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Le blog politique de Thomas JOLY

Services publics, Justice, Éducation nationale : vers le grand effondrement

15 Juin 2022, 06:37am

Publié par Thomas Joly

À trop surveiller de près ce Grand Remplacement que d’aucuns ne veulent pas voir, ou font mine de ne pas vouloir voir, on passerait presque à côté du grand effondrement qui est en train de happer notre pays.

Ce grand effondrement est incontestable dans les services publics, et dénoncé depuis des années maintenant par une majorité d’hommes et de femmes politiques de tous bords. L'état de la Justice, de l’Éducation nationale et, bien évidemment, du système de santé public dans son ensemble en est la preuve incontestable. Ces trois piliers structurants de la société, garants de l’État de droit, de l’égalité des chances et de la santé pour tous, ne sont même plus des caricatures de leurs promesses mais des zombies.

Il est désormais flagrant qu’il existe une Justice pour le commun des mortels, affreusement lente et inefficace par manque drastique de moyens, et une Justice pour les puissants, agile et sévère avec les misérables. Ajoutons une troisième Justice politique, qui place des pans entiers de la société sous sa coupe, en toute impunité.

Le constat de l’état de déliquescence dans lequel est plongée l’Éducation nationale est encore plus simple à faire. Le simple fait que les ministres qui se sont succédé rue de Grenelle, ces dernières années, aient tous placés leurs enfants dans le privé, y compris pendant leur mandat, est un aveu criant.

Quant à l’hôpital public, et le système de soins français dans son ensemble, vous avez déjà lu des kilomètres d’articles à ce sujet et avez expérimenté, pour vous-même ou pour vos proches, le chaos des urgences, la chasse à l’ophtalmo, au gynéco ou à l’oncologue. Vous savez.

Le problème, c’est que cette situation de déliquescence généralisée qui s’est amplifiée sournoisement au cours de la décennie écoulée dans le secteur public contamine désormais le secteur privé. La « QOS », pour Quality of Service, ou Qualité de Service, en bon français, n’est plus qu’un lointain souvenir, y compris au sein des grandes entreprises, même celles à la réputation de fiabilité et d’excellence.

Vous me direz, « en quoi est ce grave ? ». La réponse est pourtant simple. Un adage boursier dit « la mauvaise monnaie chasse la bonne ». Les assignats ont fait disparaître au fond des coffres les pièces en or. De la même manière, les mauvaises pratiques chassent les bonnes. Cette propension qu’a l’administration à ne pas répondre aux courriers qu’on lui envoie, à ne respecter aucune règle qu’elle impose aux autres, à complexifier l’intégralité de la chaîne relationnelle avec elle dans le seul but de perdre un maximum de monde en cours de route, afin de faire dégonfler les files d’attente, bref, cette propension à tout faire pour ne surtout rien faire, tout cela devient la norme aussi dans le secteur privé.

Il est certain que la pandémie a contribué à l’installation de ce phénomène, ou à son amplification. Courriers et serveurs vocaux nous ont demandé d’être compréhensifs, en raison de la situation sanitaire patati-patata... Mais il n’y a pas eu de retour en arrière : l’à-peu-près, le « plus tard », le « ce n’est pas possible », le « on le fait plus » sont devenus la règle. Vous, moi, vos proches, avons des dizaines d’exemples récents du quotidien du lent naufrage de pans entiers du secteur privé. Les explications sont multiples, allant du matraquage fiscal et de la tyrannie de la marge à la crise des vocations, en passant par la blague de l’apprentissage subventionné et le recours systématique au numérique qui ne peut surtout pas tout. Mais le constat est là. Ce ne sont plus des cas isolés, ce n’est pas la faute à pas de chance et vous n’y êtes pour rien. La médiocrité est devenue le mode de fonctionnement normal de notre société moderne.

Et après la médiocrité, il y a le néant.

Jean-Baptiste Giraud

Source : http://bvoltaire.fr

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Le nouveau numéro de Synthèse Nationale est sorti !

15 Juin 2022, 06:05am

Publié par Thomas Joly

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Enseignement : les premiers faux pas du ministre Pap Ndiaye

15 Juin 2022, 05:52am

Publié par Thomas Joly

On peut regretter la nomination au gouvernement de Pap Ndiaye, un ministre qui, dans sa vision de la société, semble confondre la France et les États-Unis et montrer une certaine sympathie à l'égard du wokisme. N'en tirons pas de conclusions définitives : l'expérience a montré que, selon la formule de Montaigne, pour qui « le Maire et Montaigne ont toujours été deux, d'une séparation bien claire », il faut distinguer l'homme de sa fonction. Cependant, on ne peut que dénoncer le comportement d'un ministre qui, avant le second tour des élections législatives, écrit dans un tweet que « quelle que soit la configuration aucune voix ne doit aller au Rassemblement national. Le combat contre l’extrême droite n’est pas un principe à géométrie variable ».

Certes, en tant qu'homme, il a le droit, comme d'autres, d'avoir cette pensée ostracisante. En tant que chercheur, en rendant publique une appréciation aussi partisane, il fait craindre que ses recherches ne soient pas toujours objectivement menées, mais conduites par des principes contraires à ce que devraient être ceux d'un chercheur, les idées préconçues et les préjugés. Qu'il ne soit pas le seul n'est guère une consolation : de droite, de gauche, du centre ou d'ailleurs, un chercheur digne de ce nom devrait rester humble et n'avoir pour objectif que la recherche de la vérité, qui n'est pas univoque.

Mais il y a plus grave encore. Pap Ndiaye est le ministre de l'Éducation nationale : cette fonction devrait lui imposer, dans ses déclarations publiques, à défaut de neutralité, une absence de parti pris. Il est, en effet, le ministre de tous les élèves, y compris de ceux dont les parents ont voté massivement pour le parti qu'il qualifie d'extrême droite. Il se doit de respecter ces familles qui ont confié leurs enfants à l'école de la République – à moins que, comme le disait Vincent Peillon, en septembre 2012, il n'ait l'intention d' « arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel », à l'exception du déterminisme de sa propre idéologie.

Sans doute cette école est-elle déjà soumise au conformisme de la pensée. Ses professeurs votent encore majoritairement à gauche, des associations dans le vent y entrent comme dans un moulin, les projets d'établissement se fondent souvent sur les lieux communs de la bien-pensance. Mais, à l'exception de militants politiques pour lesquels tous les moyens sont bons pour influencer leurs élèves, la majorité des professeurs, quelles que soient leurs sympathies, essaient de limiter leur enseignement à la transmission des savoirs. Bon an mal an, on peut espérer que les influences, si elles existent, s'équilibrent. Si ce n'est pas le cas, les parents ont la possibilité de scolariser leurs enfants ailleurs ou de rétablir en famille, quand c'est nécessaire, la vérité des faits.

C'est le propre des régimes totalitaires de vouloir enrégimenter les enfants dès leur plus jeune âge. Si le ministre se confondait avec Pap Ndiaye et cédait à la tentation de mener dans l'enseignement une politique où l'imprégnation idéologique à sens unique supplanterait la transmission de savoirs objectifs et rationnels, il se comporterait en ministre de l’Éducation du peuple et de la Propagande, de sinistre mémoire. Souhaitons que ce tweet ne soit qu'une maladresse d'un ministre novice plutôt que l'acte délibéré d'un Ndiaye militant.

Philippe Kerlouan

Source : http://bvoltaire.fr

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Le Forum du PdF - Jeudi 16 juin à 21h sur Telegram

14 Juin 2022, 19:37pm

Publié par Thomas Joly

Le Forum du PdF - Jeudi 16 juin à 21h sur Telegram

Dans le prochain Forum du PdF, Alexandre Hinger reçoit Thomas Joly, Président du Parti de la France, Victor Jan de Lagillardaie, candidat Reconquête aux Législatives dans la Manche et membre du PdF, Olivier Anest, ex-cadre bourguignon du RN et adhérent Reconquête.

L'émission sera consacrée aux élections législatives et à l'actualité politique.

C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram : https://t.me/partidelafrance

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Les petits bourgeois dégénérés qui votent Mélenchon

14 Juin 2022, 10:58am

Publié par Thomas Joly

Si les boomers macronistes sont désespérants, n'oublions pas non plus ces jeunes bourgeois qui votent Mélenchon et NUPES. Ces wokes islamo-gauchistes sont les archétypes de la dégénérescence blanche qui, sous couvert d'idéalisme universel, nous entraînent vers le chaos racial, économique et social.

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Une France de droite, une Assemblée de gauche… cela ne dérange personne ?

14 Juin 2022, 05:57am

Publié par Thomas Joly

Triomphalisme, hourras, et gros bras du côté de Nupes. Ils ont gagné, ils sont les plus forts, il sont les plus beaux. Peu importe que le succès relève plus d’une addition astucieuse de lignes comptables que d’un déferlement dans les urnes, le résultat est là. Au moins le prétendent-ils. Car en réalité, comme le souligne le journaliste Olivier Truchot « Attention à l’effet loupe. La gauche rassemblée fait un score historiquement bas autour de 25/26 ».

Foin des rabat-joie, on ne parle plus que de l’affrontement entre Nupes et le parti du gouvernement. Il ne resterait donc en France que deux nuances de gauche, une gauche policée et une gauche excitée, dont la différence - ténue, ce n'est qu'une question d'outil et de temps - s’apparente à celle existant entre la déconstruction et la destruction. Mais sur l’identité, la sécurité, la culture, la transmission, la justice, l’enracinement… les divergences ne sont que de degré, pas de nature.

La droite se retrouve exsangue. LR est en chute libre. Le RN, qui lui, a progressé, peut espérer enfin constituer un groupe, mais le nombre de ses députés sera bien dérisoire comparé à ceux de NUPES. Et pour Reconquête, la partie est semble-t-il terminée. Et pourtant, les sondages de ces mois derniers, disaient tout le contraire… s'agit-il du même pays ?

- 84 % des Français affirment avoir confiance dans la police (CSA, juin 2022) ;

- 73 % des Français sont opposés au port de la burka (CSA, mai 2022) ;

- 61 % des Français sont favorables à une loi interdisant le port du dans l’espace public (CSA, avril 2022)

- 60 % des Français pensent qu’il y a trop d’étrangers (IPSOS, mars 2022) ;

- 60 % des Français estiment la situation sécuritaire « mauvaise » (IPSOS, février 2022) ;

- 61 % des Français estiment que l’islam est un danger pour la République (CEVIFOP, janvier 2022) ;

Et ne parlons pas des 47 % des sondés qui se déclarent favorables à la peine de mort…

Une nouvelle "chambre introuvable", autant qu'improbable : comment une France majoritairement à droite peut-elle confier les clés du pouvoir législatif à une chambre des députés (plus que) majoritairement à gauche ?

Mode de scrutin tordu à des fins partisanes, refus d’alliance à droite, cordon sanitaire tendu comme un piège par le magistère morale de gauche, les raisons de l’incongruité parlementaire sont multiples. En attendant, la participation n’a jamais été aussi faible, et la démocratie française sombre gentiment dans une oligarchie de fait : gouvernée par une minorité, restreinte et élitaire. L’électorat privilégié d’Emmanuel Macron à côté de celui de Nupes, qui n'a jamais été moins "prolo". Comme l’analyse le journaliste Renaud Pila, prenant l’exemple de la circonscription Neuilly-Puteaux-Courbevoie sud, la « coalition Mélenchoniste attire, contrairement aux idées reçues, des jeunes électeurs aux revenus élevés appartenant au "bloc bourgeois" ».

Les « déplorables » comme dirait Hilary Clinton, sont repoussés, démocratiquement, aux périphéries de l’Agora, comme géographiquement, aux périphéries des grandes métropoles.

Alors que le moindre achat de pot de fleurs, ou de peinture pour le hall d'entrée, dans une copropriété requiert un quorum, le vote de nos lois pourrait se faire en comité restreint ? Si Emmanuel Macron était un vrai démocrate, c’est au chantier du scrutin législatif qu’il s’attaquerait en premier au début de ce quinquennat.

Gabrielle Cluzel

Source : http://bvoltaire.fr

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Les entretiens du PdF - n°32 - Victor Aubert (12/06/2022)

13 Juin 2022, 06:46am

Publié par Thomas Joly

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La réaction du Parti de la France aux résultats du 1er tour des élections législatives

13 Juin 2022, 06:02am

Publié par Thomas Joly

Communiqué du Parti de la France

Les résultats du 1er tour des élections législatives sont tout sauf une surprise, tout comme la forte abstention. Les candidats macronistes ont été plébiscités même si la gauche socialo-communiste, qui a réussi à s'unir, parvient à se qualifier au 2nd tour dans plus de 400 circonscriptions.

Si le Rassemblement National réussit à accéder au 2nd tour dans environ 200 circonscriptions, le peu d'entrain de ses candidats, l'absence de réserve de voix et la mise en place de l'habituel « Front républicain » risquent d'aboutir à un nombre peu élevé de députés au soir du 19 juin.

Félicitations aux candidats de Reconquête qui, dans un contexte difficile, ont mené une belle campagne de terrain qui n'a hélas pas payé dans les urnes.

L'enjeu du 2nd tour n'est plus que de savoir si Emmanuel Macron aura une plus ou moins large majorité à l'Assemblée nationale, sachant que le principal groupe d'opposition sera islamo-gauchiste...

Le Parti de la France appelle les électeurs à éliminer, dimanche 19 juin, les candidats qu'ils considèrent comme les plus nocifs à la France et aux Français.

Enfin, le Parti de la France invite les Français à ne pas céder au découragement, le combat politique continue, dans les urnes ou ailleurs. La mobilisation pour la sauvegarde de nos traditions, de notre identité, de notre civilisation, ne doit en aucun cas faiblir ! Tant qu'il restera des hommes et des femmes déterminés pour la défendre, la France vivra !

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Ukraine : changement de ton à Washington

12 Juin 2022, 17:00pm

Publié par Thomas Joly

Une réponse en forme d’aveu ? Le 3 juin dernier, interrogé par une journaliste qui lui demandait si l’Ukraine devait accepter de céder des territoires pour obtenir la paix, Joe Biden quittait le registre des déclarations fracassantes et bellicistes. L’heure était à la mesure et à un vocabulaire qu’on pensait définitivement banni des couloirs de la Maison-Blanche : « Il me semble qu'à un moment donné, il va falloir qu'il y ait un règlement négocié. »

Nous étions bien loin des coups de menton et du triomphalisme de ces derniers mois annonçant une victoire militaire totale, une Russie mise à genoux et un Vladimir Poutine chassé du pouvoir. Quelques jours plus tôt, le président américain s’était fendu d’une tribune dans le New York Times pour tenter de clarifier sa position sur l’Ukraine. La presse française avait assez peu souligné, voire occulté, le virage amorcé en se focalisant principalement sur les annonces de renforcement de l’aide militaire et sur le refus de Biden d’apparaître comme cobelligérant.

En réalité, on assistait à un rétropédalage sémantique que l’on peut interpréter à plusieurs niveaux.

Le premier s’inscrit dans la prise de conscience que la montée aux extrêmes, que nous évoquions en mai dernier, rapproche toujours plus dangereusement l’Amérique d’un risque de confrontation directe avec la Russie et, donc, d’une possible catastrophe. La décision de livrer à l’Ukraine des lance-roquettes à longue portée susceptibles d’atteindre le territoire russe a provoqué une réaction extrêmement ferme de Vladimir Poutine indiquant qu’il en tirerait « les conclusions appropriées » et n’hésiterait pas à frapper des sites qui n’avaient pas été visés jusque-là. Menaces de rétorsions militaires suffisamment vagues pour enflammer l’imagination des Occidentaux : quelles cibles ? À l’intérieur ou en dehors de l’Ukraine ? Sachant qu’au même moment, Moscou organisait des manœuvres nucléaires faisant suite à celle du tir d’essai d’un missile de croisière hypersonique. Biden a donc pris soin, dans sa tribune, de changer de ton et de faire passer des messages à Moscou : « Nous ne recherchons pas une guerre entre l’OTAN et la Russie. Bien que je sois fortement en désaccord avec M. Poutine, et que je considère ses actions comme étant indignes, les États-Unis n’essaieront pas de provoquer son éviction à Moscou. [...] Nous n’encourageons pas et ne permettons pas à l’Ukraine de frapper au-delà de ses frontières. Nous ne voulons pas prolonger la guerre simplement pour faire souffrir la Russie. »

Pour autant, s’en tenir à la seule analyse d’une volonté d’échapper à une escalade et à la cobelligérance ne suffit pas car, en réalité, il faut bien comprendre que la situation globale a beaucoup évolué, ces dernières semaines, et pas forcément en faveur des Occidentaux.

Outre-Atlantique, la presse n’hésite pas à parler d’une armée russe qui se régénère et avance ses pions à l’est, lentement mais sûrement, face à une armée ukrainienne affaiblie et insuffisamment équipée.

Autre constat : les conséquences économiques de la guerre et des sanctions commencent à durement se faire ressentir et s’accompagnent de perspectives alarmantes de famines dans le monde. Dans ce contexte, non seulement la paix négociée redevient une option, mais plus le conflit durera, plus elle apparaîtra comme une nécessité.

C’est la seconde raison du changement de ton et celle qui explique, ce qui a été bien peu commenté en France, le glissement sémantique : « diplomatie », « table des négociations », « fin négociée du conflit »… Le vent semble tourner à Washington malgré le maintien d’une posture martiale pour ne pas perdre la face. Rétrospectivement, la déclaration la plus intéressante du président américain est la suivante: « Je ne ferai pas pression sur le gouvernement ukrainien - en privé ou en public - pour qu'il fasse des concessions territoriales. » Bien entendu, car « ce serait mal et contraire à des principes ». L’idée n’en est pas moins lancée, à bon entendeur salut ! On comprend mieux alors la question de la journaliste au président américain, le 3 juin dernier, sur la nécessité éventuelle pour l’Ukraine de céder des territoires. Et la réponse bien évasive de Biden.

Nicolas Gauthier

Source : http://bvoltaire.fr

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Dimanche 12 juin, votez Reconquête !

10 Juin 2022, 19:55pm

Publié par Thomas Joly

Dimanche 12 juin, votez Reconquête !

En cohérence politique avec son soutien à la candidature d'Éric Zemmour lors de l'élection présidentielle, le Parti de la France appelle à voter pour les candidats du parti Reconquête aux élections législatives. Reconquête est le mouvement politique dont le programme se rapproche le plus de celui de redressement national du PdF ; la lutte contre la colonisation migratoire de notre pays étant une priorité absolue.

Seule l'opposition nationale pourra faire entendre la voix de la France et des Français à l'Assemblée nationale pour contrer le macronisme.

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Walt Disney doit se retourner dans sa tombe face aux monstruosités de ses héritiers

10 Juin 2022, 06:39am

Publié par Thomas Joly

La présidente de la société, Karey Burke, a déclaré qu’elle était favorable à la présence de « nombreux, très nombreux personnages LGBTQIA+’ dans les histoires Disney et a réaffirmé la promesse de la société de faire en sorte qu’au moins 50 % de ses personnages à l’écran appartiennent à des minorités sexuelles et raciales ».

Les mondes russe, chinois, indien, asiatique et musulman regardent, amusés, cet effondrement d’une civilisation occidentale. Nul doute que l’islam ne fera qu’une bouchée des militants Insoumis, homos, trans, néo-féministes, et autres queers lobotomisés d'Occident.

Dans la nouvelle société de Walter Elias Disney nous avons désormais des dirigeants complètement tordus qui veulent valoriser, auprès des enfants, des personnages ambigus et valoriser l’homosexualité, les transgenres et autres. L’idéologie LGBTQ règne en maître dans les studios de Disney.

La productrice exécutive Latoya Raveneau a exposé l’idéologie de Disney en termes directs. Elle a déclaré que son équipe mettait en œuvre un « programme de gays pas du tout cachés » et qu’elle ajoutait à tout-va, une dimension queer (personne dont l’orientation ou l’identité sexuelle ne correspond pas aux modèles dominants) dans les programmes pour enfants.

Nous avons chez nous des publicités qui encensent le queer. Bientôt, les enfants trouveront bizarre, voire anormal, d’être attiré par le sexe opposé. Ils nous regarderont comme des tarés qui ne comprennent rien à la nature humaine.

Gérard Brazon

Source : http://ripostelaique.com

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Un candidat de la NUPES rattrapé par son passé : lorsqu’il sniffait du… Doliprane !

10 Juin 2022, 06:20am

Publié par Thomas Joly

Cette campagne pour les élections législatives, quoique peu suivie par une majorité de nos compatriotes, est décidément un délice quotidien. Surtout quand un événement a priori anodin, mais amplifié par ces réseaux sociaux grâce ou à cause desquels ce qui aurait fait naguère quatre lignes dans la presse régionale s’étale désormais sur la place publique, tout en venant sortir les électeurs de leur hébétude.

De quoi s’agit-il ? Tout simplement d’une vieille vidéo, exhumée par Damien Rieu, porte-parole d’Éric Zemmour, et concernant un certain Léon Thébault, candidat mélenchoniste dans la première circonscription de l’Aveyron, en train de se faire une ligne de poudre blanche dans une boîte de nuit. Là, tout se corse, comme on disait jadis dans la French Connection. Et l’infortuné Léon Thébault, affichant aujourd’hui 21 printemps, d’en ces termes se justifier : « Cette vidéo est ancienne. Elle date de quand j’étais en classe de première. Nous étions en soirée avec des amis et il ne s’agissait pas de drogue, mais d’un Doliprane écrasé, réduit en poudre. C’est le genre de choses stupides que l’on peut faire lorsqu’on est adolescent en soirée. »

Là, les bras nous en tombent des mains. C’est sûr que tous les vingtenaires friqués en goguette et partis courir le guilledou en night-club ne rêvent que d’une chose : sniffer du Doliprane, juste histoire d’aller jusqu’au bout de la night, et même plus si affinités…

D’ailleurs, en son temps, Keith Richards, guitariste en chef des Rolling Stones, a assis sa réputation de gentleman « le plus élégamment dévasté du monde » en respirant du Doliprane comme si sa vie en dépendait ; la chose est connue. Tout comme ses overdoses de Doliprane à répétition l’ont régulièrement amené à nombre de cures de désintoxication en Suisse. Décrocher de l’héroïne et de la cocaïne ? Une blague. Mais en finir avec la dépendance au Doliprane, on vous laisse imaginer le chemin de croix…

Quelle idée a bien pu traverser l’esprit exalté de l’infortuné Léon Thébault, peut-être schnouffé à l’insu de son plein gré, tel un vulgaire Richard Virenque, de s’empêtrer dans d’aussi grotesques menteries ? Pourquoi ne pas dire la vérité, surtout lorsque candidat d’un mouvement n’ayant pas exactement fait de la lutte contre les stupéfiants l’une de ses priorités premières ? Une ligne de coke ? La belle affaire… Il ne pourra jamais avoir les narines aussi poudrées qu’un Thierry Ardisson ayant eu, lui au moins, le courage d’assumer ses diverses addictions passées. Et c’est sans oublier les autres, issus des univers de la politique, de la restauration, du sport de haut niveau et des médias, qui n’ont jamais été les derniers à se servir d’une paille autrement que pour siroter un diabolo-grenadine. Voilà qui lui aurait sûrement évité de passer à la fois pour un potentiel accro et un patenté nigaud.

En la circonstance, permettons-nous de citer les grands auteurs, Fernand Raynaud, en l’occurrence, et son fameux sketch « Tonton, pourquoi tu tousses ? », histoire d’un pauvre gugusse se faisant poisser à la douane avec un gros paquet de poudre blanche.

Extrait : « Il y a le douanier qui rigole. C’est bien la première fois que je vois rire un douanier d’une face aussi intelligente. Dis donc, alors, une petite anecdote, trois fois rien : tu sais qu’ils ont analysé le bicarbonate ? Allô Tonton, pourquoi tu tousses ? Ç’en n'est pas du bicarbonate ! C’est du sucre en poudre ! »

Pas du tout ! Du Doliprane, qu’on vous dit…

Nicolas Gauthier

Source : http://bvoltaire.fr

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Soutenez la démarche artistique d'un ami du PdF !

9 Juin 2022, 06:57am

Publié par Thomas Joly

Contribuez à la réalisation du projet artistique d'un auteur-compositeur engagé, ami du Parti de la France !

Soyons solidaires avec notre camarade Christoff qui ne peut compter sur la moindre subvention culturelle, vous imaginez bien !

Pour l'aider et pré-commander son CD, c'est ici : https://fr.ulule.com/-les-melodies-interdites-christoff

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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen - N°665

9 Juin 2022, 06:38am

Publié par Thomas Joly

Sujets abordés : Mélenchon l'anti-flics, une présomption de légitime défense pour la police, la police politique, l'explosion de la criminalité, le conseil national de la refondation d'Emmanuel Macron, le risque d'abstention massive aux Législatives, le léger revirement de Macron vis-à-vis de la Russie, vers une guerre longue, conseils de lecture.

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Macron et l’école du futur : un coup de peinture sur les écuries d’Augias

9 Juin 2022, 06:01am

Publié par Thomas Joly

Emmanuel Macron l'a annoncé lors d'une visite conjointe avec Pap Ndiaye, la semaine dernière : il veut étendre à tout le système scolaire le concept d' "école du futur", déjà expérimenté ici ou là, à Marseille par exemple. Marseille, c'est comme la Seine-Saint-Denis avec la mer. Or la Seine-Saint-Denis, le Président l'a dit, c'est la Californie sans la mer. Conclusion imparable, que l'on devine en creux : Marseille, c'est la Californie.

Au menu, donc, de ces élèves phocéens de la start-up city : des apprentissages nouveaux, ludiques, destinés à mettre en valeur des façons originales d'apprendre le calcul, par exemple ; des directeurs d'école qui pourront choisir leur équipe éducative ; un système d'évaluation des professeurs par les élèves... il ne manquerait décidément à ce nouveau "FabLab", à la fois disruptif, horizontal et impitoyable, que l'on croirait donc tout droit sorti de la Silicon Valley, que quelques menus détails pour devenir l'incubateur des génies de demain : que ce système fût un incubateur et qu'il y ait des génies dans le système scolaire.

Hélas ! Malgré toutes ces déclarations ébouriffantes, la France continue, année après année, de dégringoler au classement Pisa. Les élèves ukrainiens, on le sait désormais, trouvent que tout est facile chez nous, surtout les maths. Le bac ne signifie plus rien. 25% des élèves de sixième sont illettrés et les erreurs grossières émaillent les copies de master. Le politologue Guillaume Bigot rappelle cruellement, ce mercredi sur CNews, que cette dégringolade va s'accompagner, dans l'école du futur, d'une course démagogique à l'attention. Les élèves ne se concentrant plus mais notant les profs, ces derniers vont devoir rivaliser d'ingéniosité pour les séduire, au détriment de l'enseignement proprement dit.

L'éducation nationale produit de petits citoyens conscients de leurs droits, qui s'alarment pour le climat mais risquent de devenir les plus incultes d'Europe. Des señoritos satisfaits, dirait Ortega y Gasset. Des señoritas et señoritos satisfait.e.s, corrigerait Sandrine Rousseau. Ce sont les écuries d'Augias. Il faut les nettoyer, en profondeur, de leur nullité intellectuelle, de leur bourrage de crâne, de leur lâcheté devant le communautarisme, pas les repeindre.

Au fait, en parlant de la Californie, savez-vous que la plupart des enfants des patrons de start-up de la côte ouest, à commencer par ceux des GAFAM, n'ont pas d'écrans chez eux, utilisent des méthodes pédagogiques traditionnelles et lisent des classiques ? La technologie, c'est pour les gogos, pour le peuple. Pour éduquer les élites, on n'a pas encore remplacé la discipline et les livres. Amusant, non?

Arnaud Florac

Source : http://bvoltaire.fr

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