Le blog politique de Thomas JOLY
Président du Parti de la France
Drancy : le Parti de la France soutient ceux qui tiennent la ligne
Hier soir à Drancy, un policier a fait usage de son arme après une nouvelle agression gratuite, symptôme d’un climat de violence devenu banal dans notre pays.
En France, tout semble désormais prétexte au désordre : un événement sportif, les fêtes de fin d’année - pour rester républicain… - un fait divers dans les banlieues, ou simplement la météo. Dès que le mercure dépasse les 32 degrés, ce sont les bouches à incendie qui explosent dans les rues des grandes villes et des milliers de litres d’eau qui sont gaspillés aux frais du contribuable.
Cette fois-ci, un fonctionnaire fait son devoir et certains s’indignent ?
Il est temps de rappeler cette vérité simple : sans autorité, c’est l’anarchie.
Le Parti de la France apporte son soutien à ceux qui tiennent la ligne. Fini, les larmes pour les voyous. La rue n’appartient pas aux émeutiers.
Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France
1er mai 2025 : le discours de Thomas Joly
Le texte de ma prise de parole jeudi 1er mai 2025 à Paris, place saint Augustin :
« Nous sommes réunis ici, comme chaque 1er mai, à l’ombre du souvenir immense de sainte Jeanne d’Arc. Et cette année, à la douleur poignante d’un adieu s’ajoute la force d’une promesse : celle de la fidélité.
Oui, ce 1er mai est tout entier placé sous le double signe du sacrifice et de l’espérance. Il porte les couleurs de la France éternelle et les accents du combat mené par celui qui fut son plus ardent défenseur durant des décennies : Jean-Marie Le Pen.
Ce jour du 1er mai n’a jamais été choisi par hasard. Ce n’était pas un caprice de calendrier, ni un clin d’œil aux syndicats rouges. Non ! Jean-Marie Le Pen avait voulu sceller dans une même cérémonie deux fidélités françaises : l’hommage à la vierge guerrière de Domrémy, et la célébration du travail français, cette vertu cardinale qui fonde la dignité des peuples libres.
Il avait compris, avec sa clarté visionnaire, que le 1er mai devait être repris à la gauche, reconquis, nettoyé de l’internationalisme marxiste, pour redevenir une fête nationale, enracinée, chrétienne et sociale. En un mot : française !
Et c’est ainsi qu’il créa la tradition du défilé et de l’hommage à Jeanne d’Arc, ce jour-là. Ce n’était pas une stratégie. C’était une profession de foi. Jeanne, c’est la France. Jeanne, c’est la paysanne devenue guerrière. Jeanne, c’est la voix de Dieu dans les plaines de Lorraine. Et Jean-Marie Le Pen, à sa manière, fut un soldat de cette même foi.
Hélas ! Aujourd’hui, le Rassemblement National a tourné le dos à cette tradition. Pire encore : il en a renié l’âme. Plus de Jeanne, plus de France, plus de travail glorifié. Rien que des calculs. Des sondages. Et du reniement.
Mais nous, au Parti de la France, nous ne renions rien.
Nous ne trahissons pas.
Nous continuons.
Nous portons ce flambeau, non par nostalgie, mais par devoir. Parce que notre peuple mérite mieux qu’un simulacre. Il mérite la vérité. Il mérite l’honneur. Il mérite l’héritage intact de Jean-Marie Le Pen.
Et en ce 1er mai, il faut redire ce qu’est le Travail, ce mot si galvaudé, mais si noble quand il est remis à sa juste place.
Le Travail, ce n’est pas l’exploitation des masses par la finance. Ce n’est pas la concurrence déloyale venue d’Asie ou des pays de l’Est. Ce n’est pas la précarité planifiée par Bruxelles.
Le Travail, c’est le sel de la terre, c’est le devoir quotidien de l’homme libre, c’est la construction lente et noble d’une civilisation. C’est pourquoi le Maréchal Pétain, dans une période tragique de notre Histoire, avait tenu à inscrire le Travail parmi les trois piliers de la Révolution nationale : Travail, Famille, Patrie.
Car sans travail, il n’y a pas de patrie vivante. Sans travail, il n’y a pas de famille digne. Sans travail, il n’y a pas de France debout.
C’est cette France que Jean-Marie Le Pen a toujours défendue. Cette France enracinée, laborieuse, loyale, catholique, chevaleresque. Une France de Jeanne et de Saint Louis, de Clovis et de Maurras, de soldats et de paysans.
Et c’est à ce grand Français, ce géant de l’histoire contemporaine, que nous rendons aujourd’hui un hommage vibrant et fraternel.
Jean-Marie Le Pen ne fut pas un politicien. Il fut un homme d’État au sens le plus noble, bien qu’il n’ait jamais gouverné.
Il fut un prophète moqué, mais dont toutes les paroles résonnent aujourd’hui avec une justesse glaçante.
Il fut un père pour des générations de militants, un éclaireur, un veilleur, un combattant.
Et pour lui, comme pour nous, Jeanne d’Arc était plus qu’une sainte : elle était une sœur d’armes.
Alors, mes amis, que ce 1er mai soit le serment d’une fidélité renouvelée.
À Jeanne, à la France.
À Jean-Marie Le Pen, à son combat.
Et que vive la France française ! »
Financez la remigration ! Aidez A. H. !
Une campagne électorale, c'est hors de prix. Aidez Alexandre Hinger, candidat dans la 5e circonscription de Saône-et-Loire, à faire la meilleure campagne possible en faisant un don ou en adhérant au Parti de la France !
Aujourd'hui, A.H. c'est le minimum !
Wauquiez propose de déporter, Darmanin propose d'encaisser
Après Wauquiez et son idée de déportation des OQTF vers Saint Pierre et Miquelon, c’est à présent au tour de Gérald Darmanin de proposer une mesurette symbolique en espérant récupérer quelques voix à droite.
Au programme, le rétablissement des « frais d’incarcération » auxquels étaient assujettis les détenus jusqu’en 2003, afin de contribuer au fonctionnement des prisons. Une goutte d’eau dans l’océan, surtout qu’il est déjà établi qu’en seront exclus les détenus provisoires et indigents.
Une réelle mesure de salut public, au regard de la proportion écrasante d’étrangers et de binationaux incarcérés dans les prisons française, serait de mettre en place l’expulsion systématique des délinquants et criminels vers leurs pays d’origine à l'issue de leur peine.
Mais comme d’habitude, voulant toujours manœuvrer au centre, la classe politique au pouvoir évitera soigneusement toute proposition trop radicale pouvant vexer les sensibilités de potentiels électeurs.
Victor Jan de Lagillardaie – Délégué général adjoint du Parti de la France
Alexandre Simonnot au Forum pour la Paix le 10 mai
Alexandre Simonnot, Délégué général du Parti de la France, prendra la parole samedi 10 mai à Paris lors du Forum pour la Paix.
Inscription obligatoire : forumpaix.paris@proton.me
La Grand-Combe : quand l'immigration tue, la gauche accuse la France
Qui aurait cru qu’un jour La Grand-Combe, ce petit bourg du Gard, aurait sa propre mosquée ? Ce simple fait est déjà un signe de l'islamisation dramatique de nos campagnes, autrefois bastions de la France rurale et chrétienne. Voilà que même dans ces replis de notre identité, l’immigration de masse a imposé ses marqueurs.
Vendredi, un drame s’y est noué : un Malien, Aboubakar, a été tué par un Bosniaque de 20 ans, Olivier H., dans l'enceinte même de ce lieu de culte. Depuis, toute la gauche morale s'est levée, LFI en tête, hurlant à l’islamophobie, brandissant l’affaire comme un étendard. Pourtant, où sont leurs indignations quand un Français de souche est assassiné par un immigré ? Où étaient les larmes médiatiques pour Lola, pour Thomas, pour toutes ces victimes blanches de la violence importée ? Silence complice, indignation sélective : voilà le vrai visage de ceux qui prétendent nous donner des leçons.
Cet acte tragique n’est pas le fruit d’une soi-disant islamophobie rampante, mais d’un chaos migratoire que nos élites ont organisé. Aboubakar et Olivier ne se seraient jamais croisés si chacun était resté dans son pays d’origine. C’est l’immigration qui tue, pas la France éternelle.
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Alexandre Hinger reçoit Robert Steuckers, essayiste et militant belge
Rediffusion du Bistrot du Parti de la France du 25/04/25
Mineurs criminels : en finir avec l'excuse de l'âge
Le drame avec Justin Polat, c’est qu’après avoir tué une gamine en la poignardant à 57 reprises, la justice sera incapable - quand bien même elle le voudrait… - d’apporter la réponse pénale nécessaire à ce crime.
Il sortira de taule avant d’avoir mon âge (33 ans) alors qu’il mérite la mort.
Premier problème : l’ordonnance pénale des mineurs du 2 février 1945, d’inspiration communiste.
Le criminel est perçu comme une victime et sa peine encourue est Ipso facto divisée par deux au seul motif qu’il n’est pas majeur.
S’il est impossible de se prémunir de ce genre de crimes, nous ne sommes pas condamnés à appliquer une justice de dégénérés.
Il faut juger les mineurs et les majeurs à la même enseigne, supprimer l’ordonnance des mineurs de 1945 - en réformant complétement le Code de la justice pénale des mineurs (CJPM), entré en vigueur le 30 septembre 2020 - et rétablir la peine capitale.
Cette position claire est juridiquement structurable : elle nécessiterait une refonte constitutionnelle, une rupture avec les engagements internationaux, et un retour assumé à une justice pénale fondée sur la sanction et la proportionnalité du châtiment au crime.
C’est le projet du Parti de la France.
Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France
Dîner PdF/Rivarol samedi 31 mai à Amiens
Samedi 31 mai à Amiens (19h30), le Parti de la France invite le sulfureux Directeur de Rivarol, Jérôme Bourbon, pour un dîner-débat où le politiquement correct ne sera pas de mise !
Repas tout compris : 40 € (paiement sur place)
Réservation obligatoire au 07.66.51.27.24 ou partidelafrancesomme@gmail.com
Tragédie à Nantes : le sang des innocents et l’aveuglement des responsables
Hier, la France a une nouvelle fois été frappée par l’horreur. À Nantes, dans ce qui devrait être un sanctuaire pour nos enfants, une lycéenne a été sauvagement assassinée à coups de couteau, et trois autres jeunes ont été grièvement blessés. Nos pensées émues vont aux familles plongées dans le deuil et la douleur, ainsi qu’à toute la communauté scolaire bouleversée par cette barbarie.
Le tueur, Justin Adar Polat, âgé de 15 ans, un individu d’origine turque, n’est ni un « militant d’extrême droite » comme certains voudraient le faire croire à coups de titres racoleurs, ni un croisé de la haine raciale. Il semble, à ce stade, que nous ayons affaire à un esprit instable, ravagé par une forme de paranoïa née de l’éco-anxiété — ce mal moderne distillé par les gourous pseudo-écolos et leurs discours apocalyptiques, qui instillent la peur et la culpabilité dans l’esprit des jeunes au nom du climat.
Mais une question s’impose : où sont les responsables ? Comme toujours, nos gouvernants regardent ailleurs, récitant mécaniquement les mêmes litanies sur la « résilience » et la « solidarité ». Pas un mot sur l’échec criant de la prévention, pas un mot sur la démission de l’État face à la montée de la violence dans nos établissements scolaires.
Le Parti de la France appelle à des mesures de bon sens. Nous réclamons que chaque établissement scolaire puisse désigner un référent armé, dûment formé et habilité, membre de la communauté éducative, prêt à intervenir immédiatement pour neutraliser toute menace, qu’il s’agisse d’un agresseur isolé, d’un déséquilibré ou d’un terroriste.
L’heure n’est plus aux bougies et aux marches blanches : l’heure est à l’action.
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Alexandre Hinger répond aux questions de l'ami Tom Bombadil
SNCF : le service public en grève permanente
Quintessence de ces entreprises d'État kafkaïennes, la SNCF fournit un service toujours plus onéreux (allant jusqu'à dépasser le prix des billets d'avions pour les mêmes trajets) et moins fiable, alliant retards et délais fréquents, le tout couronné par des mouvements sociaux à la fréquence aussi régulière que les giboulées de mars, dont les voyageurs payent systématiquement le prix…
Qui peut citer une seule année sans grève générale de la SNCF, pilotée bien entendu par des syndicalistes professionnels ?
Sud-Rail et consorts ont appelé à une nouvelle grève début mai pour des questions relatives aux primes et aux plannings de travail. Rappelons que chaque journée de grève coûte environ 10 millions d’euros à la SNCF, et donc au contribuable…
Rappelons aussi que les employés de la SNCF bénéficient de nombreux avantages et réductions sur le réseau SNCF ainsi que d’un emploi stable, contrairement aux employés risquant d’arriver en retard au travail, justificatifs de la SNCF ou non…
Ce déséquilibre se retrouve également dans la fonction publique, où trop de travailleurs statutaires et donc pratiquement invirables, peuvent se mettre en grève sans risques, aux dépens d’une mission de service public qui n’est pas assurée.
Au Parti de la France, une seule réponse nous semble la bonne : abolir le droit de grève pour les fonctionnaires et salariés d’entreprises publiques.
Victor Jan de Lagillardaie – Délégué général adjoint du Parti de la France
La République en représentation à Saint-Quentin-Fallavier : quand le théâtre remplace l’action
Ce 23 avril 2025, le théâtre républicain a donné une nouvelle représentation pitoyable. François Bayrou, Gérald Darmanin et Bruno Retailleau, trois figures d’un pouvoir moribond, se sont rendus à la prison de Saint-Quentin-Fallavier en Isère. Pourquoi ? Pour faire ce qu’ils savent faire de mieux : adopter des mines graves, réciter des discours indignés et promettre, une fois de plus, une « fermeté » dont chacun sait qu’elle n’arrivera jamais.
Ils sont venus avec les caméras. Ils sont repartis avec elles. Entre-temps, rien. Du vent. Des mots. Toujours les mêmes. Pendant ce temps, nos surveillants pénitentiaires vivent dans la peur. On les attaque dans les prisons. On les menace chez eux, devant leurs enfants, on incendie ou on canarde leur domicile et leur voiture. Et l’État ? Il regarde. Il filme. Il communique.
La vérité, la seule, la crue, c’est que nos agents sont abandonnés face aux narco-racailles qui gangrènent nos quartiers et désormais nos prisons. Où sont les actes ? Où est l'autorité ?
Un gouvernement digne de ce nom armerait lourdement chaque surveillant pour qu'il puisse se protéger, raflerait des dizaines de suspects dans les cités, ferait condamner rapidement les coupables par des magistrats expéditifs. Les criminels étrangers seraient expulsés avec leur famille. Et surtout – oui, surtout – le peuple serait consulté pour rétablir la peine de mort. Par référendum.
Mais non. Nous devons nous contenter du blabla républicain. De la compassion mise en scène. De l’indignation médiatique. Comme si les mots pouvaient arrêter les coups de couteau, les cocktails molotov, les rafales de kalachnikov.
Nous sommes dirigés par des technocrates sans courage, des gestionnaires de décadence. Ils n’ont pas compris - ou feignent de ne pas comprendre - que la guerre est déclarée. Une guerre intérieure. Une guerre de civilisation. Tant que la France ne décidera pas de se défendre vraiment, elle continuera de tomber. Et nos ministres continueront de se promener en costume sombre sur les lieux du désastre, avant de rentrer dîner.
Thomas Joly - Président du Parti de la France