Le blog politique de Thomas JOLY
Président du Parti de la France
Destruction de l'église Saint-Jacques à Abbeville : l'aveu de Nicolas Dumont, maire socialiste et franc-maçon
Le 20 juin 2013, dans le Courrier Picard
est paru un article signé Thomas Diévart qui démontre de manière éclatante que la destruction de l’église Saint-Jacques d’Abbeville n’était en rien une fatalité mais un acte volontaire décidé par
Nicolas Dumont, maire d’Abbeville, dont la seule motivation était de détruire l’église sans nécessité.
On y lit qu’un square remplacera désormais l’église détruite. Et que, selon l’élu, cet aménagement « à la louche [...] coûtera 2 à 3 millions d’euros ». Si l’on rappelle que le budget prévu pour la démolition était au minimum de 500.000 euros (c’est le montant qui avait été provisionné par la ville), on constate que le maire envisage, sans sourciller, une dépense totale de 3,5 millions d’euros pour remplacer l’église par ce square.
Or, le devis pour la
restauration de l’église établi par un architecte des monuments historiques en 2008 était de 4,2 millions d’euros. Soit une différence avec ce qui a été fait de 700.000 euros, une somme qu’il
aurait été facile de couvrir par des subventions et éventuellement une souscription (voir l’exemple de la commune d’Arc-sur-Tille).
Le coût de la restauration n’étant, de l’aveu même du maire, plus une justification valable pour avoir détruit ce bel édifice, on peut légitimement se poser la question de la raison de cet infâme vandalisme.
Hypocrisie suprême : on lit également dans cet article que les
allées du square « forme[ront] une croix, orientée comme l’était l’église ». Enfin, « la Ville n’exclut pas de réinstaller sur la place [la cloche de
l’église], encore faut-il trouver un moyen de la mettre hors de portée d’éventuels vandales ou mélomanes intempestifs. » Nicolas Dumont ayant peur des vandales, voilà qui serait
presque drôle.
La palme de la bêtise...
Voici la réaction sidérante d'une bobo haut-de-gamme suite à l'ignoble assassinat commis par Abdelkarim el-Kadaoui qui a poignardé sa femme et ses trois enfants. Forcément c'est la « faute de la société française qui l'a obligé à rentrer dans le moule... »
On notera au passage l'éloge des États-Unis, société exempte de toute violences comme tout le monde le sait. Peut-être serait-il intéressant pour cette prof de vérifier ses belles théories sur la société libérale américaine idyllique en passant quelques semaines dans le Bronx (N-Y) ou à Inglewood (LA).
Plus de 60 % des délinquants viennent d’Europe balkanique (par Gabrielle Cluzel)
L’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) vient de révéler que plus de la moitié des multirécidivistes (ayant commis cinq infractions ou plus) sont des mineurs. Près d’un tiers d’entre eux ont moins de 15 ans. En ce qui concerne les « vols simples », plus de 60 % des interpellés sont de nationalité roumaine, ou originaire « d’Europe balkanique ».
Entre 2009 et 2010, ces multirécidivistes ont commis en moyenne près de huit infractions (hors délits routiers), sans compter bien sûr — pas vu, pas pris — celles pour lesquelles ils n’ont pas été épinglés…
Vues froidement de l’extérieur, les choses ont l’air pourtant tellement simples : quel conseil de bon sens donnerait-on, entre la poire et le fromage, à une famille périodiquement importunée par la même bande de gamins chapardeurs ? Rajoutez donc quelques verrous à la porte de la maison France, une barrière au fond du jardin Europe, et flanquez une fessée mémorable auxdits galopins, histoire de leur faire passer définitivement l’envie de revenir.
Mais notre pays relevant plus désormais, soyons lucides, du terrain vague ouvert à tout vent que de la maison de famille, les choses n’y sont jamais simples, et c’est donc tout le contraire qui va être fait. Pourquoi faire logique quand on peut faire absurde ?
En janvier 2014, les ressortissants de la Bulgarie et de la Roumanie pourront bénéficier du principe de libre circulation européenne (non seulement on ne rajoute pas un verrou ni une barrière, mais on met un escabeau devant le petit muret qui existe encore) et, « afin de redonner la primauté à l’éducatif sur le répressif », on annonce la suppression du tribunal correctionnel pour mineurs et surtout l’abrogation des peines plancher. La punition n’étant pas dissuasive, on va donc l’alléger pour qu’elle fasse encore moins peur. Et tout va s’arranger ! Par une admonestation bien sentie et en faisant les gros yeux, le juge des enfants va, d’un coup, tournebouler ces petits et les toucher définitivement au cœur. Jamais, au grand jamais, ils ne convoiteront plus le bien d’autrui, même pas le porte-monnaie dans la poche arrière du pantalon d’une confiante touriste américaine. Cela arrive, hein, d’être foudroyé par la grâce après une bonne parole. Mais essentiellement dans les séries sur Disney Channel.
Il paraît que le dernier rempart serait Valls, l’homme fort du gouvernement « préféré de la droite » (sic). Mais si ! Je viens encore de le lire dans la presse (il faut pardonner à ce fin limier reporter, il a sans doute passé les huit derniers mois très loin de chez nous en Antarctique sans communiquer avec personne d’autre que les manchots empereurs). Valls trouverait les initiatives éducatives miséricordieuses de Taubira un peu casse-gueule. Et nous, donc ! Mais n’attendez pas de lui qu’il s’oppose à elle car — vous savez quoi ? — il « l’aime beaucoup ». Disney Channel, quand tu nous tiens.
Les emplois bidons de François Hollande (par Christian Menanteau)
Dictature socialiste : nous la mettrons à bas !
Communiqué d'Yvan Bénédetti, président de l'Œuvre Française
Le gouvernement est exsangue. A bout de souffle, il ne sait plus comment nous faire taire, sans doute sait-il qu’il n’y parviendra jamais. Sa dernière tentative : une procédure discriminatoire en vue de la dissolution des Jeunesses Nationalistes, fondées par Alexandre Gabriac et de l’Œuvre française que je préside. Comble de l’infamie, cette forfaiture a été commise au nom du gouvernement par une direction dite des libertés publiques. Quand on ne sait inventer, on en vient à copier. Aussi ce gouvernement socialiste finit-il par recourir aux méthodes qui ont déjà servi autrefois pour « la chasse aux nationalistes ». On retrouve les références à la guerre d’Espagne d’un Emmanuel Valls en proie aux relents anti-fascistes viscéraux, au goût immodéré pour les dissolutions comme arme du désespoir, d’un Ayrault qui n’en n’a pas même l’orthographe, mais tente de s’inspirer des faits de guerre du Front Populaire pour mettre à bas cette France non reniée qui ne veut pas s’éteindre. En s’en prenant à l’ Œuvre française, ils attaquent un mouvement de près d’un demi-siècle, qui n’a jamais fait l’objet de condamnation pas plus que d’interdiction, dont le fondateur, Pierre Sidos a vu deux de ses frères tomber pour la Patrie et qui est l’héritier d’un père héros de Verdun.
Tant de références qui devraient susciter le respect, tant de références qui ne peuvent chez eux qu’attiser la haine, car eux sont l’anti-France. N’arrivant pas à dissoudre les individus par une répression toujours plus forte, c’est collectivement qu’ils tentent de nous atteindre par une procédure liberticide, calomnieuse, illégitime, contraire aux beaux principes dont ils se font les chantres, contraire même à la Constitution dont les droits semblent n’avoir été écrits que pour ceux par qui elle a été rédigée et les devoirs pour ceux contre lesquels elle a été instituée. Ce gouvernement de coqs a-t-il sans doute pris goût aux défaites, des taux record du chômage, à l’augmentation de la dette, à l’insécurité croissante, à la bêtise crasse, à l’immoralisation de la vie politique, à l’idéologie sectaire… il tente désormais d’ajouter à la longue liste celle de la mort programmée du Nationalisme.
Leur démocratie est prétendument fondée sur la légitimité populaire. Où se trouve la légitimité d’un gouvernement qui a connu huit échecs sur les huit dernières échéances électorales, dont les sondages d’opinion sont plus qu’un camouflet, un véritable désaveu, dont les moralisateurs sont tous corrompus jusqu’à la mœlle, dont l’imposture idéologique n’a d’écho tangible que l’imposture morale, dont l’oreille est sourde aux cris du peuple qui souffre chaque jour un peu plus. Ne trouvant plus sa légitimité dans le peuple qui l’a abandonné puis renié, c’est dans la violence que le gouvernement l’a définitivement perdu, instaurant une véritable tyrannie. Mais la dictature socialiste tombera, comme elle est toujours tombée, et avant même que le Nationalisme n’ait vacillé. La liberté n’est pas un alibi, elle est une arme affûtée dont le couperet tombera. Elle n’est pas celle illusoire des contes démocratiques, mais celle bien réelle des révolutions.
Qui souffrirait de voir se prolonger le diktat imposé par les persécutions policières, les arrestations arbitraires, le gazage des femmes et des enfants, les rétentions illégitimes … qui ? Certainement pas le peuple, certainement pas la France ! Certainement pas nous ! Le poing levé ne parera pas le coup franc ! Alors mobilisation générale contre ce mauvais coup porté non seulement contre nous mais aussi contre les libertés. Cette dictature socialiste nous la mettrons à bas, et ça, ça n’est pas un vœu pieux, c’est une promesse. Pas l’ Œuvre française, non. Pas les Jeunesses Nationalistes, non. Le peuple, la France ! En avant la victoire !
Deux poids, deux mesures : un Turc ayant tué deux patriotes français relâché au bout de quelques semaines
Selon La Voix du Nord, Hüseyin Topkaya, chauffeur présumé de la voiture qui a renversé plusieurs personnes et tué deux frères âgés de 20 ans à peine, Damien et Romain Vandaele (photo ci-contre), a été libéré en fin de semaine dernière. « Une libération discrète ».
David Mattéo, l’autre chauffeur, a été libéré le 11 juin dernier. Les deux principaux mis en examen sont donc désormais libres. Depuis le début de cette affaire (apparemment une querelle locale mal éclaircie), les deux principaux mis en examen affirment qu’il s’agit d’un accident et non d’un homicide involontaire.
Pourtant, l’une des victimes rescapées affirme que la voiture a délibérément foncé sur eux.
L’avocat de Hüseyin Topkaya avait déclaré à l’époque « mon client a donné un coup de main au nom de la communauté turque »…
Dissolution des groupes antifascistes !
Les dissolutions de la peur
Tribune libre
Utilisant le prétexte de la mort de Clément Méric, le gouvernement socialiste a engagé plusieurs procédures de dissolution à l'égard d'organisations nationalistes qu'il avait dans le collimateur depuis un certain temps. Même si « l'affaire Méric » se dégonfle de jour en jour - les preuves et témoignages accablants se succèdent, démontrant que le petit roquet antifasciste et sa bande de voyous d'extrême-gauche étaient les agresseurs lors de la rixe où il est accidentellement décédé - nos gouvernants n'en ont cure.
Alors pourquoi cet acharnement et cette hâte à dissoudre des « groupuscules extrémistes » comme ils se plaisent à les décrire ? Parce que ceux qui nous gouvernent ont peur, tout simplement.
L'ampleur de l'opposition à la loi sur le mariage homosexuel qui a débouché sur un véritable « Printemps français » les terrorise. Ils sont morts de trouille parce qu'ils n'arrivent ni à manipuler ni à canaliser cette légitime révolte populaire qui gronde et qui dépasse le cadre du refus de l'infâme loi Taubira. La féroce répression policière, totalement disproportionnée, ainsi que les condamnations judiciaires iniques, ne fonctionnent pas. Les faux-opposants acquis aux dogmes de la République franc-maçonne, de l'UMP à Marine Le Pen en passant par Frigide Barjot, ne parviennent pas à briser cet élan populaire de la France des terroirs et des clochers en tentant de replacer le débat public dans un cadre « conventionnel » où tout est contrôlé.
Alors on s'agite en haut-lieu et on tente de museler, affichant sa pusillanimité au grand jour, les organisations non-conformistes qui tiennent depuis toujours un discours révolutionnaire appelant à mettre à terre un Système vermoulu dont les Français se méfient de plus en plus.
Ces dissolutions sont l'aveu éclatant d'une fébrilité typique des régimes en bout de course. Cette hargne est celle de la bête acculée, dos au mur, qui sent que son temps est compté.
Le France charnelle et millénaire n'est pas encore dissoute dans le mondialisme consumériste et métisseur. L'espérance française face aux menaces qui pèsent sur notre civilisation est en train de renaître. Et les ultimes soubresauts liberticides d'une Ripoublique agonisante n'y changeront rien.
Thomas JOLY
Secrétaire général du Parti de la France
« On va te trancher la gorge, sale Blanche »
Madame Leterme a été victime en 2010 d’une persécution raciste lorsqu'elle
habitait à Savigny-le-Temple (77). Elle raconte son histoire à Minute. Extraits
:
« Du jour au lendemain, elle a été rejetée, insultée, et le conflit a vite pris des proportions énormes, à tel point que j’ai fini par ne plus la laisser sortir dans le jardin clos, commun
aux résidents du rez-de-chaussée. Les autres enfants la traitaient de sale fille de Blanche, de sale Française, lui disaient que sa mère était une sale pute, qu’elle n’avait rien
à faire là, qu’elle n’était même pas une bâtarde… [...]
Au mois de mars, comme mes enfants recommençaient à sortir, nous avons reçu des menaces et des lettres nous incitant à partir, sous peine d’être égorgés. Les agresseurs se sont aperçus que je vivais seule, ce qui les a rendus encore plus hostiles, et le fait que je ne les craignais pas n’a pas non plus joué en ma faveur. Je me suis rendue au commissariat pour déposer deux mains courantes, qui n’ont jamais rien donné. La situation est restée aussi tendue, les enfants d’une dizaine d’années venant jusqu’à mon portillon pour nous insulter, nous traiter de sales putes et de sales Blanches, jusqu’à ce soir du 30 juin, où, après une nouvelle altercation, des adultes sont intervenus pour effrayer ma fille, en lui disant qu’elle n’avait pas à se mélanger avec leurs enfants, qu’ici ils étaient chez eux et qu’ils allaient nous faire la peau.
Nous sommes des provinciaux et mes enfants n’ont pas l’habitude d’entendre de tels discours de haine. Terrorisée, elle s’est réfugiée chez nous. Mon ex-mari et un autre ami, venus fêter mon anniversaire, sont sortis pour discuter et se sont alors fait lyncher par sept individus, à coups de bâtons, de planches de bois et de casque. Mon ex-mari a eu un traumatisme crânien, le cuir chevelu ouvert et de multiples contusions, et notre ami une fracture ouverte à deux doigts. Ma fille et moi assistions à la scène. [...]
Mes enfants étaient enfermés dans mon appartement et j’étais sortie pour accompagner les pompiers, qui prenaient en charge mon ex-mari et notre ami pour les emmener au CHU de Melun. C’était la cohue, la jubilation totale, tout le monde trouvait normal que nous partions. Nos agresseurs m’insultaient et me menaçaient de mort devant les policiers, sans aucune gêne ni crainte : ils m’ont dit qu’ils nous trancheraient la gorge, à ma fille et à moi : « Ne t’inquiète pas, on va te retrouver, tu ne seras pas toujours protégée, on va te trancher la gorge, sale Blanche, tu n’avais rien à faire ici… »
Sur les sept hommes qui avaient lynché mon ex-mari et notre ami, trois seulement ont été interpellés et traduits en justice. [...] En dépit de casiers judiciaires chargés, ils ont été condamnés à des peines avec sursis, ou de moins de deux ans de prison fermes : ils ne seront donc pas emprisonnés. [...] »
Jalabert dopé : mais qui ne l’était pas ? (par Marie Delarue)
Qu’est-ce qu’on nous dit ? Jalabert chargé à l’EPO ? Nous voilà bien ! À cinq jours du départ du Tour de France, et pour le centième anniversaire de la Grande Boucle, en plus… Dans une France déprimée, c’est vraiment la piqûre de trop. Ce p’tit gars si gentil, si propre sur lui, si bon Français.
Manquerait plus qu’on apprenne que l’idole Noah sniffait de la coke en cours de match, ou qu’on fit tomber Djamel Bouras pour ne pas devoir détrôner le grand Douillet qui sentait fort la nandrolone. D’épouvantables racontars à jeter l’opprobre sur le métissage culturel et les pièces jaunes. Et Poupou alors, le Poulidor à mémé, qu’est-ce qu’il mettait dans son biberon ? Du calva, de la gnôle, de la beu des Andes, une infusion de pétard ?
Enfin, tout cela se passait au siècle dernier, au temps des éprouvettes, des boîtes de Petri et du papier réactif. Aujourd’hui, c’est « tirez la langue, Monseigneur », et aussitôt votre passé médicamenteux défile dans le cyberespace. On sait même si votre maman a fumé un joint quand vous bulliez tranquillement dans son ventre ou si papa abusait des cachous. Ça fait peur.
Si Jalabert était dopé, c’est comme son ami Virenque : à l’insu de son plein gré. « J’ai toujours fait confiance aux médecins des équipes. Je n’avais aucune raison de penser qu’il fallait être méfiant », dit l’ex-champion. « On était soignés, mais il était difficile de savoir les médicaments qui nous étaient administrés […] Je suis un garçon sérieux, je suis un passionné de cyclisme, j’aime ce sport plus que tout, je vous demande de me croire, mais je suis dans la position de l’accusé. Le mal est déjà fait, quoi qu’il arrive, je suis déjà coupable. » Et vous savez quoi ? Je le crois.
À l’automne dernier, quand on a enfin descendu de son vélo le dieu Armstrong, après l’une de ces séances de confession publique comme les affectionnent les Américains, on a appris des tas de choses peu ragoûtantes. Par exemple que « les chambres d’hôtel étaient transformées en centres de transfusion ». Industriels et industrieux, les amis de l’US Postal. Que peuvent faire les voisins de chambrée pour résister à cela, sinon se charger eux aussi comme des mules ?
Tous les coureurs ayant terminé dans les trois premiers du Tour entre 1999 et 2005 sont au moins une fois tombés pour dopage et, sur les éditions 2000 et 2002, il faudrait descendre jusqu’à la dixième place pour trouver un gars qui ne roulait qu’au glucose.
Aujourd’hui, on remonte le temps, on replonge dans les flacons d’urine millésimée : celle de Jalabert date de 1998. À quoi ça sert ?
Jalabert, comme tous ses coéquipiers, du premier au dernier, a souffert le martyre dans cette course inhumaine. On veut en faire un tricheur, un salopard, un bouc émissaire peut-être, histoire de se décharger de tous nos péchés. Histoire surtout de ne pas voir que nous vivons dans une société complètement défoncée où des gamins s’alcoolisent à la vodka avant de partir au lycée, fument des joints à la récré et rentrent à la maison retrouver papa-maman shootés aux antidépresseurs. Sans oublier un vieux président qui marchait à la coke dans une République où les tricheurs abondent…
Méfiez-vous !
Qui était vraiment Clément Méric ?
Vidéo accablante pour Clément Méric
La scène de rixe avait été filmée par une caméra de surveillance de la RATP, située côté rue, au niveau de la station Havre-Caumartin. Les experts de la police technique et scientifique ont travaillé pendant plusieurs jours sur ces images. On y voit notamment Clément Méric se précipiter vers Esteban Morillo, le jeune nationaliste inculpé pour homicide involontaire, alors de dos, semble-t-il pour lui asséner un coup. Estéban se retourne alors et le frappe avec son poing en plein visage. Difficile de contester l'acte de légitime défense. L'image ne permet pas de dire de façon formelle si Esteban Morillo donne un deuxième coup, ni s'il a ou non un poing américain. Le militant d'extrême-gauche, en tout cas, tombe immédiatement au sol, inconscient. Il n'est pas lynché une fois par terre.
Le local du Picard Crew vandalisé et partiellement incendié
Dans la nuit du 23 au 24 juin, le local du Picard Crew, situé sur un terrain privé dans le département de la Somme, a été dégradé et partiellement incendié. Le montant des dégâts s'élève à 4.000 €. Une plainte a été déposé à la gendarmerie qui a procédé aux constations d'usage. Les courageux auteurs de cette minable atteinte aux biens ont laissé de nombreuses traces sur les lieux de leur méfait et deux pistes sont d'ores et déjà privilégiées.
On remerciera au passage la presse régionale qui, dans un souci d'information bien sûr, avait détaillé avec précision le lieu exact où se situe le local du Picard Crew alors qu'il n'est pas ouvert au public, tout comme les activités qui s'y déroulent...
Ces dégradations n'entament évidemment pas la détermination des jeunes nationalistes picards et Werner Riegert, leader du Picard Crew, a déclaré que tout serait remis en état au plus vite et que les activités programmées sont maintenues. Samedi se déroulera donc comme prévu la formation au combat rapproché avec Jonathan Denis (5 fois champion de France de boxe anglaise catégorie super-lourd).