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Le blog politique de Thomas JOLY

Journal de bord de Jean-Marie Le Pen - N°663

29 Mai 2022, 14:14pm

Publié par Thomas Joly

Sujets abordés : le gouvernement Borne, menace démographique et Grand Remplacement, l'affaire Damien Abad, Législatives : l'union à gauche et la désunion à droite, Biden qui menace la Chine, le burkini.

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Rodéo : l’indécence en roue arrière au Festival de Cannes

26 Mai 2022, 10:42am

Publié par Thomas Joly

Chaque année, le gratin culturel du progressisme se retrouve sur la Croisette pour ce qui est devenu l’incontournable rendez-vous du cinéma mondial : le Festival de Cannes. Chaque année sa petite provoc’. Cette édition 2022 du festival au tapis rouge nous a livré son lot de bonnes surprises progressistes. Irruption d’une Femen lors de la montée des marches, plaidoyer pour une Amérique plus inclusive par le réalisateur James Gray ou encore introduction de la « Queer Palm Lab », un appel à projet dédié uniquement aux LGBT… Parmi toutes ces joyeusetés cinématographiques, il en est une qui a particulièrement fait parler d’elle, il s’agit du film-documentaire Rodéo réalisé par Lola Quiveron, jeune réalisatrice homosexuelle qui ne cache pas son intention « d’effacer les stéréotypes de genre » dans ses films.

Rodéo : un plaidoyer pour l'illégalité et les rodéos sauvages

Rodéo raconte l'histoire d’une jeune femme, au « genre » « ni féminin ni masculin » et qui s’éprend d’une passion pour la « Bike Life », cette activité motorisée qui consiste à rouler très vite et à faire toutes sortes d’acrobaties au guidon d’une moto ou d’un scooter. Le tout, le plus souvent,> sur des voies publiques.

Sorte de plaidoyer pour l’illégalité et les rodéos sauvages, le film de Lola Quiveron incarne parfaitement la vision fantasmagorique qu’ont certains réalisateurs français de la banlieue et de la « street culture ». Ils ressuscitent la lutte des opprimés contre les oppresseurs, et la réalisatrice ne s’en cache pas. Dans une interview accordée à Konbini, Lola Quiveron explique qu'en France, « on parle de rodéos urbains ou sauvages, mais ce sont des imageries qui sont réactionnaires ». Elle ajoute : « Quand on cherche à faire du bruit, c’est qu’on veut être entendu. » Évidemment, tout le monde sait que ces bandes de jeunes qui roulent en motocross à 150 km/h et menacent la vie des passants ou des automobilistes français à chaque instant ne cherchent qu’à être « entendus ». Ce petit jeu très drôle a fait des morts innocents à Libercourt, Nantes, Amiens, Clermont-Ferrand, Toulouse...

L’affaire aurait pu en rester là. Après tout, qui s’étonne aujourd’hui de voir les princes et divas du cinéma mondial, tenants du progressisme le plus décomplexé, distribuer leurs cachetons de moraline à ceux qui veulent bien les gober ?

Mais Lola Quiveron insiste avec indécence, toujours dans cet entretien pour Konbini, accuse la police de « causer les accidents en prenant en chasse les bikers ». Ne vaudrait-il pas mieux les laisser faire ce qu’ils veulent ? Après tout, ils ont besoin d’être « entendus ». Ce n’est pas l’avis de Michel Thooris, délégué syndical à France Police-Policiers en colère, interrogé par Boulevard Voltaire : « C’est toute une profession qui est insultée, juge-t-il. Ces propos sont diffamants envers la police nationale. Ils sont également mensongers : je voudrais rappeler à cette réalisatrice que nous n’avons plus le droit de prendre en chasse les auteurs de rodéos sauvages. » Exaspéré, le policier ajoute : « On ne peut imputer ces morts à la police ; ce sont ces personnes qui décident de mettre leur vie en danger, mais aussi celles des autres. D’autant plus qu’ils sont rarement pilotes professionnels, ce sont eux et seulement eux qui décident de jouer avec la vie. »

Diffamantes et trompeuses, les paroles de la réalisatrice Lola Quiveron n’ont, finalement, rien de vraiment disruptif. Depuis quelques années déjà, le Festival de Cannes se politise et fait la part belle aux provocations venues de la gauche. Cette année, nos policiers en auront donc fait les frais, dans un silence assourdissant des pouvoirs publics. Alors que l’actuel climat d’insécurité en France fait peser une menace toujours plus lourde sur les forces de l’ordre et sur les Français, Gérald Darmanin n’a pas eu un seul mot pour ceux que cette réalisatrice accuse d’être des meurtriers.

Geoffroy Antoine

Source : http://bvoltaire.fr

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Damien Abad explose les barrières du handicap

25 Mai 2022, 15:32pm

Publié par Thomas Joly

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La méthanisation, la nouvelle escroquerie écolo

25 Mai 2022, 06:17am

Publié par Thomas Joly

La méthanisation, la nouvelle escroquerie écolo

Peu de gens savent ce qu’est la méthanisation. Et pour cause, ces structures ne sont construites qu’à la campagne, loin des villes.

La méthanisation leur est présentée comme le moyen de produire du gaz « bio », ce qui préserverait notre dépendance vis à vis de l’étranger.

Ce gaz « bio » est produit à partir de déchets, notamment les déjections animales, ce serait donc écologique et vertueux.

Enfin, la méthanisation est présentée comme une solution mise en œuvre « à la ferme », assurant un petit complément de revenu aux agriculteurs qui souffrent tant des prix reçus pour leurs productions.

Au final, la méthanisation n’aurait que des avantages.

Mais la réalité est bien différente.

L’auteur de cet ouvrage a été confronté à la tentative d’installation d’une structure de méthanisation proche de son domicile en Bretagne.

Il s’est opposé à ce projet avec des centaines d’habitants de son bourg.

Ce livre explique d’abord ce qu’est la méthanisation, ses dangers pour l’environnement et les populations, ainsi que sur le plan économique.

Il démontre aussi que la méthanisation, qui est l’un des piliers des « énergies renouvelables » n’est qu’une escroquerie sur tous les plans.

Il constitue aussi un guide pour l’action à destination de ceux qui souhaitent s’opposer.

À lire d’urgence … si vous ne voulez pas être victime de cette nouvelle escroquerie écologique.

Pour le commander, cliquez ici.

Bernard Germain est également engagé en politique puisqu'il est candidat pour Reconquête dans dans la 5e circonscription des Côtes-d’Armor (Lannion-Paimpol).

 

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Top Gun 2 : les Américains sont-ils les seuls à faire de grands films patriotes ?

25 Mai 2022, 06:08am

Publié par Thomas Joly

La semaine dernière, Tom Cruise est venu sur la Croisette pour présenter Top Gun : Maverick devant des festivaliers éblouis. 36 ans après le premier volet, l'acteur américain, au sommet de sa forme, reprend la combinaison de vol de Maverick, ce pilote qui sert "Ouais, M'dame ! Dans l'aéronavale !", avec talent et énergie. La presse française s'est extasiée sur la jeunesse intacte du sexagénaire. Ce n'était pourtant pas le fait le plus remarquable de cette sortie.

Non, derrière les cascades et les scènes d'action à couper le souffle, ce qui est le plus surprenant, c'est que les États-Unis puissent encore produire, en 2022 et avec une véritable sincérité au premier degré, des films patriotiques. En France, nos modestes tentatives se sont soldées par des échecs. Forces spéciales ? Un navet. Le chant du loup ? Un manque criant de réalisme, même pour des non initiés : les sous-mariniers tirent-ils vraiment au lance-roquettes depuis le kiosque de leur bâtiment ? Des années plus tôt, nous ne savions que tourner en ridicule nos armées : La 7e compagnie, Les Charlots...

Tout n'est pas parfait, loin s'en faut, au pays de l'oncle Sam. Pas d'histoire, pas de culture, pas de remise en question, un goût prononcé pour le massacre des opposants au rêve yankee (Indiens, Sudistes, Vietnamiens, Afghans, Irakiens... et jusqu'aux bisons !) ; une habitude de violer les lois internationales tout en s'indignant contre ceux qui font de même... Cependant, on ne peut pas enlever aux Américains une admiration réelle et unanimement partagée pour l'engagement de leurs forces armées. Top Gun en est la nouvelle démonstration. Nous, vieux pays blasé qui tourne en dérision les grandes choses, avons perdu cette capacité d'émerveillement. Cela semble peut-être nauséabond aux instances culturelles de notre pays. Allez savoir.

Terminons sur un détail pas si anodin : vous avez vu que Kylian Mbappé employait l'expression "il ne faut pas sortir de Saint-Cyr..." pour signifier qu'on n'avait pas besoin d'être très intelligent pour comprendre telle chose ? C'est amusant. C'est très français. Le joueur vedette sait-il quelle est l'origine de cette expression ? Cela dit assez, en creux, à quel point le langage courant porte encore la trace discrète d'une réelle admiration pour l'engagement de nos forces armées. Il y a, c'est certain, un public pour des récits patriotiques français. Et des Schoendorffer, y en a-t-il ?

Arnaud Florac

Source : http://bvoltaire.fr

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Le Forum du PdF - Vendredi 27 mai à 21h

24 Mai 2022, 16:50pm

Publié par Thomas Joly

Le Forum du PdF - Vendredi 27 mai à 21h

Dans le prochain Forum du PdF, Alexandre Hinger reçoit Alain de Peretti (Président de Vigilance Halal), Guillaume Aguillé (Secrétaire général-adjoint du Parti de la France) et Océane (mannequin).

L'émission aura pour thème « la protection animale dans notre société afro-islamisée ».

C'est - exceptionnellement - vendredi à 21h et c'est sur Telegram : https://t.me/partidelafrance

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L’enfer du confinement chinois

24 Mai 2022, 06:12am

Publié par Thomas Joly

Aucun écrivain de science-fiction dystopique n'aurait imaginé tomber aussi juste. Les témoignages que publie Le Parisien, ce dimanche 22 mai, glacent le sang, et ce n'est pas une métaphore abusive. Le journal s'est rendu à Roissy, à l'arrivée d'un vol en provenance de Shanghaï. Accueillis avec une émotion comparable à celle de la fin d'une prise d'otages ou d'une longue détention, les expatriés racontent ce qui pourrait bien devenir notre quotidien un de ces jours.

Harcelés par des drones qui leur diffusaient en permanence, dans les airs, le message « Restez chez vous », réveillés au petit matin par des tests PCR obligatoires, interdits de sortie au point que les ascenseurs avaient été murés, les Français qui ont pu quitter la Chine, au prix de multiples contrôles, ont bien failli devenir fous. Les règles, ajustées quartier par quartier, ont elles aussi flirté avec la folie, comme il convient dans un régime totalitaire.

La Chine de Mao massacrait les oiseaux, celle de Xi Jinping interdit, quand bon lui semble, les livraisons de nourriture. Les habitants des quartiers confinés, affamés, hurlaient dans leur appartement transformé en prison. Lorsqu'un cas positif était détecté dans un immeuble, la police chinoise embarquait tout le monde dans un centre de rétention.

Ces centres, qui ont été documentés par d'autres articles, sont une préfiguration du purgatoire : masque 24 heures/24, même pour dormir ; éclairage permanent ; dortoirs à perte de vue, sans la moindre intimité ; tests PCR réguliers... À quoi bon, nous demandons-nous, avec cette bienheureuse nonchalance méditerranéenne qui ne nous a pas encore quittés. Le Covid n'est pas la peste noire. Les masques en extérieur ne servent pas à grand-chose. Les vaccins ne durent pas longtemps et ne protègent, nous dit-on, que des formes graves.

Le spectacle que nous a offert notre pays, ces deux dernières années, laisse la porte ouverte à de telles dérives et n'est guère à notre honneur : auto-attestations, dénonciations, agents zélés de la SNCF, slogans infantilisants... la seule différence entre nous et la Chine ne résiderait-elle pas dans le degré de professionnalisme ? Nous manquons de pratique et de volontarisme dans l'asservissement de la population, mais notre gouvernement a prouvé qu'il ne manquait pas de motivation.

Il faut lire cet article, ainsi que ceux qui parlent de « conseils amicaux » diffusés par mégaphone dans les rues de Shanghaï ou de menaces de dégradation du passe sanitaire : en Chine, le refus de test ou de dose supplémentaire ferme l'accès à certains droits. Ce qui nous sauvera, c'est peut-être l'amateurisme anarchique de notre administration. Ah si, aussi : l'esprit « Gaulois réfractaire ». Vous y croyez encore ?

Arnaud Florac

Source : http://bvoltaire.fr

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Dans le football français, le Grand Remplacement est déjà une réalité

24 Mai 2022, 05:56am

Publié par Thomas Joly

Samedi soir, le championnat de France a livré son verdict : champion le PSG, dauphin l'Olympique de Marseille et troisième l'AS Monaco. Un podium 100 %... étranger !

Le PSG est la propriété de l'émir du Qatar qui en a confié la présidence à son compatriote Nasser Al-Khelaïfi. Le directeur sportif est le Brésilien Leonardo et l'entraîneur l'Argentin Mauricio Pochettino. À Marseille, propriété de l'Américain Frank McCourt, la présidence déléguée est assurée par l'Espagnol Pablo Longoria, qui a recruté le coach argentin Jorge Sampaoli. Monaco appartient au Russe Dmitri Rybolovlev et le club est dirigé par deux vice-présidents, le Russe Oleg Petrov et l'Uruguayen Juan Sartori, qui ont nommé comme entraîneur le Belge Philippe Clement. Dans notre football, le français n'a même plus droit à la parole. Lors des conférences de presse, les entraîneurs Pochettino et Sampaoli s'expriment exclusivement en espagnol, et pour pouvoir exercer leur métier et rédiger leurs articles, les journalistes français ont besoin d'un interprète !

Si, à la tête des clubs, les étrangers ont pris le pouvoir, sur le terrain, c'est la même musique. Les joueurs français, pour la plupart de jeunes footballeurs issus de l'immigration souvent condamnés au rôle de remplaçants, sont devenus une minorité. Les statistiques (consultables sur les sites des clubs concernés) de la saison 2021/2022 en témoignent.

À Marseille, sur un effectif de 36 joueurs, on compte 21 étrangers, soit un pourcentage majoritaire de 58,3 %.
À Monaco, sur un effectif de 26 joueurs, il y a 16 étrangers, soit 61,5 %. Au PSG, le taux dépasse les 65 % ; sur un effectif de 32 joueurs, on compte seulement 11 Français (et encore, seuls deux sont des titulaires indiscutables sur le terrain, Kimpembe et M'Bappé) pour 21 étrangers : 3 Italiens, 3 Espagnols, 1 Costaricien, 1 Marocain, 2 Portugais, 4 Argentins, 1 Sénégalais, 2 Allemands, 2 Néerlandais, 2 Brésiliens...

Au PSG, il faut parler anglais et espagnol.

Conséquence : dans le vestiaire parisien, on ne parle plus français ! Cette saison, sous le titre « Paris, Détours de Babel », le quotidien sportif L'Équipe (2/11/2021) a d'ailleurs consacré un article à ce sujet, où l'on apprend que les étrangers du PSG, « s'ils comprennent le français dans leur majorité, joueurs et staff parisiens préfèrent le plus souvent s'exprimer dans d'autres langues, par réflexe et par facilité ». Exit le français, les langues les plus parlées sont l'espagnol, l'anglais, le portugais et l'italien. L'entraîneur donne d'ailleurs ses consignes uniquement « en espagnol ou en anglais ». Quant aux joueurs francophones, ils sont contraints de faire « l'effort de s'exprimer en espagnol ou en anglais » ! Toujours dans L'Équipe (30/10/2021), le Français Arnaud Kalimuendo, ancien espoir du PSG parti jouer au RC Lens, expliquait pourquoi il se sentait mieux dans le club du Pas-de-Calais : « Il y a moins la barrière de la langue. C'est plus francophone, ça aide. Paris, c'est un grand club, [mais] il faut parler anglais et espagnol. »

Voilà, charbonnier n'est plus maître chez soi. Le football français n'est pas à vendre, il est déjà vendu. La LFP (Ligue de football professionnel), qui organise le championnat de France (sponsorisé par la société américaine Uber Eats), vient ainsi de confier la gestion de sa filiale commerciale à CVC Partners Capital, un fonds d'investissement basé au Luxembourg.

Olivier Annichini

Source : http://bvoltaire.fr

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Inflation, stagflation : que faire ?

23 Mai 2022, 06:33am

Publié par Thomas Joly

Un nouveau gouvernement a été constitué récemment. Ses priorités concernent l’éducation, la santé, l’écologie et la construction européenne. Des promesses électorales ont été faites durant la campagne présidentielle. Mais ces promesses pourraient être contrariées par une inflation de plus en plus forte qui obligera les Français à réduire leur consommation ou à piocher dans leur épargne. L’inflation pourrait bientôt devenir le problème n° 1 du gouvernement.

L’État français s’est endetté, ces dernières années, afin de lutter contre les effets de la pandémie. Le laxisme budgétaire assumé s’est traduit par le « quoi qu’il en coûte ». Aujourd’hui, la dette publique représente 113 % du PIB, contre 98 % en 2017. Le niveau de cette dette atteint au moins 2.800 milliards d’euros. Cette politique est logique quand les taux d’intérêt sont nuls ou négatifs pour les États emprunteurs. Mais cette période exceptionnelle touche à sa fin.

Une poussée inflationniste est anticipée en raison des plans de relance en Europe et aux États-Unis ayant pour conséquence d’augmenter la masse monétaire en circulation. Les banques centrales continuent d’injecter de la monnaie dans les circuits économiques. Cette politique de création monétaire contribue à la hausse des prix. Ainsi, les banques centrales obligent les banques à payer des intérêts sur leurs excédents de liquidité. Les banques commerciales préfèrent alors prêter à moyen ou long terme à leurs clients pour percevoir des intérêts.

La guerre en Ukraine a d’ores et déjà un impact sur le prix du blé car ce pays est un grand exportateur de blé. De même, les sanctions contre la Russie pourraient encore faire monter les prix du gaz et du pétrole car elle est un important fournisseur pour l’Europe. Les États-Unis proposent leur gaz, mais il serait à un prix plus élevé car il faudrait le liquéfier et l’acheminer par méthaniers depuis l’Amérique. Le coût de l’énergie risque donc de flamber prochainement. La situation risque de devenir explosive pour le gouvernement français, quand on se souvient que la révolte des gilets jaunes avait commencé à cause d’une hausse de prix du gazole.

Un relèvement des taux d’intérêt est prévu par la Banque centrale européenne pour contenir l’inflation. Le renchérissement des taux d’intérêt contribuera à réduire les investissements et l’activité économique. Une période de stagflation (stagnation + inflation) est certainement devant nous. Dans ces conditions, on peut recommander d’acheter de l’or, car il s’agit d’une valeur refuge. Le prix des pièces d’or devrait augmenter dans la même proportion que l’inflation.

Jean-Luc Tari

Source : http://bvoltaire.fr

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Ma réponse à Henry de Lesquen

23 Mai 2022, 06:27am

Publié par Thomas Joly

Comme une instagrameuse en manque d'attention, l'ineffable Henry de Lesquen tente de « clasher » le Parti de la France en raillant le fait que nous n'avons pas obtenu d'investiture pour les Législatives chez Reconquête mais que nous avons choisi de soutenir quand même, dans l'intérêt national, tous leurs candidats.

Rappelons à cette vieille baderne que nous n'avons rien réclamé ni demandé pour notre soutien à la candidature d'Éric Zemmour, nous ne sommes ni des boutiquiers ni des mendiants. Nous déplorons seulement que les candidats membres du PdF et de Reconquête ont été écartés des investitures aux Législatives (même si certains sont passés entre les mailles du filet !)

Rappelons tout de même la lucidité politique de ce bourgeois sénile qui, par antisémitisme maladif, a commencé par soutenir à la Présidentielle Valérie Pécresse - dont il a trouvé les prestations brillantes - pour finir par porter aux nues Marine Le Pen qu'il conspue pourtant depuis plus de 10 ans.

Rappelons également que ce vieux héron décati, qui se permet de faire la leçon au Parti de la France, est à la tête d'un parti politique fantomatique qui n'a jamais été en mesure de ne présenter ne serait-ce qu'un seul candidat à une élection locale.

Rappelons que lors du débat que nous avons fait le 23 octobre 2021, Henry de Lesquen s'est ridiculisé en affichant au grand jour ses névroses et son obsession anti-Zemmour totalement grotesque. Même ses propres troupes au Carrefour de l'Horloge m'ont félicité sur place d'avoir tenu tête à ce clown gâteux. Le lendemain, vexé comme un pou, il faisait d'ailleurs effacer des centaines de commentaires qui m'étaient favorables sous la vidéo youtube, ne conservant que ceux soutenant sa prestation pathétique... à 90 % maghrébins !

En manque d'audience, en mal de provocation, le vieil homme méchant crache ses derniers glaviots fielleux, voyant se rapprocher avec crainte la perspective d'une fin de vie en EHPAD où il se fera maltraiter par des aide-soignantes congoïdes qu'il insultera à longueur de journée entre deux changements de couche.

N'accordons pas plus d'importance à la déchéance de cette relique versaillaise qui est devenue sa propre caricature. La vieillesse est décidément un horrible naufrage pour certains...

Thomas JOLY

Le texte de Henry de Lesquen : https://t.me/lesquenPNL/569

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Dégringolade de la maison Disney : comme quoi la cancel culture peut coûter cher…

22 Mai 2022, 10:24am

Publié par Thomas Joly

Le 11 mai dernier, on pouvait lire, dans Le Figaro Économie, que le cours de Disney « a plongé de 32 % depuis le début de l'année », et « encore reculé de plus de 3 % mercredi soir […] après la clôture du New York Stock Exchange ». Conclusion de l’épisode : «  reste une des valeurs qui a le plus chuté en quatre mois, parmi les 30 actions représentées dans l'indice Dow Jones. » Cela, même si la fréquentation des parcs du même nom a repris avec le boom du tourisme post-Covid.

On apprend, aujourd’hui, que la cote de popularité de la grande maison est elle aussi sur la pente savonneuse. C’est ce qui ressort d’un sondage réalisé par Hart Research Associates/Public Opinion Strategies à la demande de NBC News auprès de 1.000 adultes interrogés du 5 au 10 mai. Soit une chute de 77 % à 33 % d’opinions favorables en un an.

Il faut dire que « plus “genrément” correct que Disney, tu meurs ! » La maison de Mickey se veut, en effet, en pointe dans la lutte contre les discriminations de tout poil. Aussi a-t-elle entrepris, dans cette optique, de revisiter tous les classiques ou presque qui ont enchanté notre enfance. Et s’ils ne le sont pas, ils sont interdits au visionnage des enfants sur Disney+ sans un consentement parental explicite.

Parmi les célébrités visées par les nouveaux gardiens de la vertu, citons :

Les Aristochats : désormais affublés d'un message de prévention et réservés aux profils adultes. La cause : un stéréotype envers les Asiatiques avec le chat siamois qui a les yeux bridés. Idem pour La Belle et le Clochard. Même sanction pour Peter Pan en raison de la façon dont les Peaux-Rouges sont représentés dans le film. Dans Dumbo, ce ne sont pas les grandes oreilles de l’éléphant qui posent problème mais une scène, devenue inregardable, où les corbeaux font caricaturalement référence à des Afro-Américains chantant le blues.

En mai 2021, une nouvelle polémique a touché Blanche neige et les sept nains, valeur sûre des parcs à thèmes qui s’est refait une jeunesse pour la réouverture post-Covid. Des travaux et de petites nouveautés ont été ajoutés sur certaines attractions, nous dit-on, notamment la scène mythique du baiser du prince venu dire adieu à Blanche-Neige, endormie par le poison de sa méchante belle-mère. Deux journalistes du San Francisco Chronicle s’en sont vivement indignées : comment Blanche-Neige peut-elle être consentante puisqu’elle dort ?

My body, my choice… Elles réclament une autre fin : « Ne sommes-nous pas d'accord pour dire que le consentement, dans les premiers films de Disney, est un problème majeur ? argumentent-elles. Ou qu'il faut apprendre aux enfants qu'embrasser, quand il n'a pas été établi que les deux parties ont la volonté de s'engager, ne se fait pas ? Il est difficile de comprendre pourquoi Disneyland, en 2021, fait le choix d'ajouter une scène aux idées si rétrogrades sur ce qu'un homme est autorisé à faire à une femme. » Etc.

Il faut que les petites filles aillent au bout de leurs rêves, a dit Mme Borne, mais pas question de rêver au prince charmant. On peut chanter « Nous entrerons dans la carrière » mais pas « Un jour, mon prince viendra ». C’est caca !

Problème : priver Blanche-Neige de son prince et introduire un Jedi transsexuel dans le prochain Star Wars risque de se révéler aussi très caca pour les actionnaires de Disney… Sans compter les démêlés de la firme avec Ron DeSantis, le sénateur républicain de Floride et sa loi baptisée « Don't Say Gay » par ses détracteurs démocrates. Destinée à encadrer l’enseignement scolaire, elle entend lutter contre « l'influence de la théorie du genre et de la théorie critique de la race ». Du côté de Disney, on prétend ne faire que répondre aux exigences des salariés (80.000 en Floride) par une politique propre à « satisfaire toutes les sensibilités, intérêts et préférences ».

Est-ce que ça satisfait le public ? On dirait bien que non.

Marie Delarue

Source : http://bvoltaire.fr

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Nice : Benoît Kandel, le candidat RN, diffuse publiquement l'adresse de Philippe Vardon et le met en danger avec sa famille

21 Mai 2022, 16:13pm

Publié par Thomas Joly

« Je vais sans doute devoir faire surveiller ma maison voire déménager », Philippe Vardon était encore très remonté au téléphone, en début d'après-midi, après avoir déposé plainte contre Benoît Kandel pour « divulgation d'une correspondance personnelle » et « mise en danger de la vie d'autrui ».

Adversaire et concurrent de Philippe Vardon dans la 3e circonscription des Alpes-Maritimes,- investi par le Rassemblement National -, Benoît Kandel a publié, sur les réseaux sociaux, le courrier d'exclusion du RN de Philippe Vardon. Sur cette lettre, on voit apparaitre l'adresse du domicile du conseiller municipal d'opposition de la Ville de Nice.

Benoît Kandel évoque une erreur. « Je m'excuse, on l'a corrigé. Je tiens à rappeler, néanmoins, que la campagne électorale se joue sur le terrain et non au tribunal », a-t-il réagit.

Source : http://francebleu.fr

 

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Nous y sommes : un transsexuel au concours Miss France

21 Mai 2022, 15:53pm

Publié par Thomas Joly

Ou quand la fiction devient réalité, puisque le scénario avait déjà été écrit en 2019 pour le film Miss. À cette occasion, Sylvie Tellier se prononçait, dans Le Parisien (27 octobre 2019) : « Si une jeune femme transsexuelle se présente à Miss France et que le public l'élit, on ne s'y opposera pas » - mais pas sûre que « les Français soient prêts à élire une jeune femme transsexuelle ». Mais ça, c’était avant : du temps du « vieux règlement de Geneviève de Fontenay ». Depuis trois ans, le rouleau compresseur de l’idéologie LGBT a si bien conditionné les esprits à la tolérance qu’ils sont fin prêts pour le droit à l’indifférence.

L’année dernière, Élisabeth Moreno, ministre de l'Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l'Égalité des chances, prenait la pose à côté de Louiz, Miss Trans, et tweetait : « Bâtissons ensemble une société plus inclusive. » Le 29 septembre, Jean-Michel Blanquer publiait sa circulaire Pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l'identité de genre en milieu scolaire. En novembre 2021, TF1 diffusait en prime time le téléfilm Il est elle. Le 15 décembre, sur Sud Radio, Alexia Laroche-Joubert, la nouvelle présidente de la Société Miss France, annonçait : « S'il y a des transsexuelles qui ont cheminé vers le féminin et qui ont une carte d'identité féminine, il n'y a aucun problème. Il n'y a aucun souci. » Et le 31 janvier 2022, la loi était votée, inscrivant dans le Code pénal l’infraction qui punit « les pratiques, les comportements ou les propos répétés visant à modifier ou à réprimer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre, vraie ou supposée, d’une personne et ayant pour effet une altération de sa santé physique ou mentale ».

Face à cette succession de faits, la voie était libre pour Alexandre « Andréa » Furet, qui n’est autre que l’héroïne du téléfilm Il est elle, et qui avait déjà annoncé au JDD, en novembre dernier : « Ce serait bien d’avoir une femme trans à Miss France. Je tenterai… » Le comédien de 19 ans avait reçu le prix d'interprétation féminine pour ce rôle au Festival des créations télévisuelles de Luchon en 2021, et participe également à la saison 2 de La faute à Rousseau, sur . Du haut de son 1,80m, il sera donc le premier candidat trans du concours centenaire. Il témoigne avoir eu le déclic vers 14-15 ans en tombant sur le mot « transidentité ». À 17 ans, il annonce son coming out à ses parents et suit un traitement hormonal qui développe poitrine, hanches et affine les traits du visage. Évidemment, il entend porter « un message de tolérance » et on l'imagine assez bien au micro du concours Miss France. Pour le moment, André Furet est sélectionné pour participer à la finale de Miss Paris 2022 qui aura lieu le 19 juin. S'il remporte l’élection parisienne, il devra encore remporter celle de Miss Île-de-France pour pouvoir postuler au titre national.

Une question demeure au vue des ces avancées sociétales, additionnées au « progrès social » que représente la burqa de bain et la bioéconomie qui marchandise ovules, embryons et cellules souches : quelle vision de la femme voulons-nous pour demain ?

Iris Bridier

Source : http://bvoltaire.fr

 

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Celui qui appelait à décapiter Christine Kelly est… un antifa

21 Mai 2022, 12:42pm

Publié par Thomas Joly

Le 18 novembre 2021, la journaliste Christine Kelly, qui anime « Face à l’info » sur CNews, évoque un message personnel dont elle est la cible : « Le couperet tombera immanquablement sur votre tête bien faite. La guillotine médiatique est en marche. » D’autres qu’elle auraient hurlé au racisme systémique et à la misogynie d’État. Mais pas la reine Christine, qui se contente de tweeter en retour : « La volonté de me voir décapitée, la détermination de me l’envoyer par mail ne changera rien aux idées des uns et des autres. Chacun reste libre. Avec ou sans moi. »

S’ouvrira bientôt le procès de l’apprenti coupeur de têtes, rapidement identifié par les forces de l’ordre. De qui s’agit-il ? D’un militant antifa, informaticien de métier, répondant au nom de Patrick B. et se définissant comme « militant antiraciste ». Petit détail : Patrick B. est camerounais. Comme quoi le racisme a le don de partout se nicher.

Il va sans dire que cette affaire n’a guère ébranlé le microcosme politico-médiatique. Et on imagine sans peine que si les rôles avaient été inversés, qu’un militant du Rassemblement national avait menacé une Rokhaya Diallo du même sort, la mobilisation humaniste aurait causé un peu plus de bruit. Au-delà de la sempiternelle question du deux poids deux mesures, argument certes pertinent, mais jusqu’à la corde usé, il paraît autrement plus intéressant de se poser quelques menues questions sur le féminisme antiraciste d’une mouvance si portée à la déconstruction du réel qu’elle en parvient à déconstruire son propre discours.

Tant qu’à faire, on remarquera que ceux qui tiennent la nomination d’Élisabeth Borne à Matignon pour une victoire de cette même cause féministe sont les mêmes à avoir fait barrage à une autre femme, Marine Le Pen, afin de l’empêcher d’accéder à l’Élysée.

Au fait, pourquoi ne pas laisser le mot de la fin à Christine Kelly qui, dans son dernier ouvrage, Libertés sans expression, affirme : « Nous sommes à l’heure où l’inversion des valeurs abîme la société : se trouvent paradoxalement menacés ceux qui sont des remparts contre les différentes formes de censure. Et si l’on ne peut ni convertir la bêtise en intelligence, ni interrompre ce désastre sous-estimé que sont les nouveaux intégrismes, au moins peut-on encore écrire des livres… »

Voilà qui est intelligemment et joliment dit. Vive Christine Kelly !

Nicolas Gauthier

Source : http://bvoltaire.fr

 

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