En ce jour où la République célèbre ce qu'elle appelle la « Journée nationale de la laïcité », il est n'est pas inutile de rappeler l'amère vérité qui se cache derrière cette mascarade.
La laïcité, telle qu’elle a été imposée par la loi de 1905, n’a jamais eu pour but de protéger nos libertés ou de garantir une neutralité bienveillante. Non, son objectif premier et fondamental fut de déchristianiser la France, d’arracher notre pays à ses racines millénaires, à cet héritage catholique qui a façonné son âme et ses valeurs. Ce projet destructeur, orchestré dans l’ombre par une élite largement inspirée par les loges maçonniques, a été une trahison contre l’essence même de notre nation.
Et qu'en est-il aujourd'hui ? Cette laïcité, vendue comme un rempart contre toute domination religieuse, n’est plus qu’un bouclier troué face au péril islamiste. Elle reste silencieuse, complice même, devant l’islamisation galopante de nos quartiers, devant les revendications communautaristes qui s’imposent chaque jour un peu plus, avec la bénédiction de nos gouvernants qui prônent le « vivre ensemble » à tout prix.
Il est temps d’ouvrir les yeux. La laïcité, loin de nous protéger, a été l’instrument d’une déconstruction. Elle a désarmé la France face à ceux qui n’ont aucune intention de respecter ses lois ou son mode de vie.
Restaurons notre identité, reprenons en main notre destin, rendons à la France sa fierté et sa souveraineté spirituelle et refusons de courber l’échine face à ceux qui voudraient en faire un désert culturel, où les églises deviennent des musées et les mosquées se multiplient à un rythme effréné.
En cette journée mondiale du climat, il n'est pas inutile de rappeler quelques vérités.
1. Le réchauffement climatique : un phénomène naturel et cyclique plus qu’une responsabilité humaine avérée
Le climat terrestre a toujours été sujet à des variations naturelles majeures bien avant l’ère industrielle. Les cycles de Milankovitch, l'activité solaire, et les changements des courants océaniques sont autant de facteurs qui influencent les températures sur des échelles de temps longues. Des périodes comme l’optimum climatique médiéval ou le petit âge glaciaire démontrent que des fluctuations climatiques significatives se sont produites sans intervention humaine.
Si l’augmentation récente des températures est corrélée avec l’industrialisation et les émissions de gaz à effet de serre, cela ne prouve pas une causalité directe. La climatologie, domaine complexe et encore en évolution, repose sur des modèles qui, bien que sophistiqués, restent imparfaits. La sensibilité climatique au CO₂ fait encore débat, et certains scientifiques considèrent que les forces naturelles pourraient jouer un rôle plus important que ce que l’on affirme généralement. La tendance à attribuer systématiquement le réchauffement au facteur anthropique ignore presque toujours ces dynamiques naturelles.
2. Une climatologie transformée en culte culpabilisateur
Au fil des années, la climatologie semble avoir dérivé vers une idéologie quasi-religieuse. Les discours alarmistes et apocalyptiques, portés par certaines ONG et médias, contribuent à instaurer une culture de la peur. Cette stratégie culpabilise principalement les pays occidentaux qui se voient désignés comme les grands responsables des désastres climatiques, malgré les efforts significatifs qu’ils ont déjà réalisés.
Les gouvernements occidentaux imposent des taxes punitives sous prétexte de réduire l'empreinte carbone mais ces politiques fiscales frappent principalement les classes moyennes et populaires, tout en épargnant souvent les grands pollueurs mondiaux. Parallèlement, l’angoisse climatique instillée chez les jeunes générations crée un sentiment d'impuissance et un désespoir qui affecte leur santé mentale. Cette rhétorique anxiogène détourne les véritables objectifs écologiques au profit d’une croisade idéologique où la vertu apparente masque souvent des intérêts économiques et politiques.
3. La France : un modèle parmi les pays les moins pollueurs
La France est l’un des pays au monde qui génère le moins d’émissions de gaz à effet de serre par habitant. Son mix énergétique, dominé par le nucléaire, lui permet de produire une électricité à faible empreinte carbone, contrairement à des nations comme l’Allemagne qui dépendent encore lourdement du charbon. Par ailleurs, les politiques environnementales françaises imposent déjà des normes très strictes voire abusives dans les domaines de l’agriculture, des transports, et de l’industrie.
Ces efforts contrastent fortement avec des pays comme la Chine ou l’Inde, dont les émissions de CO₂ augmentent massivement. Pourtant, les discours internationaux tendent à homogénéiser les responsabilités, plaçant un fardeau disproportionné sur des pays comme la France, qui contribue pourtant peu à la pollution mondiale. Cette asymétrie dans les discours et les mesures nourrit un légitime sentiment d’injustice.
4. Une écologie capturée par des idéologues extrêmes
L’écologie, concept noble et nécessaire, a été détournée par des idéologues radicaux qui cherchent à transformer la défense de l’environnement en outil de contrôle social. Sous couvert de sauver la planète, ces militants imposent des contraintes liberticides, érodent les libertés individuelles et fragilisent les économies. Leur approche manichéenne empêche un débat serein et rationnel sur des solutions équilibrées.
Le Parti de la France estime que la défense de l’environnement ne doit pas être synonyme de régression ou de sacrifices inutiles. Elle doit s’appuyer sur le progrès technologique, une gestion durable des ressources et une répartition équitable des responsabilités à l’échelle mondiale. En rejetant les discours extrémistes et en privilégiant des solutions pragmatiques, il est possible de protéger la planète sans sacrifier les populations sur l’autel d’une idéologie dogmatique.
Les événements qui viennent de secouer la Roumanie sont une insulte à la démocratie et une trahison flagrante de la souveraineté populaire. L’annulation des élections, suite à la victoire manifeste de Georgescu, n’est pas le fruit d’une quelconque irrégularité interne mais d’une machination abjecte. Le prétexte avancé par les autorités pour justifier cet acte scandaleux est d’une démagogie ahurissante : elles ont invoqué des « ingérences étrangères », notamment via l’utilisation de la plateforme TikTok, comme raison de cette annulation. Une accusation ridicule et sans fondement qui cherche à détourner l’attention du véritable problème : la peur des élites face à une voix populaire forte et indomptable.
Cette excuse fallacieuse d’« ingérence » est un écran de fumée, une tentative de délégitimer un scrutin légitime sous prétexte que des acteurs étrangers (on accusera encore les Russes) se seraient immiscés dans la campagne électorale. Comment ? Par TikTok. Oui, vous avez bien lu : une application, utilisée par des millions de jeunes à travers le monde, est devenue le bouc émissaire idéal pour disqualifier un résultat démocratique. Les responsables politiques qui ont recours à un tel argument montrent leur mépris total pour le peuple roumain et pour la vérité. Cette manipulation est non seulement risible mais dangereuse. Elle est un symptôme de la dérive autoritaire des élites qui, n’ayant pas réussi à faire taire le peuple par les urnes, recourent désormais à des prétextes grotesques pour voler la victoire de ceux qui s’opposent à leur projet mondialiste.
Cette attaque en Roumanie n’est pas un incident isolé. Elle révèle un schéma qui se dessine dans toute l’Europe : des élites soumises à des puissances étrangères, qui cherchent par tous les moyens à écraser la souveraineté des peuples, à détruire les démocraties nationales pour imposer une Europe fédérale sous leur contrôle. Le recours à des accusations sans fondement, comme celle des prétendues ingérences, est le dernier avatar de cette tyrannie rampante qui veut réduire les peuples européens à de simples spectateurs de leur propre avenir.
Mais le peuple roumain n’acceptera pas cette défaite imposée par des forces occultes. Georgescu, symbole de la souveraineté retrouvée et de la fierté nationale, incarne l’espoir d’une Europe des nations libres et indépendantes. Sa victoire au premier tour, bien que bafouée, demeure un défi jeté à ceux qui tentent de faire taire la volonté des peuples par des moyens détournés et injustes.
Le Parti de la France adresse son soutien au peuple roumain à qui l'oligarchie mondialiste veut voler l'élection.
Thomas Petit - Membre du Conseil national du Parti de la France et étudiant en Roumanie
Ce vendredi, nous apprenons l’annonce par Ursula Von Der Leyen d’un accord sur le traité de libre échange entre l'UE et le Mercosur débattu depuis plus de 25 ans.
« Nous avons conclu les négociations pour l’accord UE-Mercosur. C’est le début d’une nouvelle histoire », s’est félicitée sur X (ex-Twitter) la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
La France a immédiatement réagi, affirmant, par la voix de sa ministre déléguée au Commerce extérieur démissionnaire, Sophie Primas, que l’annonce de ce « deal » par la Commission européenne « n’engage qu’elle ».
Cette posture pseudo-souverainiste a de quoi faire sourire, quand on sait quelles ont été dernièrement les décisions de nos gouvernements à ce sujet.
En effet, on citera plusieurs accords bilatéraux de libre-échange similaires portés par Macron ces dernières années, parmi lesquels :
- Le CETA (UE-Canada) mis en œuvre provisoirement en septembre 2017, éliminant la majorité des droits de douane entre les deux partenaires. Bien que la France n’ait pas encore finalisé sa ratification, l’accord a été défendu malgré des inquiétudes sur ses conséquences pour l’agriculture, notamment concernant les farines animales et les antibiotiques utilisés dans l’élevage canadien.
- Le JEFTA (UE-Japon), signé en 2018, réduisant largement les droits de douane entre l’UE et le Japon, notamment dans les secteurs de l’automobile et de l’agroalimentaire, suscitant des inquiétudes quant à l’impact sur des secteurs européens sensibles comme le riz et le vin.
Alors que les agriculteurs sont en pleine protestation contre le libre échange forcené et dévastateur, le gouvernement souffle le chaud et le froid par pur opportunisme politique, le contexte actuel le dissuadant d’afficher un européisme trop zélé…
On notera aussi le toupet de rejeter sur la Commission Européenne l’entière responsabilité d’un accord présumé inéquitable, alors que comme tout ce qui touche à l’UE, il s’agit d’un masochisme consenti par les États membres dont la France, vis-à-vis duquel il suffirait d’une réelle volonté politique pour en finir, la force de la première armée et seule puissance nucléaire membre primant de vagues considérations relatives à la hiérarchie des normes de Kelsen, ou aux arrêts de la très gauchiste CEDH.
Nul doute que Macron, comme d’habitude, protestera par principe, avant de finalement plier, par pur calcul politique cynique et volonté manifeste de brouiller les pistes.
Au Parti de la France, nous nous engageons à ne jamais subir le diktat de ces fonctionnaires bureaucrates bruxellois, et à défendre nos intérêts nationaux, y compris par la force si nécessaire.
Victor Jan de Lagillardaie - Délégué général adjoint du Parti de la France
Le Parti de la France se réjouit de la présence de Donald Trump, de nouveau président des États-Unis, à l’inauguration samedi 7 décembre de la cathédrale Notre-Dame de Paris, magnifiquement reconstruite après le terrible incendie de 2019.
Cet événement tragique, dont les circonstances demeurent entourées de zones d’ombre, a profondément marqué les Français et les croyants du monde entier. La renaissance de Notre-Dame, joyau de la chrétienté, témoigne de la puissance de la foi et de la volonté de préserver cet héritage sacré.
Donald Trump n’a jamais hésité à afficher son attachement aux valeurs chrétiennes, contrastant avec Emmanuel Macron, dirigeant athée et complétement déconnecté d’un peuple français en quête de repères spirituels et de justice sociale.
Cette célébration est hélas ternie par l’absence du pape François, dont les prises de position déroutantes continuent d’alimenter la perplexité et parfois le désespoir des fidèles catholiques.
Que cette journée, marquée par la lumière de la résurrection de Notre-Dame, inspire un renouveau de foi et d’espérance pour tous les croyants en quête d’un guide solide et fidèle aux enseignements de l’Évangile.
Nous fêtons en ce 6 décembre Saint-Nicolas que l'on préférera au très laïc Père Noël, homme-sandwich de Coca-Cola.
La célébration de Saint Nicolas est profondément enracinée dans la tradition chrétienne, notamment en Europe. Dans certaines traditions, il est accompagné de figures comme le Père Fouettard en France ou Krampus en Allemagne, qui punissent les enfants désobéissants.
Saint Nicolas de Myre (ou de Bari) était un évêque ayant vécu au IVe siècle en Turquie actuelle. Il est connu pour sa générosité et ses miracles. Mais aussi pour son intransigeance. On le voit ici giflant Arius qui prétendait que Jésus n'était pas co-égal avec Dieu le Père.
Emmanuel Macron nous a habitué à parler pour ne rien dire mais ce soir il s'est surpassé.
Pour résumer :
- Le RN et LFI sont irresponsables d'avoir censuré Michel Barnier et son budget qui voulait détrousser les Français de 40 milliards d'euros supplémentaires pour continuer sa politique de dépenses publiques pharamineuses.
- Il nommera bientôt un Premier Ministre qui formera un gouvernement d'intérêt général ; quel gouvernement ne prétend pas l'être ?
- Il ne démissionnera pas ; le simple fait de le préciser démontre sa fébrilité et son manque d'assurance.
- Les prédictions apocalyptiques de ses amis macronistes étaient de purs bobards, l'absence de budget n'empêchera pas le pays de fonctionner.
- La reconstruction de Notre-Dame est sa propre réussite et la preuve de son génie.
Qui a bien pu être convaincu par la prestation presque gênante de cet illusionniste ringard dont on connait tous les tours ?
Il est plus que temps que cette mascarade se termine.
Emmanuel Macron est le principal artisan du chaos institutionnel. Sous son règne, la France a plongé dans la ruine et la discorde. Rejeté par la majorité des Français, il doit s'en aller sans délai.
C'est avec une grande tristesse que nous apprenons la disparition, à l'âge de 81 ans, du « marquis » Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, écrivain, président des Amis de Synthèse nationale, catholique très attaché à la Tradition et ami du Parti de la France.
La censure du gouvernement Barnier n’est pas simplement un événement politique de circonstance. Elle est la conséquence logique et inéluctable d’un système qui, depuis des décennies, trahit les aspirations profondes des Français. Nous assistons à l’effondrement d’un régime fondé sur des illusions et des compromissions, incapable de répondre aux défis majeurs de notre époque.
La Ve République fut bâtie pour offrir au président les pleins pouvoirs, sous réserve qu’il dispose d’une majorité docile et dévouée. Ce système, pensé pour une France unie et cohérente, présumait que le peuple accorderait naturellement à son président les moyens de gouverner. Mais cette vision relève d’un autre temps.
Aujourd’hui, les Français ne se reconnaissent plus dans les clivages artificiels entre une gauche moraliste et une droite soumise. Ils voient un système verrouillé, dirigé par une oligarchie déconnectée de leurs préoccupations fondamentales :
• La maîtrise des frontières, alors que l’immigration incontrôlée submerge notre identité nationale.
• Le rétablissement de l’autorité, face à une insécurité galopante qui gangrène nos villes et nos campagnes.
• La défense du pouvoir d’achat, sacrifié sur l’autel des dogmes mondialistes.
Le génie de Macron : diviser pour échouer
Le précédent quinquennat d’Emmanuel Macron a profondément fracturé le paysage politique. À force de mépris, de dérives autoritaires et d’un éloignement des priorités réelles des Français (immigration, sécurité, pouvoir d’achat), l’ancien président a réussi l’exploit de ne plus avoir aucune majorité parlementaire. Même des alliances contre-nature entre la gauche et le RN se sont formées pour s’opposer à sa politique. Un record, surpassant les échecs de François Hollande.
Mais cette censure n’est pas une victoire : elle est le symptôme d’une République moribonde, incapable de garantir la stabilité et de défendre les intérêts de la Nation.
Une refonte nécessaire
Cette crise institutionnelle est l’occasion de poser une question essentielle : notre système politique est-il encore adapté à la société française actuelle ? Si les blocages persistent, la légitimité même des institutions pourrait être remise en cause.
Le gouvernement Barnier est tombé, mais c’est tout un système qui vacille. Il est temps de repenser la Ve République pour qu’elle soit réellement au service des Français.
La censure du gouvernement Barnier doit être le point de départ d’une réflexion plus large. Ce système est à bout de souffle. Il n’est plus en phase avec les aspirations profondes de notre peuple. Nous devons reconstruire une France souveraine, forte et respectée, en redonnant au peuple la place qui lui revient de droit.
Il est temps de tourner la page de cette République des compromissions. Il est temps de redonner à notre pays la grandeur qu’il mérite. Ensemble, avec lucidité et courage, nous construirons la France de demain : une France souveraine, fière de son identité, et fidèle à ses racines.
Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France
Alep était une ville magnifique de cet « Orient plus que compliqué » lorsque j’y suis allé, il y a fort longtemps. Tout faisait penser à ce que notre imaginaire d’enfant ou d’adolescent avait laissé transpirer en termes d’images et d’odeurs. Images d’un Orient fantasmé. Le Bagdad « des mille et une nuits » bien entendu et, plus particulièrement dans le cas qui nous intéresse, Alep avec ses minarets en forme de fusées, sa massive forteresse, dominant la ville, mutilée plus tard par les combats entre rebelles et gouvernementaux… Des odeurs des souks et, plus particulièrement celle, plus persistante, du savon, spécialité locale déclinée à tous les parfums de l’orient.
Un raid spectaculaire qui a surpris tout le monde
L’inattendu, quelque part l’incroyable, s’est produit le mercredi 27 novembre dernier : la plus grande partie de la ville avec son aéroport, sont facilement tombés aux mains des rebelles islamistes du HTC, l’Hayat Al-Cham d’Ahmed Al-Chara. Ce dernier avait déjà fondé Al-Nosra, puis le mouvement salafiste HTS. Le HTC d’aujourd’hui est la version d’Al-Quaida en Syrie. Ces rebelles ne partaient pas de n’importe où et sans « biscuits ». Ils disposaient déjà d’un solide sanctuaire, la province d’Iblid qui leur avait été laissée au terme d’un accord plus ou moins informel entre les parties, et leurs parrains respectifs – Turquie, Iran, Russie -, après la reconquête d’Alep par les forces gouvernementales en 2016.
D’incroyables alliances contre-nature
Des hordes de barbus, armés jusqu’aux dents – un mix d’anciens de Daech, de mercenaires Turkmènes qui « roulent » pour Ankara et d’irréductibles ennemis de Bachar-Al Assad -, parties du quartier du Nouvel Alep, ont pénétré dans la ville sans rencontrer de grande résistance. L’armée syrienne était-elle endormie sur ses lauriers ? Ces hommes ont gagné la citadelle de la « plus vieille cité du monde », comme le revendiquaient jadis des prospectus publicitaires…
On a pu voir des images de jeunes rebelles juchés sur un char gouvernemental abandonné par son équipage, exprimant leur joie de conquérants. C’est un revers monumental pour le gouvernement de Damas et ses alliés russes et iraniens, ainsi que pour les proxys de ces derniers, le Hezbollah, déjà durement étrillé par Israël.
Quelle lecture correcte peut-on faire de ces alliances, bien souvent contre-nature ? D’abord, ce coup porté à Bachar et à son régime arrange les Kurdes dissidents, qui peuvent affermir leur autonomie auto-proclamée mais, dans le même temps, il est de nature à inquiéter leurs alliés américains, qui exploitent sans vergogne le pétrole syrien. Il n’est pas mal vu non plus, par Israël, car il affaiblit son ennemi syrien et ses alliés iraniens et chiites libanais. On pense même que l’État hébreu, pendant la guerre civile syrienne, avait soigné des insurgés islamistes en lutte contre la Parti Baas, en application du principe que « les ennemis de mes ennemis sont mes amis ». Superbe alliance contre-nature, moralement condamnable ! La Turquie, pour des raisons différentes, est derrière ces insurgés islamistes qui humilient le régime damascène, son « meilleur ennemi ». Et pourtant, dans « le même temps » comme dirait « l’autre », il indispose Moscou qu’Erdogan veut ménager.
Et nous, Français, quel est notre intérêt là-dedans ?
Notre intérêt immédiat, pour notre sécurité intérieure, est l’affaiblissement de tout ce qui, de près ou de loin, peut conforter la mouvance islamiste. Ce n’est donc pas, une bonne nouvelle, même si le Hezbollah et son parrain iranien, qui tiennent nos amis libanais en otage, son sévèrement touchés, par contre coup. C’est une tragique information pour les Chrétiens d’Orient, et plus particulièrement ceux de Syrie et d’Alep, où ils pensaient pouvoir se reconstruire après la tyrannie de l’occupation de l’État islamique. Ils vont devoir, une fois de plus – une fois de trop ? -, quitter leurs foyers ou « raser les murs »…
Si l’Occident avait réfléchi intelligemment lorsque la Syrie s’est embrasé, il aurait dû soutenir le régime laïc du parti Baas et s’appuyer sur Assad, malgré le despotisme non éclairé de son régime, car, entre deux maux, il faut choisir le moindre. Le temps était fini où l’Iran comme la Syrie, perpétuaient des attentats en nos murs, comme la Libye d’ailleurs sur un autre front. Mais non, les alliés de l’OTAN ont fait le choix inverse. Résultats des courses, des attentats, des victimes et…pas de représailles. Les alliances sont très paradoxales.
La France et ses amis sont proches de pays comme le Qatar et l’Arabie saoudite, qui ne sont pas plus démocratiques que la Syrie dirigée par les Alaouites Assad père et fils, et hostiles à ce dernier. Si l’on peut comprendre que nos intérêts pétroliers sont en jeux et que de fructueux marchés de ventes d’armes s’offrent en perspective à nos industries, on ne peut pas négliger la nébuleuse islamiste fondamentaliste, ni le trouble jeu de puissances comme la Turquie.
Accessoirement le double jeu d’Israël, État qui a la « vue basse », et ne pense pas à l’avenir, ne « roulant » que pour ses propres intérêts à court terme. Autre paradoxe pour notre camp, c’est de souhaiter ardument la victoire de l’un des régimes les plus durs et les plus anti-démocratique de la planète. Mais notre sécurité globale est à ce prix. L’Occident – et l’Europe plus précisément -, vont-ils enfin ouvrir les yeux et, entre deux maux, disons-le encore et encore, choisir le moindre mal ? On déroule bien le tapis rouge devant d’autres satrapes qu’Assad, tout aussi ou bien plus sanguinaires !
Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France
L’assistanat, terme souvent utilisé pour désigner l’ensemble des aides sociales en France, représente un coût colossal pour les finances publiques. En 2023, selon les données officielles, la protection sociale absorbe près de 32 % du PIB national, soit plus de 800 milliards d’euros par an. Cette somme, destinée à financer des prestations variées (RSA, APL, allocations familiales, etc.), dépasse de loin les moyens consacrés à des investissements structurants tels que l’éducation ou la défense.
Ce modèle, unique en Europe par son ampleur, repose sur une redistribution massive des richesses. Il s’ensuit une pression fiscale parmi les plus élevées du monde occidental, avec un taux moyen d'imposition atteignant 45 %. En clair, les ménages actifs, et notamment les classes moyennes, se retrouvent accablés par une fiscalité qui finance un système souvent perçu comme inefficace et abusif. L’endettement public, qui a franchi le seuil de 3.000 milliards d’euros, est en partie attribuable à cette redistribution mal calibrée, favorisant l’assistanat au détriment de la productivité et de la compétitivité nationale.
2. L’assistanat encourage l’inactivité et la paresse
Le modèle français, en multipliant les aides sans conditionnalité stricte, crée un effet pervers : il désincite au travail. Un bénéficiaire du RSA, cumulé avec des aides annexes (logement, énergie, santé), peut percevoir un revenu équivalent, voire supérieur, au SMIC pour un effort nul. Cet état de fait engendre une concurrence déloyale pour les travailleurs précaires, qui peinent à joindre les deux bouts tout en étant soumis à des horaires exigeants.
Cette situation découle d’un cercle vicieux : l’assistanat nourrit la dépendance, qui elle-même alimente l’oisiveté. Certains foyers s’installent durablement dans cette logique, préférant subsister grâce aux aides plutôt que de chercher un emploi. Ce phénomène est d’autant plus alarmant que la population active, déjà en déclin démographique, se voit de plus en plus sollicitée pour financer des prestations sociales dont les bénéficiaires se multiplient. Ainsi, ce système favorise une redistribution à sens unique, où les actifs voient leur pouvoir d’achat s’éroder au profit d’une population parfois réfractaire à l’effort et à la responsabilité individuelle.
3. Une idéologie marquée par le socialisme et le marxisme
L’assistanat est le fruit direct d’une idéologie socialiste, elle-même héritière des doctrines marxistes. Ces dernières prônent la lutte des classes et la redistribution des richesses comme moyens de parvenir à une égalité supposée. En réalité, cette approche nie les vertus du mérite et de l’effort individuel, préférant niveler les revenus par le bas au nom d’une solidarité forcée.
Le marxisme, avec sa vision conflictualiste, a façonné l’idée que les « riches » doivent être dépouillés au profit des « pauvres », sans considération pour les mécanismes incitatifs qui favorisent l’innovation, l’investissement et la création d’emploi. La France, avec sa culture politique profondément marquée par les luttes sociales, s’est engouffrée dans cette logique, abandonnant progressivement toute ambition d’autonomie individuelle au profit d’un État-providence omniprésent. Ce modèle, au lieu de dynamiser la société, l’enlise dans une stagnation où chacun attend que « l’État paie ».
4. L’attraction de l’assistanat pour l'immigration extra-européenne
Le système d’aides sociales joue un rôle attractif pour l’immigration extra-européenne. La France, avec ses prestations généreuses et peu conditionnées, se distingue comme une destination de choix pour des populations issues de pays où les standards sociaux sont inexistants ou très faibles. Ces flux migratoires, en grande partie alimentés par des logiques économiques, viennent aggraver les déséquilibres du système.
Les nouveaux arrivants, souvent peu qualifiés, s’insèrent difficilement sur le marché du travail et dépendent massivement des aides sociales. Selon plusieurs études, une proportion significative des bénéficiaires du RSA, des APL ou de la CMU est constituée de ressortissants extra-européens. Ce phénomène alimente un légitime ressentiment croissant parmi les classes populaires françaises, qui se sentent dépossédées au profit de populations étrangères et assistées souvent de manière prioritaire.
5. Une refonte nécessaire sous l’égide du Parti de la France
Le Parti de la France s’engage à rompre avec cette logique mortifère de l’assistanat généralisé. Les aides sociales doivent être recentrées sur les Français les plus vulnérables et conditionnées à des efforts concrets, qu’il s’agisse de recherche d’emploi ou de formation. Les individus en capacité de travailler devront se voir incités à reprendre une activité, sous peine de perdre rapidement leurs droits aux prestations.
Ce changement radical permettra non seulement de rendre aux actifs le fruit de leur travail, mais aussi de rétablir une justice sociale authentique, fondée sur le mérite et la responsabilité individuelle. En réduisant le coût de l’assistanat et en inversant massivement les flux migratoires, la France pourra retrouver sa souveraineté économique et offrir à ses citoyens un avenir prospère et digne.
Bruno Hirout souhaitant désormais se consacrer à sa prometteuse maison d'édition et Maxime Leroy à des projets plus personnels, le Bureau politique a voté, à l'unanimité, la restructuration suivante du Bureau exécutif du Parti de la France :
Secrétaire général : Pierre-Nicolas Nups
Secrétaire général adjoint : Maxime Morlon
Délégué général : Alexandre Simonnot (inchangé)
Délégué général adjoint : Victor Jan de Lagillardaie
Cette réorganisation du PdF ne résulte en aucun cas d'un quelconque désaccord politique, il s'agit de la volonté légitime de deux camarades de combat de donner à leur engagement pour la cause nationale une nouvelle orientation.
Le Parti de la France entend toujours incarner la vraie droite nationale sans filtre et décomplexée face aux fossoyeurs de notre Nation, avec une inébranlable détermination.