Dans les pays arabes, de confession
musulmane, les réactions populaires obéissent à un dicton : « Si tu es mouton, je suis lion, Si tu es lion, je suis mouton ». Là se situe le fossé énorme qui sépare deux civilisations,
deux cultures, deux religions. Jésus Christ a dit : « aimez-vous les uns les autres » Mohamed a dit : « tuez les non musulmans ».
Alors mes amis fermer les yeux, les oreilles et la bouche comme les petits singes chinois ne fera qu’aggraver la situation et conduire notre peuple vieux de 1 500 ans et notre religion, vieille
de 2 000 ans, à leur disparition car « les barbares sont dans la cité ».
Des exactions sont journellement commises par les nouveaux arrivants, qu’ils soient maghrébins, africains, gitans ou autres.
Nous avions déjà nos criminels mais ils respectaient certaines règles, ne pas attaquer les forces de police par exemple. Pour les nouveaux criminels, ce n’est plus le cas et, bien au contraire,
les forces de police sont attirées dans des guet-apens meurtriers, les patrouilles sont, de façon systématique, caillassées, les policiers blessés et ils ont déjà subi des tirs d’armes à feu
allant jusqu’à l’utilisation d’armes de guerre.
La réaction des pouvoirs publics à cette dangereuse montée des périls est
inquiétante.
Le Président de la République et son gouvernement se contentent de déclarations incendiaires jamais suivies d’effet et les forces de police ont reçu l’ordre d’épargner de leurs contrôles, les
quartiers de non droit, ceux où règnent les petits caïds vendeurs de drogue, d’armes et d’objets volés.
Ces mêmes forces de police ont reçu l’ordre de ne pas riposter, en cas d’attaque physique sur leur personne.
A quoi donc servent les armes dont ils sont dotés s’ils ne peuvent pas s’en servir pour riposter en cas de « légitime défense » ?
Ce droit essentiel du citoyen a été inversé par des pouvoirs publics aussi lâches qu’incompétents.
Pour les malfrats le droit est devenu « légitime attaque des forces de police » et même de tout homme qui porte un uniforme tels que pompiers, facteurs, contrôleurs.
Avez-vous vu un inspecteur du fisc ou du travail faire un contrôle dans ces quartiers ?
Mais toute cette chienlit est aggravée par
l’attitude du pouvoir judiciaire qui se porte au secours des criminels arrêtés en les condamnant à des peines dérisoires et en les libérant dès la fin de l’audience malgré leur condamnation.
Pourquoi donc un multirécidiviste bénéficie-t-il du sursis total ou partiel alors que cette disposition n’est prévue qu’en faveur des délinquants primaires ?
Des C.R.S doivent se mettre en arrêt maladie pour montrer à nos dirigeants l’ampleur de leur malaise.
Le second braqueur du casino d’Uriage, à peine arrêté est libéré par le juge des libertés. Les syndicats de policiers protestent mais le mal est fait, le criminel est libre de recommencer et de
disparaître dans la nature. Il ne sera jamais jugé.
Les mises en liberté inconsidérées, notamment
de pédophiles, mettent en danger la vie de nos concitoyens, surtout des plus faibles, nos enfants et nos vieux.
Le racket, la violence, les incendies de voitures ne sont jamais réprimés pas plus que les vols de deux roues car il ne faut plus poursuivre les voleurs.
Deux criminels torturent un citoyen pour le voler, avec menace d’être égorgé. Ils risquent 30 ans de prison et le tribunal des bienfaits ne les condamne qu’à 4 ans de prison, dont un et deux ans
de sursis, alors qu’ils sont tous deux multirécidivistes.
Le tribunal a-t-il voulu encourager la racaille ?
Oui mes amis, nous sommes tous en danger et le moment est venu d’unir nos forces, nos volontés pour mettre fin à ces dérives dangereuses pour notre sécurité.
Une initiative sera prise prochainement et nous devrons y répondre en masse pour ne pas périr séparément.
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