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Le blog politique de Thomas JOLY

« Thomas Joly répond à vos questions » - N°1 - 29 février 2020

29 Février 2020, 19:33pm

Publié par Thomas Joly

Thomas Joly, Président du Parti de la France, répond aux questions des internautes.

Sujets abordés : les élections municipales, le soutien du PdF à des candidats RN, les relations du PdF avec la Dissidence Française et les autres organisations nationalistes, les « Primaires pour la France », l'élection présidentielle de 2022, Jean « Hossam » Messiha, le site internet du PdF, le meeting du 18 avril à Paris organisé par le PdF.

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Syrie : une opportunité que l'Europe ne saisira hélas pas

29 Février 2020, 15:12pm

Publié par Thomas Joly

Si l'Europe avait deux sous de bon sens, une once de courage et une parcelle de conscience de ce qu'est son intérêt civilisationnel, elle saurait profiter de la crise ouverte en Syrie entre Moscou et Ankara pour opérer enfin un renversement d'alliance et, en se dégageant de sa dépendance atlantique, prendre fait et cause pour la Russie.

Tout devrait nous y pousser : le soutien de la Turquie au djihadisme, son expansionnisme au Maghreb et dans les Balkans, la présence sur notre sol d'une forte diaspora turque politisée, les menaces exercées par Erdogan sur notre continent d'ouvrir les vannes de la submersion migratoire, le grand dessein de reconstitution de l'Empire ottoman, sont autant de menaces que notre continent ne pourra affronter seul.

Cette opportunité salvatrice, nous savons que l'Europe ne la saisira pas, qu'elle continuera de se plier aux mécanismes corrupteurs pour son identité, son indépendance et sa sécurité de l'OTAN, et à appliquer les sanctions décidées à Washington contre la Russie, la poussant ainsi vers ses tropismes orientaux.

Seule pourtant la constitution d'un nouveau paradigme Madrid/ Rome/ Paris/Berlin/Moscou sauvera notre civilisation.

Mais il faudra attendre que les forces nationales parviennent au pouvoir dans chacun de nos États pour en voir la réalisation.

Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France

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« Pour préserver la vie des nôtres, il faut remigrer massivement les extra-européens »

29 Février 2020, 11:42am

Publié par Thomas Joly

 

 

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Jean-Marie Bigard invité de l'émission « Bistro Libertés »

29 Février 2020, 09:51am

Publié par Thomas Joly

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Un capitaine de police suspendu pour radicalisation… réintégré !

29 Février 2020, 09:28am

Publié par Thomas Joly

Le policier devrait reprendre le travail le 2 mars prochain, dans une antenne en charge de la fraude fiscale. Il travaillait auparavant à la traque de fugitifs.

Le Parisien dresse son portrait… peu rassurant :

Son comportement avait été signalé en 2011 après son mariage avec une avocate de confession musulmane et sa conversion. Son refus de tout contact avec personnel féminin, sa nouvelle barbe et ses discours sur la religion avaient suscité l’inquiétude de ses collègues. Les collègues du capitaine l’ont à nouveau signalé fin 2019.

Dormez tranquilles, la police de la Charia veille sur vous...

Source : http://lalettrepatriote.com

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Le 28 février 1794, aux Lucs-sur-Boulogne, l'armée révolutionnaire massacre 564 personnes dont 109 enfants

28 Février 2020, 14:55pm

Publié par Thomas Joly

En janvier 1794, le général Turreau, responsable des « colonnes infernales », écrivait à la Convention nationale (c’était donc officiel) : « il faut prendre de grandes mesures, il faut exterminer tous les hommes qui ont pris les armes, et frapper avec eux leurs pères, leurs femmes, leurs sœurs et leurs enfants. La Vendée doit n’être qu’un grand cimetière national. »

Le , tuant et incendiant sur leur passage, les colonnes des généraux républicains Cordellier et Crouzat se dirigent vers le village des Lucs-sur-Boulogne.

Mais sur le chemin, ils sont attaqués et mis en fuite par les troupes royalistes et catholiques de Charette. Cependant, après sa victoire, Charette, obligé de pratiquer la guérilla, doit se retirer.

Martincourt, un lieutenant de Cordellier, s’en aperçoit et après avoir rallié plusieurs fuyards, se dirige vers le village des Lucs (alors divisé en deux paroisses : le Grand-Luc avec deux mille habitants et le Petit-Luc, avec une centaine d’habitants) avec l’intention d’y exercer des représailles.

Face à l’arrivée des colonnes, une partie de la population court se réfugier dans la chapelle du Petit-Luc alors qu’une autre partie a déjà été massacrée.

Les villageois ne sont guère en mesure de se défendre : la population présente compte principalement des vieillards, des femmes, des enfants dont 109 avaient moins de 7 ans.

L’abbé Voyneau, curé du Petit-Luc, se présente alors aux soldats sur le chemin de la Malnaye : ceux-ci se saisissent de lui, le torturent et l’éventrent.

Martincourt, le chef des Républicains, décide de ne pas faire de quartier. La chapelle étant trop petite pour contenir toute la population, les soldats ouvrent le feu sur les personnes à l’extérieur, puis afin d’économiser les cartouches, lancent une charge à la baïonnette massacrant et achevant les blessés. Les survivants se barricadent à l’intérieur de la chapelle, les Républicains incendient alors l’église.

Un soldat républicain, nommé Chapelain, écrit dans une lettre : « Aujourd’hui journée fatigante, mais fructueuse. Pas de résistance. Nous avons pu décalotter à peu de frais toute une nichée de calotins. Nos colonnes ont progressé normalement. »

On retrouvera plus tard un document du curé du Grand Luc : « Lesquels noms ci-dessus — au nombre de 564 — des personnes massacrées en divers lieux de la paroisse du Grand-Luc, m’ont été référés par les parents échappés au massacre, pour être inscrits sur le présent registre, autant qu’il a été possible de les recueillir dans un temps de la persécution la plus atroce, les corps morts ayant été plus d’un mois sans être inhumés dans les champs de chaque village du Luc : ce que j’atteste comme trop véritable, après avoir été témoin oculaire de ces horreurs et exposé plusieurs fois à en être aussi la victime. Au Luc, ce 30 mars 1794. C. Barbedette, curé du Luc. »

Les noms des 109 enfants des Lucs-sur-Boulogne de moins de 7 ans, massacrés par les troupes républicaines, le 28 février 1794 :

Marie-Modeste AIRIAU, de la Ricoulière, 5 ans et 7mois,
Thomas AIRIAU, de Villeneuve, 10 mois,
Joseph ARCHAMBAUD, de Puyberne, 20 mois,
Agathe ARNAUD de Belleville (tuée au Lucs ) 4 ans et demi,
Etienne BERIAU, de l’Erzandière.15 jours,
Marie-Madeleine BERIAU, de Roblin, 2 ans et 11 mois,
Jeanne BERIAU, du Petit-Luc, 4 ans,
Marie BERNARD, de la Jarrie, 3 ans,
Céleste BOISSELEAU, de la Grézaudière, 6 ans,
Pierre BOISSELEAU, de la Gaconnière, 6ans et demi,
François BOSSIS, du bourg du Grand-Luc, 7 mois,
Joseph BOSSIS, son frère, 23 mois,
Louis BOSSIS, autre frère, 5 ans,
Pierre BOUET, de la Surie, 27 mois,
Louis BOURON, de Bourgneuf, 3 mois,
Madeleine BOURON, sa cousine, de Bourgneuf, 3 ans,
Marie CHARUAU, de la Guyonnière, 2 ans,
Marie-Madeleine CHARUAU, sa sœur, 4ans et 3 mois,
Jean CHARRIER, de la Devinière, 3 ans,
Marie DAVIAUD, de l’Erzandière, 1 mois,
Pierre DAVIAUD, son frère, 5 ans et 8 mois,
Jeanne DAVIAUD, au Petit-Luc, 2 ans et 11 mois,
Pierre DAVIAUD, son frère, 4 ans et 10 mois,
Louis EPIARD, du Chef-du-Pont, 5 ans et 10 mois,
Jean-François ERCEAU, de la Sorinière, 27 mois,
Pierre FETIVEAU, de la Gaconnière, 27 mois,
N…FETIVEAU, son frère, 3 mois,
Jeanne FEVRE, du Chef-du-Pont, 5 ans et demi,
Suzanne FORGEAU, de la Sorinière, 20 mois,
Rose-Aimée FORT, du Champ-Dolent, 31 mois,
Pierre-René FORT, son frère, 5 ans et 9 mois,
Marie-Anne FOURNIER, bourg du Grand-Luc, 30 mois,
Jacques FOURNIER, son frère, 5 ans et 5 mois,
Marie GARREAU, de la Cornetière, 7 ans,
Marie-Anne GAUTRET, de la Guénière,7 ans,
Pierre GEAI, des Temples ; 25 mois,
Jean GIRARD, du Chef-du-Pont, 1 an,
Marie-Jeanne GIRARD, sa sœur, 4 ans et 2 mois,
Pierre GIRARD, leur frère, 6 ans et 4 mois,
Pierre GOUIN, des Temples, 1 an,
Louis GRALEPOIS, de la Grézaudière, 13 mois,
Jeanne GRALEPOIS, de la Bretonnière, 5 ans,
Pierre GRATON, du Puy, 3 ans et 4 mois,
Jeanne GRIS, de la Cernetière, 5 mois,
Pierre GRIS, son frère, 5 ans,
Lubin GUILLET, du Bourg du Grand-Luc, 6 ans,
Marie GUITET, de l’Erzandière, 4 ans et demi,
Marie HERMOUET, du bourg du Grand-Luc, 5 mois,
Louis HIOU, de Bourgneuf, 2 ans et 11 mois,
Marie-Anne JOLI, de la Bromière, 27 mois,
Marie MALARD, du Marchais, 4 ans,
Jean MALIDIN, de la Primaudière, 18 mois,
Marie MALIDIN, sa sœur, 3 ans et 11 mois,
Jeanne MALIDIN, de la Bruère, 3 ans,
Rose MALIDIN, sa sœur, 6 ans et 2 mois,
Joseph MANDIN, du bourg du Grand-Luc, 23 mois,
Louis MANDIN, son frère, 5 ans et 9 mois,
Véronique MARTIN, de la Moricière, 1 an,
Marie-Françoise MARTIN, du Petit-Luc, 2 ans,
Louise MARTIN, sa sœur, 5 ans et 4 mois,
Rosalie MARTIN, de la Guénière, 2 ans et 10 mois,
Louise MARTIN, sa sœur, 5 ans et 3 mois,
Rosalie MARTINEAU, de Bourgneuf, 2 ans et 11 mois,
Jean MIGNEN, de la Sorinière, 1 an,
Louise MINAUD, du Brégeon, 15 jours,
Louise-Marie MINAUD, sa sœur, 15 mois,
Jean MINAUD, leur frère, 5 ans et 3 mois,
Pierre MINAUD, autre frère, 6 ans et 11 mois,
Jeanne MINAUD, de la Davière, 15 mois,
André MINAUD, son frère, 4 ans et 2 mois,
Véronique MINAUD, leur sœur, 6 ans et 8 mois,
Pierre MINAUD, leur cousin de la Davière, 4 ans,
Louise MINAUD, de l’Ethelière, 33 mois,
Marie-Anne MINAUD, sa sœur, 6 ans et 11 mois,
Anne MORILLEAU, de la Primaudière, 2 ans
Céleste MORILLEAU, sa sœur, 6 ans et 5 mois,
Jean PERROCHEAU, du Retail, 5 ans et 3 mois,
Pierre POGU, de la Pellerinière, 22 mois,
Jean POGU, son frère, 5 ans,
Rose PREVIT, de Villeneuve, 10 mois,
Marie PREVIT, sa sœur, 6 ans,
Rose REMAUD, de Bourgneuf, 4 ans et 11 mois,
Marie REMAUD, de la Grande-Métairie, 4 ans et demi,
Pierre RENAUD, de la Nouette, 18 mois,
Catherine RENAUD, sa sœur, 3 ans et demi,
Jeanne RENAUD, leur cousine, de la Nouette, 4 ans,
Marie-Anne RENAUD, de la Petite-Brosse, 4 ans,
Pierre RENAUD, son frère, 6 ans et demi,
Marie RICOULEAU, de la Bromière, 22 mois,
Jeanne ROBIN, de la Retardière, 5 ans,
Marie-Anne RORTAIS, de la Guyonnière, 4 ans,
Jeanne ROUSSEAU, de la Gaconnière, 23 mois,
Jean ROUSSEAU, son frère, 3 ans et 11 mois,
Louis ROUSSEAU, autre frère, 7 ans,
Victoire ROUSSEAU, cousine, de la Gaconnière, 11 mois,
Jeanne ROUSSEAU, sœur de Victoire, 4 ans,
Jeanne SAVARIAU, de la Sorinière, 5 ans et 10 mois,
Pierre SIMONEAU, de la Moricière, 6 mois,
Jean SIMONEAU, son frère, 4 ans et 10 mois,
Jacques SIMONEAU, de la Bugelière, 18 mois,
Joseph, SIMONEAU, cousine, de la Bugelière, 8 mois,
Henri SORET, du Petit-Luc, 2 ans,
Jacques SORIN, de la Bromière, 5 mois,
Jean SORIN, son frère, 3 ans et 3 mois,
Madeleine TENET, du Chef-du-Pont, 7 ans,
Louis VRIGNAUD, de la Ricoulière, 23 mois,
Marie-Jeanne VRIGNAUD, de la Cornetière, 3 ans,
Jean-Baptiste VRIGNAUD, son frère, 4 ans et 5 mois.

Cette longue litanie est suffisamment émouvante pour se passer de commentaires. Si vous en avez l’occasion, faites un Pèlerinage du Souvenir à la Chapelle du Petit-Luc dans laquelle sont inscrits tous les noms de ces jeunes martyrs.

Source : http://www.contre-info.com

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Pourquoi viennent-ils tous se faire démolir par Zemmour ?

28 Février 2020, 14:28pm

Publié par Thomas Joly

Avec un Z comme Zorro, Éric Zemmour est devenu, en quelques mois, le Cassius Clay du débat télévisé : les challengers se succèdent et se fracassent les uns après les autres. Cette semaine, ce sont trois vaincus par KO qui se sont suivis, tous des soutiens du pouvoir.

Emmanuelle Wargon a tenté de défendre la politique énergétique du gouvernement, modèle typique du « en même temps » qui ne marche pas : en quelques minutes, on a compris que les éoliennes sont un gadget pour complaire aux écolos et que rien ne justifie le retrait du nucléaire, même à pas mesuré, car c’est la seule énergie qui peut pallier les émanations de gaz à effet de serre. La secrétaire d’État à l’Écologie s’est vite retrouvée dans ses petits souliers, embrouillée, a minaudé des éléments de langage : elle a sombré corps et biens.

Mounir Mahjoubi a aligné les belles phrases et mots creux pour définir le macronisme : un monde nouveau pour une politique réaliste, l’insertion de tous par le travail, l’égalité des chances, bla-bla bla-bla-bla… Zemmour lui a juste envoyé que le macronisme était le dernier avatar de l’ancien monde en voie de disparition, celui du mondialisme. Et qu’il était l’illustration parfaite de la bourgeoisie postmoderne qui porte cela, envers et contre le reste du peuple. Mahjoubi s’est forcé à garder jusqu’au bout son sourire béat, mais il a encaissé et cela s’est vu.

La palme de la déconfiture revint à Jack Lang, qui refusa carrément le débat, monta sur ses grands chevaux, traitant Zemmour d’obscurantiste fermé et rabougri : on a rarement vu Lang aussi outré, outrancier, vexé de la raclée qu’il n’a pu éviter. Eh oui, la splendeur du courtisan Lang, à la cour du roi Mitterrand, est passée depuis longtemps. Il faut dire qu’ériger la langue arabe comme langue de France, c’est fort de café… Expliquer que son institut n’est pas financé par les monarchies du Golfe, il faut déployer une bonne dose de mauvaise foi… Comme il ne pouvait nier l’évidence, il s’est réfugié dans une posture de vierge effarouchée, de seigneur et d’homme de savoir et d’ouverture confronté au mal, blessé dans son orgueil et sa probité…

Mais pourquoi donc viennent-ils tous se faire pulvériser, en toute connaissance de cause ? N’ont-ils donc pas compris que Zemmour combat avec des arguments savamment travaillés et que la moraline bien-pensante ne fera pas le poids ? Au début, ils étaient peu nombreux à vouloir l’affronter, se drapant dans les habits de la blanche colombe qui ne veut pas recevoir les postillons du crapaud. Maintenant, c’est la bousculade autour du ring de CNews. Car voilà, les audiences de « Face à l’info » sont considérables – autour de 300.000 téléspectateurs tous les soirs. À ce compte-là, même une bonne déculottée assure un coup de projecteur, pour le livre de Lang par exemple. Et puis, ne se retrouve pas face à Zemmour qui veut : pour Mahjoubi, un peu sur la touche depuis son échec à la candidature à Paris, c’est un rappel au bon souvenir du public, comme du pouvoir. Voilà à quoi en sont réduits les suppôts d’une idéologie encore dominante malgré ses contradictions et ses contre-vérités : jouer au faire-valoir de Zemmour pour exister encore politiquement et médiatiquement.

Olivier Piacentini

Source : http://bvoltaire.fr

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Nancy : le Parti de la France apporte son soutien à Grégoire Eury

28 Février 2020, 09:53am

Publié par Thomas Joly

Dans un contexte difficile pour la droite nationale, Grégoire Eury, Conseiller régional RN du Grand-Est, qui se définit comme résolument de droite, mènera une liste de résistance nationale face aux caciques locaux.

Opposé à la chasse aux automobilistes et à la piétonisation à outrance du centre-ville, Grégoire Eury met également au centre de ses priorités la sécurité des habitants.

Si la liste a été déposée dans les temps, sa constitution a été très compliquée et le Parti de la France, par l'intermédiaire de son Délégué régional, Pierre-Nicolas Nups, a collaboré, au nom de l'union des patriotes, à la recherche des derniers noms.

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Ouistreham : l'aberrante parité empêche la constitution de la liste du Parti de la France

28 Février 2020, 09:29am

Publié par Thomas Joly

Les Ouistrehamais ne pourront pas voter pour la liste « Clandestins dehors ! Ouistreham aux Français ! », celle-ci manquant de candidates féminines pour être déposée. Ce chantage à la parité, qui contribue à l'élimination des forces politiques émergentes du champ électoral, est une aberration et une injustice.

C'est une aberration car cette loi sur la parité ne tient aucun compte de la légitimité, des compétences et des motivations de chacun, mais oblige à préférer la quantité à la qualité.

C'est une injustice car cette loi élimine les listes soutenant des idées ardemment combattues par le politiquement correct, la virulence de l'acharnement des immigrationnistes et leur impunité étant de nature à dissuader les citoyens les moins aguerris à la lutte politique.

Dans ce contexte, le Parti de la France appelle, les 15 et 22 mars prochain, à voter contre les listes immigrationnistes, la sécurité et la réputation de Ouistreham dépendent directement du vote des Ouistrehamais.

Le Parti de la France reste aux côtés des Français désireux de se réapproprier leur pays, et continue son combat politique pour l'inversion des flux migratoires, la désislamisation de la société et la sauvegarde de notre civilisation face aux dangers qui la guettent.

Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France

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Pourquoi Asia Bibi demande-t-elle l'asile dans un pays pré-musulman ?

28 Février 2020, 06:15am

Publié par Thomas Joly

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Les îles de la mer Égée ne veulent pas « accueillir toute la misère du monde »

27 Février 2020, 18:55pm

Publié par Thomas Joly

La colère gronde parmi les habitants des trois îles grecques de la mer Égée qui ont entamé, mercredi, une grève de vingt-quatre heures pour protester contre les projets de leur gouvernement prévoyant d’y construire de nouveaux camps pour remplacer les installations actuelles surpeuplées où s’entassent plus de 38.000 migrants dans les camps des îles de Lesbos, Samos, Chios, Leros et Kos, officiellement prévus pour 6.200 personnes. Pour ce faire, le gouvernement grec veut réquisitionner des terres sur ces mêmes îles pour y construire des centres fermés pouvant accueillir jusqu’à 20.000 demandeurs d’asile.

C’est la seconde grève générale en moins d’un mois, avec fermeture des commerces et des services publics. Des milliers de manifestants ont occupé les ports de ces trois îles proches de la Turquie, brandissant de nombreux drapeaux grecs en scandant « Nous voulons récupérer nos îles, nous voulons récupérer nos vies ».

Selon le journal 24heures, de Lausanne, la Grèce est redevenue, l’an dernier, la première porte d’entrée des migrants en Europe : « Plus de 3.000 nouveaux migrants sont entrés en Grèce depuis le début de l’année 2020, dont la moitié par la mer. » Au-delà de l’aspect humanitaire, la plupart des ces réfugiés « politiques » sont motivés, en fait, par des raisons économiques certes compréhensibles, mais la Grèce – comme disait l’autre – ne peut pas « accueillir toute la misère du monde », qui s’additionnerait à l’indigence de ses propres ressortissants. Faut-il rappeler, ici, que près de 40 % des Grecs au chômage n’ont plus aucune couverture sociale et que 60 % des jeunes de moins de 25 ans sont sans emploi ?

La Grèce compte, actuellement, des dizaines de milliers de migrants, principalement des réfugiés syriens, qui s’entassent sur les îles de Lesbos, Chios et Samos, proches de la côte turque, alors qu’un accord (mars 2016) entre l’Union européenne et la Turquie, aujourd’hui dénoncé, stipulait expressément qu’Ankara s’engageait, contre monnaies sonnantes et trébuchantes, à reprendre sur son territoire les migrants atteignant la Grèce. En échange de ces retours, la Turquie de M. Erdoğan a bien touché 6 milliards d’euros d’aide européenne mais, selon les chiffres d’Euractif (juillet 2019), le nombre de réadmissions est resté quasi symbolique. Toujours selon EURACTIF, « durant ces trois dernières années, seulement 1.884 personnes ont été retournées en Turquie dans le cadre de l’accord, dont 357 Syriens, selon des données du ministère de l’Intérieur turc ». On ne prête qu’aux riches, à la Turquie en l’occurrence, alors que la Grèce ne peut compter que sur elle-même pour tenter, tant bien que mal, de maîtriser l’afflux des immigrés que son voisin ottoman lui expédie « généreusement », via la mer Égée.

José Meidinger

Source : http://bvoltaire.fr

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Posez vos questions à Thomas Joly !

26 Février 2020, 12:15pm

Publié par Thomas Joly

« Thomas Joly répond à vos questions » est un nouveau rendez-vous du Parti de la France. De manière régulière, le Président du PdF répondra dans une vidéo aux questions des internautes posées sur la page Facebook du PdF. Celles-ci seront choisies en fonction de leur pertinence - évitez les questions trop vastes ou farfelues - et traitées de manière synthétique.

La première émission sera diffusée en fin de semaine.

C'est à vous !

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Et le Carême ?

26 Février 2020, 12:02pm

Publié par Thomas Joly

Comme chaque année, alors que le Ramadan est annoncé en boucle dans tous les médias, à toute heure et sur toutes les ondes, le temps du Carême qui débute en ce mercredi des Cendres est à peine évoqué voire totalement oublié.

Cet oubli, loin d’être le fruit du hasard, s’inscrit dans un processus toujours plus croissant de déchristianisation-islamisation de notre pays, tout cela, bien sûr, au nom de la sacro-sainte laïcité.

Cette laïcité qui permet la multiplication des constructions de mosquées-cathédrales pendant que de nombreuses églises sont détruites.

Cette laïcité qui autorise l’occupation illégale de rues pour permettre aux islamistes d’y prier.

Cette laïcité qui accepte que des horaires réservés aux femmes soient aménagés dans des piscines pourtant publiques.

Cette laïcité qui supprime le porc de certaines cantines scolaires et impose la viande halal un peu partout à l’insu des consommateurs.

Cette laïcité qui hurle lorsque des tombes et édifices musulmans sont profanés, mais qui se tait immédiatement lorsque de mêmes exactions frappent les communautés chrétiennes !

Tout cela n’est pas étonnant de la part d’une classe politique inconsciente et suicidaire, qui est allée jusqu’à refuser toute référence aux racines chrétiennes de l’Europe dans la funeste Constitution Européenne !

Alexandre Simonnot - Membre du Bureau politique du Parti de la France

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« Un désintérêt inédit des Français pour les élections municipales »

25 Février 2020, 14:24pm

Publié par Thomas Joly

Thomas Joly, Président du Parti de la France, déplore les problèmes rencontrés par les candidats aux élections municipales pour constituer leurs listes.

 

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Zimbabwe : sinistre anniversaire et chiffres effrayants

25 Février 2020, 11:53am

Publié par Thomas Joly

Cela fait maintenant vingt ans que le criminel Robert Mugabe a donné l’ordre d’expulser tous les propriétaires blancs de leurs fermes. La Commercial Farmers’ Union (Union des agriculteurs commerciaux) avait assuré à ce pays, durant de très longues années, son dynamisme agricole qui faisait de l’ex-Rhodésie le grenier de l’Afrique de l’Est et un des rares endroits de la région où tout le monde mangeait à sa faim.

Aujourd’hui, vingt ans après, les chiffres font peur. La production agricole assurée par les nouveaux propriétaires agricoles, pour la plupart des membres du ZANU/PF, le parti politique de Robert Mugabe et de son successeur Emmerson Mnangagwa, continue de chuter de façon dramatique. Ainsi, de 1999 à 2020, on est passé de 324.000 à 99.000 tonnes de blé, de 2.148.000 à 777.000 tonnes de maïs, de 79.000 à 29.000 tonnes de soja et de 128.000 à 38.000 tonnes de coton.

Avec un chômage qui touche, maintenant, 90 % de la population active et une inflation de 500 %, la situation est telle que le gouvernement avait décidé d’accorder des subsides à la vente du maïs à la population (alors que le pays en exportait jusqu’à l’année 2000). Après avoir corrompu tous les secteurs d’activité commerciale, industrielle et agricole, les amis du pouvoir en place et leurs affidés sont, depuis peu, occupés à détourner de très grandes quantités de maïs importé au titre de l’aide internationale à ce pays considéré sinistré… par ses propres dirigeants.

Il faut savoir, en effet, que le maïs constitue la nourriture de base des Zimbabwéens, qui le consomment après qu’il a été écrasé par des meuniers accrédités par l’État. L’astuce consiste à allouer à ces meuniers beaucoup plus de maïs qu’ils ne peuvent écraser. La différence est détournée par des petits malins qui le revendent et l’exportent illégalement (existe-t-il encore une légalité dans ce pays ?) en remplissant de maïs volé, sur la voie du retour, des camions essentiellement congolais qui traversent la frontière pour aller déposer leur cargaison de cuivre en Afrique du Sud. Des douaniers aux inspecteurs du GMB (Grain Marketing Board), organisme qui gère les donations de maïs, toute la filière est corrompue…

Dans l’ouest du pays, la région jadis prospère avec l’exploitation des mines d’or, des gangs à la solde de politiciens et d’hommes d’affaires véreux ont investi les mines, devenues artisanales depuis le départ des exploitants officiels, eux aussi expulsés à cause de la mauvaise couleur de leur peau. Ces gangs (MaShurugwi – gangs de la machette), d’une violence extrême, tuent à tour de bras et exploitent à leur tour ces mines pour le compte de leurs complices hauts placés et intouchables.

Et dire que, dans l’Afrique du Sud voisine, le gouvernement prépare à son tour l’expropriation des agriculteurs sans compensation aucune…

Jean-Pierre Lenoir

Source : http://bvoltaire.fr

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