Civitas lance une campagne contre le mariage homo
Président du Parti de la France
Cette fois, c'est un rapport officiel qui
le dit :
« Uniformité de comportement, voire de pensée », conclut le rapport du jury 2011, présidé par le juriste, Yves Gaudemet. Tendance à « choisir le confort apparent des formules convenues, reprises jusque dans le vocabulaire des modes administratives ou médiatiques »… « Difficultés à porter un jugement motivé sur les réformes en cours, à apporter la comparaison »…
En résumé, les décideurs de demain manquent cruellement de recul, d'imagination et d'esprit critique. Inquiétant pour l'avenir du pays et les réformes innovantes à mettre en œuvre.
« Si l'originalité n'est pas une qualité en soi
et ne doit pas être recherchée par principe, elle est bienvenue lorsqu'elle traduit simplement une forme de sincérité, de capacité à raisonner par soi-même et de curiosité », écrit Yves
Gaudemet sans complaisance.
L'année dernière déjà, la présidente du jury 2010, Michèle Pappalardo, ne mâchait pas ses mots, regrettant ce « conformisme », observé notamment dans « le refus de prendre position » sur tel ou tel sujet d'actualités.
Ces conclusions ne font que confirmer le phénomène bien connu de formatage des élites, à travers le système balisé des grandes écoles en général. Il est le résultat d'un dispositif de sélection qui invite à se fondre dans le moule et laisse peu de place à la diversité. Un mot que toutes les écoles et entreprises ont pourtant à la bouche ces dernières années.
Suite aux propos
du ministre du Logement, Cécile Duflot, en faveur d’une dépénalisation du cannabis, le Dr Xavier Laqueille, chef du service d’addictologie de l’hôpital Sainte-Anne à Paris, déclare à Famille chrétienne :
"Je vous réponds en tant que médecin que cette substance a une toxicité indéniable. Le comparer à l’alcool ou le tabac pour en libéraliser l’accès n’a pas grand sens. Ce n’est pas parce que ces deux derniers produits ont des conséquences délétères sur la santé que cela justifie sa dépénalisation. [...] Mais que l’on ne nous fasse pas dire que le cannabis est une drogue douce. Pour ma part d’ailleurs, je n’emploie pas ce terme dont la définition scientifique est floue. Nous ne pouvons être les cautions médicales de choix politiques avec une instrumentalisation de l’addictologie. [...]
Les complications du cannabis sont de trois ordres : psychiatriques (dépendance, troubles anxieux et psychotiques, aggravation de toutes les pathologies mentales…), cognitives (troubles de la mémoire et des capacités exécutives) et cancéreuses (dans une cigarette de cannabis, il y a quatre fois plus de goudron que dans une cigarette de tabac). [...] En fait, pour les médecins, la consommation de cannabis chez l’adolescent ou l’adulte jeune est un indicateur de difficultés psychoaffectives et demande une évaluation psychopathologique." (Source)
Contre-info : Comment analysez-vous le score décevant des candidats de l’« Union de la droite nationale » (Parti de la France, MNR, Nouvelle
droite populaire) ?
Thomas Joly : Ne nous voilons pas la face, nos résultats sont effectivement très décevants.
Nous ne parvenons pas à remplir notre objectif minimal qui était d’obtenir au moins 1% dans 50 circonscriptions pour accéder à une petite subvention publique annuelle qui nous aurait facilité la
tâche pour nos dépenses matérielles et militantes afin de mener notre action politique.
Les raisons sont multiples : l’abstention massive qui a favorisé les partis du Système et exposés médiatiquement, l’apathie de nos compatriotes face à la colonisation migratoire et la ruine de
notre pays, l’illusion de voter « utile » en préférant le candidat du Front mariniste (quel qu’il soit) à celui du Parti de la France, la proximité des élections législatives avec les
Présidentielles qui démobilise complètement l’électorat protestataire,…
Même si nous ne sommes pas parvenus à émerger électoralement lors de ces législatives, comme d’ailleurs tous les « petits » partis qui ont été laminés et dont la plupart ont fait des
scores inférieurs aux nôtres, nous avions le devoir de tenter le coup. Personne d’autre ne portait nos idées.
Seuls les candidats de l’Union de la Droite Nationale défendaient clairement un projet de droite nationale, européenne, identitaire et fermement opposé à la colonisation migratoire de la France
(d’où notre slogan « La France aux Français »).
Cela va-t-il influer sur votre ligne politique et stratégique ?
Si
les perspectives électorales à court terme ne nous sont pas favorables, le Parti de la France entend poursuivre le combat politique sous diverses formes pour défendre les idées qui sont les
nôtres.
Nos convictions ne doivent pas être ébranlées par un échec électoral provisoire, surtout sachant à quel point nos institutions dites « démocratiques » sont verrouillées par l’oligarchie
qui nous gouverne. Le Parti de la France va continuer à oeuvrer pour le rassemblement des forces nationales qui ne se retrouvent dans aucun parti agréé par le Système.
Que pensez-vous des résultats du Front national, qui progresse par rapport à 2007 mais fait moins qu’en 1997 (du temps de sa « diabolisation ») ?
Le FN recule moins qu’en 2002 ou en 2007 par
rapport à son score des Présidentielles mais pâtit du système de scrutin majoritaire qui ne lui permettra pas de jouer le moindre rôle d’opposition concrète à l’Assemblée nationale, puisque, au
mieux, il obtiendra 2 ou 3 élus.
Ceux-ci sont d’ailleurs, comme par hasard, ses candidats les plus exposés médiatiquement et les moins à même de défendre les idées nationalistes puisqu’il s’agit de Marine Le Pen elle-même,
fossoyeuse du Front National que nous avons connu, de la petite-fille Le Pen parachutée à la culture, à l’expérience et aux convictions politiques inexistantes et du repoussant Gilbert Collard,
franc-maçon notoire, ancien avocat du MRAP et opportuniste de premier choix. Pour tout dire, ne me retrouvant plus du tout politiquement dans ce qui est désormais une écurie électorale et une
rente financière au service d’un clan, le devenir du FN m’indiffère complètement.
Néanmoins, il est dommage que de nombreux patriotes sincères se laissent berner par un parti qui n’est plus qu’un leurre pour canaliser la légitime colère populaire.
Le président du Bloc identitaire, mouvement euro-régionaliste en pleine crise, vous a accusé « de présenter des candidats afin de régler leurs comptes avec [...] le Front National, afin également d’obtenir la rente financière du financement public tout en faisant payer leurs campagnes par des officines de barbouzes ou par des partis en place. » Que répondez-vous à cela ?
J’imagine que ses propos sont
guidés par l’aigreur et la jalousie.
Le Bloc Identitaire ayant lamentablement échoué dans ses petites tractations foireuses de rapprochement avec le Front mariniste, il s’en prend à ceux qui sont parvenus à faire ce dont lui-même a
été incapable, c’est à dire présenter près de 70 candidats dans toute la France.
Si nous avions pu en présenter plus, nous l’aurions fait mais justement, nos modestes moyens financiers ne l’ont pas permis. Ce sont les candidats eux-mêmes qui ont financé leur propre campagne,
avec leurs deniers personnels principalement et aussi parfois grâce aux dons de militants qui souhaitaient les aider.
Tels les membres d’une certaine communauté dont ils semblent proches, les dirigeants du Bloc Identitaire pratiquent sûrement l’inversion accusatoire en matière de financement de leurs propres
candidats à des élections passées…
Quels sont les prochains projets et les priorités de votre parti à présent ?
Le 30 juin, le Parti de la France
participera à une grande manifestation à Paris en l’honneur des combattants de l’Algérie française, organisée notamment par Roger Holeindre et Pierre Descaves. La sécurité sera d’ailleurs assurée
par le SEP (Service Encadrement Protection), le service d’ordre du Parti de la France.
J’invite tous les patriotes français à venir rendre hommage aux combattants français et aux victimes de cette guerre que notre armée a gagné, contrairement aux mensonges de la propagande pro-FLN
relayée par l’ensemble des médias français.
D’autre part, le Parti de la France va continuer de se structurer un peu partout en France suite à la dynamique militante que les élections législatives ont entraîné.
Enfin, le Parti de la France dispose désormais d’un local sur Paris où il pourra accueillir ses adhérents et sympathisants à partir de septembre prochain.
70 candidats étaient présentés sous l'étiquette Union de la
Droite Nationale, rassemblant le Parti de la France, le MNR et la Nouvelle Droite Populaire. Seuls 25 ont dépassé le seuil des 1%, dont Fernand Le Rachinel (3,25%), Pierre Chabot et Myriam
Baeckeroot (1,53%), Jacques Dautreme (2,09%) et Eric Vilain, soutenu par l'UDN, qui obtint 4,09% en Moselle face à l'énarque mariniste parachuté Florian Philippot.
L'UDN a dépassé dans quasiment toutes les circonscriptions les scores du NPA, de Lutte Ouvrière et de Debout la République. Il n'en demeure pas moins que le slogan « La France aux Français » qui figurait sur les bulletins de vote et les professions de foi n'a hélas pas tout à fait eu l'impact espéré.
Ce slogan traduisait clairement notre refus de l'invasion que subit la France d’une part et de sa soumission aux diktats mondialistes d’autre part. Il figurait déjà, au XIXe siècle, en sous-titre du journal de Drumont, La libre parole et avait été repris plus tard par Charles Maurras. Il fut remis à l’ordre du jour dans les années 70 en devenant le slogan de l’œuvre française et, à la fin des années 1980, un groupe, en rupture avec le Front national, l'avait utilisé avec succès dans ses campagnes électorales, le complétant certes par « Trop d'immigrés ». Il obtint jusqu'à 10% des suffrages. Le fait que ce slogan ait moins de succès aujourd'hui traduit sans doute malheureusement un affaiblissement de la conscience identitaire et ethnique de notre peuple.
Ce n'est évidemment pas une raison de se décourager. Notre premier devoir est de redonner cette conscience aux Français et aux Européens. Le combat continue.
Robert Spieler
Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire
Dans un contexte d’abstention massive qui, plus que
jamais, a favorisé la bipolarisation PS/UMP, le Parti de la France remercie chaleureusement les électeurs qui ont fait confiance à ses candidats.
Pour le second tour le Parti de la France appelle à ne pas apporter une seule voix à la coalition rose/rouge/verte et recommande, le cas échéant, de faire barrage à la gauche en votant pour les candidats qui expriment clairement leur adhésion à la promotion de notre identité nationale, européenne et chrétienne, à la défense des valeurs morales et familiales de notre civilisation, à la préservation du libre choix de l’école ainsi qu’à la défense de notre souveraineté nationale et qui refusent le droit de vote des étrangers aux élections municipales.
02 - Aisne
2e circ. : Jean-Thierry GAMPERT 276 v., 0,62 %
3e circ. : Pierre CHABOT 619 v., 1,53 %
4e circ. : Martine LEHIDEUX 412 v., 0,96 %
60 - Oise
1ère circ. : Thomas JOLY 385 v., 0,80 %
2e circ. : Annie FOUET 573 v., 1,15 %
3e circ. : Éric PINEL 668 v., 1,75 %
6e circ. : Katell MAUTIN 334 v., 0,77 %
7e circ. : Éliane MARCO-GIMENEZ 310 v., 0,71 %
80 - Somme
1ère circ. : Florence PERDU 486 v., 1,04 %
5e circ. : Monique CHAPEL 494 v,. 0,97 %
Ces résultats sont évidemment en dessous de nos espérances. L'abstention massive a été profitable aux partis du Système. Un communiqué national du Parti de la France sera publié en fin de journée. Un grand merci aux électeurs picards qui ont fait confiance aux candidats de l'Union de la Droite Nationale ainsi qu'aux candidats eux-mêmes et à leurs militants qui ont mené une campagne active avec bien peu de moyens et dans des conditions difficiles. Le combat continue !
Une affiche du candidat ou de la candidate a été apposée sur tous les panneaux d'affichage des 5 circonscriptions de l'Oise où le Parti de la France se présente. Les affiches de Katell Mautin, candidate sur la 6ème circonscription de l'Oise (Compiègne-Noyon) n'étant arrivées que mardi, les dernières ont été collées ce matin.
En raison d'une arrivée très tardive des affiches officielles des candidats du Parti de la France en Picardie, le collage officiel n'a pu commencer que le week-end dernier. Néanmoins, les militants du PDF sont à pied d'oeuvre pour que toutes les communes soient couvertes. A noter que les affiches de Katell Mautin, candidate sur la 6ème circonscription de l'Oise, n'ont toujours pas été livrées...