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Le blog politique de Thomas JOLY

Parrainages : un dispositif dévoyé

21 Février 2022, 11:22am

Publié par Thomas Joly

Parrainages : un dispositif dévoyé

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Sortie du nouveau numéro de Synthèse nationale

21 Février 2022, 07:32am

Publié par Thomas Joly

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Fabien Roussel, le candidat bolchévique, occupait un emploi fictif à l'Assemblée nationale selon Mediapart

21 Février 2022, 07:13am

Publié par Thomas Joly

 

L'article de Mediapart : https://www.mediapart.fr/journal/france/200222/l-assemblee-un-assistant-parlementaire-fantome-nomme-fabien-roussel

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Thomas Joly répond à vos questions - N°13 - 20 février 2022

20 Février 2022, 20:24pm

Publié par Thomas Joly

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Prise de parole de Jean-Claude Rolinat samedi 12 mars

20 Février 2022, 15:29pm

Publié par Thomas Joly

Prise de parole de Jean-Claude Rolinat samedi 12 mars

Jean-Claude Rolinat, membre du Bureau politique du Parti de la France, interviendra sur le rôle que doit retrouver la France sur la scène internationale lors de notre meeting samedi 12 mars.

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Les femmes européennes ne doivent jamais dire que leur violeur est africain

19 Février 2022, 11:01am

Publié par Thomas Joly

Voilà où en est l’Europe. On croyait en avoir fini avec les délits de blasphèmes, les vérités-dogmes dont la contestation entraînait, comme la remise en cause de la Trinité au temps de l’Inquisition, ou le catharisme et le protestantisme, l’excommunication voire le bûcher.

Et bien non, nous y sommes revenus, les vérités anthropologiques, scientifiques ou criminelles contraires aux vérités idéologiques des pouvoirs en place ne doivent pas être révélées.

Elles ne doivent d’ailleurs même pas être recherchées comme le montre ce qui vient d’arriver à un groupe de chercheurs suédois qui ont pu constater que les viols dans leurs pays sont en majorité commis par des importés, les fameuses pépites chéries des zélites européennes : « Le principal résultat de l’étude est que la majorité des violeurs condamnés en Suède sont des immigrés de première ou de deuxième génération ». « Après avoir étudié plus de 3 000 condamnations pour viol prononcées entre 2000 et 2015, les chercheurs ont fait une découverte frappante : la plupart des auteurs condamnés sont des immigrés ».

Mais ce résultat ne plaît pas à la doxa immigrationniste qui sévit en Suède, pendante de celle qui sévit également en France où pour tout régler à la base il est interdit de faire des statistiques ethniques : « Aujourd’hui, après la pression exercée par le Conseil d’examen de l’éthique, un procureur a lancé une enquête préliminaire et Kristina Sundquist risque d’être poursuivie pour sa découverte, celle-ci étant considérée comme contraire à l’éthique ». (Source)

Nous pouvons donc résumer l’éthique des immigrationnistes et des mondialistes ainsi : par définition les pépites sont des pépites, et toute découverte scientifique, anthropologique, comportementale ou statistique qui remettrait en cause ce statut dogmatique relève de la mort sociale.

Cette éthique-dogme non contestable des mondialistes droits-de-l’hommistes dont en France nous avons d’éminents spécimens représentés par une majorité de notre classe journalistique et politique qui font la doxa ambiante se décline par suite ainsi au-delà de la vérité indépassable de l’idolâtrie pépitale : les femmes qui se font violer par lesdites pépites doivent fermer leur gueule quant à la couleur ou au crépu de coiffure de leurs agresseurs, et vivre pleinement leur bonheur d’avoir été touchées (littéralement) par la grâce du multiculturalisme d’importation.

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Les instituts de sondage estiment enfin Eric Zemmour au 2nd tour !

18 Février 2022, 20:11pm

Publié par Thomas Joly

 

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Agnès Verdier-Molinié : « Nous sommes les champions du monde de la dépense sociale »

18 Février 2022, 17:54pm

Publié par Thomas Joly

Agnès Verdier-Molinié, directrice de la Fondation iFRAP, le think tank dédié à l'analyse des politiques publiques et laboratoire d'idées, traque depuis des années les dépenses inutiles, les fausses promesses et les politiques des gouvernants. Dans un livre très riche, documenté et chiffré, Le vrai état de la France, publié aux Éditions de l’Observatoire, elle veut donner aux Français qui s'apprêtent à choisir par leur vote le prochain président de la République les éléments indispensables à un choix éclairé. Pour Boulevard Voltaire, au moment où la candidature d'Emmanuel Macron aux présidentielles se dessine, Agnès Verdier-Molinié tire un bilan sévère des cinq années écoulées.

Le gouvernement se vante d’avoir traversé la crise et d’avoir permis à la France de rattraper le retard pris du fait de la crise sanitaire. Est-ce légitime, d’après vous ?

Ce que dit le gouvernement n’est pas faux : la croissance est très importante en 2021, il y a une baisse du taux de chômage et un déficit moins terrible que ce qu’on attendait pour 2021. Il y a aussi des investissements en France et des entreprises qui croissent et deviennent des licornes. Tant mieux ! Mais on ne peut pas seulement voir les bonnes nouvelles et fermer les yeux sur les moins bonnes. La question que nous nous posons tous, à la veille de l'élection présidentielle, est : où en est vraiment la France ? C’est à cette question que j’ai tenté de répondre dans mon livre en faisant un audit global de la situation de notre pays.

Selon vous, quelques bonnes nouvelles cachent une réalité bien plus difficile. Il y a, dites-vous, un décrochage de la France par rapport aux autres pays. Où ?

Nous ne produisons plus assez en France, comme le montre le chiffre terrible de notre balance commerciale 2021, avec plus de 84 milliards d’euros de déficit. Notre croissance est trop financée par la dépense publique. Entre 2020 et 2021, notre richesse nationale a augmenté de 170 milliards d’euros. Or, notre déficit public est d’environ 170 milliards d’euros. Notre croissance est financée à crédit. Nous produisons chaque année un peu moins de valeur ajoutée dans l’industrie que l’Italie… Et plus de moitié moins par rapport à l’Allemagne.

Emmanuel Macron sera-t-il le Président qui aura accumulé le plus de dette ?

La dette a augmenté sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy d’environ 600 milliards, sous François Hollande d’environ 400 milliards d’euros et le quinquennat actuel l’aura vu bondir d’environ 690 milliards. La France se rapproche de la barre des 3.000 milliards de dette, un montant gigantesque. Montant dont une bonne partie nous est prêtée par des investisseurs étrangers sans que l’on sache pour autant quelles sont les nationalités des principaux prêteurs de la France alors que cela a été demandé à plusieurs reprises par des parlementaires.

La France est passée au 23e rang sur le critère de la richesse par habitant…

Dans les années 1980, la France était onzième… C’est un décrochage important. De nouveaux chiffres récents disent d’ailleurs qu’on décroche encore plus. La France affiche 39.000 euros de richesse nationale moyenne par habitant. Les Allemands sont à 46.000 euros, et si on parle des pays du nord de l’Europe, on est plutôt autour de 60.000 euros. Nous sommes en train de nous rapprocher des pays du sud de la zone euro, qui sont plutôt à 25.500 euros par habitant. La France décroche donc de la zone cœur de la zone euro. Et ce, alors même que la politique accommodante de la BCE va bientôt prendre fin avec un risque non négligeable de remontée des taux sur les emprunts de la France.

Comment en sommes-nous arrivés là ?

En oubliant qu’avant de distribuer de l’argent public, il faut d’abord créer de la valeur ajoutée marchande, dans nos entreprises. L’État, la Sécurité sociale, les collectivités locales ne peuvent se financer que si les Français travaillent, les entreprises tournent, si l’on produit en France, si l’on exporte, etc. Donc, on a inversé les valeurs en pensant d’abord à dépenser de l’argent public avant de penser à produire de la richesse. Beaucoup de pays du nord de l’Europe ont fait ces erreurs mais ils se sont réveillés dans les années 1990 ou au début des années 2000. Les Hollandais, les Suédois ou les Allemands ont adopté des règles de bonne gestion publique (frein à l’endettement, par exemple) qui les ont amenés à dépenser moins et à se désendetter. Quand nous sommes autour de 114 % de dette par rapport au PIB, les Allemands sont autour de 70 %... En France, nous continuons de financer à crédit des dépenses de fonctionnement, ce que ne font pas nos partenaires européens du Nord.

Peut-on dater cette dérive ?

Cette dérive date du moment où à la fois les politiques et les gestionnaires publics se sont rendu compte que la dette augmentait mais que la charge de la dette baissait. Cela a commencé dès les années 1990 (1996 en volume) et cela s’est accéléré ensuite (2009 en valeur grâce à la politique monétaire expansionniste de la BCE). Nous nous sommes appuyés sur des taux d’intérêt très faibles pour emprunter beaucoup et à moindre coût en oubliant toute notion d’évaluation et de bonne gestion publique. Au début des années 2000, quand on alertait sur le fait qu’il fallait, comme dans les autres grandes démocraties, évaluer l’utilisation de chaque denier public, on nous répondait qu’il n’y avait aucune urgence à le faire car la dette montait mais la charge de la dette baissait ! Sauf que nous sommes dans un moment charnière, car le paradigme est en train de s’inverser suite à la crise sanitaire et au « quoi qu’il en coûte ». Le taux à 10 ans de la France était de -0,3 %, il y a un an ; il est de 0,77 % au 11 février 2022.

Contrairement à la France de Hollande et de Macron, les pays scandinaves ont fait de grands efforts.

Ces pays, l’Allemagne, la Suède, pendant des années, ont été des États-providence comme nous et, tout à coup, ils se sont aperçus qu’ils s’endettaient trop, que c’était risqué : ils ont fait machine arrière et ont dépensé moins, taxé moins. Ils ont revu leur manière de gérer et de produire. Par exemple, en Allemagne, on ne peut pas voter de loi sans savoir combien cela va créer d’emplois ou en détruire. Les Allemands évaluent aussi en permanence la charge administrative qui pèse sur les entreprises. En Suède, les socio-démocrates, en 2004, ont supprimé totalement la taxation sur les successions et les donations, pour garder leurs entreprises et leurs entrepreneurs en Suède, pour produire en Suède. Les Allemands conservent par tous les moyens leurs grosses PME exportatrices. Vous pouvez transmettre en Allemagne une entreprise sans payer d’impôts si vous vous engagez à conserver l’outil de production (capital et humain). Nous, nous sommes encore en train de produire des rapports publics pour dire qu’il faudrait taxer davantage les successions et les transmissions d’entreprises ! Alors que nous sommes déjà le pays le plus taxé de la zone sur les successions. C’est incroyable…

A quoi servent ces taxes ? L’État est défaillant sur la plupart de ses missions régaliennes…

Nos dépenses de protection sociale sont celles qui ont le plus dérivé. 32 % de notre richesse nationale, 800 milliards d’euros par an… Nous sommes les champions du monde de la dépense sociale. Comment accepter d’être le pays qui dépense le plus dans le social et de se retrouver avec plus de 300.000 SDF, 27.000 sans-abri environ, selon des estimations, et des quantités de travailleurs pauvres ? Je montre dans mon chapitre 27 que, selon les données OCDE, les travailleurs pauvres sont 3,7 % en Allemagne et 7,1 % en France… Comment arrivons-nous à dépenser autant pour de si mauvais résultats ? Nous qui sommes si taxés, comment peut-on accepter d’avoir de si mauvais résultats pour l’éducation, la santé, la lutte contre la pauvreté, l’insécurité ? Dans l’éducation privée sous contrat, beaucoup moins bien financée, les élèves de 6e maîtrisent mieux le français que dans les collèges publics. Sans oublier qu’un jeune sur 20 (Journée de la défense nationale en 2018) est illettré et un sur dix en difficulté de lecture alors même que la France dépense un point de PIB de plus en éducation. Ce n’est pas logique. Les citoyens français méritent un service public de qualité.

Quels atouts avons-nous pour rebondir ?

Nous avons tous les atouts si nous faisons le bon diagnostic et que nous mettons en œuvre les mesures qui marchent ailleurs ! Cela se résume à dépenser moins, taxer moins et travailler plus. Faire l’inverse de ce que nous faisons depuis quarante ans. Tout simplement. On part de tellement loin que cela ne peut qu’aller mieux. Nous avons 262 milliards d’euros de dépenses publiques supplémentaires par rapport à la moyenne de la zone euro hors France, et 140 à 150 milliards d’euros d’impôts en plus et 7 milliards d’heures travaillées en moins par an. La bonne nouvelle, c’est que les marges de manœuvre sont énormes. Il suffit qu’on en enlève un tiers ou la moitié et l’économie repartira à fond car la France est pleine de personnes formidables et courageuses, d’entreteneurs, d’indépendants, de salariés qui ne demandent qu’à relever les défis que nous avons devant nous. Nous devons d’urgence mettre à l’endroit notre modèle social pour qu’il ne soit plus désincitatif au travail. En dépensant 80 milliards d’euros de moins par an et en taxant 60 milliards de moins, on peut créer 2 millions d’emplois d’ici 2030 tout en baissant la dette et en équilibrant notre balance commerciale. On a fait croire aux Français qu’en travaillant moins, on allait créer plus de richesse. Il faut leur dire que c’était un leurre mais que la bataille n’est pas perdue. Loin de là.

Source : http://bvoltaire.fr

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Nathalie Arthaud a plus de 500 parrainages : la preuve par l’absurde de l’iniquité de cette loi !

18 Février 2022, 11:00am

Publié par Thomas Joly

Trois semaines avant la date limite de dépôt des parrainages validant les candidatures à l’élection présidentielle, Nathalie Arthaud, porte-parole du mouvement Lutte ouvrière depuis 2008, a recueilli 529 parrainages d’élus. Elle est actuellement créditée d’environ 0,5 % des voix, et ses résultats obtenus lors des précédents scrutins sont du même ordre : 0,56 % en 2012 et 0,64 % en 2017.

Pas de quoi révolutionner le paysage politique français que cette candidature d’inspiration trotskiste.

Néanmoins, à l’heure où Éric Zemmour et Marine Le Pen peinent à obtenir les leurs, alors qu’ils sont crédités de 15 à 17 % d’intentions de vote selon les sondages, cela a de quoi surprendre. Sans parler de la candidature de Jean-Luc Mélenchon, à l’extrême gauche cette fois-ci - donc dans le même camp politique que Nathalie Arthaud -, qui est crédité d’au moins 10 % d’intentions de voix : il ne dispose pour l’heure que de 370 parrainages. Il avait réalisé un score de 19,58 % des voix au premier tour en 2017.

Comment expliquer que, à chaque élection, Lutte ouvrière obtienne rapidement et sans problème ces fameux sésames ?

Plusieurs raisons à cela, non exclusives les uns des autres.

Interrogée sur France Info, ce 15 février, Nathalie Arthaud explique : « C’est notre implantation locale qui explique ces parrainages​. » Dans une interview accordée à Ouest-France en septembre dernier, elle racontait : « Nous ne nous satisfaisons pas de coups de téléphone ou de courriers envoyés en quantité. Nous nous déplaçons, nous allons discuter, nous allons nous expliquer […] C’est un vrai effort militant. »

Laurent-David Samama, spécialiste de la nébuleuse trotskiste, explique dans Marianne que Lutte ouvrière, qui n’a pourtant remporté que 16 élus aux dernières élections municipales, dispose d’un maillage territorial serré et de militants (plus que d’électeurs !) : « Lutte ouvrière est certes un petit parti, mais à la différence de nouvelles structures comme celle de Zemmour, ils connaissent le terrain, ils savent comment baliser le territoire pour obtenir des soutiens. C'est un vrai parti à l'ancienne, avec une hiérarchie et une discipline militaire. Chacun sait ce qu'il doit faire et la ferveur qui rassemble les militants frise le mouvement sectaire. »

Mais tout ceci n’explique pas entièrement pourquoi Nathalie Arthaud, mais aussi Jean Lassalle ou Fabien Roussel, dont les candidatures au regard des intentions de vote peuvent être considérées comme mineures, comme des candidatures de témoignage, ont aujourd’hui franchi la barre des 500 signatures.

Tout d’abord, ces candidatures ne représentent aucun danger. Mais c’est surtout la levée de l’anonymat des parrainages qui explique cette étrange différence entre eux et les candidatures de Marine Le Pen et, cette année, d’Éric Zemmour. Romain Pasquier, directeur de recherche au CNRS, donne quelques clés de compréhension dans un entretien à Ouest-France : « Même si elle [Nathalie Arthaud, NDLR] représente une opinion minoritaire dans l’espace politique, pour un élu local qui respecte le pluralisme démocratique, il y a nécessité que cette opinion soit représentée​. »

Il pointe, quelques lignes plus loin, sans voir l’incohérence : « Clairement, l’extrême droite fait plus peur dans l’opinion publique que l’extrême gauche. D’autres candidats ont plus de difficultés ​à se voir accorder un parrainage, qui pourrait être mal reçu par les électeurs. »

Le pluralisme, oui, mais pas trop quand même… surtout pour des candidatures qui seraient en position d’accéder au second tour !

On sait que cette loi, adoptée sous le quinquennat de François Hollande, levant l’anonymat des parrainages de candidats, est la principale responsable de la fébrilité des états-majors du Rassemblement national et de Reconquête. Cette loi doit être lue comme le deuxième volet du piège mitterrandien du cordon sanitaire, impératif moral catégorique visant – avec un certain succès depuis quarante ans - à empêcher toute alliance partisane avec l’extrême droite. Impératif moral, et piège, auquel le RPR, l’UMP puis les LR se sont toujours obligeamment pliés.

Il en va de même pour les parrainages : quel maire ne s’est pas refusé à parrainer un de ces deux candidats au motif de ce qu’il lui en coûterait, aussi bien en termes de relation avec ses électeurs qu’en matière d’aides et subventions diverses accordées par les communautés de communes, le département ou la région ?

Aujourd’hui, cette loi permet de maintenir en vie des partis moribonds comme le PS et d’empêcher une recomposition politique, à l’heure où la France n’a jamais été aussi « à droite ».

Marie d'Armagnac

Source : http://bvoltaire.fr

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Lettre ouverte de Wilfried Van Liempd, militant exemplaire, mis à l'écart par l'équipe d'Éric Zemmour

18 Février 2022, 07:23am

Publié par Thomas Joly

La politique politicienne amène son lot de couacs. De gros couacs parfois. Vous trouverez ci-dessous une tribune de Wilfried Van Liempd, sali par la presse mainstream en Loire-Atlantique, n’ayant jamais eu le droit de réponse, et à qui l’équipe d’Eric Zemmour n’a pas tendu l’oreille, cédant aux sirènes de la presse d’extrême gauche.

Je m’appelle Wilfried Van Liempd. Je suis militant politique, classé à « l’extrême-droite radicale » par mes adversaires et mes faux-amis. 

Je dirais que mon combat politique s’articule autour du refus de voir notre civilisation décliner et disparaître en ne faisant rien d’autre que le constater. 

Je considère donc sans à priori et sans idéologie que tout doit être tenté, que plusieurs types de présence et d’actions doivent se faire et que la seule sphère électorale, comme la seule protestation, comme de seules associations ne suffiront pas à emporter la décision, mais que ces différents types d’activités doivent rester en lien.

Militant identitaire passé au Front National par le SIEL, je me reconnaissais depuis de nombreuses années dans une grande partie des analyses du journaliste politique Éric Zemmour. 

Organisateur ou participant actif à la venue des auteurs ou acteurs de notre tendance politique au sens très large, j’ai eu l’occasion de croiser régulièrement la présence, parfois extrêmement hostile, de l’extrême gauche nantaise. 

Durant l’étrange campagne électorale municipale sur fond de menace épidémique de 2020, à laquelle j’ai participé comme directeur de campagne d’Eléonore Revel (RN), j’ai commencé à faire l’objet d’un ciblage d’une certaine presse, qui me désignait comme « encombrant », voire « sulfureux ». 

Particulièrement après notre présence remarquée à une manifestation anti-PMA tendue, à laquelle il me fut reproché d’être simplement là, aux côtés d’Eleonore Revel comme d’ailleurs de Sébastien Pilard. 

Comprendre par ces adjectifs disqualifiants, avoir été simplement présent à un certain nombre de manifestations, faisant face à l’invasion migratoire, dénonçant les attentats, les atteintes destructrices de la filiation et de la famille traditionnelle telles que l’extension de la PMA. 

Cela, en plus d’avoir donné la parole ou participé à l’organisation de la venue d’auteurs tels Laurent Obertone, Jean-Yves Le Gallou, Philippe de Villiers, Renaud Camus ou Éric Zemmour, entre autres. 

Il fallut également se défendre physiquement lors de la campagne municipale, le soir de la venue de Nicolas Bay, pour tenir la porte du meeting ouverte face aux mêmes milices agressives. Ce soir-là, pas de belles photos et pas d’articles à charge, mais un face à face tendu et  brièvement violent, sans intervention d’une police laissée trop longtemps à l’écart par les autorités. 

La presse politique militante de gauche, relai des organes militants locaux, a ainsi commencé à établir autour de mon engagement politique global, un « cordon sanitaire ».

Fin juillet, j’ai participé à une des manifestations anti-pass sanitaire, rejoignant quelques amis et connaissances, autour d’une banderole hautement polémique comme vous en jugerez : « tous unis contre le pass sanitaire ».

N’étant pas un idéologue obtus, je partage avec un certain nombre d’amis politiques, la volonté de participer aux rassemblements populaires spontanés ou non qui, eux aussi, tendent à défendre ce qui fait notre civilisation. Au delà de longues polémiques d’appareil ou de théorie politique, nous voyons clairement que la mise en place de moyens de contrôles renforcés de la population a été réalisée sous prétexte sanitaire, en introduction et imitation d’un modèle faisant hélas fortement penser à la dictature chinoise et à son système de crédit social. 

S’habituer à présenter une « autorisation » pour se déplacer, aller voir un film, dîner, ou bien pire, accéder aux soins est, au regard des hommes libres que nous entendons être, une atteinte à notre civilisation au même titre que la non reconduction à la non-frontière des non-réfugiés du monde entier, que l’introduction de la folle « culture Woke » à l’université ou à l’école, ou que la reconstitution de peuples parfois hostiles, avec leurs propres codes, dans certains de nos quartiers.

Mal nous en a pris d’être présents à cette manifestation de juillet, ou un important groupe d’ultra-gauche, dans l’incapacité de franchir le rideau de police menant à la préfecture, a préféré se retourner vers notre groupe, manifestant en famille, avec femmes et enfants pour beaucoup. 

Après avoir encaissé les assauts plusieurs minutes en reculant vers la sortie de la place Foch à Nantes, et pensant pouvoir partir sans trop de casse, nous avons constaté que deux personnes de notre groupe s’étaient retrouvées coincées en haut de la place côté Château, l’une à terre sous les assaillants, l’autre menacée d’être jetée par dessus le mur. Sans concertation, notre petit groupe est remonté les secourir, et c’est à ce moment que je suis pris en photo, bâton télescopique de défense (BTD) à la main. Ce retour surprise réussi, nous avons récupéré nos camarades d’infortune et sommes partis pour de bon, sans être poursuivis par nos assaillants, aux prises avec une intervention de la police. 

Les photos, diffusées dans les médias d’ultra-gauche, furent relayées, et la presse locale me demanda ma version des faits. 

L’émoi médiatique me valut d’avoir à expliquer ma présence et ma possession de BTD aux services de police, chose aisée face aux multiples armes par destination, bâtons, morceaux métalliques d’échafaudages brandis et projetés par nos assaillants et aux menaces personnelles continuellement reçues, y compris par écrit. Les vidéos, sans appel, permettent d’entendre les hurlements de nos détracteurs, criant « tuez-les » en voyant les deux malchanceux submergés, avant que nous ne revenions les chercher. 

Je considère avoir été ce jour en légitime défense, (fuite et réponse proportionnée) et pour ces photos qui me valent d’être à nouveau « sulfureux », en assistance à personne en danger. 

Certains m’ont donc reproché ma présence ici, comme d’autres avant, aux manifestations contre des squats, ou dénonçant les agressions sexuelles et autres commises par divers clandestins recueillis. 

Comme je l’ai expliqué plus haut, je ne crois pas que nous puissions éluder le constat général d’une crise profonde de la démocratie représentative, dont une des manifestations est l’abstentionnisme, auquel j’ajouterais la non-inscription sur les listes électorales.

Le dégoût de nos concitoyens pour les professionnels de la politique, les clientélismes, les affaires de corruption et les reniements des élus une fois aux affaires n’est plus à démontrer. 

Entre être au contact du pays, ne pas être « hors-sol », être de ceux qui participent et refusent d’attendre sans rien dire pendant des années, ou bien être de ceux qui s’emballent le temps d’une élection, puis se rendorment de nouveau en constatant que ce qu’ils craignent et dénoncent continue d’advenir, quel doit être notre choix ? 

Et pourquoi les deux liés ne seraient-ils pas, au contraire, le signal d’une classe politique nouvelle surgissant d’un peuple refusant une représentation politique devenue caricaturale des défauts intrinsèques de la démocratie représentative, tiède et soumise aux pressions d’une bien-pensance médiatique omniprésente. 

Rousseau lui-même ne disait-il pas que cette démocratie représentative, par rapport à la démocratie directe des Grecs antiques, était un oxymore ?

«  Si donc le peuple promet simplement d’obéir, il se dissout par cet acte, il perd sa qualité de peuple. »

Ainsi, les dérives sont-elles arrivées à des points culminants, telle une maladie auto-immune s’attaquant à son propre organisme, ainsi le gouvernement peut-il s’en prendre aux associations défendant la frontière comme principe (Génération identitaire), l’aide aux siens les plus démunis ( L’Alvarium ), et les mettre sur le même plan que des associations visant à promouvoir le communautarisme étranger et religieux sur notre sol, pourvoyeur de sécession étrangère, de protection de la délinquance organisée et de terrorisme. 

Dans le même temps, malades d’eux-mêmes et de leur prétendue image, on peut voir des élus du parti dit national, tel monsieur JP. Fillet, voter au conseil régional des subventions aux associations aidant notoirement les immigrants clandestins , telles le secours populaire ou le secours catholique, en cœur avec les tièdes majorités entendant gérer le déclin de notre pays, envahi et déclassé, et oubliant au passage que ces subventions sont les impôts des gens qui les ont élus. 

Qui, dès lors, nous représente ? Qui pose un problème d’image sinon celui qui trahit ses électeurs ? 

Pour avoir porté ces combats civilisationnels au plus près de notre peuple, dans la rue comme dans les urnes, j’ai, ou plutôt nous avons fait l’objet d’attaques physiques, suivies de procès médiatiques voulant nous faire passer pour les agresseurs, sans avoir la chance, nous, d’être sous « protection policière ». 

Je préfère cette prétendue mauvaise image à la honte infinie qu’aurait été de laisser des gens se faire massacrer par ces milices haineuses. 

Un militant nazairéen du RN fit d’ailleurs les frais de ces miliciens, en défendant Gauthier Bouchet lors d’un tractage en marge des dernières échéances électorales, et le paye encore aujourd’hui dans sa chair. 

Si dès lors que l’on se défend en défendant ses idées on est disqualifié pour la mauvaise image induite, il suffit donc à nos adversaires de nous attaquer pour régner sans partage, ce dont ils usent déjà allègrement. 

J’ai participé à la structuration du mouvement autour de la candidature d’Eric Zemmour depuis la mi-août en Loire-Atlantique.

Relevé de mes fonctions départementales par Sébastien Pilard, à l’image plus lisse, très récemment, et du fait de ladite image, je prends acte tout en restant convaincu que la candidature d’Eric Zemmour est une chance inespérée pour notre pays et je reste acteur à un autre niveau de la campagne et de la suite du mouvement Reconquête.

Et si le discours est sincère, et si nous en appelons aux grandes figures du passé qui ont, tour à tour bâti et défendu notre pays, et si nous en appelons à Jeanne d’Arc et aux Poilus, et si nous nous référons à ceux qui se sont, au long de l’histoire, levés contre la fatalité, pour faire de même aujourd’hui, alors nous trouverons tous, courageusement, notre place dans ce combat dépassant nos petites personnes. 

« Mon Dieu, gardez-moi de mes amis ! Quant à mes ennemis, je m’en charge ! »

Wilfried Van Liempd

Source : http://breizh-info.com

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Pierre Cassen prendra la parole le 12 mars à Paris

17 Février 2022, 20:54pm

Publié par Thomas Joly

Pierre Cassen prendra la parole le 12 mars à Paris

Le 12 mars prochain, lors du meeting organisé par le Parti de la France à Paris, Pierre Cassen (Riposte Laïque) prendra la parole sur un thème qui lui est cher : le refus de l'islamisation de la France.

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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen - N°653

17 Février 2022, 13:50pm

Publié par Thomas Joly

Sujets abordés : le communiste Fabien Roussel, l'inénarrable Christiane Taubira, le poids lourd Jean-Luc Mélenchon, le médiocre Yannick Jadot, la désespérante Valérie Pécresse, le très lucide Éric Zemmour, le sortant Emmanuel Macron, Marine Le Pen.

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Marine Le Pen ne pouvait plus mal gérer les cas Ravier et Bay

16 Février 2022, 11:20am

Publié par Thomas Joly

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Jadot, les Juifs, les Blancs et la République

16 Février 2022, 10:57am

Publié par Thomas Joly

« Juif de service ». Yannick Jadot n'a pas mâché ses mots, sur Radio J, au sujet d'Éric Zemmour. Les patriotes issus de l'immigration ont l'habitude d'être traités d'Arabes de service ou de harkis par d'autres immigrés qui haïssent la France. Des Français noirs sont parfois qualifiés de nègres de maison par d'autres Noirs que leur amour de la patrie indispose.

Mais Yannick Jadot n'est pas juif. Que voulait-il dire ? Que Zemmour utilise ses origines comme un totem d'invincibilité ? Probablement. C'est non seulement maladroit - pour le moins - mais encore injuste, puisque cette judéité pose justement problème à nos amis diversitaires, qui ne manquent pas une occasion de faire de ce trait une insulte.

Peut-être le fait qu'il parle sur Radio J, radio communautaire juive, lui a-t-il donné des ailes. Peut-être pense-t-il que les Juifs de France haïssent Zemmour, eux aussi, et qu'on peut les manipuler comme un seul homme. Passons.

Il n'y a pas que les « mauvais juifs » que M. Jadot n'aime pas. Invité, ce 15 février, sur Beur FM (décidément, ce goût des médias communautaires...), il s'exprimait sur Zemmour, une fois encore, et déclarait, au sujet de ses meetings, qu'il n'y avait « que des Blancs ».

Alors là, on flippe. Des Blancs. En France, en 2022. Et attendez : QUE des Blancs. La haine, quoi. La bête immonde. On doit rentrer la tête dans les épaules, sur Beur FM.

C'est faux (évidemment), que ce soit au niveau des cadres ou des militants, mais cela pose une petite question. Comment appelle-t-on quelqu'un qui compte les Blancs, dans un meeting ? Un raciste, non ? Et comment appelle-t-on quelqu'un qui renvoie un Juif à ses origines ? Un antisémite, peut-être ?

Le temps arrive où appartenir au camp du bien ne suffit plus.

Arnaud Florac

Source : http://bvoltaire.fr

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Meeting du 12 mars : intervention de Roland Hélie

15 Février 2022, 18:29pm

Publié par Thomas Joly

Meeting du 12 mars : intervention de Roland Hélie

Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale, interviendra lors du meeting organisé par le Parti de la France samedi 12 mars à Paris.

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