Un chauffeur de bus d’une cinquantaine d’années a été violemment agressé par quatre racailles à Bayonne. Il est en état de mort cérébrale, ce lundi 6 juillet. Dimanche aux alentours de 19h, quatre jeunes montent dans un bus sans tickets, ni masques. Une entorse au règlement que le chauffeur leur fait remarquer. Mais avant de quitter le bus, l’un des voyous s'approche du conducteur et le frappe à la tête par-derrière puis le roue de coups, selon un témoignage du délégué CFDT, Jean-Philippe Paulmier, contacté par France Bleu Pays Basque.
« Il y a tout le temps des agressions verbales »
Le chauffeur a rapidement été transporté à l'hôpital avec un pronostic vital engagé. Il est alors déclaré en état de mort cérébrale. « Il a subi une opération dans la nuit », a déclaré le délégué CFDT Jean-Philippe Paulmier. Plusieurs dizaines de ses collègues se sont d’ailleurs rendus à pied devant l’hôpital pour apporter leur soutien. Si Jean-Philippe Paumier « ne s’attendait pas » à une telle agression, il avoue qu’il y a « tout le temps des agressions verbales, l'ambiance est hyper tendue depuis quelques années ».
Philippe, roi de Belgique, un pays ami et voisin, qui est rongé par un conflit ethno-culturel entre Flamands et Wallons, a cru bon au nom de son peuple, de présenter le 30 juin dernier, à l’occasion du 60e anniversaire de l’indépendance du Congo, des excuses au peuple congolais.
Il a déclaré, je cite, qu’il exprimait « ses plus profonds regrets pour les blessures infligées lors de la période coloniale belge au Congo. » Ça fait immédiatement songer au candidat Emmanuel Macron, reconnaissant en 2017 à Alger, de pseudos « crimes contre l’humanité » commis par la France. Quelle honte ! Rappelons que le Congo, avant d’être Belge, fut de 1885 à 1908 un « État indépendant », en fait la propriété personnelle du roi Léopold II, reconnu internationalement. C’est l’explorateur américano-britannique Stanley, qui l’avait conquis pour le compte du souverain. Après 24 ans d’existence sous cette forme juridique, le Congo fut officiellement rattaché au royaume d’outre Quiévrain. C’est vrai qu’à l’époque tout ne fut pas rose, si je puis dire, pour les Noirs.
Ce fut l’honneur de l’Europe d’abolir l’esclavage
Mais les Blancs abolirent l’esclavage, pratique très répandue chez les Arabes, et bien pratiquée entre les ethnies en guerre. Il faut le rappeler et le marteler : si le commerce triangulaire a existé, c’est comme pour la drogue, s’il y a des acheteurs, c’est qu’il y a des vendeurs. Au moins, la colonisation apporta cet avantage, même si, ici ou là, de temps à autre, il faut bien le reconnaitre, on fit usage comme au Moyen-Âge chez nous, de la corvée, et que l’on eut, parfois, recours aux travaux forcés. Mais les Belges n’avaient pas l’exclusivité de ces pratiques, France, Portugal, Royaume-Uni, Allemagne, chacun dans sa sphère coloniale, utilisa et réquisitionna de la main-d’œuvre. Mais de ces travaux « un peu forcés », il y eut des résultats positifs pour le développement de ces colonies, dont leurs peuples ont bénéficié ultérieurement, par exemple le chemin de fer Congo-océan, au Congo Brazzaville. Mais on ne peut pas juger une époque à l’aune de notre période contemporaine, c’est comme pour la Guerre de Sécession aux États-Unis, où les éradicateurs du passé voudraient abattre toutes les statues des héros confédérés. À titre de comparaison, en Russie, par pragmatisme et fidélité à l’histoire, on conserve les tristes souvenirs du passé communiste. Il y a donc encore beaucoup de Lénine statufiés. Les Russes assument leur passé. Alors, à propos du Congo belge, il faut dresser un bilan objectif de la colonisation, sous toutes ses facettes.
Les Blancs n’ont pas à rougir de leur passé colonial
D’abord, les missionnaires, les « Pères blancs », s’ils évangélisèrent des peuplades primitives, ils les éduquèrent dans le même temps pour les « amener à la hauteur de la civilisation », comme aurait dit Jules Ferry. Le Congo, transféré officiellement à la Belgique en septembre 1908, fut la fierté des Belges jusqu’au fatidique 30 juin 1960, qui le vit accéder dans l’anarchie et le désordre, - c’est le moins que l’on puisse dire-, à l’indépendance. Avant, il y eut la médecine de brousse, le combat contre les maladies, l’ouverture de routes et la création de chemins de fer. On navigua sur les fleuves, notamment sur ce Zaïre cher à feu Séséko Mobutu, on creusa des ports, Matadi et Boma.
De plus, par ses richesses minières et agricoles, le Congo belge pouvait vivre fiscalement en auto-suffisance. Le seul réel reproche que l’on pourrait faire à la Belgique, c’est de ne pas avoir assez développé le système scolaire, se contentant de bien irriguer le pays uniquement au niveau de l’enseignement primaire, négligeant ainsi la formation de cadres supérieurs, ce que ne firent ni les Français, ni les Britanniques. Lesquels permirent, tout de même, l’émergence dans leurs sphères d’influence respectives, d’élites noires réellement à la hauteur : chez nous, pensons à des gens comme le docteur ivoirien Houphouët Boigny, ou le normalien sénégalais Léopold Sédar Senghor, condisciple de Georges Pompidou, sans oublier que le Guyanais Gaston Monerville, fut président du sénat, deuxième personnage de l’État.
Alors non Sire, il n’était pas nécessaire de faire votre numéro de reptation, cet exercice de repentance, cette auto-flagellation nauséabonde qui caractérise, ces temps-ci, le monde occidental. Non, les Américains comme les Français, dans leur immense majorité ne sont pas des « racistes » primitifs ou compulsifs. Oui, des Noirs obtiennent aux États-Unis des postes importants dans l’administration ou les affaires. Et s’il y a des poches de pauvreté chez eux, n’oublions pas que, symétriquement, il y a aussi ceux que l’on appelle « les petits Blancs ». Le professeur Bernard Lugan, africaniste distingué s’il en est, le spécialiste numéro un de ce continent noir en France, a écrit sur son blog, je crois, que « les regrets du roi des Belges sont une insulte à de grandes figures belges de l’histoire de son pays ». Il a raison. Philippe de Belgique ne sert pas l’idée monarchique. Comme le ci-devant monarque d’Espagne façonné par Franco, pour occuper le prestigieux trône de Madrid, Philippe de Belgique, souverain d’un pays bancal à deux doigts d’éclater, ferait mieux de tenter de resserrer les boulons de son royaume qui part en quenouille ! À titre de comparaison, je n’imagine pas Sa majesté Elisabteh II s’agenouiller pour une quelconque repentance de la part de Britannia pour son impérialisme, notamment les dures conditions qu’elle infligea aux Irlandais. La république en Belgique ? La Belgique en deux morceaux pour le prix d’une ? Pourquoi pas ! Il est, hélas, triste de constater qu’il y a de tristes… Sires ! Sur ce, je m’en vais relire le « Tintin au Congo » de mon enfance…
Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France
Vendredi 3 juillet 2020 : la France restitue à l’Algérie 24 crânes de combattants arabo-berbères décapités en 1849 à Zaatcha. Sans attendre, dès samedi, profitant d’un contexte international favorable, le président Abdelmadjid Tebboune, dans une interview donnée à France 24, a demandé que la France aille plus loin dans ses excuse pour la colonisation de son pays : « On a déjà reçu des demi-excuses. Il faut faire un autre pas […] On le souhaite. » Et d’ajouter que notre Président était « quelqu’un de très honnête ». Que devons-nous craindre ? Encore une manipulation de l’Histoire ?
Oui, car le siège de Zaatcha fut une boucherie bien partagée ; oui, car le cheik Bouziane, ayant proclamé le djihad, agissait par dépit et non par patriotisme ; oui, car lui-même fit décapiter à tour de bras, amis ou ennemis, selon une vieille méthode terroriste ; oui, car déjà c’était une « guerre civile » arabo-berbère ; oui…
Le gouvernement algérien peut-il enfin assumer que son parti pris idéologique de désignation perpétuelle de l’ennemi français pour étouffer le besoin démocratique de sa « jeune » nation – elle a, quand même, aujourd’hui, 58 ans – n’est plus porteur de foi ni de cohésion identitaire ? Certes, l’hymne national algérien, le Kassaman, que nos dirigeants politiques écoutent sans broncher, au garde-à-vous, lors des rencontres diplomatiques, éructe : « Yâ firansâ inna dhâ yawm ul-hisâb » (« La France doit rendre des comptes »).
Curieusement, voici la « jeune » République algérienne comme atteinte en ses chefs de schizophrénie, maladie d’adultes, dans laquelle le dément vit dans le passé, comme si le réel n’existait pas. Sorte de paralysie figée dans le souvenir falsifié du drame de 1954. Serait-elle un de ces « fils prodigues », mal émancipé avec pertes et fracas d’une paternité oppressive mais qui, incapable de couper le cordon ombilical, voudrait « le beurre et l’argent du beurre » pour s’assurer subsistance et identité ? Quoi qu’en dise le Kassaman, qui proclame aussi « Wa tawaynâhu kamâ yutwa l-kitâb » (« Nous l’avons clos comme on ferme un livre »), le livre reste ouvert à la page du reproche et du reniement non assumé.
Ne reprochons pas au Kassaman des élans belliqueux copiés sans vergogne ; petite musique d’un « sang impur » abreuvant des sillons… Mais notre République honteuse n’aide pas le patient à la guérison : rappelons-nous ce que disait le candidat Macron, en 2017, lorsqu’il se permettait de réveiller la haine en disant de la colonisation : « C’est un crime. C’est un crime contre l’humanité. C’est une vraie barbarie et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face en présentant aussi nos excuses à l’égard de celles et ceux vers lesquels nous avons commis ces gestes. » Pas étonnant que le président algérien se soit engouffré de nouveau dans la brèche. Mais lui aussi fait fausse route, même si nous savons qu’une nation ne se conforte que par la désignation d’un danger mortifère.
Non, la colonisation française d’avant l’idée du crime n’est pas un « crime contre l’humanité ». Elle a été une politique impériale, dominatrice, oui. Mal conduite, oui. Mais appuyée aussi sur les élites claniques de l’époque. Elle a eu ses horreurs criminelles, elle a eu ses grandeurs et ses sacrifices. Elle a surtout contribué, par défaut, à créer un peuple algérien.
Lors de sa visite à Alger de décembre 2017, Emmanuel Macron avait promis la restitution des restes humains entreposés au musée de l’Homme. C’est chose faite et c’est heureux. Honneur aux vaincus ! Il est abominable de laisser un fantôme sans sépulture. En 2014, le crâne d’Ataï avait ainsi rejoint la Nouvelle-Calédonie, dans le respect d’anciens rites.
Mais il est tout aussi abominable d’instrumentaliser l’Histoire et, pour nos gouvernements, d’y céder. Méditons quand même cette parole d’Évangile : « Laisse les morts ensevelir leurs morts. » Comprenne qui pourra.
Le Parti de la France organise à Paris, samedi 12 septembre, un grand meeting de rentrée intitulé « Colonisation migratoire, islamisation : ça suffit ! »
Prendront la parole : Jean-François Touzé, Valérie Redl, Alexandre Simonnot, Olivier Piacentini, Bruno Hirout, Pierre Cassen, Daniel Conversano, Thomas Joly et... Jean-Marie Le Pen !
Le changement, la « nouvelle étape » promise consiste pour Macron à remplacer un technocrate ex-juppéiste par un technocrate ex-sarkoziste.
Il est vrai qu'en substituant Jean Castex à Édouard Philippe, le Président de la République ne poursuit qu'un but et un seul : nommer à Matignon un simple collaborateur, exécutant docile de ses exigences, et avoir ainsi les mains libres pour exercer l'entièreté des responsabilités du pouvoir.
Il devra bientôt assumer aussi l'entièreté de la responsabilité des catastrophes qui viennent.
Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France
Le raz-de marée annoncé, prévu, appelé, a bien eu lieu. Les Verts ont fait un braquage. Lyon, Poitiers, Bordeaux, bien des villes, acquises auparavant à la cause de LREM, se trouvent maintenant aux mains de ceux-là. Rien de nouveau sous le soleil, me direz-vous : c’est toujours la même vieille gauche sous différents oripeaux. C’est vrai et, dans un sens, nous sommes dans la continuité de ce que nous avons pu voir se mettre en place ces dernières années.
Mais ce soudain souci de l’écologie en soi, que signifie-t-il ? Rien du tout non plus. C’est une belle cause pour nos chevaliers blancs, voilà tout. Et un merveilleux prétexte pour continuer à traire le petit porteur, le Français moyen. N’avez-vous pas remarqué comme la pseudo-écologie est vite devenue un argument commercial ? Non pas que ce ne soit pas un combat légitime, et même noble, qui va de pair avec une mentalité plutôt traditionaliste que progressiste, d’ailleurs. Mais comme pour toutes les initiatives de ce genre, il faut voir qui les porte et qui les instrumentalise. La promotion hyper-agressive d’une Greta Thunberg est symptomatique, cette gamine autiste étrangement vindicative pour son âge – le fruit, certainement, d’un endoctrinement précoce – et qui pointe un doigt accusateur sur le monde (comprenez : le monde occidental) exactement comme le fait, dans un autre domaine, le mouvement Black Lives Matter.
Pourquoi, alors, dans un réflexe naturel, ne pas se cabrer et ruer dans les brancards ? Hélas, l’électeur type des grandes villes françaises, celui qui marche à toutes ces combines éculées de la gauche, me fait l’effet d’un condamné qui baise la main du bourreau qui le frappe – comme atteint d’une sorte de syndrome de Stockholm. Depuis cinquante ans bientôt, la gauche répète à la France qu’elle a été très vilaine, impérialiste, raciste, fasciste, misogyne, homophobe, rétrograde, et j’en passe ! Et comme chez la femme naïve qui veut toujours voir en un homme immoral un être à sauver, le pire, c’est que ça marche ! Le Français moderne, culpabilisé jusqu’au trognon, exige toujours plus fort le droit de faire ses reptations, de se flageller sur la place publique et de demander énergiquement le pardon de ses fautes.
Eh bien, je vous fiche mon billet que nous allons être servis : le Français d’en bas, en plus d’être un beauf sans finesse, d’être un réfractaire ridicule qui entrave la marche du progrès, sera, et cela grâce à son propre bulletin de vote, bientôt également un consommateur irresponsable et un égoïste à éduquer aux impératifs du monde moderne ! On peut même imaginer que la grand-mère ou le jeune homme qui exprimerait le désir d’avoir des enfants et des petits-enfants, ou une grande maison avec une belle voiture, soit sous peu taxé de fascisant.
L'officine juridico-mondialiste dissimulée sous l'intitulé "Cour européenne des droits de l'homme" (CEDH) vient de condamner la France pour atteinte à la dignité humaine.
Notre pays aurait, en effet, commis la faute et le péché inexcusable aux yeux de la conformité globalisante de "laisser des migrants sans ressources et à la rue". Les Français pauvres et sans domicile peuvent, en revanche crever sans que les membres de la juridiction européiste de Strasbourg ne fronce le moindre sourcil.
Que la CEDH se rassure : quand les Français nous auront portés au pouvoir et que nous aurons instauré l'État national, il n'y aura plus aucune atteinte aux droits des migrants.
Pour la raison très simple qu'ils auront tous été refoulés hors de notre territoire et que, progressivement mais sûrement, nous procéderons à une juste mais ferme remigration.
Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France
Sujets abordés : les résultats du 2nd Tour des Municipales, le RN qui fait perdre Valérie Laupies à Tarascon, la condamnation des Fillon, l'audition d'Agnès Buzyn, les excuses de Philippe de Belgique pour la colonisation du Congo, conseils de lecture.
A l'issue d'une manifestation de défense des « sans-papiers » à Caen, une cinquantaine de gauchistes avaient prévu , mercredi 1er juillet, de venir dégrader la statue de Louis XIV place Saint-Sauveur. C'était sans compter la présence d'une dizaine de nationalistes déterminés qui ont calmé les ardeurs de ces individus dont la lâcheté a été fidèle à la réputation légendaire de l'extrême-gauche.
Bravo à ces jeunes Français qui ont défendu ce symbole de la grandeur de la France !
Caen. Tensions place Saint-Sauveur entre nationalistes et les manifestants. La manifestation tourne au règlement de comptes verbal pic.twitter.com/vLTxrPowMs
Hier dans les rues de Caen, 80 gauchos dans ce qu'ils appellent une manif, voulurent s'en prendre à une statue. Mais une poignée de jeunes gens bien déterminés, leur ont tenu tête...
Les gauchos repartirent en criant leur haine habituelle "FACHOS"
😂😅🤣
(Vidéo @LIBERTE_CAEN) pic.twitter.com/bZnzARQ3TF
L’heure étant à l’hystérie, rien d’étonnant à ce que l’on veuille, aujourd’hui, déboulonner la statue de John Wayne à l’aéroport de Santa Ana, en Californie, dans la foulée d’autres monuments réduits en poussière : Bouddhas de Bâmiyân par les talibans ou ces saints aux porches de nos églises par ces révolutionnaires assurant que « la République n’a pas besoin de savants ». La furie épuratrice ne reconnaît donc pas plus d’époque que de frontière.
John Wayne, c’est un mythe qu’on dynamite. Et c’est aussi le problème. Dans son remarquable essai, La Société des people (Michalon, 2008), le défunt Hugues Royer, par ailleurs professeur de philosophie et ancien ponte de Voici, l’hebdomadaire à scandales qu’on sait, écrit déjà, en 2008 : « John Wayne n’a jamais accompli d’acte de bravoure mémorable susceptible de le faire entrer dans l’Histoire. » Il s’agit donc de la première star préfabriquée par Hollywood, première d’une interminable lignée.
Ainsi, le « Duke » ne s’est pas engagé durant la Seconde Guerre mondiale, pour raisons familiales, au contraire d’autres vedettes plus « libérales », telle Audie Murphy, acteur le plus décoré du conflit. Bref, ce que l’on veut mettre à bas n’est jamais rien d’autre qu’un « fake ». Un manquement à l’honneur qui a toujours pesé au principal intéressé : « J’ai toujours eu honte de ne pas avoir combattu. Lorsque j’interprète un officier à la tête de son commando, j’ai une piètre opinion de moi-même. » Peu importe, son mentor, John Ford, ayant ensuite assuré : « Je ne savais pas que ce grand fils de pute savait jouer ! » Trop tard, c’était devenu une icône américaine, à l’instar d’un JFK, président honnête, bon époux et en bonne santé, alors qu’il descendait d’une famille de mafieux irlandais, trompait son épouse comme si sa vie en dépendait et était à peu près aussi accro aux substances qu’une… Amy Winehouse.
Les vilenies reprochées à John Wayne ? Ces phrases extraites d’un entretien accordé au mensuel Playboy, en 1971, à propos des Afro-Américains : « Je crois en la suprématie blanche jusqu’à ce que les Noirs soient suffisamment éduqués au point d’être responsables. » Puis, à propos des Américains de souche : « Ce qu’on appelle le vol de ce pays était une question de survie. Beaucoup de gens avaient besoin de nouvelles terres, et les Indiens essayaient de les garder pour eux de manière égoïste. »
Voilà ce qui arrive quand on accorde crédit à des artistes censés avoir plus à dire sur la marche du monde que le dernier des clampins… Mais encore déclarations susceptibles d’être mises en regard avec celles d’une Jane Fonda allant défiler en treillis à Hanoï, en pleine guerre du Vietnam, pour ensuite aller épouser un Ted Turner, fondateur de CNN, première chaîne d’informations en continu et voix d’une Amérique conservatrice sur laquelle elle vomissait jusque-là.
Cité par Éric Leguèbe, historique critique cinématographique du Parisien, dans son livre John Wayne, l’homme et son mythe (Garancière, 1986), John Wayne affirme : « Le désordre dans les écoles a été causé par des professeurs immatures qui ont encouragé les activistes. Étudiant en deuxième année, j’étais socialiste à l’Université de Californie du Sud. Mais, mes diplômes obtenus, je ne l’étais plus. »
Pour conclure, qu’il nous soit permis de citer Gérard Guégan qui, le 5 mai 1980, écrit, dans Les Nouvelles littéraires : « John Wayne, qu’on disait de droite, d’extrême droite, ne fut jamais l’homme d’une idéologie. Il se maria plusieurs fois avec des Mexicaines, ce que ne lui pardonneront ni les puritains, ni les racistes et, de surcroît, il ne sombra pas, comme tant d’anciens hommes de gauche, dans le délire maccarthyste. »
Ethan Wayne, l’un de ses nombreux enfants, ne dit finalement pas autre chose quand, affirmant : « Mon père ne tenait pas compte de votre race, de votre genre ou de votre orientation sexuelle. Ce qui comptait pour lui, c’est si vous faisiez bien ou non votre travail. »
Comme quoi les statues, même faites de stuc, ne débitent pas que des niaiseries.
À compter de ce mercredi 1er juillet, l'Allemagne prend, pour six mois, la tête de l'Union européenne.
Nul doute que la chancelière Merkel assurera cette présidence avec la volonté ferme et pleine de servir la conception qui est la sienne de l'intérêt allemand.
Non pas de l'Allemagne identitaire qu'elle a mis en péril en 2015 en ouvrant les digues à la déferlante migratoire. Non pas de l'Allemagne historique et nationale qu'elle a déshonorée en se soumettant — et en soumettant l'Europe toute entière — aux diktats turcs et au chantage du sultan Erdogan. Non pas de l'Allemagne nation centrale d'une possible et nécessaire Europe de l'indépendance et de la puissance, mais l'Allemagne américaine.
Depuis des décennies, tous les chanceliers fédéraux se sont servis de l'Europe, de ses institutions et de sa monnaie pour affirmer et renforcer le rôle de l'Allemagne dans la construction planétariste de la nation globale au service exclusif de la finance et de la techno-structure.
Berlin capitale de l'Europe pour six mois? Non! Berlin, capitale européenne de l'empire mondialiste.
Et comme toujours, la France de Macron s'efforcera d'en être une supplétive zélée.
Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France
Vous la voyez à quelle échéance l’interdiction de la voiture ?
Je ne sais pas… J’ai proposé comme solution post-Covid, que l’on mette tout le secteur intra-boulevard en « zone 20 », dans lesquelles le piéton et les cyclistes sont prioritaires ; le piéton a le droit de marcher au milieu de la route, et la voiture s’adapte. Par ces mesures, vous pouvez dégoûter progressivement l’automobiliste d’emprunter ces chaussées… Il faut le tester.
Grâce aux irresponsables électeurs bordelais, la ville va être soumise aux délires pseudo-écolo de Pierre Hurmic qui ne va pas manquer de pourrir la vie de tous.
Le bilan de deux ans de limitation à 80 km/h sur les routes françaises, ce sont des centaines de millions d'euros extorqués aux automobilistes grâce aux radars, sans aucune amélioration de leur sécurité. Ce n'est ni plus ni moins que du racket en bande organisée pic.twitter.com/1dGXyTfOYl
Comme on l’avait pressenti avant le premier tour des élections municipales du 28 juin, l’encouragement par Macron de toutes listes communautaires sans distinction ni restriction s’est aussitôt traduit par l’intrusion politique, par voie légale, d’activistes islamiques. Jusqu’à installer à un poste officiel de représentation et de décision publique un individu qui serait fiché S (menace pour la sécurité nationale), selon L’Express, accusation niée par l’intéressé et qui lui a déjà donné l’occasion d’engager une plainte pour diffamation.
C’est la conséquence d’un amalgame égalitariste, racolage électoral qui interdit par principe idéologique de fixer des limites aux forces de dissolution nationale. Cette politique volontariste de désagrégation de la société française fait le lit des islamistes devant lesquels s’agenouille, au propre et au figuré, l’équipe progressiste au pouvoir, comme devant toute communauté minoritaire vindicative qui alimente son fonds de commerce électoral.
On aurait tort de se rassurer par la déconfiture des représentants LREM aux municipales, rejet naturel de ces progressistes déracinés qui profite à des mouvements écolo-progressistes ennemis déclarés de la nation française, également connectés à des mouvements étrangers subversifs. Ce serait un mauvais calcul, par manque d’intérêt ou de courage, de se laisser pétrifier par le matraquage politico-médiatique qui fait diversion de ce problème d’urgence nationale en amplifiant un mouvement racialiste et raciste exogène, lequel ne devrait, au fond, relever que du maintien de l’ordre contre des casseurs et des pillards de rue.
Or, pendant ce temps, que fait la majorité silencieuse qui désapprouve profondément sans rien dire ni faire, contribuant aux causes de conséquences qu’elle déplore ? Elle est prise en tenaille entre deux courants invasifs, écologistes incompétents et séparatistes musulmans.
En attendant, les instruments constitutionnels et législatifs existants doivent être actionnés pour rétablir l’ordre public, empêcher le développement de ces mouvements et le déchaînement des violences multiformes qui leur servent de programme de développement. Parmi ces instruments, peu de gens savent que la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), autrefois indépendante mais rattachée récemment au ministère de l’Intérieur sous prétexte d’économies en réalité minimes, est tout à fait désignée pour y contribuer au regard de ses textes fondateurs. À condition de vouloir lui assigner un rôle réellement utile à l’intérêt général.