En relançant, comme il s'y emploie dans son nouvel ouvrage, le débat sur les Institutions, François Hollande n'a bien sûr en tête qu'une seule idée : celle de son retour. Une obsession qu'il est, à l'évidence, le seul à nourrir tant son séjour à l'Élysée fut calamiteux.
Il n'est pourtant jamais inutile de se pencher sur l'architecture de l’État.
Au moment où s'accumulent les menaces sur notre Nation française — déferlante migratoire, islamisation, dislocation identitaire, déconstruction sociale, décomposition morale et désagrégation organique — nos compatriotes ressentent plus que jamais le besoin d'un État fort, maître de l'autorité, garant des libertés et de l'équité, pilier de force de notre destin.
Cet État doit être incarné. Profondément monarchistes sans être royalistes, les Français veulent un Chef qui dispose du temps long et soit dépositaire à la fois de la puissance publique, de la grandeur nationale et des équilibres sociaux.
L'introduction du quinquennat décidée conjointement par Chirac et Jospin, plus qu'une erreur, plus qu'une faute politique, fut un attentat contre la stabilité institutionnelle de la France, stabilité, il est vrai, déjà largement fragilisée par des dizaines de réformes constitutionnelles et par une pratique constante du pouvoir — cela dès l'origine du régime — proche de celles des pires républiques bananières.
Un Président au dessus de la mêlée politicienne mais décideur plus qu'arbitre, visionnaire, détenteur de l'autorité suprême et non partagée, Chef du peuple et de la Nation, un premier ministre qui coordonne l'action gouvernementale, un parlement représentatif qui légifère sans outrepasser ses droits, une Justice qui assume ses responsabilités mais ne s'érige pas en contre-pouvoir, voilà ce que doit être demain l’État national que nous appelons de nos vœux.
Un État français, en somme.
Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France
L’idéologie « gender » n’a pas de limites, toutes les déconstructions sont à l’honneur. Après la révolution homosexuelle, voici la révolution transsexuelle, la nouvelle folie « gender » à la mode. Bien entendu enfants et adolescents sont les premières cibles à pervertir par le biais des séries télévisées, très prisées par la jeunesse.
Euphoria est la nouvelle série, violente et pornographique, pour adolescents sur Sky Atlantic. La protagoniste est Rue, jeune fille de 16 ans, droguée, ayant des problèmes psychologiques, qui tombe amoureuse de Jules, un transsexuel qui de garçon est « devenu » fille.
Jules est interprété par le mannequin transsexuel Hunter Schafer qui a déclaré au New York Times : « Je suis en train de déconstruire l’idée de sexe, d’user les privilèges et la visibilité qui me sont concédés comme mannequin pour mettre cette thématique sous les feux des projecteurs. Je ne sais pas si on peut me définir « une » activiste seulement parce que je parle de mon être trans. Même si parfois exister comme trans peut être difficile. Nous sommes en première ligne dans cette révolution qui verra l’identité d’expression avoir le dessus sur les étiquettes qui nous sont assignées à la naissance. L’auto-identification aura la priorité sur la perception. Le sexe tombera définitivement. »
Et pour mener à bien cette révolution anthropologique, on offre aux jeunes les « modèles » que sont la drogue, les troubles mentaux, l’homosexualité et la transsexualité.
Et puis l’on nous parle du mal-être de la jeunesse, et puis l’on s’étonne que tant de jeunes se suicident…
La phrase convenue pour désigner Mayotte, l’île où se rend aujourd’hui notre Président, est invariablement « petit bout de France posé au milieu de l’océan Indien ».
C’est faux. Mayotte n’est absolument pas au milieu de l’océan Indien. Elle est un point de l’archipel des Comores, au nord-ouest de la grande île de Madagascar, à l’entrée du canal du Mozambique, ce qui la fait évidemment plus proche de l’Afrique que de la base américaine de Diego Garcia, par exemple – très bien centrée”, celle-là –, ou de la Réunion qui, elle, se trouve 1.000 kilomètres, environ, à l’est de Madagascar.
C’est important, la géographie, surtout lorsqu’on veut parler d’immigration.
Emmanuel Macron entame, ce jour, sa reconquête du pays profond par une balade dans nos terres de l’océan Indien. Première halte à Mayotte, exception à la française s’il en est puisque, dans ce nouveau département (il est devenu le 101e en 2011) qui compte 256.000 habitants officiels, 48 % sont des étrangers, dont 95 % de Comoriens. Là-dessus, la moitié sont sans papiers.
C’est là, donc, que le président de la République va « entamer l’acte II du quinquennat », dit la presse officielle. Ce déplacement est le cinquième dans nos territoires d’outre-mer et devrait se dérouler autour de trois thèmes : « le régalien, l’environnement et la lutte contre les inégalités ».
Des mots qui posent, certes, le problème en termes élégants mais paraissent totalement déconnectés du réel quand on sait que ces dizaines de milliers d’immigrés clandestins vivent dans « le plus grand bidonville de France », celui de Kaweni. Des baraquements surgis du déboisement sauvage, des tonnes d’immondices, sans eau, sans électricité… Et pourtant, confie un habitant à l’envoyé du Figaro, « personne ne vous dira qu’il veut retourner aux Comores ».
Emmanuel Macron doit recevoir le Collectif des citoyens de Mayotte dont la présidente appelle au secours : « Aucun territoire ne subit cette pression migratoire. Il n’y a pas, à Mayotte, les ressources naturelles capables d’accueillir toutes ces personnes. Et 84 % de la population est en situation de pauvreté », dit-elle, et de pointer « la saturation des écoles – et leurs salles de classe tournantes, occupées par certains élèves le matin, par d’autres l’après-midi ; la surabondance de déchets ; l’insécurité ».
À noter que, selon les chiffres fournis par le ministère de l’Intérieur, 42 % des habitants de 16 à 64 ans (ayant été scolarisés en France) sont illettrés, ce qui ne facilite évidemment pas le décollage économique de l’île…
Tout cela porter un nom : l’enfer.
Pour lutter contre a été mis en place le plan Shikandra, dont la philosophie est « humanité-fermeté », et qui a suscité 22.000 reconduites à la frontière depuis janvier dernier. Une réponse au mouvement de protestation qui, au printemps 2018, a secoué l’île, révélant les ravages causés par cette immigration folle et l’insécurité qu’elle provoque à tous les niveaux. Car dans les records battus par Mayotte figurent les « mineurs isolés étrangers », dont plusieurs milliers ont été recensés sur une île dont plus de la moitié de la population officielle a moins de 18 ans. Parmi eux, nombre d’enfants arrivés sur les fameux « kwassa-kwassa » et abandonnés par leurs parents à la famille ou des amis déjà sur place. Mais ils viennent aussi du continent africain, notamment de la région des Grands Lacs, ou de la proche Madagascar. La géographie…
L’association chargée des dossiers note ainsi « qu’un nombre significatif de mineurs non accompagnés arrivent sur le territoire pour effectuer un regroupement familial. Ces jeunes passent par Mayotte pour rejoindre leurs parents qui, après avoir été eux-mêmes en demande d’asile dans l’archipel, y sont devenus réfugiés et vivent aujourd’hui en métropole. » Ils sont majoritairement congolais et rwandais.
Bref, une situation dantesque sur ce territoire où la croissance démographique est déjà explosive, avec une moyenne de cinq enfants par femme.
Bouffi d’orgueil et de suffisance, le pseudo-philosophe mais vrai mondialiste cosmopolite, Bernard-Henri Lévy, croyait pouvoir tenir la dragée haute au polémiste Éric Zemmour. Hélas pour lui, il s'est fait botter les fesses sur tous les sujets abordés. Un déculottée à savourer sans modération.
Après avoir présenté des candidats aux élections législatives de 2017 et une liste aux dernières Européennes, l'Union des Démocrates Musulmans de France (UDMF) se prépare pour les Municipales de 2020 et annonce sa présence a Paris, Marseille, Nice, Vaulx-en-Velin, Maubeuge (dans un des quartiers de la ville, l'UDMF a atteint 40 % aux Européennes), ainsi que dans la plupart des communes où le parti islamique a enregistré ses meilleurs résultats en 2019 comme Garges-Lès-Gonesse (Val-d'Oise), où l'UDMF totalisait 7,43 % des suffrages et terminait en 4e position, devant Benoît Hamon, le Parti socialiste, les Verts et Les Républicains, à Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines (6,77 % pour la liste de Nagib Azergui avec un pic notable de 16,74 % dans le quartier du Val-Fourré) ou à Trappes (Yvelines), avec 4,04 % des voix et un score de 8,14 % dans la Plaine de Neauphle. Sans parler de Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne), La Courneuve (Seine-Saint-Denis), Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) ou l'UDMF dépassait les 6 %.
Un certain nombre de voix s'élèvent, de Bruno Retailleau à Eric Ciotti en passant pas Marine Le Pen et Nadine Morano pour interdire à L'UDMF de présenter des listes. Au nom de la laïcité.
Ce serait une erreur. Casser le thermomètre électoral ne ferait que dissimuler la fièvre et camoufler le mal qui monte, ronge et finira par tuer si les vrais remèdes ne sont pas mis en œuvre.
Aux grands maux, les grands remèdes, en effet : c'est par un vaste plan global visant à l'éradication de la menace islamique que la France trouvera son salut. Répression des groupes activistes, nettoyage des cités, reconquête des zones séparatistes de la Nation, interdiction du salafisme, sont des éléments incontournables d'un tel plan.
Mais ce n'est que par l'arrêt total de l'immigration et l'organisation d'un vaste mouvement de retour au pays d'origine que le danger sera définitivement écarté.
Quand le sage montre la lune, l'idiot regarde le doigt. La classe politico-médiatique voit le voile et se fixe sur les signes "communautaires" mais ferme les yeux devant la réalité.
Il est pourtant plus que temps de les ouvrir.
Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France
L’islamisation de la société française et des esprits se perçoit aussi par le mépris qu’ont certains édiles des us et coutumes françaises.
Le maire de Saint-Étienne, Gaël Perdriau, soutien de Wauquiez, n‘a pas hésité à considérer comme du terrorisme égal au terrorisme islamique la culture du jambon-beurre-beaujolais.
Que l’on sache, personne n’a encore jamais vu un jambon poser des bombes ni du beurre tirer à la mitraillette. Quant au Beaujolais, s’il a la couleur du sang il n’en fait pas couler pour autant comme le couteau des égorgeurs du Coran… La soumission au politiquement correct et à un « vivre ensemble » idyllique avec un islam conquérant rend bête et méchant…
Voici @PerdriauGael, maire LR de Saint-Etienne, déclarant “Peut-être que le terrorisme jambon-beurre-Beaujolais est moins répréhensible à vos yeux que celui de l’islamisme radical, et bien pour moi c’est le même !"
Samedi 19 octobre à Avrechy (60), Jean-Marie Le Pen a répondu à l'invitation du Parti de la France pour un déjeuner patriotique suivi d'une séance de dédicaces du Tome 2 de ses Mémoires.
Le succès était au rendez-vous puisque la salle du restaurant était archi-comble et des riverains sont même venus se faire dédicacer le livre de Jean-Marie Le Pen et ont pris des photos avec lui.
Auparavant, après un copieux repas, Thomas Joly, puis Jean-Marie Le Pen, ont tour à tour pris la parole pour rappeler la situation périlleuse dans laquelle se trouve notre pays et ont incité à la mobilisation de tous les Français lucides pour défendre notre civilisation.
Si l'on en croit un bureau d'étude américain, Marseille est depuis un an la ville la plus dangereuse d'Europe, devant Naples, à la réputation pourtant très sulfureuse. Et Marseille se retrouve, dans le classement mondial, à la dixième place, derrière des villes américaines ou africaines.
La réalité de l'insécurité en France est bien sur occultée par les médias, car au delà du cas de Marseille, notre pays partage avec le Royaume Uni la place peu enviée de pays le plus dangereux d'Europe. Merci Macron et Castaner.
Pendant ce temps, probablement grâce à l'action du méchant Salvini, l'Italie a vu la délinquance baisser de 20 % en deux ans : frein à l'immigration, présence policière massive sur le terrain et lutte contre les mafias ont porté leurs fruits : dans la célèbre Palerme, il n'y a eu que deux homicides cette année. La preuve qu'il n' y aucune fatalité, et que ce que nous subissons est un choix du gouvernement.
Tandis que se profile à partir du 5 décembre prochain une grève illimitée dans les transports qui, à l'approche de Noël, pourrait bien paralyser entièrement le Pays, les chemins de fer sont, depuis trois jours, bloqués par un arrêt de travail sauvage camouflé sous le terme pudique de « droit de retrait ».
En droit français, le droit de retrait est le droit pour le salarié de se retirer d'une situation de travail présentant un « danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé ». Il est fondé sur l'article L. 4131-1 du Code du travail pour les salariés[ et sur l'article 5-6 du décret no 82-453 du 28 mai 1982 pour les fonctionnaires qui stipule que le droit de retrait a pour seul objectif la sauvegarde du salarié et ne peut servir à faire la promotion de revendications professionnelles.
À l'évidence, même si l'accident de TER qui a déclenché le mouvement témoigne du dénuement scandaleux de nos services publics et de la dangerosité de la situation pour les clients comme pour les personnels, ces dispositions légales sont totalement dévoyées par les preneurs d'otages syndicaux et les maîtres chanteurs gauchistes qui usent des méthodes habituelles des salopards rouges.
La grève ne doit être qu'un ultime recours lorsque les salariés sont confrontés dans une entreprise à des atteintes manifestes et établies à leur droits et à l'équité sociale. Et, lorsque la cohésion nationale et le service nécessaire de la chose publique sont mis en péril, la réquisition doit être la règle.
Le Premier ministre et la direction de la SNCF ont évoqué l'éventualité de sanctions. Seront ils grondés? Recevront-ils un avertissement pouvant déboucher sur un blâme donnant lieu à une réprimande formulée en trois exemplaires en cas de récidive ?
Dans l’État fort que nous appelons de nos vœux, tout blocage des transports sera considéré comme un acte anti-national et réprimé comme tel.
Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France
Le journal Le Figaro a récemment révélé que la seule région francilienne compterait au moins 80 mosquées salafistes, l’aile la plus radicale de l’islamisme. Aucune mesure politique ou administrative n’a jamais été prise contre ces foyers de haine et de djihadistes en puissance.
"De l’aveu même du délégué général du Conseil français du culte musulman (qui se trouve être aussi, comme par hasard, président de l’Observatoire contre l’islamophobie), l’Ile-de-France ne compte pas moins de 80 mosquées dirigées par des salafistes." https://t.co/e7DeKLUZlY
C’est de l’une de ses mosquées, celle de Gonesse, que provenait le djihadiste Mickaël Harpon, responsable de la tuerie de la Préfecture de Police de Paris.
Plus proche collaborateur de Jean-Marie Le Pen depuis près de 20 ans, Lorrain de Saint Affrique vient raconter le personnage Le Pen : ses attitudes dans le privé, son état de santé, son regard sur l'actualité et les grands sujets de notre temps. Un portrait très éloigné des clichés et des caricatures.
Nombre d’universités, en France, sont des bastions bien gardés de la gauche ; antifas et militants de l’UNEF y font régner leur loi. Nanterre est l’une de celles-là. Distribuer des tracts « de droite » en vue des élections vous vaut d’être immédiatement agressé. La Cocarde étudiante entend pourtant résister…
Carl Lang, Président du Parti de la France, s'exprime sur la nouvelle polémique à propos du voile islamique.
Voile islamique:Depuis des décennies la classe politique française collabore activement à l'islamisation de la France en souhaitant que cela se voit pas. Raté! Elle a voulu l'immigration de masse: Elle récolte l'islamisation,les mosquées, le voile et la charia! En bloc!
Le voile islamique semble bien moins déranger la Ministre des sports, @RoxaMaracineanu, que les chants soi-disant « homophobes » dans les stades de foot pic.twitter.com/9dg8WzGeSO
En évoquant mercredi devant des proches le risque de « guerre civile » après avoir appelé en début de semaine les Français « à faire bloc », Emmanuel Macron tente de renouer avec la pseudo mystique républicaine de la Patrie en danger et avec la doxa gaullienne du rassemblement.
Deux impostures, deux supercheries. Le thème de la Patrie en danger agité par Danton ou Robespierre n'était qu'une mystification destinée à resserrer les rangs révolutionnaires pour mieux asseoir le totalitarisme jacobin, et le rassemblement gaulliste un paradoxe dont usait sans vergogne le fondateur de la Ve République pour faire oublier qu'il était le plus grand diviseur de la Nation.
Faire bloc ? Autour de quoi ? De quels principes quand toutes les valeurs françaises sont mises à bas par cette République nihiliste ? De quels institutions quand la famille se disloque, l'armée se défait, la France se renie, et que tous les piliers de force qui portent une civilisation sont systématiquement sapés ?
Le seul bloc qui doit se constituer est le bloc national. Celui que nous appelons de nos vœux et sans lequel, en effet, la France sombrera à moyen terme dans les abominations d'une guerre sur son propre sol. Une guerre qui ne sera pas « civile » contrairement à ce que croit Macron, mais de conquête étrangère.
Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France