 Octobre 2024, 15:43pm

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Rediffusion du Bistrot du Parti de la France du 25/10/24

26 Octobre 2024, 18:10pm

Publié par Thomas Joly

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Soutien du Parti de la France à Donald Trump : en avant vers la victoire le 5 novembre !

26 Octobre 2024, 11:11am

Publié par Thomas Joly

Soutien du Parti de la France à Donald Trump : en avant vers la victoire le 5 novembre !

À quelques jours de l'élection présidentielle américaine du 5 novembre, le Parti de la France réaffirme son soutien à Donald Trump. Dans une période marquée par des tensions géopolitiques exacerbées et un véritable défi civilisationnel pour le monde Blanc, Donald Trump incarne la souveraineté nationale, la préservation de la paix et la défense des libertés fondamentales.

Une politique étrangère non interventionniste

L’une des raisons principales pour lesquelles le Parti de la France soutient Donald Trump est son approche non interventionniste en politique étrangère. Contrairement à la candidate démocrate favorable à des politiques d’ingérence militaire, Donald Trump a exprimé la volonté de réduire l’implication militaire des États-Unis à l'étranger. Dans des régions déchirées par les conflits, comme l’Ukraine et le Moyen-Orient, Trump s'engage à rechercher des solutions diplomatiques pour parvenir à une paix rapide et durable. Le Parti de la France voit dans cette approche l’opportunité de mettre fin aux conflits qui affectent non seulement les populations locales, mais qui contribuent également à déstabiliser le monde entier. La priorité de Trump à la paix résonne avec notre conviction qu’une politique étrangère doit avant tout viser à protéger les intérêts nationaux et éviter des engagements militaires hasardeux et coûteux.

Un ardent défenseur de la liberté d'expression

La liberté d'expression constitue un pilier fondamental pour toute société démocratique, et c’est un principe que Donald Trump défend avec force. Malgré des médias totalement hostiles, Trump est soutenu par des figures majeures de la liberté d’expression, telles qu’Elon Musk, qui partagent sa vision d’un espace public où les citoyens peuvent débattre sans crainte de censure politique. Le Parti de la France estime qu’une telle défense de la liberté d'expression est essentielle dans un contexte international (et surtout européen) où la liberté de parole est de plus en plus menacée par des mesures restrictives. Trump et ses partisans promeuvent une vision de la liberté d'expression qui permet à tous, sans distinction, d'exprimer leurs idées, en particulier sur les grandes plateformes numériques. Cette posture courageuse pour défendre le droit de parole fait de Donald Trump un modèle de résistance face aux menaces croissantes contre la liberté d’expression.

Un engagement contre l’immigration massive

Enfin, le Parti de la France rejoint Donald Trump dans son opposition à l’immigration massive, perçue comme une menace pour la cohésion sociale et la sécurité des nations occidentales. Aux États-Unis, Trump souhaite mettre en place des politiques fermes pour contrôler l’immigration et garantir la sécurité des frontières. Il applique cette vision non seulement à son propre pays mais entend également inspirer une prise de conscience similaire dans d’autres nations. Le Parti de la France partage cette analyse et considère que les pays occidentaux doivent reprendre le contrôle de leurs frontières afin de sauvegarder leur civilisation et leur identité culturelle ; tout en mettant en place les conditions pour la remigration des extra-européens non-assimilés.

Le Parti de la France affirme ainsi que le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche représenterait un renouveau de la défense des libertés individuelles, de la sauvegarde de la civilisation occidentale et d'une vision apaisée des relations internationales.

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2 novembre à Paris : hommage aux victimes françaises de l'immigration

24 Octobre 2024, 14:07pm

Publié par Thomas Joly

2 novembre à Paris : hommage aux victimes françaises de l'immigration

Le Parti de la France invite ses militants et sympathisants à se joindre à l'hommage aux victimes françaises de la barbarie immigrée organisé à Paris samedi 2 novembre à 16h.

Rendez-vous Esplanade Léo Hamon (Métro Gobelins).

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Vers un retour de la taxe d'habitation pour achever les contribuables ?

23 Octobre 2024, 19:31pm

Publié par Thomas Joly

Vers un retour de la taxe d'habitation pour achever les contribuables ?

Alors qu'elle a été supprimée depuis plusieurs années, ce qui a entraîné l'explosion de la taxe foncière, les charognards du matraquage fiscal évoquent avec gourmandise le retour de la taxe d'habitation.

Naturellement, les collectivités locales étant des gouffres sans fond qui n'envisagent jamais de réduire leur train de vie et leurs investissements, la foncière ne baisserait pas pour autant.

Cette accumulation de taxes soviétiques fait de la France un véritable enfer fiscal où propriétaires, actifs et entreprises sont toujours plus rackettés pour entretenir un État bureaucratique obèse et l'assistanat généralisé.

Cette course à l'échalote, lors du budget en discussion, pour savoir comment le gouvernement va détrousser les Français est totalement indécente dans un contexte de paupérisation fulgurante des classes dites moyennes.

Il faut rendre aux actifs le fruit de leur travail et en finir avec cette économie socialiste mortifère au service exclusif des parasites en tous genres.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Orléans envahie par les migrants

22 Octobre 2024, 06:01am

Publié par Thomas Joly

Orléans envahie par les migrants

Six mois et toujours aucune réponse. Sur Europe 1, ce 21 octobre, Serge Grouard, maire divers droite (ex-Les Républicains) d’Orléans, exprime une nouvelle fois sa lassitude face à l’afflux inédit de migrants et de personnes sans domicile fixe dans sa ville depuis plus d’un an, sans qu’il n’ait jamais été consulté. Ces dix-huit derniers mois, la cité johannique aurait ainsi, selon les calculs de l’édile, accueilli plus de 700 sans-papiers, venus d’Île-de-France dans des cars affrétés par l’État. La situation agace le maire depuis plusieurs mois. Malgré l’agitation médiatique, et alors qu’un climat d’insécurité s’installe dans sa commune, Serge Grouard reste sans réponse.

Un flou administratif 

« Je le répète avec force : Orléans n’a pas vocation à accueillir la colline du crack de Paris. » C’était le 26 mars dernier. Dans un communiqué, le maire d’Orléans s’inquiétait « de la rumeur selon laquelle des migrants seraient "déplacés" en province pour faire "place nette" à Paris en vue de l’accueil des Jeux olympiques cet été ». Bien qu’il ne puisse ni confirmer ni infirmer cette rumeur, Serge Grouard a tout de même pu constater de ses yeux les allées et venues de cars déposant une cinquantaine de personnes dans sa ville toutes les trois semaines. Au total, « environ 500 personnes sans domicile fixe seraient arrivées à Orléans » entre mai 2023 et mars 2024. Accueillis par une association financée par l’État et hébergés dans des hôtels le temps que leur situation administrative soit étudiée, ils échappent au suivi de l'État. Il serait difficile de « savoir ce que deviennent » ces migrants : « certains vont en procédure d’asile (CADA), d’autres s’évaporent dans la nature ». Un « nettoyage social » qui inquiète l’édile : Serge Grouard refuse que sa ville devienne « le nouveau Calais ». Après les interventions médiatique du maire, la préfecture du Loiret a réagi dans un communiqué et confirmé que « toutes les trois semaines, 50 personnes au maximum sont prises en charge dans ce sas géré par une association mandatée et financée par l’État ». La préfecture a cependant nié tout lien avec l’organisation des Jeux de Paris et n'a pas, non plus, parlé de concertation future avec l'édile à ce sujet.

Le lendemain, Mathilde Paris, ancienne députée RN du Loiret, portait la question à l’Assemblée nationale. À nouveau, le gouvernement expliquait que ces transferts étaient liés à la saturation des centres d’accueil en région parisienne et dénonçait un amalgame entre « SDF » et « migrants ». Des réponses floues qui inquiètent Serge Grouard. Il aurait aimé être consulté avant que sa ville ne devienne un centre d’accueil pour migrants…

Un « sentiment désagréable » d’insécurité

D’autant plus que six mois plus tard, la situation reste inchangée. Les sans-papiers continuent d’être transférés à Orléans. Ces arrivées ne sont pas sans conséquence pour la tranquillité de la ville. Alors que la cité johannique a connu, ces dernières semaines, un meurtre et deux tentatives de meurtre, Serge Grouard ne rechigne pas établir un lien de causalité entre cet afflux inédit de migrants et le climat d’insécurité qui s’installe. Auprès de nos confrères de France 3, il fustige ainsi « les paquets de gens qui viennent sur la ville, on ne sait pas trop d'où, on ne sait pas trop comment, et qui s'installent là ». Début octobre, lors d’un forum de quartiers, la municipalité a par ailleurs décidé de rétablir l’éclairage dans le centre-ville pendant la nuit. Une mesure justifiée par un « sentiment désagréable » d’insécurité. Au micro de RMC, l’édile s’explique : « J’ai des habitants qui ont peur […] La délinquance est une réalité. On est débordés par ces flux venant de Paris qu’on nous a imposés. Il y a des femmes qui ont la trouille. »

Plusieurs Orléanais, contactés par BV, confirment partager ce sentiment d’insécurité : jeunes qui errent dans les rues, campements sauvages - aussitôt levés par le maire - dans le centre historique, agressivité… Contactée, la mairie n’a pas encore donné suite à nos sollicitations. Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau, qui avait en mars dernier apporté son soutien au maire d'Orléans, prendra-t-il des mesures contre cet afflux ?

Clémence de Longraye

Source : https://www.bvoltaire.fr

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Une dette colossale, des propositions budgétaires irresponsables : halte au désastre !

21 Octobre 2024, 06:15am

Publié par Thomas Joly

Une dette colossale, des propositions budgétaires irresponsables : halte au désastre !

Depuis son arrivée au pouvoir en 2017, Emmanuel Macron a accumulé une dette colossale, sans précédent dans l’histoire de la Ve République. En seulement six ans, cette dette a augmenté de près de 1.000 milliards d’euros, portant la dette publique française à des niveaux alarmants, avoisinant les 3.000 milliards d’euros. Cet endettement massif représente aujourd’hui plus de 114 % du PIB de la France, un fardeau financier que devront porter les générations futures.

La crise - artificielle - du Covid-19 a entraîné des dépenses exceptionnelles, mais Emmanuel Macron a, dès son arrivée, suivi une trajectoire budgétaire irresponsable. Les réformes promises sur la réduction de la dépense publique n’ont jamais vu le jour, préférant multiplier les plans de relance et les dépenses non maîtrisées. Pendant ce temps, les services publics se détériorent, la pression fiscale reste écrasante, et les inégalités se creusent. Qu’a fait le gouvernement Macron pour redresser les comptes de la Nation ? Absolument rien sinon continuer à creuser un trou sans fond.

Alors que l’inflation pèse sur le pouvoir d’achat des Français, que les taux d’intérêt remontent, le service de la dette, c’est-à-dire les seuls intérêts que l’État doit payer chaque année, explose. L’État doit emprunter à des taux toujours plus élevés, mettant la France à la merci des marchés financiers. Cette politique d’endettement massif est non seulement un échec économique, mais aussi un échec moral : elle fait porter aux citoyens et aux générations futures le poids de décisions irresponsables, tout en menaçant la souveraineté nationale.

Pire encore, le gouvernement actuel ne semble pas tirer les leçons de cette dérive. Plutôt que d’assainir les finances publiques, Michel Barnier propose un budget qui alimente cette spirale de la dette. Et bien entendu, qui dit dette dit imposition : les Français, déjà parmi les plus taxés au monde, devront encore une fois supporter l’addition. Les prélèvements obligatoires continuent de peser lourdement sur les classes moyennes et populaires, sans pour autant que ces sommes colossales se traduisent par une amélioration concrète de leur quotidien.

La France a aujourd’hui besoin d’un changement radical de cap. Il est impératif de mettre un terme à cette course folle vers l’endettement. Un budget qui continue d’augmenter la dette est une trahison envers nos compatriotes. Plutôt que de toujours puiser dans la poche des Français, il est temps de réduire drastiquement les dépenses publiques, d’engager des réformes structurelles et de retrouver une gestion responsable des finances du pays.

Il est vital pour l’avenir du pays de stopper cette hémorragie budgétaire. Un budget qui alourdit la dette publique et accroît encore la pression fiscale serait un désastre pour la France. Le redressement des finances publiques ne peut plus attendre, et il ne doit surtout pas passer par de nouveaux sacrifices imposés aux contribuables.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Eva Vlaardingerbroek : l'influenceuse politique néerlandaise qui monte

21 Octobre 2024, 06:03am

Publié par Thomas Joly

Eva Vlaardingerbroek : l'influenceuse politique néerlandaise qui monte

Depuis deux ans, l’influenceuse néerlandaise Eva Vlaardingerbroek intervient à la grande réunion conservatrice CPAC (Conservative Political Action Committee) qui se tient chaque printemps, pour l’Europe, à Budapest, avec une importance croissante : en 2023, elle n’était qu’une intervenante parmi d’autres dans un panel sur la liberté d’expression, mais en 2024, elle avait son propre slot et son discours alarmiste sur le Grand Remplacement et la transformation civilisationnelle de l’Europe occidentale avait atteint le nombre énorme de 45 millions de vues sur X, deux jours après le CPAC, et près de 60 millions aujourd’hui.

Son style offensif la conduit à ne pas y aller de main morte : « Je dis la vérité interdite : le Grand Remplacement n'est plus une théorie, c'est la réalité. Les Européens blancs sont remplacés dans leur propre pays à un rythme de plus en plus rapide, et cela signifiera la fin de notre civilisation si nous ne renversons pas les choses. » Tandis qu’il faut rejeter totalement le mensonge selon lequel « c’est le nationalisme qui cause la guerre ; ce ne sont ni le nationalisme ni la souveraineté nationale qui causent la guerre, c’est l’expansionnisme, et le lieu de cet expansionnisme est Bruxelles ».

Elle se définit elle-même comme activiste et commentatrice politique. Nous avons donc demandé à ChatGPT qui elle était et la réponse donnée est le suivante : « Eva Vlaardingerbroek est une commentatrice politique et activiste néerlandaise. Née le 3 septembre 1996 à Amsterdam, elle s'est imposée comme une figure marquante dans les cercles conservateurs. Connue pour ses positions tranchées sur des sujets controversés comme l'immigration de masse, la souveraineté nationale et l'Union européenne, elle ne laisse personne indifférent. Ancienne membre du Forum pour la démocratie (FvD), elle a quitté ce parti en 2020. Elle a su bâtir une large audience en ligne et participe régulièrement à des débats et discussions sur des questions politiques et sociales. »

Nous savons, par ailleurs, qu’elle a fait des études juridiques. Nous constatons qu’elle a, comme tout Néerlandais qui se respecte, une aisance totale en anglais et une très bonne maîtrise du français. Elle s’est, en outre, récemment convertie au catholicisme et voit dans la défense de ses positions de droite tout simplement le combat du bien contre le mal, considérant que ses positions ne sont pas dures mais nécessaires face à l’accélération du glissement vers la gauche de l’ensemble du spectre politique traditionnel aux Pays-Bas et dans tout l’Occident.

Quels sont donc les dossiers qui l’on fait connaître ? Le premier est la « crise des nitrates », qui a fait suite à la décision du gouvernement Rutte, confronté aux injonctions et procès d’activistes écologistes, de demander aux fermiers hollandais, pour beaucoup éleveurs, de réduire drastiquement leurs rejets de nitrates. Cette crise a conduit à la création d’un nouveau parti politique et a donné énormément de visibilité à Eva Vlaardingerbroek, qui s’oppose également fermement aux vagues migratoires et au fédéralisme rampant de Bruxelles.

Il n’est pas très facile de trouver des points de comparaison, en France. Elle n’a jamais fait de politique électorale, donc la comparaison avec Marine Le Pen, Marion Maréchal ou même Éric Zemmour ne tient pas. Son profil métapolitique la rapproche davantage de personnalités comme Mathieu Bock-Côté ou Laurent Obertone. En définitive, la dimension activiste la rapproche beaucoup plus de l’Américain Christopher Rufo, qui a fait l’objet d’une chronique sur Boulevard Voltaire. Mais son exposition internationale (elle a été reçue par Tucker Carlson) la fait battre nettement tout le monde sur les réseaux sociaux : elle a ainsi 970.000 followers sur X (+ 385.000 sur Instagram), à comparer aux 700.000 de Rufo, 500.000 de Zemmour ou 170.000 de Bock-Côté.

Un profil à suivre pour les lecteurs de Boulevard Voltaire, sachant qu’Eva Vlaardingerbroek à également appelé, lors du CPAC Budapest 2024, à combattre fermement le nouvel ordre mondial qui est « un état permanent d’isolement, de confusion et de désorientation » et de reconstruire « une Europe forte et chrétienne d’États-nations souverains ».

Georges Le Breton

Source : https://www.bvoltaire.fr

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Jean-Philippe Tanguy (RN) ne veut pas couper les subventions des associations pro-migrants

18 Octobre 2024, 06:00am

Publié par Thomas Joly

Jean-Philippe Tanguy (RN) ne veut pas couper les subventions des associations pro-migrants

Le freluquet Jean-Philippe Tanguy, en plus d'être un gaulliste LGBT soumis au délire climatologique, vient de déclarer que le RN ne couperait pas les subventions aux associations pro-migrants parce qu'« elles rendent des services à des êtres humains ».

Marine Le Pen a le don de s'enticher d'intrigants vaguement patriotes prêts à tout brader pour intégrer le Système.

Jordan Bardella ferait bien de rappeler à l'ordre ce petit roquet dont les déclarations irresponsables pourraient durablement déstabiliser un électorat n'en pouvant plus de l'immigration et des sales gauchistes associatifs qui s'en font les complices actifs avec l'argent du contribuable.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

Jean-Philippe Tanguy (RN) ne veut pas couper les subventions des associations pro-migrants

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Trois mesures de bon sens pour faire économiser des milliards à l'État

16 Octobre 2024, 19:57pm

Publié par Thomas Joly

Trois mesures de bon sens pour faire économiser des milliards à l'État

Si le gouvernement et les parlementaires veulent quelques pistes pour faire des économies substantielles pour le budget 2025, en voici 3 :

- Arrêter de financer l'immigration en décrétant l'exclusivité nationale pour l'ensemble des aides sociales ;
- Stopper ce délire idéologique de la transition énergétique qui plombe notre économie et notre compétitivité.
- Ne plus filer un seul euro à l'Ukraine, à l'Afrique et à qui que ce soit dans le monde tant que la France sera endettée.

Il ne faut pourtant pas être prix Nobel d'économie pour concevoir ces mesures de bon sens qui feraient économiser - immédiatement - des dizaines voire des centaines de milliards à l'État français. En revanche, il faut un peu de courage politique pour les appliquer.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Budget 2025 : pas d’austérité pour les politiques et les clandestins

15 Octobre 2024, 06:16am

Publié par Thomas Joly

À une semaine du début de l’examen, par les députés, du budget 2025, en pleine période d'économies, deux annonces suscitent le mécontentement. Le projet de loi de finances (PLF) envisage d’augmenter les crédits de l’Élysée, de l’Assemblée et du Sénat et ceux de l’Aide médicale d’État (AME). Ses élites élues coûtent cher à la France ; ses migrants indésirés, aussi.

À tout seigneur, tout honneur : l’Élysée demande un budget de 125,7 millions d’euros pour l'année à venir. Ce calcul est basé sur la dotation de 2024, augmentée en fonction de l’inflation déterminée par Bercy : +1,6 % pour le fonctionnement et l’investissement, +3,1 % pour la masse salariale. L’Assemblée nationale pourrait voir ses crédits passer à 618 millions d’euros, le Sénat à 359,5 millions d’euros - soit une augmentation mécanique liée à une inflation de +1,7 %. Bien sûr, rien n’est joué, a rappelé Laurent Saint-Martin, ministre chargé du Budget et des Comptes publics : ces dotations seront débattues par le Parlement. Celui-ci se refusera-t-il une petite douceur ? On en doute. Le ministre a beau jeu de dire que « les Français ont aussi besoin d’institutions solides, ont aussi besoin de représentants qui puissent bien faire leur travail », quand ce « travail » consiste à augmenter le budget de l’AME, il est cher payé.

La République ne veut pas perdre son AME

Car le budget 2025 destiné à l’AME, s’il était voté, atteindrait 1,3 milliard d’euros, soit +8 % par rapport à l’année passée. Il n’est donc pas basé sur l’inflation - à moins de parler d’une inflation de clandestins divers arrivant en France ? À Paris, ce 12 octobre, 200 mineurs isolés ont profité des portes ouvertes de l’hôtel de ville de Paris pour y entrer et réclamer un logement. Ils ont obtenu gain de cause dans la journée. Un collectif le clame : « La lutte continue ! Logement, École, Papiers, Santé pour toutes et tous ! »

Acquis social intouchable, l’AME symbolise à la perfection la « charité » dévoyée devenue emblématique d’une France xénophile jusqu'à la folie. Un rapport de Véronique Louwagie (députée LR de l'Orne), publié en mai 2023, mettait en avant « une dépense non maîtrisée », « peu soutenable » et « sans véritable pilotage ». Évaluant à « 1,7 milliard d’euros par an » le coût plus réaliste mais encore sous-évalué de l’AME et de dix autres dispositifs complémentaires (citons le dispositif de soins urgents et vitaux (DSUV), accessible aux étrangers en situation irrégulière en France depuis moins de trois mois), le rapport appelait à réformer « une exception française ».

La menace épidémique : une légende urbaine ?

Les inconditionnels de l’AME assènent un seul argument en sa faveur : le dispositif « contribue à préserver l’ensemble de la population de risques épidémiologiques et sanitaires ». Ne regardons pas à la dépense, c’est pour notre bien ! Outre que les rhinoplasties et les recollements d’oreilles qu’offre l’AME n'enrayent aucune épidémie, reconnaître que les clandestins représentent un risque sanitaire généralisé est plutôt un argument pour ne pas les accueillir dans un pays au système de santé exsangue. C’est ne pas prendre en compte que le RN ne demande pas la suppression de l’AME et le maintien grand ouvert des vannes migratoires mais une suppression couplée à une immigration drastiquement réduite, ce qui rendrait la menace morbide infiniment moins forte.

Le dispositif de soins urgents et vitaux - une dotation de 70 millions d'euros de l’État, en 2022, pour une dépense effective de 86,2 millions, selon le rapport Louwagie (p. 14), la différence étant à charge de la CPAM - pourrait être transformé en Aide médicale d’urgence que la droite appelle régulièrement de ses vœux. Accompagnée d'un stop migratoire, elle serait une solution plus économique et plus juste pour les Français. Le 22 septembre, sur France 2, Michel Barnier a assuré qu’il n'y a « ni totem, ni tabou » sur l’AME. Il paraît aujourd’hui vouloir déposer une généreuse offrande au pied du totem. Ce devrait être une ligne rouge pour les députés RN. D’autres se joindront-ils à eux pour freiner, enfin, la surenchère immigrationniste ?

Samuel Martin

Source : https://www.bvoltaire.fr

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Rediffusion du Forum du Parti de la France du 11/10/24

14 Octobre 2024, 06:01am

Publié par Thomas Joly

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Les élèves sont nuls en français ? Adaptons la langue à leur niveau !

10 Octobre 2024, 06:12am

Publié par Thomas Joly

Les élèves sont nuls en français ? Adaptons la langue à leur niveau !

La chose est entendue : les compétences des petits Français dans l’expression écrite de leur langue sont globalement mauvaises. Le CSEN (Conseil scientifique de l’Education nationale) en convient : « Les performances des élèves français en orthographe sont loin d’être satisfaisantes ».

Avec ou sans classement Pisa, on constate que la chose s’accroît d’année en année. Que faire alors ? Ce qu’on fait pour tout dans ce pays quand la température est trop élevée : on casse le thermomètre.

La fin de l’accord du participe passé avec l'auxiliaire avoir ?

C’est ainsi que ledit CSEN, dressant cet implacable constat – il est « inutile de s’acharner à enseigner des orthographes maîtrisées par une minorité de francophones » – nous délivre ses judicieuses préconisations. Au premier chef, la suppression de l’accord du participe passé avec l’auxiliaire avoir, exercice périlleux s’il en est lorsque le complément d’objet direct est placé avant le verbe.

Eh oui ! Cette règle est une épouvantable torture pour nos cerveaux contemporains. Les chiffres le disent : si les Français sont de plus en plus crasses dans notre belle langue, « les erreurs les plus nombreuses concernent l’orthographe grammaticale, le cas le plus notoire étant celui de l’accord du participe passé avec l’auxiliaire avoir et le complément antéposé » (voir définition ci-dessus). Exemple : « j’ai mangé une pomme », mais « la pomme que j’ai mangée ».

Moins de 20 % des élèves maîtrisent cette règle à l’issue du primaire, assure le CSEN et « elle tombe en désuétude chez les adultes ». D’où cette préconisation : « avec l’auxiliaire avoir, invariabilité du participe passé et avec l’auxiliaire être, accord systématique avec le sujet ». Non seulement ce toilettage libérerait les Français d’un gros souci existentiel, mais « ces deux choix libéreraient énormément de temps en classe, qui pourrait être consacré à des enseignements portant plus généralement sur la production écrite ». En phonétique peut-être ?

Où est passé le féminin ?

A vrai dire, il y a pire que l’accord en question ici, mais c’en est sans doute une conséquence : c’est la quasi disparition de tout accord, participe passé ou simple adjectif, au féminin, cela à l’oral comme à l’écrit. Paradoxe d’un temps où les femmes n’ont jamais autant été à l’honneur, elles ont disparu du français avec l’ignorance de la grammaire.

La chose s’est tellement répandue qu’on en vient même à des aberrations : confusion des pronoms personnels (il pour elle), disparition des pronoms relatifs (laquelle, auxquelles), etc. Exemple parmi des milliers d’autres, ceci, entendu lundi matin à la radio : « L’attaque du Hamas le 7 octobre est-il (sic) aussi un choc français ? ».

C’est dans ce contexte qu’on entend répandre l’écriture inclusive, qu’on l’impose même dans certaines universités. Mais qu’importe, puisque tout cela est noyé dans le «  globish », cet « étrange mélange entre le français et une sorte d’anglais mondialisé », comme écrit notre confrère Valeurs actuelles qui consacre un article au sujet.

Trop d'anglicismes

Alors qu’Emmanuel Macron vient de fanfaronner au sommet de la Francophonie, l’Académie française, qui s’alarme de l’inflation galopante des anglicismes dans « la communication institutionnelle », a publié en septembre N'ayons pas peur de parler français (Plon), un livre qui reprend les conclusions de son rapport de 2022 sur le sujet.

L’académie est allée piocher dans les ministères, administrations, SNCF, mairies, universités, écoles, organismes de formation, fondations, sites touristiques… Partout l‘anglais est préféré au français technique. Le ministère de la Transition Ecologique décline ainsi ses « agents intrapreneurs, développeurs, product owner, business developer, coach produits, UX designer ». Chez son voisin de la Santé, on apprend que la politique repose sur un concept essentiel : « One health ». Du côté de la Sécurité sanitaire, on se renseigne auprès du « Helpdesk biocides : Un service national d’assistance » ; une plateforme de documentation devenue « le sharepoint de la communauté ». Mais c’est peut-être le ministère de l’Agriculture qui remporte la palme avec sa start-up Agriloops, qui a « reçu le soutien du Food’Inn Lab d’AgroParisTech ». Quiconque à affaire avec une administration sait qu’il doit en passer par ce charabia. Si l’objectif n’est pas formulé, les conséquences sont évidentes : « une double fracture linguistique, sociale et générationnelle » ce qui est dramatique s’agissant ici des services de l’Etat.

Marie Delarue

Source : https://www.bvoltaire.fr

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