Le blog politique de Thomas JOLY
Président du Parti de la France
Le caillassage de pompiers : un sport de « jeunes » (par Joris Karl)
Le « jeune » est taquin. Depuis trente ans, on a beau lui offrir à grands coups de milliards des installations de toutes sortes, rien n’y fait ! Le « jeune » continue à pratiquer son sport favori : le caillassage de tout ce qui porte un uniforme, de tout ce qui lui rappelle qu’il vit au milieu de ce qu’on appelle – nous autres – la civilisation.
Ce qui s’est passé ce week-end à Toulouse en est la preuve : le caillassage est en vogue et la création d’une grande fédération nationale va devenir nécessaire. Pour le moment, l’arbitrage du championnat est généralement assuré par les CRS. Jusqu’à quand ?
On aura noté que l’équipe de « jeunes » qui a évolué dans le doux quartier du Mirail (qui vise cette année le titre de champion du caillassage) a pratiqué avec soin, en respectant les règles fondamentales de ce noble sport. Devant leur chaleureux public, des pompiers ont été ainsi « pris à partie » (mots de Marie Drucker sur France 2) alors qu’ils portaient secours à une dame âgée victime d’un traumatisme crânien.
Les spécialistes apprécieront la suite, le caillassage ayant été agrémenté, comme il se doit, par quelques actions techniques de haut vol : l’un des pompiers a ainsi reçu un coup de pied dans la tête avant que l’ambulance soit ravagée par une pluie de projectiles. La dame âgée n’a pas pu être prise en charge et deux pompiers ont dû être évacués vers les urgences.
Beau bilan, mais cela ne suffira pas pour que le CSM (Club sensible du Mirail) remporte le championnat 2013. Le SB (Sporting barbare) de Brétigny-sur-Orge (caillassage des secouristes et pillage des victimes du train déraillé) a plusieurs longueurs d’avance en tête du classement, y compris sur le TCO (Trocadéro caillassage olympique) qui pensait pourtant avoir fait le plus dur en début de saison !
Après la belle performance du Mirail, comme toujours, les discours moralistes ont déferlé. Sur Europe 1, Patrice Beunard, président du Syndicat national des sapeurs-pompiers professionnels a usé d’un vocabulaire condescendant pour nos jeunes champions : « Ces gens qui se réunissent sont en mal-être, en difficulté. Je crois que pour eux un uniforme représente une autorité et comme ils ne veulent pas respecter l’autorité, ils agressent comme cela sans trop réfléchir, très bêtement. »
Un policier ayant vécu plusieurs jolis caillassages ces dernières années près de Paris nous confiait : « Ils agissent comme des singes. Dès qu’ils nous voient, ils jettent des pierres ou toute sorte d’objets. » Témoignage nauséabond que partageaient malheureusement nombre de ses collègues de la BAC… Ce sport, certes un peu particulier, reste encore décidément incompris…
Les puristes du caillassage regretteront peut-être qu’au Mirail ou ailleurs, le lancer de machine à laver sur voiture ne soit pas toujours au rendez-vous. Les « jeunes » se contentant parfois de modestes parpaings. Décidément, tout fout le camp !
Argenteuil : les musulmans veulent créer des milices d’autodéfense et les répandre en France
Comme à Trappes, la colère monte dans cette ville du Val-d’Oise.
(…) La parano a gagné une partie de la ville. Le moindre accident de scooter est transformé en bavure policière mortelle. Les SMS annonçant des catastrophes imaginaires circulent, aussitôt relayés par les réseaux sociaux
Des « envoyés spéciaux » du site islamique Anâ Muslim (« Je suis musulman »), portant barbe et tunique longue, sillonnent la ville. Ils interrogent des jeunes qui considèrent qu’il ne faut pas attendre que « la justice fasse son travail ».
(…) Ils en sont convaincus : les agresseurs – « pourquoi pas des policiers ? » -, « ils » les cachent.
(…) On ne les reprendra pas à voter pour la gauche. Vont-ils créer leur propre liste ? Ce n’est pas impossible. « La génération couscous et danse du ventre, c’est fini. » Ils exigent l’abrogation des lois sur le voile à l’école et sur le niqab, qui créent, « comme en Bosnie, un nettoyage ethnique et religieux ».
Si « ça brûle dans les banlieues, la responsabilité en incombera aux pouvoirs publics ». Sans plus attendre, ils s’attellent à une nouvelle tâche : constituer des groupes d’autodéfense, qu’ils veulent essaimer dans la France entière.
Dimanche 6 octobre : fête nationale du Cercle national des combattants
Dimanche 6 Octobre 2013 – Fête du Cercle National des Combattants sur le thème « Hommage à l’Armée française d’hier et d’Aujourd’hui »
Au Château de LA CHAPELLE D’ANGILLON
Route Jacques Cœur – 18380 LA CHAPELLE D’ANGILLON
Voir le site du chateau d’Angillon
Entrée 5€ – Parking gratuit
Transport : Un autocar est prévu. Départ 06h45, Porte Maillot (PARIS) devant l’entrée principale du Palais des Congrès – 30€ par personne aller-retour – Inscription au 01.40.59.07.66
Nombreux stands variés – Programme de cette journée auprès du CNC – Tel : 01.40.59.07.66 (Repas sur inscription) – Buvette – stand casse-croûte.
e-mail : cerclenationalcombattants@orange.fr
Lien : cncombattants.org/22
A cette occasion, le film de Robert SAUCOURT, président de l’Association pour la Mémoire de l’Empire Français : « Tu te souviens ? C’était Alger… », sera projeté.
Dans le cadre de cette manifestation, une conférence sera donnée à 15h précise par José CASTANO sur le thème : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »
DISCOURS DE ROGER HOLEINDRE
Festival : Chalon-sur-Saône, entre indigence et propagande… (par Joris Karl)
Le hasard a fait que j’étais le week-end dernier à Chalon-sur-Saône au moment de « Chalon dans la rue », festival annuel de la ville. Rues bondées sous le cagnard.
Presque irrespirable. N’étant pas fan du spectacle de rue, je faisais contre mauvaise fortune bon cœur.
« Chalon dans la rue », c’est gratos après tout. Entre deux gorgées de bière coupée à l’eau, entre deux engloutissements de churros huileux, on peut bien tomber sur quelque chose de sympa. Enfin, l’espoir fait vivre.
Comme chaque année, la cité est envahie par des hordes de jeunes blancs habillés en clodo, cheveux africanisés, gueules défoncées par le shit ou la bière, mais aussi par des clébards tenant en laisse quelques punks crades, un kaléidoscope du lumpenprolétariat white trash d’aujourd’hui. Ici, des retraités ventripotents, repus de leurs trente glorieuses, matent les mêmes spectacles subventionnés qu’un groupe de « caillera » qui jettent des bouteilles sur scène ! Et plein de bobos ébahis devant l’art moderne.
La journée se passe. La plupart des spectacles sont insupportables de longueur ; parfois beaux vus de loin, mais souvent vides comme un œuf Kinder fabriqué en Corée du Nord. Le soir, je tombe sur des danseurs contemporains qui font de la muscu au milieu de barres de fer. « C’est une valse des hauts-fourneaux pour dire la souffrance et la fierté », dira la presse locale. Admettons ! Pendant un quart d’heure, un vieux cégétiste en uniforme ArcelorMittal s’enroule dans une chaîne avec un collègue asiatique. Le public n’ose pas bâiller. On se casse.
Plus grave, l’inévitable bourrage de crâne que les gens ne perçoivent sans doute même plus : l’idéologie dominante rôde. J’ai suivi une dizaine de spectacles en deux jours et, presque chaque fois, certaines phrases reviennent avec l’insistance d’une musique de hall d’immeuble. L’immeuble totalitaire mais confortable où nous sommes en résidence surveillée.
Florilège. Chaque mot compte dans ce festival… « transnational », selon le site officiel. Il est près de minuit, un bal populaire, bien franchouillard, commence. Le speaker ne peut s’empêcher : « Nous vous proposons un spectacle sans frontières… »
Je m’en vais et rejoins la place de l’hôtel de ville. Un immense personnage déambule dans le noir, au milieu de fumées et de lumières bizarres. Les acclamations de la foule, plongée dans un abrutissement inquiétant : c’est un immigré géant, actionné par 4 ou 5 personnes. Une voix off plane au-dessus des citoyens : « Je viens d’un pays en guerre. J’ai fui mon pays et je suis arrivé ici. J’erre depuis 30 ans. » Ailleurs, au cours d’un spectacle qualifié d’« anticapitaliste », un des acteurs lance : « Vive l’errance ! » Autre show, dans une rue : « Nous sommes tous frères ! », gueule un grand maigrelet torse poil. Le tout sur fond de tambours africains, de musique tzigane…
Le message doit absolument passer. Capito ?
Le dur travail de député : démonstration avec Avi Assouly
Le député socialiste Avi Assouly (?) était suivi par des caméras lors d’une session parlementaire. Édifiant.
N’écoutant rien des débats, cherchant surtout à récupérer des places de foot, faisant des réflexions graveleuses à sa voisine, séchant rapidement la séance, arrivant à peine à voter comme son parti lui a demandé (sans probablement savoir de quoi il s’agit)…
C’est beau, un vrai homme politique républicain !
Rappelons que les parlementeurs sont payés 13 500 euros mensuels bruts, plus d’innombrables primes, notes de frais, indemnités, etc.
Voix de la Russie : le flash d'actualité hebdomadaire
Jamel Debbouze accusé de meurtre depuis 20 ans…
Le 17 Janvier 1990, Jean Paul ADMETTE (16 ans), fils de Michel et Marlène ADMETTE, est poussé sur la voie ferrée en gare de Trappes. Un train qui arrivait à 150 km à l’heure le faucha et laissera aussi des séquelles à Jamel Debbouze, cette main qu’il cache obstinément dans ses poches.
« J’affirme que Jamel Debbouze est l’assassin de mon fils, c’est lui qui a poussé mon fils sous le train » ne cessera de dire Marlène Admette. « Immédiatement après l’accident, plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que c’est Jamel Debbouze qui avait poussé mon fils sur la voie ferrée. C’est à ce moment là que Jamel a lui-même été blessé à la main. Le seul problème est que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au commissariat de St Cyr l’Ecole, tous sauf une jeune fille, Edwige Anzouana, qui persistera dans ses déclarations. »
Jamel fut poursuivi pour homicide involontaire suite à la plainte déposée par la famille, cependant, il obtiendra un non-lieu.
La mère ajoute que Jamel n’aurait jamais daigné présenter ses excuses à la famille Admette.
« Jamel est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 h. Jamel était accompagné de deux autres personnes». «Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le train. Et ensuite le drame est arrivé. Tout ça parce que Jamel, qui n’a jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, à piégé mon fils en lui cachant qu’ils était accompagné de voyous qui en voulaient , tout comme lui, à son blouson ; blouson que l’on a d’ailleurs jamais retrouvé.»
« On ne nous a rendu que le corps. Oui, c’est bien Jamel qui a tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la voie ferrée » dénonce Marlène.
En 2007, Jamel Debbouze avait programmé une tournée à la Réunion. Il a dû l’annuler au dernier moment, évoquant un problème de santé. Pour les Admette, qui avaient manifesté en apprenant sa venue, il avait seulement eu peur de se retrouver face à eux.
Hommage de Carl Lang et du Parti de la France au colonel Jacques Disdier
Carl Lang et le Parti de la France ont appris avec douleur le décès du colonel Jacques DISDIER, chevalier de la légion d’honneur, officier de l'ordre national du mérite, croix de guerre Indochine et Algérie et ancien Conseiller régional du Nord-Pas de Calais. Patriote exemplaire, officier supérieur, père de famille et militant politique, Jacques DISDIER était un homme ayant consacré sa vie au service de la France. Carl Lang et le Parti de la France adressent leurs condoléances affectueuses à ses deux filles et à ses petits enfants.
Le scandale des congés bonifiés dans les DOM
Ces congés aux petits oignons dont profitent 32.000 fonctionnaires originaires d’outre-mer coûtent 600 millions d’euros par an aux contribuables, au nom de la « continuité territoriale ».
En mars 2013, un fonctionnaire de police d’origine guadeloupéenne travaillant à Paris a obtenu le maintien de ses privilèges grâce au Conseil d’Etat. Le tribunal administratif de Paris avait refusé de lui accorder un congé bonifié en estimant que ses « centres d’intérêts matériels et moraux » se situaient en France où il vit et s’est pacsé en décembre 2010. Le Conseil d’Etat a toutefois rendu une décision favorable au demandeur. Le jugement du tribunal administratif a été annulé et ce même tribunal devra rejuger l’affaire.
Ce cas relaté par le quotidien France-Antilles ouvre une jurisprudence exploitable pour les 32.000 personnes éligibles au dispositif du « congé bonifié ». Il s’agit d’un régime particulier de congé auquel les agents des trois fonctions publiques originaires des départements d’outre-mer, peuvent prétendre lorsqu’ils travaillent en métropole. Le fonctionnaire concerné peut en bénéficier tous les trois ans.
La formule permet à l’agent public d’effectuer périodiquement un séjour dans son département d’origine aux frais de la princesse. Concrètement, ce congé bonifié donne lieu à une majoration de 30 jours de vacances, à la prise en charge des frais de voyage du fonctionnaire (et de sa famille) vers les DOM. Sans oublier, et c’est le comble, le versement d’une indemnité de « vie chère » de 35% à 40% durant sa période de congé ! Les frais du conjoint, concubin ou partenaire pacsé, peuvent aussi être pris en charge si ses ressources sont inférieures à 1.486,32 euros bruts par mois. Cerise sur le gâteau, l’administration paie même les excédents de bagage dans la limite de quinze kilos et les fonctionnaires continuent à bénéficier de leurs droits (primes…) durant les 30 jours de soleil offerts par l’administration. Lire la suite
Le Parti de la France rend hommage à Jean Madiran
Communiqué de Martial Bild, membre du Bureau Politique du PdF
Jean... Intelligence pointue, philosophe et visionnaire. Il aurait pu mettre son savoir et son talent dans la seule rédaction de doctes et indispensables ouvrages devenus rapidement des livres références. Mais Jean Madiran était surtout, de mon point de vue, un combattant national et catholique. Et pour se donner les moyens de ce combat, il a créé un outil précieux et indispensable : "Présent ". Un quotidien... Pari insensé si réussi, si nécessaire. Un éditorial en quelques points acérés et cinglants, allant à l'essentiel.
La disparition de Jean Madiran constitue une perte majeure pour la droite nationale, patriotique et catholique.
Bernard, Jeanne, Olivier, Caroline, Alain et tant d'autres doivent se sentir bien orphelins de cet homme respecté qui rejoint d'autres étoiles de l'envergure d'un Maurras, d'un Thibon ou d'un Georges-Paul Wagner.
À Dieu Jean.
Brive : les militaires en ont assez des « jeunes » des cités ! (par Gabrielle Cluzel)
Le moins que l’on puisse dire est que le traitement médiatique réservé aux affrontements de Brive-la-Gaillarde, il y a une quinzaine de jours, entre « jeunes » des quartiers sensibles des « Chapélies » ayant investi la piscine privée d’une résidence, et militaires du 126e RI habitant ladite résidence, suscite incompréhension et interrogations, comme en témoigne un émoi certain ces jours derniers sur les réseaux sociaux.
Le journal La Montagne parle de « litige » entre jeunes et militaires, les sites de TF1 ou du Figaro rapportent « des tensions fortes » et le souci du maire PS de Brive – proche de Hollande – Philippe Nauche de « calmer les esprits des deux côtés » et de « ne pas stigmatiser » en montant « une communauté contre l’autre ». L’AFP, quant à elle, explique que « l’altercation a impliqué un nombre indéterminé de militaires du 126e RI, qui seraient d’origine polynésienne, et des habitants du quartier des Chapélies ». Jean-Dominique Merchet, du blog Secret Défense, que l’on a connu mieux inspiré, évoque une « querelle de voisinage », et accuse l’extrême droite — il y avait longtemps — de faire monter la sauce.
Et si l’on posait les vraies questions ?
Est-ce donc l’extrême droite qui, le 15 juillet, a mis son maillot de bain et est venue pour la énième fois envahir une piscine privée — et pas en mode discrétion — importunant les baigneurs, insultant copieusement le gardien, puis les résidents, qui la priaient de partir ?
Si d’aventure, ce qu’à Dieu ne plaise, le joli appartement versaillais de Jean-Dominique Merchet se trouvait investi par quelques squatteurs venus des cités voisines et que celui-ci entreprenait de les en chasser en criant à la violation de domicile, faudrait-il parler de « querelle de voisinage » ?
Est-il juste — et à Tahiti, où l’on suit de près cette affaire, nombreux sont ceux à s’en émouvoir — d’évoquer, sans crainte de « stigmatisation », l’origine polynésienne des militaires, mais de taire pudiquement celle des habitants du quartier des Chapélies ?
Est-il opportun de présenter cette altercation entre militaires du 126ème RI (régiment qui s’est illustré récemment en Afghanistan et au Mali) et « jeunes » du quartier des Chapélies comme on présenterait une rixe entre bandes rivales aux motifs louches et obscurs dans les quartiers nord de Marseille ?
Un vrai travail d’analyse n’imposerait-t-il pas de rapprocher cette affaire de plusieurs autres accrochages récents du même genre, notamment à Castres en septembre dernier, entre parachutistes du 8e RPIMA et « jeunes » des cités ? Que faut-il y voir ? Une montée d’animosité entre les militaires et les jeunes issus de la diversité, ou l’expression d’une résistance aux « incivilités » de la part de soldats formés pour se défendre et peu enclins à se laisser marcher sur les pieds, surtout, lorsque étant polynésiens, la perspective d’être traités de racistes les atteint assez peu ?
Suite à ces affrontements (autour de la piscine, dans le quartier des Chapélies, puis à nouveau dans la résidence), aux dégradations qui en ont découlé, et également à la fausse couche dont a été victime la compagne d’un des militaires (potentiellement consécutive à la violence des heurts dont elle a été témoin), plusieurs enquêtes ont été ouvertes et sept hommes (quatre militaires et trois habitants des Chapélies) ont été mis en examen. Des CRS ont également été déployés sur la zone.
Une affaire, donc, loin d’être classée.
Le déraillement du RER de Brétigny expliqué par Michel Chevalet : le sabotage est une évidence
La gigantesque arnaque du Livret A (par Arnaud Raffard de Brienne)
Au 1er août, le rendement du Livret A, l'épargne chouchou des Français, nous dit-on, passera de 1,75 à 1,25%, poursuivant ainsi la dégringolade qui l'avait fait chuter de 2,25 à 1,75% en février dernier. Motif officiel, la baisse de l'inflation. Un homme politique de premier plan ose quand même affirmer qu'"en dépit des apparences, le Livret A bénéficie d'un coup de pouce par dérogation à la formule du taux prenant en compte les taux d'intérêt du marché monétaire, dont le taux est très bas en ce moment". Sûrement un énarque... Le respect de la formule évoquée aurait en effet abouti à l'application d'un taux ramené à 1%, soit le plus faible jamais atteint depuis 1818, date de la création du livret. Il n'empêche qu'à un pareil coup de pouce nous ne saurions répondre décemment que par la présentation d'un solide majeur.
Nuits d'émeute à Creil la semaine dernière dans le plus grand silence médiatique
Pour l'apprendre, il fallait avoir la chance de tomber sur les 4 lignes de cet entrefilet du Parisien :
Plusieurs affrontements ont opposé de jeunes habitants du Plateau [comprendre : des voyous africains] et les forces de l’ordre depuis jeudi. C’est un contrôle de police, dans la nuit de mercredi à jeudi, qui aurait mis le feu aux poudres. La tension demeure [comprendre : l'ordre n'est pas du tout rétabli dans cette zone de non-droit colonisée par toute la lie du Tiers-Monde].