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Le blog politique de Thomas JOLY

Que s'est-il passé un 18 juin ?

18 Juin 2021, 06:40am

Publié par Thomas Joly

Jean-François Touzé, Délégué général du Parti de la France : « 18 juin 2010, mort du général Bigeard. Le 18 juin c'est aussi la victoire de Patay remportée par Jeanne d'Arc contre les Anglais en 1429, le refoulement des mêmes envahisseurs par Vauban à Camaret en 1694, la résistance héroïque du maquis Saint Marcel et de ses SAS en 1944. C'est bien sûr, hélas Waterloo en 1815 où, contrairement à Desaix à Marengo, Grouchy ne vint pas. Sinon, rien d'important pour la France ne s'est produit un 18 juin. »

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Le Parti de la France apporte son soutien à Damien Rieu, candidat à Péronne (80)

18 Juin 2021, 06:14am

Publié par Thomas Joly

Le Parti de la France apporte son soutien à Damien Rieu, candidat à Péronne (80)

Le Parti de la France apporte son soutien à Damien Rieu, candidat aux élections départementales sur le canton de Péronne dans la Somme et lanceur d'alerte réputé sur les réseaux sociaux

Contrairement à Madame Le Pen, Damien Rieu est en pointe contre la colonisation migratoire et islamique et favorable à la remigration.

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Alice Coffin « agressée » à Rouen : un jeune homme lui a offert des fleurs !

17 Juin 2021, 06:35am

Publié par Thomas Joly

 

Les réactions de la gauche à l'attentat
Les réactions de la gauche à l'attentat
Les réactions de la gauche à l'attentat
Les réactions de la gauche à l'attentat

Les réactions de la gauche à l'attentat

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Vers la « fusion de notre identité physique, numérique et biologique » ?

17 Juin 2021, 06:08am

Publié par Thomas Joly

Pour avoir dénoncé « un nouvel ordre mondial, tout digital, avec une surveillance généralisée des personnes… Ça va jusqu’aux théories des puces sous la peau », Philippe de Villiers vient d’être qualifié par le très respectable magazine L’Express de « blanchisseur des théories complotistes ». Cette reductio ad absurdum évince tout débat possible, tout raisonnement dépassionné sans passer pour un cinglé.

Pour autant en 2016, Klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos, imaginait très sérieusement, sur la chaîne suisse RTS, l’implantation neuronale de puces avec une communication directe entre notre cerveau et le monde digital. En janvier 2017, il publiait La Quatrième Révolution industrielle. Une réflexion sur notre monde hyperconnecté dans lequel l’homme doit réinventer sa manière de vivre, de travailler, de consommer. Cette numérisation de notre quotidien qui passe par l’intelligence artificielle, la robotique, l’Internet des objets, les véhicules autonomes, l’impression en 3D, les nanotechnologies, les biotechnologies, le stockage d’énergie, allait annoncer un profond changement de notre société. Et voila comment le professeur Schwab livrait sa vision de l’humanité et « comment la technologie peut coexister avec la société ».

Dans un de ses chapitres consacré aux technologies implantables, il explique ainsi que les pacemakers et les implants cochléaires ne sont qu’une première étape et évoque de nouveaux implants qui « deviendront capables d’évaluer les paramètres des maladies, permettront à chacun de prendre les mesures nécessaires, enverront les données aux centres de suivi, voire administreront automatiquement les médicaments ». Un grand pas en avant pour la santé de l’humanité et, au passage, pour le traçage. Il poursuit : « Les tatouages intelligents et autres puces électroniques pourraient aider à identifier et localiser les personnes. Les appareils implantés permettront aussi sans doute de communiquer les pensées normalement exprimées par la parole via un smartphone “intégré” et, potentiellement, les pensées ou émotions non exprimées en lisant les ondes cérébrales ou d’autres signaux. »

Voilà comment, dans le silence assourdissant de la plupart des médias et l’ignorance de la population, pourrait s’instaurer subrepticement l’idée de pouvoir contrôler nos pensées, nous pucer ou nous tatouer comme des animaux et, selon les termes glaçants de l’auteur de La Grande Réinitialisation, de permettre la « fusion de notre identité physique, numérique et biologique ». Comme avec l’implant neuronal proposé par Elon Musk, Schwab décrit « une pilule intelligente, mise au point par Proteus Biomedical, Technology Pioneer du World Economic Forum et Novartis, est munie d’un appareil électronique biodégradable qui transmet à votre téléphone des données sur l’interaction entre votre organisme et le médicament ». Dans un autre chapitre sur “les êtres humains sur mesure”, il évoque par ailleurs « la facilité accrue offerte par les nouvelles technologies de séquençage et de modification, ce qui augmente fortement le nombre de chercheurs à même de mener des expériences ».

Las, évoquer ces sujets vous relègue automatiquement dans la case des illuminés conspirationnistes. Mais le transhumanisme n’est-il pas en train de devenir réalité avec ce projet de loi bioéthique dont les médias ne citent que la PMA et la GPA, tandis qu’il permettra la création d’embryons chimériques et transgéniques ? On touche au patrimoine génétique de l’humanité dans l’indifférence généralisée. La société du tout contrôle n’est-elle pas déjà instaurée avec le pass sanitaire, la surveillance numérique et les caméras de reconnaissance faciale ? Les populations s’y soumettent sans broncher vraisemblablement, plus soucieuses de conserver paradoxalement leurs libertés que par réelle crainte pour leur santé. Ce qui relevait hier de la science-fiction est aujourd’hui taxé de complotisme. Et demain ?

Iris Bridier

Source : http://bvoltaire.fr

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La gronde populaire a incité les « Bleus » à ne pas humilier la France en s'agenouillant

16 Juin 2021, 15:56pm

Publié par Thomas Joly

Manifestement, si l'Équipe de Fronce n'a pas rampé sur le sol hier soir (après avoir annoncé qu'elle le ferait), c'est à cause de l'ampleur inattendue des protestations sur Internet. Plusieurs « hashtag » appelant au boycott des Bleus ont effectivement été en tête pendant plusieurs heures hier sur Twitter, et plusieurs personnalités de droite ont manifesté leur désapprobation. Ajoutons quelques médias mais surtout CNews, jusqu'à Pascal Praud lui-même qui est pourtant un footix antiraciste mais qui a admis que ce geste était problématique.

Ce qu'il faut retenir ici, c'est que notre pouvoir est en réalité immense. C'est nous qui avons obligé l'équipe à renoncer à son projet, c'est nous qui avons mis la pression pour modifier son agenda politique délirant. La gauche et le wokisme sont en train de perdre du terrain en ce moment, et nous d'en gagner. C'est nous déjà qui avions obtenu le retrait du rappeur Black M des commémorations du centenaire de Verdun. C'est nous qui avons permis que l'hymne de Youssoupha, sans être officiellement abandonné, ne soit en réalité diffusé nulle part.

Nous sommes en train de gagner la bataille des idées. Et cela en étant totalement absents des institutions, de la « culture » grand public, presque totalement absents des médias, en étant absents des cercles politiques de la décision publique, et même en étant combattus par ceux-là.

Et pourtant, nous enregistrons des victoires inespérées. Il n'y a qu'à voir dans quel état de panique les gauchistes sont depuis quelques temps : ils flippent, ils voient leur château de cartes s'écrouler et s'emballent, se jettent dans une surenchère irrationnelle qui ressemble clairement à une politique de la terre brûlée.

Tremblez, gauchistes ! Votre règne n'était pas éternel.

Jonathan Sturel

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Cirque sanitaire : couvre-feu levé dimanche, le masque plus obligatoire en extérieur à partir de demain

16 Juin 2021, 14:06pm

Publié par Thomas Joly

Le Premier ministre Jean Castex a décidé de donner quelques bonbons à la population oppressée depuis plus d’un an au nom d’un virus qui n’est pas la Peste noire. Ainsi, à l’issue du Conseil des ministres, le Premier ministre Jean Castex a annoncé la levée du couvre-feu dès le dimanche 20 juin. L’obligation du port du masque en extérieur est aussi levée dès jeudi.

A quelques jours d’élections où il se pourrait que LREM soit très mal en point, cela fait plus « coup politique » que réel changement de politique sanitaire, puisque cela fait des mois qu’absolument rien ne justifie le port du masque en extérieur ou le couvre-feu, mais que les autorités appliquent, parfois en faisant preuve d’un zèle inouï, ces consignes.

Officiellement, depuis le début de la pandémie, ce sont 111.000 personnes qui seraient décédées du Covid en France (officiellement, car hôpitaux comme maisons de retraite n’ont cessé de mettre en « Covid » y compris des décès pas directement liés au Covid-19). 5,74 millions de personnes, là encore officiellement, l'ont contracté. Au global, cela fait 1,9 % de taux de létalité, un chiffre qui s’effondre si l’on prend en compte toutes les comorbidités ainsi que l’âge avancé d’une large majorité des victimes décédées.

Il sera intéressant dans 10 ans de faire le bilan, des dépressions, des suicides, des exactions, des addictions, des pétages de plombs, des maladies physique ou mentales provoquées par les mesures tyranniques mises en place par les autorités depuis plus d’un an.

Source : http://breizh-info.com

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Un étrange sondage anti-Zemmour

16 Juin 2021, 06:34am

Publié par Thomas Joly

Thomas Joly, Président du Parti de la France : « Un sondage, au réel commanditaire inconnu, focalisé sur Éric Zemmour alors qu'il n'a pas encore déclaré sa candidature, le donne à 5,5 % d'intentions de vote aux Présidentielles. Outre qu'à ce stade de la campagne ça ne veut pas dire grand chose, n'oublions pas que sa candidature n'arrange ni Emmanuel Macron ni Xavier Bertrand ni Marine Le Pen ; et que l'Ifop et le journal Le Point sont tout sauf des organismes indépendants... »

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Quand la Suède, « paradis » des transgenres, découvre qu’elle a créé l’enfer !

16 Juin 2021, 06:06am

Publié par Thomas Joly

On nous aurait dit, voilà quelques années, que la « dysphorie de genre » deviendrait une mode, nous ne l’aurions pas cru. Et pourtant… c’est bien à cela que ça ressemble, dans ce pays merveilleux qu’est la Suède. Et si ce n’est pas une mode, alors c’est une grave épidémie !

Comment, en effet, expliquer que « de phénomène rarissime, touchant quelques individus dès la petite enfance, la dysphorie de genre [soit] devenue une pathologie de masse, apparaissant avec l’adolescence », comme l’écrit Le Figaro, qui publie une enquête sur le sujet.

Les chiffres sont éloquents : « En 2001, seules 12 personnes de moins de 25 ans avaient été diagnostiquées… en 2018, c’était 1.859 », dit un psychiatre pour enfants. « Tous les ados sont touchés, mais surtout les filles de 13 à 17 ans qui veulent devenir des garçons : entre 2008 et 2018, l’augmentation dans cette tranche d’âge est de 1.500 %. » Et d’ajouter : « En Suède, il y a maintenant plus de filles que de garçons qui reçoivent de la testostérone. » Idem pour les opérations (ablation des seins, modification des organes sexuels, etc.) : quand « 12 personnes par an seulement demandaient un changement de sexe dans les années 1972-1992, aujourd’hui, elles sont plus de 2.000 ».

On s’étonnera, au passage, que, dans un temps où l’on s’applique partout à démolir la gent masculine, réputée violente et violeuse, tant de jeunes filles veuillent changer de sexe… mais ce n’est qu’un paradoxe de plus.

Pionnière, la Suède a été le premier pays au monde à reconnaître la dysphorie de genre. C’était en 1972. Les traitements y sont totalement pris en charge dans les cliniques publiques dès l’âge de 16 ans : « Bloqueurs de puberté pour les plus jeunes, injections de testostérone ou d’œstrogènes, opération de la poitrine, orthophoniste pour changer sa voix, épilation, greffe de barbe etc. » L’opération des parties génitales est autorisée à partir de 18 ans. Insuffisant pour les associations qui soutiennent un projet de loi de 2018 pour « abaisser l’âge du changement à 12 ans et celui des interventions chirurgicales à 15 ans, sans consentement parental ».

Voilà donc ce monde merveilleux où les enfants décident de changer de genre comme de look et s’offrent même parfois des allers-retours, comme le raconte Asa, au Figaro. À 14 ans, sa fille Johanna « ne supportait plus son corps » et a décidé de devenir Kasper. Et puis à 19 ans, « elle a eu l’immense courage d’avouer son erreur. Je suis très fière d’elle », dit sa maman.

Vous connaissez un adolescent qui, à 14 ans, supporte son corps et les changements qui s’opèrent en lui ? Moi, non, je n’en connais pas. L’adolescence est le moment de la vie où, par définition, on est mal dans sa peau.

Qu’importe, durant toutes ces années, les Suédois ont décidé de réparer cette erreur de nature. En pointe dans les « traitements », Karolinska, le plus prestigieux hôpital du pays. Et voilà qu’un drame national se joue : ses équipes refusent désormais le traitement hormonal aux nouveaux patients mineurs. Ils mettent en avant « le principe de précaution ». S’avisent tout à coup qu’« il n’y a pas de preuve de l’efficacité de ces traitements, pourtant irréversibles, pour le bien-être des patients ». Et, pire, que lesdits traitements entraînent maladies cardiovasculaires, certains cancers, ostéoporose, thromboses, etc. Dénoncent surtout les « surdiagnostics » de dysphorie de genre (70 à 80 % des demandes sont acceptées).

Les associations crient au scandale : « De nombreuses familles sont désespérées, car elles voient leurs enfants souffrir et elles savent qu’ils n’auront pas de traitement. »

Oui, mais ils auront peut-être la vie sauve. C’est pas mal non plus !

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Fête champêtre avec Jean-Marie Le Pen dans la Somme : c'est complet !

15 Juin 2021, 06:34am

Publié par Thomas Joly

Comme il fallait s'y attendre, les places se sont arrachées en quelques jours pour cet événement. Les réservations sont désormais closes.

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L'équipe de France : la vitrine politique du Grand Remplacement

15 Juin 2021, 06:09am

Publié par Thomas Joly

 

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« Derrière le mondialisme se cache une idéologie qui sert les intérêts de la finance et des multinationales »

15 Juin 2021, 05:51am

Publié par Thomas Joly

Olivier Piacentini a publié récemment un essai, intitulé Le Mirage mondialiste. Mondialisation, mondialisme : quelle est la différence ? Il l’explique au micro de Boulevard Voltaire.

Vous publiez Le Mirage mondialiste aux éditions de Paris, pourquoi ce titre ?

Le mondialisme qui imprègne notre vie depuis trente ou quarante ans se cache derrière le phénomène naturel de la mondialisation.

La mondialisation est le développement des transports et des communications qui nous rapprochent à travers le monde, ce n’est pas négatif et nous n’y pouvons rien. Derrière cette mondialisation se cache une idéologie, le mondialisme, qui veut nous faire croire qu’elle est consubstantielle à la mondialisation et qu’on ne peut l’éviter. Le mondialisme veut aller progressivement vers un effacement des frontières, des nations, des États, et vers un mélange forcé des peuples. Cela nous est imposé par une force médiatique avec l’information et le divertissement (film, séries, cinéma, télé-réalité et même le foot).

Dans l’affaire Mélenchon/Papacito, on a même vu un tweet de soutien de l’ancienne présidente du Brésil. C’est un peu ça, la mondialisation ?

C’est l’une des manifestations de la mondialisation : nous avons une proximité plus grande. L’an dernier, par exemple, un ancien ministre du Pakistan a réagi aux propos d’Emmanuel Macron à la suite de l’assassinat de Samuel Paty.

En 2018, Nicolás Maduro et Barack Obama avaient réagi presque simultanément à la victoire de la France à la Coupe du monde en disant que l’Afrique avait gagné. Nous avons donc à la fois la mondialisation lorsqu’on réagit à ce qui se passe à l’autre bout du monde et on a aussi le mondialisme. Cette idéologie voudrait nous faire croire qu’il y a une confusion entre la France et l’Afrique à travers la physionomie de l’équipe de France.

Que va-t-il rester aux individus pour se démarquer les uns des autres ?

Derrière le mondialisme se cache une idéologie qui sert les intérêts des superpuissances mondiales : la finance et les multinationales. Ces dernières veulent avoir un consommateur mondialisé à qui elles vont servir le même produit sans avoir à l’adapter en fonction des cultures, ni aux réglementations et aux barrières douanières des États. Ces gens-là connaissent bien la nature humaine et savent que l’homme a besoin d’une identité, donc on s’acharne à recréer de nouvelles identités qui vont au-delà des frontières des nations. Ce sont des identités nouvelles : la couleur de peau, l’identité sexuelle et les identités façonnées par les marques. À travers les marques, on se crée une identité. Par exemple, Chanel est la marque d’une certaine classe bourgeoise. Airness est plutôt pour les jeunes de banlieue. On s’approprie l’identité de la marque, qui peu à peu efface l’identité nationale. Ces identités-là, on doit payer pour les avoir.

Comment en est-on arrivé là ?

Au départ, la mondialisation s’est appuyée sur des aspirations réelles de la population à plus de liberté, plus de tolérance et d’ouverture d’esprit et moins d’autorité. Autrefois, nous étions dans une société patriarcale avec une forte autorité de l’État, des autorités religieuses, de l’armée. À partir des années 60, on a vu des aspirations à faire évoluer tout cela. Le mondialisme a récupéré ces aspirations et nous impose maintenant une autre façon de penser.

Depuis quatre ou cinq ans il y a un certain blocage, car on réalise qu’une idéologie est imposée à la place de nos identités naturelles. Il y a donc une rébellion mondiale avec la montée des mouvements populistes en Europe, Russie, au Brésil, aux États-Unis mais aussi en Inde. Et même en Turquie, d’une certaine manière.

Nous sommes en train de perdre toute la richesse de nos identités à travers cette idéologie mondialiste et il y a une réaction générale. Ce mondialisme a mis quarante ans à se développer et, depuis quatre ou cinq ans, il y a un mouvement de démondialisme qui ira au bout, mais ce sera long car le mondialisme est très ancré et a une grande puissance en termes de propagande médiatique.

Les militants d’extrême gauche, No Borders, sont-ils l’allié objectif de cette idéologie ?

Éric Zemmour le répète souvent, ils sont les idiots utiles du mondialisme. Et j’ajoute qu’en France, ils sont les idiots utiles du macronisme. Certains laissent entendre qu’Emmanuel Macron est un Président de droite. A-t-il pris des mesures de droite, en quatre ans, telles qu’assurer l’ordre et l’autorité, défendre la valeur travail, baisser les impôts ? Il n’a pris aucune de ces mesures, ou très peu. Au niveau sociétal, il y va à fond, comme aujourd’hui avec les lois bioéthiques.

Emmanuel Macron est donc un Président de gauche, sauf qu’il sait que l’électorat est à droite. Donc, il se fait passer pour un homme de droite en étant l’antithèse face à l’extrême gauche ou aux délires écologistes.

Source : http://bvoltaire.fr

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Les entretiens du PdF - n°10 - Invité : Thomas Joly (13/06/21)

14 Juin 2021, 06:32am

Publié par Thomas Joly

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Nouvelle chaîne Telegram

12 Juin 2021, 08:56am

Publié par Thomas Joly

Suite à une énième suspension de mon compte Facebook (30 jours) pour un motif dérisoire, je crée cette chaîne Telegram qui reprendra bien sûr des publications du Parti de la France mais également des choses un peu plus personnelles comme je pouvais le faire sur ma page Facebook.

https://t.me/thomasjolypdf

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Samedi 12 juin, la gauche marche contre Satan

11 Juin 2021, 16:34pm

Publié par Thomas Joly

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Vers plus de flicage numérique sous prétexte sanitaire ?

11 Juin 2021, 06:06am

Publié par Thomas Joly

Le Sénat se charge de dérouler le tapis rouge au flicage numérique. Un rapport de la haute assemblée préconise de créer une plate-forme de crise activable en cas d’urgence sanitaire. Elle permettrait la récupération de données personnelles tous azimuts, disponibles dans de nombreux systèmes, de façon à pouvoir adosser l’action de Santé publique à des données aussi fiables et pertinentes que possibles.

Une telle plate-forme pourrait, par exemple, envoyer un rappel à l’ordre ou invalider un titre de transport ou bloquer le compte bancaire d’un quidam qui violerait une quarantaine. Mais c’est pour le plus grand bien de tous, c’est pour ne confiner que ceux qui présenteraient un risque élevé, par exemple. Et puis c’est forcément dans un cadre très limité, exceptionnel, bien balisé : une crise sanitaire. Ce n’est pas pour coincer Martin Duchmol, en arrêt de travail et censé rester à domicile mais qui a saisi son code de carte bleue à 15 h 2 à la Brasserie Trucmuche située à 17,5 km de chez lui. C’est pour mieux soigner les personnes qui en ont le plus besoin.

Interconnecter les fichiers. Toutes les polices en rêvent. Nombreuses sont celles qui le font, à différentes échelles, sans y être forcément autorisées par la loi. Avec les fichiers qui se causent, c’est comme avec les fusions d’entreprises, une espèce d’arithmétique contre-intuitive où 1 + 1 pourrait parfois faire plus que 2. L’association de deux informations brutes permet d’en déduire une troisième, pertinente pour une prise de décision optimisée, mieux ciblée. Les divers renseignements qui sont inscrits à votre sujet dans tant de fichiers gérés par maints logiciels hétérogènes sont beaucoup plus éloquents sur vous s’ils ont été rendus interopérables. C’est ainsi qu’un grand pays démocratique et populaire comme la Chine parvient à noter le civisme de ses citoyens en croisant des multitudes de données. Demain, en France ?

Bien sûr, il conviendrait parfois de croiser des fichiers, de les inter-opérer entre eux. Les raisons qui le justifieraient sont, par exemple, pour lutter contre les 50 milliards de fraudes sociales que dénonce Charles Prats ou contre le terrorisme. Mais un contrôle strict a priori et a posteriori de magistrats qualifiés devrait être, dans ces cas, organisé. La crise sanitaire du Covid dont la criticité perçue, dopée par une rhétorique officielle angoissante, devance de très loin celle qui est objectivement mesurée justifierait-elle d’une telle mesure d’exception ? Se poser la question est légitime.

Le sénateur René-Paul Savary a raison de le dire : nous semons beaucoup (trop ?) de données personnelles, glanées par les GAFAM qui en usent pour leur plus grand profit et nous sommes réticents à les partager avec l’État, qui pourtant ne voudrait que nous protéger. Sauf que voilà, le vulgum pecus lambda n’a pas forcément confiance. Ni dans ses parlementaires, ni dans la tête de l’exécutif, à peine plus dans sa Justice. En démocratie, la fin, même à supposer qu’elle soit vertueuse, qui justifierait de tous les moyens, ça ne va pas jusqu’à signer indéfiniment des chèques en blanc. Ou alors cette démocratie n’est plus authentique, trop édulcorée. Encore une question légitime à se poser.

Les sénateurs insistent : « Nous ne proposons pas de limiter les libertés, nous cherchons un moyen de les retrouver. » C’est beau comme 1984 : « La guerre, c’est la paix. La liberté, c’est l’esclavage. L’ignorance, c’est la force. »

Rémy Mahoudeaux

Source : http://bvoltaire.fr

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