Alors que paraît le 1er volume des Mémoires de Jean-Marie Le Pen, TV Libertés vous présente un document exceptionnel et exclusif : ”Le Pen, un destin français”. Fruit de très nombreuses heures d’entretien réalisées de l’été 2017 à mars 2018, TV Libertés vous propose de partir à la découverte de celui qui affirme :”Je pense l’avouer en touchant du bois, j’ai eu une belle vie”. Au fil des semaines va se dessiner le portrait sans filtre d’un petit Breton poussé par le Grande France. De Jean-Marie à Le Pen, de la Trinité-sur-Mer à la maison de Montretout, va se construire l’histoire incroyable et inégalé d’un destin français. Dans la 1ère partie de l’entretien, Jean-Marie Le Pen évoque son enfance : ”J’en demande bien pardon aux culs-bénits de la pensée unique, je suis un de souche”. Breton et Français toujours…
Le repas nationaliste du 17 mars qui se déroulera à Amiens affiche complet depuis maintenant 10 jours. Boris Le Lay, pour des raisons évidentes, interviendra en visioconférence. Inutile donc à la justice politique de déranger le RAID ou le GIGN pour venir cueillir le dangereux blogueur nationaliste breton, qui encourt 8 années de prison ferme cumulées pour avoir simplement dit la vérité sur l'invasion migratoire de la France et de l'Europe. La répression politique du pouvoir en place se heurtera toujours à la détermination de ceux qui ont la volonté et le courage d'organiser la résistance nationale et européenne face à la destruction de notre civilisation !
La mosquée de Segrate, située dans la banlieue de Milan, a appelé les musulmans à voter pour la coalition électorale de centre-gauche ainsi que les partis favorables au droit du sol en Italie.
La mosquée de Segrate, également connue comme la mosquée Masjid al-Rahmàn, a distribué un dépliant à ses fidèles les appelant à voter pour les partis qui soutiennent le droit du sol selon lequel n’importe quel individu né sur le territoire italien obtiendrait automatiquement la citoyenneté italienne.
La mosquée a déclaré à ses fidèles qu’ils avaient « un intérêt fondamental à se rendre aux urnes puis, dans le secret de l’isoloir où personne, à l’exception d’Allah, ne les voit s’exprimer prudemment en faveur du bon bulletin, mettant une croix sur le symbole des partis qui sont favorables au droit du sol ».
La mosquée n’est pas la seule autorité islamique à dire aux musulmans présents en italie de voter pour des partis de gauche. Un numéro récent du magazine Le Messager de l’Islam présentait un article qui indiquait pour quels partis les musulmans devaient voter.
L’auteur écrivait notamment, « les musulmans ne doivent pas perdre cette occasion politique qu’Allah leur a mis à disposition pour se renforcer sur ce territoire ».
Voilà pourquoi il est illusoire de draguer les hypothétiques « musulmans patriotes » fantasmés par certains. Les mahométans voteront toujours pour le parti le plus favorable à l'invasion migratoire, en attendant d'être en mesure de prendre le pouvoir par eux-mêmes...
Suite à l'invitation de la Jeanne d'Arc polono-béninoise d'Orléans au Puy-du-Fou, le secrétaire général du Parti de la France a réagi au tweet du gérant de parc d'attraction, Philippe de Villiers.
Jeune retraité du sarkozysme et dissident de fraîche date, Philippe de Villiers s'agenouille devant une Jeanne d'Arc métisse et renie ainsi misérablement l'identité française. Bouffon du roi jusqu'à en faire son nouveau métier, il aura trahi la droite nationale jusqu'au bout pic.twitter.com/7ZEk3w5wBG
Tout oser, tout souiller, tout dénaturer pour montrer que nous existons plus, voire même que nous n'avons jamais existé. Pendant très longtemps on nous expliqua qu'il n'y avait pas d'invasion migratoire, que la présence de millions d'immigrés légaux et clandestins ne changerait rien la nature de notre nation tant sur le plan ethnique que culturel. Désormais, on nous explique tout aussi doctement qu'il faut se faire à ce nouveau visage de la France, qu'il incarne tout aussi bien nos grands mythes nationaux...
Pendant longtemps également ces nouveaux visages se cantonnaient aux figures et valeurs de la république, on pense ainsi à la Marianne noire qui défraya la chronique dans certaines mairies il y a une vingtaine d'années. Désormais, ce sont les grands mythes nationaux français qui sont incarnés par cette « nouvelle » France... Et le dernier en date n'est pas n'importe quel symbole puisque c'est Jeanne d'Arc elle-même.
Oui, la fameuse « affaire Jeanne d'Arc »... Ainsi, une jeune fille métisse, polonaise et béninoise, va incarner Jeanne d'Arc pour l'édition 2018 des fêtes johanniques à Orléans. Oui, une métisse pour incarner la Française par excellence. Et c'est là que l'affaire prend, avec certainement une opération de communication au bénéfice du pouvoir. En effet, prenant prétexte que cette jeune métisse répond aux critères de sélection, beaucoup de catholiques et patriotes sincères ont cru bon justifier ce choix pour montrer en quoi la France et le peuple français n'étaient pas racistes, que la France n'était pas une race et qu'en gros du moment que l'on pouvait partager certaines valeurs on pouvait être parfaitement français voire bien plus français que ceux dont la souche est pourtant bien gauloise...
A croire que contrairement à certaines analyses, certains essais, la France ne se droitise pas, ou en tout cas une bonne part de la droite dite pourtant de conviction a peur de son ombre, qu'elle accepte donc in fine le cadre imposé par la gauche depuis des décennies, notamment quant à l'accusation de racisme. En effet les propos de ces membres de la droite de conviction, du FN et d'éminents catholiques prouveraient qu'affirmer que le peuple français est un peuple majoritaire et dans même dans son essence blanc – sans émettre un moindre jugement de valeur par rapport aux autres peuples – serait donc du racisme... Autant laisser la gauche garder le monopole des idées, des valeurs et des interdictions, au nom d'une prétendue dédiabolisation...
Ce qui est également effarant dans ces prises de position c'est une forme de déni du réel. Cette jeune métisse aurait pu parfaitement incarner Jeanne d'Arc au nom de l'assimilation si la France s'était affirmé comme un pays et si nous avions eu quelques dizaines de milliers d'immigrés. Or là la submersion migratoire est flagrante et le gouvernement de la France veut que cette dernière s'efface. Donc soutenir le choix de cette jeune fille au nom de valeurs patriotiques est pour le moins absurde, voire criminel.
D'autant que cette jeune fille n'est pas en cause, malgré quelques commentaires ridicules trop vite mis en épingle par la presse. Non, là les vrais fautifs que l'on peut même qualifier de criminels sont ceux qui se servent d'une métisse, donc de quelqu'un qui n'a pas vraiment d'enracinement, pour dénaturer un mythe du roman national ; mythe qui, rappelons-le sert à vanter la résistance à l'occupation étrangère et le fait que servir Dieu c'est faire que les Français restent maîtres chez eux, à l'époque d'une France quasi intégralement blanche...
C'est d'autant plus nécessaire de refuser ce choix que derrière on voit la volonté de partisans de Macron, issus de la diversité et proche de tenants de la haine de la France enracinée, de mettre en avant cette jeune fille au service de l'idéologie macronienne : celle d'un monde indifférencié, celle où les peuples autochtones européens doivent se fondre dans e grand néant. D'une part en dénaturant leurs mythes, leur histoire, d'autre part en les rendant minoritaires sur leur sol.
Catherine Millet est une des grandes pontes de « l’art contemporain », c’est à dire en réalité de ce que beaucoup appellent la laideur artistique de notre siècle. Laid dans les oeuvres, laide dans les écrits, comme ceux qu’elle vient de publier et dans lesquelles elle salit totalement la mémoire de la jeune Anne Lorraine Schmidt, massacrée dans le RER D le 25 novembre 2017 par Thierry Devé-Oglou.
« Quelquefois, la théologie trouve aussi une résonance dans les faits divers ! J’avais été frappée il y a quelques années par une affaire criminelle. Une jeune fille avait été d’autant plus sauvagement assassinée dans un train de banlieue qu’elle semblait avoir opposé à l’homme qui avait voulu la violer une résistance acharnée. Profondément croyante, elle avait défendu sa pureté au prix de sa vie. Or l’enquête avait fait apparaître une autre femme, victime des années auparavant, sur la même ligne de train, du même violeur. Et celle-ci avait, au contraire, accepté la fellation que le violeur exigeait, puis il l’avait laissée partir. Elle avait sauvé sa vie. Peut-être la jeune fille catholique, si elle avait lu de plus près saint Augustin et retenu l’enseignement de la séparation de l’âme et du corps – que la première victime appliqua, semble-t-il, d’instinct –, aurait-elle eu, elle aussi, une chance de sauver sa vie, sans perdre son âme.»
« Après tout ce que nous avons vécu, nous sommes assez blindés.
Mais vis-à-vis de notre famille et de ce qu’Anne-Lorraine a souffert, l’attaque de cette dame est totalement répugnante. Qu’elle sache cependant que nous trouvons au quotidien la force de vivre grâce aux témoignages de soutien et d’affection que nous recevons.
Qu’on laisse Anne-Lorraine en paix.
Je n’ai pas absolument aucune envie de discuter avec cette dame mais je souhaiterais rappeler toutefois une chose : en plus d’être odieux, son propos est faux.
Elle aurait dû mieux se renseigner. L’enquête a révélé que l’assassin de ma fille prévoyait justement de ne pas laisser la vie à sa seconde victime pour une raison simple : sa première victime l’avait reconnu. Il a récidivé, et je ne suis pas certain qu’Anne-Lorraine ait vraiment eu le choix…
Et si par hasard elle l’a eu, elle a choisi d’appliquer la devise de la Bretagne : “plutôt la mort que la souillure”. »
Nymphomane revendiquée avec beaucoup de prétention, « artiste » uniquement reconnue par le petit cénacle parisien fasciné par le très onéreux monde de « l’art contemporain », Catherine Millet s’est offert là un nouveau coup de publicité dont elle a le secret, quelques années après la sortie de son livre « la vie sexuelle de Catherine M », dans lequel elle écrit notamment : « J’ai cessé d’être vierge à l’âge de dix-huit ans – ce qui n’est pas spécialement tôt – mais j’ai partouzé pour la première fois dans les semaines qui ont suivi ma défloration ».
Suggestion pour Catherine Millet ? Aller faire un tour du côté de Castel Volturno en Italie, ville totalement contrôlée par la mafia nigériane qui prostitue et viole des gamines …elle devrait y trouver son bonheur !
L’un passe tout le temps à la télé, l’autre quasiment jamais. L’un adore distiller les infos qui déstabilisent, l’autre y répugne. L’un a toujours été de gauche, l’autre est resté de droite. Carl Lang, ancien numéro deux du Front national et président du Parti de la France, raconte dans un livre son long « chemin de résistance » au côté, puis à côté, de Jean-Marie Le Pen.
Il est des gifles que l’on préfère taire. Celle reçue par Florian Philippot fin janvier dans le Val-d’Oise est de celles-là. Au premier tour de la législative partielle, la candidate de ses Patriotes, Denise Cornet, n’a recueilli que 192 voix soit 1,2 % des suffrages exprimés. Ce n’est pas le pire. Parmi tous les candidats qui l’ont devancée – et ils ont été nombreux – figurait Huguette François, qui, avec 429 voix, a obtenu 2,6 % des voix. Plus du double des suffrages, donc, pour une obscure candidate dont nul n’avait parlé et qui était présentée par le presque aussi obscur Parti de la France (PDF) présidé par Carl Lang ! La candidate de l’ancien bras droit de Marine Le Pen humiliée par la candidate de l’ancien bras droit... de Jean-Marie Le Pen !
Il est des offenses qu’on ne pardonne pas et, deux semaines plus tard, Philippot s’est vengé. Alors que Carl Lang était invité sur le plateau de « Ça vous regarde », une émission de La Chaîne parlementaire, et que Florian Philippot l’était aussi, ce dernier, se comportant avec la morgue dont il est coutumier, a mis son veto à la venue du patron du PDF ! Exit donc Carl Lang, prié de rester chez lui. « L’enfant chéri des médias ferait-il des caprices de star ou craint-il un débat de fond avec un représentant de la vraie droite nationale ? », s’est interrogé Carl Lang, sans exclure que les deux hypothèses se soient cumulées.
Quarante ans sans dévier de ligne
Florian Philippot, qui avait reconnu tout ignorer de l’histoire du Front national et aurait pourtant gagné à se pencher sur le destin de ses numéros deux « avant qu’il ne soit trop tard », peut se rattraper avec l’ouvrage que vient de publier Carl Lang, Un chemin de résistance, et qui est celui d’un homme qui n’a pas attendu la soi-disant « fibre sociale » d’un chevènementiste pour savoir qu’il n’est de bonne droite que « nationale, sociale et populaire ». En trente ans de militantisme au Front national qui ont été autant d’années de responsabilités jusqu’à en être durant sept ans le secrétaire général, à siéger à son bureau exécutif ou à en être vice- président, Carl Lang n’a jamais dévié de son cap, et le Parti de la France qu’il a fondé en 2009 n’est que la continuité de son engagement.
A l’image de Florian Philippot, en somme, qui est resté ce qu’il a toujours été du Front national aux Patriotes – un homme de gauche –, Carl Lang est toujours resté ce qu’il a toujours été : un homme de droite. Et s’il avait rejoint le Front national en 1978, « c’est vraiment Le Pen, avec sa force de conviction et son aura, qui a motivé mon choix d’adhésion ». D’autant plus rude sera la chute quand, en 2009, le même Le Pen le mettra dehors sans aucun égard, ni pour lui, ni pour les statuts du parti... Il faut dire que Carl Lang avait eu le tort de s’opposer à ce que Marine Le Pen, qui avait obtenu son premier mandat sur la liste qu’il conduisait aux régionales de 1998 dans le Nord-Pas-de-Calais et qui en était partie pour l’Ile-de-France, y revienne pour l’évincer, à son profit, de la tête de liste pour les élections européennes de 2009.
Carl Lang raconte tout cela sans acrimonie, hormis à l’égard de Marine Le Pen, pour laquelle les mots sont très durs, tant sur le plan personnel que politique (« Le Front de Marine Le Pen n’a plus rien à voir avec les valeurs traditionnelles de la droite nationale française ») et avec fort peu d’anecdotes qui ne soient déjà connues. Pour les journalistes, l’homme au prénom et au profil nordiques n’a jamais été « un bon client ». Le garçon est réputé discret et il n’y faillit pas.
« La France n’est pas terre d’islam »
Un chemin de résistance est un livre d’entretiens politiques qui surprendra ceux qui s’attendent à un manifeste d’« extrême droite ». Carl Lang ne s’exprime pas de là où il se trouve arbitrairement classé, mais de là où il se trouve, et, dans le contexte actuel qui tend à l’hystérisation du débat public, il passerait presque pour un modéré. Jamais un mot plus haut que l’autre, pas d’invectives, pas d’indignations surjouées. Pas même de formules à l’emporte-pièce, de ces « punchlines » dont sont friands les réseaux sociaux et les médias qui se calent sur leur rythme, et qui lui permettraient de franchir, au moins l’espace d’un instant, la barrière médiatique.
La conviction profonde de Carl Lang est que « tant qu’il n’y aura pas de renaissance de la conscience nationale, il n’y aura pas de politique de redressement national possible ». Qu’il faut « défendre exclusivement les intérêts de la France en politique étrangère et la préférence nationale et l’unité française en politique intérieure ». Que « c’est en nous appuyant sur nos traditions et notre mémoire nationale que nous pourrons échapper aux tsunamis ravageurs du mondialisme et de l’islamisme ». Ou que « les valeurs de l’islam sont celles d’une autre civilisation et d’un autre modèle social qui ne sont pas compatibles avec notre propre héritage de civilisation. La France n’est pas terre d’islam. » « Pas sexy », dirait-on de nos jours. Mais la situation dans laquelle se trouve la France justifie-t-elle que le débat politique soit réduit à l’arbitrage du Kamasutra médiatique ?
L. H.
Carl Lang, Un chemin de résistance, entretien avec Jean-François Touzé, éd. Synthèse nationale, coll. Les Bouquins de Synthèse, 190 p., cahier photos, 20 euros.
Il existerait un lien entre orientation politique de droite et dégoût des mauvaises odeurs corporelles.
Les gens ayant des attitudes plus autoritaires sont plus susceptibles d’être dégoûtés par des odeurs corporelles nauséabondes, selon les résultats d’une étude publiée dans la revue médicale Royal Society Open Science.
Les chercheurs de l’ l’Université de Stockholm en Suède voulaient comprendre si le dégoût d’une personne à l’odeur pourrait révéler leur orientation politique. Ils ont demandé à 201 volontaires du monde entier de remplir un sondage en ligne, sur leur sensibilité aux odeurs.
D’autres questions de l’enquête ont mesuré l’autoritarisme des volontaires. Ces questions demandaient aux participants dans quelle mesure ils étaient d’accord avec les déclarations autoritaires selon lesquelles « les manières démodées sont les meilleures à vivre» et «nous avons besoin d’un leader fort pour faire face à une société immorale ».
Cette étude a montré que personnes qui obtenaient un score plus élevé pour le dégoût aux odeurs affichaient un goût marqué pour l’autoritarisme de droite.
« Ceux qui étaient les plus favorables à Donald Trump avaient la plus grande sensibilité au dégoût des odeurs corporelles », a expliqué Jonas Olofsson de l’Université de Stockholm en Suède.
« Le dégoût est une émotion humaine universelle qui nous protège des substances nocives . De nombreuses études ont montré que le genre de dégoût que nous éprouvons lorsque nous rencontrons quelque chose qui pourrait transmettre la maladie se propage également dans d’autres émotions, comme le dégoût moral. Les gens qui sont socialement conservateurs, par exemple, semblent plus dégoûtés ».
Conclusion : les gauchistes se complaisent dans leur crasse et les odeurs pestilentielles du multiculturalisme pendant que les gens sains, de droite, se préservent de cette infection olfactive.
Il y a décidément un « cas Christine Angot ». Pour retrouver un tel exemple de bonheur contagieux et de rire de chaque instant, dans l’histoire des hommes – et des femmes, pour sûr –, faut-il au moins remonter jusqu’à Attila, Popeck ou Alain Robbe-Grillet.
Évoquant ce cas unique, Jean-Marie Bigard affirme pourtant, au mépris de la vraisemblance la plus élémentaire : « Christine Angot est atrophiée de la vanne, de la rigolade. Rire, c’est comme si c’était vendre son âme au diable. Tout ce qui est drôle, tout ce qui est humour, elle le rejette. Elle aurait besoin d’une bonne thérapie émotionnelle de groupe. »
Quel mauvais coucheur ! De fait, ne tient-elle pas la rampe chaque samedi soir, dans une émission drôle, On n’est pas couchés, animée par Laurent Ruquier, là où elle régale le téléspectateur de son humour ?
Laurent Baffie, autre spécialiste renommé, dresse le pronostic en direct, en présence de la boute-en-train en question : « Je pense que vous avez un rapport difficile à l’humour. Je pense que vous n’aimez pas les blagues. Je pense que vous n’aimez pas les comiques. Pour vous, rire, c’est déchoir. » Quel jaloux !
On remarquera pourtant que dans cette drôle d’émission, Christine Angot est toujours drôle. La preuve par celle de ce samedi dernier. Pathologie pour pathologie, elle s’entretient avec Grand Corps Malade, le slammeur triste. Les regards sont lourds, les oreilles tombantes, la diction fatiguée. On se croirait à un réveillon chez Alain Cuny, avec Michel Houellebecq et Marguerite Duras. Dans le registre Buster Keaton sous Prozac, le moment est indépassable.
Chute du sketch de Christine Angot : « Je pense que pour tous les artistes, être artiste, c’est toujours un plan B. »
La suite pourrait être un passionnant sujet de thèse à l’université de « Tranxène-les-Bains » ou une première partie de Roland Magdane : « Devenir artiste, c’est toujours ne pas avoir pu faire ce que l’on pensait faire quand on était petit, avocat par exemple ou médecin. C’est toujours le résultat au fond d’un échec. »
Ben tiens, on se disait bien… Mais c’est vrai qu’à y mieux réfléchir, si Jean-Sébastien Bach tapotait sur le clavier de son clavecin, c’était forcément parce qu’il était inconsolable de cette carrière de courtier en assurances avortée, destin dont il rêvait déjà au berceau. Avec Christine Angot, tout s’explique toujours. Par le gag. C’est sa force. Et si, sur le plateau de chez Ruquier, le public siffle tout en se tapant le ventre de rire, il faut avant tout y voir une forme d’acquiescement tacite, de « poilade » complice. Où qu’elle aille ou quoiqu’elle fasse et dise, Christine Angot n’a pas son pareil pour emporter l’adhésion, déclencher l’enthousiasme. Il y a pas à dire, tenir son public en main : c’est un métier.
Évidemment, sur les « fléaux sociaux », les railleurs ne se privent pas de tweeter des infamies du genre « Christine Angot qui est romancière, se considère-t-elle aussi comme une ratée ? » ; c’est bas, c’est très bas, comme on dit chez Paribas. Car le rêve secret de la petite Christine ne consistait pas à devenir majorette ou philosophe, mais d’épouser une carrière de comique.
Là, en plein dans le mille, Émile. Avec L’inceste, livre proprement désopilant sur les rapports fille/père et le tout à fait hilarant le Marché des amants, dans lequel elle narre par le menu l’amour courtois l’ayant longtemps lié au rappeur Doc Gynéco, entre Le Banquet de Platon et plateau-télé, le lecteur est à la fête. À classer dans les annales du genre, entre l’intégrale de Cyril Hanouna et les œuvres complètes du « Schtroumpf péteur ». On en redemande.
Christine Angot ? What else ? On ne voit pas. Robert Dhéry ou Zouc, peut-être ? Même pas. Elle tient le titre, n’hésitant pas à le remettre en jeu chaque samedi soir, chez Laurent Ruquier. Et opiniâtre, avec ça. La marque des grands, on vous dit.
Alexandre Simonnot, Conseiller municipal de Taverny, proche de Jean-Marie Le Pen, a annoncé sur sa page Facebook qu'il avait pris son adhésion au Parti de la France.
Imprimé à 50.000 exemplaires, le premier tome des Mémoires de l'ancien président du FN, Jean-Marie Le Pen, a été épuisé avant sa mise en vente cette semaine. Il se classe également en tête des meilleures ventes de livres sur Amazon.
La police du Grand Londres déclare que les cas de viols signalés ont connu en 2017 une hausse significative de 20 % par rapport à 2016. Scotland Yard prétend ne pas connaître les causes de cette augmentation.
The Independant rapporte que 7.613 viols ont été déclarés entre janvier 2017 et janvier 2018, contre 6.392 l’année précédente.
Sûrement rien à voir avec l’affaire des gangs de pédophiles pakistanais à Rotherham qui ont réduit en esclavage sexuel des fillettes blanches pendant 15 ans parce que les autorités ne voulaient pas stigmatiser la minorité raciale des nobles envahisseurs. Les mêmes autorités qui à Londres font aujourd’hui semblant de ne pas savoir pourquoi de plus en plus de femmes se font violer.
Quand on décide d’accueillir des millions d’immigrés du Tiers-monde, on accepte de répandre la culture du viol et de la charia. Ça paraît pourtant limpide, mais il y a encore des cas sociaux et des fanatiques du vivre ensemble qui vont soutenir le contraire et protéger leurs amis violeurs.
Si, malgré les promesses d’Emmanuel Macron (lire ici), des SDF meurent toujours dans les rues de l’Hexagone en 2018, le sort des migrants clandestins est quant à lui bien plus enviable.
Des photos récemment publiées sur Twitter montrent l’énorme gaspillage de nourriture par les migrants afro-musulmans suite aux distributions par les organisations pro-migrants subventionnées par les contribuables français.
Lundi soir, la mairie de Colleville-Montgomery a décidé de mettre un gymnase à disposition des immigrés clandestins qui passent leur journées à perturber les Ouistrehamais, à mettre en danger les usagers de la route et à provoquer la ruine de l'économie locale.
En se comportant de la sorte, en offrant (aux frais des contribuables) un lieu couvert et chauffé, le maire de Colleville facilite l'organisation des clandestins et des agitateurs d'extrême gauche.
C'est une nouvelle inquiétante qui va malheureusement faire venir encore plus de clandestins africains dans le secteur qui n'avait pas besoin de ça.
Le Parti de la France rappelle que la seule politique acceptable c'est de rapatrier tous ces expatriés et de rendre Ouistreham aux Ouistrehamais et la France aux Français !
• Un État en ruine… Ah… il en avait promis des choses, le petit Emmanuel pendant la campagne électorale. Notamment une baisse de la pression fiscale. Pourtant, depuis le 1er janvier, le timbre a augmenté de 10 centimes ; le gazole, 7,6 centimes ; l’essence, 3,84 centimes ; le tabac, 10 %. Et bientôt taxe sur le gaz naturel avec une modeste hausse de… 43,7 %. Et ce n’est pas tout…
• Les mineurs non-accompagnés. La politique, c’est une question de choix. Et de moyens pour les mettre en œuvre. Ce n’est qu’un des aspects de l’immigration-colonisation qui ravage notre continent, mais le cas des mineurs étrangers non-accompagnés, les MNA, est significatif. C’est un gouffre financier sans fin, une ruine financière pour les départements…
• Il y a de quoi broyer du noir. Pour les fêtes Johanniques d’Orléans de mai prochain, Jeanne d’Arc sera donc incarnée par une jeune métisse polono-béninoise de 17 ans… On pourrait espérer que ce soit pour toutes ses qualités personnelles (cheftaine scout, escrimeuse, catholique pratiquante, bonne lycéenne), mais non. C’est bien parce qu’elle est métisse. La diversité doit l'emporter sur la réalité historique. C’est tendance, que de remplacer les héros ou les figures historiques européennes par des acteurs de couleur…
• L’élection présidentielle de la Fédération de Russie se tiendra le 18 mars prochain. Vladimir Poutine caracole en tête des sondages avec 70 % des intentions de vote. Tour d’horizon des candidats de l’opposition et petit arrêt sur l’escroquerie médiatique qu’est Alexeï Navalny…
Et pour finir, l’actualité du Parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement.