Le blog politique de Thomas JOLY
Président du Parti de la France
Un nouveau blog du Parti de la France en Mayenne
Le dynamique délégué départemental du Parti de la
France en Mayenne, Matthieu Mautin, a créé un blog qu'il a intitulé « Réaction populaire ».
Cliquez ici pour le consulter.
Chapelle Saint Pie X taguée pour la semaine sainte... pour la 3ème année consécutive
Pour la troisième année
consécutive, la chapelle Saint Pie X de Caen a été recouverte de tags christianophobes et politisés en pleine semaine sainte.
Comme il ne s'agit-là ni d'une synagogue ou d'une mosquée, aucune indignation politique ne s'est faite entendre.
Le message qui barre la façade de la chapelle est : "Le christianisme dans son essence est une doctrine de l'injustice. Fuck fafs 4 ever."
Les bouffons qui ont tagué ce slogan dérisoire sur le christianisme feraient bien d'aller vivre en pays islamique ou dans la bande de Gaza et de jouir là-bas de la "doctrine de justice" de l'islam et du judaïsme.
Quant à la mention "fuck fafs 4 ever", elle prête à rire tant ce mélange d'anglais et de langage SMS montre quel est le niveau de décadence américanisée atteint par les "antifas", qui préfèrent s'en prendre à une chapelle isolée plutôt qu'aux "fafs" eux-mêmes, sachant que ceux-ci sont loin d'être introuvables...
Bref, ce tag, blessant pour les fidèles de la fraternité sacerdotale Saint Pie X et qui passera une fois de plus inaperçu tant il est "normal" d'être anti-chrétien, n'est encore une fois l'oeuvre que de désoeuvrés, de bouffons conformistes et d'abrutis profonds qui, s'ils avaient au moins le courage de leurs opinions, sauraient mener leur "combat" anti-fasciste comme des hommes.
Supprimer le mot
« Si j'avais un fils, il ressemblerait à Trayvon
Martin. » Barack Obama
Le meurtre d'un jeune Noir devient une affaire d'Etat aux Etats-Unis parce que ce jeune ressemble au président des Etats-Unis. En France, le meurtre de jeunes Juifs est plus grave que le meurtre d'une gamine violée et égorgée par un Africain dans des toilettes publiques, car elle n'avait pas l'amabilité de manger casher... Oh ! Je vais un peu loin là. Désolé, c'est juste que... ma petite sœur, elle ressemble à cette gamine. Mais la race ne compte pas, il paraît.
Moi, je n'ai pas la tête qu'aurait le fils
d'Obama. Je ne suis qu'un fils de nazi, ou plutôt de fasciste, puisque plus italien qu'allemand. Et si j'avais un fils, il me ressemblerait. Alors si mon gosse ou moi-même se faisait buter par un
flic noir, le président américain n'en ferait pas un scandale national, parce que mon visage ne lui serait pas familier, ne le toucherait pas outre mesure. Il serait peut-être peiné en apprenant
la nouvelle - Obama a l'air sympathique - mais comme ça, sans plus. De même en France, étrangement, la vie d'un Jérémy Censier semble moins importante que celle d'un Ilan Halimi.
Préférer des dirigeants européens en Europe ? "Raciste !" nous disent-t-ils, car la race n'existe pas. On va d'ailleurs supprimer ce mot de la constitution. Une réalité disparaît en même temps que le mot qui la désigne, n'est-ce pas ? C'est peut-être pour ça qu'au milieu des omniprésents "black", "renoi", "beur", "rebeu", "musulman", "école juive" ou "métis", le seul terme interdit est "Français de souche".
En 2009, un homme, en l'occurrence noir,
entre dans une maison en forçant la porte. Une voisine qui voit la scène alerte un policier qui s'y rend et demande à cet homme ses papiers d'identité, puisque ce dernier prétend être
propriétaire de ce domicile. L'homme refuse et accuse le policier de racisme. Et Obama s'empare de l'affaire pour dénoncer les discriminations aux Etats-Unis de la part des forces de l'ordre.
Le grand Barack, le mélange, le surhomme, celui qui est venu nous apprendre que les origines ne comptent pas et que l'on peut tous se voir comme des frères, au-delà des cultures et des ethnies. Sauf qu'Obama, bien que prince de sang mêlé, n'est pas magicien.
Cet homme est noir et se voit comme tel. C'est comme ça. Il a été présenté comme noir à la face du monde, et comme Dieudonné et tous les métis de leur type il se sent appartenir d'abord au côté obscur de sa famille. En tout cas du côté du père, comme par hasard. Preuve en est cette intervention du président américain qui, incapable de garder son déguisement de prophète post-racial plus longtemps, n'a pas pu s'empêcher de défendre sa communauté contre la réalité des faits et de reprendre avec vigueur - dans un but de rassemblement des Noirs et des Blancs, certainement - le vieux refrain du visage pâle raciste, coupable hier, aujourd'hui, demain et jusqu'à la fin des temps.
Episode qui laisse présager aux Etats-Unis une politique antiraciste,
c'est-à-dire contre les Blancs, encore plus puissante qu'auparavant. Un combat de tous les instants contre la vermine fasciste à l'épiderme un peu trop clair qui ose demander ses papiers à un
Noir qui défonce la porte d'une maison pour y entrer. Spots publicitaires, programmes scolaires dès la petite enfance, débats télévisés entre intellectuels... la grande danse macabre de cette
mélodie du métissage qui sonne aux oreilles de tout fin mélomane comme un "Arrête d'être blanc ça m'énerve !".
Pour ceux qui n'avaient pas encore compris, et qui ont sûrement encore du sable dans les cheveux à force d'y plonger la tête, le monde n'est pas fait d'individus pouvant vivre ensemble dans la plus horizontale des égalités, il est fait de groupes d'hommes voulant prendre le pas sur les autres groupes au sein d'un rapport de forces dans lequel le paramètre racial joue et jouera toujours.
Martin Luther King avait fait un rêve, il paraît. Ce jour-là il aurait dû faire une nuit blanche. Bien blanche.
Les européistes veulent interdire le financement européen des eurosceptiques
Le 29 mars, le Parlement européen a voté un texte par lequel il « se dit
inquiet du fait que les principes sur lesquels l'Union européenne est fondée, à savoir les principes de la liberté, de la démocratie, du respect des droits de l'homme et des libertés
fondamentales, ainsi que de l'État de droit ne sont pas totalement respectés ; souligne qu'une subvention du Parlement ne devrait être octroyée qu'aux partis qui respectent
scrupuleusement les principes fondateurs de l'Union ainsi que la charte des droits fondamentaux ; demande par conséquent que ce règlement soit révisé en conséquence ».
On va donc modifier les règles de façon à ce que l’AEMN (Alliance européenne des mouvements nationaux, regroupant neuf partis dont le Front national, le British national Party, le parti hongrois Jobbik, etc.) ne soit plus reconnue et ne puisse plus bénéficier d’un financement. Sur un critère idéologique.
Mort suspecte du directeur de « Sciences-Po »
Le médiatique Richard
Descoings, directeur du prestigieux établissement censé former « l’élite » de la nation, a été retrouvé mort hier soir dans un hôtel de Manhattan (E-U), à l’âge de 53 ans.
Le décès est suspect (affaires cassées, plusieurs personnes présentes) même s’il y a peu d’éléments pour l’instant, et – si la prudence est de mise – beaucoup pensent secrètement à une affaire de mœurs, au vu de la personnalité de Descoings.
Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il soit l’objet d’éloges de la part de la classe médiatico-politique dont il incarnait les aspirations.
Inverti notoire (déclarant, en tant que prof, en
amphi qu’il était « le premier pédé de Sciences-Po ») – bien que marié – et partisan de la dégénérescence des mœurs, il avait rendu obligatoire à Sciences-Po l’étude de la délirante
théorie du gender. Une première parmi les grandes écoles.
Descoings était aussi un xénophile forcené, hostile à l’identité nationale. Tenant de la « discrimination positive » (sic), il avait favorisé l’entrée des citoyens étrangers dans l’école (40% du total actuel !) sans parler des étrangers à papiers français derrière lesquels il courrait, notamment ceux des ZEP.
« Pour lui, un Français d’origine étrangère, de préférence maghrébine ou africaine, sera toujours préférable à un Français dit « de souche », quel que soit le milieu social des uns et des autres » dixit Marianne.
Récemment, il faisait voter une réforme d’ampleur du
concours d’entrée, avec notamment la suppression de l’emblématique épreuve de culture générale.
Descoings touchait un salaire de 24.000 nets par mois, avec chauffeur et logement de fonction, sans parler des primes.
En 2004, il avait signé un accord de coopération avec l’université de Tel-Aviv et n’avait cessé de renforcer le partenariat avec Israël.
Côté occulte, il était membre au moins du Siècle.
L’élite aux commandes perd une de ses étoiles…
Mali : comme il fallait s'y attendre les rebelles touaregs et les islamistes s’en prennent aux chrétiens
Dans la ville de Gao, le personnel de
Caritas Mali a été obligé de fuir devant la rébellion touarègue rejointe par les islamistes d’Ansar Dine (« défenseur de l’islam ») et d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Joint par
téléphone, le Père Jean-Jacques, responsable du comité de Caritas Gao, raconte :
« Samedi soir, nous avons réussi à fuir la ville de Gao après avoir appris que certains groupes rebelles islamistes cherchaient à tuer les prêtres et les religieux. Dans l’après-midi, les rebelles ont été repoussés de la ville avant de se regrouper et de finalement s’emparer de Gao, abandonnée par les forces armées. Nous avons été prévenus ce matin par notre gardien que la mission et l’église ont été détruites ».
« Nous avons également reçu des appels de chrétiens restés sur place, qui nous disent qu’ils se cachent et craignent pour leur vie. Environ 200 chrétiens sont toujours dans la ville. »
Conférence de Roland Hélie sur l'histoire de la droite nationaliste
Dimanche 13 mai à Paris, grand défilé à Paris en hommage national à Sainte Jeanne d'Arc
Comme les années précédentes, le Parti de la
France s'associera à l'hommage à Sainte Jeanne d'Arc organisé à Paris par l'Institut Civitas.
Diversité et métissage : un mariage forcé (par Pierre-André Taguieff)
Périodiquement, lorsqu’on redécouvre que l’identité française
a perdu sa valeur d’évidence, on se met à en parler abondamment (1). Phénomène éclairé depuis longtemps par ce célèbre proverbe russe : « On ne parle jamais tant de vodka que lorsqu’il n’y a
plus de vodka. » La différence entre l’identité française et la vodka, c’est que celle-ci existe indépendamment de celui qui en boit, alors que celle-là n’existe que pour celui qui y croit.
Dans les deux cas, le sentiment d’un tarissement ou d’une disparition prochaine pousse à en dire quelque chose. Et, concernant une identité nationale perçue comme menacée, tout peut s’en dire,
selon l’idée qu’on s’en fait. De l’identité française, par exemple, les intellectualistes arrogants et les professionnels de la « pensée critique » ou de la « déconstruction » sans fin
annoncent triomphalement qu’elle n’existe pas, qu’elle n’est qu’une « construction » douteuse ou une fiction trompeuse, et par là dangereuse, voire haïssable. Travers ordinaire des
intellectuels occidentaux qui s’exercent pieusement à faire disparaître les objets qu’ils n’aiment pas ou qui ne font pas partie de leur paysage mental. La « nation » se réduit pour eux
à un chaudron de sorcières, à un conservatoire de « vieux démons » (nationalisme, xénophobie, racisme, colonialisme). En quoi la pensée hypercritique, banalisée à la fin du XXe siècle et
ainsi devenue vulgate à l’usage du grand public « culturel », s’avère une pensée aussi
paresseuse que phobique. D’autres intellectuels, qui se veulent « patriotes » et « républicains » - dénoncés par les
précédents comme « nationalistes » ou « réactionnaires » -, s’emploient naïvement à célébrer ladite « identité française » en sélectionnant ses traits positifs les plus
remarquables, censés représenter autant d’« apports », aussi précieux qu’indispensables, à « la civilisation universelle ». Par de tels exercices d’admiration, ces intellectuels
se classent parmi les héritiers du vieux progressisme républicain, postulant que, chez les Modernes, « la nation » est le cadre obligé de la démocratie. Une troisième catégorie
d’intellectuels est repérable dans les milieux militants de gauche et d’extrême gauche en quête d’une « nouvelle France », d’une France future, refondue, améliorée. Ces intellectuels
néo-progressistes, internationalistes ou altermondialistes, s’engagent sur la voie d’un réformiste radical, impliquant une rupture avec la tradition nationale/républicaine. Ils communient dans
une redéfinition politiquement correcte de l’identité française, que résume cette formule sloganique : la « France plurielle et métissée », à l’image du « monde possible » dont
ils rêvent. Tel est l’objet métaphorique d’un désir d’avenir fonctionnant déjà comme un cliché. Lire la
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Les convertis ou l’intégration à rebours
Texte extrait de « Petit frère » (roman) d'Éric Zemmour, Denoel éd., 2008, pp 220 à 223
Kevin Boucher voulait
« faire ramadan ».
Il l’avait annoncé à ses parents sur le ton impérieux d’un enfant-roi de dix ans. Kevin Boucher avait la peau rose de son père et les yeux bleus de sa mère. Kevin Boucher en avait assez d’être traité de « cochon de Français ». De halouf. Kevin Boucher en avait assez d’être « traité ». Il souhaitait, dans les toilettes, boire au robinet des « musulmans » et ne plus être relégué à celui honni des « Français ». Il désirait être comme les autres enfants de sa classe, avoir la peau mate, les yeux noirs, les cheveux frisés, dire des « gros mots » en arabe, vomir « kerbah » au passage de la maîtresse, quand elle portait une jupe au-dessus du genou, oser un « je vais te baiser et après je t’enculerai », claquer un « rataï », comme un coup de fouet, quand un de ses copains employait un mot un peu usité, refuser avec véhémence d’étudier la leçon d’histoire consacrée aux croisades, surveiller ses sœurs, même quand elles étaient plus grandes que soi, les rabrouer, leur dire des horreurs, « lopesa, taspé », dés qu’elles parlaient à un garçon, les dénoncer aux parents, se précipiter dans les bras d’une maman voilée de la tête aux pieds, symbole de la « pureté », et ne pas prendre des claques comme les autres enfants qui osaient manger du porc à la cantine.
« Faire ramadan ».
Contrairement à ce que croyait ingénument sa mère, il n’ignorait point que ce fût difficile. Il est interdit de manger et de boire, et même d’avaler sa salive, du lever du soleil au coucher.
Toute relation sexuelle est rigoureusement proscrite. Kevin Boucher n’avait jamais eu de relation sexuelle, mais il connaissait les règles. Il savait aussi que le ramadan durait un mois entier.
Un mois, c’est long. Épuisant. Très vite, il renoncerait au cours de gymnastique. Maman trouverait un médecin complaisant qui lui délivrerait un certificat de complaisance. Avec les autres, il
surveillerait les élèves musulmans qui oseraient rompre le jeûne. Les représailles seraient sanglantes. A l’heure du déjeuner, il dormirait dans une salle de permanence. Oublierait parfois de
retrouver la classe. La maîtresse comprendrait. Pardonnerait. Compatirait. Le soir, il se précipiterait sur les dizaines de plats aux couleurs chatoyantes et aux saveurs épicées. La chorba, le
hariba, d’avance il s’en léchait les babines ; quand on a jeûné une longue journée, on a envie de tout, on trouve tout succulent ! Maman ne connaissait que le couscous. Maman n’a jamais jeûné.
Papa non plus. Dans la religion catholique, cela n’existait pas ou c’était il y a longtemps. On avait oublié. C’était dommage, se disait Kevin. Toute la nuit, il se goinfrerait et boirait du
Coca-cola. Au petit matin, il se traînerait à l’école. Il ne serait pas très attentif en classe, mais la maîtresse comprendrait, pardonnerait, compatirait. Sinon, avec l’aide des copains, on la
traiterait de karbah, on se plaindrait qu’elle « insulte l’islam ». On la menacerait. On cracherait par terre pour ne pas avaler sa salive. Ce serait bien.
Après le ramadan, ce ne serait pas fini.
Kevin Boucher avait remarqué que, chaque vendredi, les « grands » troquaient désormais leurs pantalons de jogging amples et leurs baggys bouffants pour une somptueuse robe blanche, et,
posée sur la tête, une petite calotte tricotée du meilleur effet. Même Yazid Chadli, longtemps réfractaire, suivait désormais la mode de l’immeuble. Il priait à la mosquée de la rue de Tanger.
L’autre vendredi, il s’y était rendu avec les frères Mokhtari. Ils avaient tous trois le livre sacré du coran dans la poche de leur robe immaculée. Leurs visages irradiaient d’une joie simple,
celle d’une foi sincère. Kevin les enviait. Pourtant, Yazid buvait souvent de la bière, fumait quelque joints, même pendant le ramadan ; et Kevin l’avait aperçu, main dans la main, avec une
petite brunette aux gros nichons qu’il pelotait sans vergogne. Kevin était plein de mansuétude pour Yazid. C’est difficile, quand on a été un mécréant, de revenir sur la voie de l’islam. Mais
Kevin avait confiance : Yazid deviendrait un bon musulman : Allah l’aiderait. Allah était bon, Kevin en était convaincu ; et il se touchait le cœur du bout des doigts et les portait à ses lèvres
pour les baiser. Il disait à sa mère : « Allah est grand, et il n’y a de dieu que Dieu ». Kevin avait commencé en secret son apprentissage. Il lisait le Coran en français tous les jours,
et apprenait des mots d’arabe. Il ne l’avait pas encore révélé à ses parents ; ils ne comprendraient pas. Il projetait de se faire circoncire à treize ans. Ou même avant. Il jugeait ridicule et
encombrant ce petit bout de chair superflu. Parfois, il avait peur de faire de la peine à sa maman. Mais Kevin Boucher souffrait trop d’être différent. Il voulait être comme les autres. Il
voulait en être. En être.
L'efficacité de la police et de la justice anglaise... contre les « racistes » blancs bien sûr !
Ainsi, The Guardian évoque l’histoire d’un jeune internaute britannique (21 ans) qui a publié la
semaine dernière des messages « racistes » sur le réseau social Twitter, alors qu’il était dans un bar avec des amis pendant un match de football. Il avait invité un joueur
africain à « retourner dans (son) champ de coton ».
Dès le lendemain dimanche, la police est intervenue pour arrêter l’internaute et le déférer devant un tribunal pour « insultes racistes publiques pouvant inciter à la violence ».
Quelques jours après, le jeune homme a été condamné à 56 jours de prison.
Tandis que le délire totalitaire des démocraties occidentales atteint des sommets, les nombreux gangs d’immigrés pakistanais (concrètement racistes) continuent à s’adonner tranquillement à la traite des jeunes Anglaises (ici et là).
Changeons de culture
Ancien ministre de la Culture,
l'homosexuel Jean-Jacques Aillagon a
déclaré, après avoir rappelé que plusieurs millions de personnes en France sont d'origine nord-africaine :
« Il faut trouver une place pour la culture algérienne en France »