Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog politique de Thomas JOLY

Compte-rendu du procès de Daniel Conversano

30 Mai 2018, 06:25am

Publié par Thomas Joly

La salle de la 17e chambre correctionnelle était comble dans ce palais de Justice flambant neuf, le 23 mai, où même les magistrats s’égarent dans des couloirs où la notion d’économie d’énergie semble n’être qu’un concept abscons, où des devises bien républicaines de fraternité et de droits de l’Homme vous sautent au visage au passage à la fouille. Les amis de l’accusé Daniel Conversano avaient répondu présent à son appel à le soutenir.

Par chance, son affaire a été la première à être traitée avec une entrée en matière annonçant la tonalité : « victime : la Licra ». Cela commençait mal !

Ladite Licra n’avait d’ailleurs pas jugé utile de dépêcher quelqu’un pour la représenter.

Daniel debout à la barre, ignorant les usages de la cour, a commencé à s’exprimer avant d’être sèchement coupé dans son élan par la Présidente au visage encadré par de longs cheveux gris qui s’est aussitôt lancée dans la lecture des faits reprochés, à savoir des propos tirés de plusieurs vidéos faites sur la défunte chaîne Dany Hebdo dans laquelle Daniel endossait le rôle d’un dictateur introduisant ses réflexions par un décoiffant « salut les nazis ! » de même saveur caustique que les propos retenus contre lui.

Bien entendu, si le premier degré peut faire trembler des babtous fragiles, le second degré ne peut que faire ricaner une jeunesse qui n’en peut plus, en ces temps de tonitruantes commémorations de mai 68, d’être née à l’ère de l’interdit d’autoriser.

Parmi les propos dont la Licra serait supposée être la victime, il était question en vrac de pieds qui puent, de grosses narines d’Africains, de régime autoritaire, de s’être fait baiser, de grosse femme qui prend de la place, d’islamisation insupportable, d’immigration débordante, d’entrer dans le IIIe Reich, de non blancs, de mosquée cachère, et j’en passe.

Quelques rires étouffés dans l’assistance ont accueilli certains de ces propos, valant un recadrage sévère de la Présidente : « on n’est pas au cirque ici ! ».

Daniel a défendu son cas : sa jeunesse fougueuse d’ancien gauchiste découvrant quelques réalités intenables, ses aspirations artistiques plutôt que politiques, l’hostilité de la civilisation musulmane, l’attentat contre Charlie Hebdo qui l’a beaucoup touché en raison de l’incapacité de la culture islamique à s’adapter à notre culture et à notre attachement viscéral à la liberté d’opinion et d’expression. Car l’attentat contre Charlie, si les attentats qui ont suivi ont donné raison à ceux qui se méfient de l’idéologie islamique, est le seul, par le but visé et largement atteint, à avoir instauré durablement le délit de blasphème.

Daniel a changé, il a mûri, s’est beaucoup remis en question, a compris que trop d’excès langagiers nuisaient à son message. Il est devenu papa aussi, c’est aujourd’hui un trentenaire, un amorti, un père de famille, un personnage estimé si ce n’est par ses propos, au moins par le capital sympathie qu’il dégage. C'est un doux Daniel, un vrai gentil. Il le répètera à plusieurs reprises devant ses juges quelque peu dubitatifs.

La Présidente lui a rappelé que les pamphlets n’avaient pas à dépasser certaines limites, surtout s’ils sont publics. Puis le procureur s’est levé pour prendre la parole.

Ignorant les justifications que venait d’émettre Daniel, il lui a demandé si sa remise en question était la conséquence des coups que lui avait asséné Soral. On se demandait bien ce que Soral venait faire au milieu de cette galère déjà pénible. Sans doute le procureur a t-il voulu gratuitement humilier Daniel en lui rappelant ce triste fait, à moins qu’il ne soit lui-même soralien… sait-on jamais.

Daniel a réitéré ses explications, ajoutant que s’il estime l’islam dangereux il ne s’en prend cependant pas à cette idéologie de manière frontale et n’a jamais appelé à attaquer des mosquées ou des musulmans. Tout au plus exprime-t-il de manière légitime son inquiétude à voir les musulmans prendre le pouvoir en France, ce qui d’ailleurs est déjà le cas dans nombre de nos quartiers.

La Présidente, peu convaincue par son acte de contrition et par le fait qu’il ne tiendrait plus les mêmes propos que dans ses anciennes vidéos, lui a alors lâché un cinglant « c'est juste la forme qui change, le fond est là ».

Là encore, Daniel a insisté sur le côté caricatural de ce dictateur qu’il incarnait alors, ajoutant que face à un tel désordre dans notre pays ce personnage conversanien aurait pu rêver de partir vivre en Corée du Nord, pays où l’ordre règne, alors que dans la vraie vie Conversano n’envisagerait même pas d’y aller en simple touriste.

Décidément cassant, le procureur a sorti les banderilles, parlant de « propos abjects » tenus par un « soi-disant artiste », lesquels auraient même mérité « la prison avec sursis ». Le regret était palpable. Rebondissant sur le fait que Daniel ait évoqué la possibilité de partir enseigner le Français en Roumanie, il a dit craindre que notre ami ait en charge une classe de petits enfants innocents à qui il pourrait apprendre à devenir des sales fachos comme lui, qualifiant Daniel « d’extrêmement toxique ». On présume que ceci ne relève pas de la diffamation…

Enfin, l’autre vedette de la journée a débuté sa plaidoirie. Nicolas Gardères qu’on ne présente plus, la tête à claques préférée des spectateurs de Bistro Libertés, a tout donné dans la défense d’un accusé dont il ne partage pas une once des nauséabondes idées. L’exercice n’en était que plus méritoire et il s’y est prêté avec talent, quitte à user pour cela d’un mépris appuyé envers le milieu conversanien, mais comme le rappelait Daniel dans la vidéo d’annonce du procès : on fait profil bas et on encaisse les coups en silence, on relèvera la tête ensuite.

Me Gardères a rappelé que l’allusion au Reich dans la vidéo était chantée, qui plus est sur l’air du Temps des Cathédrales, ce qui lui donnait une résonance loufoque assez peu compatible en réalité avec les jeunesses hitlériennes. Le personnage de Conversano n’était qu’un trublion, un amuseur de jeunes branleurs hilares, une distraction de pauvres, d’Intouchables appartenant à ce monde de perdition qu’est la « fachotarcie », cette communauté étrange où les gueux édentés, les Jacouilles, rigolent stupidement de blagues racistes, un monde d’en bas aux antipodes de la si exemplaire caste bourgeoise avec ses si honorables magistrats du Mur des Cons qui, eux, du haut de leur élévation morale, avaient le bon goût de n’insulter que des blancs.

« C’est Jamel Debbouze, Conversano ! », s’est exclamé Gardères sous les gloussements de l’assistance, « c’est un clochard, Conversano ! ». Jurant ses grands dieux que Daniel ne torturerait pas de petits enfants roumains, il a ajouté que c’était juste un clown qui aimait se déguiser en Janis Joplin et en Françoise Sagan, un pauvre clown qui crachait et vomissait sur tout le monde.

Gardères nous a vendu du rêve…

Soulevant la question fatidique des « grosses narines » des noirs, il a rappelé que Michel Leeb en avait bien avant lui fait un sujet de sketchs sans qu’à l’époque il lui en coûte, que c’était une blague de beauf parce que Daniel « c’est un beauf, un frustré, un loser qui fait des blagues marrantes pour amuser ses potes, des bouffonneries ».

Il a tout donné dans l’arrogance, Nicolas, tout ! Il fallait insister sur le fait que Daniel et ses amis sont des personnes de basse extraction au QI aussi vide que le portefeuille. Le mépris de classe, une stratégie éminemment vexante mais momentanément nécessaire pour attendrir les juges. Durant tout ce temps, Daniel gardait un visage impassible qui accusait le coup, attendant avec fatalisme que l’orage passe.

Le meilleur restait pour la fin, lorsque Gardères a rebondi sur le terme de « non blancs », rappelant que l’expression était employée avec bien peu d’affection par les Indigènes de la République, soulignant que même Macron avait évoqué ces derniers jours les « mâles blancs ». Il a ajouté que c’était tout le discours actuel qui devenait racialisé par des Houria Bouteldja et des Rokhaya Diallo mais que c’était au seul Conversano qu’on venait en faire grief. « Je ne dirai pas qu’il est d’utilité publique mais il fait partie de son époque », puis désignant la salle, les amis de Daniel, il a conclu « c’est des petits blancs pauvres qui sont là, regardez-les, c’est pas des crânes rasés ».

Pour la conclusion, Daniel a repris la parole, se laissant sans doute un peu déborder du sujet au risque peut-être de rompre la portée de la plaidoirie de son avocat. Mais désarmant de bonne foi Daniel a de nouveau exprimé son inquiétude face à l’islamisation de notre pays et à la perte de plus en plus fracassante de notre libre arbitre, de notre pensée libre, de nos propos autorisés. « Je suis très attaché à ma liberté et je ne retrouve plus cette liberté », illustrant son propos par le fait qu’il se soit abonné à la chaîne de l’INA pour pouvoir voir d’anciennes émissions où la liberté de penser et de s’exprimer voulait encore dire quelque chose.

Ses derniers mots ont été des plus touchants : « Pourrons-nous dire dans vingt ans ce qu’on pouvait dire il y a vingt ans ? Si je projette de vivre en Roumanie c’est parce là-bas un artiste ou un intellectuel roumain ne serait pas poursuivi pour ces mêmes propos, que je suis inquiet pour ma fille parce qu’il y a une insécurité et que cette insécurité n’est pas un sentiment ».

Le délibéré aura lieu le 27 juin prochain.

Caroline Alamachère

Source : http://la-vache-retournee.over-blog.com

Voir les commentaires

Attaque terroriste à Liège : un islamiste abat 3 personnes dont 2 policiers

29 Mai 2018, 11:57am

Publié par Thomas Joly

Le bilan est lourd : en plus de l'assaillant, deux policiers et le passager d'une voiture qui circulait dans le quartier ont été tués. On dénombre également deux autres blessés.

L'acte terroriste est privilégié. 

Une fusillade suivie d'une prise d'otage

Les faits se sont déroulés vers 10h à hauteur du café des Augustins à Liège. Après avoir tiré sur les policiers, l'homme s'est réfugié dans l'enceinte de l'athénée Léonie de Waha, où il a pris une femme de ménage en otage.

L'individu a hurlé à plusieurs reprises : « Allah Akbar ! »

L'ordure islamiste a été finalement abattue. Il s'agirait d'un Belge converti à l'Islam qui était sorti de prison pas plus tard qu'hier !

Source : https://www.rtbf.be/info/regions/detail_fusillade-sur-le-boulevard-d-avroy-a-liege-une-femme-prise-en-otage?id=9930608

Voir les commentaires

Ces citoyens « de seconde zone » qui ont sauvé des vies dans l’indifférence des pouvoirs publics en 2018

29 Mai 2018, 06:51am

Publié par Thomas Joly

Serge Dassault est sans doute mort au mauvais moment. Le 28 mai 2018,  la classe politique et médiatique n’avait en effet qu’un seul nom en tête : celle de Mamoudou Gassama, cet immigré entré clandestinement en France (il n’a jamais fait de demande d’asile) et qui a fait preuve d’un grand courage samedi 26 mai pour sauver un enfant qui menaçait de tomber dans le vide, à Montreuil.

Invité par le président de la République en toute urgence, promis à l’acquisition de la nationalité française – et à une possible carrière de pompier à Paris – voici donc un nouvel « héros de la République » qui tombe à pic, alors que la population française semble jour après jour de plus en plus réticente au phénomène d’immigration incontrôlée que connait le pays.

Cette affaire donne l’occasion de se pencher sur le cas de tous ces citoyens qui ont sauvé des vies, ne serait-ce qu’en 2018, et qui n’ont pas eu les honneurs et la mobilisation générale de la caste politique et médiatique. Des citoyens « de seconde zone » en quelque sorte, dans une République que seul « l’autre » –  c’est à dire tout sauf le « mâle blanc » – semble désormais intéresser.

Ainsi, le 21 mai dernier, en Bretagne, un homme a pris tous les risques au volant pour aller sauver sa compagne, qui avait commencé à se donner la mort, à côté de Callac, en Bretagne. Son intervention ainsi que celle des gendarmes qui l’avaient arrêté pour excès de vitesse ont sauvé la vie de la jeune femme. Hormis quelques mots dans la presse locale, pas de réception du couple prévue à l’Élysée.

À Fougères, en mars, un homme a sauvé une fillette de 3 ans qui tombait d’une fenêtre. Là encore, hormis la presse locale, cette histoire n’a pas suscité l’émotion ni d’Anne Hidalgo ni de Ian Brossat. Pas une légion d’honneur non plus, pour cet homme qui sauva, en janvier, l’homme qui voulait voler la voiture de son frère. Rien non plus sur cet homme qui, grâce à un massage cardiaque et à l’application Staying Alive, a sauvé une vie à Agen.

Cet enfant de 5 ans qui a eu le réflexe d’appeler la gendarmerie pour sauver son père, victime d’un coma diabétique le 13 mai, dans l’Orne, n’aura sans doute pas non plus de service civique attitré à sa majorité, au sein des pompiers de Paris. Tout comme cet adolescent de 13 ans, qui, dimanche 8 avril, a sauvé grâce à des points de compression un adolescent de 15 ans agressé et poignardé par une bande à Dunkerque, dans le Nord.

Dans l’Aveyron, un homme a risqué sa vie pour sauver un bébé de la noyade, en début d’année. Sans que François Molins, procureur de la République de Paris, ne le félicite comme cela a été le cas pour Mamoudou Gassama au micro d’une Ruth Elkrief presque en trans à ce sujet. À Fourtou dans l’Aude, ce garçon qui a lui aussi risqué sa vie pour sauver sa grand-mère des flammes cette année, n’a pas suscité plus qu’un article dans la presse locale.

Certains sur les réseaux sociaux, se sont interrogés à savoir pourquoi le jeune Marin, tabassé en 2016 alors qu’il défendait un couple importuné par un repris de justice qui se scandalisait d’un baiser, n’a jamais au lui non plus les sentiments de la classe politique et médiatique française, alors même qu’il a désormais un handicap lourd et que le procès de son agresseur se tenait en cette année 2018.

Mais à cette interrogation, la multitude de ces faits, courageux, héroïques, survenus ne serait-ce que sur cette année 2018 partout en France, prouvent que sciemment, le geste de Mamoudou Gassama est exploité en plus haut lieu, comme le fût le décès du petit Aylan il y a quelques temps, à une fin et une seule : imposer l’immigration et l’acceptation que des migrants peuvent venir sur le territoire de manière illimitée, sans consultation de la population accueillante et qu’ils seraient tous des « chances pour la France » pour reprendre le communiqué du maire de Montreuil du lundi 28 mai.

Les nombreuses affaires (viols, meurtres, agressions) mettant en cause des migrants en Europe de l’Ouest depuis la « crise migratoire » qui s’est déclenchée il y a quelques années déjà pourraient pourtant amener à tirer d’autres conclusions, diamétralement opposées.

Mais dans une société devenue hystérique, réagissant uniquement à l’émotion et plus à la raison, une société où les réseaux sociaux (de plus en plus contrôlés et censurés) empêchent de prendre de recul, d’analyser de manière globale, dans une société contrôlée par la presse dominante et ses riches patrons, dans une société verrouillée avec autoritarisme par une petite caste médiatique et politique intéressée, un Mamoudou Gassama vaut généralité tandis qu’un Mohamed Lahouaiej-Bouhlel ne vaut pas d’amalgame.

« L’Esprit républicain » sans doute …

Yann Vallerie

Source : http://breizh-info.com

Voir les commentaires

La sœur d’Adama Traoré appelle à un putsch à l’Elysée : « Ça se passe comme ça en Afrique, pourquoi ça ne se passerait pas comme ça en France ? »

29 Mai 2018, 06:44am

Publié par Thomas Joly

La sœur d'Adama Traoré, délinquant décédé accidentellement suite à son interpellation et devenu un martyr chez les noirs extrémistes, souhaite que, comme dans les républiques bananières africaines, le Président français soit renversé par un coup d'État. Avec sûrement un petit génocide de blancs pour respecter la tradition ? Elle ne le précise pas...

Voir les commentaires

Sortie du n°4 de la revue « Confrontation » de Jean-François Touzé

29 Mai 2018, 06:43am

Publié par Thomas Joly

Voir les commentaires

Exit un grand bonhomme : Jean-François Parot

29 Mai 2018, 06:41am

Publié par Thomas Joly

En ce mois de mai, où se multiplient les émeutes de gauchistes, les grèves et les atteintes de tous types à la liberté des honnêtes gens, un grand bonhomme de la littérature romanesque est mort, discrètement, comme il avait vécu.

Érudit, bien disant, fin et très distingué, excellent connaisseur de la seconde moitié du XVIIIe siècle français, britannique et nord-américain, Jean-François Parot nous a offert – à nous ses lecteurs, réellement endeuillés – une quinzaine de cadeaux royaux : les aventures du Commissaire Nicolas Le Floch, marquis de Ranreuil et l’un de ces nombreux bâtards de la famille royale française.

Parot, grand admirateur d’Alexandre Dumas – il me l’avait écrit – multipliait les personnages qui, loin d’être des archétypes de caricature, vivaient, s’épanouissaient, voire vieillissaient et plutôt bien, puis, parfois, mouraient.

Dès le premier volume d’une fraîcheur superbe, il avait conquis ses lecteurs. Il les avait ensuite fidélisés, exploit qui n’est pas si simple à réaliser, sauf à faire dans la soupe populaire. Or la production JFP, c’était avant tout de la très bonne littérature romanesque, débitée à vive allure et en un style superbe, trop peut-être pour notre époque de vulgarité voire d’abjection. JFP, c’était de la qualité d’avant 1968, d’avant ces auteures à vapeur et ces auteurs à thèse politico-sociale de café du commerce, mâtiné(e)s de psychanalyse de salon.   

N’étant ni d’origine exotique ni membre d’une ethnie « ayant beaucoup souffert », n’étant pas Maçon ni politicard, étant simplement l’un des rarissimes auteurs passionnants de notre époque si pauvre en talents, il ne fut pas Académicien français, comme il l’eût souhaité… et il avait tort, car ces illustres cacochymes sont de vieilles machines dépourvues d’intérêt dans leur produits de consommation courante, tandis que Jean-François Parot est immortel, car son Le Floch rejoindra Sherlock ou Maigret parmi les personnages indémodables, donc classiques.  

Et comme JFP était à la fois un gourmand et un gourmet, l’on dira qu’à l’instar de telle brave bête si utilisée en cuisine européenne : « Dans Parot, tout est bon », enfin était puisque nous n’aurons plus de nouvelle aventure de son fabuleux héros. C’est le premier chagrin que JFP nous cause.

Salut, Monsieur le Grand !

Bernard Plouvier

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

Voir les commentaires

Entre le petit « mâle blanc » et les grands blacks, Emmanuel Macron a choisi

29 Mai 2018, 06:29am

Publié par Thomas Joly

Emmanuel Macron a utilisé l’expression « mâle blanc » en évoquant le plan Borloo pour la banlieue. Ce plan serait inapproprié car constituant « l’échange entre deux mâles blancs ». La banlieue, devenue zone « sensible » serait donc devenue si sensible qu’elle devrait être considérée comme une terre à part, domaine des seuls « racisés », interdite aux Gaulois ?

Yvan Rioufol, sur Cnews, a dénoncé à juste titre cette expression comme favorisant le communautarisme. C’est vrai, mais il y a plus. Cela s’inscrit dans le projet international d’une inversion des rapports de domination. 

En Europe, le Noir est apparu sous sa désignation grecque de « Maure » (mavros = noir) dès l’Antiquité. Au XIIe siècle, dans La Chanson de Roland, il apparaît sous les traits du roi sarrasin de Saragosse, Marsile. Fin XVIe le modèle d’Othello, le Maure de Venise, de William Shakespeare, est aussi un roi – marocain, cette fois.

Mais au XIXe, le Noir apparaît comme une victime, celle du commerce d’esclaves avec le Nouveau Monde décrit par La Case de l’oncle Tom, de Harriet Beecher Stowe, ou Les Aventures de Huckleberry Finn et de Tom Sawyer, de Mark Twain. 

Au XXe siècle, la littérature enfantine de Jean de Brunhoff – Babar – et de Hergé – Tintin au Congo – véhicule une double image. Gentil naïf et drôle, il éveille la sympathie. Cannibale, soumis à un sorcier jeteur de sorts au masque terrifiant, il est ressenti comme une menace.

Notre XXIe siècle pérennise l’image de la victime – sans-papiers jetés dans des bateaux de fortune au péril de leur vie pour fuir la guerre ou la famine et aborder sur nos côtes – mais lui superpose une image valorisante. Devenu l’unique ancêtre d’une humanité présumée entièrement africaine à l’origine, star multimillionnaire des terrains de foot, pouvant revendiquer le président de l’État le plus puissant du monde comme un des leurs hier, l’accueil par la plus vieille famille régnante de l’État le plus colonisateur de la planète d’une des leurs, le « Noir », aujourd’hui devenu « Eurafricain » ou « Afro-Américain », est passé du mépris à la gloire.

L’expression « mâle blanc » s’inscrit dans ce contexte. 

Désormais, en Occident, ce n’est plus le seul Noir qu’on désigne comme présentant une particularité visible le distinguant de l’ensemble de la population autochtone, mais aussi le Blanc. 

De même, le héros n’est pas seulement Arnaud Beltrame, mais aussi Lassana Bathily, qui a sauvé des otages de l’Hyper Cacher en 2015, ou Mamadou Gassama, qui a sauvé hier un petit garçon menaçant de tomber d’un balcon.

Entre Borloo, le petit « mâle blanc » rigolard à barbe grise, et les grands blacks intrépides des cités, Emmanuel Macron a donc choisi. La banlieue sera leur affaire. Ainsi se réalisera la « politique inclusive » qu’il a mentionnée lors de la conférence de presse de vendredi dernier en Russie à propos de la Syrie, devant un Poutine dubitatif. 

Dès 2011, Guy Hagège, dans Le Monde, la définissait comme « un projet universel de personnalisation de la politique » en fonction « des différences de la personne », afin de lui donner « toutes les chances de réussite dans la vie ». À l’époque, la « différence » était le handicap, et cela concernait toute la France.

Mais en Syrie, comme dans nos banlieues, on peut craindre que cette « politique inclusive » n’implique une reconnaissance, voire une promotion des « différences » ethniques et religieuses qui pourrait mener au séparatisme.

Ce qui, comme au Kosovo, pourrait favoriser un autre projet universel : le projet postnational.

Catherine Rouvier

Source : http://bvoltaire.com

Voir les commentaires

Italie : pot pourri populiste

28 Mai 2018, 06:53am

Publié par Thomas Joly

Le seul but légitime du combat politique est l'accession de ceux qui le mènent aux responsabilités du pouvoir.

Pour le Parti de la France,seul l'exercice, par la droite nationale, de la conduite de l’État permettra à notre Pays de se relever et de se reconstruire.

Pour parvenir à cette fin, aucune stratégie ne peut être exclue et le pragmatisme doit être notre loi tactique. A la condition de ne jamais dévier de notre ligne et de n’agir que dans la cohérence du projet.

Certains, en France comme dans toute l'Europe, suivent des chemins différents.

Les partis du Système, bien sûr, pour qui la « gouvernance républicaine » n'est que prétexte aux ambitions personnelles et, pour les nouveaux venus, volonté de s’accaparer à leur tour d’une part du butin.

Quelques-uns (ou quelques-unes), convaincus que la métapolitique et la formation des élites constituent la voie royale qui permettra, le jour venu, de dresser des passerelles (oubliant que les passerelles sont avant tout faites pour qu’on leur marche dessus), remettent à plus tard l’engagement militant et électoral, comme si le temps ne nous était pas compté.

D'autres, enfin, dont la sincérité des convictions ne saurait être mise en cause, parent au plus pressé estimant que mieux vaut être en capacité de mettre en œuvre une petite partie de leur programme plutôt que d'attendre indéfiniment de pouvoir en réaliser la totalité.

C'est le cas de nos amis italiens de la Ligue.

En s’accordant sur un programme de gouvernement avec le mouvement cinq étoiles, patchwork improbable de comiques troupiers, de néo écolos et d'anciens gauchistes, Matteo Salvani et les siens faisaient le pari de se servir de leurs alliés du M5S et du nouveau président du conseil désigné par eux, Guiseppe Conte, pour avancer sur la voie de la maîtrise des dépenses publiques, et surtout de la lutte contre la submersion migratoire.

Louables objectifs. Mais l’expérience montre que, chaque fois qu'un mouvement identitaire et national s'est allié avec un autre parti, de droite, de gauche ou d'ailleurs dans une coalition gouvernementale, il s'est embourbé dans le jeu des compromis politiciens comme de la dépendance européiste, et que les avancées promises se sont réduites à quelques gestes symboliques sans portée réelle. L'hétérogénéité de l'alliance italienne porte en elle les germes de l’échec à venir.

Ce n’est pas un hasard si la Commission de Bruxelles est restée plus que prudente après la nomination officielle de Conte par le très systémique président de la République italienne Sergio Mattarella, tandis qu'Emmanuel Macron tendait la main au nouveau gouvernement.

Tout portait dès lors à croire que, dans ces conditions, le printemps italien de l'identité, de la solidarité sociale dans le dynamisme économique, de la volonté anti migratoire et, sur le plan international, du rapprochement avec la Russie ne sera qu’une brève lueur dans la nuit hivernale.

La démission de Conte ce dimanche soir et la probable nomination d'un gouvernement technique avec un Président du Conseil passé par le FMI ne viennent que renforcer notre conviction : il n'est plus temps de transiger avec le Système qui trouve de toutes façons toujours les portes de sortie de crise. Il ne faut pas  composer avec lui. Il faut le détruire et lui substituer l’État national. Le chemin sera plus long. Mais il sera celui de la vraie victoire.

Le Parti de la France considère, quant à lui, que la Droite nationale, si elle doit, un jour, s'inscrire dans un jeu d’alliance pour accéder au pouvoir, ne pourra le faire qu'en situation de force. La situation dramatique de notre France et de notre vieille Europe impose, en effet, l'application d'un programme radical de salut national qui ne peut être que global.

Jean-François Touzé

Voir les commentaires

Le pape François frappe encore : « Assimiler islam et terrorisme est un mensonge ridicule »

28 Mai 2018, 06:22am

Publié par Thomas Joly

Notre pape est une machine politique ancienne qui frappe sans relâche sur le même clou tiers-mondiste. Cette fois François condamne ceux qui assimilent terrorisme et islam. Il minimise le lien qui unit les deux. Où sont le mensonge et le ridicule ?
 
Depuis le premier entretien qu’il a donné à la Reppublica jusqu’à celui-ci, dans l’Echo de Bergame, François m’écartèle entre le respect que je dois à son état de pape et la consternation que suscitent ses paroles. Puisqu’aujourd’hui tout est soumis à compétition, il faudra un jour organiser le concours du plus mauvais pape de la décennie, du siècle, du millénaire, de tous les temps. Je sais bien que je suis une pauvre pécheresse et qu’on a le clergé qu’on mérite, mais tout de même : chaque fois qu’il parle tout s’effondre en moi.

Lier islam et terrorisme, pas un mensonge ridicule pour le pape Benoît

Il est courant de tromper sans mensonge formel. François fait son métier de pape lorsqu’il dit que l’Église doit servir tous les hommes, que les religions peuvent concourir au vivre ensemble, qu’il faut écouter les gens, etc. Cela ne mange pas de pain. Mais cela détourne la caméra de l’objectif, le terrorisme actuel. Est-il lié à l’islam ? Oui, sans aucun doute. Le pape François fait diversion lorsqu’il dit que les catholiques eux aussi ont commis et commettent des violences. C’est vrai mais ce n’est pas pertinent. Le terrorisme de l’IRA en Irlande était certainement le fait de catholiques, mais en tant que communauté historiquement brimée par la communauté protestante protégée par l’Angleterre. Les terroristes ne tuaient pas au nom du Christ. Le terrorisme de Daech et d’Al Qaïda se fait aux cris de Allah Ou Akbar. Sans doute ne faut-il pas « assimiler » l’islam au terrorisme. Mais dire avec dédain qu’il s’agit d’un « mensonge ridicule » risque de faire perdre de vue au grand nombre, moins subtil que notre jésuite de pape, le lien réel entre islam et terrorisme qui ne signifie pas, faut-il le préciser, que tout musulman serait un terroriste.

François frappe fort et assimile le discours mondialiste

Le prédécesseur de François, le pape Benoît XVI, avait donné une magistrale leçon à Ratisbonne sur la violence dans l’islam et par l’islam. François devrait aujourd’hui s’en inspirer, mais il est trop pris par son apostolat politique. Il ne pense qu’aux « murs qui ferment le cœur, le scellant comme une tombe », au « chômage des jeunes, péché social », des « modèles de consommation durable », aux « jeunes générations » qui doivent se considérer comme « une seule famille humaine, une communauté sans frontière ». Il n’a pas parlé d’un troupeau à amener au Père, mais d’hommes nouveaux à amener à l’humanisme. Je ne saurais sonder les reins ni le cœur du pape François, mais il tient le discours du mondialisme maçon.

Pauline Mille

Source : http://reinformation.tv

Voir les commentaires

« Mamoudou, le sans-papiers héroïque qui sauve un enfant : la nouvelle fable pour nous faire accepter l'arrivée de millions de migrants »

28 Mai 2018, 06:18am

Publié par Thomas Joly

Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, réagit au conte de fée qui remplit d'aise la classe politico-médiatique immigrationniste, un clandestin malien filmé en train de sauver un enfant.

Étrangement, on les entend beaucoup moins lorsque des étrangers en situation irrégulière tuent, violent, trafiquent, volent ou agressent des Français...

 

Voir les commentaires

La France est un pays socialiste : la preuve par les chiffres

27 Mai 2018, 11:11am

Publié par Thomas Joly

Que les Économistes atterrés se rassurent : la France n’est pas tombée dans l’aliénation au grand capital, ni même au petit : la France est bel et bien un pays socialiste.

Il y a deux moyens de se faire une idée sur l’état économique de la France : soit vous suivez la ligne qui commence en CM2 (où l’on vous explique que l’âge industriel a vu la naissance de nouvelles classes sociales : bourgeoisie industrielle, classes ouvrières et classe moyenne) et qui se termine chez les Économistes atterrés.

Soit vous achetez un petit manuel expliquant « comment utiliser un tableur » et vous vous mettez à analyser les chiffres à la source, histoire de vous faire une idée par vous-même.

La simple analyse de l’évolution du pouvoir d’achat des Français telle que fournie par l’INSEE qui cumule ces chiffres depuis 1949 en dit long sur les choix politiques qui aboutissent à la situation économique désastreuse que nous déplorons tous : chômage chronique, perte de vitesse dans l’économie mondiale

L’INSEE et la comptabilité publique définissent le pouvoir d’achat comme la composition des revenus disponibles, à savoir :

  • Les salaires (versés aux employés du privé comme du public)
  • L’EBE (excédents brut d’exploitation) qui est le revenu des indépendants au sens large (professions libérales, chefs d’entreprises, artisans, commerçants, exploitants agricoles … )
  • Les intérêts et dividendes qui sont les revenus provenant de placements financiers et industriels (actions, obligations…)
  • Les prestations sociales en espèces (retraites, indemnités chômages et maladies, allocations …)

Ils y retranchent les charges (impôts et cotisations sociales) et y ajoutent les transferts sociaux en nature (la valorisation des services publics gratuits ou à tarif réduit).

Un petit travail très simple que tout un chacun pourra refaire par lui-même permet très simplement de vérifier si oui ou non comme l’affirment Thomas Piketty et tant d’autres, les revenus du capital ne font qu’augmenter, le capitalisme sauvage et débridé crée partout des inégalités grandissantes, etc.

Commençons par considérer l’évolution relative des revenus provenant de l’activité économique dans le pouvoir d’achat des Français.

La France n’est jamais devenue un pays capitaliste

Première constatation : la thèse que l’on entend partout sur l’explosion du capital est donc bien une pure faribole, du moins en France. La part des revenus financiers (intérêts et dividendes) est restée anecdotique depuis la fin de la guerre et après avoir très faiblement augmenté à la fin du XX° siècle, est en diminution depuis le début du XXI°.

On comprend également très bien ce qu’il s’est passé pendant les « trente glorieuses » : la France des professions libérales, des exploitations agricoles, des petits commerçants et des artisans s’est réduite drastiquement pour être remplacée par la France des fonctionnaires et des salariés.

Les uns ne remplaçant pas complétement les autres (preuve assez claire que quand les gens gèrent leur propre affaire ils s’investissent mieux que quand ils sont salariés) le complément s’est opéré par la mise en place de l’État providence.

Puis le monde s’est figé vers 1981 : les proportions des indépendants sont restées identiques, jusqu’au récent bug du RSI de 2008 qui a de nouveau fait se détourner les Français de l’entreprenariat et de l’exploitation individuelle et familiale.

La France n’est jamais devenue un pays capitaliste : non seulement les revenus du « grand capital » qui étaient déjà très faibles à l’issue de la guerre sont restés proportionnellement faibles, mais ceux du « petit capital » n’ont fait que diminuer, ce qui traduit bien deux faits que nous constatons tous : le très faible développement industriel et les difficultés persistantes que rencontrent les petites entreprises.

Inutile d’essayer même de parler de ce qui s’est passé dans les pays anglo-saxons où quasiment tout le système social a été bâti sur le développement du système financier (retraite par capitalisation, assurances privées, etc…) La France est sur ce sujet en retard d’au moins 40 ans et accumule des dettes là où d’autres dégagent des excédents.

Pourquoi cette stagnation ?

Les impôts et charges n’ont fait qu’augmenter

La mise en place du système social par l’État-providence s’est accompagnée d’une hausse continue des charges qui s’est accélérée à la fin des années 70 (bizarrement, on a appelé cet accélération du gonflement de l’État une « crise »).

S’ensuit le bond en 1989 dû à l’augmentation de la CSG par le gouvernement Jospin pour tenter de rattraper le fait que les impôts n’avaient pas augmenté aussi vite que les cotisations sociales, puis la timide tentative des quinquennats Chirac 2 et Sarkozy pour réduire le niveau des prélèvements, tentative qui a très vite été réduite à néant dès 2012 par un nouvel emballement des prélèvements.

Donc si vous avez l’impression que l’État vous en prend de plus en plus, ce n’est pas une impression, c’est bien la réalité.

Il faudrait ajouter l’explosion de taxes indirectes, des charges patronales, des impôts sur les sociétés qui n’ont fait qu’augmenter. Non seulement les impôts augmentent, les cotisations sociales augmentent, mais les prélèvements obscurs augmentent également, chaque gouvernement semblant faire un concours avec le précédent pour trouver de nouveaux moyens afin de remplir les caisses désespérément vides.

À quoi sert donc tout cet argent ?

Un pays sous perfusion d’aides sociales

La France a quasi achevé la réalisation de la grande fiction socialiste à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde.

Les chiffres déjà hallucinants de l’INSEE, qui nous disent que pour 2 euros de pouvoir d’achat, 1 provient de l’argent des autres, sont encore pires que ce qu’indique le graphique : en effet les revenus d’activités ne sont pas taxés de la même manière que les prestations sociales (les données de l’INSEE n’indiquent pas la répartition des impôts sur les différentes formes de revenus), les transferts sociaux ne l’étant pas du tout.

De plus, il ne faut pas oublier qu’environ un tiers des salaires (33,5% en 2014) sont ceux de fonctionnaires ou d’agents de la fonction publique, donc également payés avec l’argent des autres.

Le pouvoir d’achat provenant des résultats économiques (dividendes, excédents bruts d’exploitation et salaires du privé) n’est plus qu’une aiguille dans la botte de foin des prélèvements, des impôts et de la redistribution en prestations sociales, en services publics gratuits et en salaires de fonctionnaires.

Ce pays est devenu un immense laboratoire de brassage d’argent opéré par l’État.

La France est bien un pays socialiste

Donc que les Économistes atterrés se rassurent : la France n’est pas tombée dans l’aliénation au grand capital, ni même au petit : la France est bel et bien un pays socialiste. Que Piketty se rassure aussi : avec une courbe en croissance constante des prélèvements obligatoires, on ne voit vraiment pas comment pourraient se développer de quelconques inégalités.

En complément de mon précédent billet, la France de 2018 semble donc bien se situer au point d’inflexion qui marqua l’URSS de 1953 : celle où il devient plus rentable de vivre des prestations sociales et des largesses de l’État-providence plutôt que de travailler un peu pour soi et beaucoup pour les autres.

Ce que montrent surtout ces courbes, c’est qu’il va bientôt devenir impossible d’augmenter encore la charge de l’État-providence qui pèse sur les revenus d’activités. La France devra donc le plus vite possible se réformer en profondeur afin de sortir de l’utopie du paradis des prolétaires.

Il ne sera bientôt plus possible de continuer à promettre aux uns simplement parce qu’il n’y aura bientôt plus assez à prendre aux autres.

Source : http://contrepoints.org

Voir les commentaires

Un clandestin camerounais massacre une Allemande de 84 ans à coups de déambulateur

26 Mai 2018, 12:45pm

Publié par Thomas Joly

A Berlin, une retraitée de 84 ans a été tuée dans son appartement par un migrant de 23 ans originaire du Cameroun et en situation illégale en Allemagne.

La dame avait été retrouvée par son fils morte dans son appartement le 3 mai dernier. L’autopsie a révélé des blessures violentes à la tête et au buste. La retraitée a été tabassée à mort par un jeune Camerounais de 23 ans en situation illégale en Allemagne : la brigade criminelle a arrêté le principal suspect.

Selon le journal « Bild », la retraitée aurait été battue à mort avec son propre déambulateur.

Toujours selon le même journal, le tueur camerounais serait en situation illégale en Allemagne, après avoir essuyé en 2015 un premier refus de séjour déposé en Belgique en 2012. Selon les accords de Dublin, il ne serait plus recevable à l’asile sur le territoire européen, de ce fait, le tueur aurait usé d’une fausse identité pour faire une nouvelle tentative Outre-Rhin.

Le suspect est par ailleurs déjà défavorablement connu des services de police, avec une longue liste de délits et crimes qui vont du vol jusqu’à une douzaine de tentatives d’homicides ainsi qu’une agression sexuelle.

D’où la question : pourquoi un tel individu se trouve encore sur le sol allemand et n’a pas été expulsé ? Pour seule réponse, l’Office des réfugiés « demande de la compréhension et se cache derrière la protection des données des individus ».

L’assassin camerounais, hébergé dans un centre pour sans abris, aurait fait la connaissance de sa victime dans la rue ou dans un parc. Les voisins de la victime ont reconnu le tueur.

Source : http://fdesouche.com

Voir les commentaires

Tommy Robinson condamné à 13 mois de prison pour avoir filmé le procès d’un gang de violeurs musulmans

26 Mai 2018, 12:34pm

Publié par Thomas Joly

Le reporter Tommy Robinson a été arrêté hier devant le tribunal de Leeds et condamné à 13 mois de prison pour avoir couvert le procès d’un gang de violeurs pakistanais.

Il a peu après été déféré devant le même tribunal et condamné à 13 mois de prison pour « troubles à l’ordre public » bien qu’il ne faisait que couvrir le procès du gang pakistanais.

Les médias ont également reçu l’ordre du gouvernement de ne rien dire sur les faits, sous peine de poursuites.

Les réactions politiques n’ont pas tardé, notamment au vu du fait que ce jugement s’est déroulé en moins de deux heures.

« Arrêtez pour avoir troublé l’ordre public alors qu’il couvre le viol d’un gang de violeurs musulmans ? C’est l’Arabie Saoudite ? » s’est interrogé Geert Wilders, leader de la droite néerlandaise.

Le député de l'UKIP (Souverainistes), Gerard Batten, a dénoncé lui aussi l’arrestation.

Les gangs de violeurs musulmans sont extrêmement puissants, organisés et nombreux au Royaume-Uni. Il y a deux mois, un gang équivalent avait été découvert. On dénombre au moins 1000 victimes sur plus d’une quarantaine d’années, pour l’essentiel blanches.

Le réseau était protégé par la police britannique.

Source : http://breizatao.com

Voir les commentaires

Valérie Redl dénonce l'absence de contrôle des billets pour les étrangers dans les TER sous les huées des autres élus

26 Mai 2018, 08:56am

Publié par Thomas Joly

Valérie Redl, Conseillère régionale du Parti de la France en Bourgogne/Franche-Comté, ose dénoncer en séance plénière ce que tous les usagers des TER peuvent constater : les Français de souche sont plus contrôlés que les étrangers qui bénéficient d'une grande mansuétude de la part du personnel SNCF.

La réaction haineuse et hystérique de l'Assemblée et de sa présidente dès qu'elle prononce le mot « étrangers » en dit long sur le degré de xénophilie de la plupart des élus du Système.

Bravo à Valérie Redl de défendre avec courage les « petits blancs », juste bons à payer et à baisser la tête devant l'occupant selon nos gouvernants.

Voir les commentaires

Antispécistes : faux militants ou vraies racailles ?

26 Mai 2018, 08:33am

Publié par Thomas Joly

Les « racailles », dans l’inconscient collectif français, sont des « jeunes », souvent issus des « quartiers », habillés en jogging et en survêtement. La médiatisation de cette image d’Épinal fait que toute incivilité, tout vandalisme propulse ces derniers au rang de premiers suspects. Le lien entre délinquance des quartiers et terrorisme n’a fait que renforcer ce nouveau maccarthysme.

Lorsque, dans la nuit du 14 au 15 mai, une boucherie-charcuterie lilloise a été vandalisée (façade dégradée, vitres cassées, liquide rouge répandu sur les murs et le trottoir), nombreux sont ceux, sur les réseaux sociaux, qui ont pensé à ces « racailles », croyant à une agression civilisationnelle contre les « mangeurs de porc ». De fait, ce vandalisme était bien l’œuvre de racailles, mais des racailles d’un tout autre genre. Les autorités ont coupé court à toutes les rumeurs en dévoilant les tags inscrits sur les murs de l’établissement par les malfaiteurs. On pouvait, entre autres, y lire : « Stop au spécisme ! » L’enquête est toujours en cours pour identifier les trois auteurs de ce méfait.

Ces nouveaux voyous, adeptes de quinoa et de lait de soja, ne sont pas des racailles comme les autres. Ils sont pétris d’idéologie et même de foi. Tels les évangélisateurs des premiers siècles qui se pensaient missionnés de détruire les idoles des païens pour leur apporter la lumière, ces zélateurs de la « cause animale » rêvent de détruire cirques, zoos, boucheries, maroquineries et animaleries : autant de temples du spécisme – nouveau paganisme qu’ils sont chargés de vaincre. La corrida est pour eux ce qu’était la gladiature pour Ambroise de Milan. Et, bien que leur idéal soit un monde de paix et de tolérance, ils n’hésitent pas à user de violence pour y parvenir : à l’instar des fanatiques qui massacrèrent la philosophe Hypatie en 415. Les récents vandalismes en témoignent.

Car ce n’est pas la première fois que les antispécistes commettent des violences au nom de leur « cause ». On se souvient que, lors des manifestations du 1er mai, un McDonald’s avait été entièrement saccagé par des « militants » du Front de libération des animaux, un mouvement éco-terroriste international. Enfin, toujours à Lille, le 18 mai, soit quatre jours après le saccage de la boucherie, c’est une poissonnerie qui a été dévastée par une bande d’antispécistes qui ont tenu à signer leur délit avec des tags évocateurs.

Toute personne ayant tenté d’amorcer un débat avec des antispécistes aura l’honnêteté de reconnaître qu’il est aussi aisé de faire entendre raison à un islamiste qu’à ces sectateurs du fascisme vert qui, non contents de vouloir convertir les humains au véganisme, veulent aussi convertir leurs animaux de compagnie. Question : forcer son chat, au nom de l’antispécisme, à manger des galettes de riz, n’est-ce pas justement faire preuve de spécisme et imposer notre morale de bipède à ce pauvre matou que la nature a fait carnivore ?

Enfin, notons que, dans les cercles antispécistes, la figure la plus admirée n’est ni Pythagore ni Léonard de Vinci (tous deux végétariens et pacifiques) mais Ted Kaczynski (Unabomber), ce terroriste états-unien qui tua trois personnes et en blessa vingt-trois au nom de ses lubies écologistes. Dis-moi qui sont tes héros, je te dirai qui tu es. L’antispécisme n’est décidément pas un amour des animaux mais une haine des humains.

Nicolas Kirkitadze

Source : http://bvoltaire.com

Voir les commentaires