Le blog politique de Thomas JOLY
Président du Parti de la France
Legionarii - Rebirth
Rediffusion : les interventions de Thomas Joly et de Scipion de Salm à Beauvais le 10 juillet 2013
Délinquance immigrée : les yeux grand fermés… (par Nicolas Gauthier)
Une fois de plus, les médias sont pris en flagrant
délit de nier les mots afin de mieux faire l’impasse sur les maux. Bien plus grave qu’une simple figure de style, sachant que nier la chose équivaut fatalement à masquer la réalité. Ainsi, la
preuve par les faits divers.
Le 11 août, un militaire est placé en détention, « suspecté d’avoir projeté d’attaquer la mosquée des Minguettes à Vénissieux », à en croire Le Monde. Il s’appelle Christophe Lavigne, a servi en Afghanistan et n’est « pas encarté dans une quelconque organisation », admet le quotidien vespéral, lequel le décrit encore comme « solitaire, fragilisé par une rupture sentimentale ». Pas vraiment le profil d’un ennemi public numéro un, d’un Mohamed Merah ou d’un Anton Breivik. Il n’empêche. Pour un méfait potentiel, auquel « il avait déjà renoncé », à en croire les enquêteurs, son prénom, son patronyme, son parcours ont été jetés en pâture à la presse. Nul doute qu’il sera viré de l’armée et ira rejoindre la horde des chômeurs.
Mais il est d’autres cas de figure dans lesquels
les mêmes médias sont autrement plus prudents…
Marseille, le 9 août, le jeune Jérémie Labrousse est poignardé à mort par un voyou ; lequel sera interpellé peu après. Qui est-il ? Il faudra quelques jours pour qu’on l’apprenne. Habitué des tribunaux, condamné à six mois de prison en 2013, il s’appelle Ali Hamadou. Une chance pour la France, donc…
Mais là, pas de généralisation, pas d’enquête sur le profil de l’assassin, les livres qu’il lit ou la musique qu’il écoute. Au contraire de Christophe Lavigne : un fait divers sans portée sociétale.
La Garenne-Colombes, le 7 août, un autre drame.
Une femme de 32 ans est rouée de coups ; on la retrouve, quasi miraculée, baignant dans son sang. Quelques minutes plus tard, une autre femme, âgée de 21 ans, est violée aux abords de la
gare locale. Le 14 du même mois, si Le Monde relate l’affaire, pas un mot sur l’état civil du prévenu ; tout au plus apprendrons-nous qu’il s’agit d’un multirécidiviste bénéficiant
d’un régime de semi-liberté. Heureusement, Le Figaro est un peu plus prolixe, concédant qu’il s’agit d’un certain Sofiane M. !
Autrefois, on parlait encore « d’individus de type méditerranéen », histoire de faire comprendre qu’il ne s’agissait pas de vieux Normands de souche. Mais à force de passer la réalité au prisme du politiquement correct, certains journalistes ont fini par se couper de la réalité ; histoire, on l’imagine bien, de ne « pas faire le jeu du Front national ». Comme nos généraux de 14-18, les plumitifs en question se retrouvent immanquablement en retard d’une guerre.
Tétanisés par la peur de se voir taxer de racisme, ils en
ont même oublié que Malek Boutih, ancien patron de SOS Racisme, dans un livre intitulé La France aux Français ? Chiche !, coécrit avec notre consœur Élisabeth Lévy, était
pourtant le premier à reconnaître qu’« à Fresnes, on peut compter les Blancs… » L’islam, première religion carcérale de France, telle est la réalité. Dans un souci d’équité, on dira
aussi que les Gaulois sont majoritaires dans la délinquance sexuelle et que nos compatriotes juifs ne sont pas les derniers à se voir nourris, logés et blanchis aux frais de l’État pour
carambouilles financières… Et alors ? Il n’est pas besoin de lire les journaux, mais seulement de se promener dans la rue pour savoir que si tous les enfants issus de l’immigration ne vous
gâchent pas la vie en permanence, ceux qui vous la pourrissent sont généralement enfants issus de l’immigration.
Au sommet de l’État, Christiane
Taubira, garde des Sceaux, persiste à estimer que la prison n’est pas la solution. Peut-être, mais Christiane Taubira non plus. Quant à Manuel Valls, il se contente pour le moment de jouer au
faux dur ; un peu comme, naguère, un certain Nicolas Sarkozy. Et dans ce jeu d’ombres, la palme revient à François Delapierre, bras droit de Jean-Luc Mélenchon : « Valls, c’est
l’extrême droite du mouvement socialiste ! »
Fort bien. Et Jean-Luc Mélenchon, c’est qui, c’est quoi ? Garcimore pour la méthode ? Ou Ray Charles pour l’acuité visuelle ?
Un avocat-voyou à la tête de la « Ligue de défense judiciaire des musulmans » (LDJM)
L’islamophobie, cet antisémitisme du pauvre, est à la mode. Et l’anti-islamophobie un
marché juteux. À l’image du BNCVA (Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitsme) annonçant chaque année l’augmentation à des taux holocaustiques des agressions antisémitiques, le Conseil
français du culte musulman a annoncé pour le premier semestre 2013 une augmentation des « actes antimusulmans » (manger du porc ? Défendre l’identité européenne de la France ? Préférer
comme comique Bernard-Henri Lévy à Djamel Debouzze ?) de 35 %.
À l’image de leurs cousins experts en pleurnicherie et dans le contexte d’une concurrence victimaire redoublée (CRIF, CRAN, pédérastes déportés, association d’arrières-petits d’esclaves et d’arrières-petits-cousins de déportés), la création d’une Ligue de défense judiciaire des musulmans (LDJM) n’a donc rien de surprenant. Cette ligue a été créée par l’ex-avocat Karim Achoui, radié à vie du barreau et qui avait été condamné dans diverses affaires (faux, diffamation pour celles où il a été définitivement reconnu coupable) et impliqué dans de nombreuses autres liées au milieu. Blessé par balles en 2007, les policiers avaient retrouvé sur lui 15.000 euros en liquide…
Il a été rejoint dans ce combat par l’inénarrable Roland Dumas, l’une des vedettes de la « dissidence »… Ministre socialiste franc-maçon qui ne semble pas avoir jamais proposé son aide pour défendre les nationalistes…
De Paris à Bamako : le Vélib’, ce troublant objet du désir ! (par Joris Karl)
En mission commando pour vous, chers lecteurs de Boulevard Voltaire, j’ai testé le Vélib’ à Paris. Bon Dieu, que c’est risqué ! Et désagréable. Risqué parce qu’on
est frôlé toutes les 5 secondes par des bagnoles rageuses ; désagréable parce qu’il faut s’arrêter tous les 50 mètres à un feu. J’ai à peine eu le temps de m’arrêter boire une Suze à l’Hôtel
du Nord. Mais bon, le Vélib’ a ses adorateurs, et pas forcément là où on les attend.
Ce symbole de la post-modernité, aussi culte pour le bobo qu’une statuette de bouddha « Maison du monde », est en effet devenu l’amour fou de nos « jeunes » de banlieue ! Cette semaine, Libération a osé affronter le grand tabou du début de siècle : l’explosion des vols de Vélib’ dans la région parisienne. Le journal précise que « l’ampleur du phénomène a forcé la mairie de Paris à communiquer pour répondre à la colère des usagers ».
Il suffit d’aller voir sur le site Vélib’ de la mairie de Paris : l’an passé, « 9.000 vélos volés ou vandalisés ont été comptabilisés » par les services municipaux. «Le phénomène est très concentré sur le nord-est parisien et les communes avoisinantes. À l’heure actuelle, une vingtaine de stations de cette zone a été fermée «jusqu’à nouvel ordre». » Il y a trois ans déjà, la société JCDecaux (prestataire) avait négocié avec la ville de Paris un avenant sur le contrat pour faire face au vandalisme : plus de 16.000 bicyclettes avaient été dégradées en 2009 sur un parc de 23.000 vélos !
Actuellement, la palme revient peut-être à Aubervilliers, et son parc de 500 Vélib’,
où… 1.000 Vélib’ ont été volés ou vandalisés depuis le début 2013.
Comment expliquer ce phénomène quasi paranormal ? C’est là que nos chasseurs de fantômes sociaux interviennent : pour Christophe Crépin du syndicat UNSA Police, « ces jeunes sont désœuvrés. Ils n’ont pas l’impression de voler quelqu’un mais juste de s’en prendre à l’État.» Quant à la déclaration de la mairie d’Aubervilliers, elle vaut son pesant de cacahuètes : « Dans les quartiers, c’est un peu devenu un rite initiatique, un symbole de virilité pour les 13-16 ans que de voler un Vélib’. Après, il y a aussi le fait que le service a longtemps été perçu comme un élément allogène sur « leur » territoire, une pratique issue de la culture bobo. Qu’ils se sont réappropriée de manière délictueuse.»
En province, en tout cas, on ne se décourage
pas. À Toulouse, dont… 75 % du parc Vélib’ est vandalisé chaque année, la municipalité veut « étendre son système aux quartiers sensibles, comme La Reynerie et Le Mirail ». Bon
courage !
Restons positif. Le Vélib’, dont on voit paraît-il des exemplaires jusqu’à Bamako, fait des heureux. Comme disait un haut responsable de JCDecaux cité par Le Figaro, « les Africains adorent le côté 4×4 du Vélib’, si robuste qu’il permet de circuler même en brousse ». Roulez, jeunesse !
Actes pédophiles dans le tramway de Montpellier : « c’est une coutume dans mon pays »
Un homme de 43 ans est monté
dans une rame avec sa mère et ses deux neveux, des garçons âgés de 3 et 5 ans. Il leur a baissé le pantalon avant de mettre leur sexe dans sa bouche, devant tous les passagers.
Le détraqué étranger a reconnu les faits, affirmant qu’il s’agissait d’une coutume de son pays permettant ces actes sur les enfants jusqu’à 5 ans.
Habitant dans un camp en périphérie de Montpellier, il doit être présenté au parquet qui a placé les enfants en foyer.
Le consumérisme sans fin
Yvan Bénédetti répond aux questions de Rivarol
RIVAROL : Le gouvernement a dissous officiellement l’Œuvre française que vous dirigez et les Jeunesses nationalistes de votre ami Alexandre Gabriac. Vous avez manifesté votre intention de déposer un recours devant le Conseil d’Etat. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Yvan BÉNÉDETTI : La dissolution a été actée par décret présidentiel, annoncée au Conseil des ministres le 24 juillet après une procédure dite
contradictoire organisée par la direction dite des libertés publiques qui dépend du ministère de l’Intérieur. Nous allons donc effectuer un recours sous la forme d’un référé-suspensif devant le
Conseil d’Etat que nous déposerons début août afin d’obtenir l’annulation de cette forfaiture. Nous serons fixés assez rapidement, certainement avant la fin du mois. Il s’agit simplement
d’officialiser ou non la fin des libertés individuelles, la liberté de parole, de réunion, de mouvement ou d’expression. Car c’est à cela qu’ils veulent attenter. Il s’agit ni plus ni moins d’une
tentative de mise à mort opérée par des ignares, fruits d’une société marchande où l’on prend, où l’on jette, où tout s’achète, où tout est palpable. Ils n’ont pas mesuré ce qu’était et ce que
représente l’Œuvre française. On ne dissout pas l’Œuvre française qui est une éthique de vie, car nous continuerons à vivre, une famille ; or nous resterons soudés, une doctrine ; or nous
continuerons à penser, un vecteur d’amour pour notre France ; or nous continuerons à aimer. Qu’y a-t-il à dissoudre dans tout cela ?
R. : Comment analysez-vous cette dissolution ? Pour quelles raisons a-t-elle eu lieu ? Pourquoi maintenant ? Qu’est-ce que cela vous inspire ?
Y. B. : Les raisons, ou plus justement, la raison de cette dissolution ne fait pas mystère. Elle est clairement énoncée dans l’acte d’accusation dressé afin de justifier ce
décret infâme et liberticide : l’antisémitisme. Ce seul mot porte déjà en lui la condamnation. Manuel Valls l’a dit et répété, il est « lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël
», déclaration d’amour qu’en tant que ministre on eût pu espérer adressée à la France, mais non. Il s’est donc servi grossièrement de l’affaire Méric pour nous condamner, n’hésitant pas à se jeter sur le cadavre encore
chaud, plus vite que ne l’auraient fait des charognards, afin de se servir de cette mort pour en donner une autre. Cela aura été l’occasion qu’il ne voulait pas manquer, s’étant précipité avant
même que les preuves soient faites de l’agression par les antifas et non par nos camarades dont Esteban Morillo en état de légitime défense. Il semblerait que le ministre confonde le port de la
croix celtique avec celui d’une cible mouvante. S’il a décidé de faire tomber le couperet maintenant, c’est que l’occasion fallacieuse lui a été offerte, dans un contexte où le gouvernement est
chaque jour plus décrié, réprouvé par le peuple sur lequel il prétend assoir sa légitimité. Aucun problème n’a été réglé par ce gouvernement d’amateurs, tous ont été aggravés, et la France
souillée, vendue aux argentiers, à la finance, aux lobbys dignement représentés par Emmanuel Macron, ancien associé de Rothschild et actuel secrétaire général à l’Elysée… on le dit être le «
cerveau de M. Hollande »… sans commentaires ! Tout cela sans même parler des affaires qui ont ponctué ces années d’attentisme, dont le parangon demeure Cahuzac. Il leur fallait par ailleurs
donner des gages aux communistes, très turbulents au Sénat et au Front de gauche, afin de contenir un Mélenchon très agressif.
Tout cela m’inspire du dégoût,
du mépris pour ces hommes qui ont tourné le dos à leur peuple, qui ont tout du larbin à genoux devant les communautés, à plat ventre devant l’Argent-Roi, pantalon baissé devant les racailles…
Cela m’inspire également de l’indignation de voir ces passants de l’Elysée, révocables du jour au lendemain, mandatés pour un délai de cinq ans maximum, un quinquennat, vu leur médiocrité, tacher
de rayer d’un trait de plume un mouvement de presque un demi-siècle. Enfin : courage, volonté, détermination. Ils ont tenté par les intimidations, les gardes à vue, les arrestations arbitraires
de nous abattre individuellement et, n’y étant pas parvenus, avec tous leurs moyens, ils nous attaquent collectivement. On savait qu’ils n’étaient pas des foudres de guerre mais se fourvoyer à ce
point ! Ensemble nous n’en sommes que plus forts. Soudés c’est une barricade inviolable que nous leur opposons. Alors comme disait celui qui par la manière dont il a vécu, et la manière dont il
est mort n’a cessé de vivre à travers nous tous, Robert Brasillach (cité d’ailleurs dans l’acte d’accusation contre l’Œuvre !) : « courage, tirez ! Vive la France ! » et je rajouterai :
Vive l’Œuvre française !
R. : Que répondez-vous à ceux qui disent, y compris certains anciens de Jeune Nation, qu’en se montrant un peu plus prudent et habile, en ne sombrant pas dans l’activisme radical et débridé (actions coups de poings, heurts avec les forces de l’ordre…), l’Œuvre française qui a quarante-cinq ans d’existence aurait probablement évité la dissolution que le fondateur Pierre Sidos a toujours su conjurer lorsqu’il était à la tête du mouvement (du 6 février 1968 au 5 février 2012), dissolution qui a été prononcée moins de dix-huit mois après votre accession à la présidence de l’Œuvre ?
Y. B. : Avant toute chose je crois qu’il est nécessaire de faire la distinction entre les deux mouvements différents que sont les Jeunesses Nationalistes et l’Œuvre française,
qui est une école de pensée et de vie, une institution qui forge les esprits, les âmes, les cœurs. Une institution qui n’a connu ni condamnations, ni interdiction. La création des JN a répondu à plusieurs appels : ceux de
jeunes hommes et de jeunes femmes en révolte qui ne souffrent plus d’être considérés comme des étrangers dans leur propre pays et déterminés à lutter pour leur patrie, sans concession, sans
compromission ; et ceux d’une France qui, plus que jamais, exhorte son peuple au réveil. Les actions qui ont été menées par les Jeunesses peuvent paraître radicales, mais ne sont en aucun cas
débridées. Elles sont bridées, mesurées, réfléchies, concertées, cadrées, chirurgicales. Quant aux affrontements avec les forces de l’ordre missionnées par les pouvoirs publics pour nous
malmener, nous décourager, et nous faire inculper, je ne peux que les constater comme vous le faites, dans ses effets, mais non dans ses causes. Je nous reconnais en revanche la fâcheuse habitude
de rester droits, de ne pas courber l’échine, de ne pas s’excuser d’aimer infiniment notre France, et de vouloir la défendre.
A ceux qui font ces reproches, que voudraient-ils que nous soyons, un Front National bis, lui-même parodie d’UMP ? Nous ne sommes pas de cette matière-là. Assez de reniements ! Dans cette
épreuve, nous avons reçu beaucoup de soutiens et peu
d’incriminations. Ceux qui les ont formulées semblent l’avoir fait à couvert, il est donc logique qu’ils n’assumeraient pas mieux la responsabilité et les conséquences mesurées des ACP (actions
coups de poing), conduites sur la base du volontariat, par des jeunes gens qui assument ce qu’ils sont, ce qu’ils font, ce qu’ils pensent, qui assument pleinement l’héritage dont ils sont
dépositaires. Connaissez-vous des révolutions qui se sont faites dans la contemplation béate et l’anonymat ? Nous menons un combat, pour la victoire, et elle passera nécessairement par une
révolution nationale. Je mesure la responsabilité qu’implique le fait d’avoir accepté la Présidence de l’Œuvre française. Je ne la mettrais en danger pour rien. Mais pour rien non plus je ne la
laisserais mourir dans l’inaction ou la compromission, ce serait renier ce qu’elle est, ce serait faire insulte à celui qui me l’a sciemment confiée avec le soutien des militants : Pierre Sidos.
Plus que tout autre il est bien placé pour connaître les enjeux d’une dissolution, lui qui en a subi deux avec le Parti Nationaliste et Jeune Nation. Et ne doutez pas du fait que ça n’est pas
parce qu’il ne fait plus partie ni des statuts ni de l’organigramme du mouvement qu’il n’y veille pas, que s’il désapprouvait il ne le ferait savoir. Il n’est pas homme à renoncer, ni à se taire.
R. : N’est-ce pas surtout la question du judaïsme politique qui est au coeur de ses dissolutions ?
Y. B. : Le judaïsme
politique est au cœur de bien des questions. Il est bien évidemment, et comme je l’ai déjà dit, au cœur de ces dissolutions. L’acte d’accusation fait mention d’amitiés avec Vincent Reynouard,
Hervé Ryssen, avec vous-même Jérôme Bourbon, et RIVAROL tous accusés d’être des cadres de l’Œuvre française — on ne prête qu’aux riches —, relate les propos que j’ai pu tenir sur le sujet, évoque
la célébration en hommage au Maréchal Pétain dont la vie héroïque est résumée aux seules lois relatives au problème Juif… Nous avons commis un sacrilège pour ceux qui voudraient soumettre la
France au diktat de la LICRA ou du CRIF aux convocations desquelles le Président se presse comme un chien bien dressé répondrait à l’appel de son maître.
R. : Que ferez-vous si le Conseil d’Etat confirme la décision du gouvernement ?
Y. B. : Nous continuerons ! Nous resterons ce que nous sommes : des nationalistes inaccessibles au découragement. Nous faisons les choses dans les règles et à une attaque
juridique nous répondrons juridiquement à force d’arguments et de lois. Mais les attaques ne sont pas que juridiques… Le combat ne s’arrête pas aux portes du tribunal. Nous sommes l’Œuvre
française, mais notre combat s’appelle France ! Nous ne
nous arrêterons qu’au jour de la victoire, sous la bannière de l’Œuvre Française, sous celle des Jeunesses Nationalistes, ou simplement, sous celle de la France. Ils pensent dissoudre une
association mais l’Œuvre Française c’est une éthique de vie, une doctrine, une famille, ce sont des hommes…en mouvement. Vont-ils donc dissoudre ou saisir des idées, des pensées, des vies, des
hommes, le souffle dont nous sommes porteurs, le vent de la victoire ?! Foutaise ! Ils règleront notre question comme ils ont réglé chacun des problèmes auxquels ils se sont attaqués dans
l’incompétence la plus crasse et l’ignorance la plus grossière : sans succès. Nous resterons ce que nous sommes, nationalistes, fils et filles de France, frères d’armes de l’Œuvre Française, nos
armes les plus affûtées étant celles dont on apprend le maniement : l’irascible volonté, l’amour indéfectible de notre patrie, de notre famille. L’Œuvre vivra. Et s’il nous arrivait à l’avenir de
l’appeler, nul doute que tous répondraient en chœur, du cœur, selon l’usage chez nous nationalistes : « Œuvre française ? Présent ! »
R. : Marine Le Pen a accédé à la présidence du FN il y a deux ans et demi. Quel bilan tirez-vous de son action à la tête du mouvement ?
Y. B. : Des purges pour se conformer aux standards du système ; des remplacements aux allures de discrimination positive, les militants de longue date (les rares qui ne peuvent
se résoudre à quitter leur mouvement) étant écartés au profit de transfuges de l’UMP ou de la gauche, comme si cette origine leur conférait une suprématie écrasante sur le militant fidèle du parti. Quelques succès au
rang desquels on compte l’élection de deux députés à l’Assemblée Nationale, dont l’une, encore issue de la famille, est pressentie pour incarner l’opposition à la présidente du parti, pourquoi
pas dès le prochain congrès, ce qui peut légitimement poser question…
Beaucoup de renoncement, de concessions, de dérapage d’une dédiabolisation vers une normalisation. En effet, autre succès et celui-ci incontestable, le FN semble être devenu un parti comme les autres, liant par exemple Philippe Péninque, proche de Marine Le Pen, à Jérôme Cahuzac, affaire rapidement étouffée, rémunération très élevée de cadres comme l’omniprésent gaulliste et ex-chevénementiste Florian Philippot chassé de sa fédération par les militants excédés, salaire indécent en période de crise de l’actuel concubin de la Présidente en la personne de Louis Aliot touchant plus de 5000 euros pour un mi-temps d’assistant, etc… Succès donc de la normalisation à mettre en balance avec l’action toute relative des députés que l’on attend encore sur la question de la liberté d’expression face à ces dissolutions qui ne sauraient pourtant laisser insensible l’homme de droit qu’est Gilbert Collard.
Autre sujet dont la Présidente Marine Le Pen n’a, semble t-il, pas mesuré le poids, le Printemps Français duquel elle s’est tenue à l’écart sans doute conseillée par sa garde rapprochée. Elle a été la grande absente de ces débats sur la Famille ce qui constitue une faute morale et politique. Si elle avait pris la tête de la révolte contre la loi Taubira, le Front National serait aujourd’hui à des niveaux électoraux encore jamais atteints et elle aurait augmenté sans aucun doute son capital de députés lors des dernières partielles.
R. : Que voudriez-vous dire à nos lecteurs pour les encourager au combat nationaliste ?
Y. B. : Je leur dirai qu’une bannière est levée, que nous avançons, épaule contre épaule, et que ceux qui veulent servir leur pays trouveront toute leur place à nos côtés. Qu’ils
rejoignent nos rangs, notre famille. Qu’ils cessent de ruminer tout seuls et viennent s’inscrire dans une continuité, dans une histoire, un héritage. Ceux qui nous ont précédés ont déjà fait une grande partie du chemin, à nous de finir d’en
tracer la route, de poser les pavés jusqu’à la victoire, de recoller les pierres et de redresser la cathédrale. Mais nous ne cherchons pas à recruter, à faire du nombre, nous ne sommes pas dans
cette logique où parce que les doigts de pied sont dix ils devraient prendre les décisions en lieu et place du seul cerveau. Cela, c’est bon pour la démocratie électoraliste. Nous, nous préférons
aux troupeaux obéissants et résignés qui se dispersent au premier cri des chiens, le petit groupe audacieux qui sait ce qu’il veut et marche au but. Ceux qui le souhaitent, et ils sont toujours
plus nombreux, savent où nous trouver. Je suis impressionné par la quantité des contacts que nous recevons, par la ferveur de futurs militants, toujours plus jeunes, et pourtant solides,
déterminés. Plutôt que d’exhorter chacun à rejoindre le combat, j’encouragerai ceux qui sont déterminés à le faire à se former, à opérer la révolution des âmes, à vivre en conformité avec leurs
principes, à lire les écrits de ceux qui nous ont précédés et ont constitué une doctrine qui nous rend solides, inaccessibles au découragement, prêts à tout endurer, prêts à tous les sacrifices
pour elle, la France. Toutes les conditions sont réunies pour faire basculer le système. Il faut donc se tenir prêts. Cette demande de dissolution est révélatrice. Ils
savent que tout peut basculer : la crise
sociale, l’insécurité, le chômage record, la France otage des racailles de banlieue d’une part, otage des cols blancs mondialistes d’autre part, la France étouffe ! Le souffle nouveau porté par
le printemps français est un indicateur fort : la France est prête, ç’en est trop. Ils ont touché à la France, et ont sacrifié ses enfants. Nous mènerons la révolution nationale à bien, que ceux
qui veulent en être en soient. Que ceux qui ne supportent plus le joug oppressant de la dictature socialo-communiste se lèvent, que ceux qui veulent retrouver leur dignité, leur fierté, leur
honneur d’être Français se lèvent, que ceux qui ne supportent plus à leur cou la marque du collier et une liberté qui ne s’étend qu’à la longueur de la laisse qui relie leur cou à la niche se
lèvent, que ceux qui se sentent lion plutôt que mouton se lèvent, que ceux qui voient dans la France le visage de Jeanne plutôt que les traits de la catin républicaine aux seins nus se lèvent,
que ceux qui aiment la France se lèvent, que les hommes libres se lèvent et le fassent savoir ! C’est dans les situations révolutionnaires que les êtres se révèlent. Que les lâches se révèleront
lâches, que les hommes courageux se montreront courageux. Il est désormais temps de choisir : à nous la lutte, à nous la vie, à nous la victoire, à nous la France !
Qui est Frédéric Haziza ?
Le « journaliste » de la chaîne parlementaire LCP est d’une agressivité et d’une incorrection rare avec ses invités (comme on peut le voir par exemple ici, en train « d’interviewer » Jacques Cheminade).
Provocateur et fervent militant antinational et anti-famille (le voir provoquer et insulter des manifestants ici), il s’est plaint d’être la cible de propos antisémites sur twitter, suscitant une vague de soutien de toute l’oligarchie visible, jusqu’au Premier Ministre.
Qui est cet odieux individu ?
Voici ce qu’en dit la publication d’Emmanuel Ratier, Faits & Documents. Lire la suite
Valls et Taubira : incompétents et inutiles (par David Carrau)
Sans surprise : le coup du militaire d’extrême-droite qui voulait attaquer une mosquée
Presque chaque semaine depuis quelques mois, le
Système présente une affaire (plus ou moins bidon) liée à « l’extrême-droite » : Méric, agression (?) d’une femme bâchée, Vikernes, etc.
Le gouvernement a trouvé sa principale mission : la lutte contre l’extrême-droite et la défense des valeurs républicaines ! Ça permet de faire oublier les échecs rencontrés dans tous les domaines…
Cette fois, c’est l’histoire fumeuse d’ « un militaire militaire a été arrêté près de Lyon pour un projet d’attaque contre une mosquée, selon le ministère de l’Intérieur. L’homme de 23 ans est « proche des idées de l’extrême droite radicale ». Dans un communiqué, le ministère précise que le jeune homme, qui a été interpellé sur la base aérienne de Lyon Mont Verdun, « avait projeté [des preuves?] de tirer à l’arme à feu contre une mosquée de la région lyonnaise ».
Selon la même source, le soldat, au terme de quatre jours de garde à vue dans les locaux de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), a été déféré dimanche
devant la section anti-terroriste du parquet de Paris. Le communiqué précise que le ministre de l’Intérieur Manuel Valls « félicite les agents de la DCRI pour leur enquête ayant permis
de mettre préventivement à la disposition de la justice et hors d’état de nuire » ce suspect.
Comment ne pas se dire que cette histoire probablement très surfaite, est mise en avant par les médias pour contrer l’affaire, bien réelle cette fois, d’un énième jeune Français poignardé dans la rue par une « chance pour la France » ? Et qu’elle permet de contrebalancer une nouvelle affaire où la racaille a attaqué les militaires (voir l’info ici, avec 55.000 « j’aime ») ?
Jean-Marc Ayrault, GO d’une fête anti-française à Matignon
Afin de marquer médiatiquement son retour après de longues et très imméritées vacances, Jean-Marc Ayrault a accueilli 300 enfants essentiellement étrangers, soigneusement choisis par l’association communiste du Secours Populaire.
« Je souhaitais, en ce jour où je reprends à plein l’activité du gouvernement, accueillir ici des enfants, pas n’importe comment avec ce message : les jeunes et leur famille qui ne peuvent pas partir pour des raisons économiques ont droit eux aussi aux vacances et à la culture ».
Question culture, les médias ont ostensiblement montré ce que cela signifiait pour le gouvernement de l’anti-France : ateliers de percussions africaines, cours de danse brésilienne. Ne manquaient sur les images des télévisions que les cours d’initiation au commerce de la drogue.
Jérémie, jeune Français égorgé par une racaille maghrébine à Marseille
Jérémie, un jeune homme de 22 ans, est mort dimanche après avoir été poignardé vendredi à Marseille.
Egorgé, dans la rue, dans le centre-ville, alors qu’il se rendait chez un camarade. Ce jeune homme originaire des Vosges a été vraisemblablement tué par un individu de 41 ans, rapidement présenté comme « déséquilibré ».
Tiens, voilà un mot qui n’est pas anodin : on sait qu’il est de plus en plus employé dans la novlangue du Système pour désigner un immigré tuant un Français, sans motif clair (et sans bien sûr qu’il soit possible d’évoquer la simple haine raciale envers les Français)… Les médias sont avares d’informations sur l’identité du tueur. L’express, qui s’étale sur l’affaire, concède que l’homme est « né dans la Drôme ». Tout cela sent la diversion et en cherchant bien, on découvre enfin que l’assassin se prénomme Ali.
La victime n’avait plus son téléphone portable quand elle a été secourue en vain, mais on a retrouvé trace de celui-ci dans les « quartiers nord », zone à majorité afro-maghrébine.
Bien sûr, nous ne nions pas que « Ali » puisse
être mentalement déséquilibré (qui égorge les gens sans l’être ? Question à 1000 francs…)
Mais il est un fait que ces « déséquilibrés » qui sévissent de plus en plus, chaque année, en massacrant dans la rue, en égorgeant, en poussant sur les rails du métro, sont rarement français contrairement à leurs victimes, et donc que leur folie reste orientée par des critères ethniques.
Dans un communiqué, Manuel Valls a demandé à l’ensemble des responsables publics « d’éviter les surenchères et les polémiques déplacées » sur la sécurité dans la cité phocéenne. Bien sûr, là, surtout pas d’amalgames ! Ce n’est pas le genre de la maison (voir l’affaire Méric et ses conséquences) !
Et il ne faudrait pas non plus que les gens pensent que Marseille devient un vaste coupe-gorge, symbole de l’échec cinglant et inéluctable du « multiculturalisme », où chaque Français risque, en se déplaçant, d’être mortellement attaqué sans qu’il ne comprenne ce qui lui arrive.
UMP : La malédiction du tweet fait deux nouvelles victimes (par Philippe Randa)
Deux nouveaux
scandales au tweet à l’UMP d’un coup et le mois n’est même pas fini…
D’abord, celui de la députée UMP Valérie Boyer qui a cru finaud de faire du Le Pen en citant Montesquieu. Ça devait faire plus chic, d’après elle, et lui permettre de pourfendre le droit du sol sans risquer les foudres du politiquement correct : « Le droit du sol est l’absurdité qui consiste à dire qu’un cheval est une vache parce qu’il est né dans une étable », a-t-elle tapoté, toute fière d’étaler sa culture.
Le souci est que la phrase n’apparaît
dans aucun des ouvrages du baron… Alors que oui, c’est bien le président d’honneur du FN qui déclara pour sa part en septembre 2012 : « Quand une chèvre naît dans une écurie, ce
n’est pas pour cela qu’elle devient un cheval… » Mauvaise pioche !
Suite à l’avalanche de réactions horrifiées ou moqueuses rendant sa phrase au Menhir, la députée ne trouva rien de mieux que de tweeter à nouveau pour excuser sa méprise : « Au moment où j’ai appuyé, je me suis souvenue que c’était une phrase bidon, et c’était trop tard » (ce n’est pas sa faute à elle, mais à ces bidules-là qui vont trop vite !), précisant aussi qu’elle avait « étudié Montesquieu » (dans les blagues Carambar, sûrement !) et que la citation l’avait tout de même quelque peu alertée : « Je me suis dit que c’était bizarre que ce sujet ait été abordé de cette manière par Montesquieu. » Sans blague !
Ou alors Valérie Boyer s’entraîne pour un jeu télévisé… Question pour un champion, peut-être ? Allons, ne soyons pas méchant…
Les tweets sont ravageurs à l’UMP ! Hé oui ! Ce n’est pas Stéphane
Journot qui dira le contraire. Le sien, c’est du lourd. Et ses références historiques sont incontestables pour ce qu’il considère avoir été un simple trait d’humour : « Ce qui est
cool avec Act Up, c’est qu’ils portent déjà le triangle rose. Ça va faciliter les choses… pic.twitter.com/7ND8ycnJlD – Stéphane Journot (@sjournot) August 5, 2013) ». Un sacré farceur,
ce Stéphane !
Fortuitement, la déportation des homosexuels ne figure pas dans le programme du gouvernement socialiste. De l’opposition non plus. Du coup, la Fédération UMP de Paris condamne fermement les propos tenus par son militant – « déclarations inacceptables, contraires aux valeurs du parti » – et, ni une ni deux, engage une procédure d’exclusion pour lui apprendre qu’on ne badine pas avec n’importe quoi. Surtout quand c’est rose, triangulaire et que ça rappelle les heures les plus sombres, etc.
Entre une bécasse inculte
occupant un banc à l’Assemblée nationale et un apprenti humoriste, il est certain que l’UMP aurait tout intérêt à interdire l’usage du tweet dans ses rangs…
Toutefois, cette nouvelle mise à l’écart, après celle, récente, du centriste Gilles Bourdouleix, député-maire de Cholet, pose une fois de plus le problème de la liberté d’expression en France. Jusqu’où iront ces obsessions de chaisières, désormais équitablement réparties dans toute la classe politique ? Loi du silence et/ou émasculation ?
Tiens, au fait ! Qu’en aurait pensé Montesquieu ? Il serait peut-être utile (et temps !) de le relire pour de vrai… Chiche ?