Claude Askolovitch souhaite qu’une musulmane voilée présente le JT de 20h
Ce journaliste gauchiste de confession juive, obsédé par la colonisation de la France, ne va tout de même pas jusqu'à demander la même chose pour le JT israëlien...
Président du Parti de la France
Ce journaliste gauchiste de confession juive, obsédé par la colonisation de la France, ne va tout de même pas jusqu'à demander la même chose pour le JT israëlien...
L’objection de conscience est la conséquence symétrique de l’arbitraire de la loi, lorsque celle-ci abstrait un droit fondamental en heurtant la conviction de l’individu. De la même
manière que la loi IVG (17 janvier 1975) ne peut pas faire disparaître l’humanité de l’embryon tué, ménageant pour cela l’objection de conscience des professions médicales, le mariage de deux
personnes de même sexe ne peut pas annuler le droit de l’enfant à sa filiation naturelle. Pour cette raison et d’autres de nature religieuse ou philosophique, Il en résulte un droit à l’objection
de conscience des officiers de l’état civil.
Forts de
cette conviction, les maires pour l’enfance ont déposé un recours au Conseil d’État le 2 juillet 2013 pour demander l’annulation de la circulaire du Ministre de l’intérieur relative aux sanctions
encourues par les officiers d’état civil qui refusent de marier deux personnes de même sexe. Ce recours est assorti d’une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) adressée au conseil
constitutionnel.
Selon le collectif, la circulaire et la loi Taubira auraient dû prévoir les modalités de mise en œuvre de la liberté de conscience reconnue par le préambule de notre constitution et plusieurs traités internationaux, comme s’y était engagé le Président de la République lors du congrès des maires.
7 maires sont signataires du recours : Franck Meyer, Jean-Michel Colo, Xavier Lemoine, Jean-Yves Clouet, Phlippe Brillault, Clotilde Lebreton et Michel Villedey. Mais
plus de 200 officiers d’état civil se sont associés à la démarche en adressant un mémoire en intervention.
Dénonçant les pressions inouïes et insoutenables dont font l’objet les officiers d’état civil, comme en ont témoigné Xavier Lemoine et Jean-Michel Colo, les maires ont par ailleurs appelé au respect de tous – les maires qui marient, et ceux qui refusent de marier – et demandé solennellement au ministre de l’Intérieur un moratoire des pressions et sanctions sur les officiers d’état civil, en attendant les décisions du Conseil Constitutionnel et du Conseil d’État.
Le collectif des maires a également annoncé que d’autres recours seraient bientôt
déposés, notamment sur le nouveau modèle de livret de famille, qui n’est conforme au modèle de livret de famille international reconnu par la « Convention concernant l’échange international
d’information d’état civil, signée à Neufchâtel le 12 septembre 1997 » et ratifiée par la France. Par prudence, le collectif des maires pour l’enfance invite les officiers d'état civil à
utiliser l’ancien modèle et les citoyens à exiger l’utilisation de cet ancien modèle.
La France libre se lève et soutient ses braves : vive les maires pour l’enfance qui osent affronter l’arbitraire du parti intérieur.
Ce 5 juillet à Oran, alors que le prétendu « cessez-le-feu » était en vigueur depuis 3 mois, suite à la trahison gaulliste, se déroule une chasse aux Blancs visant les malheureux
qui n’avaient pas encore eu le temps de quitter les lieux.
« On égorgea, on tua au revolver ou à la mitraillette, on prit des rues en enfilade, tuant tout ce qui bougeait.
On pénétra dans les restaurants, les magasins, les appartements, assassinant les pauvres gens avec des raffinements de cruauté, arrachant des yeux, coupant des membres. On vit même des femmes musulmanes dépecer des vivants avec les dents. »
Bilan : 3 000 morts et disparus.
Le pire, dans cette histoire, est que 18 000 soldats français étaient stationnés à Oran. Ils reçurent l’ordre de l’infâme général Katz de rester cantonnés dans leurs casernes, sans intervenir. Katz téléphona à De Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre. Le chef de l’État répondit « ne bougez pas ». Lire la suite
Tribune
libre
13 individus noirs ou maghrébins, s'estimant victimes de contrôles policiers intempestifs et injustifiés, ont mercredi « porté plainte contre l'État et le Ministère de l'Intérieur ». Pas moins.
Leurs avocats s'appuient sur une enquête de 2009 de l’Open Society Justice Initiative (émanation de la Fondation George Soros, comme par hasard) menée à Paris avec le CNRS (donc avec l'argent public) qui révèle qu'un Noir a de 3 à 11 fois plus de chances d’être contrôlé par la police qu’un Blanc et un Maghrébin de 2 à 15 fois plus.
C'est sûrement vrai, et alors ? Peut-être, pour
obtenir un meilleur éclairage, aurait-il fallu pousser ces statistiques ethniques - illégales en France me semblait-il - au niveau des délinquants et criminels qui surpeuplent nos prisons ?
Comme Éric Zemmour l'a dit, même s'il a été scandaleusement condamné pour avoir rapporté cette évidence, « Pourquoi sont-ils contrôlés 17 fois ? Parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes ! » Hé bien oui, dans notre République « métissée et populaire » (dixit Hollande), Africains, Nord-Africains, Roms et autres gitans sont sur-représentés dans les établissement pénitentiaires.
Alors comment reprocher aux forces de l'ordre, dans un souci d'investigation préalable tout à fait légitime, de contrôler plus souvent les papiers de racailles allogènes qui squattent
un hall d'immeuble plutôt que ceux de mamies en tablier qui nettoient leur trottoir ? Dans ce cas-là, les propriétaires de vieilles voitures pourraient eux-aussi se plaindre de faire plus souvent
l'objet de contrôles routiers que ceux possédant des voitures neuves. Et si en plus le conducteur de l'épave est un Arabe ou un Noir...
Et puis les contrôles
de police, ça ne devrait pas inquiéter les honnêtes gens non ? Tout comme l'installation d'une pointeuse dans une entreprise ne dérange pas ceux qui font leurs heures.
En outre, on notera que depuis quelques mois, la police de Manuel Valls tente avec zèle de renverser la tendance en ciblant prioritairement les jeunes blancs catholiques opposés aux parodies de mariages entre invertis. Contrôles systématiques, rétentions arbitraires, interpellations musclées, gazages généreux, on ne lésine sur rien. Même les juges participent à l'effort gouvernemental en condamnant à de la prison ferme des opposants politiques pacifiques.
Alors que répondre à nos pauvres allogènes atrocement discriminés et outragés par les contrôles policiers ? Comment atténuer leur souffrance psychologique face au racisme supposé des forces
de l'ordre ? Hé bien il existe une solution très simple : qu'ils retournent dans leur pays d'origine, qu'ils se barrent de cette France raciste qui les persécute et les stigmatise, qu'ils se
cassent !!!
Les autorités françaises avaient interdit
mardi à l’avion qui ramenait le président bolivien Morales vers son pays, de traverser notre espace aérien. Evo Morales avait du faire demi-tour vers Vienne et y patienter 13h, avant de pouvoir
repartir.
Motif ? La clique d’Hollande avait peur que l’avion ne transporte Edward Snowden, le consultant de la NSA qui a révélé le scandale de l’espionnage massif par les États-Unis de tout un tas de pays. Les USA veulent récupérer Snowden pour trahison, et celui-ci cherche un pays où se réfugier.
Les socialistes sont d’habitude peu sourcilleux
de qui traverse ou envahit le territoire national.
Mais surtout, qu’est-ce qui pouvait bien justifier ce grave et exceptionnel affront envers le président bolivien ? La France n’était-elle pas censée être furieuse du traitement que lui ont réservé les agences de renseignement américaines ?
En réalité, même si Hollande dit dans les interviews qu’il n’est pas content (pour un peu, il bouderait…), il montre là à quel point il est inféodé aux États-Unis…
Jack Lang vient d’être entendu, dans
la plus grande discrétion, par la Brigade de protection des mineurs de Paris, suite aux propos de Luc Ferry, qui avait accusé un « ancien ministre » de parties fines avec des
mineurs. Luc Ferry, ancien ministre de l’Education, avait lancé ces accusations en juillet 2011 sur le plateau du Grand Journal de Canal+. Il avait déclaré : «Vous avez un épisode qui est
raconté d’un ancien ministre qui s’est fait poisser à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons. Probablement ici, nous savons tous de qui il s’agit ». Des
rumeurs fâcheuses concernant les mœurs de Jack Lang courent depuis des années. Interrogé dans le plus grand secret, l’ancien ministre de la Culture se défend en évoquant « une histoire à
dormir debout». Des journalistes, des diplomates, des policiers auraient été interrogés sur le sujet. Mais pas d’indices, pas de preuves. Du coup, le dossier a été classé sans suite…
Après l’annonce par le président Obama, en février 2013, du lancement d’un
marché transatlantique, les événements se sont accélérés les 17-18 juin lors de la réunion du G8 en Irlande du Nord. Avant de rentrer à Washington, le président américain a fait un détour, comme
par hasard… à Berlin afin de régler avec la chancelière Merkel les derniers points permettant l’assujettissement du Vieux Continent aux financiers de Wall Street. La France n’oppose plus
de résistance. Des secteurs étant plus égaux que d’autres, nos responsables politiques n’hésitent pas à sacrifier des pans entiers du patrimoine (industrie, agriculture, secteur public,
environnement, normes sanitaires…) à l’exclusion de la sacro-sainte « exception culturelle ». Nos artistes ont beau se proclamer « citoyens du monde »,
l’ouverture a ses limites.
Tant pis pour l’ouvrier de Michelin ou l’agriculteur de
l’Aveyron : ils devront goûter aux joies des normes transatlantiques standardisées made in USA appelées à être les références pour le monde entier. C’est le point clef de l’affaire.
Sans oublier les droits de douane en voie d’évaporation qui vont décapiter des secteurs clefs de notre industrie et de notre agriculture. Il s’agit d’appliquer à toutes les strates des sociétés
occidentales des mesures calquées sur les intérêts et les normes régissant le modèle américain. Ces normes édictées par l’activité intense des lobbies anglo-saxons à Bruxelles reposent toutes sur
le principe du libéralisme le plus effréné. Cette situation n’est que la conséquence d’un long travail fait en amont. Lire la suite
Réuni lundi à la demande de François Hollande, le Comité
consultatif national d’éthique s’est penché sur la question de la « fin de vie », et notamment du « suicide assisté ». À la majorité de ses membres, il a
exprimé des « réserves majeures » et recommande « de ne pas modifier la loi actuelle » en matière de suicide assisté, « considérant que le maintien
de l’interdiction faite aux médecins de provoquer délibérément la mort protège la personne en fin de vie ». Ce même jour, François Hollande en visite dans un hôpital du Morbihan a
annoncé un nouveau projet de loi sur « la fin de vie » avant la fin de l’année, afin de « compléter et améliorer » la loi Leonetti.
« Compléter et améliorer »… On voit ça d’ici. La vérité est qu’en dépit de l’avis circonspect du CCNE et autres éminences grises courtoisement sollicitées — un avis purement « consultatif » —, la machine est déjà en branle. Les propositions de campagne « tenables » par le gouvernement sont trop rares pour qu’il puisse s’offrir le luxe de les laisser de côté. Voici donc venir à pas feutrés l’euthanasie pour tous.
La technique est éprouvée : on fait appel à des sages, on fait assaut de
prudence, on pose des garde-fous que l’on jure, dur comme fer, inamovibles. Parallèlement, on invente un nouveau champ sémantique aux effets sédatifs (l’euthanasie devient « accélération
de la fin de vie » ou « acte létal compassionnel ») et l’on dresse un décor propre à vous tirer les larmes : combien de Vincent Humbert cloués dans leur lit de
douleur, de Chantal Sébire au faciès d’Elephant Man va-t-on voir instrumentalisés dans les prochains mois ?
Vient ensuite le temps de l’accusation : qui êtes-vous, qui galopez comme des lapins de garenne et ne souffrez d’aucune disgrâce, pour refuser égoïstement à moins chanceux que vous le droit de mourir dans « le respect et la dignité » ? (Qui étiez-vous, il y a quelques mois, féconds hétéros, pour refuser la joie de se marier et d’enfanter à des homos ?) Quand l’émotion aura porté le coup de grâce à la raison, la partie sera gagnée. Ou pas.
Car il n’est pas impossible que ceux qui se sont, ces dernières semaines, battus comme des braves pour les droits de l’enfant rejoignent ce nouveau front. Mieux organisés. Moins
naïfs. Plus « conscientisés ». Pour les droits des vieillards et des malades, cette fois. Pour que personne ne fasse sauter le premier verrou de cette boîte de Pandore que
serait le suicide assisté. Pour libérer les mots de « respect » et de « dignité » confisqués par l’hypocrisie. Ne sont-ils donc pas dignes, ces vieillards,
ces grands malades qui ont le courage d’aller jusqu’au bout du chemin ? Le premier respect que nous leur devons n’est-il pas de les entourer, et, lorsqu’ils nous demandent
« d’abréger leurs souffrances », d’abréger vraiment leurs souffrances — et non leur vie — par des soins palliatifs plus efficaces et développés ?
Au centre du débat sur l’euthanasie, il y a la valeur de la vie : d’absolue, elle devient relative. Certaines fins de vie mériteraient d’être vécues, d’autres pas. Le problème
épineux étant de fixer les critères. Ah ça, foi de Hollande, ils seront drastiques : rien que des Chantal, des Vincent, des vieillards cacochymes et des cancéreux incurables qui en auront
fait la demande. Comme en Belgique… enfin, au tout début. Là-bas, l’euthanasie est maintenant en passe d’être étendue aux mineurs « dont la capacité de discernement est
attestée ». Parce que la capacité de discernement, c’est vraiment ce qui caractérise le mieux les mineurs !
L’ancien agent des services secrets américains, Edward Snowden, a
rendu public ce que tout le monde savait sans jamais vouloir le dire. Traitre ou héros, employé aigri ou idéaliste courageux, le résultat est le même. Personne ne peut plus se faire d’illusions
sur le monde dans lequel nous vivons.
Nos démocraties sont des tartufferies
On présente au citoyen des régimes virtuels très éloignés des systèmes réels. Dans un monde global et technologique de communication, il est bien évident que celui qui tient l’information
tient le monde. Qui donc peut s’étonner que la première puissance mondiale, chancelante mais qui tente de le rester, mette tous ses moyens pour savoir ce que ses concurrents objectifs et
ennemis potentiels préparent et pensent. Dis-moi avec qui tu parles je te dirai qui tu es.
Il y a
dans l’indignation actuelle sur l’espionnage américain de l’hypocrisie parfois teintée d’une naïveté confondante. Bien sûr que tout le monde tente d’espionner tout le monde depuis Dalila
cherchant le secret de la force de Samson. Sinon pourquoi y aurait-il des services d’espionnage et de contre-espionnage ? Alors dire on n’écoute pas ses amis est assez ridicule car il n’y a pas
d’amis dans la compétition mondiale.
Tout le monde écoute tout le monde et il n'y a pas de raison que cela change. C'est en substance ce que Barack Obama a répondu à tous ceux qui s'offusquaient des révélations du désormais
intouchable Edward Snowden, via le Spiegel puis le Guardian, sur les grandes oreilles installées par la NSA dans des bâtiments officiels européens. 38 ambassades et missions
diplomatiques sont décrites comme des « cibles » par le document divulgué.
« Les cyniques, les cinéphiles et les amateurs de séries américaines mais pas seulement se retrouveront pour dire qu'il n'y a là rien de bien surprenant. Après tout,
l'espionnage est une pratique reconnue dans les relations internationales et, comme l'a rappelé John Kerry, le secrétaire d'Etat américain, tous les gouvernements ou presque ont recours à « de
nombreuses activités » pour sauvegarder leurs intérêts et leur sécurité ». Le journal La Tribune dit ce que tout le monde sait et feint ignorer. D’ailleurs tout n’est pas
secret loin s’en faut. Lire la suite
Dans la catégorie des icônes planétaires, coqueluche de la bien-pensance larmoyante, élevé au rang de Saint et de héros, on aura rarement vu mieux que Nelson Mandela.
Encore plus délirant qu’avec Che Guevara, cet autre héros de pacotille qui était en réalité une fripouille. Mandela fascine les pucelles antiracistes, les politiciens et les
intellectuels qui rabâchent comme des perroquets la vulgate idéologique du Système. Personne n’ose déboulonner l’idole.
« Mandela a payé dans sa chair ses idées » explique le pseudo-philosophe et essayiste cucul Frédéric Lenoir, auteur du pensum La guérison du monde (Fayard). Il le compare aussi à Socrate et à Gandhi. « Il s’est sacrifié comme Jésus », peut-on entendre répété en boucle. Tu parles… Le faux martyr Mandela a passé 27 ans en prison pour des faits de droit commun et de terrorisme et n’était nullement un prisonnier politique. Il dirigeait la branche militaire de l’ANC, l’UWS, spécialisée dans les sabotages et les attentats, au mépris des victimes innocentes.
La succession de Mandela donne lieu, au sein de sa famille (la
descendance de ses trois épouses), à une lutte de clan sordide, uniquement pour l’argent. Car Mandela n’a pas oublié, comme tous les satrapes africains, de faire fortune en piquant dans la
caisse. Sa seconde épouse, la sulfureuse Winnie, n’aurait pas déparé parmi les voyouses de la cour de Néron. En réalité, la légende Mandela est un montage médiatico-idéologique mondial
remarquable, un acte de propagande magistral ; qui passe sous silence non seulement la véracité du personnage mais son action politique, catastrophique : la transformation d’une république
autoritaire (la RSA), ethniquement scindée mais prospère et sûre, en un pays officiellement multiracial et démocratique mais miséreux, inégalitaire, anarchique, corrompu, où il ne fait pas bon
vivre.
En effet, Mandela, une fois à
la tête de l’État, a mis fin au régime de l’apartheid et à la domination blanche. Mais pour le plus grand malheur du pays, l’Afrique du Sud. Depuis que les Noirs sont au pouvoir, la RSA – c’était
prévisible – a plongé dans une sorte de chaos de basse intensité : criminalité explosive, services publics et infrastructures à la dérive, coupures électriques incessantes, créations de ghettos
blancs protégés. Sans compter l’incurie de l’État noir et la corruption endémique de l’ANC, African National Party (le parti unique de fait, despotique, clownesque et incompétent) : les
milliards de rands alloués pour la réhabilitation des townships noirs d’Alexandra et de Soweto ont atterri dans la poche des mafieux. Résultat : la misère, la crasse, les égouts bouchés, la
délinquance, 40% de chômage chez les jeunes, etc.
Les
autorités et les médias du monde entier (à commencer par Obama en visite dans le pays fin juin) refusent obstinément cette affreuse réalité qui contredit leur idéologie, pourtant reconnue en
silence par les Noirs eux-mêmes : « c’était dix fois mieux du temps du pouvoir blanc, de l’apartheid imposé par les Afrikaners. » Eh oui ! Un journaliste noir sud-africain au chômage
avoue, dépité : « Mandela est une icône mais les gens ont faim. Et la question récurrente, c’est comment survivre, jour après jour. [...] Mandela a voulu que, nous, les Africains du Sud,
soyons tous égaux. Un noble combat, évidemment. » (JDD, 30/06/2013). Il a tout compris…
Mark Newton et de son petit ami australien Peter Truong. Voulant, selon leurs dires, éprouver les « joies de la paternité », ils avaient en 2005, après de
longues démarches, obtenu en Russie pour la somme de 8000 dollars un enfant conçu par GPA (gestation pour autrui) avec les gamètes d’un des deux hommes.
A l’age de 22 mois, le petit garçon a commencé a être abusé sexuellement, et quotidiennement, par ses « parents » et par au moins huit autres adultes en Australie, en France, en Allemagne et aux États-Unis.
Le degré d’exploitation sexuel avait atteint un tel niveau que l’enfant a grandi croyant que les agissements dont il était victime étaient la vie normale. Il était même coaché sur la façon de nier si jamais on lui posait des questions.
Les
enquêteurs ont découvert un journal méticuleusement tenu par les deux hommes relatant toutes leurs activités.
Quand les deux hommes ont commencé à être soupçonnés, ils ont accusé les autorités de les stigmatiser en raison de leur orientation sexuelle.
En 2010, interviewés par une radio australienne, le couple avait voulu donner l’image d’une « famille comme les autres ». Pour les enquêteurs, il apparait clairement qu’ils ont achetés l’enfant dans l’unique objectif de l’exploiter sexuellement.
La « famille comme les autres » vivait à Los Angeles, États-Unis. Le dénommé Newton vient d’être condamné à 40 années de prison. Le dénommé Truong attend toujours que sa peine soit prononcée.
Oui, nous constatons chaque jour un peu plus les divisions qui s’installent dans la société française comme conséquence des initiatives de nos ministres fraîchement promus aux
commandes de la République : Il y a ceux qui entrent en résistance contre les prétentions idéologiques d’une minorité friquée et voilée derrière les marionnettes du gouvernement socialiste, et
puis il y a les autres, moutons de Panurge plus ou moins réveillés, qui par inconscience ou par intérêt, se laissent piétiner sous les rouleaux compresseurs du changement de syphilisation, selon
l’expression de la garde des sots.
Nous pouvons bien nous autoriser quelques jeux de mots, face aux usages mensongers des mots sacrés de notre langue : « mariage » ou « parentalité ». Le plus bel exemple de la supercherie novlanguiste nous fut certainement donné par la ministre de la justice elle-même, au moment où elle ouvrait la session parlementaire : celle-ci s’auto-institua grande prêtresse des grâces et des sacrements du mariage, s’intronisant héritière de sa longue tradition et grande alchimiste de la fusion des genres. Elle ne fit aucune distinction entre mariage civil et mariage religieux, aucune référence à l’action civilisatrice des apôtres de la foi chrétienne, si ce n’est pour les accuser d’injustice et se poser en championne du progrès virtuel.
Mais cela, c’est déjà le passé. Déjà de
nouvelles inquiétudes germent sur les chemins des écoliers : Qu’est-ce que vous dites ? « Refondation de l’école ? » Oui, c’est bien cela, il ne suffisait pas que Luc Chatel le
fourbe de droite, introduise le gender dans les manuels de SVT. Vincent Peillon veut maintenant organiser l’endoctrinement des enfants à l’école, dès la maternelle, en subventionnant, non pas
l’école elle même, mais des agents étrangers : associations LGBT et autres vilipendés : Ordre est donné aux recteurs d’académie de faire intervenir les milices de Pierre Bergé auprès de nos
enfants pour les embrigader dans les jeunesses pipées : l’horreur ! Comment de pas envisager l’autodafé des manuels scolaires, pour répondre à ces agressions contre nos enfants ? Pour répondre à
ces outrages contre notre responsabilité de parents ? Oui, la France se divise parce qu’une minorité de dictateurs illuminés prétend imposer son utopie délirante à la majorité des citoyens libres
de notre beau pays, et qui n’en veulent pas.
Il est encore temps d’entrer en résistance et de nous rassembler pour crier : NON !
Ne nous privons pas, ce sera salutaire pour nos enfants qui nous remercieront. En revanche, quelle honte si nous nous défaussons face à cette nouvelle menace contre nos libertés fondamentales.
Branle-bas de combat à la maternelle Surcouf de Montpellier ! Pour les
moussaillons, la fête de l’école a en effet viré au halal obligatoire !
Le mois de juin est celui des traditionnelles kermesses scolaires. Dans la France « d’avant », personne n’aurait pu imaginer que celles-ci deviennent un jour le terrain de violentes polémiques ! Très populaire, la fête de l’école est avant tout un moment de détente où enfants, parents et enseignants se retrouvent autour de jeux pour s’amuser et de stands pour casser la croûte. Les papas sirotent une « Kro », les mamans grignotent des gâteaux, les gamins visent des pyramides de boîtes de conserve pour gagner des lots. Que du bonheur, tout simple. Seulement voilà.
Nous sommes en 2013 et les populations d’origine extra-européennes, de plus en
plus nombreuses (et majoritaires dans certaines écoles), veulent imposer de nouvelles règles. Le plus triste est que parfois, ce sont les Français de souche, apeurés, qui devancent les
revendications communautaires…
S’amuser passe encore, mais pour ce qui est de casser la croûte… Il faudra un jour demander la permission à l’imam du coin !
Le Midi Libre rapporte en effet l’histoire (presque) drôle récemment survenue dans une école maternelle de Montpellier. Les enseignants ont eu l’idée pour le moins saugrenue de ne servir que de la viande « halal » au barbecue du 18 juin… De quoi défriser les rouflaquettes du vieux Jules Ferry !
Pour de nombreux parents, découvrant au dernier moment le « menu » 100 % religieux, ce fut un peu la merguez qui fit déborder le sandwich.
Cette décision — inadmissible dans le cadre de l’école de la République — aurait été entérinée « trois semaines avant la fête, au cours d’une réunion », selon l’école. On imagine que tous les parents n’étaient pas présents. Surprise par l’explosion médiatique, la directrice, Marie-Line Schrotzenberger, a tenté une explication piquante comme de l’harissa : « Nous n’avions qu’un seul barbecue et ce choix permettait à l’école de réaliser des économies. Car d’habitude, la viande [non-halal] nous restait souvent sur les bras. »
Une fois n’est pas coutume, la hiérarchie de l’Éducation nationale a fait le dos rond et selon Jean-Pierre Martin, inspecteur, « cette petite maladresse est déjà réglée » (traduction : les collègues sont allés un peu vite, les Français ne sont pas encore prêts…).
D’après Le Parisien, certains
parents « ont fait part de leur mécontentement, prenant même à partie le seul enseignant de confession musulmane au sein de l’équipe éducative. Puis, c’est au tour des parents laïcs
d’être pointés du doigt par des mères de famille faisant “l’amalgame entre laïcité et racisme”, selon une déléguée de parents d’élèves. »
Dans notre douce France plane au-dessus du charbon de bois comme une odeur de guerre civile. Pour le moment, ça reste anecdotique. Jusqu’à quand ?
La ville d’Épinal (Vosges) a approuvé le
versement d’une subvention de 2.463 euros à la loge maçonnique d’Épinal pour une réunion privée.
Ainsi, le « Cercle philosophique et culturel » (autre nom de la loge maçonnique d’Épinal) a reçu une subvention de 2.463 euros de la ville d’Épinal. Or, l’attribution de cette subvention n’est accompagnée d’aucune délibération. Cette subvention de 2.463 euros à la loge maçonnique d’Épinal a en fait été versée pour l’organisation d’une tenue maçonnique (réunion rituelle) fermée au public et d’un repas au centre des congrès. Pourquoi la Mairie d’Épinal finance-t-elle un rite ?
A quand la séparation de la République et de la franc-maçonnerie ?
Dans
Rivarol (n°3100 du 28/06/13), Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale,
décortique les mensonges de « l'affaire Méric »...
Roland Hélie, vous êtes le directeur de la revue Synthèse nationale et vous faites partie des instigateurs du Collectif pour la défense des libertés publiques. Pouvez-vous nous exposer les raisons qui vous ont mené à lancer ce collectif ?
Tout est parti de ce qu’il est désormais convenu d’appeler « l’affaire Méric » et que, pour ma part, je préférerais que l’on appelle « l’affaire Estéban » car, une fois de plus, il s’agit de remettre les choses à leur place et de ne pas inverser les rôles. En effet, depuis le jeudi 6 juin dernier, un jeune nationaliste, Estéban, est en prison alors qu’il n’a fait que se défendre, et défendre sa petite amie, alors qu’ils étaient sauvagement agressés par une bande gauchiste, rue Caumartin, à Paris. Lire la suite