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Le blog politique de Thomas JOLY

Cinéma : aux États-Unis comme en France, le ras-le-bol du wokisme ?

16 Janvier 2023, 07:06am

Publié par Thomas Joly

Si le wokisme prospère à grande vitesse chez les pseudo-élites intellectuelles des milieux universitaires, politiques ou artistiques, les « vraies gens » semblent moins enclins à en gober passivement le contenu indigeste. Depuis des mois, Netflix connaît une baisse de ses abonnés, d'abord parce que c'est cher, mais aussi très probablement parce qu'une reine viking noire rend beaucoup de gens perplexes. Aux États-Unis, un abonné sur trois de Netflix a ainsi déclaré que l'entreprise ne proposait plus les choses qu'il souhaitait regarder.

Et le désamour des Américains pour les productions plus ou moins sournoisement militantes de leur cinéma a été récemment révélé par Fox News. Ainsi Strange World, le premier film d'animation de Disney au budget de 180 millions de dollars et avec un personnage ouvertement LGBT, n'a fait que 24 millions de dollars lors de son ouverture pendant la semaine de vacances de Thanksgiving. Pas vraiment un départ en fanfare, raison pour laquelle, peut-être, il ne sera pas diffusé en salles chez nous mais seulement sur la plate-forme maison.

Le film Bros, axé sur des personnages LGBT, ou le Lightyear de Pixar, et son baiser homosexuel, n'ont pas non plus affolé le box-office. Visiblement, la star de Bros Billy Eichner, qui avait vigoureusement averti sur Twitter les « homophobes » de ne pas venir voir le film, a été entendu au-delà de ses plus folles espérances…

Et aux États-Unis, on n'attend même plus que les films fassent un flop : on arrête les tournages en cours, comme le Batgirl de Warner Bros. mettant en scène une héroïne qui a changé de race, annulé avant sa sortie bien qu'il ait terminé une grande partie de son tournage ! Ce qu'aurait dû faire Alexandria Ocasio-Cortez - la Sandrine Rousseau américaine -, dont le documentaire sur le changement climatique To the End n'a rapporté que 80 dollars par salle en ventes de billets.

Et en France ? Eh bien, malgré un bombardement médiatique massif et la bonne bouille d'Omar Sy, en comptant les avant-premières, Tirailleurs affiche un moins bon lancement que Indigènes en 2006. Et si Jeune Afrique estime que le film n'en fait pas assez et « rate son rendez-vous post-colonial », les Français commencent peut-être à se lasser des films sur « le-migrant-ses-joies-ses-peines » ou « l'Africain-toujours-victime-du-racisme ».

Heureusement pour tout un petit monde, notre système de subventions permet de ne tenir aucun compte des goûts du public, comme le confirme Roselyne Bachelot, ancien ministre de la Culture, dans son livre 682 jours sous-titré Le Bal des hypocrites : « La fameuse exception culturelle permet en effet à de très nombreux films français de ne pas trouver leur public, comme on dit pudiquement, ou, plus explicitement, d’être des bides. […] Le système permet, par ailleurs, aux acteurs qui sont en tête de casting de toucher des cachets mirobolants trois ou quatre fois supérieurs à ceux des acteurs des films du cinéma indépendant américain. »

Richard Hanlet

Source : http://bvoltaire.fr

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Les parents n’osent plus laisser sortir leurs enfants en ville : seulement à cause des voitures et des pédophiles ?

15 Janvier 2023, 11:48am

Publié par Thomas Joly

C'est un phénomène qui n'a rien de nouveau mais qui s'est amplifié ces dernières années : les enfants ont déserté les villes. Invisibles. À l'école, au collège ou chez eux. Dans leur club de sport, leur conservatoire ou chez des copains. Et, entre les deux, en voiture. Et pour ajouter de l'enfermement à l'enfermement, sur leurs écrans. Mais jamais sur les places, que ce soit dans les grandes ou les petites villes et même dans les villages. Il suffit de revoir un film de Tati pour mesurer l'ampleur de cette régression. À l'effondrement de la natalité est venue s'ajouter la réclusion des enfants. L'espace urbain est préempté par de jeunes adultes ou des quincados en trottinette et des boomers en SUV (je sais, je caricature).

Le Covid n'a été qu'un accélérateur. Les conséquences néfastes sur la santé physique et mentale des enfants sont bien connues : addiction aux écrans, repli sur les réseaux sociaux, manque d'activité physique, surpoids, phobies scolaires quand, en plus, le collège devient pour certains le lieu du harcèlement, comme vient de le rappeler tragiquement le suicide du petit Lucas. Mais la raison de ce phénomène est également connue : l'inquiétude des parents souhaitant légitimement protéger leurs enfants, devenus des « enfants d'intérieur », selon l'expression d'un philosophe cité par Le Parisien.

Nous avons là une nouvelle conséquence désastreuse de la montée de l'insécurité en France. Mais, pour Le Parisien, celle-ci n'a que deux visages : « l’essor du trafic automobile qui, par ricochet, a fait disparaître les aires de jeux pour enfants pour les transformer en places de stationnement. Mais aussi l’apparition, depuis les années 1990, de la figure du pédophile et une plus grande sensibilisation des parents à ce sujet. » Le chauffard et le pédophile. comme si le terrain n'était pas occupé par d'autres profils. Les dealers qui tiennent un quartier ? Les bandes de racailles ? Des centaines d'étrangers sous OQTF ou mineurs non accompagnés qui traînent ? Les fichés S libres comme l'air ? Les récidivistes remis en liberté ? Les parents ont bien compris le message répété par le général Schmitt : ils savent que « dans la rue, il y a des bombes ». Les parents ont bien raison d'être vigilants et toute l'actualité récente en ce domaine, du meurtre de Lola au calvaire des habitants de Stalingrad, ne peut que les conforter. Et si un universitaire spécialiste de cette question cité par Le Parisien reconnaît que « la tendance globale dans les villes européennes est donc celle d’un retrait des enfants de l’espace public », c'est peut-être que, justement, ces villes ou ces quartiers sont de moins en moins européens…

Mais tout ce pan de la réalité est soigneusement évité par l'article comme on contourne un quartier mal famé. Même évitement quand il passe devant le marché des solutions. Ce serait « aux parents de changer leur regard sur les normes éducatives en vigueur et le danger, réel ou supposé, d’accorder de la liberté aux petits » ! Et, bien sûr, la ville de Paris, toujours à la pointe de l'innovation urbaine, a « des pistes [...] à l’étude pour piétonniser l’espace public, créer des "rues aux enfants", des aires de jeux ». Comment n'y avait-on pas pensé plus tôt…

Frédéric Sirgant

Source : http://bvoltaire.fr

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Vers des hausses à venir de 30 à 50 % dans les supermarchés

14 Janvier 2023, 17:08pm

Publié par Thomas Joly

Vers des hausses à venir de 30 à 50 % dans les supermarchés

« Ça va exploser » : il faut bientôt s'attendre à « des hausses de 30 à 50 % » dans les rayons des supermarchés, alerte le patron de Lidl France Michael Biero. « Les 6 premiers mois de l’année 2023 vont être catastrophiques », prévient-il. (RMC)

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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen - N°687

14 Janvier 2023, 15:33pm

Publié par Thomas Joly

Sujets abordés : Pantin(e), la parité en politique, l'uniforme à l'école, la dictée, l'agression sauvage de la Gare du Nord, la réforme des retraites, des lignes de fracture au sein de la macronie, des mois pour refaire sa carte d'identité, rapide séjour à la Trinité-sur-mer.

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La Hongrie poursuit sa politique nataliste, la France fait le choix de l’immigration

14 Janvier 2023, 13:25pm

Publié par Thomas Joly

Viktor Orbán poursuit sa politique nataliste : depuis le 1er janvier 2023, les femmes de moins de trente ans décidant d’avoir ou d’adopter un enfant sont exonérées d’impôts. Objectif : doper la natalité et ne pas avoir recours à l’immigration pour assurer le renouvellement des générations. L’an dernier, c’étaient les jeunes de moins de 25 ans qui étaient exonérés d’impôts et, il y a trois ans, les mères de quatre enfants et plus.

Ces mesures rejoignent le corpus législatif, déjà consistant, d’une politique nataliste volontariste. Florilège : congé parental, réduction d’impôts, allocations familiales, prêt à taux zéro de 33.000 euros pour une naissance dans les cinq ans, aide financière conséquente pour l’achat d’un véhicule sept places dès trois enfants.

En 2021 a eu lieu à Budapest le quatrième sommet mondial de la démographie, c’est dire si le sujet est d’importance. La politique retrouve ici ses lettres de noblesse : voir et agir pour la prochaine génération plutôt que pour les prochaines élections. Viktor Orbán qui, comme ses alliés du groupe de Visegrád, ne s’embarrasse pas de circonlocutions politiquement correctes, explique que le choix est simple : la démographie repose soit sur une immigration massive - telle que nous la vivons en France - soit sur une politique tournée résolument vers les berceaux. « Les politiques libérales et conservatrices s’affrontent également – ​​et s’engagent même dans une lutte à mort – sur la question des migrations », avait-il dit (propos rapportés par le Visegrád Post).

Cette politique nataliste porte-t-elle des fruits ? Un rapide coup d’œil sur les statistiques de la Banque mondiale montre que la Hongrie est l’un des rares pays au monde à avoir une courbe ascendante sur les dix dernières années : en 2010, la Hongrie comptait 1,25 enfant par femme ; en 2021, 1,6 enfant par femme. C’est encore trop peu, mais une politique nataliste s’évalue sur le long terme, à l’aune d’une génération. Actuellement, la crise économique due en partie à la gestion de la crise sanitaire mais aussi aux conséquences des sanctions appliquées à la Russie fragilisent cette entreprise.

Mais plus largement, au-delà même de la survie et de l’avenir d’un pays, cette politique nataliste a le mérite de mettre au centre des décisions politiques au sens noble un enjeu essentiel : le renouvellement des générations. Les mesures favorables aux familles sont la pierre angulaire du maintien de l’identité d’un pays mais aussi de la survie de son système social. Nous l’évoquions récemment, le Danemark a choisi pour cela de réduire drastiquement l’immigration.

Le lien avec la problématique des retraites, sujet crucial non seulement en France mais partout dans une Europe vieillissante, est évident, naturel. Et pourtant, il semble que le sujet tabou de cette réforme française des retraites soit bien l’incitation à la natalité : comme l’explique Jean-Thomas Lesueur, directeur de l’Institut Thomas More dans une tribune parue dans Le FigaroVox, « le système par répartition est fondé sur une solidarité intergénérationnelle qui se conjugue au présent immédiat. Les cotisations d’aujourd’hui servent à payer les retraites d’aujourd’hui. Pour se maintenir à l’équilibre et ne pas devenir écrasant pour les travailleurs, il a besoin d’un nombre important de cotisants. Les chiffres sont connus et répétés à l’envi à chaque nouvelle réforme: alors qu’on comptait plus de 4 cotisants pour 1 retraité en 1960, il y en a 1,7 aujourd’hui. »

L’adoption d’une vraie politique familiale en France est d’une urgence vitale. En faisant le choix de toujours plus d’immigration, anarchique, sans contrôle et au détriment de la survie physique, morale et spirituelle des Français, le gouvernement actuel comme ceux qui l’ont précédé porte une responsabilité historique. La France a fait depuis longtemps le choix d’une politique d’aide sociale, de chèques-minutes, au détriment d’une politique familiale. Cela procède évidemment d’une vision postmoderne de la société, composée désormais d’individus atomisés, de moins en moins réunis en corps social. Le report de l’âge de la retraite, actuel pont de cristallisation, n’est qu’une arme de distraction médiatique massive.

La Hongrie nous montre une voie opposant immigration et natalité autochtone. Bien loin de la petite case médiatique « extrême-droite-xénophobe » dans laquelle il est si pratique de l’enfermer, la politique menée par Viktor Orbán montre la nécessité d’agir sur le temps long, face à l’Histoire, pour le bien commun de l’ensemble de la société.

Marie d'Armagnac

Source : http://bvoltaire.fr

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Galette des rois du Parti de la France dans le Morbihan samedi 28 janvier

13 Janvier 2023, 07:54am

Publié par Thomas Joly

Galette des rois du Parti de la France dans le Morbihan samedi 28 janvier

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La messe traditionnelle en latin expliquée en moins de 10 minutes

13 Janvier 2023, 07:44am

Publié par Thomas Joly

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Zemmour condamné à 4.000 euros d’amende pour avoir qualifié le prénom d’Hapsatou Sy d’« insulte à la France »

13 Janvier 2023, 07:07am

Publié par Thomas Joly

L'ancien candidat à la présidentielle a été condamnée à 4.000 euros d'amende, ce jeudi 12 janvier, ses propos ayant été qualifiés d'attaque personnelle à caractère discriminant, rapporte Le Figaro.

En 2018, Éric Zemmour avait qualifié le prénom de l'ex-chroniqueuse du groupe Canal+ Hapsatou Sy d'« insulte à la France ». Lors d'un échange corsé, Hapsatou Sy avait rappelé son prénom au président de Reconquête, qui lui avait rétorqué : « Votre mère a eu tort. » « Et vous voudriez que je m'appelle comment ? », avait demandé la chroniqueuse, ce à quoi Zemmour lui avait répondu : « Corinne ». « Ce que vous venez de dire est une insulte à la France », s'était-elle agacée, et l'invité de rebondir : « Mademoiselle, c'est votre prénom qui est une insulte à la France. »

L'ex-candidat a donc été condamné pour injure à caractère raciste et devra verser, en plus de son amende, 3.000 euros de dommages et intérêts et 2.000 euros de frais d'avocat. Son avocat, Me Prado, a immédiatement annoncé faire appel « face à cette décision qui n'a pas de sens juridique ».

La réaction d'Éric Zemmour : « Je conteste cette décision inique et je ferai appel. Mais il y a une chose plus importante : ces décisions de justice ne me feront pas taire. J’en conteste le fondement : je ne suis pas un délinquant, je suis un dissident. »

Source : http://bvoltaire.fr

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Retraites : les 3 axes du Parti de la France

12 Janvier 2023, 18:22pm

Publié par Thomas Joly

Retraites : les 3 axes du Parti de la France

Si notre régime des retraites devient déficitaire, c’est parce que le montant des cotisations perçues chute avec la baisse du nombre de cotisants. Or, la population de la France augmente chaque année et atteint aujourd’hui presque 68 millions d'habitants. Et pourtant la situation se dégrade encore !

Le Parti de la France propose 3 axes simples :

- Créer un voire deux millions d'emplois en relocalisant, en réindustrialisant, en appliquant un protectionnisme salvateur et la préférence nationale (gain : 26 milliards de cotisation).

- Mettre fin à la fraude sociale pratiquée par les étrangers (ex : faux retraités centenaires algériens) et ne plus leur accorder le minimum vieillesse (économie : 2 milliards).

- Relancer la natalité des familles françaises et mettre fin immédiatement à l'immigration dite « de travail » mais surtout de parasitage social.

Tant que la France ne sera pas libérée du poids insupportable de l'immigration, aucune réforme des retraites ne sera viable.

Thomas Joly - Président du Parti de la France

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Zone à faibles émissions : l’écologie (encore) au détriment des plus modestes 

12 Janvier 2023, 07:30am

Publié par Thomas Joly

Z.F.E. Trois lettres qui n’évoquent rien pour une grande majorité de Français mais qui risquent pourtant de bientôt restreindre leur mobilité. D’ici le 31 décembre 2024, les métropoles de plus de 150.000 habitants devront mettre en place des zones à faibles émissions mobilité (ZFE) interdisant la circulation aux véhicules anciens considérés comme polluants. Une mesure que le groupe Rassemblement national à l’Assemblée entend bien abroger à l’occasion de sa niche parlementaire, ce 12 janvier.

40 % des automobilistes bientôt exclus

« C’est une véritable bombe sociale à retardement » : Philippe Nozière, président de 40 millions d’automobilistes (association de défense des automobilistes), contacté par BV, ne masque pas son inquiétude quant à la mise en place des zones à faibles émissions dans l’ensemble des agglomérations de plus de 150.000 habitants. Prévue avant la fin de l’année 2024, ces ZFE – qui existent d’ores et déjà dans onze métropoles, dont Paris, Lyon ou Grenoble - délimitent un périmètre au sein duquel seuls les véhicules les moins polluants auront le droit de circuler. La loi d’orientation des mobilités de 2019 prévoit ainsi d’interdire l’accès de ces ZFE aux véhicules Crit’Air 5 à compter du 1er janvier 2023 ; aux Crit’Air 4 à partir du 1er janvier 2024 ; et aux Crit’Air 3 à partir du 1er janvier 2025. Autrement dit, à l’aube de l’année 2025, les véhicules essences construits avant 2006 et les véhicules diesel construits avant décembre 2010 ne pourront plus circuler dans certaines zones, de taille variable, au sein de ces agglomérations, sous peine de se faire verbaliser.

Ainsi, à l’horizon 2025, près de 40 % du parc automobile français n’aura plus accès à une quarantaine de métropoles françaises. Et ce, alors même que ces véhicules continuent de passer avec succès le contrôle technique. En première ligne, les Français des territoires ruraux, contraints de se rendre dans ces villes pour avoir accès aux services publics ou pour se rendre sur leur lieu de travail, seront concernés par cette mesure. Sans transport public, ils n’auront d’autre choix que de se séparer de leur ancienne voiture et d’en acheter une plus récente. Un luxe que beaucoup ne pourront pas se permettre. Or, malgré la menace qui pèse sur leur quotidien, une très grande partie des automobilistes ignorent encore ce dispositif. Selon le baromètre CSA de mars 2022, seuls 37 % des Français connaissent réellement les ZFE.

Une mesure antisociale

Pour justifier une telle mesure, le gouvernement assure vouloir améliorer la qualité de l’air et protéger la santé des habitants de ces villes. Mais derrière ces belles intentions se cache, une nouvelle fois, une écologie punitive au détriment des Français les plus modestes. « Car ceux qui ont des voitures anciennes sont souvent les Français les plus démunis » souligne Philippe Nozière. Et d’ajouter : « La plupart n’auront pas les moyens de remplacer leur ancien véhicule. » Et ce, alors même que près de 80 % des automobilistes bientôt interdits de circulation dans les ZFE ont besoin de se rendre dans les villes concernées.

À Paris, où Anne Hidalgo promet encore « moins de voitures pour un air plus pur » en 2023, « certains automobilistes pourront trouver des solutions grâce aux transports en commun vers la capitale qui fonctionnent relativement bien », explique l’association 40 millions d’automobilistes. Mais cette mesure concernera bientôt des communes comme Le Mans, Angers, Limoges ou Caen, des régions où la voiture est un outil de survie.

À l’heure où le RN propose l’abrogation des ZFE, Philippe Nozière appelle au pragmatisme. « Ils n’obtiendront pas la suppression des ZFE car tous les élus qui ont voté pour il y a des années ne vont pas se dédire aujourd’hui », analyse-t-il. L’association 40 millions d’automobilistes, qui entend l’impératif sanitaire, propose donc une troisième voie : créer une vignette « véhicule écologique » qui serait attribuée à toutes les voitures passant avec succès le contrôle technique et un contrôle de conformité environnementale (déjà existant) renforcé.

Mais si l’exécutif persiste à vouloir appliquer les ZFE, Philippe Nozière craint une gronde sociale. « Les gilets jaunes se sont soulevés pour quelques centimes sur le prix du carburant. Là, il est question de plusieurs milliers d’euros. On risque d’avoir les gilets jaunes "puissance 10". »

Clémence de Longraye

Source : http://bvoltaire.fr

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Callac : le projet Horizon pour y implanter des migrants africains est abandonné !

11 Janvier 2023, 15:10pm

Publié par Thomas Joly

Communiqué du Comité d’Organisation contre le projet Horizon à Callac

C’est avec un plaisir non dissimulé que nous annonçons que le projet Horizon de la fondation MERCI est abandonné par le Conseil Municipal de Callac.

Ce projet prévoyait à l’origine la venue de 70 familles issues du continent africain. Soit au total environ 530 personnes (7,6 personnes par famille selon les chiffres de Ouest France du 14 septembre 2022) dans un petit bourg de Bretagne de 2.200 habitants. Cela représentait donc l’arrivée de 25 % de la population actuelle. Un projet insensé qui aurait été source de nombreux problèmes.

D’abord, ce projet était très injuste pour la population locale dont beaucoup sont des familles modestes. Pour les jeunes, il était inacceptable. Ils sont obligés de partir de Callac car il n’y a pas de travail pour eux. La municipalité déclarait ne pas avoir d’argent pour aider les gens modestes et les jeunes.

Mais subitement des millions arrivaient, ainsi que des emplois, pour accueillir des personnes venues de l’autre bout de la terre. De l’argent manifestement il y en a, mais pas pour les Français. Qui pouvait comprendre cela ?

Contre ce projet fou, l’Association « Les Amis de Callac et ses environs » (présidée par Mme Catherine Blein - NDLR) mené une bataille acharnée pendant des mois. Un combat remarquable et obstiné malgré l’adversité. Ses militants furent présents chaque mercredi sur le marché pour faire signer des pétitions, mobiliser la population et organiser les opposants au projet.

Des centaines de signatures ont été collectées. Des milliers de tracts furent distribués dans les boîtes aux lettres. Deux manifestations furent organisées, l’une le 17 septembre (environ 500 personnes) et l’autre le 5 novembre (environ 1.000 personnes – 600 d’après la police). Face à ce combat acharné, pour défendre Callac contre cette invasion visant à y construire un village « multiculturel » rien ne nous fut épargné :

• Les insultes (« fascistes », « extrême-droite », « racistes », « xénophobes », …) d’abord,

• Les violences ensuite des antifas qui à chacune des deux manifestations ont tenté d’attaquer le rassemblement des patriotes avec le soutien actif des élus de la mairie de Callac, notamment la célèbre Laure Line Interbitzin, et de toute la « gauche » locale et régionale ainsi que des syndicats. Heureusement, les forces de gendarmerie, déployées sur ordre du Préfet, firent parfaitement leur travail lors des deux manifestations et empêchèrent les antifas de faire taire les patriotes, par la violence.

• La presse aux ordres (Le Télégramme, Ouest-France, Le Poher…), de son côté, ne manqua aucune occasion pour salir ce mouvement patriote.

En vain.

Très récemment, le conseil municipal s’est réuni, en secret, et a voté sur le projet Horizon. Le résultat du vote fut le suivant :

- 8 pour l’arrêt du projet Horizon (dont le maire lui-même)

- 6 pour continuer (2 membres de la majorité Interbitzin et Morcet et les 4 « opposants » de droite républicaine)

Résultat : le projet est abandonné ! Preuve est faite que lorsqu’on se bat, on peut gagner.

Nous nous étonnons seulement du silence de la mairie sur cette bonne nouvelle, alors que tout le monde le sait dans le village. Peut-être le maire se réserve-t-il de faire cette annonce lors de ses vœux à la population qui auront lieu dans les prochains jours ? Ce qui marquerait un excellent début de cette année 2023.

A l’heure ou la Loi de Transition Démographique va venir prochainement devant l’Assemblée nationale, plongeant - si elle est votée - de nombreuses municipalités dans les mêmes problèmes, sombrer dans le désespoir n’est pas la solution. Il faut s’organiser et se battre avec constance et obstination. La victoire est à ce prix.

Reste que les problèmes ne sont pas forcément définitivement réglés à Callac.

Quelle sera la position du Préfet des Côtes d'Armor qui dispose également des services de l’association Viltaïs pour reprendre le flambeau et tenter d’imposer la venue de migrants à Callac ? Le plus sage serait que tout projet soit abandonné à Callac. D’autant que pour le Préfet l’affaire s’annonce difficile :

• La mairie vient de jeter l’éponge

• Viltaïs est une association qui ne jouit pas d’une réputation « exemplaire »

• l’Association « Les amis de Callac et ses environs » est toujours en ordre de bataille et ne manquera pas de réactiver immédiatement son combat si Viltaïs tente de réaliser ce que la Fondation MERCI a raté.

Enfin, dernière information, la Fondation MERCI semble ne pas se consoler de son échec à Callac. Il se murmure qu’elle souhaite mettre en œuvre un nouveau projet… à Paimpol cette fois. Toujours dans le département des Côtes d’Armor. Nous lui promettons que l’accueil sera le même, voire plus frais encore, dans cette localité.

Le Comité d’organisation remercie tous ceux qui ont participé à son action et ont contribué à cette première victoire, notamment l’Association « Les Amis de Callac et ses environs », mais aussi Reconquête, Riposte Laïque, Résistance Républicaine, Les Patriotes et le Parti de la France. Nous n’oublions pas non plus de remercier tous ceux qui nous ont aidés : Gilbert Collard, Patrick Jardin, la Ligue du Midi, Place d’armes, Les Maires pour le bien commun, et toutes les personnes célèbres ou simples citoyens qui ont œuvré à nos côtés pour faire échouer ce projet mortifère.

La France doit rester la France

VIVE LA FRANCE !

Bernard Germain - Porte-parole du Comité d’organisation contre le projet Horizon

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Après les uniformes dégenrés, les compagnies aériennes intègrent le hijab et la tunique

10 Janvier 2023, 12:31pm

Publié par Thomas Joly

C’est une annonce de British Airways, la compagnie nationale britannique : ses nouveaux uniformes pour le personnel naviguant intègrent désormais le hijab et la « tunique » à côté des robes et pantalons. Ainsi, « les hôtesses de l’air pourront aussi choisir de porter une combinaison ou un pantalon plutôt qu’une jupe ou une robe ».

Si donc, demain, vous envolant vers quelque lointaine villégiature, vous êtes accueilli à l’embarquement par un gros barbu en jupette coiffé d’un hijab, ne soyez pas étonné. Ce n’est que le résultat de la politique résolument « inclusive » qui prévaut désormais dans les compagnies européennes.

Il est en effet bien loin, le temps de ma jeunesse où Dutronc chantait :
« Toute ma vie, j'ai rêvé d'être une hôtesse de l'air.
Toute ma vie, j'ai rêvé de voir le bas d'en haut.
Tout ma vie, j'ai rêvé d'avoir des talons hauts.
Toute ma vie, j'ai rêvé… d'avoir, d'avoir… les fesses en l'air. »

Fini les talons hauts, les jolis tailleurs et les costumes élégants. La révolution du wokisme sévit aussi dans les nuages et, depuis quelques années, on dégenre à tout va.

Pionniers en la matière, les Canadiens. En 2017, rapporte Le Figaro, la compagnie WestJet décidait d’offrir à son personnel des uniformes « qui prennent en compte deux critères majeurs : la sécurité et l'inclusivité ». Comprenez par « sécurité » des tenues qui ne donnent pas envie aux mâles blancs cisgenre de mettre la main aux fesses des hôtesses car « longtemps, nous disait-on, l'uniforme des hôtesses de l'air a nourri des fantasmes malvenus. Une situation problématique engendrée par certaines compagnies aériennes qui voulaient imposer des tenues "sexy" à leurs salariées. » MeToo étant passé par là, de même que « le questionnement sur le genre », WestJet a opté pour l’uniforme informe bleu canard, histoire de « faire en sorte que ces bleus de travail soient au plus proche des besoins des salariés. Ces derniers s'adaptent ainsi à toutes les expressions de genre, mais aussi toutes les morphologies. Ils sont, par exemple, mieux ajustés pour les personnes de forte corpulence. »

Sans aller jusque-là, Air France a choisi pour sa filiale Joon des vêtements très « millenials » : marinières, doudounes et baskets. Soit aux antipodes de ce qui fit autrefois le renom de la compagnie française, réputée dans le monde entier pour l’élégance de son personnel. Il faut dire que, jusqu’en 2005, la maison a fait appel aux grands noms de la haute couture car les hôtesses se devaient d’être jolies, souriantes et « féminines ». Des critères aujourd’hui honnis. Ont ainsi travaillé à la renommée des hôtesses françaises les maisons Dior, Balenciaga, Jean Patou, Carven, Nina Ricci, Grès, Louis Féraud et, finalement, Christian Lacroix en 2005.

Et puis les compagnies anglo-saxonnes ont fait souffler les vents de la révolution en lançant la mode « des uniformes inclusifs asexués ». La compagnie de Richard Branson est allée plus loin : « Chez Virgin Atlantic, nous pensons que tout le monde peut conquérir le monde, peu importe qui il est. […]. C’est pour cette raison que nous voulons permettre à nos employés de porter l’uniforme qui leur convient le mieux et comment ils s’identifient (sic)… », a annoncé la direction. Et pour que chacun se sente à l’aise, la compagnie distribue maintenant aux passagers qui le souhaitent « des badges de "pronoms complémentaires" différents de leur état civil qu’ils peuvent porter à bord ». De même, « les détenteurs de passeports avec des marqueurs de genre "X" » peuvent réserver des vols « en utilisant une option autre que masculine ou féminine ».

Nous voilà donc à l’étape suivante : les hôtesses en hijab et demain, sans doute, sous l’abaya…

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Dimanche 22 janvier : la Marche pour la Vie à Paris

10 Janvier 2023, 07:07am

Publié par Thomas Joly

Le Parti de la France y sera ! Le droit à la vie, de la conception à la mort naturelle, n'est pas négociable.

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Querelle Le Graët/Zidane

9 Janvier 2023, 11:41am

Publié par Thomas Joly

Querelle Le Graët/Zidane

La bisbille entre le vieux satrape socialiste à la tête de la Fédération Française de Football, Noël Le Graët, et l'agent du Qatar, le franco-algérien Zinedine Zidane, est purement anecdotique.

L'un briguait avec insistance - voire indécence - le poste de Didier Deschamps, l'autre s'accroche comme une moule à son rocher à la tête de la FFF où il règne sans partage. Mais tous deux n'ont aucune intention de rendre l'équipe de France aux Français ni de mettre un frein à la marchandisation du football.

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