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Le blog politique de Thomas JOLY

La maire de Montauban dénonce les problèmes scolaires liés à l’invasion

18 Septembre 2014, 08:58am

Publié par Thomas Joly

« On arrive à des écoles où les Montalbanais de souche ne veulent plus aller, parce qu’ils se trouvent confrontés à ces difficultés » a dénoncé lors d’une conférence de presse Brigitte Barèges, maire de Montauban. Elle évoquait la situation, hélas désormais répandue, d’enfants blancs en minorité, voir très minoritaires dans des classes où le dernier délinquant étranger arrivé peut scolariser – aux frais des Français – ses nombreux enfants. Une situation d’autant plus intolérable qu’au droit élémentaire de ne pas être envahi, de pouvoir vivre selon les lois de son peuple et au sein d’un environnement culturel et social sain, s’ajoute un problème éducatif ; les enfants d’étrangers, dont certains ne maîtrisent pas les éléments les plus basiques de la langue, font chuter dramatiquement le niveau comme cela peut être constaté au niveau national depuis trente ans.

Deux associations complices de l’invasion, SOS Racisme et Réseau éducation sans frontière (sic) (RESF) ont lancé une campagne de haine contre l’élue, au motif qu’elle a utilisé l’expression « Montalbanais de souche », « concept renvoyant au champ lexical d’extrême droite et aux sites internet les plus nauséabonds » affirment les extrémistes de gauche.

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Franck Di-Iorio, père de famille tué lors d’un cambriolage à Aubignosc (Provence)

18 Septembre 2014, 08:39am

Publié par Thomas Joly

Moins de trois mois après l’assassinat de Jérémy Mortreux par un gang de criminels étrangers dans les rues de Digne-les-Bains, un père de famille est mort durant un cambriolage à Aubignosc, un petit village situé à une trentaine de kilomètres de Digne. Selon les déclarations de la femme et du fils de la victime, trois hommes – le procureur a parlé de « plusieurs individus » – se sont introduits dans la maison vers une heure du matin dans la nuit de mardi à mercredi. Ils ont attaqué le couple qui dormait dans une chambre, ainsi que l’enfant, âgé de quinze ans, qui dormait également dans la maison.

Les victimes ont été ligotées et au moins les deux parents ont fait l’objet de violences, les criminels tentant de leur extorquer des informations sur de possibles caches de bijoux et d’argent. Certains médiats ont évoqué des actes de « tortures ».

Après le départ des cambrioleurs, l’adolescent serait parvenu à se libérer, allant ensuite détacher ses parents. La femme de la victime est ensuite partie appeler des secours en se rendant chez son beau-frère près de là. Ce dernier, en arrivant sur place, n’a rien pu faire pour sauver le propriétaire des lieux. Franck Di-Iorio, un maçon âgé de 45 ans, est décédé des suites de ses blessures après l’arrivée des secours. Sa femme et son fils, très choqués, ont été hospitalisés.

Il n’y a eu aucune arrestation.

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Daech ou EIIL ? Décapité ou égorgé ? Les mots de la pudibonderie et du mensonge… (par Marie Delarue)

18 Septembre 2014, 08:29am

Publié par Thomas Joly

Pauvre François Hollande qui ne peut prononcer un discours sans se prendre les pieds dans le tapis volant ! Avec son ami Fabius, il a pris la décision de ne plus désigner l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL) – rebaptisé en juin dernier État islamique (EI) – du nom que celui-ci s’est attribué, mais « Daech ». Et comme notre Président enquille les lapsus dès qu’il ouvre la bouche, il a encore fait ricaner ses petits amis lors de la conférence internationale sur l’Irak, lundi dernier, en disant « Dache ». Une fois de plus, c’est son inconscient qui a parlé, car « aller à Dache », c’est aller… au Diable !

De toute façon, Daech ou Dache, quelle importance puisque « le Daech », comme ils disent, n’est que l’acronyme arabe pour « État islamique en Irak et au Levant ». Autrement dit, on nous prend pour des débiles.

En ce domaine comme en tout autre, les mots du gouvernement français sont ceux de la pudibonderie et surtout du mensonge, ce ver qui nous ronge. L’État islamique n’est pas un État, c’est exact. C’est un coup d’État permanent, une enclave barbare, un royaume de l’ignorance crasse et de l’abjection humaine au temps de l’Internet. Qui n’a pas plus à voir avec l’islam que le massacre de la Saint-Barthélemy eut à voir avec le christianisme, mais tout avec le fric et le pouvoir. S’il faut vraiment mettre un nom sur la noirceur de l’âme humaine, alors oui, c’est le règne du Diable.

 

De même, pour nous épargner sans doute, on nous parle avec précaution de « l’assassinat » des Américains James Foley et Steven Sotloff, puis du Britannique David Haines. Ce n’est pas un assassinat, c’est une exécution. C’est leur appartenance au monde occidental qui leur vaut condamnation. Une exécution dont on veut taire la portée symbolique en la planquant, là encore, sous les mots de la pudibonderie et du mensonge.

On dit ces malheureux « décapités ». Un mot propre. Net. Tranchant comme la guillotine qui parle à nos mémoires. Un mot au scalpel qui sentirait presque l’eau de Javel sur le carrelage blanc des salles d’autopsie. La vérité est ailleurs : James Foley, Steven Sotloff et David Haines ont d’abord été égorgés, salement, au couteau, comme des animaux. À genoux, les mains attachées dans le dos, en combinaison orange comme à Guantánamo. Exécutés dans la souffrance et sans doute dans les cris. Cette barbarie accomplie, on les a en effet décapités, puis on a posé leur tête sur leur corps dans une mise en scène destinée à affoler le monde. Pourquoi taire cette vérité-là ?

Comme le dit le criminologue Patrick Morvan, le choix de l’égorgement au couteau ne doit d’ailleurs rien au hasard : « Dans une société acclimatée à la violence par arme à feu, au cinéma et à la télé, l’EI devait se démarquer et gravir un degré supplémentaire dans l’horreur. » Cette barbarie sanglante « est une opération de communication ».

D’où cette question : est-ce un service à nous rendre que de taire la vérité, aussi monstrueuse soit-elle ? Est-ce un service à nous rendre que de toujours vouloir nous bercer de mots ? Les Américains qui font la guerre au monde n’ont jamais vu, sur leurs télés, d’autres morts que ceux qu’ils font depuis le ciel. Les leurs rentrent bien emballés, dans des cercueils plombés recouverts du drapeau. C’est la guerre propre qui ne salit rien d’autre que le mouchoir où l’on pleure.

Dans notre monde ultra-aseptisé que le contact répugne, les fous d’Allah nous disent qu’ils ne craignent pas, eux, le corps à corps.

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Moscovici : cauchemar des socialistes (et des) Français (par Jordan Galienne)

18 Septembre 2014, 08:19am

Publié par Thomas Joly

Pierre Moscovici est le parfait caméléon. Il prend la couleur de son environnement pour mieux s’y confondre et en profiter. Un portefeuille ministériel, un poste de commissaire européen… tout est bon à prendre pour se forger un CV à faire pâlir d’envie les plus ambitieux des politicards. Quitte à renier ses principes et à mettre en coupe réglée les économies des Français ? Pourquoi pas ! L’ambition ne connaît aucun obstacle infranchissable…

Ministre en dessous de tout sous le gouvernement Ayrault, l’ex-ministre de l’Économie n’a absolument rien fait pour réformer une France moribonde et stopper la spirale des déficits et de la dette. Il faut rester en bon terme avec le plus de monde possible, et le meilleur moyen d’y parvenir est de ne pas bouger une oreille. Malheureusement pour lui, son poste exposé de ministre de l’Économie à l’heure où le pays tombe toujours plus bas vient souligner un bilan désarmant de nullité. La faute à lui seul ? Bien sûr que non, mais le pire est à venir.

Débarqué de l’enfer gouvernemental à sa demande lors de l’intronisation de Manuel Valls, Moscovici a compris que l’herbe était plus verte ailleurs. Il n’est pas bon d’être socialiste en France. Qu’à cela ne tienne ! Les habits de commissaire européen sous la présidence Juncker ne lui font pas peur. Le costume est peut-être un peu grand, mais à force de retourner sa veste, elle vous sied comme un gant.

La métamorphose pour passer de ministre de l’Économie aux poches trouées à celui de commissaire européen aux Affaires économiques et financières à la menaçante orthodoxie budgétaire n’aura pris que quelques semaines à l’ami Moscovici. Chaque déclaration publique est bonne pour montrer qu’il est un bon émissaire de la doxa européenne. Le déficit public français ? « Un problème sérieux » que le commissaire européen connaît sur le bout des doigts puisqu’il en est à l’origine. Un problème qu’il va « falloir traiter ». Le pompier-pyromane est de sortie, et gare à ceux qui ont encore un peu d’argent quelque part. Tout doit disparaître !

La cure d’austérité – la vraie, celle imposée par l’Union européenne – n’est pas loin et le bourreau a un visage familier… Les mesures absurdes made in Europe vont bientôt débarquer et pas seulement sur les écrans. Si des réformes doivent impérativement être prises, celles issues de l’idéologie ont rarement des effets positifs. Pour l’heure, l’idéologie de Moscovici, c’est la Commission européenne. Il faut donc s’attaquer avec la plus grande fermeté au déficit de la France et retourner sa veste sur d’autres sujets comme la taxe sur les transactions financières.

Conquis par cette idée lorsqu’il était au gouvernement, il avait finalement changé de position avant d’y retrouver son compte en intégrant la Commission européenne. Que la taxe sur les transactions financières soit une ineptie économique ? Pas grave ! Le plus important est de suivre le sens du vent. Il sera toujours bon de changer de cap le moment venu. Moscovici est un grand politicien, un petit économiste, et certainement pas un homme d’État. Allez, bon vent !

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Le n°37 (septembre octobre 2014) de Synthèse nationale est paru

16 Septembre 2014, 10:15am

Publié par Thomas Joly

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La francophonie comme arme de guerre contre la France

16 Septembre 2014, 10:08am

Publié par Thomas Joly

« L’opération nationale « Dis-moi dix mots » proposée par le ministère de la Culture et de la Communication (délégation générale à la langue française et aux langues de France [sic]) invite chacun à jouer et à s’exprimer, sous une forme littéraire ou artistique, autour de dix mots et d’une thématique renouvelés chaque année. Le thème de l’édition 2014-2015 : « Dis-moi dix mots… que tu accueilles ». Cette année « Le concours des dix mots » et « Le concours de l’imagier des dix mots » mettront en valeur la capacité de notre langue à accueillir et intégrer des mots venus d’ailleurs, des mots voyageurs, empruntés à d’autres civilisations au gré de l’histoire des peuples. Qu’ils viennent du flamand, de l’italien, de l’hawaïen, de l’arabe ou de l’inuktitut, ces mots ont enrichi la langue française : chercher leur origine, jouer avec eux, invite au voyage. »

« Les dix mots sélectionnés par les différents partenaires francophones pour l’édition 2014-2015 sont : amalgame, bravo, cibler, grigri/ gris-gris, inuit(e), kermesse, kitsch ou kitch, sérendipité, wiki, zénitude. » annonce le gouvernement.

Bref, un mélange de politiquement correct victimaire, d’africanité, de dénonciation de l’ancien (nous pouvons nous attendre à trouver « moisi » ou « ringard » dans la prochaine édition, qui pourra suivre le mot patrie, mine de rien, comme pour le qualifier…), d’anglicisme, et de novlangue socialiste. Nous avons échappé – de peu ? – au barbarisme « bravitude » de la très républicaine Ségolène Royal !

Parmi les « public et acteurs concernés » – c’est-à-dire ceux auxquels le « concours des dix mots » est ouvert – on trouve, notamment, les « unités pédagogiques pour élèves allophones arrivants (UPE2A) »… que l’on peut traduire en vrai français par « lieux où les envahisseurs non francophones fraîchement débarqués se font enseigner un semblant de langue française ».

Au ministère, cette opération de propagande est classée parmi les « actions éducatives en faveur de la langue française »… alors que cela contribue, en réalité, à faire de notre langue un nouveau sabir et à abrutir un peu plus des envahisseurs déjà inaptes à s’intégrer dans leur propre société.

La nomination de Najat Belkacem à la tête de ce ministère de la Rééducation marxiste étonne-t-elle encore quelqu’un ?

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Les Français en ont marre de banquer pour « les pauvres » ! (par Marie Delarue)

16 Septembre 2014, 10:01am

Publié par Thomas Joly

Elle a 65 ou 66 ans. Encore toute fraîche, toujours pomponnée et bien mise, coiffeur et soins esthétiques une fois par mois. Voilà trois ans, elle s’est acheté une jolie « maison de ville » dans un quartier en hausse de l’Est parisien. Vivant depuis longtemps éloignée d’un époux architecte, cette retraitée de la fonction publique (employée de ministère) annonce en éclatant de son rire cristallin qu’ils ont enfin acté leur séparation, cela « tout à son avantage ». Femme « isolée » entrant maintenant dans la tranche des contribuables « acquittant un impôt sur les revenus soumis au barème inférieur ou égal à 2.028 € », elle bénéficie désormais des transports gratuits, de l’entrée gratuite dans de nombreux musées, de réductions sur les spectacles, clubs de gym et autres ateliers de poterie… À l’heure qu’il est, elle boucle son sac pour l’Italie : direction Lugano et le lac de Côme, avec… la mairie de Paris. Grâce à la Sécu, elle va aussi régulièrement « prendre les eaux » pour soigner son mal de dos, et peste contre la prise en charge insuffisante de ses frais de séjour. Elle vote à gauche, se plaint que la France ne veuille plus financer ou ait réduit le financement des études de ses petits-enfants qui fréquentent un lycée français de Californie. Exilés volontaires, je précise. Trouve ce gouvernement trop libéral.

Tout est vrai. Rien n’est exagéré, même en dessous de la vérité, sans doute. Alors je suis, moi aussi, comme bien des Français dont parle aujourd’hui Le Parisien, « de plus en plus sévère pour les pauvres ». Parce que cette dame, au regard de nos critères sociaux, fait étrangement partie des nécessiteux. Je, vous, nous lui payons donc ses transports et ses loisirs, ses soins de cure alors qu’elle court comme un lapin, sans doute un peu aussi son coiffeur. Peut-être son téléphone.

Relatant les résultats d’une étude du CREDOC, Le Parisien assure qu’en 2014 « l’opinion porte un regard plus sévère sur les chômeurs ou les bénéficiaires de minima sociaux ». Et d’ajouter : « Les Français interrogés sont de plus en plus nombreux à “craindre les effets déresponsabilisants des politiques sociales”. » C’est peu dire que les chiffres sont décoiffants : « 76 % des Français questionnés jugent “qu’il est plus avantageux de percevoir des minima sociaux que de travailler avec un bas salaire”. 54 % pensent que les pouvoirs publics font ce qu’il faut voire trop pour les plus démunis, et 53 % considèrent que “le RSA incite les gens à s’en contenter et à ne pas travailler”. Et les aides aux familles qui ont des enfants sont jugées largement “suffisantes” à 63 % contre… 31 % seulement en 2008. »

Scandaleux ! Injuste ! diront à juste titre les vrais pauvres, les vrais chômeurs, tous ceux qui voudraient bien mais ne peuvent point. Reste qu’on en connaît tous, de ces profiteurs à la bonne conscience comme la petite dame du dessus et ses cours du Louvre. Reste aussi que la tranche des contribuables au « revenu médian », ceux qui ont trop mais néanmoins pas assez, ceux qui cependant se retrouvent, eux, à devoir payer à plein leurs transports, la cantine des gosses, les loisirs du mercredi et de la semaine raccourcie, l’entrée à la piscine et au musée, ceux qui n’ont ni CMU ni AME ni APL, et pas la possibilité de se faire faire des dents aux frais de l’État, tous ceux-là en ont marre de banquer pour les autres. Qui ne paient ni les transports ni la cantine ni la piscine, etc. (voir ci-dessus).

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Rançons et otages : Obama gronde l’écolier Hollande (par Joris Karl)

16 Septembre 2014, 09:50am

Publié par Thomas Joly

Malgré tous ses efforts de fayot du premier rang, François Hollande vient de se faire rudement tancer par son maître Obama.

Les années de Gaulle, durant lesquelles la France ne recevait les remontrances de personne, sont bien loin. Pourtant, François Hollande est l’élève le plus consciencieux dans la flagornerie, prêt à vendre père et mère — et à ne pas vendre le Mistral — pour une bonne note. Mais il a fauté. Gravement. Et le prof, il était pas content. C’est le New York Times, bulletin scolaire de l’intelligentsia world, qui nous donne l’info.

Obama en a tout simplement assez que le gouvernement français continue de payer les rançons pour libérer les otages des islamistes. La ligne – pour le coup sanglante — des États-Unis est « on ne paye pas ». C’est aussi, officiellement, la ligne de tous les sarkollande qui se succèdent à l’Élysée. Mais – secret de polichinelle – tout le monde sait que la France paye les terroristes qui, en conséquence, ont compris le message : l’otage français est sonnant et trébuchant. Défendant une certaine cohérence stratégique, le président américain aimerait que ses alliés le suivent dans la voie du « no money ».

Évidemment, me direz-vous, si on devient par malchance otage de ces dégénérés, on vote Hollande illico. Mais on ne fait pas de la politique, et encore moins de la Weltpolitik, avec des sentiments humains trop humains. Face aux barbares, il ne peut pas y avoir d’autre choix que la répression féroce. Nous l’avons fait, sans pitié, avec les nazis. Pourquoi ne pas recommencer ?

De toute façon, les « musulmans radicaux », comme on dit, sont gagnants sur tous les plans. Soit ils empochent joyeusement l’argent déversé par des États faibles (près de 60 millions de dollars versés par la France depuis 2008 d’après le New York Times), soit ils répandent la terreur avec leurs vidéos d’éxécutions complaisamment diffusées par nos médias. La position de François Hollande et du gouvernement devient qui plus est intenable face au cancer islamique : en payant systématiquement les rançons, l’État français finance de facto les organisations terroristes.

En pleine contradiction, devant l’inquiétant phénomène des départs de Français au djihad, ce même État continue d’ouvrir à plein les vannes de l’immigration musulmane… et signe moult accords avec son ami qatari. Au même moment – diplomatie guignol –, il participe à la coalition anti-islamique et va bombarder l’Iraq. Cette politique qui part dans tous les sens va-t-elle durer longtemps ? On le saura quand viendra l’heure terrible des attentats dans Paris…

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Beauvais à l'heure arabo-musulmane

15 Septembre 2014, 18:05pm

Publié par Thomas Joly

Le week-end dernier à Beauvais s'est déroulé sous le signe de l'invasion et de la collaboration. Dimanche 14 septembre, c'est le jour que la communauté musulmane de Beauvais avait choisi pour la pose, en grandes pompes, de la première pierre de la Mosquée dont la construction devrait enfin commencer pour le plus grand bonheur des milliers de mahométans de la ville. Évidemment, élus de tous bords se pressaient dans une intense frénésie collaborationniste lors de la cérémonie. La mairesse UMP, Caroline Cayeux, a déclaré, l'oeil humide : « C’est un jour heureux. Un jour d’émotion » puis, dans un accès délirant de dhimmitude et de collaboration avec l'Islam, « Construire une mosquée, c’est un geste profondément républicain. Un geste moderne. »

Ce n'était sûrement pas un hasard si, la veille, l'association de femmes arabes et africaines, Destins de femmes, avait organisé un « souk » place Jeanne Hachette où se sont retrouvés pêle-mêle les mêmes élus ainsi que la très exotique Miss Beauvaisis 2014 et d'autres fatmas en tenue traditionnelle du Bled.

Le Parti de la France a déjà eu l'occasion d'afficher à Beauvais son message politique à destination des occupants et des promoteurs de la colonisation migratoire. Il se résume en un seul slogan sans aucune ambiguité :

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Déjeuner-débat avec Carl Lang dans le Morbihan le 27 septembre

15 Septembre 2014, 09:41am

Publié par Thomas Joly

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Le MEDEF prône la destruction de toutes les protections sociales des travailleurs

15 Septembre 2014, 09:31am

Publié par Thomas Joly

Dans un rapport d’une cinquantaine de pages, les nouveaux amis de François Hollande et Manuel Valls demandent au gouvernement la totale libéralisation du marché du travail. Si les propositions des oligarques étaient acceptées, les salariés seraient privés de nombreux droits : alors que le travail de nuit touche déjà un salarié sur sept et le travail le dimanche un sur trois, le MEDEF veut détruire encore plus les limitations en ce domaine. Le syndicat des grands patrons réclame également la suppression de plusieurs jours fériés, mais aussi la fin du salaire minimum et la hausse des seuils sociaux. Ces mesures permettraient de créer un million d’emplois ; avec des salariés exploités, mal payés, corvéables à merci, il est étonnant que de telles propositions d’esclavagisme ne permettent de créer qu’un million d’emplois. Ces mesures scandaleuses ont de quoi expliquer la « déclaration d’amour » de Manuel Valls aux oligarques lors de l’université d’été du MEDEF à la fin du mois août.

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Nouvelle affaire de viols par un gang de Pakistanais en Grande-Bretagne

15 Septembre 2014, 08:46am

Publié par Thomas Joly

Il y a quelques jours, la presse britannique révélait l’existence d’un réseau de trafiquants d’êtres humains – des jeunes filles blanches – dirigeait par et pour les Pakistanais et autres colons à Rotherham. Les innombrables crimes sexuels commis par les envahisseurs pakistanais contre les Blanches dans le pays sont une réalité connue depuis longtemps, même si elle a souvent été niée par les médias, les policiers, les autorités, qui la reconnaissent aujourd’hui. Mais les crimes commis par les étrangers continuent à alimenter la chronique des faits divers, sans émouvoir personne sur la guerre raciale menée par les étrangers contre les Blancs en Europe et particulièrement en Grande-Bretagne.

Un gang de Pakistanais est actuellement jugé pour avoir violé une enfant de 13 ans « recueillie » après une fugue. La jeune fille avait quitté son domicile du Yorkshire du Sud. Profitant de sa vulnérabilité et s’imposant à elle par la violence après lui avoir fait croire qu’ils lui apporteraient de l’aide, ils l’ont retenue captive durant une semaine, lui infligeant d’innombrables viols. L’enfant vendue comme « superbe », une « avenante et jolie fille », a été prostituée durant ce temps par Mohammed Shapal, Shakeal Rehman, Usman Ali, Bekir Rasheed, Yaseen Amini et un certain Shaz, qui n’a pas encore été identifié ni retrouvé. Comme la jeune fille refusait de se plier à l’ignoble volonté des envahisseurs, ces hommes lui ont infligé des violences physiques.

Après l’avoir violée à plusieurs reprises durant la première nuit de captivité, Mohammed Shapal a quitté la jeune victime pour aller « prier » dans une mosquée proche de l’endroit où elle était détenue.

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Platini acte la fin du football blanc ! (par Joris Karl)

14 Septembre 2014, 15:09pm

Publié par Thomas Joly

Le 15 mai 1985 se tint à Rotterdam, au stade de Kuip, une des dernières finales « blanches » du football européen : Everton (Angleterre) affrontait le Rapid de Vienne (Autriche). Sur la pelouse, une équipe 100 % britannique contre une équipe 100 % autrichienne, un Tchèque mis à part. Un autre monde. Même pas de pub sur les maillots. Un public viril, debout.

Trente ans plus tard, si on excepte l’Athletic Bilbao, club n’acceptant dans son effectif que les Basques de souche, pas un club ne dispute une compétition européenne sans joueur africain. L’étrange phénomène, le « quota noir », est devenu loi d’airain. Le championnat de France – véritable figure de proue en ce domaine – étant devenu une compétition africaine de seconde zone, peuplée de Maliens, Ivoiriens, Burkinabés et autres Camerounais interchangeables dont on peut bien se demander ce qu’ils apportent au football national, pourtant gorgé de talents locaux. Ainsi, un derby breton comme Rennes-Guingamp se transforme en match de Coupe d’Afrique, sous les regards gênés des spectateurs…

Cela ne suffit visiblement pas pour les instances supérieures du jeu : mercredi dernier, lors d’une énième conférence sur « le respect de la diversité », véritable obsession de l’UEFA (organisme qui dirige le football européen), le président Michel Platini a littéralement acté la fin officielle du football européen 100 %… européen : « L’Europe du foot de papa, mâle, machiste et blanche, c’est fini et ça ne reviendra pas. »

Avec cette formule stupéfiante – imaginez qu’un dirigeant de la NBA dise « que le basket-ball, mâle, machiste et noir, c’est fini » –, Platini voulait répondre aux dernières flambettes de racisme qu’a connues le football continental. Cris de singe sur certains stades, déclaration du président de la fédération italienne qui raconte qu’en arrivant dans la péninsule, un joueur noir « mangeait des bananes ». De quoi offusquer les garde-chiourme de l’antiracisme en costard. Ces kapos du racialement correct, on ne les entend pourtant guère quand le gouvernement d’Afrique du Sud décide – ces derniers jours – d’imposer officiellement un quota de noirs dans des équipes de rugby jugées trop blanches !

L’UEFA « ne tolère aucune forme de discrimination, raciale, culturelle, religieuse, sexuelle ou homophobe », a martelé Platini, ajoutant que « le chemin est long, parsemé d’embûches et d’oppositions sourdes ». Un peu sonné, en effet, par ce Grand Remplacement sur les terrains de foot, le supporter moyen, désespérément blanc, rejette parfois violemment ce qu’on veut lui imposer. Vouloir que les équipes européennes jouent avec des joueurs européens : le rêve, désormais interdit, de notre époque !

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Carl Lang : l'interview de rentrée du Président du Parti de la France

13 Septembre 2014, 10:01am

Publié par Thomas Joly

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