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Le blog politique de Thomas JOLY

Emmaüs : une association pro-migrants aux frais du contribuable

25 Juillet 2023, 18:37pm

Publié par Thomas Joly

D’Emmaüs, association de solidarité créée par l’abbé Pierre en 1954, on connaît la vitrine : charité, accueil du prochain, souci du miséreux et mise à l’abri des plus pauvres. Une mission louable et utile dans une société où les plus fragiles sont très souvent mis de côté et oubliés. Seulement, dans l’arrière-boutique, derrière cette « insurrection de bonté » promise par les membres de l’association se cachent une idéologie pro-migrants et des méthodes douteuses. Le tout financé par la générosité du contribuable.

Un accueil inconditionnel des migrants

« Emmaüs, y’en a marre, l’esclavage, c’est fini. » Depuis plusieurs semaines, aux abords des locaux d’Emmaüs à Saint-André-lez-Lille (Nord), des dizaines de sans-papiers soutenus par des députés de la NUPES et d’autres figures de l’extrême gauche sont en grève. Ils accusent l’antenne locale de l’association de leur avoir imposé des conditions de travail intenables et une pression psychologique. Ils reprochent également à la direction de ne pas avoir tenu ses promesses. Auprès du Parisien, ils confient ainsi « que la direction leur a menti en leur faisant miroiter une régularisation au bout de trois ans d’activité » en échange d’un maigre salaire. Alors qu’Emmaüs dément, le parquet de Lille a décidé, au mois de mai dernier, d’ouvrir une enquête préliminaire pour « traite d’êtres humains » et « travail dissimulé ». Ce présumé système d’exploitation totalement indigne laisse apparaître l’une des facettes de l’association qui profite et plaide pour un accueil inconditionnel de tous les exilés.

Car si Emmaüs aide, il est vrai, les sans-abri lors des froides périodes hivernales et travaille à leur réinsertion, l’association de l’abbé Pierre participe également à l’accueil de tous les migrants, même les clandestins. La structure qui, rappelons-le, a appelé à voter contre Marine Le Pen en 2022 est ainsi une farouche opposante des lois de contrôle de l'immigration qu’elle considère mener à « une détérioration des conditions d’accueil et des droits des personnes exilées ». Ces dernières années, Emmaüs s’est ainsi plusieurs fois engagée contre l’État pour défendre les clandestins comme à Briançon, où elle défend les migrants qui tentent de franchir la frontière franco-italienne. Preuve de ce penchant idéologique en faveur d’une immigration incontrôlée, dans les Alpes-Maritimes, Emmaüs s’est associée à Cédric Herrou, figure médiatique connue pour avoir aidé des migrants à franchir la frontière entre la France et l’Italie, afin de créer une communauté dans la vallée de la Roya. Par ailleurs, dans ses diverses communautés, éparpillées aux quatre coins de la France, Emmaüs recrute – et donc empêche l’expulsion - de nombreux clandestins.

70 millions d’euros de subventions

Résultat : Emmaüs Solidarité se retrouve davantage accaparée par les migrants que par les Français dans le besoin. Selon son rapport d’activité, en 2021, l’association consacrait ainsi 79 % de ses places en centres d’hébergement à des personnes issues de pays hors de l’Union européenne et seulement 14 % à des Français. Et ce, alors que l’association de l’abbé Pierre peut compter sur la générosité de l’État français pour mener à bien ses missions. Reconnue d’utilité publique, elle bénéficie tout d’abord d’une défiscalisation des dons intéressante (75 %). D’autre part, chaque année, elle perçoit de nombreuses subventions. En 2021, Emmaüs a reçu près de 70 millions d’euros de subventions, État et toutes collectivités confondus. Un chiffre en constante augmentation depuis plusieurs années. Emmaüs se classe ainsi parmi les associations les plus subventionnées par l'État, selon l'association Contribuables associés.

Clémence de Longraye

Source : http://bvoltaire.fr

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Première partie de l'entretien du PdF avec Yvan Benedetti

24 Juillet 2023, 20:52pm

Publié par Thomas Joly

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Rediffusion du Forum du Parti de la France du 20/07/2023

21 Juillet 2023, 19:04pm

Publié par Thomas Joly

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Remaniement gouvernemental : un non-événement politique

21 Juillet 2023, 09:20am

Publié par Thomas Joly

Remaniement gouvernemental : un non-événement politique

En matière de non-événement politique, le mini-remaniement du gouvernement se pose là.

Déjà, il y a de fortes chances pour qu'Elisabeth Borne soit restée en place faute de candidat qui aurait accepté de former un nouveau gouvernement. Quant aux nouveaux ministres, il s'agit de membres éminents de la Macronie, récompensés pour services rendus, remplaçant quelques tocards complétement grillés auprès de l'opinion (Schiappa, NDiaye, etc).

En fait, pas grand monde ne veut plomber son avenir politique en intégrant un gouvernement au service d'un Président très impopulaire qui ne pourra se représenter en 2027. Ainsi va la vie démocratique et républicaine.

Les nouveaux ministres ne seront, comme leurs prédécesseurs, que les dociles exécutants des directives élyséennes toujours plus nocives pour la France et les Français.

C'est tout ce Système vermoulu qu'il faut balayer. C'est l'objectif du Parti de la France : foutons dehors les représentants de l'anti-France !

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Saint-Brévin : pourquoi ce silence sur l’incendiaire gauchiste arrêté ?

20 Juillet 2023, 11:52am

Publié par Thomas Joly

Saint-Brévin : pourquoi ce silence sur l’incendiaire gauchiste arrêté ?

La république des menteurs et calomniateurs… ça suffit ! Le maire de Saint-Brévin, Yannick Morez, voulait l’installation d’un CADA à côté d’une école. Les parents des élèves de cette école ne voulaient pas de ce projet de CADA car potentiellement dangereux pour les enfants. Le collectif qu’ils ont constitué pour s’opposer fut sans délai considéré par tous les pro-immigration comme un regroupement d’extrême droite.

Le 22 mars 2023, les deux véhicules du maire et une partie de sa maison furent incendiés de nuit. Immédiatement et sans aucune preuve, tout ce que la France compte de bien pensants, presque tous les médias et partis de gauche ainsi que nombre d’associations, ont désigné les coupables : « l’extrême droite » et le collectif des parents d’élèves.

De plus, alors que tout le monde à Saint-Brévin savait que le maire souhaitait arrêter son mandat et quitter la ville, ce dernier a « habillé » son départ en prétendant qu’il jetait l’éponge du fait de cet incendie et des pressions qu’il subissait.

Ce fut là aussi un déchaînement immédiat des mêmes, auxquels il convient d’ajouter le gouvernement lui-même, contre les parents d’élèves et «l’extrême droite».

Une manifestation fut même organisée à Saint-Brévin avec tous ce que la gauche compte de leaders en Bretagne et même en présence de quelques «vedettes» nationales, telles Mélenchon. Manifestation peinant à rassembler 3.000 personnes.

Le maire, pour sa part, fut reçu à Matignon par le premier ministre. La république fut aussi décrétée en danger. Ce dont les médias bien pensants (Le Monde, Médiapart, Libération, BFM, LCI,...) se sont largement fait l’écho.

Voilà 4 mois que ces faits ont eu lieu. Pendant ces 4 mois quasiment pas un jour sans des accusations gratuites lancées à tout propos et surtout hors de propos par ceux qui prétendent que « la république est en danger ».

Mais où sont les preuves que leurs accusations sont fondées ? Pourquoi la gendarmerie chargée de l’enquête n’a-t-elle pas le commencement d’une preuve que ces accusations contre «l’extrême droite» sont fondées ? Donc, pourquoi la gendarmerie ne dit-elle pas que ces accusations sont fausses ? Pendant ce temps là, les bien pensants continuent d’accuser sans preuve et de répandre leur venin.

Récemment, deux personnes ont été arrêtées et placées en garde à vue par les gendarmes. Une rumeur insistante s’est répandue dans Saint-Brévin indiquant que l’une des personnes arrêtées aurait un profil très intéressant pour l’enquête sur l’incendie de la demeure et des véhicules du maire.

Dans notre communiqué du 12 juillet, nous avons donné un certain nombre d’éléments connus de tous à Saint-Brévin, permettant assez facilement de cerner le profil de la personne en cause. Pourquoi la gendarmerie ne fait-elle aucun commentaire pour confirmer ou dénoncer ce que dit cette rumeur ? Pourquoi le procureur de Nantes reste-t-il obstinément silencieux ?

La Coordination Partout Callac considère que ces silences sont lourds de sens. Ne pas réfuter la rumeur qui circule dans Saint-Brévin quant au profil de la personne qui a été interpellée n’est-ce pas d’une certaine manière confirmer que cette rumeur a un fondement et que cette personne pourrait bien être l’incendiaire ? En tout cas, on ne peut manquer d’en conclure que le procureur et la gendarmerie ne sont pas pressés que la vérité éclate. Ils préfèrent par leur silence « enterrer » l’affaire, donc laisser accuser des innocents et s’échapper les coupables. Les congés d’été commencent. Lorsqu’ils seront terminés nous serons en septembre et ils espèrent sans doute que la population aura oublié et sera passée à autre chose.

Et puis, de nos jours, accuser ou laisser accuser « l’extrême droite » de tous les péchés de la création est plus dans l’air du temps que d’arrêter et de poursuivre ceux qui mériteraient de l’être, comme les récentes émeutes des banlieues viennent de le démontrer.

La Coordination Partout Callac dénonce tous les discours des bien pensants qui accusent sans aucune preuve. Elle exige que la gendarmerie et le procureur de Nantes conduisent avec sérieux et détermination l’enquête pour retrouver le ou les incendiaires de Saint-Brévin et qu’ils communiquent à ce sujet afin d’informer tous les citoyens de la conduite de l’enquête et de ses résultats. Notre république ne saurait être celle où règnent en maîtres les menteurs et les calomniateurs.

Bernard Germain - Porte-parole de la Coordination Partout Callac

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Le gouvernement veut augmenter les taxes sur l'alcool !

19 Juillet 2023, 10:12am

Publié par Thomas Joly

Le gouvernement veut augmenter les taxes sur l'alcool !

Comme avec le tabac, pour se donner bonne conscience et au nom de la santé publique, l’État prévoit d’augmenter les taxes sur l'alcool pour engranger des recettes !

Le « quoi qu'il en coûte » de l'irresponsable élyséen, les Français vont le payer au prix fort.

Alors que de plus en plus de nos compatriotes n'allaient déjà plus au cinéma ou au restaurant et pour certains en sont désormais arrivés à se priver de viande, de poisson... ou même parfois d'un repas, bientôt même un apéritif entre amis va devenir un luxe que beaucoup ne pourront plus se permettre.

Plutôt que de taxer toujours plus les contribuables français pour financer une politique irresponsable, que le gouvernement commence par faire la chasse aux dépenses inutiles comme l'A.M.E, aux aides sociales versées aux étrangers, aux subventions accordées à toutes ces associations nuisibles à la France (ADDE, RESF, Ligue des droits de l'homme,...). Depuis plus de quarante ans, l'immigration extra-européenne, qui s'est transformée en véritable invasion migratoire, ruine la France ! Aujourd'hui il faut réserver l'argent des Français aux Français.

Le Parti de la France réduira la TVA à 5,5 % sur tous les alcools et supprimera les droits d’accises, véritable dîme étatique.

Gilles Le Tallec - Membre du Bureau politique du Parti de la France

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Forum du Parti de la France du 20 juillet 2023 : Fight Club

18 Juillet 2023, 17:39pm

Publié par Thomas Joly

Forum du Parti de la France du 20 juillet 2023 : Fight Club

Dans le Forum du PdF du jeudi 20 juillet, Alexandre Hinger reçoit Thomas Joly (Président du Parti de la France) et Maxime Bellamy alias « Orsu Corsu », champion du monde de boxe à mains nues.

L'émission sera consacrée aux sports de combat et traitera également de l'actualité politique.

C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram : https://t.me/partidelafrance

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Vers un non-lieu dans l’affaire Traoré : retour sur une manipulation médiatique

18 Juillet 2023, 10:19am

Publié par Thomas Joly

« L’affaire ne peut désormais que s’achever sur un non-lieu. » Dans un dossier que Le Point consacre à l’affaire Adama Traoré, le journaliste, confirmant une information du Parisien, assure que les gendarmes mis en cause dans la mort du jeune homme en 2016 – mais jamais mis en examen - devraient s’en sortir avec un non-lieu. Dans un entretien accordé au Monde, Yassine Bouzrou, l'avocat des Traoré, le concède également. Après des années d’expertises et d’auditions, il semblerait que l’affaire Adama Traoré ne soit, en réalité, qu’une vaste opération de manipulation.

De fait divers à cause nationale

Si, aujourd’hui, le nom d’Adama Traoré revient sur le devant de la scène à chaque accusation de « violences policières », sa mort tragique aurait pu rester dans la rubrique des faits divers. Pour rappel, Adama Traoré est décédé le 19 juillet 2016 après avoir été interpellé. Les premières expertises concluent que le jeune homme est mort d’asphyxie après un arrêt cardiaque dû à un effort violent sous cannabis, alors qu’il souffrait d’une faiblesse pulmonaire. À l’époque, sa mort ne fait pas la une des magazines. Seules quelques chroniques rapides dans la presse nationale évoquent ce triste décès. La France a encore le regard tourné vers Nice où 86 personnes ont perdu la vie dans un attentat, cinq jours plus tôt. La famille du jeune homme elle-même semble appeler au calme et refuse d’accabler les forces de l’ordre. Maître Zajac, alors conseil du clan Traoré, réfute également la thèse des « violences policières » intentionnelles, dans un entretien accordé à L’Humanité. Mais en quelques jours, sous l’impulsion de militants antiracistes, la rhétorique de la famille Traoré change du tout au tout. Maître Zajac est remercié et remplacé par le médiatique Maître Yassine Bouzrou. Contre l’avis des experts médicaux, le clan Traoré et ses nouveaux alliés avancent désormais la thèse du plaquage ventral et de l’interpellation « raciste ».

À défaut d’obtenir une mise en examen des gendarmes et alors que l'enquête semble peu concluante, les Traoré peuvent compter sur le soutien complaisant d’une partie du monde médiatique pour relancer leur combat quand celui-ci s’essouffle. Dès le début, Libération consacre ainsi des dizaines d’articles engagés à la mort d’Adama. Assa Traoré, chef de file du clan, obtient même un portrait élogieux dans les pages du quotidien, quelques semaines seulement après le drame. Charismatique, elle réussit à apparaître en couverture du Times, qui accuse la France de racisme. Alors que l’affaire peine à obtenir un écho national, des personnalités du show-biz viennent relayer le message du Comité Vérité et Justice pour Adama. Un mois après la mort d’Adama, le chanteur Black M arbore ainsi fièrement l’un des tee-shirts du comité dans l’un de ses clips, atteignant les 158 millions de vues. Quelques mois plus tard, une tribune signée par des dizaines d’artistes, dont Gilles Lellouche, Omar Sy – toujours présent pour dénoncer les prétendues « violences policières » - ou encore Grand Corps Malade, offre une nouvelle résonance à l’affaire.

Instrumentalisation

Malgré ces nombreux soutiens, le clan Traoré peine à faire de la mort d’Adama une cause nationale. L’enquête avance et l’affaire semble condamnée à tomber dans l’oubli. Mais c’était sans compter sur l’opportunisme du Comité pour Adama. En mai 2020, Assa Traoré et sa garde rapprochée voient ainsi dans la mort de George Floyd, aux États-Unis, un formidable moyen de relancer leur combat. Faisant fi des différences fondamentales qui séparent les deux affaires, le Comité Vérité et Justice tente de faire d’Adama le « George Floyd français ». Après une manifestation interdite qui rassemble des milliers de personnes contre les « violences policières » et après voir obtenu le soutien de Christophe Castaner, alors ministre de l’Intérieur, le clan Traoré finit par inaugurer une fresque d’hommage aux deux hommes. Mais, de nouveau, l’élan s’essouffle et l’instruction touche à sa fin. Alors que le parquet doit prochainement rendre ses réquisitions dans la mort d’Adama, Assa Traoré tente une énième fois de relancer la cause. Quelques heures à peine après la mort de Nahel, elle retrouve la mère de l'adolescent et diffuse leur rencontre sur ses réseaux sociaux. La chef de file des Traoré apparaît, dans la foulée, en première ligne de la marche d’hommage au jeune homme mort à Nanterre. Une stratégie payante qui lui permet de rallier plusieurs milliers de personnes à sa traditionnelle manifestation d’hommage à Adama qui peinait, jusque-là, à rassembler. Sur le plan juridique, même si de nombreux recours restent possibles, le combat semble perdu. Sur le plan médiatique, en revanche, Assama Traoré peut encore espérer poursuivre sa lutte antiraciste et anti-police.

Après sept années d’instrumentalisation, si un non-lieu doit être prononcé dans cette affaire, les forces de l’ordre obtiendront-elles des excuses ? Leur travail sera-t-il réhabilité ? Poser la question, c'est y répondre.

Clémence de Longraye

Source : http://bvoltaire.fr

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Délinquance et criminalité : le bilan de Darmanin est le pire de toute l’Union Européenne

17 Juillet 2023, 08:21am

Publié par Thomas Joly

Avec l'été, en filant vers la campagne et en sirotant le rosé, on pourrait se laisser prendre à l'autosatisfaction quotidienne des communiqués de Gérald Darmanin : une « baisse importante des dégradations » lors de la nuit du 14 au 15 juillet. Marc Eynaud a heureusement replacé le bilan de ces nuits et les propos du ministre dans le contexte, et ce qu'il disait du 13 l'est aussi du 14. On voit venir le moment où l'on nous ressortira le couplet sur le sentiment d'insécurité, qui ne refléterait en rien la réalité. Mais la com' et les arrangements de Darmanin avec la vérité ne parviennent pas à masquer un bilan inquiétant.

Et voilà qu'en plein cœur de l'été, un éminent universitaire, économiste et professeur à Toulouse, par ailleurs ancien conseiller économique à la Commission européenne, vient froidement énumérer, dans une tribune publiée par Le Figaro, des statistiques officielles issues des données d'Eurostat, l'organisme officiel de l'Union européenne en la matière. Il s'appelle Pierre Buigues et s'était fait connaître, il y a dix ans, par un essai percutant coécrit avec Élie Cohen, Le Décrochage industriel. Un essai accablant pour les politiques conduites depuis trente ans, salué à l'époque par Éric Zemmour.

Pas étonnant que ce féru de chiffres et de rationalité ait eu aussi envie d'aller voir ce qu'il en était de notre situation sécuritaire. Son constat est net : la situation de la France pour la délinquance et la criminalité est la pire de tous les pays de l'Union européenne, ce qui fait tout de même beaucoup. Et qui est accablant pour nos dirigeants.

Quelques chiffres montrent l'ampleur du désastre sécuritaire : « En moyenne en 2016-2018, écrit Pierre Buigues, [...] la France était le deuxième pays le plus mal placé des 27 de l'Union européenne en matière de vol qualifié, le troisième pays le plus mal classé en matière de vol de voitures. Le nombre de vols qualifiés en France se situait à 150 pour 100.000 habitants, contre moins de 50, en Allemagne, en Italie, dans le nord de l'Europe et dans la plupart des pays de l'Est ! Il en est de même pour le vol des voitures, près de 250 vols de voitures pour 100.000 habitants en France, moins du tiers en Espagne, en Allemagne et dans les pays du nord de l'UE. »

Pour les homicides, les chiffres et l'analyse de Pierre Buigues sont tout aussi implacables : « La France est aussi le pays où il y a le plus, en nombre absolu, d'homicides en 2020, 879 en France, contre 719 en Allemagne, 298 en Espagne et 285 en Italie en 2020. Si on ramène ces chiffres absolus à la population totale du pays, la France apparaît encore davantage comme un pays violent, 12,9 homicides par million d'habitants, 8,7 en Allemagne, 6,3 en Espagne, et seulement 4,9 en Italie, le pays de la mafia ! » Et ce triste record est encore sous-évalué, selon Pierre Buigues, puisque les agressions entraînant la mort n'y sont pas comptabilisées, alors qu'elles le sont chez nos voisins ! Faut-il préciser que toutes ces statistiques n'intègrent pas les chiffres des émeutes de 2023 ? Éric Dupond-Moretti ne pourra plus nous redire que la France n'est pas un coupe-gorge.

La France est l'homme malade de l'Europe. Elle accumule toute une série de bilans désespérants, dans les domaines les plus variés : éducation, impôts (la France est la championne de la pression fiscale et sociale), dette (Macron restera dans l'Histoire comme l'homme des 3.000 milliards…) et, donc, insécurité.

Historiquement, une telle situation et un tel déclassement de la France devraient entraîner une révolution et/ou une renaissance. C'était justement les mots magiques d'un Macron candidat, il y a longtemps. Nous n'avons eu ni l'une ni l'autre, seulement la continuation studieuse de l'effondrement. Démocratiquement, on se prend à rêver d'un débat de second tour où le représentant du parti du sursaut et de la vérité mettrait le nez du représentant macroniste dans ses chiffres nauséabonds. Le plus tôt sera le mieux. D'habitude, la comparaison avec les autres pays de l'Union européenne leur permettait de relativiser leurs mauvais bilans. Cette fois, ce ne sera même plus possible.

Frédéric Sirgant

Source : http://bvoltaire.fr

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« Faf & Curious » - N°19 - MAXIME MORLON (16/07/2023)

16 Juillet 2023, 18:26pm

Publié par Thomas Joly

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Quand les sales gauchistes de Libé enquêtent sur Franck Ferrand…

16 Juillet 2023, 14:06pm

Publié par Thomas Joly

C'est curieux, chez les gens de gauche, ce besoin de faire des listes. C'est curieux, chez les gens tolérants, ce besoin de juger, et chez les défenseurs de la démocratie, cette rage d'exclure. Voyez Libé, par exemple. Les journalistes de ce quotidien indispensable à l'équilibre du journalisme voulaient faire un portrait de Franck Ferrand, commentateur du Tour de France et habitué des émissions historiques. Il n'a pas voulu, puis pas pu les rencontrer, ni à Paris, ni à Clermont-Ferrand - c'est d'ailleurs l'occasion pour l'illustre inconnu Quentin Girard, « correspondant sur le Tour », de caler un petit passage cuistre (mais assez bien tourné) sur le film Ma nuit chez Maud, qui se passe à Clermont, puisque évidemment, il n'y a que le lectorat de Libé qui regarde encore Rohmer. On est en famille.

Franck Ferrand n'est pas disponible ? C'est pas grave, on le jugera par contumace. Le journaliste commence tranquille : Ferrand aurait pu n'être qu'un Stéphane Bern ou un Lorànt Deutsch, c'est-à-dire « ces personnalités mondaines fascinées par les grands hommes qui racontent de belles histoires sur un pays royaliste et chrétien. Agaçant pour les historiens professionnels mais, malheureusement, commun. » (Ici, le journaliste de Libé et son lecteur soupirent en roulant des yeux : « Pfff… agaçant mais malheureusement commun ».) Ça aurait suffi à le faire condamner, bien sûr, mais attendez la suite : Franck Ferrand écrit dans Valeurs actuelles, passe sur CNews et s'entendrait bien avec Zemmour. De plus (mais y a-t-il besoin de pendre un homme que l'on vient d'éventrer ?), il n'aime pas les écolos, dirige un établissement scénographique à La Défense (qui ne respecte pas les canons du programme de l'Éducation nationale) et s'intéresse à des récits discordants (sur Alésia, par exemple), qui sont peut-être vrais, peut-être faux, et dont il ne cherche pas à convaincre les bonnes gens. Pour un euro de plus, ajoutons la suprême infamie : il est anti-passe et anti-vaccin, ce qui n'a pourtant pas provoqué sa mort au moment de la terrible pandémie.

Une remarque sur le fond, peut-être ? On y vient : jugé « pourtant habile, moitié conteur, moitié comédien » par le journaliste de Libé lui-même, Franck Ferrand est également défendu par son prédécesseur sur le Tour de France, l'ancien directeur du Monde Éric Fottorino (classé à gauche) : « Je sais les critiques qui lui sont faites et je n’ai pas envie de les endosser. C’est dur de rentrer dans cette danse-là, c’est un faux rythme, il faut calmer la voix et susciter l’intérêt. Il a un savoir profond et classique. Il est plus pointu que moi. » Et pour Christophe Hondelatte, le roi du fait divers, « c’est un formidable conteur à la Alain Decaux qui a une visée grand public. Ce n’est pas un historien mais un vulgarisateur, ce n’est pas la même chose […] Franck ne fait pas de l’Histoire, il raconte des histoires sur l’Histoire. C’est normal qu’il y ait des pertes. Les reproches que lui font les historiens, pour moi, ce n’est pas un problème. Des juges d’instruction peuvent très bien me reprocher de vulgariser les choses, c’est normal on ne fait pas le même métier. » Aïe ! Une fois passée la salve de ragots de concierge, le journal d'investigation peine à trouver des arguments. Ferrand est un vulgarisateur, il aime la France et il en parle d'une manière romancée. Ses prédécesseurs s'appellent Bainville ou Lavisse - horresco referens, bien sûr.

C'est alors que se révèle ce qui est peut-être le fond de l'article, sa véritable motivation : faire peur au patron de Franck Ferrand (« Ça ne vous dérange pas de faire travailler sur le service public quelqu'un qui bosse pour l'extrême droite ? ») et plus généralement à ceux qui remettraient en cause le magistère de Libé et de la gauche pensante. Car, loin d'être ce qu'ils pensent être (sympas, cultivés, indépendants), les journalistes de Libération sont les iconoclastes de poche, les bouffons du roi d'un monde parisien désormais refermé sur lui-même. En quelque sorte, les chiens de chasse d'un équipage bourgeois qui se croit chez lui dans les forêts de la France périphérique. De temps à autre, pour rire, leur maître les détache pour qu'ils aillent mordre un ou deux mollets de fascistes - mais les vieux chiens de chasse, pourtant créancés pour ne prendre que des « réacs », ont désormais l'odorat gâté ; et puis leur ventre traîne par terre, leur vue baisse et ils ont du mal à suivre une voie.

Arnaud Florac

Source : http://bvoltaire.fr

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14 juillet : l'illusion de grandeur d'une Nation incapable de se faire respecter chez elle !

15 Juillet 2023, 10:16am

Publié par Thomas Joly

Le Président est content, les généraux aussi, le soleil et la foule des grands jours étaient là. Cette dernière était venue « voir et complimenter l’Armée française » lors de son traditionnel défilé, avec un spectaculaire prologue indien offert par les hommes du régiment du Pendjab.  On ne peut que se féliciter de cet aspect de la diplomatie macronienne – une fois n’est pas coutume! – en effet, l’Inde est un solide verrou à l’expansionnisme islamique pakistanais, et un potentiel challenger de la Chine pour le leadership du Tiers-monde.

Ils étaient  tous là, à pied, à cheval, ou montés dans leurs blindés au nouvel habillage chromatique… Les gardes républicains avec leur casque à crinière,  les légionnaires aux pas lents, coiffés de leur képi blanc, les artilleurs, les « tringlots » et les marsouins, pas un  bouton de guêtre ne manquait, on a raclé les fonds de tiroirs pour montrer au grand public ce que la France  a de plus beau dans le domaine militaire.

À quoi sert tout ce beau matériel ?

Mais, de vous à moi, à quoi peuvent bien servir ces chars Leclerc capables de délivrer la mort tout en roulant à grande vitesse,  ces  performants Rafales et autre A-400 M de transport, grands comme des halls de gare, ces canons Caesar livrés à l’Ukraine, alors qu’à quelques kilomètres des Champs-Elysées toute une faune grouillante et exotique, « deale » et ne rêve que de « casser du flic », et de mettre tout « à feu et à sang » ? Où étaient ces matériels et les hommes qui les servent lors des nuits d’émeutes qui ont saccagé la France suburbaine, comme la France profonde ?

L’ardoise sera lourde à régler, si l’État et les collectivités territoriales appliquent le fameux « quoiqu’il en coûte » macronien pour reconstruire mairies, crèches, médiathèques et autres salles des fêtes que des sauvages ont détruit. Qui cotisera plus pour payer des polices d’assurances en hausse, afin  d’indemniser les quelques 5000 propriétaires de véhicules partis en fumée ? Où iront les bambins privés de crèches et les élèves des « quartiers » privés d’école parties en fumée ? Qui payera la note pour racheter bus et trams volatilisés ?

Une « vengeance », vraiment ?

Le prétexte invoqué d’une vengeance en mémoire d’un jeune récidiviste n’obtempérant pas à un contrôle policier, tient-il la route ? Que nenni, mes amis. C’est la haine de la France, une haine « franche et massive » comme aurait dit« mon général », à l’égard d’un pays qui les a vu naître et qui les nourrit, qui habite tous ces milliers d’insurgés, ces voleurs, ces pilleurs sans foi ni loi, que seuls les ordres des « grands frères » - essentiellement parrains du business de la drogue - ont reconduit dans leurs tanières de béton. Non, ce ne sont pas les mâles paroles du Tartarin de la place Beauvau montrant ses petits « biscotos » qui ont rétabli l’ordre, ni les rodomontades du Président et de sa Première ministre.

Pour la nuit du 13 au 14, on a recensé « seulement » 218 voitures brûlées,  et une petite vingtaine de commissariats caillassés ou attaqués. Dans la nuit du 14 au 15,  255 autres véhicules ont été incendiés. Tout va mieux…

Les recettes pour venir à bout de ces néo « Barbaresques », on  les connait : fin de l’impunité, déchéance de la nationalité française pour les binationaux condamnés, et leur expulsion immédiate après l’exécution de leur peine, mise en détention de tous les délinquants et, s’il le faut, par manque de places, comme le font le Danemark et l’Australie - toutes deux démocraties irréprochables - « externaliser » ces détentions, au Kosovo et au Rwanda pour l’un, en Papouasie-Nouvelle/Guinée pour l’autre. Mais trions bien le bon grain de l’ivraie. Prenons bien soin de repérer et d’isoler parmi ces populations, les éléments sains qui travaillent et ne demandent rien d’autre que d’être tranquilles. Et surtout, surtout, il faut fermer le robinet de l’immigration, qu’elle soit légale ou clandestine – limitons le droit d’asile - par la suppression de tous les avantages sociaux, et par la destruction des nids de passeurs en Libye. Là, l’armée – les trois armes – aurait une occasion unique de nous montrer son savoir-faire, plutôt que d’aller  monter une garde facultative et bien inutile aux confins roumains, par exemple.

L’avertissement « sans frais » d’un Algérien

Le courageux écrivain algérien Boualem Sansal nous prévient dans un article paru dans le numéro du 13 courant de l’hebdomadaire Valeurs Actuelles :- « La France s’effondre sous le poids de l’immigration africaine, maghrébine, arabe, musulmane, sous les coups que l’islamisme importé de ces régions a portés à sa cohérence sociale et culturelle »…Et de nous avertir, que « la prochaine émeute des banlieues est déjà en route. Elle sera peut-être « la big one »…Que disaient et que disent  d’autre depuis des lustres des Le Pen, des Mégret, des Gollnisch, des Dupont-Aignan des Villiers et des Zemmour ?
« Fort avec les faibles », « faible avec les forts », Macron n’est en aucun cas l’homme de la situation. Véritable « zombie » des beaux quartiers, il n’a pas la structure mentale, la colonne vertébrale idéologique, qui le conduirait à réprimer. Dommage. Comptons sur nous-mêmes, sur nos mouvements politiques identitaires et souverainistes, sans oublier l’espoir d’un petit coup de pouce de la Providence, ça ne peut pas faire de mal !

Jean-Claude ROLINAT - Membre du Bureau politique du Parti de la France

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Le Parti de la France rétablira la Fête nationale le 15 août

14 Juillet 2023, 11:22am

Publié par Thomas Joly

Le Parti de la France rétablira la Fête nationale le 15 août

Le 14 juillet commémore la prise de la Bastille qui libérait ce jour-là une dizaine de prisonniers.

Depuis, ils y ont érigé une colonne y plaçant à son sommet Lucifer, l’ange et démon porteur de lumières…

Le 14 juillet est le Défilé de l’Armée Française devant le Chef des Armées, assis Place de la Concorde à l’endroit même où furent décapités le Roi Louis XVI (le 21 Janvier 1793) et la Reine Marie-Antoinette (le 16 octobre 1793).

La vraie Fête Nationale était, est et restera le 15 août, en la Fête de l’Assomption de la Très Sainte Vierge Marie, Reine de France.

Alexandre Simonnot - Délégué général du Parti de la France

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À vomir : les parents d'Émile seraient catholiques et d'extrême-droite, donc suspects

13 Juillet 2023, 06:00am

Publié par Thomas Joly

Depuis samedi, date à laquelle le petit garçon de deux ans et demi a échappé à la surveillance de ses grands-parents, la France tremble pour Émile, en même temps qu’elle pleure et espère envers et contre tout avec sa famille. La presse suit donc avec beaucoup d’attention les points de situation du procureur et du préfet. Le climat y est lourd, la parole, grave, les questions des journalistes sont pesées. Pourtant de la forêt de micros tendus devant le procureur ce mardi 11 juillet, fuse une voix féminine, avec cette question surréaliste : « Le passé militant d’extrême-droite des parents, est-ce qu’il est étudié ? ». Que sous-entend cette interrogation ? Quel est le rapport ? En quoi cela change-t-il la donne ?

Il est une catégorie de population, celle qui est étiquetée « d’extrême-droite », avec laquelle tout est permis. L’indécence, l’inhumanité, le cynisme, la provocation… Les pauvres parents essuient déjà sur les réseaux sociaux mille reproches ridicules : faut-il ne jamais eu avoir d’enfants pour ignorer que l’âge de ce bébé - entre le début où il commence à marcher et l'entrée à l'école - est celui de tous les dangers : grisés par leur autonomie mais inconscients des dangers, ces tout petits font souvent des frayeurs à ceux qui les gardent. En plus de ces donneurs de leçons, il y a les détectives du dimanche : ils savent qui est le coupable, le maire, le voisin tel membre de la famille vu à la télé, et péremptoirement jugé « pas net », comme si jeter ainsi l’opprobre n’avait pas plus d’importance que miser sur le Colonel Moutarde dans une partie de Cluedo. Il ne s'agit habituellement que d'anonymes. On trouve quand même dans le lot... Ségolène Royal. Celle-ci, dans un tweet supprimé depuis, s'agace, telle Marguerite Duras dans l'affaire Grégory, que « la mère » ait été « auditionnée » si tard, pointe du doigt  « le père au profil très inquiétant » évoque une « vengeance familiale ». Comment une mère de famille nombreuse, ancienne ministre et candidate à la présidence de République, peut-elle porter un jugement téméraire avec une telle légèreté quand les "vrais" enquêteurs au plus près du terrain, eux, n'écartent bien sûr aucune hypothèse - car tout est possible - mais s'astreignent à un devoir de réserve ?

Mais les journalistes professionnels valent-ils mieux ? Déjà, comme le relevait dans ces colonnes Sabine de Villeroché, le journal L’Indépendant n’a pu résister à la tentation d'un titre racoleur, bricolé à partir d'une citation tronquée, glanée de façon hasardeuse, faisant passer Marie S., la mère du petit garçon disparu, pour une illuminée. Il est vrai qu’être catholique et appeler à prier dans l’adversité, faire en sus partie d’une fratrie de dix enfants qui, l’été, organise des concerts dans son église, intrigue voire dérange. Quant à cette journaliste, dont le média n’a pas été identifié, elle n'a pas hésité à se faire l’écho d'obscurs militants d’ultra-gauche écumeurs de réseaux sociaux : Colomban S., le père d’Émile, se serait présenté pour Reconquête!, aurait fait partie du groupe Bastion social dissout il y a quelques années. Et alors ? S'il avait été élu UDI, militant EELV ou même antifa, quelle différence ? Ce n'est pas de politique dont il s'agit mais de la disparition d'un bébé.« Le pedigree raciste et intégriste de la famille est évidemment une piste d'enquête », justifie un certain Anthony, comédien et metteur en scène, sur Twitter. C'est ce que l'on appelle sans doute le Camp du Bien.  « Vous n'aurez pas ma haine », c'est bon pour les terroristes. Pour les parents d'Émile, ce sera « Vous n'aurez pas ma pitié ». Coupables. Forcément coupables.

Gabrielle Cluzel

Source : http://bvoltaire.fr

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