Les femmes européennes ne doivent jamais dire que leur violeur est africain
Voilà où en est l’Europe. On croyait en avoir fini avec les délits de blasphèmes, les vérités-dogmes dont la contestation entraînait, comme la remise en cause de la Trinité au temps de l’Inquisition, ou le catharisme et le protestantisme, l’excommunication voire le bûcher.
Et bien non, nous y sommes revenus, les vérités anthropologiques, scientifiques ou criminelles contraires aux vérités idéologiques des pouvoirs en place ne doivent pas être révélées.
Elles ne doivent d’ailleurs même pas être recherchées comme le montre ce qui vient d’arriver à un groupe de chercheurs suédois qui ont pu constater que les viols dans leurs pays sont en majorité commis par des importés, les fameuses pépites chéries des zélites européennes : « Le principal résultat de l’étude est que la majorité des violeurs condamnés en Suède sont des immigrés de première ou de deuxième génération ». « Après avoir étudié plus de 3 000 condamnations pour viol prononcées entre 2000 et 2015, les chercheurs ont fait une découverte frappante : la plupart des auteurs condamnés sont des immigrés ».
Mais ce résultat ne plaît pas à la doxa immigrationniste qui sévit en Suède, pendante de celle qui sévit également en France où pour tout régler à la base il est interdit de faire des statistiques ethniques : « Aujourd’hui, après la pression exercée par le Conseil d’examen de l’éthique, un procureur a lancé une enquête préliminaire et Kristina Sundquist risque d’être poursuivie pour sa découverte, celle-ci étant considérée comme contraire à l’éthique ». (Source)
Nous pouvons donc résumer l’éthique des immigrationnistes et des mondialistes ainsi : par définition les pépites sont des pépites, et toute découverte scientifique, anthropologique, comportementale ou statistique qui remettrait en cause ce statut dogmatique relève de la mort sociale.
Cette éthique-dogme non contestable des mondialistes droits-de-l’hommistes dont en France nous avons d’éminents spécimens représentés par une majorité de notre classe journalistique et politique qui font la doxa ambiante se décline par suite ainsi au-delà de la vérité indépassable de l’idolâtrie pépitale : les femmes qui se font violer par lesdites pépites doivent fermer leur gueule quant à la couleur ou au crépu de coiffure de leurs agresseurs, et vivre pleinement leur bonheur d’avoir été touchées (littéralement) par la grâce du multiculturalisme d’importation.
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