Que serait notre civilisation sans ces femmes de pouvoir telles qu'Ursula von der Leyen, Elisabeth Borne, Marlène Schiappa, Marine Le Pen ou encore Sandrine Rousseau ? J'angoisse rien qu'à y penser...#JourneeDesDroitsDesFemmes
Dans le Forum du PdF du jeudi 9 mars, Alexandre Hinger reçoit Pierre-Nicolas Nups (Délégué régional du Parti de la France pour la Lorraine) et Nicolas Hugnet (expatrié en Allemagne).
L'émission sera consacrée à la grève menée par les bolcheviques et à la ridicule journée de la bonne femme, elle traitera également de l'actualité politique.
Plus que la réforme des retraites - certes incomplète, injuste et inefficace -, c'est l'appauvrissement fulgurant et général qui entraîne les Français à soutenir cette contestation sociale cornaquée par l'extrême-gauche.
Il serait temps que nos compatriotes fassent enfin le lien entre leur déclassement et le coût faramineux de l'immigration. Et surtout qu'ils comprennent qu'ils sont les premiers responsables de ce qui leur arrive s'ils ont voté Macron pour faire barrage au « fascisme ».
L'unique raison pour laquelle il y a des incidents lors de la projection du film #CreedIII est l'incapacité d'une certaine population de se tenir correctement dans un cinéma. Et c'est pareil pour la plupart des films d'horreur où ces gens masquent leur trouille par le chahut.
Et si le sort de la bataille était contraire aux deux belligérants ? Ils l’attendent depuis des semaines et entretiennent le suspense. Après avoir « transformé l’Assemblée en ZAD », réalisant le souhait de la patronne d’Europe Écologie Les Verts Marine Tondelier, la gauche s’apprête à peser de tout son poids dans le bras de fer qui l’oppose à l’exécutif dans la fameuse réforme des retraites, actuellement en cours de débat au Sénat. Le texte a quitté l’Assemblée sans vote final, du fait de l’obstruction parlementaire mise en place par la gauche. En bref, ces 7, 8 et 9 mars, la gauche et les syndicats vont tenter de bloquer le pays.
Des élus foutent le bordel
On ne rappellera pas l’historique des coups d’éclat de la NUPES dans l’Hémicycle durant ces débats chauffés à blanc. Mentionnons néanmoins l’exclusion du député LFI Thomas Portes pour avoir joué au football avec un ballon sur lequel était dessinée la tête du ministre du Travail Olivier Dussopt et avoir provoqué un tumulte en séance. Rappelons aussi le député Aurélien Saintoul, forcé par ses propres camarades du groupe communiste à présenter ses excuses après avoir traité le ministre d’assassin. Cela, c’était le mois dernier.
Plus récemment, c’est l’inénarrable Louis Boyard qui a lancé sur Internet un challenge « Bloque ton école » et qui promet d’inviter à l’Assemblée les plus méritants des compétiteurs. Ce qui lui a valu les félicitations de Jean-Luc Mélenchon : « Bravo Louis Boyard ! Coup au but ! Tous les perroquets du régime surjouent l'indignation et font la pub de ton idée ! », a tweeté l’ex-candidat à l’élection présidentielle. Non content d’inciter à commettre des actes illégaux, Boyard a même vu son collègue Deloglu (ex-chauffeur de Jean-Luc Mélenchon) annoncer qu’il démissionnerait si la réforme passait, ajoutant qu'« on ne laisserait pas d'élection se faire » dans sa circonscription. Une position polémique pour celui qui a été élu dans les Bouches-du-Rhône face au RN avec les voix de la Macronie. « La NUPES veut hacker le mouvement social pour capitaliser sur son électorat », analyse le politologue Arnaud Benedetti. Rien de surprenant si ce n’est « que les syndicats essayent de garder leurs distances avec la classe politique », un moyen de se prémunir du vampirisme Insoumis.
Vu de l’étranger
Pour prendre de la hauteur, quoi de mieux que le regard de nos proches voisins ? D’autant que le système de retraite de la France est unique au monde. Sans surprise, le monde anglo-saxon écarquille les yeux. Le New York Times a ainsi noté « des conceptions très ancrées dans les mentalités, où la vie active est considérée comme une corvée et la retraite comme une libération permettant enfin de profiter de l’existence ». Un tempérament très éloigné du capitalisme protestant. L'incompréhension américaine est partagée par nos voisins d'outre-Rhin. Ainsi les Allemands, dans Die Welt, pourfendent-ils la rhétorique des opposants à cette réforme. « Les arguments mettant en avant la solidarité intergénérationnelle et l’allongement de la durée de la vie sont balayés du revers de la main, écrit le journal. Les comparaisons avec les pays voisins – où l’âge de la retraite est plus élevé – ne valent pas. » Dans le sud du continent, on s’attache davantage à l’aspect politique. Le quotidien de référence espagnol El País note ainsi l’enjeu crucial pour Emmanuel Macron qui joue gros afin de faire passer la « mère de toutes les réformes ». Entre cela et « le droit à la paresse » voulu par Sandrine Rousseau, on peine à imaginer comment la France peut d’un côté réindustrialiser et de l’autre paraître attractive pour le reste du monde. Symptôme d’un pays qui ne veut pas sortir du vieux rêve vendu par la gauche, un rêve de cerisiers en fleurs masquant un véritable cynisme électoral.
Et demain ?
La réalité est toujours plus décevante que l’imagination. Au fond, si depuis l’étranger on peine à comprendre cet accès de fièvre français, on finirait presque par se demander si ce chauffage à blanc ne risque pas de finir en tir à blanc, justement. Avec des transports fortement impactés mais n’accusant la fermeture d’aucune ligne, les déplacements seront très compliqués mais pas impossibles, certaines stations-service seront correctement approvisionnées et les écoles, sauf blocages à l’initiative de la NUPES, seront ouvertes. Alors, comme à chaque mouvement social d’ampleur, on finit par se demander si cette mobilisation a vraiment pour enjeu les retraites ou un bras de fer politique entre une gauche en recherche d’unité et un exécutif en recherche d’ennemi. Ce duel se produit devant 60 millions de Grançais pris en otages et obligés de regarder. De son côté, le Rassemblement national cherche à tenir sa ligne de crête entre « une base sociale très hostile à la réforme, un électorat plus légitimiste » ayant l’amour de l’ordre, analyse Arnaud Benedetti, et sa volonté de « cranter sa respectabilité » devant les institutions. Au fond, on paye une vieille équation : les soixante-huitards ont cramé la caisse, la Macronie vend le pays à la découpe, la NUPES abdique au nom de la paresse. Et devinez qui payera ?
Comment peut-on laisser ces dégénérés franchir les portes d'une école primaire et les mettre au contact d'enfants ? Et surtout, dans quel but ? https://t.co/aWJsjiPoP9
Anny Duperey : "Le vaccin a protégé des cas graves ? C'est ça ! On va demander l'avis posthume aux triples vaccinés décédés à l'hôpital !" pic.twitter.com/LfQcLHQ8xU
Aurore Bergé est un exemple pour toutes les femmes en politique. Elle démontre que l'on peut réussir avec un physique fadasse, une intelligence très limitée et la trahison chevillée au corps en fonction de ses intérêts du moment. #osezlefeminismepic.twitter.com/jbUxNxQOfA
Amandine Le Coz a 32 ans. Elle passait en jugement, ce vendredi 3 mars, pour avoir rejoint les rangs de ce qui fut naguère l'État islamique en Irak et au Levant, plus connu sous son acronyme : Daech. Le Monde livrait le jour même un compte rendu exhaustif de la dernière journée de son procès. Un parcours instructif.
De 2014 à 2018, cette jeune femme a séjourné en Syrie. Elle a ensuite été détenue pendant dix-huit mois dans un camp de prisonnières sur place, avant d'être expulsée vers la France. La cour, qui s'est réunie exprès pour statuer sur son cas, voulait en savoir plus sur elle, sur sa personnalité et sur ses motivations. Elle n'a pas été déçue. Nous non plus.
Contrairement à certaines personnes qui s'imaginent que les femmes de Daech sont, uniformément, des fanatiques indécrottables, la vulnérabilité de celle-ci a quelque chose de touchant, d'émouvant presque. Immature et pas très futée, selon les experts qui l'ont examinée, elle a toujours été en grande difficulté à l'école, dès le primaire. Envoyée dans une classe d'enseignement adapté, les tristement célèbres SEGPA [sections d'enseignement général et professionnel adapté, NDLR], honteuse de se trouver « bête », souffrant d'un complexe d'infériorité, elle a bu et s'est droguée. Elle a essayé tous les looks et toutes les étiquettes possibles, toutes les identités « en kit » du monde moderne... jusqu'à se convertir à l'islam, à 23 ans. Les raisons de son choix méritent d'être citées en entier : « J’ai pas du tout confiance en moi, j’ai peur des regards. Je me sentais bête. Quand j’ai connu l’islam, j’ai vu une communauté égale, c’est ce qui m’a plu. J’y ai trouvé une appartenance. Y a pas besoin de connaître un texte par cœur pour se convertir, pas besoin d’être intelligent pour être musulman. Au catéchisme, je ne comprenais rien, et dans la religion juive, on met sept ans pour se convertir… »
Plusieurs éléments doivent être relevés. D'abord, Amandine Le Coz cherchait une identité, une appartenance. C'est le cas de la plupart des gens de sa génération, qui n'ont ni famille, ni éducation, ni ancêtres, ni culture générale. Une génération qui a été élevée pour consommer et mourir a nécessairement la nostalgie du sacré. Pas si bête qu'elle le pense, Mme Le Coz a ensuite comparé les religions monothéistes : elle ne comprenait rien au catéchisme catholique (quand on sait ce qu'il est devenu...) et ne pouvait pas attendre sept ans pour devenir juive. La conclusion est fulgurante : « Pas besoin de connaître un texte par cœur pour se convertir, pas besoin d'être intelligent pour être musulman. »
Après le rejet de ses parents (que sa conversion effrayait), puis une vie affective chaotique, un mariage avec un combattant de Daech qui la battait et la violait, pour finir par un an et demi de détention en Syrie, Amandine Le Coz veut être prise en charge par une unité de déradicalisation pour « apprendre à penser ». Elle a écouté pendant des années son directeur spirituel, un certain Abou Merguez (ça ne s'invente pas), qui lui promettait d'aller griller en enfer (d'où son pseudo, peut-être) si elle quittait son mari violent. Cette volonté de s'émanciper par le savoir, objectivement plus que respectable, se heurtera peut-être en réalité au bourrage de crâne des « valeurs de la République » distillées par des profs soigneusement choisis. On verra. La Providence fera son travail. Mais on ne peut s'empêcher de trouver cette décision tardive assez admirable.
Amandine Le Coz a été condamnée à dix ans de prison. La sentence a été rendue dans un jargon juridique qu'elle n'a pas compris. « La cour a considéré que vous aviez fait des efforts, mais vous avez encore besoin d’en faire et d’être accompagnée… », lui a expliqué le président avec des mots plus simples. « Effectivement. Merci, Monsieur le Président », a timidement répliqué la jeune femme.
Combien d'Amandine Le Coz, femmes fragiles et perdues, converties à l'islam pour pouvoir enfin appartenir à quelque chose, et parce qu'il n'y a (quel aveu !) « pas besoin d'être intelligent pour être musulman », y a-t-il, en France ? Dans cette trajectoire délétère, la défaillance du modèle sociétal français est complète : parents indifférents, profs nuls, Église aux abonnés absents. Pas d'objectif, pas de confiance en soi, un besoin de faire partie de quelque chose de plus grand.
On notera tout de même, pour conclure, la surprenante mansuétude du Monde, qui voit en Amandine Le Coz « un cœur simple aspiré par la haine djihadiste ». La rédac du Monde connaît le conte de Flaubert, l'intéressée non. Ça commence par là. Aurait-on imaginé, en 1945, un titre du genre « Procès de la division Charlemagne : Christian de La Mazière, un cœur simple aspiré par la lutte contre le communisme » ? Reconnaissons cependant que, pour une fois, le personnage de cette revenante, combien représentatif de ce que la France est devenue, suscite plus d'empathie que d'habitude.
Le professeur Montagnier, découvreur du VIH, est mort le 8 février 2022 à l’âge de 89 ans. Il faisait partie des quelque douze Français à avoir reçu le prix Nobel de médecine depuis sa création en 1901. Cependant, en 2020, ses propos sur l'origine artificielle du virus SARS-CoV-2 lui avait valu l'ignorance du gouvernement qui, à sa mort, n'a pas daigné lui adresser un simple message honorifique, alors qu'il était grand-officier de la Légion d'honneur et qu'à ce titre il aurait eu droit aux honneurs militaires.
Il s’avère qu’un rapport récent des services de renseignement américains estime « très probable » une fuite du laboratoire de Wuhan, en Chine. En 2022, le journal Le Monde, comme la plupart des autres journaux, s'était érigé en juge autoproclamé de la pensée scientifique en sous-titrant : « Depuis plus de dix ans, les propos non fondés scientifiquement du biologiste français avaient suscité de nombreuses polémiques. »
Etait-ce réellement la seule chose à retenir de ce scientifique d'exception ? Penser différemment, n'est-ce pas la première des qualités dont un chercheur digne de ce nom devrait se prévaloir pour pouvoir percer les mystères de la nature ? Comme l'avait bien expliqué le professeur Raoult, lors d'une interview sur Sud Radio il y a un an, sa découverte du VIH n'était pas le fait du hasard mais bien d'un savoir et d'une intuition hors du commun qui lui ont permis de créer un laboratoire dans un champ, nouveau à l'époque, qui est celui des oncornavirus. Cela l'avait amené à découvrir les mécanismes du virus du SIDA, avec des explications allant à l'encontre du dogme central de la biologie moléculaire qui prévalait dans les années 80. Rien que pour cela, la planète entière devrait lui être reconnaissante, mais selon Raoult, même à l'époque, il était haï à l'Institut Pasteur dont il a pourtant fait la fortune.
Le propre d'un génie et d'une personne sûre de ses raisonnements est bien de pouvoir réunir des conditions pour faire émerger des idées, d'être en avance sur son temps et de ramer à contre-courant sans craindre la honte ou le ridicule. Telle est la logique des découvertes mise en évidence par le philosophe des sciences Karl Popper. Que ce soit en médecine ou concernant le climat, c'est pourtant bien de l'inverse que peuvent se prévaloir les scientifiques encensés par Le Monde et les médias en général, qui n'ont retenu de Montagnier que les polémiques et déclarations qualifiées par eux-mêmes de « non fondées scientifiquement » car, de nos jours, ce sont les « fact-checkers » qui font et défont la science et édictent ce que le peuple doit en connaître.
Pour que les idées soient acceptées, elles doivent rester dans l'axe tracé par la majorité et admis par ceux qui gouvernent et financent. Cette majorité ne peut, bien sûr, pas se tromper et, pour diverses raisons, il est très facile d'y adhérer. On appelle cela le consensus scientifique. C'est sur ce principe que s'est imposé le dogme du réchauffement climatique anthropique, et désormais, les voix discordantes n'ont plus la parole dans les médias officiels ni sur certains réseaux sociaux.
Le Top 20 du classement de Shanghaï concernant la recherche universitaire est largement dominé par les établissements américains et britanniques. Compte tenu du sort réservé en France aux esprits atypiques, comme pouvait s'en prévaloir le professeur Montagnier, cela n'est pas près de changer.