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Le blog politique de Thomas JOLY

« La nuit du ramadan », sur France 2, ou l’étrange fascination du service public pour l’islam

30 Avril 2022, 08:41am

Publié par Thomas Joly

« La nuit du ramadan », une émission de France 2 qui existe depuis 1991, était diffusée le 27 avril à 23 h 55 sur la chaîne publique. Elle a été initiée par le PDG d’Antenne 2 et FR3 Hervé Bourges. « Au menu de cette soirée : pour fêter la rupture du jeûne, un grand chef qui nous mitonnera des plats emblématiques, lance la présentatrice de l’émission Myriam Seurat. Des mamas algériennes, sénégalaises qui vont également nous dévoiler leurs petits secrets culinaires. Place aussi au partage, à la convivialité, à la fraternité, à la tolérance avec des témoignages très émouvants autour du ramadan ! » Il ne faut pas oublier à qui s'adresse cette émission, payée par le contribuable français : « Je salue les spectateurs qui chaque année sont nombreux au Maghreb : Salam à vous tous ! »

La soirée commence avec des chants en arabe et en français interprétés par l’artiste Djam. Le public, où l’on aperçoit quelques femmes voilées, frappe dans ses mains en rythme. Djam explique ensuite que le sens de ses chansons est de faire des liens entre la culture africaine et occidentale, puis la chanteuse Amina chante en malien… « C’est ça, la nuit du ramadan. C’est une émission qui est au carrefour de toutes les cultures ! » s’exclame, enthousiaste, la présentatrice.

Interrogeant l’islamologue Yannis Mahil, Myriam Seurat introduit la suite : « Nous allons nous pencher sur cette période de spiritualité et de recueillement qu’est le ramadan pour les musulmans pratiquants. » Sur le même ton léger, l’islamologue raconte : « Le ramadan, c’est le nom d’un des mois lunaires, qui est considéré comme béni dans la tradition musulmane […]. Il revêt une importance […] en termes d’identité collective. C’est aussi une période pendant laquelle les mosquées sont pleines. Ça crée beaucoup de fraternité ! » La chanteuse Joyce Jonathan vient chanter une chanson sans rapport avec la choucroute au milieu de tout cela pour un mélange authentique des cultures, avant que Maxime, catholique pratiquant, et Myriam, son épouse musulmane pratiquante, nous racontent leur expérience enrichissante de couple mixte. Joyce Jonathan conclut : « C’est très beau : l’amour est plus fort que tout ! »

Il est frappant de voir que l’islam tient une place plus importante dans le service public que le catholicisme, qui est pourtant la religion qui a fait la France. Cette émission annuelle d’une heure et demie consacrée au ramadan n’a pas son pareil avec le Carême. De nombreux médias se sentent contraints de couvrir le ramadan en France et plusieurs articles tournent autour du même thème. Le Monde du 2 avril publiait ainsi un article sur « Le ramadan en neuf questions ». France 3 Régions effectue une série d’articles sur les bonnes œuvres effectuées par les musulmans pendant le ramadan, « moment de partage et d’entraide ». Sans compter les multiples articles de la presse locale qui couvrent les faits particuliers survenus pendant cette période : rupture du stock d’huile, manière avec laquelle les restaurateurs maghrébins vivent le ramadan, etc. Le Carême catholique n'a qu'à bien se tenir. À sa place, réduite au minimum.

Matthieu Chevallier

Source : http://bvoltaire.fr

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Trois jours après sa réélection, Macron entre en campagne. Pour quoi faire ?

29 Avril 2022, 19:42pm

Publié par Thomas Joly

Dans la déjà longue liste des paradoxes à la française, on pourra ajouter celui-ci : trop absorbé par une crise sanitaire interminable et la guerre qui frappe à la porte, le président de la République en exercice n’a pas fait campagne, ou si peu. Pourtant, trois jours seulement après le second tour de scrutin, et sans que les événements aient en rien changé (ils auraient même plutôt empiré sur le front de l’Est), voilà que le Président réélu entre en campagne. Pour quoi faire ?

C’était, mercredi, la première sortie de Macron II. Naïfs, les Français auraient cru l’ancien-nouveau président de la République tout absorbé à l’analyse des résultats et le choix de son futur Premier ministre. Erreur : il faisait le marché à Cergy. Place Saint-Christophe, patron des voyageurs.

De cette visite, les médias ont retenu cette question existentielle : tomates ou pas tomates ? That is the question, en effet, les uns affirmant que le Président était bel et bien visé par les projectiles volant bas – en l’occurrence des sachets de tomates cerises –, les autres (France Télévisions) soutenant que c’était juste le geste énervé d’un commerçant voyant son étal bousculé par la meute. Quoi qu’il en soit, le parapluie protecteur a été ouvert pour protéger l’auguste chef du chef de l’État dont on se demande ce qu’il allait faire dans cette galère.

Il allait y affirmer son courage, diront les ricaneurs du « Petit Journal » désormais collés à ses basques (c’est de l’info, coco !). Vu l’armada de gorilles qui l’accompagne, le courage d’Emmanuel Macron est assez peu sollicité. On songera plutôt qu’il pense aux législatives et a décidé d’arpenter les terres hostiles dans les quarante-cinq jours qui nous séparent du scrutin, histoire de s’assurer une majorité pour l’heure très aléatoire.

Cergy a voté Mélenchon, comme toute la banlieue rouge ou presque. Et si elle n’a pas voté Mélenchon, elle a voté Le Pen. Et Mélenchon joue à « saute-élections ». Il fait comme si le duel s’était joué entre Macron et lui. Exit Le Pen, la République, c’est lui, et la cohabitation sa niche, où les cabots de la gauche moribonde s’apprêtent à le rejoindre, signe que la France est malade. Bien malade, même.

Sur l’origine du mal, on peut lire l’excellente tribune de Pierre Vermeren dans Le Figaro de mercredi, intitulée « Les racines culturelles du malaise français ».

Partant du constat que « le résultat de la présidentielle ne suscite aucune espérance, pas même parmi les électeurs qui ont voté pour Emmanuel Macron dès le premier tour », l’historien s’interroge sur les raisons de ce profond malaise qui s’étend : « Faut-il l’attribuer à la non-campagne de candidats qui ont si peu exposé leur programme et n’ont débattu qu’une seule fois » ou, plus certainement, à « l’éviction des sujets de fond » ? Est-ce le Covid, la guerre en Ukraine ?

C’est plus lointain, plus profond, plus ancien. Depuis des décennies, les livres s’accumulent pour décrire ce mal français qui nous ronge. En effet, « depuis les années 80, tous s’est grippé », écrit Vermeren, et « plus s’avance la Ve République, plus les Français se demandent à quoi sert le politique. Quelles sont ses capacités d’action ? » Le sentiment dominant est que « nos dirigeants font de la politique pour servir leurs intérêts matériels et leur notoriété, gage de leur réussite matérielle ». À quoi il faut ajouter la perte de souveraineté nationale par la ratification du traité de Maastricht, quand « les dirigeants français se sont coupé les mains, anéantissant leur capacité de décision, l’autonomie d’action de leur pays et toute idée de volontarisme ».

Dans notre pays où « l’ordre public est devenu un désordre établi » (Maffesoli), ne reste plus que le chacun pour soi. « En fait, nous n’attendons collectivement plus rien de la chose publique. Nous aspirons à la continuation de l’identique pourvu que les maux de la société nous épargnent », conclut Pierre Vermeren.

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen - N°660

29 Avril 2022, 06:21am

Publié par Thomas Joly

Sujets abordés : la réélection d'Emmanuel Macron, la nécessité de la proportionnelle intégrale à l'Assemblée, l'union des patriotes aux Législatives, le pardon politique, le rassemblement de la gauche autour de Mélenchon, le prochain Premier Ministre, le conflit russo-ukrainiens, l'inflation, conseils de lecture.

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Comment l’Union populaire de Mélenchon tente de réinventer le Front populaire

29 Avril 2022, 06:10am

Publié par Thomas Joly

On se souvient de la tactique de drague conseillée par Jean-Claude, le skieur des Bronzés incarné par Michel Blanc : « Vas-y, fonce ! On ne sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher. » C’est peut-être aussi la tactique de Jean-Luc pour séduire les électeurs. En tout cas, Mélenchon fonce et s’affiche déjà Premier ministre. Il peut compter sur ses qualités de tribun unanimement reconnues pour bien distiller le malentendu.

Petit remplacement : la « France insoumise », slogan à consonance ultranationaliste, devient l’« Union populaire ». Cela s’imposait. M. Mélenchon a pratiquement appelé à voter Macron au deuxième tour et il est entendu qu’il incarne la République plutôt que la France. Preuve en est son tonitruant « La République, c’est moi » et son soutien à l'islam en France. Pour être aussi clair que Zemmour, il pourrait même terminer ses discours par « Vive la France et surtout, surtout, vive la République », tout étant dans le « surtout ». Il peut profiter encore un peu de l’ambiguïté entre France et République. Mais, réaliste, il a suivi les bons conseils du cardinal de Retz sur les vertus de l'ambiguïté, et n’a pas retenu le label « La république ouverte » : trop net !

Vive, donc, l’Union populaire, bien plus inclusive. Elle accueille les électeurs soumis, majoritaires, et ceux au nombre croissant qui, droit du sol et immigration inassimilée obligent, ne se sentent pas avant tout Français. L’ajout aisé de l’adjectif « républicain » aurait donné du chic. Mais le tribun serait alors apparu sous la bannière de l’Union populaire républicaine, qui est déjà celle de M. Asselineau, couramment situé à l’extrême droite. Mauvais genre, mauvaise idée donc, les deux hommes ne semblant pas si proches de la fusion. Mais qui sait, bientôt, dans une danse électorale éperdue ?

En plein « front républicain » anti-Le Pen, l’éclosion de l’Union populaire fleure bon le Front populaire de 1936, summum de la gauche, à l'origine des premiers congés payés. Rien à voir avec l’extrême droite, systématiquement associée aux sombres heures du régime de Vichy et au mal. Dès l’enfance, on apprend que la gauche, c’est la générosité, le partage, les vacances, et la droite le contraire : le travail et la possible accumulation de ses fruits. Si l’extrême droite est le mal absolu, la gauche est, de fait, le camp du bien, et la droite est un moindre mal. Dans cette logique, l'extrême gauche est le mieux. Si elle ne parvient pas au pouvoir, c'est probablement parce que la sagesse populaire sait que le mieux est l’ennemi du bien.

À l’opposé, Éric Zemmour s’est présenté comme le candidat de « la droite nationale », se distinguant de la droite internationale ou mondialiste qui soutient Macron. Il se voulait le trait d’union rassemblant la droite et l'extrême droite, mais il a été rapidement mis à une autre place : celle du pire extrémiste de droite, le candidat le plus loin de la gauche et donc du bien. Le travail étant une valeur reconnue de droite, il a préconisé, comme Macron, un report de l'âge de la retraite. Allongement contesté par Marine Le Pen, qui a pris soin de ne faire aucune surenchère de mesures visant à défendre la patrie, autre valeur de droite, et lui a laissé ainsi aisément la place d’extrême droite, synonyme d’élimination. Dès l'éjection de Zemmour, elle a retrouvé son statut d'extrême droite.

L’étiquette, néanmoins, lui collait moins bien. Concernant l’âge de la retraite, elle était à des années-lumière de Macron et Zemmour, très proche de Mélenchon. Un réel « extrémiste de droite » ne devrait-il pas porter au plus haut la valeur travail et, donc, contrairement à Le Pen, encourager le recul à la dernière extrémité du départ en retraite?

Ne serait-il pas plus juste de présenter Mme Le Pen comme candidate de la « gauche nationale » plutôt que d’extrême droite ? Sous ce label, n'aurait-elle pas été élue ?

M. Mélenchon n’a probablement pas tort de penser que la droite n’est pas si majoritaire qu’on le dit. Il a tout à gagner à prolonger le malentendu de l’extrême droite et à coller dès que possible cette étiquette à notre Président.

Le camp national reste empêtré dans le clivage droite/gauche que Macron a surmonté. Zemmour a sûrement compris, maintenant, que ce n’est pas « la droite » qu’il importe de rassembler pour sauver la France, mais les patriotes. Un travail encore plus herculéen.

Emmanuel Jalladeau

Source : http://bvoltaire.fr

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La mondialisation causera notre perte

28 Avril 2022, 15:17pm

Publié par Thomas Joly

 

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Jean Messiha quitte Reconquête

28 Avril 2022, 11:58am

Publié par Thomas Joly

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Twitter & Musk : l’argent n’a pas d’odeur, mais il a le pouvoir

28 Avril 2022, 11:29am

Publié par Thomas Joly

Même pas peur ! 24 heures après l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk, Thierry Breton, le commissaire européen au marché intérieur, n’a-t-il pas rappelé que la plate-forme de micro-messages devrait se conformer aux nouvelles règles européennes en matière de liberté d’expression ? On attend avec délectation le tweet de réaction d’Elon Musk. Sachant que l’absence de tweet est presque plus humiliante encore que la réponse cinglante.

Si Elon Musk a racheté Twitter, en faisant au passage plier le conseil d’administration de l’entreprise qui, il y a une semaine encore, avait commencé à charger les tubes lance-torpilles, ce n’est pas pour se soumettre, le lendemain, au diktat du wokisme bruxellois. Son projet est à l’opposé complet du politiquement correct. Le serial entrepreneur à succès veut faire de Twitter un forum au sens premier du terme, c’est-à-dire une place publique sur laquelle tout un chacun peut dire ce qu’il veut, sans être inquiété en aucune manière.

Pour y parvenir, Musk va d’abord sortir Twitter de la Bourse. Cela ne signifie pas seulement « avoir les mains plus libres », comme le répètent en boucle les médias mainstream. C’est surtout la possibilité, pour le nouveau patron de l’entreprise, de revoir totalement le modèle économique de Twitter, qui perd de l’argent quasiment depuis ses débuts ! Or, si Twitter perd de l’argent, c’est d’abord parce que l’entreprise est devenue un mastodonte : elle a même embauché 2.000 employés supplémentaires, l’an dernier (+35 % de masse salariale !), employés dont le rôle principal est dévolu… au contrôle du contenu des messages et au bannissement des utilisateurs indésirables, selon les standards de la plate-forme. Des standards highly politically correct, cela va sans dire.

Elon Musk : « La liberté d’expression est le fondement d’une démocratie fonctionnelle »

En recentrant Twitter sur son rôle, sa mission historique, à savoir permettre tout un chacun de s’exprimer sans avoir à craindre d’être censuré ou banni, Elon Musk va lui redonner du sens, ce que Twitter n’avait plus depuis le bannissement du 45e président des États-Unis, Donald J. Trump. Un bannissement incompréhensible, quand on sait que de nombreux islamistes, dont les tweets débordent littéralement de haine, n’ont jamais été vraiment inquiétés. On pourrait aussi ajouter Vladimir Poutine, pour faire bonne mesure.

Demain, sur Twitter version Musk, si un message franchit la ligne rouge, ceux qui auront « intérêt à agir » pourront saisir les tribunaux et demander à un juge d’estimer si l’auteur du message doit être sanctionné, et la plate-forme avec. Exactement comme en matière de délit de presse. Il est absolument inconcevable de confier à une police administrative, qui n’a rien à envier à la police de la pensée d’Orwell, la mission de décider ce qui peut être posté et ce qui ne doit pas l’être.

Par ailleurs, sur Twitter version Musk, on saura aussi comment l’algorithme sélectionne tel message plutôt qu’un autre, afin de le suggérer aux autres utilisateurs et de le rendre populaire, pour faire « le buzz ». Musk promet également de chasser les bots, alias les robots, qui postent et retweetent les messages artificiellement, toujours dans le but de faire le buzz.

Dernière révolution, de taille, que Musk garde dans sa manche : la possibilité de... pouvoir corriger un tweet une fois posté ! Bien évidemment, il n’y avait aucun obstacle technique à l’ajout de cette fonction plébiscitée par les usagers. C’était encore une de ces idées saugrenues des équipes actuelles de Twitter.

On a beau jeu de dénoncer l’emprise de Vladimir Poutine ou de Xi Jinping sur les médias et les réseaux sociaux de leurs pays respectifs, qui sont revenus aux heures les plus sombres du soviétisme. En Occident, même si la restriction de la liberté d’expression est sans commune mesure avec ce qui se passe à l’Est et en Chine, elle est réelle, et désormais quasiment unanimement dénoncée. Il n’y a guère que les sourds, les aveugles et les sots pour ne pas en être conscients (avec tout le respect et l’empathie que j’ai pour les sourds et les aveugles).

Réjouissons-nous donc que des patrons puissants mettent leur argent et leur savoir-faire au service de la liberté d’expression, mais aussi de la création de contre-pouvoirs au cœur du 4e pouvoir, dont les dérives sectaires de ces dernières années ont créé, tant aux États-Unis qu’en Europe, des situations totalement ubuesques et choquantes, pour ne pas dire révoltantes. Et maintenant, qui pour s’attaquer à Facebook ?

Jean-Baptiste Giraud

Source : http://bvoltaire.fr

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In memoriam Pierre Pinatel

28 Avril 2022, 08:49am

Publié par Thomas Joly

In memoriam Pierre Pinatel

Hommage à Pierre Pinatel, célèbre caricaturiste du camp national, rappelé à dieu ce 27 avril 2022, à l'âge vénérable de 92 ans.

Toutes nos pensées à ses proches et en particulier à Colette, son épouse.

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Scandaleuse mise en examen du policier du Pont-Neuf pour « homicide volontaire »

28 Avril 2022, 08:11am

Publié par Thomas Joly

 

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Après la présidentielle : l'union nationale plus que jamais ! - Synthèse - TV Libertés

27 Avril 2022, 18:52pm

Publié par Thomas Joly

Dimanche dernier, la France a réélu Emmanuel Macron à la présidence de la République. Elle a préféré s'illusionner sur le prix de son caddy en supermarché plutôt que défendre son identité. Pourtant, tout au long de la campagne présidentielle, une grande espérance a vu le jour "à droite de la droite". Mais les résultats sont là, celle-ci ne s'est pas (encore) réalisée... La droite de conviction doit-elle pour autant baisser les bras ? C'est pour en parler que Roland Hélie, Philippe Randa et Pierre de Laubier reçoivent dans cette nouvelle émission "Synthèse" Thomas Joly, président du Parti de la France, qui a soutenu Eric Zemmour au premier tour de la présidentielle. Pour limiter les dégâts, celui-ci défend l'union des forces nationales aux législatives de juin prochain.

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La palme du sale gauchiste antidémocrate est attribuée au maire de Técou dans le Tarn

27 Avril 2022, 13:44pm

Publié par Thomas Joly

« J’ai honte. » Par ces mots, Jean-François Baulès, le maire de la commune de Técou, dans le Tarn, a expliqué la raison qui le pousse à ne plus représenter publiquement sa commune. Il a pris cette décision radicale lundi 25 avril, au lendemain du second tour de l’élection présidentielle qui a vu Emmanuel Macron être réélu en battant Marine Le Pen, rapporte La Dépêche. Sauf qu’à Técou, c’est bien Marine Le Pen qui est arrivée en tête des suffrages exprimés, avec 52,42% des voix. Insupportable pour le maire.

Le maire explique : « On a eu moins d’abstentions et de bulletins blancs qu’en 2017 mais le vote Mélenchon s’est fondu avec celui du RN. Ils utilisent les mêmes leviers du populisme, la peur, la haine de l’autre, la jalousie de ceux qui ont plus que soi. Ce ne sont pas mes valeurs, je ne me reconnais pas dans ce vote. » Jean-François Baulès l’affirme : il est de gauche, même s’il a rallié Emmanuel Macron, précisant tout de même : « J’ai une fidélité totale pour Christophe Ramond au Département et Carole Delga à la Région ». Avant d’asséner : « Je ne représente plus la population de ma commune. » Après avoir songé à démissionner avec son Conseil municipal, Jean-François Baulès a décidé de ne plus représenter publiquement la commune lors d’événements, à l’exception des cérémonies patriotiques. Il ne briguera pas non plus de quatrième mandat en 2026.

Source : http://valeursactuelles.com

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Emmanuel Macron au service de la climatologie

27 Avril 2022, 08:52am

Publié par Thomas Joly

 

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Macron 2 : la victoire des puissants contre les faibles

27 Avril 2022, 06:03am

Publié par Thomas Joly

C'était un choix de civilisation. Les électeurs ont tranché. À 38,52 % des inscrits (soit moins d'un électeur sur quatre), les Français ont donc élu le candidat des riches, celui des gagnants de la mondialisation. Ceux qui ne sont rien, les Gaulois réfractaires, les gilets jaunes, les soignants non vaccinés flanqués à la porte, les oubliés de la France profonde, les économiquement trop faibles pour se payer le luxe d’habiter loin des foyers d’insécurité et les victimes de l’islamisation de la France ont perdu la bataille. Mais pas la guerre. Ils ne sont pas les seuls : il y aura d'autres perdants parmi les plus jeunes et les plus âgés. Sans peut-être avoir pris toute la mesure du choix, les électeurs d'Emmanuel Macron ont signé pour cinq ans de plus d'effacement d'une de ces valeurs cardinales qui ont fait la grandeur de notre civilisation : la défense des faibles.

Macron 1, bilan : la loi de bioéthique de 2021 autorise la création des embryons transgéniques et des chimères animal-homme et supprime la semaine de réflexion avant une IMG et l’accord parental pour une mineure. Des embryons conçus avec des gamètes étrangers et anonymes sont réimplantés dans des ventres de femmes sans hommes sans considération ni principe de prudence pour le devenir de l'enfant (loi PMA). Les familles sont privées de leurs droits les plus élémentaires à instruire leurs propres enfants chez elles (loi sur le séparatisme) alors que les plus petits sont obligés d'aller à l'école dès l'âge de 3 ans.

Macron 2, perspective : les plus vieux d'entre nous, inutiles, non productifs, encombrants et trop coûteux pour le corps social, seront prématurément supprimés. Le scandale des maisons de retraite (Macron 1) aura révélé la cruauté de notre modèle social qui empêche les actifs de prendre soin de leurs parents par manque de disponibilité, par éloignement géographique forcé, nomadisme obligatoire et manque de place dans les logements exigus des métropoles pourvoyeuses d'emplois. Le suicide assisté, promis « grande réforme sociétale » selon le ministrable Richard Ferrand, tombera à point nommé. On désencombrera. Les hôpitaux et les bras des travailleurs. Ironie de l'histoire : ceux qui, en majorité, auront soutenu Emmanuel Macron (71 % pour les plus de 70 ans) risquent bien d'être les premières victimes sur la liste.

Toutes les possibilités d'avorter (IMG, IVG allongées à la 14e semaine) ayant été amplement fortifiées, garanties et consolidées se verront inscrites dans le droit européen. Une ambition à la mesure d'un Emmanuel Macron Président d'une France trop rabougrie, trop petite.

Et parce que les promesses n'engagent que ceux qui les tiennent, la GPA, ou abandon programmé d'enfants à la naissance au profit de riches clients et location de ventres de femmes économiquement faibles, sera, n'en doutons pas, légalisée. On nous dit déjà que 7 Français sur 10 y sont favorables (sondage IFOP pour Femme actuelle, janvier 2022) et que le principe d'égalité nous y oblige, car comment refuser à des couples d'hommes ce qu'on accorde à des couples de femmes ?

Les associations LGBT militantes bien implantées dans les écoles se verront renforcées. Au détriment des enfants masqués, enfermés, privés d'école et soumis aux caprices idéologiques et aux délires d'un Jean-Michel Blanquer leur enseignant, sous Macron 1, la possibilité de changer de sexe à coups d'hormones et d'opérations chirurgicales. Olivier Véran a déjà préparé le terrain sous prétexte d'une « égalité d'accès aux soins des personnes trangenres ». Un groupe de travail est à l'œuvre.

Et, bien sûr, le contribuable français qui a brutalement découvert l'état déplorable de son système de soin lors de la crise du Covid-19 sera tenu de financer encore un peu plus les nouvelles « avancées sociétales » en vue. À moins d'un miracle, d'un sursaut, d'une prise de conscience et de la construction d'un mur de résistance étanche, solide, uni à l'Assemblée nationale : « Faire barrage ! »

Sabine de Villeroché

Source : http://bvoltaire.fr

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Le Forum du PdF - Jeudi 28 avril à 21h

26 Avril 2022, 16:22pm

Publié par Thomas Joly

Le Forum du PdF - Jeudi 28 avril à 21h

Dans le nouveau Forum du PdF, Alexandre Hinger reçoit Pierre-Nicolas Nups, Maxime Morlon et Iannis Moriaud. C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram : https://t.me/partidelafrance

Les thèmes abordés seront : la victoire d'Emmanuel Macron à l'élection présidentielle, les boomers pro-Macron, la nouvelle défaite de Marine Le Pen, le refus de Marine Le Pen de s'allier avec Reconquête aux Législatives, l'avenir de Marine Le Pen.

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