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Le blog politique de Thomas JOLY

Le Forum du Parti de la France fait sa rentrée jeudi 7 septembre !

6 Septembre 2023, 18:45pm

Publié par Thomas Joly

Le Forum du Parti de la France fait sa rentrée jeudi 7 septembre !

Jeudi 7 septembre, le Forum du PdF fait sa rentrée ! Alexandre Hinger reçoit pour l'occasion Bruno Hirout et Yvan Benedetti.

L'émission sera consacrée aux événements marquants du mois d'août et traitera également de l'actualité politique.

C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram : https://t.me/partidelafrance

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Plus que les déterminismes sociaux, l’égalitarisme est facteur d’inégalités

6 Septembre 2023, 05:30am

Publié par Thomas Joly

L'égalité des chances n'existe pas à la naissance. Les déterminismes sociaux sont une réalité à laquelle il est difficile d'échapper. Les conditions de logement, l'environnement culturel et familial, le quartier où l'on habite, l'école où l'on est affecté peuvent influer sur la réussite scolaire d'un enfant. Les enfants de milieux défavorisés sont-ils donc condamnés à l'échec ? Ils ne le seraient pas si l'école n'avait pas renoncé à sa mission d'instruction, d'émancipation et de promotion sociale.

Sur France Culture, le sociologue Bernard Lahire a souligné que le rapport au livre et à la lecture, dès la petite enfance, est déterminant. Au demeurant, si l'on en croit des recherches récentes, la numérisation et le survol en ligne sont, pour tous, des obstacles à une lecture sérieuse. Mais quand des parents ne parlent pas le français ou ne savent pas ce qu'est un livre, quand l'enfant n'a pas d'endroit pour faire ses devoirs ni personne pour lui donner des explications, il paraît évident qu'il a plus de mal à progresser dans ses études. 

L'école, précisément, devrait remédier à ces inégalités sociales en apportant aux enfants ce qu'ils ne peuvent trouver dans leurs familles. Aucun élève, s'il a du talent, ne devrait pâtir de sa condition sociale. Chacun se souvient de Louis Germain, qui intervint auprès des parents d'Albert Camus pour les convaincre de lui faire poursuivre ses études au lycée d'Alger. On prétend que l'école s'est démocratisée, mais il y a 50 ans, les enfants d'ouvriers ou de paysans étaient plus nombreux qu'aujourd'hui dans les filières sélectives.

La méritocratie abandonnée

Le problème, c'est qu'on a abandonné l'idéal républicain de l'école, ce qu'on n'ose même plus qualifier de méritocratie, de peur de passer pour un horrible réactionnaire. L'égalitarisme a tellement perverti les esprits qu'il est interdit de laisser entendre qu'il pourrait y avoir de bons et de mauvais élèves. Les bourses scolaires sont distribuées indifféremment, les classements, les compositions trimestrielles ont disparu, les devoirs à la maison sont proscrits. Pis encore : on a renoncé à l'exigence pour ne pas pénaliser ceux qui réussissent moins bien que les autres.

Il ne s'agit pas, comme l'avait déclaré Vincent Peillon, dans une formulation pour le moins contestable, « d'arracher l'élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel » – il y avait quelque chose de totalitaire dans son propos –, mais de corriger des inégalités pour permettre à tous les élèves studieux, quel que soit leur milieu d'origine, de développer leurs talents et de tendre vers l'excellence. En aidant matériellement et en accompagnant tous les élèves méritants.

Sirènes égalitaristes

La plupart des gouvernements, depuis des décennies, à gauche comme à droite ou au centre, ont cédé, par démagogie ou par idéologie, aux préjugés égalitaristes. Le doublement d'une classe est proscrit, on met en place, sous différentes appellations, des « programmes personnalisés de réussite éducative » pour faire semblant d'agir, on pratique une fuite en avant en remettant à la classe suivante le soin de remédier aux lacunes précédemment accumulées, on fonce dans le mur...

Les gens au pouvoir se gargarisent de belles intentions, proclament que chacun doit avoir sa chance, feignent de croire que le système éducatif fonctionne. Dans les faits, c'est à chaque famille de se débrouiller, de trouver les bons tuyaux, les bonnes filières, les bons établissements. Ceux qui disposent de moyens matériels et de réseaux y arrivent mieux que d'autres. Les fils à papa ont toujours existé, ils se sont juste donnés « la peine de naître », comme disait Figaro. Mais beaucoup d'enfants sont laissés pour compte, parmi lesquels combien de Mozart assassinés !

Philippe Kerlouan

Source : http://bvoltaire.fr

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La Cour de cassation contre la vérité historique sur le Maréchal Pétain

5 Septembre 2023, 18:19pm

Publié par Thomas Joly

La Cour de cassation contre la vérité historique sur le Maréchal Pétain

La Cour de cassation a décidé, ce jour, de casser la décision de la Cour d’appel de Paris qui avait relaxé Éric Zemmour du délit de contestation de crime contre l’humanité, pour avoir déclaré que le maréchal Pétain avait « sauvé des Juifs français» . Quand bien même le Maréchal n'a jamais été condamné pour crime contre l'humanité.

Nous saluons une nouvelle fois le courage d'Éric Zemmour sur cette question. Le Président de Reconquête ne fait d'ailleurs que rappeler l'avis de nombreux historiens, notamment juifs, qui estiment que le maréchal Pétain fut « l’élément principal qui explique comment 75 % des Juifs de France ont survécu » (Alain Michel, historien, juif et rabbin).

Nous rappelons que le Parti de la France est favorable à l'abrogation de toutes les « lois mémorielles », souhaitant que les historiens puissent travailler en toute liberté et indépendance, sans risques de poursuites judiciaires, afin de réviser ou non l'Histoire dans la recherche de la vérité, ce qui est le métier même d'historien.

Maxime Leroy - Délégué général adjoint du Parti de la France

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La victoire de la horde de rats sur le lion isolé

5 Septembre 2023, 05:12am

Publié par Thomas Joly

La victoire de la horde de rats sur le lion isolé

Pour la poignée de citadins privilégiés et socialement domestiqués qui fait grandir ses gosses à l’abri du chaos, Chalureau est un plouc raciste doublé d’un imbécile, le vestige d’un passé qu’ils abhorrent.

Pour les classes populaires de province que leur condition sociale a assigné à résidence dans la France Libanisée, cette affaire n’est qu’un fait divers totalement banal, une simple scène de leur vie quotidienne.

Dans la cour de l’école, dans la rue, dans les rames de métro, sur les terrains de sport, et jusque dans les bals de nos campagnes les plus reculées, le face à face prophétisé par Gérard Collomb a déjà commencé, entre des communautés qui ne partagent rien et ne veulent pas vivre ensemble.

Il n’y a ni gentils ni méchants, ni héros ni salauds.

Le petit blanc Bastien Chalureau et le descendant d’immigré Yannick Larguet sont les victimes collatérales de 50 ans de libéralisme post soixante-huitard qui a plongé une génération entière de Français dans l’enfer du multiculturalisme et le poison de la violence inter communautaire.

Jérémy Bouhy

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Présidentielles : au secours, Édouard Philippe revient !

5 Septembre 2023, 05:05am

Publié par Thomas Joly

À peine Emmanuel Macron réélu, le bloc du centre et de la droite se cherche déjà un nouveau héraut pour l’élection présidentielle de 2027. Édouard Philippe serait, paraît-il, le nouvel élu... par les sondages seulement, en attendant que les électeurs confirment ou non leurs pronostics. À en croire celui publié dans l’édition dominicale du Parisien, l’ancien Premier ministre serait donc en tête des enquêtes d’opinion.

Ainsi séduirait-il 33 % des sondés, sur l’ensemble du corps électoral, contre 30 % pour Marine Le Pen. Quant aux sympathisants de droite, ils seraient 60 % à lui apporter leurs suffrages, contre 40 % à la même Marine Le Pen. Quoique tout cela puisse sembler un brin précipité – cette élection n’aura lieu que dans quatre ans –, on voit bien ce qui hante le sommeil du monde médiatico-politique : la possible arrivée au pouvoir de Marine Le Pen.

Tous obsédés par Marine Le Pen

David Doukhan, rédacteur en chef du service politique du Parisien, affirme ainsi : « Pendant ce temps, Marine Le Pen gagne du terrain, élection après élection. Et la gauche est pour l’instant dominée par La France insoumise dont le programme et la stratégie sont si clivants. Par conséquent, le centre droit, masse électorale modérée, importante et stable, est un enjeu décisif. Qui pour en devenir le champion ? »

Qui ? Édouard Philippe, pour les tenants d’une alliance allant du centre gauche à la droite. Ou encore Gérald Darmanin, pour ceux qui opteraient plutôt pour une union censée réunir la droite et le centre droit, sans négliger les électorats macroniste et zemmourien, tel que théorisé par Nicolas Sarkozy. Bref, cinquante nuances de macronisme, censées incarner un « bloc élitaire » ou « bourgeois » contre le « bloc populaire » des « laissés-pour-compte », histoire de reprendre la phraséologie mariniste.

Faire du neuf avec du vieux

Mais pour redonner vie à ce « bloc », encore faut-il faire semblant de faire du neuf avec du vieux. Ce qui paraît assez jouable pour le ministre de l’Intérieur, sorte de sous-Nicolas Sarkozy, en un peu moins distingué, et qui, dans ce sondage, n’attirerait que 17 % du corps électoral et 44 % des sympathisants de droite, l’est déjà nettement moins dans le cas d’Édouard Philippe.

Car l’homme censé incarner le nouvel espoir centriste n’est pas neuf : Jeanson-de-Sailly et ENA, avocat d’affaires pour des cabinets internationaux et membre éminent de la French-American Foundation, soit l’un de ces Young Leaders formatés par le soft power américain. L’un de ses camarades de promotion n'est autre qu'un certain Emmanuel Macron.

Le bon élève du système…

Politiquement, l'itinéraire de Philippe est tout aussi classique. Militant rocardien, il rallie Alain Juppé, devient l’un des membres fondateurs de l’UMP avant de faire un détour chez François Fillon, qu'il lâchera pour le même Emmanuel Macron.

Tenu pour faire partie du lobby nucléaire français, Édouard Philippe n’hésite pas, en tant que Premier ministre, à faire fermer la centrale de Fessenheim. Ce qui ne l’empêchera pas, en tant que maire du Havre, d’empêcher la fermeture d’une centrale à charbon en 2017. On n’oubliera pas, non plus, qu’il fut l’un des responsables de la jacquerie des gilets jaunes, s’entêtant à imposer la limitation à 80 km/h sur les routes nationales, à rebours de l’Élysée qui voyait en cette mesure un diktat vexatoire. La répression qui a suivi, avec ses cortèges d’yeux crevés et de mains arrachées, fut encore menée sous sa responsabilité. De même, entre autres titres de gloire, qu’une réforme avortée du système des retraites, en 2020, finalement adoptée au 49.3, précédant ainsi les coups de force d’Élisabeth Borne.

Le confinement lui permet encore de montrer toute l’étendue de sa versatilité. Le 13 mars de la même année, il assure, sur TF1, que « le port du masque est inutile en population générale », avant de se raviser. Tout comme il reconnaîtra avoir « évolué sur la question de la PMA », alors qu’il était contre, quelques années plus tôt.

Voilà donc celui qui serait le champion de la droite et du centre droit pour 2027 ! Ses électeurs se laisseront-ils plumer une fois de plus ?

Nicolas Gauthier

Source : http://bvoltaire.fr

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Benoît Saint-Denis, un héros français

4 Septembre 2023, 05:32am

Publié par Thomas Joly

Benoît Saint-Denis, dit BSD, dit « God of War », a écrasé sans difficulté le Brésilien Thiago Moises, le 2 septembre 2023, à l'UFC (Ultimate Fighting Championship) Paris. Il entre ainsi dans le Top 15 mondial des combattants de MMA, et ce n'est probablement pas fini. Intéressons-nous un instant à ce héros français.

À ceux des lecteurs de BV qui ne connaîtraient pas le MMA, un rappel liminaire s'impose. Sous cet acronyme, qui désigne les arts martiaux mixtes (« Mixed Martial Arts »), c'est la réinterprétation d'une forme très ancienne d'engagement total : le pancrace grec, discipline des Jeux olympiques (les vrais, ceux d'Olympie), mêlait déjà percussion et sol, plusieurs siècles avant Jésus-Christ. C'est un sport de combat dans lequel presque tous les coups sont permis. La France a longtemps interdit le MMA sur son sol, croyant (à tort) que ce sport était plus violent que la boxe anglaise ou thaïlandaise, et puis, en septembre 2022, une compétition a finalement eu lieu pour la première fois à Bercy, sur le sol de France.

L'un des combattants présents ce jour-là - et probablement le plus atypique d'entre eux - est entré dans l'octogone sur la musique des commandos. Le public a chanté « La Marseillaise » pour lui. Son nom est Benoît Saint-Denis. On croirait un pseudonyme de royaliste, mais c'est bien comme ça qu'il s'appelle. Il a servi quatre ans comme opérateur au 1er RPIMa, l'un des trois régiments des forces spéciales de l'armée de terre, celui qui conduit les actions antiterroristes, puis est devenu combattant professionnel de MMA. Il compare volontiers le déluge de coups reçus et donnés dans la cage à l'adrénaline des opérations sous le feu. Benoît Saint-Denis a trouvé sa voie et prolonge ainsi son rêve d'enfant : vivre une vie chevaleresque.

Il faut dire en effet que l'un des côtés les plus originaux de ce combattant, ce sont ses valeurs philosophiques et même religieuses. L'ancien opérateur SAS porte, sur ce corps qui est son outil de travail, trois tatouages riches de sens : une croix de templier sur le cœur, une dague Fairbairn-Sykes (celle de la Seconde Guerre mondiale, à l'origine des SAS français) sur le triceps et, depuis sa victoire à Paris l'an dernier, sainte Jeanne d'Arc sur le dos. Assez peu commun, on peut le dire. Admirateur d'Hélie de SaintMarc, de Napoléon et du capitaine Danjou (le héros de Camerone), Benoît Saint-Denis parle sans détour de la France, qu'il aime, mais aussi de sa foi et de sa vie de prière. On se pince pour y croire. Citons ses propos exacts : « La foi se met en place de manière journalière, et pas que le dimanche à l’église. Prier, ce n’est pas chronophage, c’est surtout un bonheur pour l’homme. » Voilà. Tout simplement.

A l'exception de sa pratique d'un sport de combat violent, Benoît Saint-Denis n'a rien pour intéresser les grands médias : il est français de souche, fils de militaire, militaire lui-même. Il a servi la France et il est patriote. Il n'a ni la bonne couleur de peau ni la bonne religion pour être ce que la télévision appelle « un exemple pour la jeunesse ». Et pourtant, quel modèle ! Désormais, quand on vous parlera de Mbappé ou je ne sais qui, répondez en évoquant cet homme qui est, selon ses propres termes, « du côté chevaleresque du un contre un ». Un chevalier dans une époque qui a oublié la chevalerie. Longue vie à BSD, et qu'il aille au sommet au nom de la France !

Arnaud Florac

Source : http://bvoltaire.fr

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Lâcheté, inculture et propagande : une prof lève le voile sur l’école de 2023

3 Septembre 2023, 17:31pm

Publié par Thomas Joly

Puisque c'est bientôt la rentrée, l'occasion faisant le larron, intéressons-nous à ce que l'on apprend désormais à l'école. Demandons-nous ce que nos chères têtes (de moins en moins) blondes entendent toute la journée, ce qu'on leur fait dire, écrire et même penser. Comme pour nous épargner un fastidieux travail de recherche, la décidément excellente Judith Waintraub relaie, dans Le Figaro, de larges extraits de La Grande Garderie, un livre qui semble très prometteur, écrit par Lisa Kamen-Hirsig, une enseignante qui a tout vu et nous le fait partager. Alors, allons-y !

L'idéologie semble être, sans surprise, la base de tout. L'Éducation nationale fournit les grands sujets : sexualité et écologie sont au cœur du projet. Dans le domaine de l'éducation sexuelle, on commence dès le CP et on demande ensuite à des enfants de huit ans (dont le propre fils de l'enseignante) d'imaginer qu'ils changent de sexe. Au concours de professeur des écoles, on pose la question suivante : « En classe de moyenne section, vous remarquez que les garçons jouent aux voitures et les filles à la dînette : comment résolvez-vous ce problème ? » Parce qu'évidemment, il y a un problème là-dedans. On demande aux élèves de réécrire une histoire caricaturale, et totalement inventée par l'Éducation nationale, dans laquelle un père et son fils regardent le foot à la télévision pendant que la mère et sa fille préparent des crêpes. Sous prétexte de l'impayable « lutte contre les stéréotypes de genre », on fait donc n'importe quoi. Il n'y a guère d'autre terme. Dans le domaine de l'écologie, on fait des « jeux de rôle » pour négocier pendant une COP. Les élèves y jouent des militants d'ONG, avec des consignes tellement claires que, sur une fiche de poste pour les grandes personnes, cela semblerait très directif : « En tant qu’ONG, vos revendications en faveur de la nature peuvent paraître irréalisables aux yeux des autres participants. Les États pourront vous reprocher d’oublier leurs enjeux économiques (compétitivité et emplois). Pour légitimer vos propos, vous devrez donc vous appuyer sur votre expertise scientifique et votre expérience des négociations internationales. Vous aurez également un regard critique sur les conclusions de la négociation en produisant un compte rendu sur les mesures prises. » Quand on fait les questions et les réponses, comment cela s'appelle-t-il ? L'URSS, peut-être ?

Voilà pour le fond idéologique. Passons au contenu des programmes. Évidemment, rien de contraignant, pas de discipline à l'ancienne, pas d'apprentissages fondamentaux. En classe de première (!), on trouve les injonctions infantilisantes suivantes, dans une liste intitulée Ma petite planète scolaire, au chapitre « biodiversité » : « réaliser la posture du lion en yoga et en profiter pour méditer cinq minutes » ou encore « faire un câlin à un gros arbre (un dont tu ne peux pas faire le tour avec les bras) ». Les plus petits ne sont pas épargnés, rassurons-nous. Ainsi, entre le CP et le CE2, « cycle des apprentissages fondamentaux », on trouve la matière « questionner le monde », qui reprend peu ou prou les vocables ringards d'histoire, géographie et sciences naturelles. Curieux, vous direz-vous peut-être, de questionner le monde en général au lieu de poser des questions concrètes à des adultes précis, qui vous donneront des réponses, imparfaites peut-être mais du moins réelles. Elle est comme ça, l'Éducation nationale. Plus c'est abstrait, mieux c'est. Moment de sabir issu du programme, choisi parmi mille autres : « Utiliser et produire des représentations de l’espace. »

On termine ce consternant florilège par la dernière couche de vernis : fascination idiote pour le numérique et le ludique (avec la fin des tableaux noirs, la transformation de tout en jeu sans conséquence, etc.), couplée à une lâcheté totale du corps enseignant. Lisa Kamen-Hirsig raconte que deux harceleurs qu'elle avait punis, et dont elle avait demandé l'exclusion, ont été couverts par le proviseur, qui a refusé de les renvoyer pour ne pas avoir d'ennuis avec le rectorat.

Voilà, en somme, ce qui attend nos enfants ou nos petits-enfants à l'école de la République. Pour ceux qui en seraient atterrés, il y a toujours la solution adoptée par des élites qui savent très bien ce qu'elles ont fait et agissent en conséquence : mettre ses propres enfants dans des écoles privées exigeantes qui appliquent des méthodes intemporelles. Ainsi de Pap Ndiaye avec l'École alsacienne - comme tant d'autres avant lui. Ou alors, au hasard des listes de classe, il y a la possibilité de tomber sur un professeur passionné qui serpente entre les oukases académiques pour transmettre son savoir avec passion. Bon courage à tous les parents, bonne rentrée à tous les enfants ! La vie est un combat, si on veut, mais l'instruction ne devrait pas être une lutte.

Arnaud Florac

Source : http://bvoltaire.fr

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Scandaleuse interpellation d'Yvan Benedetti !

3 Septembre 2023, 10:41am

Publié par Thomas Joly

Scandaleuse interpellation d'Yvan Benedetti !

Samedi 2 septembre, alors qu'il venait, accompagné de militants, rendre hommage à Pierre Sidos, figure du nationalisme décédée il y a 3 ans, Yvan Benedetti a été scandaleusement interpellé au cimetière de Thiais par la police politique de Gérald Darmanin ; la préfecture ayant interdit la veille cette commémoration.

L'engeance gouvernementale a donc décidé de fixer l'oppression jusqu'à nous empêcher d'honorer nos morts.

Le Parti de la France adresse tout son soutien à Yvan Benedetti dans cet énième acharnement politique à son encontre.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Non-lieu pour les gendarmes dans l'affaire Traoré !

1 Septembre 2023, 18:05pm

Publié par Thomas Joly

Non-lieu pour les gendarmes dans l'affaire Traoré !

La justice a prononcé un non-lieu en faveur des trois gendarmes impliqués dans l'affaire du délinquant Adama Traoré, mort en juillet 2016 à la suite de son interpellation par des gendarmes à Beaumont-sur-Oise, dans le Val-d'Oise, selon une ordonnance des juges d'instruction.

Ça fait donc 7 ans que la smala Traoré excite les banlieues afro-maghrébines contre les forces de l'ordre et la France en général pour que, finalement, la justice admette au bout du compte que ces mythomanes ont raconté n'importe quoi depuis le début.

Remigration prioritaire pour toute cette racaille ! Rendons au Mali ses forces vives !

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Les petits Français encore beaucoup trop blancs pour la mafia antiraciste !

1 Septembre 2023, 05:00am

Publié par Thomas Joly

Mardi 29 août, le ministère de l'Éducation nationale avait pourtant opté pour une valeur sûre en décidant de confier à des élèves le soin d'actualiser, dans un anglais hésitant, le célèbre « I Had a Dream » de Martin Luther King, dont on fêtait le 60e anniversaire de la mort. Chacun des enfants exposait ses propres rêves. Rien de bien original, évidemment : les rêves formatés de ces enfants de la République auraient pu être rédigés par des scénaristes de France Télévisions. Inclusion, climat, égalité, planète... Il ne manquait qu'une fresque réalisée en graffiti, évoquant Nelson Mandela, ou une ribambelle de jeunes filles levant le poing devant une photo de Simone Veil, et on avait fait le tour du programme de l'enseignement secondaire.

Hélas, trois fois hélas, il y avait un problème - que des internautes vigilants ont immédiatement dénoncé avec la délicatesse propre aux réseaux sociaux. Un problème choquant : tous ces enfants - j'espère que vous êtes assis - étaient blancs. Vous imaginez ça, en France, en 2023 ? On ne cesse de nous dire qu'il y aura, en 2070, autant d'extra-Européens que de Français de souche, et les profs continuent à nous montrer des Blancs ? Une blague ! Dominique Sopo lui-même, le si bien nommé président de SOS Racisme, y est allé de son petit commentaire : « Grâce au choix des élèves dans ce clip, le ministère de l'Éducation nationale montre que "I Have a Dream" reste d'une criante actualité. Comme disait Martin Luther King, "je rêve qu'un jour, les petits garçons noirs et les petites filles blanches pourront se donner la main". »

Toujours plus de diversité

On ne peut qu'aller dans le sens de Dominique Sopo, et de Martin Luther King. Le problème, c'est que le racisme n'est pas uniquement le comportement des Blancs vis-à-vis des Noirs. Reprocher aux autres leur couleur de peau est un sujet transverse, comme on dit.

Derrière ce déferlement de haine contre des élèves blancs qui pensaient pourtant (ainsi que leurs profs) avoir coché toutes les cases du politiquement correct - qui pensaient « se faire aimer » en récitant la vulgate républicaine -, il y a autre chose. Quelque chose de bien plus grave. On ne se contente plus de demander des efforts aux Français de souche (tout en disant qu'ils n'en font jamais assez): on veut qu'ils disparaissent. Tout simplement. De la diversité jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus. Ce n'est peut-être pas ce que Martin Luther King avait en tête...

Arnaud Florac

Source : http://bvoltaire.fr

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Abayas : comment influenceurs et élèves musulmans organisent la fronde

31 Août 2023, 05:05am

Publié par Thomas Joly

J-5 avant la rentrée scolaire. Si, l’an passé, le manque de professeurs – qui reste un problème majeur de l’Éducation nationale - et les inquiétudes sur la pédagogie de Pap Ndiaye avaient occupé l’essentiel des débats, la rentrée 2023 est placée sous le signe de l’abaya. Gabriel Attal, qui prend ses marques rue de Grenelle, a annoncé, ce 27 août, son intention d’interdire le port de l’abaya (longue et ample tunique communautaire) au sein des établissements scolaires. Une annonce confirmée lors de sa traditionnelle conférence de presse de rentrée... au grand dam de l’extrême gauche. Depuis, des jeunes femmes musulmanes, poussées sur les réseaux sociaux par des prédicateurs et influenceurs, s’encouragent à braver l’interdiction.

Fronde des jeunes filles sur les réseaux sociaux

Avec ce mot de ralliement, #Faistarentréeenabaya, très présent sur les réseaux sociaux, des jeunes filles assument leur intention de contourner l’interdiction de porter une abaya pour se rendre en cours. « Imaginez que toutes les jeunes femmes viennent en abaya à la rentrée, commente l’une d’elles sur X (ex-Twitter). Ça serait un échec pour Gabriel Attal… » Une autre ajoute, sur le réseau TikTok : « On devrait toutes aller en abaya à la rentrée, juste pour leur montrer qu’on n’est pas soumise. […] Faut pas se laisser faire. » Une troisième a bien l’intention de défier sa direction, le 4 septembre prochain, jour de la rentrée des classes : « Maintenant, on ne baisse plus la tête ! », surenchérit-elle aussi sur TikTok. Les jeunes frondeuses espèrent être nombreuses afin de rendre difficile, voire impossible, la mise en œuvre de cette interdiction vestimentaire. « Ils ne pourront pas toutes nous virer », se rassure ainsi l’une d’elles, toujours sur le réseau TikTok.

D’autres, sans doute moins téméraires, partagent des conseils pour contourner la nouvelle législation : « Mets une chemise large sur ton abaya », suggère l’une de ces collégiennes à sa comparse. « Achète ton abaya dans une marque de grande distribution, comme ça, ils ne pourront pas dire que ce n’est pas laïc », commente une autre.

Sans le savoir, ces jeunes adolescentes sont en réalité les instruments d’une stratégie d’entrisme islamiste au sein de l’école. Si elles apparaissent si motivées, c’est qu’elles peuvent compter sur le soutien d’influenceurs et de prédicateurs reconnus sur les réseaux sociaux. À la tête de ce mouvement de fronde informel, on trouve ainsi Elias d’Imzalène, un influenceur communautaire connu pour ses positions sulfureuses. Cet « artiste », comme il aime à se définir, multiplie les appels à la « résistance » depuis l’annonce de Gabriel Attal. « Je pense qu’il est temps que les petites sœurs montrent qu’elles ne sont pas leurs jouets, écrit-il, sur son compte X (anciennement Twitter). Il faut porter l’abaya et le hijab. Rosa Parks n’aurait pas fait autrement. » Contrairement à 2004, où les provocations contre la loi d’interdiction des signes religieux ostentatoires au sein de l’école n’avaient eu que peu de conséquences, Elias d’Imzalène avertit, au micro d’Europe 1 : « Cette fois, elles seront nombreuses et déterminées. […] Elles ne se soumettront pas. »

Maelys, une influenceuse communautaire qui compte plus de 310.000 abonnés sur TikTok, s’engage dans le même combat. Elle encourage, elle aussi, ses « sœurs » à « aller à l’école en robe longue ». Tous ces influenceurs appellent à la « désobéissance civile ». Plus subtilement, des imams, dont Ismaïl, imam de la mosquée des Bleuets à Marseille - qui a déjà fait parler de lui à de nombreuses reprises –, crient à l’islamophobie. Une stratégie victimaire efficace pour mobiliser des adolescents avides de combat.

Des directeurs d'établissement optimistes

Face à cette fronde, certains directeurs d’établissement se sentent souvent impuissants. « L’application et la mise en œuvre de cette décision vont être difficiles à faire respecter dans certains établissements », confie ainsi un proviseur au micro d’Europe 1. Mais le Syndicat national des personnels de direction de l'Éducation nationale (SNPDEN), contacté par BV, se montre davantage confiant. « Nous attendions une décision, nous répond le SNPDEN. Nous saluons le courage de Gabriel Attal qui a pris une décision claire et courageuse. » À quelques jours de la rentrée, Didier Georges, proviseur et secrétaire national de ce syndicat, nous assure que les directeurs sont dans l’ensemble optimistes. « S’il y a des craintes, elles ne sont pas exprimées », constate-t-il. Et d’ajouter : « Quand on regarde ce qu'il s’est passé en 2004, on voit bien que les frondes et manifestations qui nous avaient été promises n’ont pas eu lieu. » Le SNPDEN mise donc sur le bon sens des élèves et de leurs familles pour respecter la nouvelle règle. Un sentiment partagé par le Syndicat des directrices et directeurs d’écoles (S2Dé), qui compte sur un « dialogue constructif » avec les familles.

Ces directeurs d'école attendent la note de service qui devrait être délivrée par le ministère de l'Éducation nationale dans le courant de la semaine : indispensable pour connaître les moyens concrets mis à leur disposition afin de faire respecter cette interdiction.

Clémence de Longraye

Source : http://bvoltaire.fr

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Donnons un avenir aux enfants blancs

30 Août 2023, 18:43pm

Publié par Thomas Joly

Donnons un avenir aux enfants blancs

Voici en avant-première un nouveau visuel du Parti de la France qui sera décliné en affiche et en autocollant.

Il est de notre devoir de laisser à nos enfants autre chose qu'un dépotoir du Tiers-monde où ils se feront violer ou égorger.

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Explosion de la taxe foncière pour que les collectivités puissent continuer à se goinfrer

30 Août 2023, 05:38am

Publié par Thomas Joly

Explosion de la taxe foncière pour que les collectivités puissent continuer à se goinfrer

L'explosion de la taxe foncière dans la plupart des communes de France était prévisible.

Il fallait bien se douter que les collectivités allaient compenser, à l'euro près, la suppression de la taxe d'habitation. Celles-ci n'ont d'ailleurs pas l'intention de se serrer la ceinture en réduisant leurs investissements ou leurs effectifs pléthoriques de fonctionnaires territoriaux.

C'est donc sur les propriétaires, considérés comme des nantis, que s'abat un nouveau matraquage fiscal pour entretenir une bureaucratie locale dispendieuse et maintenir l'assistanat social généralisé.

Le Parti de la France en finira avec les trop nombreuses collectivités territoriales qui coûtent une fortune aux Français pour une efficacité nulle ; de même, la taxe foncière sera radicalement réduite et encadrée par l'État afin de d'empêcher tout racket local.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Emmanuel Macron : les patrons ne le croient plus

30 Août 2023, 05:16am

Publié par Thomas Joly

La Rencontre des entrepreneurs de France (LaREF) se déroulait lundi et mardi à Longchamp. Organisée par le MEDEF, cette cinquième édition de l’université d’été des chefs d’entreprise français a débuté dans une atmosphère rendue pesante par l’annonce du report de la suppression de la CVAE (cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises). Patrick Martin, président du MEDEF, n’a pas dissimulé son mécontentement. Le gouvernement rassure tant bien que mal, promet qu’il « n’y aura pas de hausse d’impôt ». Et pourtant... Si « pour les entrepreneurs, demain ne meurt jamais », selon l’intitulé de l’édition 2023 de la REF, hier montre que la pression fiscale laisse nombre de sociétés sur le carreau.

Explosion des défaillances

Car les chiffres des défaillances d’entreprises en France ont connu une forte hausse lors du deuxième trimestre 2023. Dans une étude publiée le 12 juillet dernier, le cabinet spécialisé Altares dénombre un total de 13.266 procédures de liquidation, redressements judiciaires et procédures de sauvegarde ouvertes devant les tribunaux de commerce, du 1er avril au 30 juin. Un record : ce chiffre n’avait pas été atteint depuis 2016.

Il bondit de 35 % par rapport au deuxième trimestre 2022 et dépasse les niveaux d’avant la crise du Covid. « Les activités à destination des consommateurs sont les plus durement sinistrées : restauration rapide, alimentation générale, coiffure, réparation et vente de véhicules », détaille Thierry Millon, le directeur des études Altares.

Deux signaux négatifs noircissent particulièrement le tableau : le nombre de liquidations judiciaires, plus fréquentes, et l’augmentation des défauts de grands acteurs. En 2022, 7.212 liquidations judiciaires directes ont été comptabilisées. Un an plus tard, on en dénombre 9.370, soit une augmentation de 29,9 %. Pour Thierry Millon, ces données « illustrent la profonde détresse financière des entreprises qui font défaut actuellement ».

Cette détresse ne concerne pas seulement les petites structures. Certes, « plus de 9 procédures sur 10 concernent des TPE, dont les trois quarts sont immédiatement liquidées », mais les derniers chiffres dévoilent une inquiétante tendance : la fragilisation de sociétés plus importantes, comptant plus de 10 salariés. Cette année, au second trimestre, le défaut de PME et ETI (entreprises de taille intermédiaire, NDLR) a bondi d'environ 55 %, tandis que la hausse de procédures concernant les TPE affiche 33 %. Plus de 1.100 PME et ETI ont ainsi fait défaut, « du jamais-vu depuis plus de 10 ans ».

Un patronat fragilisé

Ces défaillances d’entreprises impactent les emplois. Au deuxième trimestre 2023, la moyenne décennale de 42.609 emplois menacés par trimestre a été enfoncée, avec une hausse de 82,3 % qui porte ce chiffre à 55.700. Le seuil des 55.000 emplois menacés n’avait « pas été approché depuis le deuxième trimestre 2014 ». Derrière ce désastre, combien de drames humains ? Au premier semestre, 25.296 patrons ont perdu leur emploi (+36,6 % sur un an), rapporte Le Parisien. La plupart se retrouvent sans emploi puisque, selon Anthony Streicher, président de l’association GSC, « moins de 1 % des chefs d’entreprise ont mis en place un plan B ». De quoi décourager l’entreprenariat.

Le patron de la start-up nation en quête d'unité

N'est-ce pas un Président pro- business qui avait été élu en 2017 ? De nombreux chefs d’entreprise s'étaient félicités de l’arrivée, à l’Élysée, de l’ancien banquier d’affaires qui se proposait de faire de la France une start-up nation, compétitive et performante sur le marché mondial. D'ailleurs, depuis cinq ans, le sommet Choose France, rendez-vous instauré par Emmanuel Macron pour vanter l'attractivité du pays et défendu à Versailles dans un langage managérial bien rodé, donne à voir un Président attentif aux patrons. Dans son allocution télévisée diffusée lors de la REF, Emmanuel Macron appelait, lundi, à l'unité : « J'ai besoin de vous ! » Mais le charme semble rompu.

Jean de Lacoste

Source : http://bvoltaire.fr

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